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Chapitre 4
Docteur Fatiha Djemili Tolba
2011/2012
CONTENU DE CHAPITRE
2
INTRODUCTION À L’ARCHITECTURE
RÉSEAU
Beaucoup d’éléments :
Question :
Hosts
Routeurs Y a-t-il moyen d’organiser
la structure d’un réseau ?
Liens de transmission à
supports variés
Ou au moins les
Applications discussions sur les réseaux ?
Protocoles 3
Matériels, logiciels
EXEMPLE D’UN TRANSFERT D’UN COURRIER
POSTAL
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EXEMPLE D’UN TRANSFERT D’UN COURRIER
POSTAL –ANALOGUE-
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PROTOCOLES ET SERVICE
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1. Dialogue vertical entre les couches de même
système à l’aide de primitives de service
request, send, sonnerie de téléphone,
décrocher, raccrocher, poster une lettre
2. Dialogue horizontal entre les couches
homologues (deux systèmes différents) à
l’aide du protocole de niveau (N)
communication fiable de bout en bout,
cryptage des données, envoi lettre
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recommandée avec accusé de réception
PRIMITIVES DE SERVICE
L’émetteur effectue une demande de service requête auprès de
récepteur.
Le serveur reçoit alors une indication l’informant d’une demande
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de service.
Ensuite le récepteur traite la demande de service (traitement)
Dé que le traitement est terminé, le récepteur envoie la réponse à
l’émetteur
A la fin, l’émetteur reçoit cette réponse sous la forme d’une
confirmation
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INTERACTION ENTRE ENTITÉS
SAP : point d’accès au service
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N-SAP N-SAP
(N-1)SAP (N-1)SAP
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Système A Système B
UNITÉS DE DONNÉES
(N)-PDU (Unités de Données du Protocole (N)): sont
spécifiées par un protocole (N) et consistent en
informations de contrôle du niveau (N).
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(N)-SDU (Unités de Données de Service (N)): est un
ensemble de données provenant de l’interface avec
la couche (N) qui doit être transporter sur une
connexion (N).
La couche (N) a requis des services de la couche
(N-1). L’unité protocolaire de niveau (N)-PDU
(données + entête) est transportée comme des
données de niveau (N-1)-DU.
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UNITÉS DE DONNÉES
SDU : Service Data Unit
PCI : Protocol Control Information
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PDU : Protocol Data Unit
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ORGANISATION DU MODÈLE DE
RÉFÉRENCE (1)
1 - Concepts ayant conduit à la conception
Un standard permettant de connecter des
systèmes ouverts
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OSI : Open System Interconnection
Système ouvert : un système est dit ouvert si les
communications entre les divers constituants
s’effectuent conformément au modèle de référence
OSI (qui implémente des protocoles ouverts)
Protocole ouvert : la description du protocole et
ses modifications sont publiques
Architecture protocolaire en couches
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ORGANISATION DU MODÈLE DE
RÉFÉRENCE (2)
2 – Pourquoi un modèle en couches?
Réduit la complexité
Il permet de diviser les communications sur le réseau
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en éléments plus petits et plus simples.
Il empêche les changements apportés à une couche
d'affecter les autres couches, ce qui assure un
développement plus rapide.
Il permet à différents types de matériel et de logiciel
réseau de communiquer entre eux.
Il assure une parfaite compatibilité des différentes
technologies.
Chaque couche est conçue de manière à dialoguer avec
son homologue, comme si une liaison virtuelle était
établie directement entre elles. 12
L’INTERFONCTIONNEMENT (1)
Deux fonctions essentielles peuvent être distinguées pour
assurer l’interfonctionnement d’applications informatiques à
travers un réseau
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Il faut, d’une part garantir un transport fiable des
informations à travers le réseau, et d’autre part organiser le
dialogue entre les applications distantes (dialogue
applicatif).
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L’INTERFONCTIONNEMENT (2)
Deux ensembles de couches aux fonctionnalités spécifiques sont
distingués :
Les couches hautes essentiellement chargées d’assurer
l’interfonctionnement des processus applicatifs distants, ces
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couches sont dites orientées application
les couches basses destinées à :
fournir aux couches hautes un service de transport fiable de données
déchargeant les couches hautes de la gestion de tous les mécanismes de
localisation et de transfert d’information à travers un ou plusieurs
systèmes relais,
ces couches sont dites orientées transport (ou transfert).
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Couches
DESCRIPTION DU MODÈLE OSI (1)
Applications
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5 Session Organise le dialogue entre toutes les applications en gérant
des sessions d’échange
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COUCHE PHYSIQUE - PHYSICAL LAYER -
Permet de transformer un signal binaire (bits) en un
signal compatible avec le support de transmission
choisi.
Définit les spécification :
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électriques (niveau de tension)
mécaniques (connecteur)
procédurales et fonctionnelles :
• la synchronisation des changements de tension,
• les débits physiques,
• les distances maximales de transmission,
• les connecteurs physiques
Autres attributs semblables sont définies par la
couche physique pour activer, maintenir et désactiver
la liaison physique entre les systèmes d'extrémité.
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Elle détermine aussi les moyens d’adaptation
(ETCD)
COUCHE LIAISON DE DONNÉES - DATA LINK
LAYER -
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systèmes adjacents en assurant :
le contrôle,
l’établissement,
le maintien et la libération du lien logique
entre les entités.
Les protocoles de niveau 2 permettent, en
outre, de détecter et de corriger les erreurs
inhérentes aux supports physiques.
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COUCHE RÉSEAU - NETWORK LAYER -
Assure, lors d’un transfert à travers un système
relais, l’acheminement des données (paquets) à
travers les différents nœuds d’un sous-réseau
(routage).
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Les protocoles de niveau 3 fournissent :
les moyens d’assurer l’acheminement de l’appel,
le routage,
le contrôle de congestion,
l’adaptation de la taille des blocs de données aux
capacités du sous-réseau physique utilisé.
Le protocoles utilisés dans cette couche, on
trouve:
IP (Internet Protocol)
ARP (Addres Resolution Protocole)
RARP (Reverse Address Resolution Protocol) 19
COUCHE TRANSPORT - TRANSPORT LAYER -
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bout des informations (messages) entre les
deux systèmes d’extrémité.
La couche transport est la dernière couche de
contrôle des informations, elle doit assurer
aux couches supérieures un transfert fiable
quelle que soit la qualité du sous-réseau de
transport utilisé.
Les protocoles utilisés dans cette couche est:
TCP (Transmission Control Protocol)
UDP (User Datagram Protocol)
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COUCHE SESSION - SESSION LAYER -
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applications distantes.
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COUCHE PRÉSENTATION - PRESENTATION
LAYER -
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Cette couche assure la mise en forme des données, les
conversions de code nécessaires pour délivrer à la
couche supérieure un message dans une syntaxe
compréhensible par celle-ci
En outre, elle peut, éventuellement, réaliser des
transformations spéciales, comme la compression de
données
Exemples des format de données:
Graphiques :TIFF,JPEG
Texte : ASCII
Son et Vidéo : MIDI, MPEG, QUICKTIME 22
COUCHE APPLICATION - APPLICATION
LAYER -
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référence, fournit au programme utilisateur,
l’application proprement dite, un ensemble de
fonctions (entités d’application) permettant le
déroulement correct des programmes communicants
(transferts de fichiers, courrier électronique... ).
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supplémentaire qui contient les informations nécessaires au
contrôle (CTL) de la transmission (FCS, Frame Check
Sequence)
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MÉCANISMES ÉLÉMENTAIRES
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L’adaptation de la taille des unités de données
(segmentation et réassemblage)
Le multiplexage et l’éclatement des connexions
Le contrôle de flux
Le maintien en séquence
L’accusé de réception
Les données exprès
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La détection, correction, notification d’erreur
La qualité de service
ÉTUDE POSSÉE DES
COUCHES ORIENTÉS
TRASPORT
Physique
Liaison de données
Réseaux
Transport
Couche Physique –niveau bit- COUCHE PHYSIQUE
Signal
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Types et modes de transmission
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Couche Physique –niveau bit- SIGNAL
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onde électromagnétique
Emetteur Récepteur
varier le signal selon
Envoi d’une Réception d’une
les bits à 1 et 0 pour 28
suite binaire suite binaire de
avoir un signal
de 0 et 1 0 et 1
électrique
Couche Physique –niveau bit- TRANSMISSION (1)
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communication peut s'effectuer de différentes
manières.
La transmission est caractérisée par :
1. le sens des échanges
2. le mode de transmission: il s'agit du nombre de bits
envoyés simultanément
3. la synchronisation: il s'agit de la synchronisation
entre émetteur et récepteur
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Couche Physique –niveau bit- TRANSMISSION (2)
1. Le sens d’échange
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La transmission
dans un seul sens
La transmission
simultanément
dans les deux sens
La transmission
alternativement
dans les deux sens 30
Couche Physique –niveau bit- TRANSMISSION (3)
2. Mode de transmission
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A-Parallèle :
N'est utilisée que sur
de très courtes distances
(ex : bus interne d'un
ordinateur)
Pose des problèmes de
synchronisation
B- Série :
1101001
C'est le mode utilisé
pour les très forts débits
Deux modes possibles : 31
asynchrone et synchrone
SPÉCIFICITÉS
Couche Physique –niveau bit-
DE TRANSMISSION ET
SUPPORTS DE TRANSMISSION (1)
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Vitesse d'horloge (nombre de tops par seconde) donne la
rapidité de modulation R (débit en baud) : le nombre
d'intervalles de temps élémentaires
Dans un intervalle, l‘état du signal (sa variation)
représente une information élémentaire (au moins un bit :
1 ou plusieurs bits)
Le débit binaire est donne par la formule : D = v . R/N
bit/s
où v et N dépendent du codage utilisé :
v est la valence du signal ; un entier calcule par : v = log2(V)
V étant le nombre de variations (états) possibles du signal ; une
puissance de 2 telle que V = 2v 32
N est le nombre d‘états (informations élémentaires) successifs
nécessaires pour extraire une information binaire
SPÉCIFICITÉS
Couche Physique –niveau bit-
DE TRANSMISSION ET
SUPPORTS DE TRANSMISSION (2)
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par baud avec une rapidité de modulation de 1200 bauds
Le signal émis pourrait ressembler a :
On a :
Nombre de variations : V = 4
Valence : v = log2(4), donc v = 2 33
N=1
Ce codage transmet donc 2 bits par baud
Le débit est D = 2 . 1200 = 2400 bit/s
SPÉCIFICITÉS
Couche Physique –niveau bit-
DE TRANSMISSION ET
SUPPORTS DE TRANSMISSION (3)
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tension et une valeur binaire :
2. Capacité de transmission
Les signaux subissent des distorsions
Un support a un intervalle de fréquences exploitables :
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[fmin; fmax ]
La largeur de la bande passante est : H = fmax - fmin
Débit maximal théorique (Nyquist, 1924) :
Dmax = 2 H log2(V) = 2 H v
Cependant, tout support est sujet a un bruit parasite :
impact mesure comme un rapport signal/bruit note S/N
souvent exprime en décibels : (S/N)dB = 10log10(S/N)
Capacite de transmission maximale (Shannon, 1948) :
Cmax = H log2(1 + S/N)
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le bruit s'accroît avec la distance, et il s'exprime souvent
en dB/km
SPÉCIFICITÉS
Couche Physique –niveau bit-
DE TRANSMISSION ET
SUPPORTS DE TRANSMISSION (5)
2. Capacité de transmission
Exemple :
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Les caractéristiques d'une ligne téléphonique classique
sont :
H = 3 200Hz (limitée par des filtres)
S/N de 30dB
Puisque 30dB = 10log10(S/N), alors S/N = 1030/10 = 103 =
1 000
Ainsi Cmax = 3 200 log2(1 + 1 000) ∼ 32 kbit/s
On en déduit aussi qu'on ne peut transmettre plus de 5
bits par baud sur ce type de ligne.
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Couche Physique –niveau bit- SUPPORTS DE TRANSMISSION
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categorie 6 : H = 250 MHz
categorie 7 : H = 600 MHz
câble coaxial : H = 1 GHz et très bonne immunité au bruit
Fibre optique :
bande passante très importante
débits théoriques de 50 000 Gbit/s (50 Tbit/s)
mais l'exploitation reste limitée (quelques dizaines de Gbit/s)
deux variantes :
• fibre multimodes
• fibre monomode : utilisée sur longues distances (50 Gbit/s sur 100 km)
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Couche Physique –niveau bit- CODAGE DE L’INFORMATION (1)
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1. Transmission en bande de base
2. Transmission en large bande
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distances, ainsi que sur un support de faible bande passante
(comme le réseau téléphonique).
En transmission analogique, le signal a une forme sinusoïdale
a(t) = A0 cos(ω 0.t + Ф0) où : ω 0= 2π f1
Modulation
En faisant varier un ou plusieurs paramètres du signal
sinusoïdal , on a .
modulation de fréquence (varier f)
modulation d’amplitude (varier A)
modulation de phase (varier Ф ) 39
Couche Physique –niveau bit- CODAGE
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Couche Physique –niveau bit- NRZ : CODE NON RETOUR À ZÉRO
Dr. F. T. Djemili
Exemple :
Si (dk = 0), alors (ak = a)
Si (dk = 1), alors(ak = -a)
Exemple :
Si (dk = 0), alors (ak = [-a, 0])
Dr. F. T. Djemili
Si (dk = 1), alors(ak = [a, 0 ])
Exemple :
Si (dk = 0), alors (ak = [a, -a])
Dr. F. T. Djemili
Si (dk = 1), alors(ak = [-a, a ])
Dr. F. T. Djemili
ou encore circuit composite.
Le matériel qui cette fonction est le multiplexeur
Services possibles
Dr. F. T. Djemili
Le format du trame et ses champs
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