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Après la deuxième guerre mondiale, plusieurs économistes ont essayé d’intégrer des
nouveaux facteurs qui déterminent les échanges internationaux, alors qu’on avait
l’apparition de deux approches principales :
Théorie HOS : L'Amérique se caractérise par une abondance de facteur capitale alors que
théoriquement ses exports doivent être en produits qui exige de ressources financières
Inversement, il doit avoir des importations fortement composées des produits qui nécessitent plus
de main d’œuvre.
Vérification de Leontief : paradoxalement, l'Amérique exporte des produits qui exigent plus de main
d’œuvre qualifié (facteur travail), cela est dû à la technologie.
Posner :
Integer l’écart technologique entre les payses considérées comme un élément déterminant du CI.
Alors que le pays développé exporte plus de produits nouveaux à cause de leurs capacité
d’innovation.
Vernon :
Le dynamique des échanges internationales peut correspondre à l’évolution de la nature du produit
tout au long de son cycle de vie à l’amélioration du CI0 au début de son cycle de vie , le produit
nouvellement innové est exporté par les pays de haute technologie avant qu’il soit exporter par les
pays en développement dans la phase de son déclin.
Pourtant, à notre connaissance, aucun examen approfondi de l'ALE UE-Maroc n'a été entrepris, du
moins pas un examen qui soit dans le domaine public.
Les résultats montrent que les grandes entreprises ayant une longue expérience sont les plus
exportatrices. Les accords de libre échange sont déterminants dans la probabilité à l’exportation des
nouvelles entreprises créées après l’année 2000, année d’entrée en vigueur de la majorité des
accords conclus.
augmentation des IDE, baisse des prix et discipline politique - mais ces avantages ne se sont
pas encore traduits par l'accélération d'une croissance soutenue que beaucoup attendaient. Les
de la durabilité du déficit global du compte courant du Maroc. Ils s'inquiètent également, à juste
titre,
du chômage et du sous-emploi élevés dans le pays, qui touchent particulièrement les jeunes, et
que
le déficit commercial n'aide pas. Les projections actuelles du FMI suggèrent que le PIB croîtra à un
agricole, dont une grande partie est pluviale et soumise à des variations climatiques (FMI, 2019,
article IV). La dette publique du Maroc est élevée et représente près de 65 % du PIB, mais elle
est jugée assez résistante aux chocs (FMI, 2019, article IV). Les risques liés à la possibilité d'une
place à la complaisance