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DEFI PHOTO 2
La question la plus élémentaire de la théorie des incitations consiste pour le principal à choisir
des règles de jeu que l’autre joueur, l’agent doit accepter.
Ces règles de jeu maximisent l’espérance d’utilités (du principal) étant donné le
comportement stratégique de l’agent.
Il faut noter que ce comportement stratégique reste possible parce que l’agent possède de
l’information privée.
Ce modèle de base peut ensuite être étendu au cas de plusieurs agents et au-delà.
On suppose que les couts de transaction son nul (dans toutes les théories)
Deux acteurs :
La théorie des CDT est née avec Coase et Williamson.
Coase dit que les CDT s » ont des couts de découvertes des prix adéquats » Il y a donc des
couts a supporté pour accéder à l’information. Il existe également des couts liés a la
négociation et à la conclusion des contrats pour chaque transaction.
La coordination par les prix à travers le recours au marché entraine des couts.
La coordination en interne à la firme s’impose dans la mesure où elle permet de faire
l’économie de ces couts.
C’est une synthèse de plusieurs courants de pensée (Coase, Commons, Simon, Arrow,
Chandler et l’influence du droit et l’analyse des contrats)
Ce qu’on dégage : rationalité limitée, équilibre pas toujours stable sur le marché, important
de regarder les organisations car elles peuvent avoir un impact déterminé.
Conséquences = L’incomplétude des contrats. Toutes les situations possibles ne sont pas
anticipées dans le contrat. Les contrats sont par nature incomplets
Ex-ante :
- Il se présente avant passation de contrat entre parties
- Possible à cause de l’asymétries d’information due à la spécificité des actifs humains
(mauvaise sélection)
- Il renvoie au problème d’anti-sélection (théorie de l’agence) dites aussi sélection
adverse
Ex-post :
- L’incertitude
- L’incertitude qui ne peut être traitée par les techniques de calcul économique :
l’incertitude non probabilisable.
- Incertitude objective et incertitude comportementale
- Incertitude et opportunisme sont étroitement liés
- La fréquence de la transaction.
Elle est unique, occasionnelle ou récurrente) agit sur la forme d’organisation choisie
(internalisation ou externalisation
- Le contrat classique
Caractérisé selon l’analyse traditionnelle du marché, transaction ponctuelle (qui ne se répète
pas dans le temps), l’objet est parfaitement délimité, la relation est impersonnelle et l’identité
des partis importe peu. Toute transaction sur le marché constitue ce type de contrat.
- Le contrat néoclassique
Il s’agit d’une relation de long terme = incertitude augmente, possibilité de comportement
opportunités de la part des agents économique (ex (pb anti-sélection) ou post (pb aléa
morale)) (conflits entre parties) car relation de longs terme, contrat incomplet et implique
un degré de confiance recours à l’arbitrage d’un tiers (car incertitude forte, pb
d’interprétation) permet de définir les droits et les devoirs des deux parties, résoudre le conflit
- Le contrat personnalisé
En cas de durée et de complexité des liens entre les parties, et de relation durable entre
partenaire, on résout les conflits par rapport aux normes, coutumes, qui peuvent ne pas être
imposé par un contrat). Relation autour de normes qui se construisent progressivement,
proche d’une relation de type administratif gouverné par des règles définit par l’usage, la
coutumes….
Cette propriété est l’un des fondements des société moderne, essaye de le protéger, la
propriété renvoie au droit (quelles sont les sources de droit ? les lois ?)
La première source de droit : la constitution. Les lois doivent lui être conforme (pyramide)
La déclaration universelle des droits de l’homme en fait partie, source supra nationale,
(Art 17) « toute personne aussi bien seule qu’en collectivité à le droit à la propriété) = droit
uni reconnu par la DDH il peut être seul ou en collectivité
« Nul ne peut être arbitrairement privée de sa propriété » = garantie la propriété aux citoyens
du monde, il n’y a pas de fondement juridique qui s
Art 17 :
- Reconnait le droit de propriété
- Le droit de propriété est un droit universel
- Il peut être attribué individuellement comme collectivement
- Elle protège le droit de propriété
Art 544 du code civil français : « La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de
la manière la plus absolu pour qu’on n’en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par le
règlement)
Le fructus : le droit de jouir de la chose cad le droit d’en tirer tout fruits et produits (récolter
ou percevoir des revenus)
L’abusus : le droit d’en disposer de la chose, soit matériellement en la consommant,
transformant ou même détruisant, soit juridiquement en la vendant, hypothéquant. ;.
L’usus : le droit d’utiliser le bien, d’user de la chose (habiter une maison, l’aménager etc
C’est un droit absolu : il s’agit d’une liberté de principe accorder au propriétaire comme une
protection contre les tiers
Exclusif : le propriétaire dispose des trois attributs (usus, abusus, fructus)
Perpétuel : ne s’éteint pas avec le décès du titulaire
Un droit socialement validé à choisir les usages d’un bien économique. Un droit de propriété
privée est un droit conféré à une personne en particulier est qui est aliénable en échange de
droits similaires portant sur d’autres marchandises. Sa force se mesure par la probabilité et les
couts lié à son respect, paramètres qui dépendent du gouvernement, des actions sociales
informelles ainsi que des normes éthique et morales qui prévalent au sein de la société
considérée
= droit qui porte sur un bien économique, de ce qu’on peut en faire, pt transférer se droit
commun à travers un échange économique, en matière d’investissement et la capacité de l’état
a le protéger à travers les institutions,
Section 1 :
Selon la théorie des droits de propriété, la firme est un ensemble de contrat établissant une
centaine de structure de droit de propriété.
La firme, habituellement considéré comme une boite noire (dans la théorie néoclassique)
génératrice de produit, est un ensemble de ressources de divers propriétaire coopérant liés par
une relation contractuelle. (Alchian, 1987)
Cette THÉORIE :
- DROIT SOCIALEMENT VALIDÉ « UN droit socialement validé à choisir les usages
d’un bien économique »
- Tout échange entre agents : un échange de droits de propriété sur les objets
- La fonction première des droits de propriété (privée) est de fournir aux individus des
incitations à créer, conserver et valoriser des actifs
-
Droit de propriété, externalités et couts de transaction
- Défini la limite entre ce qui fais partie et ce qui ne fait pas partie de l’entreprise
- Les droits de P permettent d’internaliser des externalités : en établissant un droit
échangeable, on internalise un cout ou un bénéfice externe
- Privée
Se traduit par l’existence d’un droit sur un actif, socialement validé, assigné a un individu et
aliénable par l’échange
- Communale
C’est l’existence d’un droit d’usage d’un même bien par plusieurs individus appartenant à un
groupe. Pas de droit tirer un revenu de l’actif ou de le céder
- Collective
L’usage de l’actif est géré collectivement par un groupe d’individus, elle implique une
procédure de décision collective.
- Mutuelle
Plusieurs individus ont des droits conjoints sur un même actif
Contrairement à la propriété communale, le droit de propriété est transférable.
Il s’agit d’une propriété privée mutuelle
- Publique
Le droit sur l’actif est attribué à un agent public, l’État
L’État peut exclure chacun de l’usage d’un droit tant que celui-ci suit des procédures
politiquement acceptées.
La nature de la firme et de ses formes d’organisation peut être appréhendées à partir des
caractères des droits de propriété privée.
La structure des droits de propriété sur laquelle s’appuie la firme permet :
De profiter des avantages de la spécialisation ;
D’assurer un système d’incitation et de contrôle efficace
La firme :
Un agent contractuel centralisé (agent qui se trouve au centre et a des relations contractuelles)
dans un processus de production en équipe pas un pouvoir directif ou disciplinaire supérieur »
Alchian et Demsetz, 1972
La fonction du monitoring
La solution au problème d’aléa morale : il faut nommer un agent (le moniteur) se spécialise
dans le contrôle des performances des membre de l’équipe.
Pour assurer sa fonction de monitoring, le moniteur doit bénéficier d’un statut particulier
qui s’appuiera sur une structure contractuelle et une structure de droit de propriété
originale.
La notion de créancier résiduel signifie que le propriétaire de la firme est celui qui reçoit le
rendement résiduel résultant de la production
Le rendement résiduel : ce qui reste une fois payé les différents fournisseurs de ressources
Le moniteur propriétaire :
Le moniteur P est censé être incité à veiller à la meilleure utilisation possible des ressources et
à contrôler le comportement des membres de l’équipe
Le système de droit de propriété crée des incantations pour atteindre l’efficience sans qu’il
soit nécessaire d’avoir un moniteur pour le moniteur.
La grande entreprise moderne est la forme d’organisation la plus efficiente pour exploiter les
gains potentiels de la spécialisation a grande échelle et du monitoring des équipes de grande
taille (Alchian, 1988 et Rickettes 1987)
La société anonyme ne remet pas en cause les fondements de la théorie des droits de
propriété privée
Elle permet une spécialisation avantageuse (séparation) entre :
-Ceux qui exercent le droit de prendre des décisions sur les usages des ressources
Ceux qui supportent les conséquences sur les valeurs de marché ou d’échange (qui in fine
assurent les risques)
Théorie de l’agence :
- Complémentaire de l’économie des droits de propriété, la théorie de l’agence est le
cadre d’analyse dominant aujourd’hui
- Agent économique toujours rationnelle, optimise des décisions, suivent des processus
d’optimisations
Définition des 2 auteur (Jensen & Meckling) : « Nous définissons une relation d’agence
comme un contrat (constitue le prolongement de la théorie des droits de propriété, accord
entre deux partie) par lequel une ou plusieurs personne (le principal) engage une autre
personne (l’agent) pour exécuter en son nom une tache quelconque qui implique une
délégation d’un certain pouvoir de décision à l’agent »
La relation d’agence :
Relation contrat entre principal et agent ou y’a un une délégation d’un pouvoir du
principal vers l’agent
- Cette relation de l’agence est très générale : toute relation entre deux individus qui
créé une situation de dépendance entre l’un et l’autre. L’action d’un dépend de l’action
de l’autre
- L’individu qui exécute, qui agit pour le compte de la première partie est l’agent
- La partie qui affecte le pouvoir décisionnelle est le principal. Depasse les relations
économiques.
- Relation principal agent : patient-médecin/ salarié-employeur
- La relation d’agence couvre toute relation contractuelle entre les individus
- Exécute une tache (agent) pour le compte de l’autre (principal)
Les relations entre propriétaires (actionnaires car droit de propriété sur une factions du capital
social de l’entreprise) et les dirigeants de la firme
Les propriétaires ont une fonction objective cad qu’ils ont un objectif à atteindre dans
l’entreprise = espère une maximisation des dividendes et risque la perte de leurs apports.
C’est la partie qui assume un risque illimité, perte de leurs investissements.
Leur objectif est donc la maximisation des dividendes, de la valeur de l’entreprise
Pour avoir un équilibre entre les deux parie, il faut déterminer les mécanismes de
gouvernances avec une minimisation des couts d’agence
LA RA est un accord= contrat qui implique la délégation d’un pouvoir décisionnel (le
principal vers l’agent)
La relation de l’agence est réversible cad qu’on peut changer de rôle. Tout contrat est
par définition un échange de droit. Chaque partie est à la fois principal et agent selon le
registre d’échange considéré
L’employeur est le principal, le salarié est l’agent : l’employeur transfère au salarié l’usus du
droit de propriété sur une partie de son capital technique
Le travailleur donne à l’employeur le droit sur sa force de travail. Le salarié devient principal
et l’employeur l’agent
Les problèmes liés à la relation d’agence : Problème principal-agent
- Les intérêts des deux parties peuvent diverger
- Cas d’asymétrie d’information (car l’employeur ne peut contrôler l’optimisation
physique du salarié et inversement) par rapport à l’état de la nature et aux
comportements des agents
- On peut être victime d’un comportement opportuniste
- L’agent sait normalement plus que le principal sur la tâche qu’il a à accomplir
La conséquence liée a la RA
- On ne peut prévoir à l’avance, tous les mécanismes d’incitation. Le contrat qui lie les
parties est nécessairement incomplet, il ne peut pas tout prévoir. Le contrat couvre
quelque chose d’incertains, ne couvre pas tous les cas de figure possible, les
mécanismes d’incitation ne permet pas de résoudre tous les aléas moraux.
- Le principal n’a pas les moyens de contrôler parfaitement et sans cout l’action de
l’agent
- Pb d’anti-sélection
Cette théorie se pose : Quel système de surveillance et de contrôle est susceptible d’inciter
l’agent à se comporter comme s’il cherchait à maximiser la fonction du principal ?
Quel système d’agence est susceptible de parvenir en information imparfaite, à l’efficience
théoriquement obtenue en information parfaite par les mécanismes du marché ?
3 Catégories de couts :
La perte résiduelle
- Correspond à l’écart entre le résultat de l’action de l’agent, et le résultat escompté par
le principal. Différence entre l’objectif et le réalisé
L’arbitrage de l’agent
- L’agent cherche à minimiser son revenu lié à son comportement R*
- En contrepartie il doit minimiser ses dépenses d’obligation
- Il effectue un arbitrage entre dR* et dO
Les deux parties subissent des couts d’agence, il exerce alors un arbitrage pour avoir un
équilibre
L’équilibre :
- L’opportunisme des agents économique est limité par les couts d’information qu’ils
subissent
- Le calcul (la rationalité) des agents économiques résout le problème d’opportunisme
Le marché est capable de régler se pb du moment où les deux parties subissent les couts
d’agence
- Le marché financier est un marché des droits de propriété sur les firmes
- Sur ce marché, les agents économiques s’échangent des titres de propriété (actions) ou
de dettes (obligations)
- Le marché permet d’évaluer le prix de ces titres
- Lieu de rencontre entre une offre est une demande, entre besoin de financement
Et ceux qui ont besoin d'argent
- Pour le propriétaire (principal), cette perte de valeur tant qu’elle est inférieure à ses
couts de surveillance, il n’a aucune incitation à mettre en place un système de
surveillance
La valeur d’un actif financier = a la somme des flux futur généré par l’actif
Contrat qui lie l’entreprise aux actionnaires. La firme centre de relation contractuelle
La forme de la firme
- Structure contractuelle
- Les organisations non complexes
- Les organisation complexes (il y a plusieurs acteurs qui peuvent détenir de
l’informations spécifique, = équilibre différents)
La structure contractuelle
- A toute organisation correspond une structure contractuelle : ensemble des contrats
centraux qui définissent (1) la nature des créances résiduelles et (2) les modes de
répartitions entre les agents des différentes étapes du processus décisionnels (ils vont
définir le processus décisionnel et qui fais quoi. Les deux points important le créancier
résiduel qui a droit au profit résiduel et
La solution au pb : à attribuer les créances résiduelles aux agents impliqué dans le processus
de décision économiser les couts de surveillance
Dans une entreprise individuelle, les principaux décideurs doivent être également ceux qui
supportent les risques résiduels
Il est efficient pour une organisation non-C de concentrer sur un petit nombre de personnes
tout à la fois, la gestion et le contrôle de la décision et le droit aux créances résiduelles
La théorie des incitations = chapitre 3, convergence entre les intérêts des deux parties,
développement des incitations
Économie des incitation rappel : « l’études de l’élaboration des règles et institutions qui
induisent les agents économiques à exercer des niveaux d’effort élevé et à transmettre
correctement toute information privée qu’ils possèdent et qui est socialement patiente. »
Question de cours + dissertation (2h) ou qcm 50question pas à point négatif (1h)
L’expérience d’un « Principal Natural » = quelqu’un qui s’est trouvé dans une situation, un
rôle d’incitateur, pas conscient qui jour le rôle du principal dans une relation d’agence
Diapo :
SECTION 2 : La théorie de la taxation optimale du revenu
La TI peut s’appliquer dans le domaine fiscal
DIAPO
DIAPO
Formalisation du problème
- Maximisation de l’espérance d’utilité de la société au travers une fonction d’impôt en
respectant une contrainte budgétaire et une contrainte incitative
- La contrainte incitative décrit la manière dont chaque agent économique maximise son
choix d’effort
- Il s’agit de la première modélisation d’un problème de second rang d’incitation dans le
cadre de la fonction de l’impôt
L’idée de risque moral ou d’aléa moral et dans une moindre mesure celle de l’information
cachée sont familière dans le monde de l’assurance
Les assureurs sont confrontés à la difficulté d’assurer des risques lorsque les agents
économiques peuvent influencer ces risques par des actions non observables
Néoclassique (main invisible Adam Smith, autorégulation des marché (par leurs
fonctionnement interne, vont atteindre l’équilibre) sans intervention de l’état
K dysfonctionnement au niveau du marché, ne peut être systématiquement à l’équilibre, faut
définir des politiques économiques
Rapport de Stiglitz
- S (1974) S’intéresse aux contrats de fermage de partage de récoltes dénoncées par
Adam Smith comme inefficace parce qu’ils n’internalisent pas les effets des efforts
des fermiers
- Le fermage est un type de bail rural dans lequel un propriétaire, le bailleur, confie à un
preneur, le fermier, le soin de cultiver une terre sous contrat.
- Il démontre que cette inefficacité s’explique dans le cadre d’un arbitrage entre
assurance et incitations lorsque le fermier a de l’aversion au risque
Modèle 1
- Principal agent
- L’incertitude du principal sur l’agent est subjective
- Le principal maximise son espérance d’utilité (calculée avec ses croyances)
- La principale offre. A l’agent un ensemble de contrats dans lesquels l’agent s’auto
sélectionne
- Les contraintes incitatives définis par le principal précisent les relations qui existent
entre les contrats offerts et quel contrat est choisi par quel type d’agent
Modèle 2
- Principal – plusieurs agent
- Principal fait face à un grand nombre d’agents de caractéristiques indépendantes
- Le principal connait la distribution statistique des caractéristiques des agents
- Le principal ne connait pas les caractéristiques d’un agent donné.
- Le principal maximise son profit agrégé calculé avec la distribution des
caractéristiques (et non avec l’espérance de la distribution subjective)
DIAPOOO