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REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON

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PAIX-TRAVAIL-PATRIE PEACE-WORK-FATHERLAND
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ECOLE NATIONALE SUPERIEURE NATIONAL ADVANCED SCHOOL
DES POSTES, OF POSTS,
TELECOMMUNCIATIONS, DES TIC TELECOMMUNICATIONS, AND
ICT’S

RAPPORT DES TRAVAUX PRATIQUES DE


TECHNOLOGIES LARGE BANDE

SOUS LA SUPERVISION DE : M. BIDONG ESSOSSO CHARLES


HIPPOLYTE

Année académique : 2019-2020


TABLE DES MATIERES
LISTE DES TABLEAUX.............................................................................................ii
LISTE DES FIGURES.................................................................................................iii
INTRODUCTION GENERALE...................................................................................1
1) OBJECTIFS............................................................................................................2
2) PROCEDURE.........................................................................................................2
3) PARTIE THEORIQUE : MODULATION QAM...................................................2
a) Forme d’onde d’un signal QAM.......................................................................2
b) Constellations QAM.........................................................................................2
c) Un modulateur QAM type................................................................................3
d) Débits symboles et largeur de bande................................................................5
4) PARTIE PRATIQUE : MANIPULATIONS ET RESULTATS.............................6
a) Montage et connexions.....................................................................................6
b) Observations de séquences binaires au moyen des instruments virtuels...........7
c) Convertisseur série-parallèle..........................................................................10
d) Convertisseur N/A..........................................................................................12
e) Constellation des signaux...............................................................................14
5) INTERPRETATIONS : REPONSES AUX QUESTIONS...................................16
CONCLUSION GENERALE......................................................................................17

i|Page
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Débits de symboles et largeurs de bande................................................5
Tableau 2 : Placement des sondes...............................................................................7
Tableau 3 : Entrées et sorties du convertisseur série-parallèle..............................11
Tableau 4 : Connexions sondes pour convertisseur N/A.........................................12
Tableau 5 : Connexions sondes pour constellation des signaux.............................15
Tableau 6 : Connexions sondes de l’analyseur logique...........................................15

ii | P a g e
LISTE DES FIGURES
Figure 1 : Constellation 16-QAM...............................................................................3
Figure 2 : Schéma simplifié d’un modulateur QAM.................................................3
Figure 3 : Mappage dibit à niveau d’impulsion à forme d’onde dans une voie du
modulateur................................................................................................................... 5
Figure 4 : Spectre d’amplitude de BPSK, de QPSK et de 16-QAM (pour des
débits binaires égaux)..................................................................................................6
Figure 5 : Connexions RTM pour QAM....................................................................6
Figure 6 : Modulateur QAM.......................................................................................7
Figure 7 : Signaux d’horloge, de SYNC et de PRBS.................................................8
Figure 8 : Signaux d’horloge, de SYNC et PRBS avec n = 5....................................9
Figure 9 : Données de l’horloge, du signal SYNC et PRBS sur l’Analyseur logique
..................................................................................................................................... 10
Figure 10 : Connexion sondes pour la manipulation du convertisseur série-
parallèle...................................................................................................................... 11
Figure 11 : Convertisseur N/A..................................................................................12
Figure 12 : Sorties désirées du convertisseur N/A...................................................13
Figure 13 : Sorties désirées du convertisseur série-parallèle..................................14
Figure 14 : signaux d’entrée et de sortie du convertisseur N/A..............................14
Figure 15 : Diagramme de constellation..................................................................15

iii | P a g e
MEMBRES DU GROUPE

 ABDOULAYE SANOUSSI

 DOUANLA NGUEGUIM LINDA

 KUATE FOTSO BRICE

 MPFOUN NGOUA BRENDA

 NGO’OH ATEBA THEOPHILE ANGELO

 ONDOUA ELLA JEAN COLLINS

 TANKEU YANKAM FREDERIQUE EUGENE

iv | P a g e
INTRODUCTION GENERALE

De manière générale, les technologies large bande désignent des


technologies pouvant offrir un débit minimum de 2 Mbps. Pour optimiser ce
débit, on peut s’appesantir sur plusieurs aspects techniques notamment la
modulation utilisée. Dans ce travail pratique, nous nous sommes
particulièrement intéressés à une modulation numérique qui est la modulation
QAM. La modulation numérique est un type de modulation dans lequel le
paramètre modulé du signal de porteuse ne peut prendre que des valeurs
discrètes, plutôt qu'une gamme continue de valeurs comme en modulation
analogique.

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1) OBJECTIFS

 Connaitre la modulation QAM


 Connaitre les caractéristiques des signaux QAM
 Connaitre la constellation des signaux QAM
 Familiarisation du logiciel LVCT et l’utilisation des instruments virtuels

2) PROCEDURE

Les manipulations que nous avons faites se résument principalement en :

 Montages et connexions
 Observation des séquences binaires au moyen des instruments virtuels
 Le convertisseur parallèle
 Le convertisseur N/A
 Les filtres et mélangeurs
 Le sommateur
 La constellation des signaux

3) PARTIE THEORIQUE : MODULATION QAM


a) Forme d’onde d’un signal QAM
La modulation d'amplitude en quadrature ou QAM est une technique de modulation
numérique qui utilise les données à transmettre pour faire varier à la fois l'amplitude et
la phase d'une onde sinusoïdale, tout en gardant sa fréquence constante. La QAM est
une extension naturelle de la modulation par déplacement de phase bivalente (BPSK)
et de la modulation par déplacement de phase en quadrature (QPSK), qui ne font varier
que la phase de l'onde. Chaque forme d'onde, ou combinaison amplitude-phase, est un
symbole de modulation qui représente un groupe de bits spécifique. On trouve la 16
QAM dans l'application Modulation d'amplitude en quadrature (QAM/DQAM) de
LVCT. Dans le modulateur, les bits de données consécutifs sont regroupés quatre à la
fois pour former des quadbits dont chacun est représenté par un symbole de
modulation différent. Dans le démodulateur, chaque symbole de modulation du signal
reçu est interprété comme un profil de 4 bits unique.

b) Constellations QAM
Le diagramme de constellations est une Représentation graphique montrant
tous les états de signaux possibles comme un ensemble de points de
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constellation dans le plan P-Q. La position de chaque point du diagramme
montre l’amplitude et la phase du symbole correspondant. Chaque point de
constellation correspond à un quadbit particulier.

Figure 1 : Constellation 16-QAM

Un code de Gray est utilisé pour faire la mise en correspondance, ce qui


garantit que les quadbits correspondants aux points de constellation adjacents
ne diffèrent que par un bit. Cela facilite la correction d’erreur, car un petit
déplacement d’un point de constellation dû au bruit entraînera fort
probablement une erreur dans un seul bit du quadbit.

c) Un modulateur QAM type


On peut générer un signal QAM en modulant indépendamment l’amplitude
de deux porteuses en quadrature (cosωt et sinωt), comme le montre la Figure 2

Figure 2 : Schéma simplifié d’un modulateur QAM

Dans ce schéma simplifié, nous avons :

 Le convertisseur série-parallèle qui regroupe les données entrantes en


quadbits. Chaque fois que le signal d’horloge fait entrer quatre bits en série
dans le tampon du Convertisseur série-parallèle, ce dernier produit un quadbit à
ses quatre sorties parallèles. Le point de départ du regroupement de bits en
quadbits est complètement arbitraire. Chaque quadbit est composé d’une paire
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de dibits que l’on peut appeler dibit le plus significatif (MSD) et dibit le
moins significatif (LSD). Le MSD est envoyé à la voie P du modulateur ; le
LSD est envoyé à la voie Q du même modulateur. Chacune de ces voies traite
indépendamment les données qu’elle reçoit.

 Le convertisseur N/A de chaque voie convertit le train de dibits en un train


d’impulsions à quatre niveaux (bande de base) qui peut être appliqué à une
entrée du mélangeur. Chacun des quatre niveaux représente un dibit spécifique.
Les quatre niveaux utilisés sont proportionnels à -3, -1, +1 et +3. Cela rend
uniforme la distribution des points de constellation.

N.B  : Dans l’application QAM/DQAM, l’entrée MSB du Convertisseur N/A


détermine le signe de la tension de sortie et l’entrée LSB détermine son amplitude.

 Les filtres passe-bas sont utilisés pour restreindre la largeur de bande du signal
QAM, on les place généralement avant le mélangeur de chaque voie du
modulateur pour obtenir la mise en forme spectrale désirée. De plus, on peut
utiliser un filtre passe-bande pour filtrer le signal QAM avant sa transmission.

 Les mélangeurs effectuent la modulation en multipliant la porteuse sinusoïdale


par le signal de données à quatre niveaux. Une multiplication de la porteuse par
±1 produit un déphasage de 180°dans le signal de sortie du mélangeur, ce qui
équivaut à une modulation BPSK. Une multiplication par +3 produit une
augmentation de trois fois de l’amplitude crête et est sensiblement un type de
modulation ASK. Une multiplication de la porteuse par -3 produit un déphasage
de 180°et une augmentation de trois fois de l’amplitude crête. Le signal de
sortie du mélangeur est donc un signal sinusoïdal à deux phases et à deux
niveaux. L’effet du mélangeur est d’élever le spectre de fréquences du signal en
bande de base à la fréquence porteuse.

 Avant de produire le signal QAM au niveau du sommateur, il y’a un mappage


qui est réalisé dans l’application QAM/DQAM d’un dibit au niveau
d’impulsion relatif (montré entre parenthèses) et à la forme d’onde résultante.
Dans ce mappage, le premier bit à chaque dibit (MSB) de chaque dibit
détermine la phase du signal de sortie du mélangeur, et le deuxième bit (LSB)
détermine son amplitude. Comme ces deux signaux sont générés au moyen de
porteuses orthogonales (en quadrature), ils sont eux-mêmes orthogonaux, et le
démodulateur QAM pourra les démoduler séparément. Le signal de sortie du
modulateur est une porteuse sinusoïdale pouvant prendre 16 états dont chacun
représente un symbole à quatre bits. La figure 3 représente comment le
mappage est réalisé dans QAM/DQAM :

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Figure 3 : Mappage dibit à niveau d’impulsion à forme d’onde dans une voie du modulateur

d) Débits symboles et largeur de bande


Avec la 16-QAM, chaque symbole représente quatre bits. Par conséquent, la
vitesse à laquelle les symboles arrivent dans le signal QAM (le débit de
symboles) est égale à un quart du débit binaire. La largeur de bande d’un signal
modulé dépend de la vitesse des changements dans le signal (c’est-à-dire du
débit de symboles) et non de l’ampleur de chaque changement. C’est pourquoi,
QAM requiert une largeur de bande égale à la moitié de celle de QPSK et à un
quart de celle de BPSK pour un débit binaire donné. Cela est montré dans la
Figure 8, où fc est la fréquence porteuse. Par contre, l’utilisation de QAM à la
place de QPSK ou de BPSK peut doubler ou quadrupler le débit binaire pour
une largeur de bande donnée du signal. Le Tableau 1 compare les débits de
symboles (et les largeurs de bande) des BPSK, QPSK et QAM.

Tableau 1 : Débits de symboles et largeurs de bande.

La Figure 4 montre que, pour le même débit binaire, la largeur de bande du


premier zéro d’un signal QAM est égale à la moitié de celle d’un signal QPSK
et à un quart de celle d’un signal BPSK. Des trois techniques de modulation,
QAM a l’indice d’occupation spectrale le plus élevé.

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Figure 4 : Spectre d’amplitude de BPSK, de QPSK et de 16-QAM (pour des débits binaires égaux).

4) PARTIE PRATIQUE : MANIPULATIONS ET


RESULTATS
a) Montage et connexions
Dans cette manipulation, nous avons principalement besoin du logiciel
LVCT et du MDR que nous avons alimenté à priori. Nous avons réalisé des
connexions sur le MDR. Le schéma synoptique des connexions est donné par la
figure suivante :

Figure 5 : Connexions RTM pour QAM

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b) Observations de séquences binaires au moyen des instruments virtuels
Nous avons réalisé les étapes successives ci-après :

 Réglez le Générateur de la façon suivante : Mode Génération = Pseudo-


aléatoire n = 4 ; Débit binaire = 2000 bit/s
 Cliquez sur l’onglet Modulateur QAM pour afficher le schéma de ce
modulateur, auquel nous avons rajouté des sondes telles définies dans le tableau

suivant
Tableau 2 : Placement des sondes

Nous avons donc obtenu la figure suivante :

Figure 6 : Modulateur QAM

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 Affichez l’oscilloscope pour voir les différents signaux, nous avons obtenu la
figure suivante :

Figure 7 : Signaux d’horloge, de SYNC et de PRBS

Dans cette figure, la voie 1 est le signal d’horloge et le signal E est le signal
de synchronisation est utilisé comme source de déclenchement de
l’Oscilloscope. Ce signal passe à l’état haut pendant une période d’horloge au
début de chaque période de séquence. Nous avons remarqué que les variations
de niveau des impulsions des autres signaux s’alignent sur les fronts montants
du signal d’horloge. La voie 2 montre une séquence binaire pseudo-aléatoire
(PRBS). Avec n = 4 dans Paramètres du Générateur, la longueur L = 2 4-1 = 15.
Nous avons compté le nombre de cycles d’horloge sur une impulsion SYNC qui
est bel et bien de 15.

 Par la suite, nous avons fait varier la valeur de n et la conséquence immédiate


était que le nombre de cycles variait en fonction de n, par exemple pour n = 5,
nous avons eu la figure suivante :

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Figure 8 : Signaux d’horloge, de SYNC et PRBS avec n = 5

Avec n = 5, on a 25 – 1 = 31 cycles.

 Nous avons affiché l’analyseur logique qui est très similaire aux résultats
obtenus à l’oscilloscope à la seule différence qu’avec l’analyseur logique on a
la possibilité de voir la séquence binaire qui a été inscrite. Nous avons obtenu le
schéma ci-après :

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Figure 9 : Données de l’horloge, du signal SYNC et PRBS sur l’Analyseur logique

 Affichage de l’analyseur de spectre qui permet d’évaluer l’étalement en


fréquences du signal.

c) Convertisseur série-parallèle
Dans cette manipulation, nous avons réglé le mode de génération en
« entrée utilisateur » afin de pouvoir permettre à l’utilisateur d’entrer une
séquence binaire.

Les paramètres ont été définis de la sorte :

Séquence binaire = 1001 1000 1110 1110

Débit binaire = 1000 bit/s

Nous avons dit plus haut que le convertisseur série-parallèle regroupe le


train de données d’entrée en quadbits, puis il envoie le premier dibit de chaque
quadbit à la voie P du modulateur et l’autre dibit à la voie Q du même
modulateur. Puisque le Convertisseur série-parallèle n’est pas synchronisé avec
les données, le regroupement en quadbits peut débuter à n’importe quel bit.
Puisque le nombre de bits de la Séquence binaire est un multiple de 4, il y a
quatre conditions possibles :

A. Le regroupement débute avec le premier bit de la séquence binaire définie, ce


qui donne les quadbits 1001 1000 1110 1110, comme ils apparaissent dans le
paramètre Séquence binaire.

10 | P a g e
B. Le regroupement débute avec le deuxième bit de la séquence.
C. Le regroupement débute avec le troisième bit de la séquence.
D. Le regroupement débute avec le quatrième bit de la séquence.

Nous avons rempli un tableau qui résume les entrées et sorties du convertisseur :

Bits de Données 1 0 0 1 1 0 0 0 1 1 1 0 1 1 1 0 1 0 0
Quadbit 1 0 0 1 1 0 0 0 1 1 1 0 1 1 1 0
A
Hex 9 8 E E
Quadbit 0 0 1 1 0 0 0 1 1 1 0 1 1 1 0 1
B
Hex 3 1 D D
Quadbit 0 1 1 0 0 0 1 1 1 0 1 1 1 0 1 0
C
Hex 6 3 B A
Quadbit 1 1 0 0 0 1 1 1 0 1 1 1 0 1 0 0
D
Hex C 7 7 4
Tableau 3 : Entrées et sorties du convertisseur série-parallèle

 Nous avons connecté les sondes de l’analyseur logique comme suit :

Et le schéma de connexion que nous avons obtenu est le suivant :

11 | P a g e
Figure 10 : Connexion sondes pour la manipulation du convertisseur série-parallèle

 Nous avons enregistré les données à l’aide de l’analyseur logique et nous avons
appuyé sur le bouton supp. 1 bit et de la figure 12-15 dans le manuel, on a pu
identifier aisément quelle était la condition qui a été mise en place :

Figure 12 – A figure 13 – B figure 14 – D figure 15 – C

d) Convertisseur N/A
Pour cette manipulation, nous avons connecté les sondes telles que suit :

Tableau 4 : Connexions sondes pour convertisseur N/A

Le schéma que nous avons obtenu est le suivant :

12 | P a g e
Figure 11 : Convertisseur N/A

 Après avoir réglé les paramètres suivants : débit binaire = 2000bit/s ; séquence
binaire = 0000 0100 1100 1000, nous avons obtenu les sorties désirées du
convertisseur série-parallèle et celles du convertisseur N/A :

Figure 12 : Sorties désirées du convertisseur N/A

13 | P a g e
Figure 13 : Sorties désirées du convertisseur série-parallèle

 Les signaux d’entrée et de sortie du convertisseur N/A sont représentés par :

Figure 14 : signaux d’entrée et de sortie du convertisseur N/A

e) Constellation des signaux

14 | P a g e
 Connectons les sondes de l’oscilloscope comme suit :

Tableau 5 : Connexions sondes pour constellation des signaux

 Connectons les sondes de l’analyseur logique comme suit :

Tableau 6 : Connexions sondes de l’analyseur logique

 Nous avons obtenu le diagramme de constellations suivant :

1011 1001 0001 0011

1010 1000 0000 0010

1110 1100 0100 0110

1111 1101 0101 0111


Figure 15 : Diagramme de constellation

15 | P a g e
5) INTERPRETATIONS : REPONSES AUX QUESTIONS
 L’occupation spectrale représente la largeur de bande nécessaire à l'obtention
d'un débit donné de transfert de données, ou qu'elle peut transférer des données
plus vite sur une largeur de bande donnée.
 Nous avons bel et bien vu que la modulation QAM présente un plus petit indice
d’occupation spectrale par rapport aux autres techniques de modulation. Cela a
été bien défini dans la partie théorique.
 Un diagramme de constellation est une Représentation graphique montrant tous
les états de signaux possibles comme un ensemble de points de constellation
dans le plan P-Q.
 Les signaux de sortie des mélangeurs sont combinés grâce à des sommateurs.

16 | P a g e
CONCLUSION GENERALE
Dans cette expérience, nous nous sommes familiarisés avec le logiciel LVCT
et nous avons étudié le fonctionnement des blocs fonctionnels de base du
modulateur QAM. Nous avons vu que le Convertisseur série-parallèle
regroupait le flux de données d’entrée en quadbits qui étaient traités par deux
voies parallèles, P et Q, et que le point de départ de ce regroupement était
arbitraire. Nous avons vu aussi comment les convertisseurs A/N et les
mélangeurs généraient deux signaux à deux phases et à deux niveaux, à l’aide
de deux porteuses en quadrature. Nous avons observé que la sommation de ces
deux signaux produisait le signal QAM. Nous avons aussi observé les
constellations des signaux sur l’oscilloscope pour différentes séquences
binaires.

17 | P a g e

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