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MINIS T ÈR E
DE
L’IN T ÉR IEUR
Bulletin
Officiel
du Ministère
de l’Intérieur
No 2014-9
Direction
de l’information légale
et administrative
Sommaire chronologique
26, rue Desaix
75727 Paris Cedex 15
ISSN : 1282-7924
Édité par :
La délégation à l’information
Sommaire thématique
et à la communication
du ministère de l’intérieur
Directeur de la publication :
Thomas Andrieu,
directeur des libertés publiques
et des affaires juridiques
Sommaire chronologique
Pages
16 janvier 2014
Convention de délégation de gestion du 16 janvier 2014entre la direction des ressources et
compétences de la police nationale et la direction de l’évaluation de la performance et des
affaires financières et immobilières...................................................................................... 1
30 avril 2014
Circulaire no 24681 du 30 avril 2014relative à la préparation des tableaux d’avancement pour
2015 des sous-officiers de gendarmerie................................................................................ 170
2 juin 2014
Décision no 8441 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie................................................. 51
Décision no 8671 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Franche-Comté..................................................... 52
Décision no 10074 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie maritime........................................................................... 53
Décision no 18634 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................. 54
Décision no 26712 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est........................ 55
Décision no 26982 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine....................................................... 56
Décision no 31806 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest.................... 58
Décision no 43244 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest............ 59
3 juin 2014
Décision no 1266 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’armement............................................................................ 60
Décision no 5848 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale....................................................... 61
Décision no 6429 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie des transports aériens................................................................ 62
Décision no 8365 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie d’Alsace..................................................................... 63
Décision no 10085 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel
servant outre-mer et en assistance militaire technique »...................................................... 64
Pages
4 juin 2014
Décision no 6890 du 4 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Corse..................................................................... 79
Décision no 10055 du 4 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Champagne-Ardenne................................... 80
Décision no 12848 du 4 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Basse-Normandie........................................ 81
5 juin 2014
Décision no 4801 du 5 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie de l’air.............................................................................. 82
Décision no 37548 du 5 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement des écoles de la gendarmerie nationale.......................... 83
Décision no 40403 du 5 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « secrétariat »........................................ 84
Décision no 40421 du 5 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « formations extérieures »..................... 85
Décision no 40423 du 5 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général des organismes centraux – branche « technique »......................................... 86
Pages
6 juin 2014
Décision no 11671 du 6 juin 2014 portant promotion de sous-officiers de gendarmerie
cadre général de la région de gendarmerie du Limousin..................................................... 87
du
Décision no 18831 du 6 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie du Centre.......................................................... 88
10 juin 2014
Décision no 13953 du 10 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Picardie........................................................ 89
11 juin 2014
Décision no 18430 du 11 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes......................................... 90
12 juin 2014
Décision no 11349 du 12 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie d’Auvergne....................................................... 91
Décision no 14717 du 12 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Bourgogne................................................... 92
Décision no 28147 du 12 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.............................................. 93
13 juin 2014
Décision no 43371 du 13 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est................ 94
19 juin 2014
Décision no 44964 du 19 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Rhône-Alpes................................................ 95
27 juin 2014
Décision no 11934 RGCA/DAO/BAP/CHANC du 27 juin 2014 portant attribution, en 2014,
de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel.............. 97
1er juillet 2014
Décision du 1er juillet 2014 portant mise à la retraite pour limite d’âge – Mme Iglesias
(Hélène)............................................................................................................................... 117
4 juillet 2014
Arrêté du 4 juillet 2014conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense................................................................
42
Pages
10 juillet 2014
Décision no 51418 GEND/RGIF/BAP/SCHANCEL du 10 juillet 2014portant attribution, en
2014, de la prime de résultats exceptionnels à titres individuel, collectif et exceptionnel.... 118
15 juillet 2014
Décision du 15 juillet 2014fixant les taux de promotion dans le corps des secrétaires de
protection des réfugiés et apatrides de l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides pour les années 2015, 2016 et 2017...................................................................... 164
Décision du 15 juillet 2014fixant les taux de promotion dans le corps des adjoints de protection
des réfugiés et apatrides de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides pour les
années 2015, 2016 et 2017................................................................................................... 165
Circulaire no 49000/GEND/DPMGN/SDPRH/BDI du 15 juillet 2014relative à l’organisation
du contrôle interne de la solde des militaires de la gendarmerie exploitée par le système
d’informations « PSIDI » (pérennisation du système d’information des droits individuels). 186
16 juillet 2014
Arrêté du 16 juillet 2014fixant la composition du jury du concours sur titres pour le
recrutement d’adjoints techniques de 1re classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les
services localisés en région Île-de-France au titre de l’année 2014....................................... 43
21 juillet 2014
Note d’information du 21 juillet 2014relative aux obligations du préfet de département pour
la transmission des saisines adressées au médiateur des normes applicables aux collectivités
territoriales.......................................................................................................................... 19
22 juillet 2014
Note d’information du 22 juillet 2014relative au renouvellement des représentants des
communes au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.................................. 21
23 juillet 2014
Note d’information du 23 juillet 2014relative au recensement des contraventions dressées
en 2013 par les services de police en vue de la répartition 2014 du produit des amendes
relatives à la circulation routière.......................................................................................... 7
28 juillet 2014
Décision no 54855 du 28 juillet 2014portant attribution de l’échelle de solde no 4 aux sous-
officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale......... 166
Circulaire no 54306 du 28 juillet 2014relative à l’avancement des sous-officiers et militaires
du rang de la réserve opérationnelle pour l’année 2014....................................................... 212
Pages
29 juillet 2014
Circulaire no 26000 GEND/DOE/SDOE/BE du 29 juillet 2014relative à l’organisation des
états-majors des régions de gendarmerie............................................................................. 216
30 juillet 2014
Arrêté du 30 juillet 2014portant agrément d’un type de véhicule blindé prévu à l’article 4
du décret no 2000-376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de
fonds.................................................................................................................................... 338
Arrêté du 30 juillet 2014portant inscription sur la liste d’aptitude au recrutement au
choix dans le corps de conception et de direction de la police nationale, en qualité de
commissaires de police, au titre de l’année 2014.................................................................. 45
Arrêté du 30 juillet 2014portant attribution de la médaille de la sécurité intérieure.............. 46
1er août 2014
Décision du 1er août 2014 portant délégation de signature du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides................................................................... 3
4 août 2014
Instruction du 4 août 2014relative à l’élection des représentants du personnel aux commissions
administratives paritaires nationales et locales, aux commissions consultatives partiaires,
aux commissions nationales et locales d’avancement et de discipline.................................. 268
Instruction du 4 août 2014relative à l’élection des représentants du personnel aux comités
techniques et aux comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail...................... 302
11 août 2014
Arrêté du 11 août 2014portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique................................................................ 339
12 août 2014
Note d’information du 12 août 2014relative à la mise en œuvre de l’article L. 3335-3 du
code général des collectivités territoriales créant un fonds de solidarité en faveur des
départements pour 2014...................................................................................................... 12
13 août 2014
Circulaire du 13 août 2014relative à la célébration de la fête religieuse musulmane de l’Aïd
al Adha................................................................................................................................ 31
14 août 2014
Circulaire no 60000 du 14 août 2014relative à l’organisation des états-majors des régions de
gendarmerie......................................................................................................................... 242
Sommaire thématique
Pages
Administration générale
Délégations de gestion
Délégations de signature
Décision du 1er août 2014 portant délégation de signature du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides................................................................... 3
Collectivités territoriales
Finances locales
code général des collectivités territoriales créant un fonds de solidarité en faveur des
départements pour 2014...................................................................................................... 12
Libertés publiques
Circulaire du 13 août 2014relative à la célébration de la fête religieuse musulmane de l’Aïd
al Adha................................................................................................................................ 31
Pages
Personnels d’État
Arrêté du 4 juillet 2014conférant un grade et un emploi d’officier commissionné servant au
titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense................................................................
42
Arrêté du 16 juillet 2014fixant la composition du jury du concours sur titres pour le
recrutement d’adjoints techniques de 1re classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les
services localisés en région Île-de-France au titre de l’année 2014....................................... 43
Arrêté du 30 juillet 2014portant inscription sur la liste d’aptitude au recrutement au
choix dans le corps de conception et de direction de la police nationale, en qualité de
commissaires de police, au titre de l’année 2014.................................................................. 45
Arrêté du 30 juillet 2014portant attribution de la médaille de la sécurité intérieure.............. 46
Décision no 8441 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Haute-Normandie................................................. 51
Décision no 8671 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie de Franche-Comté..................................................... 52
Décision no 10074 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie maritime........................................................................... 53
Décision no 18634 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Languedoc-Roussillon................................. 54
Décision no 26712 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est........................ 55
Décision no 26982 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la région de gendarmerie de Lorraine....................................................... 56
Décision no 31806 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest.................... 58
Décision no 43244 du 2 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest............ 59
Décision no 1266 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie de l’armement............................................................................ 60
Décision no 5848 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale....................................................... 61
Décision no 6429 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la gendarmerie des transports aériens................................................................ 62
Décision no 8365 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du cadre
général de la région de gendarmerie d’Alsace..................................................................... 63
Décision no 10085 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général du commandement de la gendarmerie outre-mer – branche « personnel
ambassade ».........................................................................................................................
65
Décision no 14369 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la garde républicaine – branche « infanterie »............................................
66
Décision no 14370 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la garde républicaine – branche « cavalerie ».............................................
67
Décision no 20373 du 3 juin 2014portant promotion de sous-officiers de gendarmerie du
cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord.................... 68
Pages
Pages
Polices administratives
Arrêté du 30 juillet 2014portant agrément d’un type de véhicule blindé prévu à l’article 4 du
décret no 2000-376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds... 338
Arrêté du 11 août 2014portant agrément d’un organisme de formation au titre de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique................................................................ 339
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
La présente délégation est conclue en application du décret no 2004-1085 du 14 octobre 2004 relatif à la délégation
de gestion dans les services de l’État modifié.
Le directeur général de la police nationale, réprésenté par M. Michel ROUZEAU, directeur des ressources et des
compétences de la police nationale désigné sous le terme de « délégant », d’une part,
Et
Le secrétaire général, représenté par M. Thierry GENTILHOMME directeur de l’évaluation, de la performance
et des affaires financières et immobilières du ministère de l’intérieur, désigné sous le terme de « délégataire », d’autre
part,
Il est convenu ce qui suit :
Article 1er
Objet de la délégation
En application de l’article 2 du décret n 2004-1085 du 14 octobre 2004 le délégant confie au délégataire, en son
o
–– il assiste le délégant dans la mise en œuvre du contrôle interne comptable et met en œuvre le contrôle interne
comptable de 1er niveau au sein de sa structure ;
–– il réalise l’archivage des pièces qui lui incombe.
2. Le délégant reste responsable de :
–– la décision de dépenses et recettes ;
–– la constatation du service fait ;
–– du pilotage des crédits de paiement ;
–– l’archivage des pièces qui lui incombe.
Article 3
Obligations du délégataire
Le délégataire exécute la délégation dans les conditions et les limites fixées par le présent document et acceptées
par lui.
Le délégataire s’engage à assurer les prestations qui relèvent de ses attributions, à maintenir les moyens nécessaires
à la bonne exécution des prestations, à assurer la qualité comptable et à rendre compte régulièrement de son activité.
Il s’engage à fournir au délégant les informations demandées et à l’avertir sans délai en cas d’indisponibilité des
crédits.
Article 4
Obligations du délégant
Le délégant n’engage pas de dépense sans validation préalable de l’engagement juridique dans CHORUS et respecte
les règles de la commande publique.
Il s’oblige à fournir, en temps utile, tous les éléments d’information dont le délégataire a besoin pour l’exercice de
sa mission. Le contrat de service précise les éléments attendus.
Il adresse une copie de ce document à l’autorité en charge du contrôle financier et au comptable assignataire
concernés.
Article 5
Exécution financière de la délégation
Le délégataire est autorisé à subdéléguer à ses subordonnés, sous sa responsabilité, la validation dans CHORUS
des actes d’ordonnancement.
Article 6
Modification du document
Toute modification des conditions ou des modalités d’exécution de la présente délégation, définie d’un commun
accord entre les parties, fait l’objet d’un avenant, dont un exemplaire est transmis aux destinataires du présent
document.
Article 7
Durée, reconduction et résiliation du document
Le présent document prend effet à compter du 1er janvier 2014, après sa signature par l’ensemble des parties
concernées. Il est établi pour une durée de trois ans, reconduit annuellement. Les parties signataires pourront apporter
d’un commun accord toutes modifications au dispositif envisagé.
Il peut être mis fin à tout moment à la délégation de gestion, sur l’initiative d’une des parties signataires, sous
réserve du respect d’un préavis de trois mois. La dénonciation de la délégation de gestion doit prendre la forme d’une
notification écrite ; le comptable assignataire et le contrôleur budgétaire doivent en être informés.
La convention de délégation de gestion est transmise à l’autorité en charge du contrôle financier et au comptable
assignataire.
Ce document sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 16 janvier 2014.
Le directeur des ressources Le directeur de l’évaluation, de la performance
et des compétences de la police nationale, et des affaires financières et immobilières,
Délégant, Délégataire,
M. Rouzeau T. Gentilhomme
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Décide :
Article 1er
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Pascal Brice, directeur général de l’Office français de protection
des réfugiés et apatrides, délégation est donnée à M. Pierre Azzopardi, secrétaire général, ou en son absence à
M. Pascal Baudouin, directeur de cabinet, à l’effet de signer toutes décisions individuelles prises en application de
l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile ou de la convention de New-York du
28 septembre 1954, toutes réponses aux demandes de l’autorité judiciaire et, en tant que de besoin, toutes réquisitions
de la force publique, ainsi que tous actes administratifs, décisions individuelles, engagements comptables, ordonnances
de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion administrative et financière de l’office.
Article 2
Délégation est donnée à M. Pierre Azzopardi, secrétaire général, ou en son absence à M. Pascal Baudouin, directeur
de cabinet, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
toutes décisions individuelles prises en application de l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers
et du droit d’asile, ou de la convention de New-York du 28 septembre 1954, tous actes concernant l’engagement
d’actions en justice ou la défense de l’office devant les juridictions, toutes réponses aux demandes de l’autorité
judiciaire et, d’une manière générale, tous documents, certificats, courriers ou actes relevant de ses attributions.
Article 3
Délégation est donnée à M. Pierre Azzopardi, secrétaire général, à l’effet de signer, au nom du directeur général de
l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, engagements
comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la gestion administrative et financière
de l’office.
Article 4
Délégation est donnée à Mme Sylvie Jimenez, chef du service des ressources humaines et de la formation
professionnelle, et en cas d’absence ou d’empêchement, à son adjoint M. Thierry Doucement, à l’effet de signer,
au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs,
certificats, décisions, engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement et de délégation concernant la
gestion des ressources humaines et la formation professionnelle de l’office.
Article 5
Délégation est donnée à Mme Pascale Doucement, chef du service du budget, à l’effet de signer, au nom du directeur
général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions
relevant de ses attributions, tous engagements comptables, ordonnances de paiement, de virement concernant la
gestion administrative et financière de l’office.
Article 6
Délégation est donnée à Mme Régine Bordes, chef du service de l’interprétariat, M. Jean-Paul Levi, chef du service
de l’informatique, Philippe Truy, chef du service des moyens généraux, à l’effet de signer, au nom du directeur général
de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes administratifs, certificats, décisions, relevant de
leurs attributions respectives.
Article 7
Délégation est donnée à Mmes Nathalie Champlain et Zohra Lekbir, secrétaires de protection au service de
l’interprétariat, à l’effet de signer les bons de commandes de prestations d’interprétariat et de traduction nécessaires
à l’activité de l’office.
Article 8
Délégation est donnée à M. Mourad Derbak, officier de protection principal, chef de division, et, en son absence,
à Mme Pascale Baudais, officier de protection principal, adjointe du chef de division, à l’effet de signer, au nom du
directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application
de l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile se rapportant aux attributions
des services placés sous leur autorité, tous actes individuels pris en application de la convention de New-York du
28 septembre 1954, ainsi que tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office devant
les juridictions ayant à connaître du contentieux des apatrides.
Article 9
Délégation est donnée à Mme Laurence Duclos, MM. Franck Eyheraguibel, Frédéric Petit-Jean, officiers de
protection principaux, chefs de division, et, en leur absence, à leurs adjoints, MM. Pascal Roig, Pascal Lieutaud
et Ludovic Champain-Sellier, officiers de protection principaux, à l’effet de signer, au nom du directeur général de
l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application de l’article L. 721-2
du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile, se rapportant aux attributions des services placés
sous leur autorité.
Article 10
Délégation est donnée à Mmes Delphine Bordet, Coralie Capdeboscq, Leïla Chebbi, Aline Montaubrie,
MM. Georges Barbière, François Corbin, Tanguy Coste-Chareyre, François Doyharcabal, Ghislain de Kergorlay
et Jean-Michel Salgon, officiers de protection principaux, Mmes Christine Bargoin, Leila Benshila-Kesen,
Isabelle Castagnos, Marie Despretz, Elodie Guego, Cécile Malassigné, Elsa Mattéodo-Charles, Céline Seyer,
Frédérique Spéranza, Sonia Tiba, Valérie Vivien, MM. Hugo Bechtel et Nicolas Wait, officiers de protection, chefs
de section, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides,
tous actes individuels pris en application de l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit
d’asile, se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité, à l’exclusion des décisions de retrait de
la qualité de réfugié.
Article 11
Délégation est donnée à Mmes Anne Cardoso et Satima Men-Duarte et M. Didier Mouton, officiers de protection
principaux, Mmes Magali Andry, Meltem Bailly, Stéphanie Belouin, Maud Benoist, Gwenaële Blere, Caroline Boudou,
Victoria-Diane Bouzon, Bénédicte Brun, Maria-Luz Carbajosa-Julia, Hélène Carton-Garrone, Alice Couturier, Célia
Da Cunha, Franziska Dasnoy, Cécile Dauphin, Elissa Duprat, Sophie Fanucchi, Laura Frangialli-Guerin, Aurélie
Guilloux d’Alençon, Nathalie Hoareau-Schreiweis, Anne-Laure Karam, Nathalie Lapeyre, Camille Llavador, Claire
Lummaux, Anne-Sophie Mocquet, Julie Nael, Lilit Oskeritsian, Marie Papadopoulos, Mélina Pelé, Louise Pohanian,
Géraldine Roche-Kamar, Jeanne Ruscher, Vanessa Sarti, Laetitia Stora, Estelle Toureau, Kady Traore, Christelle
Vallon et Anne Villemain-Secanella, MM. Johan Ankri, Murat Aysel, Michael Berardan, Marc Da Piedade, Michel
Diricq, Benoît Hemelsdael, Tahar Lallouche, Matthieu Leblic, Frédéric Manquat, Olivier Mazaud, Olivier Monlouis,
Alexis Reversat, Erwan Soquet et David Toledano, officiers de protection, à l’effet de signer, au nom du directeur
général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application de
l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile se rapportant à leurs attributions, à
l’exclusion des décisions de retrait de la qualité de réfugié.
Article 12
Délégation est donnée à Mme Marie Salord, chef de division, M. Patrick Renisio, officier de protection principal,
conseiller du chef de division, M. Michel Eyrolles, officier de protection principal, Mme Sophie Pegliasco et M. Pascal
Lang, officiers de protection, chefs de section, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de
protection des réfugiés et apatrides, tous actes concernant l’engagement d’actions en justice ou la défense de l’office
devant les juridictions ayant à connaître du contentieux des réfugiés ou la mise en cause de la responsabilité de l’office,
tous actes visés à l’article 40 du code de procédure pénale, toutes réponses aux demandes de réquisition de l’autorité
judiciaire se rapportant aux attributions des services placés sous leur autorité, ainsi que tous actes individuels pris en
application de l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.
Article 13
Délégation est donnée à M. Guillaume Lefebvre, officier de protection principal, chef de la mission accueil,
enregistrement et numérisation, et en son absence à Mme Anne Lise Marzal, officier de protection, adjointe du
chef de la mission, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et
apatrides, tous actes individuels pris en application de l’alinéa 3 de l’article R. 723-1 du code de l’entrée et du séjour
des étrangers et du droit d’asile.
Article 14
Délégation est donnée à Mme Isabelle Ayrault, officier de protection principal, chef de division, et, en son absence,
à Mme Hamida Echikr, officier de protection principal, adjointe du chef de division, à l’effet de signer, au nom
du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’actes
d’état civil, tous extraits, copies, livrets de famille, certificats administratifs ou de coutume, toutes décisions portant
sur le maintien, la cessation ou le retrait du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire, tous actes
individuels se rapportant aux mineurs n’ayant pas déposé de dossier individuel et aux bénéficiaires de la protection
subsidiaire, ainsi que toutes demandes aux fins de requérir, en cas de besoin, le concours de la force publique lorsque
celui-ci est nécessaire au fonctionnement des services placés sous leur autorité.
Article 15
Délégation est donnée à Mme Johanne Mangin, officier de protection principal, Mmes Béatrice Bigot, Myriam
Redjem et M. Mahyar Dabir Moghadam, officiers de protection, chefs de section, à l’effet de signer, au nom du
directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’acte d’état
civil, tous extraits, copies, livrets de famille, certificats administratifs et de coutume, toutes décisions portant sur
le maintien du statut de réfugié ou du bénéfice de la protection subsidiaire, ou la renonciation à ceux-ci, ainsi que
tous actes individuels se rapportant aux mineurs n’ayant pas déposé de dossier individuel et aux bénéficiaires de la
protection subsidiaire.
Article 16
Délégation est donnée à M. Eric Bakhoum, officier de protection, chef de bureau, à l’effet de signer, au nom du
directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous extraits et copies de certificats tenant
lieu d’actes d’état civil, certificats administratifs et de coutume.
Article 17
Délégation est donnée à Mmes Anne-Charlotte Lelong et Marie-Ange Raoul, officiers de protection principaux,
Mmes Clémence Buquet, Isabelle Clisson, Hülya Celik, Armelle Dieudegard, Ingrid Perianin, Marie Christine Iltchev,
Annabelle Ligout, Nathalie Roya, Gina Sanctussy et Estelle Sillaire, MM. Rémi Catimel, Stéphane Cremoux, Farid
Nasli Bakir et Jean René Nkwanga, officiers de protection, Mme Komdeuane Truy, secrétaire de protection de classe
supérieure, Mmes Justine Blancheton, Amandine Chapouthier, Stella Lipinski, Caroline Pierson, Fanny Samson
Le Roux et Sophie Taristas, M. Ruddy Thrace, secrétaires de protection de classe normale, à l’effet de signer, au nom
du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous certificats tenant lieu d’actes
d’état civil, copies, extraits, tous certificats administratifs et de coutume, et les livrets de famille se rapportant aux
attributions des services placés sous l’autorité du chef de la division de la protection.
Article 18
Délégation est donnée à Mmes Anne Angeleau et Bernadette Morin, secrétaires de protection, Mmes Phuong Dang,
Marie-Lucette Glénac, Sylvie Piat et Elise Voeuk adjoints administratifs d’administration centrale, Mmes Annick
Bazin, Saliha Bada, Aziza Aouchiche, Aurélie Decorde, M. Didier Meslin, adjoints de protection principaux de
2e classe, Mmes Nathalie Cavalière, Sabrina Claudio, Nathalie Dardour, Tatiana Huang Kuan Fuck, Virginie Lelièvre,
Michelle Zig, Mablé Agbotounou, Monique Dubrana, Sylviane Sananikone, Isabelle Bussy, MM. Bakary Mohamed,
Benjamin Têtu, Nicolas Cabon, adjoints de protection de 1re classe, Mmes Sabine Favre, Solange Koodruth,
Jacqueline Kalayci, adjoints de protection de 2e classe, à l’effet de signer, au nom du directeur général de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides, les copies des certificats tenant lieu d’actes d’état civil se rapportant
aux attributions des services placés sous l’autorité du chef de la division de la protection.
Article 19
Délégation est donnée à M. Daniel Le Madec, officier de protection principal, chef de division, et en cas d’absence
ou d’empêchement à Mme Véronique Péchoux, officier de protection principal, à l’effet de signer, au nom du
directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, tous actes individuels pris en application
de l’article L. 721-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile et de formuler les avis prévus à
l’article R. 213-2 du même code.
Article 20
En cas d’absence ou d’empêchement de M. Pascal Brice, M. Patrice Corcessin, secrétaire de protection de classe
normale, ou en son absence M. Laurent Roy, adjoint de protection de 2e classe, reçoivent délégation pour signer, au
nom du directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides, si besoin, toute réquisition du
concours de la force publique.
Article 21
La décision du 20 mai 2014 portant délégation de signature du directeur général de l’Office français de protection
des réfugiés et apatrides est abrogée (NOR : INTV1411803S).
Article 22
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur et sur le site de l’Office français de
protection des réfugiées et apatrides (www.ofpra.gouv.fr).
FFait le 1er août 2014.
Le directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides,
P. Brice
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
des collectivités locales
_
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_
Bureau des concours financiers
de l’État
_
P. J. : Annexe : calendrier de recensement et de répartition des données relatives aux amendes de police.
Résumé :
I. – Recensement des contraventions dressées par les différents services de police en 2013.
II. – La collecte des informations s’effectuera du 1er août 2014 au 30 septembre 2014 inclus sur Colbert Dépar-
temental.
Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets des départements de métropole et d’outre-mer ;
M. le préfet de police ; M. le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierre-et-Miquelon.
La présente note d’information a pour objet de vous demander de bien vouloir procéder, comme chaque année, au
recensement des amendes liées à la circulation routière par les services de police au cours de l’année 2013.
En application des articles L. 2334‑24, L. 2334‑25, et R. 2334‑10 à R. 2334‑12 du code général des collectivités
territoriales (CGCT), l’État rétrocède aux communes et aux groupements compétents le produit effectivement
recouvré des amendes de police relatives à la circulation routière dressées sur leur territoire.
La présente note a pour objet de préparer la répartition du produit des amendes de la circulation routière au
titre de 2014. Il convient par conséquent de recenser le nombre de contraventions à la police de la circulation routière
dressées par les différents services de police durant l’année 2013 pour la répartition du produit des amendes relatives
à la circulation routière.
1. Les collectivités bénéficiaires du produit des amendes de police de la circulation routière
Conformément aux dispositions de l’article R. 2334-10 du CGCT, le produit des amendes de police de la circulation
routière est partagé, en 2013, proportionnellement au nombre de contraventions dressées en 2013 sur le territoire des
communes bénéficiaires suivantes :
–– les communes, les communautés urbaines et autres groupements comptant 10 000 habitants et plus auxquels
les communes ont transféré la totalité de leurs compétences en matière de voies communales, de transports en
commun et de parcs de stationnement ;
–– les communes et les groupements de communes de moins de 10 000 habitants exerçant la totalité des compé-
tences précitées.
La compétence en matière de voies communales est considérée comme étant totalement transférée au groupement
lorsque celui-ci assure la compétence pour toute la voirie anciennement communale.
La population prise en compte pour déterminer le seuil mentionné ci-dessus est celle définie à l’article L. 2334‑2
du code général des collectivités territoriales, soit la population utilisée pour la répartition de la dotation globale
de fonctionnement (DGF). Il s’agit de la population totale majorée d’un habitant par résidence secondaire et d’un
habitant par place de caravane conventionnée (deux habitants pour les communes éligibles en 2012 à la dotation de
solidarité urbaine et de cohésion sociale ou à la fraction « bourg centre » de la dotation de solidarité rurale).
Attention
La répartition 2014 du produit des amendes de police s’appuie donc sur la population DGF au 1er janvier 2014
pour cibler les collectivités bénéficiaires et sur les amendes dressées en 2013 comme critère de répartition.
Il convient également de noter que la répartition 2014 sera versée en début d’année 2015.
2. Versement de la dotation
Les attributions revenant aux communes et groupements de communes ayant reçu la totalité des compétences
précitées et comptant au moins 10 000 habitants leur sont versées directement.
Les sommes correspondant aux communes et groupements de communes de moins de 10 000 habitants sont
réparties par les conseils généraux.
S’agissant de la région Île-de-France, les recettes sont partagées entre le syndicat des transports Île-de-France
(50 %), la région d’Île-de-France (25 %) et les communes et groupements (25 %).
Les dotations accordées sont obligatoirement destinées au financement des opérations d’amélioration des transports
en commun et de la circulation routière énumérées à l’article R. 2334‑12 du code général des collectivités territoriales.
à la péréquation des ressources fiscales modifie la date de prise en compte de la longueur de voirie départementale
pour la répartition du produit des amendes relevées par les radars automatiques au profit des départements, des
régions d’outre-mer et de la collectivité territoriale de Corse. Il s’agit désormais du 1er janvier de l’année précédant la
répartition au lieu du 1er janvier de l’année au titre de laquelle la répartition est effectuée.
Pour la répartition 2014 du produit des amendes relevées par les radars automatiques en novembre prochain, nous
utiliserons donc les données déjà recensées dans le cadre de la répartition de la DGF 2014.
3. Les modalités de remontée des informations recensées
La remontée des informations à la direction générale des collectivités locales s’effectue grâce au serveur intranet
Colbert Départemental, disponible du 1er août 2014 au 30 août 2014. Les services chargés d’effectuer la saisie des
données et ne disposant pas de cette application doivent se mettre en relation avec le ou les bureaux chargés des
finances locales de la préfecture qui utilisent cet outil.
À toutes fins utiles, je vous rappelle que le site http ://doc-soutien.dsic.mi/ met à votre disposition tous les supports de
formation relatifs à l’application Colbert Départemental (identifiant et mot de passe : ; onglet « Application »).
L’annexe jointe présente l’ensemble de la procédure à suivre.
Doivent notamment être mentionnées :
–– le cumul des contraventions dressées dans chaque département par la police nationale d’une part, et la police
municipale d’autre part, sur l’ensemble des communes et groupements de communes de moins de 10 000 habi-
tants hors PVé ;
–– le nombre total de contraventions dressées par la police nationale d’une part, et la police municipale d’autre
part, sur le territoire de chaque commune de plus de 10 000 habitants hors PVé ;
–– le nombre total de contraventions dressées par les services de police nationale d’une part et de police municipale
d’autre part constatées sur le territoire des communautés urbaines et des groupements de plus de 10 000 habi-
tants exerçant les compétences voies communales, transport en commun et parcs de stationnement, hors PVé.
Vous veillerez à ne transmettre à mes services que les données relatives aux groupements exerçant effectivement
ces trois compétences cumulées.
Une copie des statuts des groupements nouvellement éligibles au bénéfice de cette dotation sera également transmise
au bureau des concours financiers de l’État. Les groupements concernés sont ceux qui ont fait l’objet d’un transfert
de compétences entre les deux exercices de recensement.
Enfin, j’attire votre attention sur l’importance de la colonne « commentaires » qui apparaît dans les différents
masques de saisie de Colbert Départemental. Cette colonne permet d’expliquer les écarts constatés entre le nombre
d’amendes dressées en 2012 et en 2013. Les informations mentionnées permettront d’éclairer les contrôles de données
opérés par mes services. Ils peuvent notamment porter sur les variations d’effectifs de police municipale.
Attention
Pour le recensement des amendes de police municipale, je vous demande de transmettre une copie d’écran du
logiciel qui gère ce type d’amendes (WINAF – LOGITUD ou tout autre document officiel) pour les écarts les plus
significatifs (+ /– 1 000 amendes et/ou + /– 25 % d’amendes recensées).
Il vous est également possible d’envoyer à l’adresse suivante (sophie.desmoulins@interieur.gouv.fr) tout document
explicatif sur les écarts constatés.
Enfin, la validation finale de la saisie permettra à mes services de consulter les résultats obtenus et de débuter le
contrôle des données dont l’attention portera particulièrement sur l’étude des écrans WINAF retraçant le nombre
d’amendes dressées par les services de police municipale (APM). Pour les amendes dressées par la police nationale
(APN), vous veillerez à ce que les variations constatées entre les deux recensements soient également justifiées. Le cas
échéant, mes services contacteront la personne désignée par vos soins dès réception de la présente note.
Compte tenu des enjeux financiers en présence, vous voudrez bien prêter la plus grande attention à la fiabilité des
données transmises ainsi qu’à la bonne coordination de nos services dans les opérations de contrôle de données.
Je vous rappelle que l’ensemble des informations demandées devra être adressé directement à la
DIRECTION GÉNÉRALE DES COLLECTIVITÉS LOCALES
Sous-direction des finances locales et de l’action économique
Bureau des concours financiers de l’État
2, Place des Saussaies
75008 PARIS
Je vous invite également à respecter le calendrier des opérations de recensement des données relatives aux amendes
de police. Il est impératif de procéder à la saisie des informations demandées dans les délais impartis : la saisie sur
Colbert Départemental débutera le 1er août 2014 et se terminera le 30 septembre 2014.
Toute difficulté dans l’application de cette note devra être signalée, notamment sur les aspects financiers et les
modalités pratiques du recensement, à sophie.desmoulins@interieur.gouv.fr.
Je vous remercie de votre collaboration.
FFait le 23 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
S. Morvan
MODALITÉS
DATE LIMITE CONTRÔLE DATE LIMITE RÉPARTITION
AMENDES COLLECTIVITÉS de recensement CONTRÔLE EFFECTUÉ
DONNÉES RECENSÉES de prise à effectuer de retour par le comité
de police concernées Groupe de données par la DGCL
en charge par vos services des informations des finances locales
à renseigner
Colbert Départemental
Groupes de données :
– AMDC pour les communes
– Communes et groupements > 10 000
de plus de 10 000 habitants – AMDD pour les communes Amendes de
Nombre d’amendes dressées ayant les trois compétences Du 1er janvier 2013 < 10 000 police municipale
Amendes par la police municipale obligatoires Au fur et à mesure
au (une seule ligne à remplir : les ou nationale : 30 septembre 2014 Février 2015
forfaitaires et la police nationale hors – Communes et groupements 31 décembre 2013 données sont globalisées) de la saisie
procès-verbal électronique. de moins de 10 000 habitants + /– 1 000 unités
– AMDG : pour les groupements et/ou + /– 25 %
ayant les trois compétences
obligatoires détenant les 3 compétences
obligatoires
Tous les groupes de données
doivent validés même si aucun
groupement n’est éligible
BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
des collectivités locales
_
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_
Bureau des concours financiers
de l’État
_
P. J. :
Procès-verbaux établis auprès de la commission centrale de recensement des votes.
Nouvelle composition du Comité des finances locales.
Le ministre de l’intérieur à Mesdames et Messieurs les préfets de départements (métropole et outre-mer) ; M. le
Haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ; M. le Haut-commissaire de la République en
Polynésie Française ; M. le préfet de la collectivité territoriale de Saint-Pierre et Miquelon.
La présente note d’information a pour objet de vous présenter les résultats des élections des membres du Comité
des finances locales.
Le scrutin de l’élection des membres du Comité des finances locales (CFL) s’est déroulé entre le vendredi 23 mai
et le jeudi 12 juin 2014, date limite d’expression des suffrages.
Les membres de la commission centrale de recensement des votes se sont réunis le jeudi 26 juin 2014. Dans un
premier temps, cette commission a effectué le recollement des procès-verbaux des scrutins dépouillés le 17 juin 2014
par les commissions locales instituées en préfectures, relatifs aux élections des représentants des maires et des
présidents d’EPCI au CFL. Dans un second temps, elle a procédé au dépouillement des votes des conseillers généraux
et régionaux destinés à élire leurs représentants respectifs au sein du CFL.
Les services de la DGCL et moi-même tenons, à cette occasion, à vous remercier, vous ainsi que vos services, pour
votre collaboration au bon déroulement de ces élections.
Vous trouverez donc ci-joint, à titre d’information, les procès-verbaux relatifs à ces élections établis par la
commission centrale de recensement des votes ainsi que la nouvelle composition du CFL.
FFait le 23 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
S. Morvan
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
des collectivités locales
_
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_
Bureau du financement
des transferts de compétences
_
Bureau des concours financiers
de l’État
_
Cette note annule et remplace la note d’information INTB1410066N du 1er août 2014 et a pour objet de préciser
les modalités de répartition du fonds de solidarité en faveur des départements au titre de l’année 2014 en vertu de
l’article L. 3335-3 du code général des collectivités territoriales (CGCT) et de présenter les instructions relatives à la
notification et au versement du fonds aux départements.
Elle est accompagnée des annexes précisant les montants des prélèvements et attributions par département et
de modèles d’arrêtés qu’il vous appartient de notifier dans les meilleurs délais pour la mise en place effective des
prélèvements et attributions à compter de 20 août 2014 jusqu’à la fin de l’année. Les annexes et les montants des
prélèvements et attributions de la présente note sont identiques à ceux de la note INTB1410066N du 1er août 2014
susmentionnée. En revanche, le modèle d’arrêté d’attribution a été corrigé.
Les nouveautés et modifications apportées par la présente note sont surlignées en gris.
L’article L. 3335-3 du CGCT issu de l’article 78 de la loi no 2013-1278 du 29 décembre 2013 de finances pour 2014
a créé, pour l’année 2014, un fonds de solidarité au profit des départements afin de réduire les inégalités relatives aux
charges en matière d’allocations individuelles de solidarité (AIS) que sont l’allocation personnalisée d’autonomie
(APA), la prestation de compensation du handicap (PCH) et le revenu de solidarité active (RSA).
Les conditions d’application de cet article sont précisées dans le décret no 2014-503 du 19 mai 2014 relatif
aux dotations de l’État aux collectivités territoriales et à la péréquation des ressources fiscales et codifiées à
l’article R. 3335-4 du CGCT.
Ce fonds est alimenté par un prélèvement forfaitaire de 0,35 % sur les bases des droits de mutation à
titre onéreux (DMTO) perçus par les départements en 2013.
Les ressources du fonds sont réparties entre les départements éligibles à l’une ou l’autre des deux fractions du
fonds, la première fraction du fonds représentant 30 % des ressources et la seconde fraction 70 %. Elles font l’objet
de versements mensuels à compter de la date de notification du fonds.
1
Conformément au 1o de l’article R. 3335-4 du CGCT, il s’agit des droits perçus en prenant en compte le cas échéant les recettes comptabilisées
au cours du délai complémentaire mentionné à l’article R. 3311-3 du CGCT, nets des frais d’assiette, de non-valeurs et de recouvrement prévus
aux a et b du V de l’article 1647 du code général des impôts ainsi que, le cas échéant, des contributions au profit du Fonds de compensation de la
fiscalité transférée prévu à l’article L. 1614-4 du CGCT.
2
Potentiel fiscal défini au 4 du III de l’article L. 3335-3 du CGCT : « le potentiel fiscal utilisé est majoré ou, le cas échéant, minoré d’une frac-
tion de correction égale pour chaque département à la différence entre les deux termes suivants :
(a) La somme du produit déterminé par l’application aux bases départementales de taxe foncière sur les propriétés bâties, de taxe foncière
sur les propriétés non bâties et de taxe d’habitation du taux moyen national d’imposition de chacune de ces taxes au titre de l’année 2010 et du
produit déterminé par l’application aux bases départementales de taxe professionnelle du taux moyen national d’imposition de cette taxe au titre
de l’année 2009 ;
(b) La somme du produit déterminé par l’application aux bases départementales de taxe foncière sur les propriétés bâties du taux moyen
national de cette taxe au titre de l’année 2011, des produits perçus en 2011 par le département au titre de la cotisation sur la valeur ajoutée des
entreprises et des impositions forfaitaires sur les entreprises de réseaux prévus à l’article 1586 du code général des impôts et des produits perçus
en 2011 par le département au titre de l’imposition prévue aux 2o et 6o de l’article 1001 du même code et des montants positifs ou négatifs résul-
tant de l’application des 1.2 et 2.2 de l’article 78 de la loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 perçus ou supportés par le
département en 2011. »
3
En application du 2o de l’article R. 3335-4 du CGCT.
4
En application du 2o de l’article R. 3335-4 du CGCT.
PF CORRIGE/HAB MOYEN = somme des potentiels fiscaux corrigés de l’ensemble des départements rapportée
à la population DGF 2014 de l’ensemble des départements ;
R/hab = dernier revenu fiscal de référence connu pour le département 5, soit le revenu fiscal des foyers fiscaux en
2011 rapporté à la population INSEE 2014 du département, à savoir la population légale de l’année 2011 issue du
décret d’authentification de la population au 27 décembre 2013 et en vigueur au 1er janvier 2014 (population définie
au premier alinéa de l’article L. 3334-2 du CGCT) ;
R/HAB MOYEN = somme des revenus des foyers fiscaux en 2011 de l’ensemble des départements rapportée à la
population INSEE 2014 de l’ensemble des départements.
5
En application du 3o de l’article R. 3335-4 du CGCT.
6
Le montant de la compensation résultant du transfert du revenu minimum d’insertion (RMI) et de la création du revenu minimum d’activité
(RMA), fixé à l’article 59 de la LFI 2004, est conforme à l’arrêté de compensation du 17 août 2006. Le montant de la compensation du transfert de
compétence résultant de la généralisation du RSA pris en compte dans la répartition 2014 du fonds de solidarité correspond au montant du droit à
compensation dû en 2014 tel que fixé par l’article 51 de la LFI 2009 dans sa version modifiée par la loi de finances pour 2014, en vigueur à la date
de la répartition des crédits du fonds de solidarité. Le droit à compensation du RSA socle majoré retenu est donc définitif pour les départements
métropolitains (et conforme à l’arrêté de compensation du 21 janvier 2013) et pour les départements et collectivités d’outre-mer (ajustements
définitifs réalisés en LFI 2014). Il équivaut au droit à compensation dû au titre de l’exercice 2012.
7
Cf. instruction relative à la répartition et au versement du FMDI pour 2013 (NOR : INTB1328045N).
8
Cf. instructions du 15 janvier 2014 et du 2 mai 2014 relative à la répartition du DCP (NOR : INTB1401139N et INTB1410065N).
Avec :
RAC/HAB MOYEN = somme des soldes calculés au c) du II-1 supra pour l’ensemble des départements, rapportée
à la population DGF de l’ensemble des départements.
VP = valeur de points (valeur unique) = montant de la 1re fraction rapporté à la somme des rapports au carré entre
les rac/hab de chaque département et le RAC/HAB de l’ensemble des départements.
b) Répartition de la 2nde fraction
Le montant de la seconde fraction du fonds est égal à 70 % du montant total de l’enveloppe à répartir en 2014,
soit 391 472 564 .
Conformément au b) du 2 du III de l’article L. 3335-3 du CGCT, la répartition de la seconde fraction s’effectue,
parmi les départements éligibles, en fonction de la population et de l’écart relatif entre le RAC par habitant et le
RAC médian par habitant de l’ensemble des départements.
Cette répartition initiale fait l’objet d’un abattement de 50 % pour les départements dont le montant par habitant
des DMTO perçu en 2013 est compris entre 1,1 fois et 1,4 fois le montant moyen par habitant des droits perçus par
l’ensemble des départements (cf. a) du II-1 supra) :
Je vous informe en outre que ces calendriers de versement et les schémas comptables relatifs à ces dotations sont
diffusés par la DGFIP au réseau des DDFIP/DRFIP (partie IV du mode opératoire transmis par note de service
DGFIP CE-1B no 2014 01 5013).
Votre attention est appelée sur la nécessité de mandater chaque mois ces crédits plusieurs jours avant la date
susmentionnée (le 15 du mois au plus tard), pour permettre aux DDFIP/DRFIP de respecter l’échéance de versement.
L’inscription du reversement effectué au titre du fonds de solidarité est à effectuer dans le budget du département
au compte suivant au chapitre 732 « Droits d’enregistrement et taxes d’urbanisme » : 7326 « Fonds de péréquation des
droits de mutation à titre onéreux ».
Notification des attributions et des contributions aux départements
Il vous appartient de notifier par arrêté au président du conseil général de votre département l’échéancier des
prélèvements et du versement des mensualités, à établir à partir de l’échéancier national joint, accompagné de la fiche
individuelle de notification également jointe à cette instruction et le cas échéant des éléments d’explication sur les
modalités de calcul.
À cette fin, est annexé à la présente note un nouveau modèle d’arrêté pour le versement des attributions, ainsi que
le modèle inchangé d’arrêté pour le prélèvement des contributions, qu’il vous appartient de transmettre au directeur
départemental ou régional des finances publiques. Je précise que les arrêtés valent pour l’ensemble des versements et
prélèvements qui seront effectués sur l’année 2014.
Je vous rappelle enfin que, pour permettre l’application des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice
administrative, les voies et délais de recours contre la décision d’attribution et de contribution doivent être
expressément mentionnés lors de la notification aux collectivités. Cette mention est donc inscrite sur chaque fiche
individuelle de notification.
Je vous invite néanmoins, afin de prévenir tout contentieux, à indiquer aux collectivités que, durant le délai de deux
mois mentionné sur la fiche de notification, un recours gracieux peut être exercé auprès de vos services.
Mes services restent à votre disposition pour vous apporter tous les éléments d’information complémentaires qu’il
vous paraîtra utile d’obtenir :
–– sur le prélèvement (secrétariat – dgcl-sdflae-secretariat@interieur.gouv.fr)
–– sur la répartition des attributions (Chloé BUISSON – chloe.buisson@interieur.gouv.fr).
FFait le 12 août 2014.
Pour le directeur général,
L’adjoint au directeur général
des collectivités locales,
S. Bourron
PRÉFET
ARRÊTÉ NO
DIRECTION DES RELATIONS LE PRÉFET
AVEC LES COLLECTIVITÉS LOCALES DE ...
_ _
Arrête :
Article 1er
Le montant à verser pour l’exercice 2014 au département de... au titre du fonds de solidarité prévu à l’article L. 3335-3
du code général des collectivités territoriales susvisé, est fixé à MONTANT EN TOUTE LETTRE EUROS (montant
en chiffres €).
Article 2
Le montant mentionné à l’article 1 est versé mensuellement à compter du mois d’août, à raison d’un cinquième
er
Article 3
Les écritures correspondantes seront générées par le service comptabilité la direction départementale des finances
publiques de sur le compte susmentionné.
Article 4
Le Secrétaire Général de la Préfecture de ... et le Directeur départemental des finances publiques de ... sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Lieu, le ... août 2014
Le Préfet,
En application des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, le présent arrêté peut faire
l’objet d’un recours contentieux, devant le tribunal administratif, dans le délai de 2 mois à compter de sa notification,
conformément à l’article R. 421-1 du même code.
PRÉFET
ARRÊTÉ NO
DIRECTION DES RELATIONS LE PRÉFET
AVEC LES COLLECTIVITÉS LOCALES DE ...
_ _
– EXERCICE 2014 –
Programme « 833 »
Compte « 4612000000 »
Arrête :
Article 1er
Le montant à prélever pour l’exercice 2014 au département de... au titre du fonds de solidarité prévu à
l’article L. 3335-3 du code général des collectivités territoriales susvisé, est fixé à MONTANT EN TOUTE LETTRE
EUROS (montant en chiffres €).
Article 2
Le montant mentionné à l’article 1er est prélevé mensuellement à compter du mois d’août, à raison d’un cinquième
de ce montant, selon l’échéancier joint en annexe au présent arrêté.
Article 3
Les mensualités sont imputées au compte d’avance no 4612000000 « Recouvrement et produits à verser à tiers –
Impôts – Tiers bénéficiaires des impôts directs locaux » (non interfacé) ouvert en 2014 dans les écritures du directeur
départemental ou régional des finances publiques.
Article 5
Le secrétaire général de la Préfecture de... et le Directeur départemental des finances publiques de... sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté.
Lieu, le ... août 2014
Le Préfet,
En application des dispositions de l’article R. 421-5 du code de justice administrative, le présent arrêté peut faire
l’objet d’un recours contentieux, devant le tribunal administratif, dans le délai de 2 mois à compter de sa notification,
conformément à l’article R. 421-1 du même code.
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
MINISTÈRE
DE LA DÉCENTRALISATION
ET DE LA FONCTION PUBLIQUE
_
Secrétariat d’État
à la réforme territoriale
_
Direction générale
des collectivités locales
_
Sous-direction des finances locales
et de l’action économique
_
Bureau du financement
des transferts de compétences
_
Note d’information du 21 juillet 2014relative aux obligations du préfet de département pour
la transmission des saisines adressées au médiateur des normes applicables aux collectivités
territoriales
NOR : INTB1416435N
Cette instruction a pour objet de préciser les modalités de transmission par les préfets de département des dossiers
soumis au médiateur des normes applicables aux collectivités territoriales institué par le décret no 2014-309 du
7 mars 2014.
La création du médiateur des normes auprès du Premier ministre est intervenue en mars 2014. Elle constitue une
des réponses d’importance apportées aux collectivités territoriales pour lutter contre l’inflation normative et accélérer
la simplification des normes engagée par le Gouvernement.
La fonction, expérimentée pour une durée d’un an, a été confiée à M. Alain LAMBERT, ancien ministre, président
du conseil général de l’Orne et président du Conseil national d’évaluation des normes.
En application de l’article 3 du décret no 2014-309 du 7 mars 2014, le médiateur des normes peut être saisi par les
collectivités territoriales et leurs groupements des difficultés qu’ils rencontrent localement dans la mise en œuvre de
lois ou de règlements. Conformément à l’article 5, lorsqu’il l’estimera justifié, à l’issue de l’instruction des dossiers, le
médiateur adressera une recommandation aux administrations concernées.
Par ailleurs, ce même article 3 prévoit que les demandes adressées par les collectivités territoriales et leurs
groupements au médiateur des normes sont transmises par l’intermédiaire du préfet de département.
Cette procédure ne constitue pas un critère d’irrecevabilité des demandes puisque le médiateur des normes demeure
libre de donner suite ou non à des saisines qui lui parviendraient directement.
L’unique objet d’une transmission préalable des demandes au préfet de département est d’offrir aux collectivités
territoriales et à leurs groupements un moyen simple et sûr d’atteindre le médiateur.
Dans ces conditions, la seule obligation qui vous incombe à la réception d’une demande est de la transmettre sans
délai au médiateur des normes. Vos services ne sont donc pas tenus de jouer un rôle de filtre, le médiateur étant le
seul habilité à apprécier si le contenu des saisines mérite ou non une instruction.
À ce titre, je vous demande d’adresser toutes les saisines au médiateur des normes dans les meilleurs délais qu’il
vous sera possible suivant leur réception.
Si les collectivités territoriales vous communiquent leur demande sous format papier, il conviendra de la transmettre
par voie postale à l’adresse suivante : 80, rue de Lille, 75007 PARIS, ou, en cas d’envoi dématérialisé, à l’adresse de
messagerie électronique suivante : médiateur-normes@premier-ministre.gouv.fr. Je vous encourage à cet égard à créer
à votre niveau une adresse fonctionnelle dédiée pour limiter les frais d’expédition.
Dans chaque cas, je vous invite à envoyer un accusé de réception par le moyen qui vous paraîtra le plus approprié
à la collectivité territoriale ou au groupement concerné. Cet avis confirmera la date d’envoi de la saisine au médiateur
des normes et précisera que les échanges à venir ne transiteront plus par la préfecture. Il pourrait se révéler par ailleurs
utile de rappeler que cette démarche ne prive pas la collectivité de ses droits à introduire un recours administratif
voire contentieux.
FFait le 21 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
S. Morvan
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
des collectivités locales
_
Sous-direction des élus locaux
et de la fonction publique territoriale
_
Secrétariat du Conseil supérieur
de la fonction publique territoriale
_
Réf. : Loi no 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale ;
Décret no 84-346 du 10 mai 1984 modifié relatif au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale ;
Arrêté du 4 juillet 2014 fixant la date et les modalités d’organisation des élections pour le renouvellement des
représentants des communes au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.
P.J. : 5 fiches explicatives.
Cette note a pour objet d’apporter les précisions nécessaires à l’organisation des élections relatives au renouvellement
des représentants des communes au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.
14 octobre 2014 au plus tard : Publicité par voie d’affichage des listes de candidats dans les préfectures et sous-
préfectures ;
21 octobre 2014 au plus tard : Envoi par le ministère de l’intérieur des instruments de vote dans chaque préfecture ;
4 novembre 2014 au plus tard : Envoi des instruments de vote aux électeurs par chaque préfecture ;
18 novembre 2014 au plus tard : Réception par chaque président de commission départementale de recensement et
de dépouillement des bulletins de vote pour le collège des maires des communes de moins de 20 000 habitants et
réception par le président de la commission nationale de recensement et de dépouillement des votes pour le collège
des maires de communes de 20 000 habitants et plus ;
19 novembre 2014 : Recensement et dépouillement des bulletins de vote par les commissions départementales de
recensement et de dépouillement des bulletins de vote pour le collège des maires des communes de moins de 20 000
habitants et recensement et dépouillement des bulletins de vote par la commission nationale de recensement et de
dépouillement des bulletins de vote pour le collège des maires de communes de 20 000 habitants et plus ;
21 novembre 2014 : Centralisation et publication des résultats par la commission nationale de recensement et de
dépouillement des votes.
Le concours des préfectures à ces élections est requis en cinq occasions :
1) Information des maires et des conseillers municipaux sur les dispositions contenues dans la présente note d’in-
formation ;
2) Établissement de la liste électorale du collège des maires des communes de moins de 20 000 habitants ;
3) Diffusion des instruments de vote aux électeurs ;
4) Constitution de la commission département de recensement et de dépouillement des bulletins de vote ;
5) Dépouillement des votes et transmission des résultats.
Vous procéderez, selon les indications contenues dans la fiche no 3 à la constitution de la commission départementale
de recensement, présidée par le préfet du département ou son représentant dont le secrétariat est assuré par les
services de la préfecture. Cette commission se réunira le 19 novembre 2014 pour procéder au dépouillement des votes.
Les résultats seront immédiatement transmis par voie électronique (dgcl-csfpt-secretariat@interieur.gouv.fr) à la
commission nationale de recensement et de dépouillement des votes. De même, l’un des deux exemplaires du procès-
verbal lui sera adressé sans délai à l’adresse suivante :
Ministère de l’intérieur
Direction générale des collectivités locales
Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale
Secrétariat du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale
Place Beauvau
75800 PARIS CEDEX 08
Toute difficulté dans l’application de la présente note devra être signalée à la direction générale des collectivités
locales, aux correspondants suivants
Farida BELBEY
Tel : 01 40 07 24 23
Courriel : farida.belbey@interieur.gouv.fr
Jean-Christophe REGRAIN
Tel 01 40 07 24 25
Courriel : jean-christophe.regrain@interieur.gouv.fr
FFait le 22 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des collectivités locales,
S. Morvan
F I C H E N O 1
LISTES ÉLECTORALES
Ministère de l’intérieur
Direction générale des collectivités locales
Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale
Secrétariat du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale
Place Beauvau
75800 PARIS CEDEX 08
Tout changement intervenant dans la liste du premier collège après sa transmission devra être signalé à la DGCL.
La liste électorale du deuxième collège (communes de 20 000 habitants et plus) est dressée par la DGCL et fera
l’objet d’une publicité par voie d’affichage au ministère de l’intérieur au plus tard le mardi 9 septembre 2014. Elle
vous sera adressée avant publication afin que vous puissiez en assurer une ultime vérification.
F I C H E N O 2
I. – CONDITIONS D’ÉLIGIBILITÉ :
En application de l’article 6 du décret du 10 mai 1984 précité, dans chaque collège, les maires et les conseillers
municipaux sont éligibles au titre des titulaires et des suppléants.
Ministère de l’intérieur
Direction générale des collectivités locales
Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale
2 place des Saussaies
Place Beauvau
75800 PARIS CEDEX 08
Les listes de candidats sont adressées ou déposées le mercredi 1er octobre 2014, à 17 heures au plus tard.
Le dépôt donne lieu à un récépissé par le ministère.
Les listes de candidats seront transmises par la DGCL au plus tard le mardi 7 octobre 2014 afin que les préfectures
en assurent la publication par voie d’affichage en préfecture et sous-préfecture le mardi 14 octobre 2014 au plus tard
F I C H E N O 3
II. – MODALITÉS DU VOTE
Les électeurs votent par correspondance.
Chaque électeur dispose d’une voix.
Le vote est personnel. Le maire ne peut déléguer son droit de vote, même à un adjoint ou un conseiller municipal
de sa commune.
III. – INSTRUMENTS DE VOTE
En application des dispositions de l’article 10 de l’arrêté du 4 juillet 2014 je vous adresserai les bulletins de vote de
format 210 x 297 mm au plus tard le mardi 21 octobre 2014.
Les bulletins de vote doivent mentionner pour chaque candidat titulaire et suppléant, le nom suivi du ou des
prénoms, l’indication du mandat électif détenu, le nom de la commune d’exercice du mandat.
Les candidats têtes de liste peuvent vous faire parvenir, dans le même délai, un feuillet de propagande de format
210 x 297 mm.
Je vous adresserai au plus tard à la même date les enveloppes destinées au scrutin :
–– une enveloppe de scrutin exempte de toute mention ;
–– une enveloppe extérieure destinée à l’expédition.
L’enveloppe extérieure portera au recto :
–– soit la mention : « Élection des représentants des communes de moins de 20 000 habitants au Conseil supérieur
de la fonction publique territoriale » ;
–– soit la mention : « Élection des représentants des communes de 20 000 habitants et plus au Conseil supérieur de
la fonction publique territoriale ».
En outre, elle portera, au centre, les indications relatives au destinataire :
–– pour l’élection des représentants des communes de moins de 20 000 habitants :
« M. le président de la commission départementale de recensement et de dépouillement des votes
Préfecture de …… » ;
–– pour l’élection des représentants des communes de 20 000 habitants et plus :
« M. le président de la commission nationale de recensement et de dépouillement des votes
Ministère de l’intérieur
Direction générale des collectivités locales
Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale
Place Beauvau
75800 PARIS CEDEX 08 ».
IV. – ORGANISATION DU SCRUTIN
Chaque électeur dispose d’une voix et ne peut voter que pour une liste complète sans radiation ou adjonction de
noms et sans modification de l’ordre de présentation des candidats.
Le bulletin est mis dans l’enveloppe de scrutin.
L’enveloppe de scrutin non cachetée est placée à son tour, par l’électeur, dans l’enveloppe d’expédition.
L’électeur complète en lettres d’imprimerie les mentions figurant au verso de l’enveloppe d’expédition : nom,
prénoms, mandat électif détenu, commune d’exercice du mandat, code postal et appose sa signature.
Les bulletins de vote pour l’élection des représentants des communes de moins de 20 000 habitants doivent parvenir
en préfecture au plus tard le mardi 18 novembre 2014.
Ceux des représentants des communes de 20 000 habitants et plus doivent parvenir au président de la commission
nationale au plus tard à la même date.
Les enveloppes parvenues après la clôture du scrutin ne seront pas prises en compte lors du dépouillement.
F I C H E N O 4
OPÉRATIONS DE DÉPOUILLEMENT
Les bulletins de vote pour l’élection des représentants des communes de moins de
20 000 habitants sont recensés et dépouillés dans chaque département par la commission départementale placée sous
la présidence du préfet du département ou celle de son représentant.
Les bulletins de vote pour l’élection des représentants des communes de 20 000 habitants et plus sont recensés et
dépouillés par la commission nationale.
Les opérations de recensement et de dépouillement des votes seront effectuées par chaque commission le mercredi
19 novembre 2014. Elles se déroulent de façon continue.
Ces opérations sont publiques. Un représentant de chaque liste peut assister au dépouillement.
Chaque enveloppe extérieure est ouverte par un membre de la commission qui donne publiquement lecture des
mentions portées au verso.
Après émargement, le président de la commission, ou son représentant, met dans l’urne l’enveloppe de scrutin
contenant le bulletin de vote.
Le dépouillement s’effectue conformément aux dispositions prévues à l’article L. 66 du code électoral.
F I C H E N O 5
I. – PROCÈS-VERBAL
Immédiatement après la fin du dépouillement, la préfecture établit le procès-verbal des opérations électorales selon
le modèle ci-joint.
Les procès-verbaux, dressés en deux exemplaires, sont signés par le président et les membres de la commission.
Les bulletins et enveloppes non pris en compte lors du dépouillement sont annexés au procès-verbal. Ils sont
détruits à la diligence du président de la commission départementale de recensement et de dépouillement des votes,
à l’expiration des délais ouverts pour l’exercice des recours contentieux et à défaut de recours devant le tribunal
administratif.
Dès la fin des opérations de dépouillement des votes, vous adresserez les résultats de l’élection, par voie électronique
(dgcl-csfpt-secretariat@interieur.gouv.fr) et sans délai, par pli recommandé, le procès-verbal au président de la
Commission nationale de recensement et de dépouillement des votes au : dgcl-csfpt-secretariat@interieur.gouv.f
Ministère de l’intérieur
Direction générale des collectivités locales
Sous-direction des élus locaux et de la fonction publique territoriale
Place Beauvau
75800 PARIS CEDEX 08
DÉPARTEMENT : ………………………………………………….
L’an deux mille quatorze le 19 novembre en exécution de l’arrêté du 4 juillet 2014 fixant les modalités d’organisation
des élections des représentants des communes au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale, la commission
départementale de recensement et de dépouillement des votes des représentants des communes de moins de 20 000
habitants s’est réunie à la préfecture du département de .............................................
Elle était composée de :
M…………………………, Président
et de
M…………………………, maire de la commune de ...............................................
M…………………………, maire de la commune de ...............................................
M…………………………
M…………………………
assistés de
M…………………………., secrétaire.
La commission de recensement a procédé au dépouillement des enveloppes adressées à la préfecture au plus tard
le mardi 18 novembre 2014 à 24 heures, et reçues avant le dépouillement du scrutin :
–– nombre d’électeurs inscrits dans le département : ..................................................
–– nombre de votants (A) : .........................................................................................
–– nombre de bulletins blancs (B) : ............................................................................
–– nombre de bulletins nuls (C) .................................................................................
–– nombre de suffrages exprimés (A-B-C) : ................................................................
Total des suffrages obtenus dans le département par chaque liste de candidats :
1) Liste présentée par ................................................................................................
(nom du candidat tête de liste)
voix obtenues : ...........................................................................................................
2) Liste présentée par ................................................................................................
(nom du candidat tête de liste)
voix obtenues : ...........................................................................................................
Autres listes éventuellement
...................................................................................................................................
Total des suffrages exprimés : ....................................................................................
CLÔTURE DU PROCÈS-VERBAL
Le présent procès-verbal dressé et clos le …………… à …….. heures, en double exemplaire, est signé après lecture
par le président et les membres de la commission.
SIGNATURES
La célébration de la fête religieuse musulmane de l’Aïd al Adha aura lieu autour du 5 octobre 2014. La date précise
sera annoncée par le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) une dizaine de jours avant la date effective.
La création du CFCM le 3 mai 2003, suivie de celle de Conseils Régionaux du Culte Musulman (CRCM) dans
chaque région administrative 1, a impliqué une gestion nouvelle des relations entre les services préfectoraux et la
représentation de ce culte, notamment en ce qui concerne l’organisation de l’Aïd al Adha. Il convient donc d’associer
dans votre département des représentants du CRCM aux réunions de concertation organisées avec vos interlocuteurs
habituels. De même sera-t-il nécessaire, toujours en liaison avec ces représentants, de mettre en place une coordination
régionale pour résoudre les questions liées à l’Aïd al Adha, en associant aux réunions de préparation tous les acteurs
concernés et notamment le secteur de la distribution (boucheries, GMS).
Depuis plusieurs années, des instructions vous sont données en vue de concilier le profond attachement des
musulmans à l’accomplissement de ce rite avec les dispositions législatives et réglementaires en matière de santé
publique telles que définies notamment dans le titre III du livre II du code rural et de la pêche maritime relatif à la
qualité nutritionnelle et à la sécurité sanitaire des aliments (en particulier les articles R. 231-6 à -10 et le chapitre III),
de protection animale telles que définies notamment dans le chapitre IV du Titre 1er du livre II relatif à la protection
des animaux (en particulier les articles R. 214-63 à R. 214-79 sur l’abattage) et de respect de l’environnement
telles que définies dans le livre V du code de l’environnement (en particulier les articles R. 511-9 et suivants). Les
dispositions pénales correspondant aux articles précités sont mentionnées entre autres aux articles L. 237-2, R. 215-8
et R. 237-1 à -3 du code rural et de la pêche maritime et R. 514-4 du code de l’environnement. Un tableau récapitulatif
non exhaustif des sanctions pénales applicables dans le cadre de l’Aïd al Adha est présenté en annexe IV.
Dans les zones où la capacité d’abattage est insuffisante, voire nulle, la recherche d’établissements susceptibles
de répondre aux demandes devra être systématiquement étendue aux régions mieux pourvues. Il vous est possible
également, en l’absence d’abattoir à proximité, et après une analyse précise des besoins locaux, d’envisager
l’aménagement d’abattoirs temporaires pour ovins agréés pour la durée de l’Aïd al Adha, répondant aux exigences
précisées dans l’arrêté ministériel du 18 décembre 2009 relatif aux règles sanitaires applicables aux produits d’origine
animale et aux denrées alimentaires en contenant. Vous veillerez à ce que ces abattoirs répondent strictement aux
exigences de l’appendice I de l’annexe V de cet arrêté. À ce titre, les dossiers de demande d’agrément des abattoirs
temporaires devront être déposés au minimum trois mois avant la fête religieuse. Dès acceptation du dossier, une
phase d’essai de l’installation doit être organisée qui conditionnera l’agrément temporaire. Le financement des
abattoirs temporaires pourra être assuré par des partenaires privés, éventuellement en liaison avec les communautés
ou associations musulmanes. Ces abattoirs temporaires répondant à des normes strictes ne doivent pas être confondus
avec les sites dérogatoires interdits depuis l’Aïd al Adha de 2002.
S’agissant de la protection des animaux au moment de leur abattage ou de leur mise à mort, les articles du code
rural et de la pêche maritime imposent que l’abattage rituel s’effectue en abattoirs et prohibe la mise à disposition de
locaux, terrains, installations, matériels ou équipements qui permettraient l’abattage en dehors de ceux-ci. Il est rappelé
que la pratique de l’abattage rituel nécessite la délivrance aux abattoirs pérennes ou temporaires d’une dérogation à
l’étourdissement des animaux. Cette dérogation prévue par le Code rural et de la pêche maritime (article R. 214-70),
fait l’objet d’un encadrement réglementaire spécifique.
Nous attirons donc votre attention sur le fait que l’autorisation prévue au III de l’article R. 214-70 du code rural
et de la pêche maritime (créée par décret 2011-2006 du 28 décembre 2011), selon des modalités précisées par arrêté
du 28 décembre 2011 relatif aux conditions d’autorisation des établissements d’abattage à déroger à l’obligation
d’étourdissement des animaux, est requise pour tout abattoir souhaitant déroger à l’obligation d’étourdissement avant
la mise à mort des animaux, que cet abattoir soit pérenne ou agréé pour la durée de l’Aïd al Adha. Les conditions
d’attribution de cette autorisation préfectorale et les modalités d’instruction des dossiers de demande sont décrites
1
La région Île-de-France est partagée en trois « régions » : Île-de-France Ouest (Yvelines et Val-d’Oise), Île-de-France Est (Seine-et-Marne
et Essonne) et Île-de-France Centre (Paris et la petite couronne).
dans la note de service DGAL/SDSPA/SDSSA/N2012-8056 du 13 mars 2012 et dans son complément DGAL/
SDSSA/SDSPA/N2012-8138 du 4 juillet 2012. Le délai de réponse de l’administration défini par l’article R. 214-70
est de trois mois à compter de la réception du dossier complet.
La dérogation à l’étourdissement implique notamment que l’immobilisation des animaux soit assurée par
un procédé mécanique excluant toute contention manuelle. La contention doit être maintenue pendant un délai
suffisant pour atteindre la perte de conscience de l’animal. Les opérations d’habillage des carcasses ne peuvent
ainsi débuter qu’après la mort de l’animal. Lors de dysfonctionnements graves en matière de protection animale
ou d’hygiène des manipulations le préfet peut suspendre l’agrément de l’abattoir ou décider la fermeture de tout ou
partie de l’établissement, que ce dernier bénéficie d’un agrément pérenne ou temporaire. Il s’agit de l’application de
l’article L. 206-2 du code rural et de la pêche maritime pour les manquements en matière de protection animale et des
articles L. 233-1 et 2 du même code pour les manquements relatifs à l’hygiène.
Depuis le 1er janvier 2013, le règlement européen (CE) no 1099/2009, fixe des exigences nouvelles quant à la formation
des personnels intervenant dans les opérations de mise à mort des animaux. Ainsi, dans un objectif de meilleure
protection des animaux, chaque opérateur doit désormais être formé et titulaire d’un certificat de compétence délivré
par le Préfet de son lieu de domicile. Les formations sont dispensées par des organismes habilités par le ministère
chargé de l’agriculture (arrêté du 19 septembre 2012 modifié).
Dans le cadre de la fête de l’Aïd al Adha, en ce qui concerne le personnel intervenant lors de la mise à mort des
animaux, vous vous attacherez donc à vérifier au préalable que les abattoirs confieront l’égorgement des animaux
à des sacrificateurs titulaires d’une carte d’habilitation en cours de validité, délivrée par l’une des trois mosquées
agréées (Grande Mosquée de Paris, Grande Mosquée d’Évry-Courcouronnes et Grande Mosquée de Lyon), mais
disposant également du certificat de compétence requis depuis le 1er janvier 2013.
En vue d’améliorer la compétence technique des sacrificateurs ayant peu d’expérience pratique, vous pourrez
encourager les CRCM et les associations musulmanes à se tourner vers les professionnels organisant des volets
pratiques, ou proposant des tutorats avec les abattoirs pérennes, ou tout autre dispositif permettant d’améliorer la
compétence technique d’un sacrificateur habilité et formé intervenant le jour de l’Aïd.
De même, vous pourrez favoriser, en concertation avec les CRCM et les associations musulmanes, d’une part
l’étalement des abattages sur trois jours, et, d’autre part, l’organisation de marchés en vif, avec transport des animaux
par des professionnels agréés pour le transport des animaux vivants en application de l’article L. 214-12 du code rural
et de la pêche maritime, puis abattage en abattoir agréé et retour des carcasses vers les consommateurs.
Vous laisserez le soin à vos interlocuteurs musulmans de rappeler aux fidèles les pratiques de substitution à
l’abattage sur place.
Vous insisterez aussi, en particulier lors des réunions de concertation, sur les risques sanitaires que présente
la consommation de carcasses non inspectées par les services vétérinaires et sur les mesures de lutte contre les
encéphalopathies spongiformes transmissibles que sont le retrait et la destruction systématiques des matériels à
risque spécifiés (MRS). En effet le retrait des MRS, qui s’applique aux animaux des espèces bovine, ovine et caprine,
constitue, en termes de santé publique, la mesure de sécurité essentielle au regard du risque de transmission des
encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles.
Cette année, comme les précédentes, vous renforcerez, dans les jours qui précèdent l’Aïd al Adha, les contrôles
dans les centres de rassemblement.
Concernant les conditions de transport, de garde et de parcage des animaux, vous vous attacherez à vérifier que
celles-ci sont compatibles avec les impératifs biologiques de l’espèce et avec les prescriptions réglementaires relatives
au bien-être des animaux, notamment l’article R. 214-17 du code rural et de la pêche maritime.
Concernant l’identification des animaux, vous veillerez à faire respecter les règles d’identification en prenant en
compte l’obligation d’identifier électroniquement tous les ovins et caprins nés à partir du 1er juillet 2010, de remplissage
des documents de circulation, de notifications de mouvements par lots et de déclaration des détenteurs d’animaux
auprès de l’établissement départemental de l’élevage telles que définies aux articles L. 212-6 à L. 212-8 du code rural
et de la pêche maritime. Vous veillerez également à une application stricte de l’article L. 221-4 du code rural et de
la pêche maritime en présence d’un animal non identifié et dont la traçabilité sanitaire est perdue. Cette mise en
œuvre de la réglementation est particulièrement importante dans le cadre de l’Aïd al Adha, qui génère un brassage
important d’animaux de provenances différentes. Vous serez particulièrement vigilant à ce que l’article L. 221-4 soit
bien appliqué aux animaux non identifiés qui auraient été mis, pour des raisons pratiques, dans une fourrière mise à
disposition par les associations de protection animale. Aucune dérogation à cette application de l’article L. 221-4 ne
sera accordée, eu égard au risque sanitaire majeur que le déplacement d’animaux non identifiés génère.
Cette année, un guide et des affichettes 2 de recommandations à destination des opérateurs seront mis à disposition
auprès de l’ensemble des DD(CS)PP sur l’intranet du ministère et diffusés également sur le site internet du ministère
de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt.
2
Guide et affichettes de recommandations pour les opérateurs en abattoir temporaire, travaux ENSV Vetagrosup en collaboration avec
l’OABA (2014).
Vous veillerez à ce que ce guide ainsi que les affichettes soient affichés dans les abattoirs temporaires lors de l’Aïd
al Adha.
Le jour même, la sévérité la plus grande devra être exercée à l’encontre des personnes en infraction, en veillant,
chaque fois que cela sera nécessaire, à la mise en œuvre des sanctions prévues par les lois et règlements en vigueur.
En outre, afin d’éviter tout projet de sites hors abattoirs, il paraît utile de mettre en place une information adaptée,
avertissant dès à présent les propriétaires et les organisateurs de sites potentiels des sanctions qu’ils encourent. La
plus grande vigilance et la mobilisation de l’ensemble des services de l’État concernés doit, cette année encore, être
particulièrement forte sur les sites d’abattage clandestins qui constituent autant de contournements de la volonté
des pouvoirs publics de normaliser la pratique de l’Aïd al Adha. Vous veillerez donc à mettre en œuvre les moyens
nécessaires à la recherche de ces infractions, à faire relever systématiquement par procès-verbal tous les faits pouvant
laisser penser que de telles pratiques ont eu lieu, procès-verbaux qui seront transmis dans les meilleurs délais
au procureur de la République territorialement compétent. À charge pour lui de déterminer s’il dispose ou non
d’éléments suffisants pour engager des poursuites ou requérir des devoirs d’enquête complémentaires.
Vous trouverez en annexe I de la présente circulaire les dispositions particulières de fonctionnement des abattoirs
pérennes et temporaires et en annexe II les exigences relatives au fonctionnement et à l’agrément des abattoirs
temporaires. La liste des abattoirs pérennes agréés pour l’abattage d’ovins et/ou de bovins est consultable sur le
site internet du ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, à l’adresse http://agriculture.gouv.fr/,
onglet « thématiques », section « sécurité sanitaire », sous-section « production-transformation ». La liste des abattoirs
temporaires agréés pour la durée de l’Aïd al Adha sera publiée au Journal officiel de la République française.
Il vous sera possible, afin d’assurer le strict respect de la réglementation en matière de détention et de mouvement
d’animaux, d’envisager la mise en œuvre d’arrêtés préfectoraux réaffirmant la réglementation nationale, dont un
modèle figure en annexe III.
Vous veillerez à ce que les éléments mentionnés en annexe V de ladite circulaire apparaissent dans les procès-verbaux
qui seront établis dans chaque département. Ces renseignements devront être adressés par courrier électronique,
avant le 5 décembre 2014, au ministère de l’intérieur et au ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt
selon les modalités indiquées dans la même annexe. J’attire votre attention sur le fait que des éléments plus détaillés
vous sont demandés dans ce bilan, par rapport aux années précédentes, afin de faciliter l’exploitation des données.
Les exploitants des abattoirs seront eux-mêmes destinataires de la présente circulaire par l’entremise de leurs
fédérations.
Enfin, vous veillerez à communiquer une copie de la présente circulaire aux CRCM.
Fait le 13 août 2014.
ANNEXE I
Conditions générales de fonctionnement et dérogations accordées vis-à-vis desdites conditions dans le cadre de
l’Aïd-el-adha
• Les abattoirs pérennes doivent disposer d’un agrément communautaire (arrêté du 8 juin 2006 relatif à l’agrément
des établissements mettant sur le marché des produits d’origine animale ou des denrées contenant des produits
d’origine animale).
• Les abattoirs temporaires doivent disposer d’un agrément sanitaire (arrêté du 18 décembre 2009 relatif aux règles
sanitaires applicables aux produits d’origine animale et aux denrées alimentaires en contenant).
• Les abattoirs doivent disposer d’une autorisation à déroger à l’obligation d’étourdissement (arrêté du
28 décembre 2011 relatif aux conditions d’autorisation des établissements d’abattage à déroger à l’obligation
d’étourdissement des animaux).
• L’abattage rituel peut déroger à l’étourdissement avant abattage dans la mesure où une immobilisation par un
procédé mécanique est réalisée et maintenue pendant toute la durée de la saignée, dans les conditions prévues au
dossier d’autorisation. En l’absence d’une immobilisation mécanique, l’étourdissement est obligatoire : l’étour-
dissement électrique est alors recommandé en raison de son caractère réversible.
• Il est de la responsabilité de l’exploitant de l’abattoir de s’assurer de l’habilitation des sacrificateurs par la
présentation d’une carte délivrée par l’un des seuls organismes religieux agréés (Mosquées de Paris, de Lyon
ou d’Évry), ainsi que de l’obtention pour chaque sacrificateur du certificat de compétence requis depuis
le 1er janvier 2013. De même, il s’assure que les sacrificateurs ont reçu une formation aux règles d’hygiène et de
protection animale. Les sacrificateurs doivent maîtriser l’usage du matériel mécanique permettant l’immobili-
sation. Celle-ci est assurée par un procédé limitant toute souffrance aux animaux et garantissant la réalisation
d’une saignée rapide et efficace ; ainsi les simples berces qui ne satisfont pas à ces critères doivent être exclues.
Enfin, l’égorgement doit être réalisé rapidement après immobilisation, à l’aide d’un couteau aiguisé et adapté à
la taille de l’animal.
• Une dérogation quant au fonctionnement de l’abattoir peut être accordée dans le cadre de l’Aïd-el-adha : il
s’agit de la sortie des carcasses d’ovins de l’abattoir à une température supérieure à + 7 °C à cœur. Il conviendra
de veiller à ce que cette dérogation ne s’applique à chaque carcasse concernée que pour une durée limitée et
dans une gamme de température compatible avec un objectif élevé de maintien de la sécurité alimentaire. Cette
disposition exceptionnelle liée à l’Aïd-el-adha concerne l’ensemble des départements français, y compris ceux qui
ne possèdent pas d’abattoirs, dans la mesure où des carcasses peuvent y transiter. Cette dérogation peut égale-
ment être appliquée aux carcasses de bovins de moins de 72 mois (elle ne concerne pas les bovins consignés en
attente du résultat du test de dépistage vis-à-vis de l’encéphalopathie spongiforme bovine).
• L’inspection ante mortem des animaux doit être assurée de façon systématique, aussi bien dans des objectifs
sanitaires, de protection animale, que de contrôles de l’identification des animaux.
• La sortie d’animaux vivants de l’abattoir en fin d’Aïd-el-adha (animaux non abattus) est strictement interdite.
• Aucune dérogation ne pourra être accordée quant à la libération des carcasses de bovins avant connaissance du
résultat du test de dépistage vis-à-vis de l’ESB.
• Aucune dérogation ne pourra être accordée quant à la remise au consommateur de carcasses de bovins de
plus de 30 mois avec présence de colonne vertébrale (matériels à risque spécifiés). Les colonnes vertébrales des
carcasses de bovins de plus de 30 mois doivent être retirées dans un atelier de découpe agréé ou dans une
boucherie autorisée.
Pesée fiscale et perception des taxes, redevances et cotisations dans ces abattoirs temporaires
• La pesée fiscale reste obligatoire pour l’ensemble des abattoirs concernés par l’Aïd‑al‑Adha (calcul des taxes),
quel que soit le mode de facturation (prestation forfaitaire ou au poids).
• L’ensemble des taxes, redevances et cotisations dues par l’abatteur est le suivant :
–– redevances sanitaires (abattage et découpe),
–– INTERBEV,
–– fonds de l’élevage,
–– taxe d’abattage.
• Ces taxes ne peuvent en aucun cas être financées par une tierce partie (commune par exemple).
• Les exploitants des abattoirs bénéficiant d’un agrément temporaire devront s’acquitter des taxes légales,
redevances et cotisations en vigueur. Les redevances sanitaires sont calculées en fonction du nombre de têtes
abattues.
Gestion du personnel et du public
• Les personnes désirant assister à l’abattage de leur mouton ne doivent pas avoir accès à la chaîne d’abattage.
Il pourra être envisagé, dans la mesure du possible, de leur permettre d’assister au sacrifice (derrière des vitres,
par exemple).
• Une concertation préalable entre l’exploitant de l’abattoir et les services vétérinaires devra avoir lieu afin
d’organiser au mieux la planification des abattages, sachant que les services vétérinaires doivent être présents
tout au long des inspections ante et post mortem.
• Il est de la responsabilité de l’exploitant de l’abattoir d’assurer la sécurité des personnes à l’intérieur de son
exploitation : personnel de l’abattoir, personnel d’inspection, public. Ainsi la vitesse de chaîne, l’aisance
des interventions aux postes d’inspection, la présence de parking pour le public sont des points à surveiller
particulièrement. Une vigilance accrue relative aux règles d’hygiène et de sécurité du personnel (casques, gants…)
sera nécessaire dans les abattoirs temporaires.
• Il sera possible d’envisager, en collaboration avec les instances religieuses concernées et après accord de
l’exploitant de l’abattoir, le déroulement de la prière sur le site de l’abattoir afin de permettre le démarrage des
sacrifices le plus tôt possible le 1er jour de l’Aïd-al-Adha (pas de perte de temps après la fin de la prière liée
au trajet entre la mosquée et l’abattoir que doivent effectuer les sacrificateurs). Il conviendra alors de prévoir
l’ensemble des mesures de protection civile adéquates (sécurité des personnes).
ANNEXE II
La liste des abattoirs agréés dans chaque département devra parvenir à la DGAL (bureau des établissements d’abattage
et de découpe, par courriel à l’adresse bead.sdssa.dgal@agriculture.gouv.fr) au plus tard le 15 septembre 2014 en vue d’une
publication au Journal officiel avant le jour de l’Aïd-al-Adha.
Sans préjudice des dispositions de l’article R. 214-70, de l’arrêté du 28 décembre 2011 relatif aux conditions
d’autorisation des établissements d’abattage à déroger à l’obligation d’étourdissement des animaux et de l’arrêté du
18 décembre 2009 relatif aux règles sanitaires applicables aux produits d’origine animale et aux denrées alimentaires
en contenant, notamment précisées à l’Annexe V, les responsables des abattoirs participant à la prochaine célébration
de l’Aïd-al-Adha devront se conformer aux dispositions suivantes.
Respect de la réglementation en termes de protection de l’environnement
Les abattoirs en fonctionnement durant la période de l’Aïd-al-Adha, qu’ils soient pérennes ou temporaires au titre
de leur agrément délivré en application du code rural, relèvent de la rubrique 2210 de la nomenclature des installations
classées s’ils traitent plus de 500 kg de carcasses par jour. Entre 500 kg et 5 tonnes par jour, ils relèvent du régime de
la déclaration, à plus de 5 tonnes par jour, ils relèvent du régime de l’autorisation. À ce titre, ils doivent respecter les
dispositions des arrêtés ministériels du 30 avril 2004 relatifs aux prescriptions applicables aux installations classées 1.
Conformément au code de l’environnement, les dossiers de déclaration (R. 512-2 et suivants) ou les demandes
d’autorisation (R. 512-47 et suivants) sont déposés en préfecture. Les exploitants d’abattoirs temporaires traitant plus
de 5 tonnes de carcasses par jour ne disposant pas d’autorisation, peuvent bénéficier d’une autorisation temporaire
sur présentation d’un dossier détaillé, en application de l’article R. 512-37 du code de l’environnement.
1
– Arrêté du 30 avril 2004 relatif aux prescriptions applicables aux installations classées pour la protection de l’environnement soumises à
autorisation sous la rubrique no 2210 « abattage d’animaux ».
– Arrêté du 30 avril 2004 relatif aux prescriptions générales applicables aux installations classées pour la protection de l’environnement sou-
mises à déclaration sous la rubrique no 2210 « abattage d’animaux ».
ANNEXE III
Préfecture de .....................................
Le préfet,
Vu le code général des collectivités territoriales, et notamment son article L. 2215-1 ;
Vu le code rural et de la pêche maritime, et notamment ses articles R. 214-73 à R. 214-75 et D. 212-26 ;
CONSIDÉRANT qu’à l’occasion de la fête musulmane de l’Aïd-al-Adha chaque année, de nombreux ovins et
caprins sont acheminés dans le département de .................... pour y être abattus ou livrés aux particuliers en vue de
la consommation ;
CONSIDÉRANT que de nombreux animaux sont abattus dans des conditions clandestines, contraires aux règles
d’hygiène préconisées en application de l’article L. 231-1 du code rural et de la pêche maritime et aux règles de
protection animale édictées en application de l’article L. 214-3 du code rural et de la pêche maritime ;
CONSIDÉRANT qu’afin de sauvegarder la santé publique, et d’assurer la protection animale, il est nécessaire de
réglementer temporairement la circulation et l’abattage des animaux vivants des espèces concernées,;
Arrête :
Article 1er
Aux fins du présent arrêté, on entend par :
• Exploitation : tout établissement, toute construction, ou dans le cas d’un élevage en plein air, tout lieu, dans
lequel des animaux sont détenus, élevés ou manipulés de manière permanente ou temporaire, à l’exception des
cabinets ou cliniques vétérinaires. La présente définition concerne notamment les exploitations d’élevage et les
centres de rassemblement, y compris les marchés.
• Détenteur : toute personne physique ou morale responsable d’animaux, même à titre temporaire, à l’exception
des cabinets ou cliniques vétérinaires et des transporteurs.
Article 2
La détention d’ovins par toute personne non déclarée à l’établissement départemental ou interdépartemental de
l’élevage, conformément à l’article D. 212-26 du code rural et de la pêche maritime, est interdite dans le département
de ....................
Article 3
Le transport d’ovins vivants est interdit dans le département de ...................., sauf dans les cas suivants :
• le transport à destination des abattoirs agréés ainsi qu’à destination des cabinets ou cliniques vétérinaires ;
• le transport entre deux exploitations dont le détenteur des animaux a préalablement déclaré son activité d’éle-
vage à l’établissement départemental ou interdépartemental de l’élevage, conformément à l’article D. 212-26 du
code rural et de la pêche maritime. Le passage des animaux par des centres de rassemblement est également
autorisé si ces derniers sont déclarés à l’établissement départemental ou interdépartemental de l’élevage.
Article 5
L’abattage rituel est interdit hors des abattoirs agréés conformément à l’article R. 214-73 du code rural et de la
pêche maritime.
Article 6
Le présent arrêté s’applique du .................... au ......................
Article 7
Le secrétaire général de la préfecture, les sous-préfets, le directeur de cabinet, le directeur départemental (de la
cohésion sociale et) de la protection des populations, le directeur départemental de la sécurité publique, le colonel
commandant le groupement de gendarmerie de ...................., les maires du département, sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à ...................., le ....................
Le préfet de ........................
ANNEXE IV
Tableau récapitulatif des sanctions pénales applicables dans le cadre de l’abattage rituel
Abattage en dehors d’un abattoir agréé – abattage clandestin Article L. 237-2 (I) du CRPM Délit puni de 6 mois d’emprisonnement
et 15 000 € d’amende
Transport d’un animal vivant sans agrément, dans un but lucratif, pour son Article L. 215-13 du CRPM Délit puni de 6 mois d’emprisonnement
compte ou pour le compte d’un tiers et 7 500 € d’amende
Réalisation d’un abattage rituel sans détenir l’autorisation de dérogation Article R. 215-8 (I) du CRPM Contravention de 5e classe d’un
à l’obligation d’étourdissement des animaux accordée par le préfet ou montant maximum de 1500 € (3000 €
non-respect des conditions de délivrance de cette autorisation en cas de récidive)
Absence de formation en matière de protection animale du personnel Article R. 215-8 CRPM Contravention de 4e classe d’un
effectuant les opérations de déchargement, d’acheminement, montant maximum de 750 €
d’hébergement, d’immobilisation, d’étourdissement, d’abattage ou de
mise à mort des animaux
Absence de précautions en vue de limiter l’excitation, la douleur et la Article R. 215-8 du CRPM Contravention de 4e classe d’un
souffrance évitable aux animaux (déchargement, acheminement, montant maximum de 750 €
immobilisation, étourdissement, abattage, mise à mort)
Utilisation de procédés d’immobilisation, d’étourdissement et de mise à Article R. 215-8 du CRPM Contravention de 4e classe d’un
mort non agréés montant maximum de 750 €
Pas d’immobilisation préalablement et pendant la saignée Article R. 215-8 du CRPM Contravention de 4e classe d’un
montant maximum de 750 €
Suspension d’un animal conscient Article R. 215-8 du CRPM Contravention de 4e classe d’un
montant maximum de 750 €
Pratique d’un abattage rituel sans habilitation Article R. 215-8 du CRPM Contravention de 4e classe d’un
montant maximum de 750 €
Absence de justificatif d’une habilitation pour un sacrificateur Article R. 215-8 du CRPM Contravention de 3e classe d’un
montant maximum de 450 €
Non-respect des règles d’identification des ovins Article R. 215-12 et L. 221-4 du Contravention de 3e classe d’un
CRPM montant maximum de 450 €
ANNEXE V
Afin d’établir rapidement un état de la situation sur l’ensemble des départements, il vous est demandé de faire
parvenir par courriel avant le 5 décembre 2014 un compte-rendu dont le modèle sur papier est joint à la présente
annexe, aux deux adresses suivantes :
bureau-central-cultes@interieur.gouv.fr
et
bpa.sdspa.dgal@agriculture.gouv.fr.
Cet état sera réalisé sur feuilles Excel à partir du modèle transmis ce jour par courriel à votre cabinet (voir ci-joint
la liste des adresses électroniques des destinataires), dont vous trouverez ci-après pour mémoire copie sur papier.
L’état comporte des informations complémentaires à celles des années précédentes, en italique dans le texte.
En voici les différents points :
–– le nombre de réunions préparatoires éventuellement organisées et les interlocuteurs musulmans ayant participé ;
–– les marchés d’animaux sur pieds organisés pour l’Aïd-al-Adha ;
–– le nombre d’abattoirs agréés pérennes ou temporaires mis à disposition, leur localisation et leur capacité :
–– les lieux d’abattage clandestin découverts de façon fortuite :
Il conviendra de distinguer, afin d’affiner le diagnostic de la situation sur le terrain :
– les abattages clandestins réalisés par des particuliers ;
– les abattages clandestins constatés chez les éleveurs ;
– les abattages clandestins constatés dans des structures non agréées ou des sites mis à disposition (hors élevage) ;
–– l’existence de sites de rassemblements d’animaux clandestins sans constat d’abattage :
–– le nombre de sacrificateurs habilités pour les différentes catégories de lieux d’abattage par une des trois grandes
mosquées (Paris, Évry et Lyon) ou autre ;
–– le nombre de sacrificateurs ayant un certificat de compétence ;
–– le nombre d’ovins et de bovins abattus dans chacun d’eux ;
–– l’origine des ovins et bovins abattus ;
–– les difficultés rencontrées dans les procédures de retrait des matériels à risque spécifiés (MRS) ;
–– le nombre d’infractions relevées et de procès-verbaux dressés, en distinguant notamment :
–– le nombre d’infractions relevées et de PV dressés pour abattage clandestin ;
–– le nombre d’infractions relevées et de PV dressés au titre de la protection animale ;
–– le nombre de personnes non habilitées et sans certificat de compétence sacrifiant le jour de l’Aïd al adha ;
–– le nombre d’infractions relevées et de procès-verbaux liés à des manquements relatifs à l’hygiène ;
–– la fourchette des prix pratiqués pour la vente et l’abattage des animaux ;
Il conviendra de préciser afin d’affiner le diagnostic de la situation sur le terrain, le nombre de sites où ont été constatés :
–– les problèmes d’hygiène constatés :
–– l’absence ou l’insuffisance du lavage des mains des opérateurs ;
–– l’absence de tenue adéquate des opérateurs ;
–– la présence de carcasses souillées ;
–– l’éviscération d’animaux à même le sol ;
–– la présence de couteaux posés à même le sol ou sur un support souillé ;
–– les problèmes de protection animale constatés :
–– mauvaise manipulation des animaux ;
–– mauvaise maîtrise du geste de saignée ;
–– absence d’immobilisation mécanique ;
–– le nombre approximatif de foyers musulmans concernés ;
–– les problèmes divers constatés ;
–– l’appréciation générale et notamment les perspectives d’évolution.
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_
Sous-direction
de la gestion du personnel
_
Bureau du personnel officier
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense, notamment son article L. 4132-10 ;
Vu le décret no 2008-959 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux officiers commissionnés ;
Vu l’arrêté du 21 janvier 2011 modifié fixant la liste des emplois d’officiers et de sous-officiers commissionnés
recrutés au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense au sein de la gendarmerie nationale,
Arrête :
Article 1er
Mme Amandine PILET est recrutée au grade de lieutenant (premier échelon) en qualité d’officière commissionnée
servant au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense pour occuper un emploi de conseiller en emploi à temps
plein au sein de la région de gendarmerie de Poitou-Charentes à Poitiers, pour une durée de trois ans, à compter
du 1er août 2014.
Article 2
L’intéressée est rattachée au corps des officiers du corps technique et administratif de la gendarmerie nationale.
Article 3
Le directeur général de la gendarmerie nationale est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 4 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires
de la gendarmerie nationale,
P. Mazy
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Arrêté du 16 juillet 2014fixant la composition du jury du concours sur titres pour le recrute-
ment d’adjoints techniques de 1re classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services
localisés en région Île-de-France au titre de l’année 2014
NOR : INTA1417172A
Le ministre de l’intérieur,
Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi
n 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
o
Vu le décret no 2003-532 du 18 juin 2003 relatif à l’établissement et à l’utilisation des listes complémentaires
d’admission aux concours d’accès aux corps de la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 2006-1761 du 23 décembre 2006 modifié relatif aux dispositions statutaires communes applicables
aux corps d’adjoints techniques des administrations de l’État ;
Vu le décret no 2013-908 du 10 octobre 2013 relatif aux modalités de désignation des membres des jurys et des
comités de sélection pour le recrutement et la promotion des fonctionnaires relevant de la fonction publique de l’État,
de la fonction publique territoriale et de la fonction publique hospitalière ;
Vu l’arrêté du 30 octobre 2007 fixant la liste des spécialités des adjoints techniques de l’intérieur et de l’outre-mer ;
Vu l’arrêté du 8 janvier 2008 fixant les modalités d’organisation du recrutement des adjoints techniques de
l’intérieur et de l’outre-mer ;
Vu l’arrêté du 25 avril 2014 autorisant au titre de l’année 2014 l’ouverture d’un concours sur titres pour le
recrutement d’adjoints techniques de 1re classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région
Île-de-France ;
Sur la proposition du secrétaire général,
Arrête :
Article 1er
Mme Hélène HALTER, attachée d’administration de l’État, est nommée présidente du concours sur titres pour
le recrutement d’adjoints techniques de 1re classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région
Île-de-France au titre de l’année 2014.
Article 2
M. Jean-Marc PANNIER, commandant de police, est nommé vice-président du concours sur titres pour le
recrutement d’adjoints techniques de 1re classe de l’intérieur et de l’outre-mer pour les services localisés en région
Île-de-France au titre de l’année 2014.
Article 3
Article 4
En cas d’empêchement de la présidente, la présidence des travaux du jury sera assurée par M. Jean-Marc PANNIER,
vice-président du jury.
Article 5
Le jury sera complété en tant que de besoin par des personnes désignées en raison de leurs compétences dans le
domaine d’activité professionnelle concerné par le concours.
Article 6
Le secrétaire général est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du ministère de
l’intérieur.
FFait le 16 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
L’adjoint à la sous-directrice
du recrutement et de la formation,
Y. de Roquefeuil
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi no 84-16 du
11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
Vu la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 modifiée d’orientation et de programmation relative à la sécurité ;
Vu le décret no 95-654 du 9 mai 1995 modifié fixant les dispositions communes applicables aux fonctionnaires actifs
des services de la police nationale ;
Vu le décret no 2005-939 du 2 août 2005 modifié portant statut particulier du corps de conception et de direction
de la police nationale ;
Vu l’arrêté du 13 décembre 2005 relatif à la commission spéciale de sélection prévue à l’article 7 du décret
no 2005-939 modifié susvisé ;
Vu l’avis émis par la commission administrative paritaire compétente à l’égard du corps de conception et de
direction en sa séance du 30 juin 2014 ;
Sur la proposition du directeur général de la police nationale,
Arrête :
Article 1er
Les commandants de la police nationale dont les noms suivent sont inscrits sur la liste d’aptitude au recrutement
au choix dans le corps de conception et de direction – en qualité de commissaires de police – établie au titre de
l’année 2014 :
En liste utile
GUIBERT Olivier.
RIVIERE Patrice.
En liste complémentaire
MALHERBE François.
Article 2
Le directeur général de la police nationale et le directeur des ressources et des compétences de la police nationale
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Bulletin officiel du
ministère de l’intérieur.
FFait le 30 juillet 2014.
Le ministre de l’intérieur,
Bernard Cazeneuve
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu les articles D. 141-2 à D. 141-10 du code de la sécurité intérieure ;
Vu l’arrêté du 29 juillet 2014 pris pour l’application des articles D. 141-2 à D. 141-10 du code de la sécurité intérieure,
Arrête :
Article 1er
Dans le cadre de la promotion exceptionnelle « Cyclone Béjisa 2014 », une médaille de la sécurité intérieure est
attribuée aux personnes suivantes :
I. – ÉCHELON OR
Mme AMBROISE Chantal, sous-préfète.
M. CHAUVEAU Cyrille, capitaine (FORMISC).
M. COHEN Loïc, caporal-chef (FORMISC).
M. CONSTANT Xavier, sergent (FORMISC).
M. DUMARD Dimitri, caporal-chef (FORMISC).
M. JUNG Nicolas, caporal (FORMISC).
M. LEROY Joël, capitaine (FORMISC).
M. MONNIER Florian, sapeur de 1re classe (FORMISC).
M. PARIS Didier, colonel de sapeurs-pompiers.
M. TABARDIN Anthony, caporal (FORMISC).
II. – ÉCHELON ARGENT
M. BERTIN Pierrick, caporal-chef (FORMISC).
M. CHAREYRE Thibaud, caporal (FORMISC).
M. DEDIEU Gaëtan, caporal-chef (FORMISC).
M. DUGUE Arnaud, sergent-chef (FORMISC).
M. GLADIEUX Romain, caporal (FORMISC).
M. JARROUX Dorian, sapeur de 1re classe (FORMISC).
M. KELLEN David, sergent-chef (FORMISC).
Mme KUBICEK Nathalie, attachée principale.
M. LATTAT Quentin, sapeur de 1re classe (FORMISC).
M. LE ROUX Jean, sapeur de 1re classe (FORMISC).
M. MARTY Christian, ingénieur d’exploitation et d’étude de l’aviation civile.
M. MATHIEU Mickaël, caporal (FORMISC).
M. MICHEL Pierre, capitaine (FORMISC).
M. MORNET Ambroise, sergent (FORMISC).
M. OBLED Loïc, administrateur civil.
M. PENFRAT Sterenn, sergent-chef (FORMISC).
M. SEGU Jérôme, caporal (FORMISC).
M. SENSEY Nicolas, caporal-chef (FORMISC).
M. SOUPA-POULLE Wilfred, capitaine de sapeurs-pompiers.
III. – ÉCHELON BRONZE
M. ADOLPHE Leonus, agent des systèmes d’information et de communication 2e groupe.
M. ALBERTINI Christophe, sapeur de 1re classe (FORMISC).
M. ANDRIEU David, sergent (FORMISC).
M. ANGAMA Gérard, sergent de sapeurs-pompiers.
M. ATTRAIT Xavier, médecin-chef (FORMISC).
M. AUGERET Jean-François, caporal de sapeurs-pompiers.
M. AURE Giovanni, sapeur de sapeurs-pompiers.
M. AURE Jeannick, caporal-chef de sapeurs-pompiers.
M. BARDOU Ludovic, caporal-chef (FORMISC).
M. BARET Alix, caporal-chef de sapeurs-pompiers.
M. BAROUKH David, caporal-chef (FORMISC).
M. BATTESTI Antoine, infirmier de classe supérieure (FORMISC).
M. BEGE Mickaël, sapeur de sapeurs-pompiers.
M. BEGUE Michel, adjudant-chef de sapeurs-pompiers.
M. BELIM Dany, lieutenant de sapeurs-pompiers.
M. BERNARD David, sergent (FORMISC).
Mme BILLA Mary-Lionele, commandante de police.
M. BLUCKER Octave, caporal-chef de sapeurs-pompiers.
M. BODZEN Vincent, sapeur de sapeurs-pompiers.
M. BONAVITA Laurent, caporal (FORMISC).
M. BOUCHER Jean-Michel, caporal de sapeurs-pompiers.
M. BOUVET René, contractuel.
M. BRESSOT Patrick, directeur régional.
M. BUSSON Charly, sergent (FORMISC).
M. CAPDEVILLE Benjamin, caporal (FORMISC).
Mme CARABIN Marie-Josie, caporal de sapeurs-pompiers.
M. CARRON Mickaël, caporal (FORMISC).
M. CAYUELA Didier, caporal (FORMISC).
M. CAZES Nicolas, médecin des armées (FORMISC).
M. CEDELLE Romain, sergent-chef (FORMISC).
M. CHAPAPRIA Vincent, caporal (FORMISC).
M. CHAPRON Philippe, ingénieur principal des systèmes d’information et de communication.
M. CHAPUIS Sébastien, caporal-chef (FORMISC).
M. CHAUVIN Christophe, caporal-chef de 1re classe (FORMISC).
M. CHEMLA Jérémie, sergent (FORMISC).
M. CHIGNARD Kévin, sapeur de 1re classe (FORMISC).
M. CHINAMA Jean-Marc, sapeur de sapeurs-pompiers.
M. COMBES Xavier, professeur de médecine-praticien hospitalier.
M. CORRE Moïse, sergent de sapeurs-pompiers.
M. COSNE Alan, caporal (FORMISC).
Article 2
Le présent arrêté sera publié au Bulletin officiel des décorations, médailles et récompenses et au Bulletin officiel du
ministère de l’intérieur.
FFait le 30 juillet 2014.
Le ministre de l’intérieur,
Bernard Cazeneuve
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Haute-Normandie
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Féret, Laurent Nigend : 142 557 Numéro de livret de solde : 5 281 958
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Brugot, Vincent Nigend : 177 758 Numéro de livret de solde : 8 030 567
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Esnault, Cédric Nigend : 198 490 Numéro de livret de solde : 8 053 561
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Le Liorzou, Alexandra Nigend : 214 583 Numéro de livret de solde : 8 068 696
Lemercier, Émilie Nigend : 190 434 Numéro de livret de solde : 8 039 265
Breval, Mickaël Nigend : 207 726 Numéro de livret de solde : 8 062 467
Sterczewski, Guillaume Nigend : 229 339 Numéro de livret de solde : 8 084 734
Dabard, Brice Nigend : 216 606 Numéro de livret de solde : 8 069 927
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie de Haute-Normandie,
D. Morée
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Franche-Comté
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Pichot, André Nigend : 141 979 Numéro de livret de solde : 8 000 675
Brun, Patrice Nigend : 141 455 Numéro de livret de solde : 8 000 510
Voulot, Joël Nigend : 94 590 Numéro de livret de solde : 5 107 399
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Sourbier, Valéry Nigend : 146 423 Numéro de livret de solde : 8 005 079
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Guillot, Cyrille Nigend : 202 526 Numéro de livret de solde : 8 057 842
Rabasse, Sébastien Nigend : 210 138 Numéro de livret de solde : 8 050 294
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Langlois, Olivier Nigend : 241 997 Numéro de livret de solde : 8 088 260
Callay, Sébastien Nigend : 185 890 Numéro de livret de solde : 8 041 135
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie de Franche-Comté,
commandant le groupement
de gendarmerie départementale du Doubs,
J. Vire
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Gendarmerie maritime
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Souchet, Gilles Nigend : 120 286 Numéro de livret de solde : 8 092 863
Article 2
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Joandel, Morgan Nigend : 217 844 Numéro de livret de solde : 6 639 848
Daniel, Xavier Nigend : 198 513 Numéro de livret de solde : 8 053 549
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le général,
commandant la gendarmerie maritime,
I. Guion de Méritens
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Languedoc-Roussillon
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Teich, Pascal Nigend : 118 215 Numéro de livret de solde : 5 191 420
Coello, Christian Nigend : 133 858 Numéro de livret de solde : 5 294 820
Wery, Patrice Nigend : 159 854 Numéro de livret de solde : 8 016 999
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Granier, Wilfrid Nigend : 147 224 Numéro de livret de solde : 8 005 534
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Galzy, Mikael Nigend : 174 345 Numéro de livret de solde : 8 031 946
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Souza, Jean-Philippe Nigend : 201 934 Numéro de livret de solde : 8 044 172
Garcin, Fabrice Nigend : 219 084 Numéro de livret de solde : 8 071 735
Gournay, Julien Nigend : 239 061 Numéro de livret de solde : 8 087 248
Viscione, Sandra Nigend : 210 632 Numéro de livret de solde : 8 065 813
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Languedoc-Roussillon,
M. Lévêque
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Lorraine
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Est
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Bernard, Guy Nigend : 70 685 Numéro de livret de solde : 5 293 902
Coutelle, Cyrille Nigend : 124 979 Numéro de livret de solde : 5 244 317
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Grbic, Stéphane Nigend : 157 033 Numéro de livret de solde : 8 014 433
Article 3
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Kaman, Jonathan Nigend : 218 673 Numéro de livret de solde : 8 065 010
Pinat, Pascal Nigend : 217 679 Numéro de livret de solde : 8 064 635
Michaud, Emmanuel Nigend : 246 418 Numéro de livret de solde : 8 089 108
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Lorraine
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,
J.-R. Véchambre
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Lorraine
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Est
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Louis, Jean-Luc Nigend : 134 923 Numéro de livret de solde : 5 312 056
Dessaint, Dominique Nigend : 147 208 Numéro de livret de solde : 8 005 618
Ausesky, Jean-François Nigend : 172 002 Numéro de livret de solde : 8 027 302
Chassard, Jean-Marie Nigend : 131 752 Numéro de livret de solde : 5 294 210
Haudiquet, Fabrice Nigend : 160 553 Numéro de livret de solde : 8 017 557
Nowak, Daniel Nigend : 117 904 Numéro de livret de solde : 5 218 977
Nicolas, Dominique Nigend : 140 258 Numéro de livret de solde : 5 296 244
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Vincent, Jean Nigend : 137 964 Numéro de livret de solde : 5 281 597
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Demangeon, Arnaud Nigend : 201 153 Numéro de livret de solde : 8 044 010
Zins, Christophe Nigend : 211 672 Numéro de livret de solde : 8 063 385
Blosse, Olivier Nigend : 160 853 Numéro de livret de solde : 8 017 905
Chiesura, Sébastien Nigend : 214 334 Numéro de livret de solde : 8 064 053
Aquilano, Alexandra Nigend : 188 788 Numéro de livret de solde : 8 038 802
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Richard, Maeva Nigend : 228 877 Numéro de livret de solde : 8 076 929
Carlier, Valentin Nigend : 248 612 Numéro de livret de solde : 8 089 767
Beaupied, David Nigend : 202 290 Numéro de livret de solde : 8 054 582
Gabet, David Nigend : 240 031 Numéro de livret de solde : 8 087 599
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Lorraine
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est,
J.-R. Véchambre
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Bretagne
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Ouest
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Bonnin, Alain Nigend : 128 387 Numéro de livret de solde : 5 280 319
Jouin, Stéphane Nigend : 145 438 Numéro de livret de solde : 5 301 421
Edmond, Joël Nigend : 127 160 Numéro de livret de solde : 5 280 117
Article 2
e maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
L
Lasche, Didier Nigend : 171 318 Numéro de livret de solde : 6 532 905
Article 3
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Garnier, Etienne Nigend : 248 471 Numéro de livret de solde : 8 089 584
Kent, Anthony Nigend : 240 107 Numéro de livret de solde : 8 087 541
Danieau, Alexandre Nigend : 248 252 Numéro de livret de solde : 8 089 425
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Bretagne
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Ouest,
H. Renaud
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie d’Aquitaine
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Ouest
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Roques, Thierry Nigend : 125 998 Numéro de livret de solde : 5 243 387
Article 2
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Martin, Guillaume Nigend : 239 875 Numéro de livret de solde : 8 087 447
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 2 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie d’Aquitaine
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest,
J.-P. Ster
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Gendarmerie de l’armement
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Bouissac, Daniel Nigend : 164 821 Numéro de livret de solde : 8 021 417
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Loupot, Olivier Nigend : 153 826 Numéro de livret de solde : 8 011 574
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le colonel,
commandant la gendarmerie de l’armement,
J.-L. Payrard
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Pôle judiciaire
de la gendarmerie nationale
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Morand, Pascal Nigend : 120 368 Numéro de livret de solde : 5 241 371
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Ducellier, Thierry Nigend : 189 249 Numéro de livret de solde : 8 039 033
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Arze, Yann Nigend : 303 365 Numéro de livret de solde : 8 090 869
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de division,
commandant le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale,
J. Hébrard
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Gendarmerie des transports aériens
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Cunha, Patrick Nigend : 154 269 Numéro de livret de solde : 8 012 119
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Barathon, Franck Nigend : 139 165 Numéro de livret de solde : 5 305 209
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Preto, Dominique Nigend : 200 817 Numéro de livret de solde : 8 044 114
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général, commandant la gendarmerie
des transports aériens,
D. Striebig
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie d’Alsace
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Velten, Rémy Nigend : 107 693 Numéro de livret de solde : 5 157 779
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Pellen, Erwan Nigend : 153 481 Numéro de livret de solde : 8 011 476
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Johann, Raphaël Nigend : 172 702 Numéro de livret de solde : 8 032 384
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Pfister, Jérémy Nigend : 248 223 Numéro de livret de solde : 8 089 542
Caillot, Frédéric Nigend : 233 153 Numéro de livret de solde : 8 085 941
Dussart, Sébastien Nigend : 176 361 Numéro de livret de solde : 8 028 739
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie d’Alsace,
commandant le groupement
de gendarmerie départementale du Bas-Rhin,
T. Thomas
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Commandement
de la gendarmerie outre-mer
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Boura, Ahamadi Nigend : 145 020 Numéro de livret de solde : 8 004 865
Bataillard, Jean-François Nigend : 128 857 Numéro de livret de solde : 5 282 901
Trolong, Marc Nigend : 136 786 Numéro de livret de solde : 5 324 290
Etienne, Jean-Charles Nigend : 127 594 Numéro de livret de solde : 5 127 384
Urbin, Marc Nigend : 110 794 Numéro de livret de solde : 5 150 386
Hardier, Richard Nigend : 132 404 Numéro de livret de solde : 5 295 454
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Hertault, Cédric Nigend : 156 057 Numéro de livret de solde : 8 013 648
Halm, Jean-Philippe Nigend : 161 858 Numéro de livret de solde : 8 018 834
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Dal Zovo, Cyril Nigend : 180 501 Numéro de livret de solde : 8 029 825
Nagou, Jean-Michel Nigend : 159 817 Numéro de livret de solde : 8 016 566
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Michaut, Nicolas Nigend : 177 818 Numéro de livret de solde : 8 030 827
Barclay, Samuel Nigend : 194 531 Numéro de livret de solde : 8 061 515
Peretia, Teretai Nigend : 228 221 Numéro de livret de solde : 8 076 453
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la gendarmerie outre-mer,
S. Caillet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Commandement
de la gendarmerie outre-mer
_
Décide :
Article 1er
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Azémar, Philippe Nigend : 140 926 Numéro de livret de solde : 8 000 402
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la gendarmerie outre-mer,
S. Caillet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Garde républicaine
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Reiller, Patrice Nigend : 124 917 Numéro de livret de solde : 5 270 282
Article 2
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Guillemart, Gilles Nigend : 230 700 Numéro de livret de solde : 8 078 226
Passefort, Geoffroy Nigend : 217 678 Numéro de livret de solde : 8 064 632
Robert, Michaël Nigend : 234 257 Numéro de livret de solde : 8 086 274
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de division,
commandant la garde républicaine,
P. Schneider
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Garde républicaine
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Pawlicki, Dominique Nigend : 106 864 Numéro de livret de solde : 5 149 301
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Huet, Alain Nigend : 131 143 Numéro de livret de solde : 5 283 342
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Carli, Rodolphe Nigend : 165 025 Numéro de livret de solde : 8 021 711
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Fauvel, Guillaume Nigend : 207 375 Numéro de livret de solde : 8 061 409
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de division,
commandant la garde républicaine,
P. Schneider
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Nord - Pas‑de‑Calais
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Nord
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Leclercq, Jean-Luc Nigend : 135 295 Numéro de livret de solde : 5 311 490
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Colas, Patrice Nigend : 146 461 Numéro de livret de solde : 6 001 258
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Rabelle, Jean-Charles Nigend : 301 293 Numéro de livret de solde : 8 089 953
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,
N. Géraud
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Nord - Pas‑de‑Calais
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Nord
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Planquette, Pascal Nigend : 121 007 Numéro de livret de solde : 5 221 278
Menoury, Bruno Nigend : 105 469 Numéro de livret de solde : 5 149 183
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Quénel, Hervé Nigend : 105 486 Numéro de livret de solde : 5 149 198
Article 3
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Carbonnier, Cyril Nigend : 243 556 Numéro de livret de solde : 8 088 704
Descamps, Yoann Nigend : 238 605 Numéro de livret de solde : 8 087 043
Lemaire, Régis Nigend : 217 604 Numéro de livret de solde : 6 574 914
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de division,
commandant la région de gendarmerie de Nord - Pas-de-Calais
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Nord,
N. Géraud
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
des Pays de la Loire
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Gonzalez, Clément Nigend : 110 161 Numéro de livret de solde : 5 190 478
Deroit, Jacky Nigend : 125 590 Numéro de livret de solde : 5 244 417
Naye, Christophe Nigend : 141 674 Numéro de livret de solde : 8 001 372
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Vardanega, Giovanni Nigend : 146 304 Numéro de livret de solde : 8 004 596
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Chaudet, Alain Nigend : 96 474 Numéro de livret de solde : 5 110 441
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Vidal, Vivian Nigend : 303 159 Numéro de livret de solde : 8 090 600
Sanchez, Sabrina Nigend : 226 798 Numéro de livret de solde : 8 075 276
Monory, Magalie Nigend : 203 427 Numéro de livret de solde : 8 059 129
El Berrek, Rachid Nigend : 238 311 Numéro de livret de solde : 8 082 856
Noss, Audrey Nigend : 224 668 Numéro de livret de solde : 8 074 120
Payeur, Karen Nigend : 301 467 Numéro de livret de solde : 8 090 279
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie des Pays de la Loire,
D. Marconnet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Lelong, Benoît Nigend : 140 238 Numéro de livret de solde : 5 296 233
Touahir, Abdelkader Nigend : 153 036 Numéro de livret de solde : 8 010 898
Lentz, Christian Nigend : 123 526 Numéro de livret de solde : 5 269 554
Drevet, Gilles Nigend : 117 773 Numéro de livret de solde : 5 218 944
Bouguier, Jean-Luc Nigend : 128 486 Numéro de livret de solde : 5 280 910
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Hebbelinck, Bruno Nigend : 112 989 Numéro de livret de solde : 5 174 945
Girard, Georges Nigend : 126 399 Numéro de livret de solde : 5 279 971
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Crane, David Nigend : 171 893 Numéro de livret de solde : 8 027 027
Fleith, Olivier Nigend : 206 288 Numéro de livret de solde : 8 062 250
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Sidobre, Julien Nigend : 238 460 Numéro de livret de solde : 8 087 130
Longo, Julie Nigend : 189 721 Numéro de livret de solde : 8 044 846
Khelifa, Omar Nigend : 216 133 Numéro de livret de solde : 8 069 862
Fouchard, Audrey Nigend : 226 262 Numéro de livret de solde : 8 074 922
Lozinski, Michel Nigend : 151 930 Numéro de livret de solde : 8 009 970
Uscher, Sébastien Nigend : 225 169 Numéro de livret de solde : 8 074 291
Cantin, Manuel Nigend : 236 535 Numéro de livret de solde : 8 081 584
Marc, Dominique Nigend : 214 162 Numéro de livret de solde : 8 068 335
Ledoux, Clément Nigend : 303 574 Numéro de livret de solde : 6 652 119
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le colonel, commandant en second
la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,
T. Cailloz
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Rieutor, Tristan Nigend : 69 836 Numéro de livret de solde : 5 271 394
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Lalanne, Olivier Nigend : 154 184 Numéro de livret de solde : 8 011 960
Article 3
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Roubaud, François-Maxime Nigend : 304 963 Numéro de livret de solde : 8 091 012
Chamarac, Mickaël Nigend : 236 828 Numéro de livret de solde : 8 081 793
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le colonel, commandant en second
la région de gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud,
T. Cailloz
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 94088 du 3 décembre 2013 (NOR : INTJ1329297S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er août 2014 :
Pavy, Emmanuel Nigend : 163 679 Numéro de livret de solde : 8 019 274
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er août 2014 :
Rabieczynski, Hervé Nigend : 175 508 Numéro de livret de solde : 8 028 479
Article 3
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er août 2014 :
Oustlant, Eric Nigend : 227 647 Numéro de livret de solde : 8 058 453
Yalaoui, Karim Nigend : 228 249 Numéro de livret de solde : 8 076 480
Tattevin, Christophe Nigend : 193 993 Numéro de livret de solde : 8 049 704
Ravaux, Anthony Nigend : 225 011 Numéro de livret de solde : 8 084 093
Bouclé, Emmanuel Nigend : 200 109 Numéro de livret de solde : 8 047 008
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel, adjoint au sous-directeur
de la gestion du personnel,
O. Courtet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 93931 du 3 décembre 2013 (NOR : INTJ1329255S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er août 2014 :
Gervaise, Matthieu Nigend : 193 819 Numéro de livret de solde : 8 047 647
Article 2
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er août 2014 :
Poirot, Christophe Nigend : 220 967 Numéro de livret de solde : 8 073 126
Article 3
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er août 2014 :
Binder, Thomas Nigend : 226 236 Numéro de livret de solde : 8 084 360
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel, adjoint au sous-directeur
de la gestion du personnel,
O. Courtet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie d’Île-de-France
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité de Paris
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Desagher, Arnaud Nigend : 160 210 Numéro de livret de solde : 8 017 235
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Twyffels, Thierry Nigend : 111 037 Numéro de livret de solde : 5 174 572
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Roy, Julien Nigend : 200 780 Numéro de livret de solde : 8 044 120
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Duchemin, Gautier Nigend : 217 733 Numéro de livret de solde : 8 070 886
Clochey, Damien Nigend : 238 667 Numéro de livret de solde : 8 083 059
Segret, Nicolas Nigend : 193 586 Numéro de livret de solde : 8 047 516
Octavien-Paul, Didier Nigend : 178 448 Numéro de livret de solde : 8 041 815
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
B. Carmichaël
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie d’Île-de-France
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité de Paris
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Neff, Étienne Nigend : 135 056 Numéro de livret de solde : 5 311 499
Damourette, Benoît Nigend : 141 916 Numéro de livret de solde : 8 000 229
Le Gallou, Franck Nigend : 127 415 Numéro de livret de solde : 5 280 173
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Chouquet, Arnaud Nigend : 165 651 Numéro de livret de solde : 8 022 218
Dubourdieu, Max Nigend : 112 308 Numéro de livret de solde : 5 189 223
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Momot, Stéphane Nigend : 181 293 Numéro de livret de solde : 8 030 257
Eberhart, Franck Nigend : 174 528 Numéro de livret de solde : 8 028 140
Remy, Vincent Nigend : 171 345 Numéro de livret de solde : 8 026 879
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Guihaire, Alexandre Nigend : 237 762 Numéro de livret de solde : 8 086 954
Ba, Mandiaye Nigend : 239 808 Numéro de livret de solde : 8 087 402
Weller, Marion Nigend : 248 572 Numéro de livret de solde : 8 089 686
Grillo, Ludovic Nigend : 301 426 Numéro de livret de solde : 8 090 265
Paurion, Thomas Nigend : 235 551 Numéro de livret de solde : 8 080 862
Montreuil, François Nigend : 240 058 Numéro de livret de solde : 8 087 617
Julienne, Sandy Nigend : 301 436 Numéro de livret de solde : 8 090 268
Julvecourt, Sylvain Nigend : 226 631 Numéro de livret de solde : 8 075 055
Ruffie, Aurélien Nigend : 235 060 Numéro de livret de solde : 8 080 593
Monnier, Wilfrid Nigend : 192 055 Numéro de livret de solde : 8 042 609
Boujlel, Sarra Nigend : 226 020 Numéro de livret de solde : 8 074 835
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 3 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
B. Carmichaël
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Corse
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Tribouiller, Denis Nigend : 142 519 Numéro de livret de solde : 8 001 471
Article 2
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Besson, Johnny Nigend : 227 156 Numéro de livret de solde : 8 075 493
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 4 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie de Corse,
T. Cayet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Champagne-Ardenne
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Jardon, Emmanuel Nigend : 121 995 Numéro de livret de solde : 5 244 566
Zwahlen, Christophe Nigend : 140 767 Numéro de livret de solde : 8 000 399
Menissier, Frédéric Nigend : 126 318 Numéro de livret de solde : 5 244 462
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Perez, Laurent Nigend : 138 964 Numéro de livret de solde : 5 323 479
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Pouillart, Sébastien Nigend : 234 994 Numéro de livret de solde : 8 086 612
Lagasse, Christophe Nigend : 155 086 Numéro de livret de solde : 8 012 451
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
L’Hostette, Cyril Nigend : 238 770 Numéro de livret de solde : 8 087 111
D’Harreville, Sullivan Nigend : 235 491 Numéro de livret de solde : 8 080 768
Motti, Julie Nigend : 247 974 Numéro de livret de solde : 8 089 398
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 4 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Champagne-Ardenne,
commandant le groupement
de gendarmerie départementale de la Marne,
B. Jockers
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Basse‑Normandie
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Juban, Philippe Nigend : 126 414 Numéro de livret de solde : 5 279 782
Kinnoo, Gilles Nigend : 139 859 Numéro de livret de solde : 5 272 145
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Hervin, Alexandre Nigend : 188 241 Numéro de livret de solde : 8 038 646
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Himbert, Johann Nigend : 170 774 Numéro de livret de solde : 8 026 454
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Brunaud, Xavier Nigend : 203 739 Numéro de livret de solde : 8 054 990
Jorcin, Kévin Nigend : 301 519 Numéro de livret de solde : 6 665 030
Beaugendre, Fabien Nigend : 247 280 Numéro de livret de solde : 8 089 190
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 4 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Basse-Normandie,
F.-X. Bourges
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Gendarmerie de l’air
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Rudelle, Nicolas Nigend : 140 482 Numéro de livret de solde : 5 281 685
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Roussel, Frédéric Nigend : 136 038 Numéro de livret de solde : 5 322 268
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Lemarié, David Nigend : 152 875 Numéro de livret de solde : 8 010 566
Rahier, Michel Nigend : 162 004 Numéro de livret de solde : 8 018 969
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 5 juin 2014.
Le colonel,
commandant la gendarmerie de l’air,
P. Aubert
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Commandement des écoles
de la gendarmerie nationale
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Marchand, Franck Nigend : 160 466 Numéro de livret de solde : 5 315 930
Stern, Jean-Marc Nigend : 113 031 Numéro de livret de solde : 5 174 966
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Cornet, Patrick Nigend : 159 373 Numéro de livret de solde : 8 016 623
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Gadet, Benoît Nigend : 184 674 Numéro de livret de solde : 8 034 236
Article 4
Le gendarme dont le nom suit est promu au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Le Boucher D’Hérouville, Marion Nigend : 303 387 Numéro de livret de solde : 8 090 917
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 5 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant les écoles de la gendarmerie nationale,
A. Giorgis
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 91201 du 3 décembre 2013 (NOR : INTJ1325285S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Jacquelin, Mylène Nigend : 70 853 Numéro de livret de solde : 5 293 842
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Baracca, Philippe Nigend : 190 344 Numéro de livret de solde : 8 039 506
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 5 juin 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel, adjoint au sous-directeur
de la gestion du personnel,
O. Courtet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 91207 du 3 décembre 2013 (NOR : INTJ1325287S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Burckard, Franck Nigend : 132 802 Numéro de livret de solde : 5 294 711
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 5 juin 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel, adjoint au sous-directeur
de la gestion du personnel,
O. Courtet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 2005-850 du 27 juillet 2005 modifié relatif aux délégations de signature des membres du
Gouvernement ;
Vu le décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier du corps des sous-officiers de
gendarmerie ;
Vu la décision no 91364 du 3 décembre 2013 (NOR : INTJ1325288S),
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Letenneur, Laurent Nigend : 135 300 Numéro de livret de solde : 5 311 602
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Clement, Denis Nigend : 132 809 Numéro de livret de solde : 5 294 718
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Guirao, Virginie Nigend : 169 538 Numéro de livret de solde : 8 025 149
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 5 juin 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le colonel, adjoint au sous-directeur
de la gestion du personnel,
O. Courtet
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
du Limousin
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Guerry, Yannick Nigend : 150 142 Numéro de livret de solde : 8 007 939
Article 2
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Porlier, Alexandre Nigend : 304 955 Numéro de livret de solde : 8 091 009
Audoui, Gauthier Nigend : 248 451 Numéro de livret de solde : 8 089 564
Plateaux, Alexandre Nigend : 241 267 Numéro de livret de solde : 8 088 114
Article 3
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 6 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie du Limousin,
F. Degez
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie du Centre
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Le Ny, Gwenolé Nigend : 163 755 Numéro de livret de solde : 8 020 462
Kowalski, Dominique Nigend : 141 497 Numéro de livret de solde : 8 000 552
Roque, Christophe Nigend : 168 244 Numéro de livret de solde : 8 023 884
Catillon, Jean-Luc Nigend : 140 524 Numéro de livret de solde : 5 325 272
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Sainson, Didier Nigend : 164 651 Numéro de livret de solde : 8 021 382
Dureisseix, Daniel Nigend : 156 573 Numéro de livret de solde : 8 013 936
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Derody, David Nigend : 139 836 Numéro de livret de solde : 5 272 227
Miniot, Anthony Nigend : 191 568 Numéro de livret de solde : 8 045 998
Soltysiak, Bertrand Nigend : 195 777 Numéro de livret de solde : 8 047 972
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Laudy, Julien Nigend : 239 846 Numéro de livret de solde : 8 087 435
Sivigny, Christophe Nigend : 240 994 Numéro de livret de solde : 8 087 978
Copin, Jean-Marie Nigend : 241 640 Numéro de livret de solde : 8 088 176
Le Duff, Sonia Nigend : 241 668 Numéro de livret de solde : 8 088 204
Lafleurielle, Angélique Nigend : 242 484 Numéro de livret de solde : 8 088 518
Vitry, Violette Nigend : 242 508 Numéro de livret de solde : 8 088 539
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 6 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie du Centre,
M. Pidoux
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Picardie
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Laurent, Didier Nigend : 139 863 Numéro de livret de solde : 5 272 147
Jacquel, Cédric Nigend : 178 742 Numéro de livret de solde : 8 029 441
Lacam, Olivier Nigend : 142 332 Numéro de livret de solde : 5 272 441
Courtecuisse, Francis Nigend : 128 990 Numéro de livret de solde : 5 283 635
Laforce, Francis Nigend : 114 612 Numéro de livret de solde : 5 189 850
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Tetard, Alain Nigend : 113 903 Numéro de livret de solde : 5 189 676
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Desenclos, Cyril Nigend : 195 652 Numéro de livret de solde : 8 048 207
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Demonchaux, David Nigend : 214 704 Numéro de livret de solde : 8 068 581
Duhamel, Claude Nigend : 175 179 Numéro de livret de solde : 8 032 860
Bernard, Olivier Nigend : 194 008 Numéro de livret de solde : 8 054 054
Jacqmart, Mickaël Nigend : 220 607 Numéro de livret de solde : 8 083 506
Le Gurun, Solenn Nigend : 301 151 Numéro de livret de solde : 8 090 196
Durteste, Nicolas Nigend : 195 421 Numéro de livret de solde : 8 054 210
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 10 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Picardie,
M. Betton
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Poitou‑Charentes
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Moreau, Guy Nigend : 100 705 Numéro de livret de solde : 5 148 375
Clémenceau, Jean-François Nigend : 116 784 Numéro de livret de solde : 5 178 967
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Desplanques, Antoine Nigend : 157 140 Numéro de livret de solde : 8 014 436
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Boureau, Nicolas Nigend : 177 869 Numéro de livret de solde : 8 029 318
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Manriquez, Paola Nigend : 228 299 Numéro de livret de solde : 8 076 158
Dijoux, Samuel Nigend : 201 759 Numéro de livret de solde : 8 056 779
Leboucher, Bruno Nigend : 209 693 Numéro de livret de solde : 8 050 758
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 11 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Poitou-Charentes,
P. Le Mouël
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
d’Auvergne
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Chopard, Didier Nigend : 146 875 Numéro de livret de solde : 8 004 726
Dubreuil, Sébastien Nigend : 163 730 Numéro de livret de solde : 8 020 432
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Ducret, Patrice Nigend : 148 711 Numéro de livret de solde : 8 006 521
Haas, Alexandre Nigend : 152 345 Numéro de livret de solde : 8 010 352
Vivier, Philippe Nigend : 138 880 Numéro de livret de solde : 5 325 199
Beyne, Marie-Noëlle Nigend : 127 098 Numéro de livret de solde : 5 281 111
Tartary, Franck Nigend : 160 391 Numéro de livret de solde : 8 017 397
Dauguet, Olivier Nigend : 146 074 Numéro de livret de solde : 8 004 426
Demailly, Patrick Nigend : 139 949 Numéro de livret de solde : 5 305 016
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Gomes De Sa, Emilia Nigend : 152 850 Numéro de livret de solde : 8 010 752
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Pagenel, Pierre Nigend : 306 133 Numéro de livret de solde : 8 091 118
Goutay, Myriam Nigend : 210 520 Numéro de livret de solde : 8 063 105
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 12 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie d’Auvergne,
É.-P. Molowa
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Bourgogne
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Stachowicz, David Nigend : 138 875 Numéro de livret de solde : 5 325 196
Delage, Jean-Michel Nigend : 104 403 Numéro de livret de solde : 5 127 022
Jacquey, Gilles Nigend : 164 475 Numéro de livret de solde : 8 020 948
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Tranquille, José Nigend : 70 213 Numéro de livret de solde : 5 293 589
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Gauthier, Olivier Nigend : 173 070 Numéro de livret de solde : 8 027 545
Boussand, Jérôme Nigend : 177 967 Numéro de livret de solde : 8 033 452
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Kuchar, Alexandre Nigend : 228 090 Numéro de livret de solde : 8 076 229
Pinchon, Charline Nigend : 242 014 Numéro de livret de solde : 8 088 275
Gamet, Romain Nigend : 231 137 Numéro de livret de solde : 8 085 331
Chenevoy, Fabien Nigend : 305 835 Numéro de livret de solde : 8 091 031
Lagrue, Jean-Sébastien Nigend : 226 130 Numéro de livret de solde : 8 074 993
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 12 juin 2014.
Le colonel, commandant la région
de gendarmerie de Bourgogne,
commandant le groupement
de gendarmerie départementale de la Côte-d’Or,
J.-L. Favier
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Midi‑Pyrénées
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Lavigne, Philippe Nigend : 108 873 Numéro de livret de solde : 5 158 048
Bock, Daniel Nigend : 107 609 Numéro de livret de solde : 5 157 814
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Lefêvre, Olivier Nigend : 169 304 Numéro de livret de solde : 8 024 963
Article 3
Le maréchal des logis-chef dont le nom suit est promu au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Dal, Dimitri Nigend : 179 431 Numéro de livret de solde : 8 041 845
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Picot, Yoann Nigend : 219 117 Numéro de livret de solde : 8 071 766
Pastre, Virginie Nigend : 205 346 Numéro de livret de solde : 8 058 698
Brunet, Denis Nigend : 181 743 Numéro de livret de solde : 8 041 887
Deronne, Jean Nigend : 127 588 Numéro de livret de solde : 5 281 140
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 12 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Midi-Pyrénées,
A. Pidoux
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Est
_
Décide :
Article 1er
L’adjudant-chef dont le nom suit est promu au grade de major le 1er juillet 2014 :
Michaud, Olivier Nigend : 99 609 Numéro de livret de solde : 5 125 136
Article 2
L’adjudant dont le nom suit est promu au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Carrez, Patrice Nigend : 145 774 Numéro de livret de solde : 8 004 128
Article 3
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Lhomme, Nicolas Nigend : 227 066 Numéro de livret de solde : 8 075 467
Salazar, Romuald Nigend : 229 750 Numéro de livret de solde : 8 077 569
Article 4
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 13 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,
J.-P. Ridao
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et gendarmerie pour la zone de défense
et de sécurité Sud-Est
_
Décide :
Article 1er
Les adjudants-chefs dont le nom suit sont promus au grade de major le 1er juillet 2014 :
Repiquet, Jean-Christophe Nigend : 144 344 Numéro de livret de solde : 8 003 282
Goubinat, Dominique Nigend : 149 295 Numéro de livret de solde : 8 007 141
Wiart, Pascal Nigend : 107 230 Numéro de livret de solde : 5 172 798
Petipas, Alain Nigend : 162 415 Numéro de livret de solde : 8 019 375
Borot, Fabrice Nigend : 144 903 Numéro de livret de solde : 8 003 608
Perret, Claude Nigend : 138 671 Numéro de livret de solde : 5 324 680
Article 2
Les adjudants dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant-chef le 1er juillet 2014 :
Menuel, André Nigend : 107 303 Numéro de livret de solde : 5 172 964
Pringot, Jean-Éric Nigend : 137 997 Numéro de livret de solde : 5 322 186
Article 3
Les maréchaux des logis-chefs dont le nom suit sont promus au grade d’adjudant le 1er juillet 2014 :
Drean, Virgile Nigend : 155 172 Numéro de livret de solde : 8 012 931
Vaillant, Olivier Nigend : 168 810 Numéro de livret de solde : 8 024 595
Baveux, Patrick Nigend : 154 470 Numéro de livret de solde : 8 011 005
Jubin, Samuel Nigend : 173 764 Numéro de livret de solde : 8 032 319
Lopez, Éric Nigend : 191 217 Numéro de livret de solde : 8 039 954
Article 4
Les gendarmes dont le nom suit sont promus au grade de maréchal des logis-chef le 1er juillet 2014 :
Denjean, Frédéric Nigend : 303 816 Numéro de livret de solde : 8 090 568
Chabert, Yannis Nigend : 307 435 Numéro de livret de solde : 8 091 327
Deneux, Loïc Nigend : 242 467 Numéro de livret de solde : 8 088 501
Le Gall, Michaël Nigend : 230 710 Numéro de livret de solde : 8 078 246
Maussire, Thibault Nigend : 304 948 Numéro de livret de solde : 8 091 003
Tremeaux, Grégory Nigend : 219 861 Numéro de livret de solde : 8 072 399
Gostiaux, Denis Nigend : 226 365 Numéro de livret de solde : 8 084 371
Article 5
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 19 juin 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie de Rhône-Alpes
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Sud-Est,
J.-P. Ridao
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de Champagne-Ardenne
_
Décide :
Article 1er
Les personnels de la gendarmerie en activité de service et de la réserve dont la liste est jointe percevront, à
titres individuel, collectif et exceptionnel, au titre de l’année 2013 une prime de résultats exceptionnels.
Article 2
Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en
annexe I.
Article 3
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en
annexe II.
Article 4
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre collectif, aux militaires dont la liste figure en
annexe III.
Article 5
Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en
annexe IV.
Article 6
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en
annexe V.
Article 7
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires de réserve dont la liste
figure en annexe VI.
Article 8
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Elle prendra effet au lendemain de
sa publication.
FFait le 27 juin 2014.
Le général, commandant la région
de gendarmerie de Champagne-Ardenne,
commandant le groupement
de gendarmerie départementale de la Marne,
B. Jockers
ANNEXE I
ANNEXE II
ANNEXE III
ANNEXE IV
ANNEXE V
ANNEXE VI
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Décide :
Article 1er
Mme Hélène Iglesias, officier de protection principal, 8e échelon (IB 864 – IM 706), de l’Office français de protection
des réfugiés et apatrides, est admise à faire valoir ses droits à la retraite à compter du 17 décembre 2014, tous droits
à congés administratifs épuisés.
Article 2
À compter de la même date, Mme Hélène Iglesias est radiée du corps des officiers de protection des réfugiés et
apatrides.
Article 3
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides est chargé de l’exécution de la
présente décision, qui sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 1er juillet 2014.
Le directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides,
P. Brice
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
d’Île-de-France
_
Décide :
Article 1er
Les personnels de la gendarmerie en activité de service et de réserve dont la liste est jointe percevront, à
titres individuel, collectif et exceptionnel, au titre de l’année 2013 une prime de résultats exceptionnels.
Article 2
Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en
annexe I.
Article 3
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre individuel, aux militaires dont la liste figure en
annexe II.
Article 4
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre collectif, aux militaires dont la liste figure en
annexe III.
Article 5
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires qui se sont distingués
à l’occasion de services particuliers en 2013. Cette liste figure en annexe IV.
Article 6
Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en
annexe V.
Article 7
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires dont la liste figure en
annexe VI.
Article 8
Une prime de 500,00 € (cinq cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires de réserve dont la liste
figure en annexe VII.
Article 9
Une prime de 400,00 € (quatre cents euros) est attribuée, à titre exceptionnel, aux militaires de réserve dont la liste
figure en annexe VIII.
Article 10
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur. Elle prendra effet au lendemain de
sa publication.
FFait le 10 juillet 2014.
Le général de corps d’armée,
commandant la région de gendarmerie d’Île-de-France
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité de Paris,
B. Carmichaël
ANNEXE I
A N N E X E II
ANNEXE III
ANNEXE IV
ANNEXE V
ANNEXE VI
ANNEXE VII
ANNEXE VIII
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Décision du 15 juillet 2014fixant les taux de promotion dans le corps des secrétaires de
protection des réfugiés et apatrides de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides
pour les années 2015, 2016 et 2017
NOR : INTV1416868S
Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides ;
Vu le décret no 94-1016 du 18 novembre 1994 modifié fixant les dispositions communes applicables à divers corps
de fonctionnaires de la catégorie B, notamment ses articles 11 et 11-1 (II),
Décide :
Article 1er
Les taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des fonctionnaires de l’Office français de
protection des réfugiés et apatrides pouvant bénéficier d’un avancement de grade au titre des années 2015, 2016
et 2017 dans le corps des secrétaires de protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides en
application du décret du 18 novembre 1994 susvisé sont fixés comme suit :
TAUX APPLICABLES
(en pourcentage)
GRADE
Secrétaire de protection de classe exceptionnelle (les promotions s’effectueront dans la limite des deux
tiers par la voie de l’examen professionnel) ……………………………………………………………… 12 12 12
Article 2
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides est chargé de l’exécution de la
présente décision, qui sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 15 juillet 2014.
Le directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides,
P. Brice
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Décision du 15 juillet 2014fixant les taux de promotion dans le corps des adjoints de protection
des réfugiés et apatrides de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides pour
les années 2015, 2016 et 2017
NOR : INTV1416869S
Vu le décret no 93-34 du 11 janvier 1993 modifié portant statut particulier des corps de fonctionnaires de l’Office
français de protection des réfugiés et apatrides ;
Vu le décret no 2005-1228 du 29 septembre 2005 modifié relatif à l’organisation des carrières des fonctionnaires
de catégorie C,
Décide :
Article 1er
Les taux de promotion permettant de déterminer le nombre maximum des fonctionnaires de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides pouvant bénéficier d’un avancement de grade au titre des années 2015,
2016 et 2017 dans le corps des adjoints de protection de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides en
application du décret du 29 septembre 2005 susvisé sont fixés comme suit :
TAUX APPLICABLES
(en pourcentage)
GRADE
Article 2
Le directeur général de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides est chargé de l’exécution de la
présente décision, qui sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 15 juillet 2014.
Le directeur général de l’Office français
de protection des réfugiés et apatrides,
P. Brice
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_
Sous-direction
de la gestion du personnel
_
Bureau du personnel sous-officier
du corps de soutien
technique et administratif
de la gendarmerie nationale
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la défense ;
Vu le décret no 78-729 du 28 juin 1978 modifié fixant le régime de solde des militaires ;
Vu le décret no 2008-953 du 12 septembre 2008 modifié portant statut particulier des corps de sous-officiers et
officiers mariniers de carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ;
Vu le décret no 2008-961 du 12 septembre 2008 modifié relatif aux militaires engagés ;
Vu l’arrêté du 4 août 2010, pris pour l’application dans la gendarmerie nationale des articles 5 et 18 du décret
no 2008-953 du 12 septembre 2008 portant statut particulier des corps de sous-officiers et officiers mariniers de
carrière des armées et du soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale ;
Vu la circulaire no 25550 DEF/GEND/RH/P/PSOCA du 6 juin 2001, relative aux modalités de classement des
militaires des corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale, de carrière ou servant sous
contrat, dans les différentes échelles de la solde mensuelle ;
Vu la décision no 48145 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 25 juin 2014 portant inscription sur la liste des candidats
reçus à l’examen du brevet supérieur de spécialiste des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif
de la gendarmerie nationale spécialité « administration et gestion du personnel » – session 2014 ;
Vu la décision no 48146 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 25 juin 2014 portant inscription sur la liste des candidats
reçus à l’examen du brevet supérieur de spécialiste des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif
de la gendarmerie nationale spécialité « gestion logistique et financière » – session 2014 ;
Vu la décision no 48148 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 25 juin 2014 portant inscription sur la liste des candidats
reçus à l’examen du brevet supérieur de spécialiste des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif
de la gendarmerie nationale spécialité « auto-engins blindés » – session 2014 ;
Vu la décision no 48151 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 25 juin 2014 portant inscription sur la liste des candidats
reçus à l’examen du brevet supérieur de spécialiste des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif
de la gendarmerie nationale spécialité « affaires immobilières » – session 2014 ;
Vu la décision no 48149 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 25 juin 2014 portant inscription sur la liste des candidats
reçus à l’examen du brevet supérieur de spécialiste des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif
de la gendarmerie nationale spécialité « armurerie-pyrotechnie » – session 2014 ;
Vu la décision no 54761 GEND/DPMGN/SDC/BRCE du 25 juillet 2014 portant inscription sur la liste des candidats
reçus à l’examen du brevet supérieur de spécialiste des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de
la gendarmerie nationale spécialité « restauration collective » – session 2014,
Décide :
Article 1er
L’échelle de solde no 4 est accordée à compter du 1er août 2014 aux sous-officiers du corps de soutien technique et
administratif de la gendarmerie nationale dont le nom figure ci-après :
Spécialité administration et gestion du personnel
Ancelle, Céline Nigend : 204 688 Numéro de livret de solde : 8 060 381
Aouadi, Nora Nigend : 210 447 Numéro de livret de solde : 8 065 523
Avinin, Michael Nigend : 165 355 Numéro de livret de solde : 8 021 901
Bauerle, Cathy Nigend : 193 806 Numéro de livret de solde : 8 049 496
Belaud, Gwénaëlle Nigend : 205 754 Numéro de livret de solde : 8 055 344
Bertoli, Laure Nigend : 306 622 Numéro de livret de solde : 8 091 148
Binet, Armelle Nigend : 218 856 Numéro de livret de solde : 8 071 630
Bluteau, Lydie Nigend : 304 231 Numéro de livret de solde : 8 090 712
Bon, Linda Nigend : 209 576 Numéro de livret de solde : 8 051 130
Bossard, Stéphanie Nigend : 195 002 Numéro de livret de solde : 8 048 093
Bouchet, Virginie Nigend : 212 761 Numéro de livret de solde : 8 063 656
Boukhallad, Maria Nigend : 174 461 Numéro de livret de solde : 8 034 525
Boust, Prescillia Nigend : 225 295 Numéro de livret de solde : 8 074 392
Brunet, Patrice Nigend : 171 513 Numéro de livret de solde : 8 026 150
Cabrera, Honorine Nigend : 207 282 Numéro de livret de solde : 8 061 297
Cannée, Virginie Nigend : 213 734 Numéro de livret de solde : 8 067 970
Carbonnet, Nathalie Nigend : 206 313 Numéro de livret de solde : 8 055 361
Carre, Delphine Nigend : 194 988 Numéro de livret de solde : 8 048 102
Chatonnier, Aurélie Nigend : 304 241 Numéro de livret de solde : 8 090 723
Cherel, Delphine Nigend : 216 874 Numéro de livret de solde : 8 070 193
Cherifi, Yamna Nigend : 214 782 Numéro de livret de solde : 8 068 882
Chevalier, Gaëlle Nigend : 301 123 Numéro de livret de solde : 8 090 326
Coquillot, Séverine Nigend : 220 303 Numéro de livret de solde : 8 072 502
Cottet, Périnne Nigend : 200 503 Numéro de livret de solde : 8 042 859
Daste, Angélique Nigend : 224 116 Numéro de livret de solde : 8 073 970
Daubresse, Virginie Nigend : 205 777 Numéro de livret de solde : 8 055 371
Debray, Caroline Nigend : 197 651 Numéro de livret de solde : 8 055 896
Delorme, Emilie Nigend : 234 295 Numéro de livret de solde : 8 079 921
Demarquette, Isabelle Nigend : 195 861 Numéro de livret de solde : 8 056 410
Demartin, Marianne Nigend : 195 711 Numéro de livret de solde : 8 048 112
Doléac, Nathalie Nigend : 162 718 Numéro de livret de solde : 8 013 032
Dousset, Séverine Nigend : 228 925 Numéro de livret de solde : 8 076 972
Duchemin, Cécile Nigend : 194 902 Numéro de livret de solde : 8 054 179
Dumas, Karen Nigend : 240 499 Numéro de livret de solde : 8 094 494
Durieux, Amandine Nigend : 219 489 Numéro de livret de solde : 8 072 081
Etheves, Émilie Nigend : 216 892 Numéro de livret de solde : 8 070 210
Fadon, Aurélie Nigend : 233 059 Numéro de livret de solde : 8 079 246
Flajolet, Nadège Nigend : 221 319 Numéro de livret de solde : 8 073 369
Florecq, Cathy Nigend : 164 391 Numéro de livret de solde : 8 023 149
Foissier, Mehdi Nigend : 208 608 Numéro de livret de solde : 6 638 311
Fray, Hélène Nigend : 204 691 Numéro de livret de solde : 8 060 405
Gagnon, Catherine Nigend : 227 042 Numéro de livret de solde : 8 075 448
Gallet, Laetitia Nigend : 240 510 Numéro de livret de solde : 8 094 505
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 28 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le général, sous-directeur
de la gestion du personnel,
T. Morterol
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_
Sous-direction de la gestion
du personnel
_
Bureau du personnel sous-officier
de gendarmerie et volontaire
_
Références :
Décret no 2008-952 du 12 septembre 2008 (JO no 216 du 16 septembre 2008, texte 34) modifié portant statut
particulier du corps des sous-officiers de gendarmerie ;
Arrêté du 4 août 2010 (JO no 195 du 24 août 2010, texte 6) modifié fixant pour la gendarmerie nationale la com-
position et l’organisation de la commission prévue à l’article L. 4136-3 du code de la défense ;
Arrêté du 17 novembre 2010 (JO no 271 du 23 novembre 2010, texte 3) modifié fixant les titres professionnels et
la qualification exigés pour la promotion des sous-officiers de gendarmerie aux grades de maréchal des logis-
chef et d’adjudant-chef ;
Arrêté du 5 avril 2012 (JO no 105 du 4 mai 2012, texte 30) modifié relatif à la répartition des sous-officiers de
gendarmerie par subdivision d’arme, par branche ou par spécialité et fixant les branches et spécialités au sein
desquelles l’avancement intervient de façon distincte ;
Arrêté du 14 décembre 2012 (JO no 299 du 23 décembre 2012, texte 23) modifié portant délégation de pouvoirs
du ministre de l’intérieur en matière d’administration et de gestion du personnel militaire de la gendarmerie
nationale ;
Arrêté du 5 novembre 2013 (JO no 262 du 10 novembre 2013, texte 11) relatif à la composition de la commission
prévue à l’article L. 4136-3 du code de la défense et aux délégations de pouvoirs du ministre de l’intérieur en
matière d’administration et de gestion du personnel militaire de la gendarmerie nationale au sein de la région
de gendarmerie de Lorraine, gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité Est, de la région de gen-
darmerie d’Alsace, de la région de gendarmerie de Bourgogne, de la région de gendarmerie de Champagne-
Ardenne et de la région de gendarmerie de Franche-Comté ;
Arrêté du 20 février 2014 (NOR : INTJ1405232A) relatif aux niveaux de fusionnement des militaires de la gen-
darmerie nationale ;
Instruction no 33000 du 18 mai 2011 (NOR : IOCJ1105977J) relative à l’avancement des sous-officiers de gendar-
merie (en cours de refonte).
Pièces jointes : sept annexes.
L’instruction de référence fixe les dispositions relatives à l’avancement des sous-officiers de gendarmerie ainsi
que celles inhérentes à la mise en place du tableau. Elle pose les principes généraux de l’avancement (condi-
tions, mobilité, dialogue de gestion et mérite) puis son phasage (volontariat, préparation, arrêt et exploitation
du tableau d’avancement).
La présente circulaire apporte les directives complémentaires pour le tableau d’avancement (TA) 2015.
1
Exprimer son volontariat alors que sa notation juridique ne figure pas dans la fiche individuelle de renseignement (FIR) contraint le ges-
tionnaire déconcentré à une procédure de régularisation en liaison avec le volontaire. C’est donc dans un souci d’efficacité qu’il est recommandé
d’exprimer son volontariat après la prise en compte de la notation juridique dans Agorh@.
2
Cette opération vise à permettre aux autorités de fusionnement d’accéder aux dossiers des militaires ayant exprimé leur volontariat à l’avan-
cement.
3
Pour ce qui concerne les spécialistes, la DGGN/DPMGN/SDGP/BPSOGV/SSOGS (section sous-officiers (SOG) spécialistes) doit impérativement
être informée de toute « demande tardive » établie par un SOG spécialiste. Elle seule est autorisée à supprimer et/ou modifier sur l’application Agorh@ les
« demandes tardives » pour les personnels qui relèvent de son périmètre.
4
Les listes des personnels volontaires, le procès-verbal de la commission d’avancement et l’état de positionnement sont archivés à l’échelon
local. Ils sont transmis uniquement sur demande particulière.
5
Le formalisme des modèles joints (annexes IV à VII) doit être scrupuleusement respecté.
Conformément à l’article R. 4135-5 du code la défense, il est rappelé que le militaire qui n’a pas accompli au moins
120 jours de présence effective en position d’activité durant la période de notation, n’est pas noté au titre de l’année
considérée. Dans ce cas, sa dernière notation lui est conservée. Ces dispositions seront impérativement appliquées.
6.1. Composition
Les commissions d’avancement sont composées conformément aux arrêtés du 4 août 2010 et du 5 novembre 2013, susvisés.
–– pour la branche « formations extérieures », dont la réunion est arrêtée au 13 novembre 2014 matin, les noms,
grades et fonctions, des membres titulaires et suppléants proposés par l’inspection générale des armées - gendar-
merie, par l’inspection générale de la gendarmerie nationale, par la direction de la protection et de la sécurité de
la défense et par la gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires ;
–– pour la branche « secrétariat », dont la réunion est arrêtée au 13 novembre 2014 après-midi, les noms, grades et
fonctions, des membres titulaires et suppléants désignés par les autorités compétentes.
Les commandants de la gendarmerie de l’air, de la gendarmerie maritime, de la gendarmerie des transports aériens,
de la gendarmerie de l’armement, des formations composant la branche « technique » et la branche « administrative »,
feront connaître leurs besoins en membres titulaires ou suppléants ainsi que la date de la commission d’avancement
pour le 6 octobre 2014, sous référence du présent timbre.
6.2. Procès-verbal
Les listes nominatives des volontaires, annexées au procès-verbal de la commission, seront établies par grade, sans
omission, ni modification, conformément à l’annexe I de l’instruction de référence. Les volontaires seront classés
dans l’ordre alphabétique du patronyme. Seuls les personnels proposés à l’inscription (PI) porteront un numéro de
préférence (numérateur sans dénominateur). Les autres personnels ne feront pas l’objet d’un classement préférentiel.
Il est rappelé que les dispositions relatives à la mobilité et au dialogue de gestion dans le cadre de l’avancement de
grade, précisées au point 1.3 de l’instruction de référence, sont à appliquer stricto sensu.
Les militaires placés en congé de longue durée pour maladie ou en congé de longue maladie conservent leur droit
à l’avancement lorsque l’affection survient du fait ou à l’occasion de l’exercice des fonctions ou à la suite de l’une des
causes exceptionnelles prévues à l’article L. 27 du code des pensions civiles et militaires de retraite.
Un militaire inscrit au tableau d’avancement, détaché en application des articles L. 4139-1, L. 4139-2 ou L. 4139-3
du code de la défense, ne peut être promu durant son détachement. Les promotions des militaires inscrits après lui
continuent, conformément aux dispositions de l’article L. 4136-3 du code de la défense. Le militaire détaché sera
promu le premier jour du mois qui suit sa réintégration.
ANNEXE I
ATTACHE UNITÉ
CONFIDENTIEL PERSONNEL SOUS-OFFICIERS
No __________________
ADJUDANTS-
MAJORS ADJUDANTS MARÉCHAUX DES LOGIS-CHEFS
chefs
3. Repyramidage 2015
PERTES 2015
7. Vacances probablesf
GAINS 2015
CONDITIONNANTS
VOLONTAIRES À L’AVANCEMENT
a
Préciser la branche ou la spécialité.
b
Cadre général : déduire les effectifs autorisés dans toutes les spécialités et les personnels affectés au sein de la direction de la protection et de la
sécurité de la défense (DPSD).
c
Cadre général : déduire les effectifs réalisés dans toutes les spécialités (sauf SOG affaires immobilières), les personnels affectés au sein de la
DPSD et les GFC pour le grade d’adjudant.
d
Radiations des cadres par limite d’âge (LA) ou par anticipation (effective à l’établissement du présent état). Sur pièce jointe, fournir par grade,
le nigend, le nom, le prénom et la date de radiation effective.
e
Répercussion des possibilités d’inscriptions aux grades d’adjudant-chef et d’adjudant.
f
Calculées sur la moyenne des flux sortants constatés sur les deux dernières années (hors radiations certaines connues lors de l’établissement des
états justificatifs des années concernées).
g
Dont la réalisation relève des attributions des autorités déconcentrées. Aucun mouvement ne devra être pris en compte sans l’accord de principe
écrit de la branche d’accueil. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, le prénom, l’affectation d’accueil et la date du mouvement.
h
Cf. point 2. de la présente circulaire. Sur pièce jointe, fournir par grade, le nigend, le nom, prénom, la date de radiation par limite d’âge.
ANNEXE II
ATTACHE UNITÉ
CONFIDENTIEL PERSONNEL SOUS-OFFICIERS
No __________________
ADJUDANTS-
MAJORS ADJUDANTS MARÉCHAUX DES LOGIS-CHEFS
chefs
VOLONTAIRES À L’AVANCEMENT
_________________
Préciser la branche ou la spécialité.
a
Encadrement
OPJ/DA/DS MDC ADJ ADC MAJ ou OGR
Commandement
Gestion
MDC ADJ
de fin de carrière
Âge 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59
ANNEXE IV
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie de
XXXXXXXXXXXX
et gendarmerie pour la zone
de défense et de sécurité
XXXXXXXXXX
_
Décision no XXXXX du (jour mois année) portant inscription au tableau d’avancement pour l’année XXXX du
personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de XXXXXXXXXX
NOR : INTJ0000000S
Décide :
Article 1er
Le tableau d’avancement pour l’année XXXX du personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la
région de gendarmerie de XXXXXXXXXX – subdivision d’arme de la gendarmerie départementale – est arrêté ainsi
qu’il suit :
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Le grade,
commandant la région de gendarmerie de XXXXX
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité XXXXX,
Lettre(s) initiale(s) du prénom en majuscule. NOM
ANNEXE V
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de XXXXXXXXXXXX
et gendarmerie pour la zone
de défense et de sécurité
XXXXXXXXXX
_
Décision no XXXXX du (jour mois année) portant inscription au tableau d’avancement pour l’année XXXX du
personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité
XXXXXXXXXX
NOR : INTJ0000000S
Décide :
Article 1er
Le tableau d’avancement pour l’année XXXX du personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de
la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité XXXXXXXXXX – subdivision d’arme de la gendarmerie
mobile – est arrêté ainsi qu’il suit :
Pour le grade de major, les adjudants-chefs :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade d’adjudant-chef, les adjudants :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade d’adjudant, les maréchaux des logis-chefs :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade de maréchal des logis-chef, les gendarmes :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le (jour mois an).
Le grade,
commandant la région de gendarmerie de XXXXX
et la gendarmerie pour la zone de défense et de sécurité XXXXX,
Lettre(s) initiale(s) du prénom en majuscule. NOM
ANNEXE VI
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de XXXXXXXXXXXX
_
Décision no XXXXX du (jour mois année) portant inscription au tableau d’avancement pour l’année XXXX du
personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de XXXXXXXXXX
NOR : INTJ0000000S
Décide :
Article 1er
Le tableau d’avancement pour l’année XXXX du personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la
région de gendarmerie de XXXXXXXXXX – subdivision d’arme de la gendarmerie départementale – est arrêté ainsi
qu’il suit :
Pour le grade de major, les adjudants-chefs :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade d’adjudant-chef, les adjudants :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade d’adjudant, les maréchaux des logis-chefs :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade de maréchal des logis-chef, les gendarmes :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le (jour mois an).
Le grade,
commandant la région de gendarmerie de XXXXX,
Lettre(s) initiale(s) du prénom en majuscule. NOM
ANNEXE VII
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Région de gendarmerie
de XXXXXXXXXXXX
_
Décision no XXXXX du (jour mois année) portant inscription au tableau d’avancement pour l’année XXXX du
personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la région de gendarmerie de XXXXXXXXXX
NOR : INTJ0000000S
Décide :
Article 1er
Le tableau d’avancement pour l’année XXXX du personnel sous-officier de gendarmerie du cadre général de la
région de gendarmerie de XXXXXXXXXX – subdivision d’arme de la gendarmerie départementale – est arrêté ainsi
qu’il suit :
Pour le grade de major, les adjudants-chefs :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade d’adjudant-chef, les adjudants :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade d’adjudant, les maréchaux des logis-chefs :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Pour le grade de maréchal des logis-chef, les gendarmes :
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Nom, Prénom Nigend : 000 000
Article 2
La présente décision sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le (jour mois an).
Le grade,
commandant la région de gendarmerie de XXXXX,
commandant le groupement de gendarmerie départementale de XXXXX,
Lettre(s) initiale(s) du prénom en majuscule. NOM
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_
Sous-direction de la politique
des ressources humaines
_
Bureau des droits individuels
_
Références :
Décret no 2011-775 du 28 juin 2011 relatif à l’audit interne dans l’administration ;
Instruction no 147 DEF/DCCAT/AG/S du 11 juillet 1988 sur l’exécution du service de la solde à l’usage des
organismes payeurs abonnés aux procédures automatisées mises en œuvre par le commissariat de l’armée de
terre (BOEM 527-0.1.2) ;
Instruction no 288/DEF/GEND/CAB du 21 janvier 2005, relative à l’exercice du pouvoir d’inspection et la pra-
tique du contrôle dans la gendarmerie (BOC no 18 du 29 mai 2009, texte 12 ; BOEM 650 - CLASS. : 31.37) ;
Circulaire no 27200/GEND/CAB du 21 mars 2012, relative à l’exercice du contrôle interne dans les domaines
administratifs, financiers et logistiques (n.i. BO – CLASS. : 31.37) ;
Circulaire no 86500/GEND/DSF/SDAF/BIFC du 23 octobre 2012 relative à la mise en œuvre du contrôle interne
comptable dans la gendarmerie nationale (n.i. BO – CLASS. : 93.01) ;
Circulaire provisoire no 5874/GEND/DPMGN/SDPRH/BDI du 6 mars 2013 relative à l’organisation du contrôle
interne pour la fiabilisation du système d’informations des ressources humaines dans le domaine de la solde
des militaires de la gendarmerie (n.i. BO – CLASS. : 31.37).
Pièces jointes : neuf annexes.
SOMMAIRE
Préambule
1. Principes
1.1. Rappel générique sur la définition et la finalité du contrôle interne
1.2. Transposition du contrôle interne sur le système d’information des droits individuels PSIDI
1.3. Contraintes
Préambule
Au cours des 5 dernières années, l’environnement du soutien de la solde de la gendarmerie a été considérablement
modifié par :
–– la réorganisation des commissariats d’armées en un service du commissariat des armées unique et l’attribution
de la responsabilité de la solde à la fonction « ressources humaines » de chaque armée ;
–– la disparition progressive de la surveillance administrative et de la vérification des comptes ;
–– l’obligation générale de mettre en place un contrôle interne visant à assurer la maîtrise des risques liés à la ges-
tion des politiques publiques, imposé par le décret de première référence ;
–– l’obligation de mettre en place un dispositif de contrôle interne budgétaire et comptable imposé par l’article 170
du décret no 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique.
Enfin, dans la perspective d’un raccordement à moyen terme à un nouveau calculateur de solde, il est indispensable
d’assurer la fiabilisation des données de référence entre le SI-Agorh@ et le calculateur de solde actuel PSIDI. En
effet, c’est le calculateur actuel qui servira de référence pour tester le développement du nouveau calculateur et pour
assurer ainsi la bascule d’un dispositif à un autre dans les meilleures conditions possibles. Seule la combinaison de
données RH et d’un référentiel de solde fiables permettront d’assurer avec succès le passage à un nouveau système
d’informations de la solde.
Pour toutes ces raisons, la mise en place d’un dispositif de contrôle interne du système de solde actuel « PSIDI »
est devenue aujourd’hui un impératif.
Le processus de contrôle interne de la solde PSIDI a notamment pour objet de veiller à l’exactitude et à la
régularité des informations saisies grâce à un dispositif traçable qui permettra de justifier en permanence l’effectivité
et l’efficacité des moyens de contrôle exercés.
La présente circulaire décrit l’organisation du contrôle interne solde « PSIDI ». Elle définit les méthodes et les outils
permettant de mettre en place un dispositif destiné à maîtriser les risques liés à la saisie des informations dans le
système d’informations de la solde des militaires de la gendarmerie.
1. Principes
1.1. Rappel générique sur la définition et la finalité du contrôle interne
Le contrôle interne se définit comme « l’ensemble des dispositifs organisés, formalisés et permanents mis en œuvre
par les responsables de tous les niveaux, qui visent à maîtriser les risques liés à la réalisation des objectifs ; ces
dispositifs sont destinés à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation de l’objectif de qualité comptable ».
Le contrôle interne s’appuie sur un diagnostic qui vise à identifier les risques, leur impact potentiel et leur probabilité
de réalisation. Cette analyse préalable permet d’établir des priorités et de prévoir en conséquence les activités de
contrôle. Elle permet, en outre, de n’y consacrer que le temps et les moyens strictement nécessaires. Par conséquent,
les contrôles ne doivent pas viser l’exhaustivité des tâches, mais doivent être ciblés sur celles qui présentent les plus
grandes vulnérabilités.
1.2. Transposition du contrôle interne sur le système d’information des droits individuels (PSIDI)
Le contrôle interne appliqué au dispositif de solde actuel a pour objet de s’assurer de l’exactitude des saisies opérées
par les décompteurs dans le système d’informations « PSIDI ». Il s’agit principalement d’organiser et de formaliser le
contrôle en exploitant et en optimisant tous les moyens et toutes les informations aujourd’hui disponibles, y compris
en effectuant des rapprochements avec le SI-Agorh@.
Cette circulaire ne traite donc pas de la partie « comptable » du contrôle interne qui relève de la compétence de la
direction des soutiens et des finances, conformément aux dispositions de la circulaire de quatrième référence.
1.3. Les contraintes
Le dispositif de fiabilisation permettant d’atteindre l’objectif précité repose sur :
–– une organisation et des acteurs bien identifiés ;
–– la mise en place de moyens de contrôle ;
–– l’exercice d’un contrôle effectif et efficace, transparent et dûment tracé.
–– 1er niveau : contrôle exercé au sein des Services experts des ressources humaines (SERH) de Rennes et Bordeaux
ou du Centre expert des ressources humaines (CERH) de l’ECASGN. Pour l’application de la présente circu-
laire, les SERH et le CERH seront également appelés de manière générique « centres payeurs » ;
–– 2e niveau : contrôle hiérarchique du directeur de l’établissement central de l’administration et du soutien de la
gendarmerie nationale (ECASGN) ;
–– 3e niveau : contrôle exercé par la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN).
2.1. 1er niveau : le contrôle interne exercé au sein des centres payeurs (SERH et CERH)
2.1.1. Responsabilité du contrôle interne « PSIDI »
Le commandant du CERH et les chefs des SERH sont responsables du contrôle interne de la solde au sein de leur
formation. Leur rôle consiste notamment à :
–– conduire et animer le contrôle interne de leur organisme ;
–– relayer les directives de la DGGN et lui adresser les comptes-rendus relatifs aux actions de contrôle exercées ;
–– s’assurer de la bonne exécution du contrôle interne ;
–– proposer les évolutions du dispositif de contrôle interne.
2.1.2. Organisation du contrôle interne « PSIDI » au sein des centres payeurs
2.1.2.1. Les sections « exploitation de la solde »
L’encadrement et les décompteurs-analystes des sections sont chargés de la saisie des informations dans le système
d’informations « PSIDI ». Chacun à leur niveau, ils procèdent à des opérations élémentaires de contrôle pendant les
phases de préparation et d’exploitation de la solde, avant et après paiement.
2.1.2.2. Les bureaux « solde »
Les chefs des bureaux solde et leurs adjoints, auxquels sont subordonnées les sections d’exploitation de la solde,
sont chargés d’animer le traitement de la solde et exercent à leur niveau un contrôle de supervision de toutes les
phases d’élaboration de la solde (préparation, exploitation, traitement avant et après paiement).
2.1.2.3. Le bureau « contrôle interne »
Le bureau « contrôle interne », composé de personnels expérimentés, est placé directement sous la responsabilité du
chef du centre payeur. Sa mission consiste à exercer l’essentiel du contrôle interne de supervision a posteriori.
2.1.3. Transmission d’un « organigramme nominatif fonctionnel »
Sous couvert du directeur de l’ECASGN, les centres payeurs transmettent à la DGGN (SDRPH-BDI) un
organigramme nominatif indiquant les effectifs réalisés et les fonctions occupées : nom, prénom, grade, fonction
tenue précise (ex : décompteur, chef de groupe, chef de section etc...). Pour tout changement de personnel, cet
« organigramme nominatif fonctionnel » est mis à jour et transmis à la DGGN dans les mêmes conditions.
2.2. 2e niveau : le contrôle hiérarchique du directeur de l’ECASGN
Le contrôle interne de 2e niveau est exercé par le directeur de l’ECASGN.
Le directeur de l’ECASGN est responsable de la mise en œuvre des directives de la DGGN en matière de contrôle
interne au sein des formations qui lui sont subordonnées.
Il donne les directives, permanentes ou ponctuelles, nécessaires à l’organisation du contrôle interne au sein des
SERH et du CERH. Il contrôle la pertinence des directives d’organisation et d’exploitation du contrôle interne
établies par les centres payeurs, et leur effectivité.
À cet effet, il exerce toutes les prérogatives dévolues par les textes de 3e et 4e références.
2.3. 3e niveau : la fonction de pilotage de la DGGN
Le directeur des personnels militaires de la gendarmerie nationale (DPMGN) assure la fonction de pilotage de la
partie « amont » du processus de la solde.
La mission, confiée à la sous-direction de la politique des ressources humaines, consiste à :
–– concevoir, piloter et animer le contrôle interne ;
–– piloter le dialogue et les relations avec les services du ministère de la défense intervenant dans le processus de
la solde : Service ministériel opérateur des droits individuels (SMODI), Centre de développement des applica-
tions de la défense de Rambouillet (CDAD/R), Direction de l’informatique et des réseaux d’infrastructure des
systèmes d’information (DIRISI), du Centre-expert des ressources humaines des personnels civils de Bordeaux
(CERH-PC - section des moyens informatiques) ;
–– répondre aux sollicitations des instances d’audit interne et externe (Inspection générale de la gendarmerie natio-
nale, Inspection générale pour l’administration, Direction générale des Finances publiques, Cour des comptes...).
Le schéma d’organisation du contrôle interne est joint en annexe I.
3. Les moyens mis en place pour l’exercice du contrôle interne
3.1. Finalités
Les moyens mis en place répondent à une double finalité : fiabiliser les informations selon les orientations données
et assurer une traçabilité des opérations de traitement de la solde et de contrôle réalisées. La traçabilité, appliquée
sur l’ensemble de la chaîne de traitement, répond à une nécessité de transparence qui permet dans toute la mesure
du possible :
–– de reconstituer l’ordre chronologique d’une opération ;
–– de détecter les sources d’anomalies ou d’erreurs ;
Le contrôle, puisqu’il porte sur la légalité des droits ouverts, devra également être exercé sur les travaux préparatoires
à la saisie qui ont été réalisés en amont hors outil (par exemple : calcul d’une indemnité hors outil PSIDI).
4.2.1.3. Le contrôle de supervision
Ce contrôle est exercé quotidiennement, principalement à partir du journal de saisie, des pièces justificatives, des
feuillets de livret de solde principaux et familiaux et des documents élaborés par le décompteur-analyste (états de
régularisation, états de paiements directs notamment). Il est matérialisé par l’apposition du paraphe et de la date sur
les documents précités.
4.2.2. Deuxième degré de contrôle : le contrôle du chef du bureau « solde »
Il s’agit d’un contrôle de supervision assuré par l’encadrement essentiellement au vu des listes et extractions
transmises par la section des moyens informatiques du CERH-PC de Bordeaux ou de certaines requêtes.
4.2.3. Troisième degré de contrôle : le contrôle exercé au niveau du bureau « contrôle interne »
Il s’agit d’un contrôle de supervision assuré par les personnels du bureau contrôle interne au vu des requêtes
établies mensuellement par le CERH du Blanc ou à partir des propres requêtes et rapprochements élaborés au niveau
du centre ou du service. Les anomalies signalées sont systématiquement exploitées.
5.1.2.4. Le cas particulier de l’utilisation de comptes PSIDI par les tiers identifiés
Le système d’informations PSIDI demande à évoluer en permanence et pour ce faire, les développeurs et les
gestionnaires de base de données doivent bénéficier d’un accès spécifique et identifiable. Ils disposent dorénavant de
comptes PSIDI dits « super-administrateurs » qui leur donne l’accès complet à l’ensemble des « OP ». Les opérations
effectuées par ses tiers identifiés sont également « historisées » et consultables.
5.2. La traçabilité des opérations de saisie
La traçabilité des opérations de saisie est assurée grâce au journal de saisie et aux feuillets du livret de solde
principal ou familial édités directement à partir du système d’informations PSIDI.
5.2.1. Le journal de saisie
Retraçant exactement l’ensemble des opérations de saisie effectuées la veille, le journal de saisie est utilisé par :
–– les décompteurs pour contrôler systématiquement le bien-fondé et l’exactitude des informations saisies la
veille (auto-contrôle) ;
–– le binôme ou le chef de groupe (contrôle mutuel) ;
–– l’encadrement et les chefs de section ou de bureau dans le cadre de leurs prérogatives de supervision.
Ces opérations sont conservées :
–– en document « papier » par chaque décompteur, dans un classeur ouvert à cet effet. Les journaux de saisie sont
ainsi conservés un an et détruits passé ce délai ;
–– dans un fichier informatique centralisé pendant une durée de deux ans.
5.2.2. Les feuillets « livret de solde principal » et « livret de solde familial »
Lors de la saisie dans l’outil PSIDI par le décompteur, ces documents sont renseignés de manière manuscrite puis
archivés dans le « dossier solde » afin de tracer les modifications apportées sur la situation du militaire.
Cette traçabilité permettra ultérieurement de comparer le résultat de la saisie tel qu’il apparaît dans l’édition
automatique des feuillets, au moment du « pointage de la solde ».
Ce tableau, dont le modèle figure en annexe VII, intégrant les indicateurs listés en annexe VIII, permet de faire
remonter à la DGGN des indicateurs relatifs :
–– à l’organisation du centre payeur ;
–– à la charge globale du centre payeur et à l’exploitation de la solde ;
–– à la dépense réalisée ;
–– aux opérations de contrôle interne accomplies ;
–– au contentieux ;
–– à la formation.
6.2.3. Le livret de solde et l’archivage des pièces justificatives
Il est indispensable de conserver les pièces ou documents divers justifiant de la situation du militaire.
Ces documents seront d’autant plus nécessaires que, lorsqu’il y aura bascule sur un autre calculateur de solde, il y
aura intérêt à être en mesure de reconstituer l’historique de la solde du militaire afin, le cas échéant, d’être en mesure
de régulariser ses droits (trop-perçu ou moins-perçu) ou de traiter un éventuel recours.
Ces documents seront conservés en « archives courantes » au minimum pendant 5 années après le raccordement à
un nouveau calculateur, afin d’être en mesure de couvrir les délais de prescription en trop-versé ou en moins-versé.
FFait le 15 juillet 2014.
ANNEXE I
ANNEXE I
SCHÉMASCHEMA
D’ORGANISATION DU CONTRÔLE
D'ORGANISATION INTERNE
DU CONTROLE PSIDI
INTERNE PSIDI
ANNEXE II
- 1/6 - ANNEXE II
LISTE DES PROCESSUS, SOUS-PROCESSUS ET INDEMNITÉS AFFÉRENTES
LISTE DES PROCESSUS, SOUS-PROCESSUS ET INDEMNITES AFFERENTES
MOBILITE
2 212
PROFESSIONNELLE INDEMNITÉ D'ÉTABLISSEMENT
21 MOBILITE ETRANGER
213 INDEMNITÉ FORFAITAIRE DE CONGÉ
AVANCE DE SOLDE OPEX (avance avant départ et retenue afférente sous code 759)
305
Retenue avance trésorier militaire sous code 102
COMPENSATION
INDEMNITÉ SPÉCIALE ALLOUÉE AU PERSONNEL MILITAIRE AFFECTÉ À L'ÉCOLE SPÉCIALE MILITAIRE OU À L'ÉCOLE
DES ABSENCES, 313
INTERARMÉES DE COËTQUIDAN
DES RISQUES
3
ENCOURUS ET DES 314 INDEMNITE POUR TRAVAIL DANS LES SOUTERRAINS NON AMENAGES OU SOUS BETON
SUJÉTIONS
PARTICULIÈRES RISQUES LIÉS AU
31 MÉTIER MILITAIRE 315 INDEMNITÉ POUR SERVICES AÉRIENS DES MILITAIRES PARACHUTISTES
40 QUALIFICATIONS 402 PRIME DE QUALIFICATION AUX OFFICIERS TITULAIRES DE BREVETS MILITAIRES SUPÉRIEURS (QAL64)
403 PRIME DE QUALIFICATION ATTRIBUÉES AUX OFFICIERS ISSUS DE CERTAINES ÉCOLES (QAL68)
INDEMNITÉ SPÉCIALE AUX CHEFS DE MUSIQUE ET AUX CHEFS D'ORCHESTRES DE LA GR, À L'EMPLOI DE CHEF DES
411
ORCHESTRES DE LA GR (MUSI 12)
INDEMNITÉS SPÉCIALES AUX CHEFS DE MUSIQUE ADJOINTS, CHEFS ADJOINTS DES ORCHESTRES ET SOUS-CHEFS DE
412
MUSIQUE, AUX MUSICIENS DE TOUS GRADES, HORS CLASSE ET HORS CLASSE DERNIER ÉCHELON (MUSI 36)
TECHNICITÉS
41 PARTICULIÈRES
413 PRIME DE 1ER OU 2ÈME SOLISTE (MUSI 78)
414 INDEMNITÉ POUR SERVICE SPÉCIAL VERSÉE AUX PARTICIPANTS DES FORMATIONS MUSICALES DES ARMÉES (MUSI SP)
415 INDEMNITE POUR SUJETIONS PARTICULIERES DES PERSONNELS DES CABINETS MINISTERIELS
COMPENSATION DES
52 RESPONSABILITÉS 520 NOUVELLE BONIFICATION INDICIAIRE
GESTION DES EXERCÉES
5
CARRIERES
RECONNAISSANCE DES
53 RÉSULTATS OBTENUS
530 PRIME DE RÉSULTATS EXCEPTIONNELS
600 ALLOCATION MENSUELLE AUX PARENTS D'ENFANTS HANDICAPÉS OU INFIRMES ÂGÉS DE MOINS DE 20 ANS
ALLOCATIONS – AIDES
60 DESTINÉES AUX
PARENTS ALLOCATION SPÉCIALE POUR ENFANTS ATTEINTS D'UNE MALADIE CHRONIQUE OU D'UNE INFIRMITÉ ET POURSUIVANT
601
DES ÉTUDES OU UN APPRENTISSAGE AU-DELÀ DE 20 ANS ET JUSQU'À 27 ANS
ALLOCATIONS – AIDES
DESTINÉES AUX
61 ENFANTS EN
610 SUPPLÉMENT FAMILIAL DE SOLDE
MÉTROPOLE
AIDE A LA FAMILLE POUR L'EMPLOI D'UNE ASSISTANTE MATERNELLE AGREEE DANS LES DEPARTEMENTS D'OUTRE-
632
MER
ALLOCATIONS – AIDES
DESTINÉES AUX
63 ENFANTS HANDICAPES
SITUATION EN METROPOLE OU 633 COMPLEMENT D'ALLOCATION D'EDUCATION DE L'ENFANT HANDICAPE
6 FAMILIALE DU OUTRE-MER
MILITAIRE
634 MAJORATION DE L'ALLOCATION D'EDUCATION DE L'ENFANT HANDICAPE
ALLOCATIONS – AIDES
644 ALLOCATION DE PRESENCE PARENTALE
DESTINÉES AUX
64 ENFANTS EN
METROPOLE OU OUTRE-
MER 645 ALLOCATION RENTREE SCOLAIRE
647 PFCOFA
648 PFRESS
701 CSG
703 CRDS
RETENUES SOCIALES
OBLIGATOIRES
METROPOLE
704 RETENUE PENSION
70
707 RAFP
707 CST
RETENUES SOCIALES
OBLIGATOIRES OUTRE- 708 RUAMM MENSUE.LLE
MER ET ETRANGER
7 RETENUES 709 RUAMM TRIMESTRIELLE
710 IMPOTS
AUTRES RETENUES
71 LÉGALES SPÉCIFIQUES 711 RFPM
712 RFPA
731 MUTUELLE
732 TREFLE
742 MSA
743 DIVERSES
802 TROP-PERCUS
803 RIB
PROCÉDURES
80 SPÉCIFIQUES 804 FIN DE DROITS A SOLDE (DCD, CONGE SANS SOLDE, INCARCERATION, …)
8 PROCEDURES
811 CHANGEMENT ECHELON
MODIFICATION DU
81 GRADE, DE L'ÉCHELLE
OU DE L'ÉCHELON
812 CHANGEMENT GRADE
813 ASA
ANNEXE III
ANNEXE III
LISTE DES ÉVÉNEMENTS ET FAITS DE GESTION
LISTE DES EVENEMENTS ET FAITS DE GESTION
CONSTITUANT CONSTITUANT
LA PREMIÈRE LA PREMIERE
PARTIE PARTIE DU MEMENTO
DU MÉMENTO
ANNEXE IV
ANNEXE IV
LISTEDES
LISTE DES PROCEDURES
PROCÉDURES SPECIFIQUES D'EXPLOITATION
SPÉCIFIQUES ET DE CONTROLE
D’EXPLOITATION ET DE CONTRÔLE
COMPOSANT LALA
COMPOSANT DEUXIEME PARTIE
DEUXIÈME DU MEMENTO
PARTIE DU MÉMENTO
PS 06 Contrôle des effectifs PS6-01 Rapprochement des effectifs soldés et des moyens de paiements (RIB)
ANNEXE V
ANNEXE V
EXTRAIT « PAGE D’ACCUEIL » DU SYSTÈME D’INFORMATIONS PSIDI
EXTRAIT « PAGE D'ACCUEIL
LORS DE »L’AUTHENTIFICATION
DU SYSTEME D'INFORMATIONS PSIDI
LORS DE L'AUTHENTIFICATION
ANNEXE VI
ANNEXE VI
COMPOSITION DU DOSSIER D'AUDITABILITÉ PERMANENTE
ANNEXE VII
ANNEXE VII
TABLEAU DE BORD
TABLEAU MENSUEL
DE BORD MENSUEL AVEC INDICATEURS
AVEC INDICATEURS À TRANSMETTRE
À TRANSMETTRE À LA DGGN À LA DGGN
Bureau expert des ressources humaines de … mois (M) de SEPTEMBRE 2014 Le 10 octobre 2014
Effectif par statuts Nombre personnels militaires Taux personnels militaires #DIV/0 ! Nombre personnels civils Taux personnels civils #DIV/0 !
Taux d'encadrement
Effectif encadrement dans les sections solde Nombre encadrement Taux d'encadrement
Nombre encadrement (Nbre encadrement / nbre #DIV/0 ! #DIV/0 !
d'active militaire militaire
décompteurs
Nombre de décompteurs de
Nombre de décompteurs Nombre de décompteurs
statut civils ayant signé un
Relations décompteurs ayant 1 conjoint militaire ayant 1 conjoint militaire de
contrat dans la réserve
d'active gendarmerie la réserve gendarmerie
opérationnelle
Montant total soldes payées au cours du mois Total soldes Dont rémunérations Dont charges sociales Pourcentage rémunérations #DIV/0 !
Montant total payé aux tiers Total Ex-conjoints Militaires radiés des cadres Oppositions et saisies
effectifs soldés “d'active” du mois Dont officiers d'active Dont s/off d'active Dont GAV Dont CTA+ CSTAGN
(nombre de paiements PSIDI et
variations par rapport au mois M-1)
Variation officiers d'active Variation s/off d'active Variation GAV Variation CTA+ CSTAGN
Nombre total paiements Montant total paiements Nombre paiements directs Montant paiements directs
directs directs à des tiers institutionnels à des tiers institutionnels
Nombre TP > 80 €
Dont causes RH Dont causes décompteur Dont causes administrés
< ou = 1500€
Trop-perçus (2)
Nombre TP > 1500 € Dont causes RH Dont causes décompteur Dont causes administrés
ANNEXE VIII
ANNEXE IX
(1) Permet d'instaurer une rupture dans la chaîne des contrôles en opérant une distinction entre celui qui saisit la solde et celui qui « pointe »
la solde.
- 2/2 -
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des personnels militaires
de la gendarmerie nationale
_
Sous-direction
de la gestion du personnel
_
Bureau du personnel
de la réserve militaire
_
Références :
Code de la défense, notamment ses articles L. 4143-1, L. 4221-3, R. 4221-21 et R. 4221-22, R. 4221-24 et R. 4221-27 ;
Code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2 ;
Arrêté du 4 août 2010 fixant pour la gendarmerie nationale la composition et l’organisation de la commission
prévue à l’article L. 4136-3 du code de la défense (JO no 195 du 24 août 2010, texte 6) ;
Arrêté du 14 décembre 2012 portant délégation de pouvoirs du ministre de l’intérieur en matière d’administration
et de gestion du personnel militaire de la gendarmerie nationale (JO no 299 du 23 décembre 2012, texte 23) ;
Arrêté du 20 février 2013 fixant pour la gendarmerie nationale les conditions à remplir pour être proposable au
grade supérieur dans la réserve opérationnelle (JO no 51 du 01 mars 2013, texte 16).
Texte abrogé : circulaire no 51852 du 12 juillet 2013 relative à l’avancement des sous-officiers et militaires du rang de
la réserve opérationnelle pour l’année 2013 (NOR : INTJ1317684C).
La présente circulaire a pour objet de préciser les conditions d’exécution du travail d’avancement des sous-officiers
rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie, des sous-officiers rattachés au corps des sous-officiers du corps
de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale et des militaires du rang, appartenant à la réserve
opérationnelle de 1er niveau. Elle fixe à cet effet les éléments techniques à prendre en considération.
1
Tant que la procédure d’homologation des contrats d’ESR par les commissaires des armées demeurera une obligation réglementaire fixée par
l’article R. 4221-3 du code de la défense.
2.5. En cas de changement de résidence, la signature d’un nouvel ESR auprès d’une autre formation administrative
d’affectation doit faire l’objet d’un suivi RH entre la formation administrative de départ et la formation administrative
bénéficiaire.
Maréchal des logis chef 5 ans et 4 mois minimum d’ancienneté de grade au 31 décembre 2014
À la différence des militaires d’active, ces sous-officiers de réserve ne font pas l’objet d’une gestion par spécialité
(AGP, GLF, AEB…).
Qu’il s’agisse des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie ou au corps des
sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale, l’ancienneté de grade doit
tenir compte des éventuelles interruptions entre la date de radiation des cadres ou des contrôles et la date du premier
ESR ainsi qu’entre les ESR successifs.
3.2. Conditions particulières
Qu’il s’agisse des sous-officiers de réserve rattachés au corps des sous-officiers de gendarmerie ou des sous-officiers
de réserve rattachés au corps des sous-officiers du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie
nationale, il est tenu compte de la manière de servir, du nombre de jours d’activité, de l’expérience militaire déjà
acquise, de l’aptitude au commandement et du potentiel du candidat.
4.2. Réservistes, anciens volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale 2
Les anciens GAV, sous réserve qu’ils soient titulaires du diplôme de gendarme adjoint (DGA) ou du diplôme de
gendarme adjoint volontaire – agent de police judiciaire adjoint (DGAV-APJA), peuvent accéder à l’avancement
jusqu’au grade de gendarme de réserve.
En l’absence de cursus de formation, il est tenu compte de leur manière de servir, de leur nombre de jours d’activité
et de l’expérience militaire déjà acquise pour être proposé à l’avancement jusqu’au grade de maréchal des logis de
réserve du corps de soutien technique et administratif de la gendarmerie nationale.
4.2.2.2. Pour les réservistes qui ont demandé à être affectés en unités opérationnelles et qui satisfont aux dispositions
générales relatives à l’aptitude médicale :
Ces personnels intègrent le cursus de formation du DAR et de l’APJA. Leur avancement est alors identique à celui
évoqué supra.
L’avancement de ces personnels, admis avec leur grade, est identique à celui évoqué au point 4.
La commission d’avancement, qui comprend au moins deux officiers supérieurs, dont un officier (d’active ou de
réserve) chargé de la réserve opérationnelle est présidée par le commandant de formation administrative.
Les réservistes retenus sont inscrits au tableau d’avancement (TA), dans l’ordre de leur ancienneté de grade telle
que définie par les articles R. 4221-24 et R. 4221-27 du code de la défense.
Après avis de cette commission, pour chaque corps ou catégorie de personnels, le tableau d’avancement annuel est
arrêté par le commandant de formation administrative.
Les décisions de nomination ou de promotion sont établies pour prendre effet à compter du 1er décembre 2014
pour les sous-officiers de réserve ou à compter de leur date de promotion ou de nomination pour les militaires du
rang de réserve.
Les réservistes doivent être sous contrat ESR à la date de leur promotion ou nomination.
Le bureau du personnel de la réserve militaire (DGGN/BPRM) assure l’insertion au Bulletin officiel du ministère
de l’intérieur de la présente circulaire, des TA et des décisions de promotion des sous-officiers de réserve. Aussi, des
modèles de TA et de décisions seront fournis aux formations administratives. L’ensemble des tableaux et des décisions
arrêtées devra être transmis au BPRM au plus tard le 1er novembre 2014.
2
Les « volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale » (décret no 2008-955 du 12 septembre 2008 relatif aux volonta-
riats militaires) sont désignés dans la présente circulaire sous l’appellation « gendarmes adjoints volontaires » (GAV).
FFait le 28 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
directeur des personnels militaires
de la gendarmerie nationale,
P. Mazy
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des opérations
et de l’emploi
_
Sous-direction de l’organisation
et des effectifs
_
Bureau des études
_
Références :
Code de la défense, notamment ses articles R. 3225-7 à 9 et D. 4131-5 ;
Code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2 ;
Arrêté du 13 mai 2011 portant organisation de la prévention des accidents du travail et des maladies profession-
nelles pour les militaires servant au sein de la gendarmerie nationale (JO no 118 du 21 mai 2011, texte no 33
– NOR : IOCJ1109763A ; signalé au BOC no 29 du 22 juillet 2011 ; BOEM 126.1 – CLASS. : 63.06) ;
Arrêté du 12 août 2013 modifié, portant organisation de la direction générale de la gendarmerie nationale
(JO no 188 du 14 août 2013, texte no 29 – NOR : INTA1319645A) ;
Arrêté du 2 juillet 2014 relatif à l’organisation et aux attributions des échelons de commandement de la gendar-
merie nationale en métropole (JO no 157 du 9 juillet 2014, texte no 40 - NOR : INTJ1408091A) ;
Circulaire no 119500 GEND/DOE/SDAO du 14 mai 2014 (n.i. BO – CLASS. : 33.01) ;
Circulaire no 65500 GEND/SRH/SDAP du 26 août 2009 (n.i. BO – CLASS. : 91.23) ;
Circulaire no 165000 GEND/OE/SDPJ/PJ du 12 mars 2010 (n.i. BO – CLASS. : 44.04) ;
Circulaire no 9800 GEND/DOE/SDOE/BE du 10 février 2011(n.i. BO – CLASS. : 12.09) ;
Circulaire no 42000 GEND/ST(SI)² du 31 mai 2012 (n.i. BO – CLASS. : 98.01) ;
Circulaire no 56000 GEND/DSF/SDIL/BBR du 20 septembre 2012 (n.i. BO – CLASS. : 95.19) ;
Circulaire no 86000 GEND/DPMGN/SDPRH/BRFM du 8 novembre 2012 (NOR : INTJ1233897C
– BOMI – CLASS. : 31.05).
Pièces jointes : six annexes.
Texte abrogé : Circulaire no 38000 GEND/DOE/SDOE/BE du 31 juillet 2013 (NOR : INTJ1311842C – CLASS. : 12.09).
SOMMAIRE
Préambule
TITRE IER
Chapitre 1er
chapitre 2
2. ÉTAT-MAJOR
2.1. Chef d’état-major
2.2. Branche opérations emploi
2.2.1. Bureau de l’organisation et des effectifs
2.2.2. Bureau de la défense, du renseignement et de l’ordre public
2.2.3. Bureau de la sécurité publique et de la sécurité routière
2.2.4. Bureau de la police judiciaire
2.2.5. Cellule conseil évaluation coordination opérationnels des systèmes d’information et de communication
2.3. Branche ressources humaines
2.3.1. Bureau de la gestion du personnel militaire
2.3.2. Bureau du personnel civil
2.3.3. Bureau des compétences
2.3.4. Bureau de l’accompagnement du personnel
2.4. Branche soutiens finances
2.4.1. Bureau du budget et de l’administration
2.4.2. Bureau de l’infrastructure
2.4.3. Bureau des matériels
2.4.4. Bureau de la mobilité
2.5. Autres unités et personnels
TITRE II
ANNEXES
Annexe I : Organigramme des régions de gendarmerie zonales autres que les RGZDS, Île-de-France et Est
Annexe II : Organigramme de la région de gendarmerie zonale d’Île-de-France
Annexe III : Organigramme de la région de gendarmerie zonale Est
Annexe IV : Organigramme des régions de gendarmerie non zonales autres que la RGNZ de Corse
Annexe V : Organigramme de la région de gendarmerie non zonale de Corse
Annexe VI : Glossaire
Préambule
La présente circulaire est rédigée en application du texte de 5e référence.
Elle décrit l’organisation des états-majors des régions de gendarmerie jusqu’au niveau cellule et détachement.
Elle précise également les grands domaines d’attribution des différentes unités. Le détail de ces attributions figure
dans l’annexe I du texte de 9e référence dans les colonnes RGZDS et RG.
Il n’est pas fait mention des attributions de certaines unités rattachées fonctionnellement au commandant de région
(soutien santé, DRAS, CRICR).
Le texte est divisé en deux titres :
–– le titre I traite de l’organisation de l’ensemble des RGZDS ;
–– le titre II traite de l’organisation de l’ensemble des RGNZ.
L’organisation structurelle spécifique à chacune des RGZDS et RGNZ entrera en vigueur le 1er août ou
le 1er septembre 2014 selon les RG.
TITRE IER
Chapitre 1er
1.5. Cabinet communication
Le cabinet communication est chargé des :
–– en sa qualité d’interlocuteur privilégié du RBOP et du SGAMI pour les questions financières des unités GN
de la zone, de coordonner les travaux budgétaires des UO au profit du BOP et de conseiller le commandant de
région en matière de SF ;
–– d’exercer, à la demande des commandants de région et du CEGN le cas échéant, le contrôle des cercles et coo-
pératives implantés dans la zone ;
–– de mettre en œuvre au niveau zonal le contrôle interne comptable de niveau 2.
Elle entretient des liens avec les bureaux de la chaîne SF de la RGZDS et des RG UO du BOP, avec le SGAMI de
la zone et la MRA, la DSF de la DGGN, le SAELSI, le CEGN le cas échéant, ainsi que l’IGGN.
–– de constituer le relais, pour la région, de la gestion RH/SIC pilotée en central en s’assurant notamment que
les SSIC disposent d’une ressource qualifiée suffisante pour accomplir les tâches de maintenance attendues
(habilitation travaux en hauteur, travaux électriques, …) ;
–– de s’assurer d’une gestion conforme aux exigences qualitatives et quantitatives attendues des divers volants de
matériels en compte dans les SSIC (lots tactiques, lots de maintenance) ;
–– de veiller à la bonne connaissance et l’utilisation adaptée, par les chefs opérationnels et les utilisateurs, des
capacités d’emploi des SIC ;
–– la section des formations et des moyens spécialisés : unité chargée de l’ensemble des questions propres aux for-
mations et moyens spécialisés pour la RG et, le cas échéant, pour la ZDS. Elle est également chargée, pour les
unités de la ZDS, de la mise à disposition et de l’emploi des moyens spécialisés du niveau zonal. La SFMS entre-
tient des relations avec la SDSPSR de la DGGN et l’ensemble des unités spécialisées de la zone ainsi qu’avec les
unités des gendarmeries spécialisées qui y sont implantées ;
–– la section de l’emploi de la GM, de la défense et de la sécurité nationale, chargée :
–– de la planification de l’emploi des EGM et GGM au sein de la ZDS, en relation avec la SDDOPP de la
DGGN ;
–– du contrôle opérationnel de la GM, en relation avec la SPEC ;
–– de la formation collective de la GM, en relation avec le bureau des compétences (section de la formation) ;
–– des questions de défense civile et militaire.
Pour la RGZDS Est, le BCO prend l’appellation de « pôle opérations » et comprend également la CVCO.
La CVCO, chargée d’assurer une veille opérationnelle des questions et événements d’ordre public, entretient des
relations avec la SDDOPP et la SDAO de la DGGN.
2.3. Bureau renseignement
Placé sous l’autorité de l’OAR, le BRENS est chargé :
–– d’identifier, à court et moyen termes, les événements sensibles ou potentiellement perturbateurs, et de proposer
au commandant de région, les directives opérationnelles initiales ;
–– d’assurer un suivi, dans le domaine de l’ordre public, des secteurs d’activités (thématiques, géographiques)
empreints d’une forte probabilité événementielle ou de sensibilité Gouvernementale, et pouvant impliquer signi-
ficativement les forces de gendarmerie et la population en ZGN ;
–– d’assurer le traitement du renseignement opérationnel d’ordre public et d’intelligence économique.
Il entretient des relations avec le SZRT et la SDAO de la DGGN.
Pour la RGZDS Est, le BRENS prend l’appellation de « pôle renseignement ».
–– de tenir à jour, d’actualiser et de diffuser aux échelons de commandement subordonnés les directives du com-
mandant de région ;
–– de coordonner les échanges entre les unités de la DAO et celles qui sont rattachées au commandant de région ;
–– de s’assurer, pour la DAO, de l’exécution des directives du commandant de région.
Le CAO a autorité sur huit bureaux, répartis en deux branches (RH et SF). Il dispose d’un officier adjoint RH et
d’un officier adjoint SF.
Pour la RGZDS Est, les OARH et OASF sont dénommés « sous-chef RH » et « sous-chef SF ».
–– un district social, chargé notamment des questions sociales et culturelles de la RG et de l’organisation du comité
social ;
–– un COR (dans le cadre de la reconversion, il entretient des contacts avec les entreprises privées et les administra-
tions ou organismes publics sur le ressort de la RG).
Chapitre 2
1.1. OAPJ
Les attributions de l’OAPJ sont fixées par le texte de 8e référence.
1.2. Cabinet communication
Le cabinet communication est chargé :
–– de conseiller en matière de SF le commandant de région zonale, RBOP et, à leur demande, les RUO ;
–– d’exercer, à la demande des commandants de région et du CEGN le cas échéant, le contrôle des cercles et coo-
pératives implantés dans la zone ;
–– de mettre en œuvre au niveau zonal le contrôle interne comptable de niveau 2.
Elle entretient des liens avec les bureaux de la chaîne SF de la RGZDS et des RG UO du BOP, avec la DSF de la
DGGN, le CEGN le cas échéant, ainsi que l’IGGN.
2. ÉTAT-MAJOR
2.1. Chef d’état-major
Collaborateur direct du commandant de région et du commandant en second, le CEM a autorité sur l’ensemble
des bureaux ainsi que sur les autres unités et personnels qui lui sont organiquement rattachés.
Le CEM est chargé :
–– d’assurer les fonctions de chargé de prévention dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail ;
–– d’assurer l’organisation de l’état-major en veillant à l’optimisation et à la rationalisation de son fonctionnement ;
–– de veiller au respect de la confidentialité des dossiers ;
–– d’assurer le respect des délais de traitement des dossiers ainsi que de la transmission rapide de l’information vers
les autorités destinataires ;
–– d’assurer la transversalité des dossiers entre les différents bureaux de l’état-major ;
–– de tenir à jour, d’actualiser et de diffuser aux échelons de commandement subordonnés les directives du com-
mandant de région ;
–– de coordonner les échanges entre les unités de l’état-major et celles qui sont directement rattachées au comman-
dant de région ;
–– de s’assurer, pour l’état-major, de l’exécution des directives du commandant de région.
Le CEM dispose de chargés de projets auxquels il attribue dossiers, missions ou questions spécifiques qui sont
parfois transverses.
–– une section de la protection fonctionnelle et du contentieux, chargée des questions de protection fonctionnelle,
des recours et du contentieux statutaire ;
–– un district social, chargé notamment des questions sociales et culturelles de la RG et de l’organisation du comité
social ;
–– un COR qui, dans le cadre de la reconversion, entretient des contacts avec les entreprises privées et les adminis-
trations ou organismes publics sur le ressort de la région.
Un psychologue clinicien, dont les attributions sont définies dans le texte de 7e référence, est rattaché au BAP.
2.4.2. Bureau de l’infrastructure
Le BI est chargé de répondre aux problématiques liées aux constructions de casernes pour l’ensemble de la
RGIF ainsi que de l’entretien du parc immobilier domanial et locatif pour les départements de l’Essonne, de la
Seine-et-Marne, des Yvelines et du Val-d’Oise.
Il entretient des relations avec le BUL de la RG et la SDIL de la DGGN.
2.4.4. Bureau de la mobilité
Le BMOB est chargé de la gestion et du maintien en condition opérationnelle du parc des véhicules et des moyens
nautiques (moyens de mobilité) de la RGIF.
Il entretient des relations avec la DSF de la DGGN et le SAELSI.
Le BMOB est composé de deux sections :
–– une section de la gestion du parc (à partir du TDM), chargée notamment de l’organisation des mouvements de
moyens mobiles ;
–– une section de la gestion financière et des carburants, chargée notamment de l’aspect financier du maintien en
condition opérationnelle des moyens mobiles et des questions liées aux carburants.
TITRE II
1.1. OAC
L’OAC coordonne l’activité de l’état-major régional et garantit la transversalité des dossiers, l’équilibre dans
la répartition du travail et l’équité de traitement des groupements. Il participe au quotidien et sur délégation du
commandant de région, à la direction de l’action des unités du groupement de gendarmerie départementale chef-lieu.
Officier le plus ancien dans le grade le plus élevé de la région (exclus, le CDR et son second), il assure la suppléance
du commandement en second en matière disciplinaire (sanctions et récompenses) qui peut lui déléguer ses prérogatives
d’AM1. Il est suppléé par l’officier le plus ancien dans le grade le plus élevé de la région et du groupement.
1.3. Cabinet communication
Le cabinet communication, outre les attributions au chapitre 1er du titre I, est chargé des fonctions de secrétariat
pour les activités opérationnelles du département d’implantation.
L’un des personnels assure la fonction de conseiller concertation dont les attributions sont fixées par le texte de
12e référence.
2.3. Bureau renseignement
Placé sous l’autorité de l’OAR, dont les missions sont définies dans la circulaire de 6e référence, le BRENS, chargé
des questions de renseignement et d’intelligence économique, se compose de deux cellules :
–– la cellule suivi des événements ;
–– la cellule renseignement.
L’OAR a autorité sur le sous-officier SDRT.
Sur directives du commandant de région, commandant le GGDCL, l’OAR participe au service de permanence du
commandement opérationnel du département d’implantation.
Il entretient des relations avec le SRRT et la SDAO de la DGGN.
Il entretient un dialogue avec les autres BBA du BOP, avec la SCCB de sa RGZDS, le RBOP, le SGAMI mais
également avec la SPEC, l’ECASGN et la SDAF de la DGGN.
3.4.2. Bureau de l’immobilier et du logement
Le BIL est chargé de l’ensemble des questions immobilières de la RG.
Il entretient des relations avec le BIS zonal et la SDIL de la DGGN.
3.4.3. Bureau des soutiens opérationnels
Le BSO a les mêmes attributions que le BMOPS (chapitre 1er du titre Ier), à l’exception de la gestion et du MCO
des matériels du domaine AMOD, et du MCO des parcs de mobilité.
–– un ou plusieurs chargés de projets (chargés, par le CAO, de dossiers, missions ou questions spécifiques parfois
transverses) ;
–– une section commandement (chargée de toutes les tâches de secrétariat de la DAO) ;
–– une section santé et sécurité au travail (dont les attributions figurent dans le texte de 3e référence).
La présente circulaire sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
Pour le ministre et par délégation :
Le général de corps d’armée,
major général de la gendarmerie nationale,
R. Lizurey
ANNEXE I
commandant de région
commandant en second
officier nautique zonal * Officier adjoint ressources humaines Officier adjoint soutiens finances
section des f ormations et des moy ens section du personnel of f icier cellule administration conv entions
spécialisés contentieux
section du personnel sous-of f icier et
section de l'emploi de la GM, de la v olontaire Bure au de l'im m obilie r e t du
déf ense et de la sécurité nationale s tationne m e nt
section du personnel de réserv e
section de l'immobilier domanial zonal
section DT/CR*
ANNEXE II
commandant de région
commandant en second
OAPJ zonal
bureau unique du logement
cabinet communication
secrétariat
centre opérations renseignement
gendarmerie d'Ile-de-France section planif ication entretien
section de la sécurité routière, des bureau des compétences section de la gestion et de l'achat des
f ormations et des moy ens spécialisés matériels
psychologue clinicien
(1) - un détachement de liaison auprès du cabinet du
préfet de police de Paris ; section de la chancellerie
- un détachement de liaison auprès de l'EMIZDS de la
préfecture de police de Paris ;
- un détachement de liaison auprès de la direction de section de la protection f onctionnelle
l'ordre public et de la circulation (DOPC) de la et du contentieux
préfecture de police de Paris.
ANNEXE III
commandant de région
commandant en second
section du contrôle et du
Bureau de la performance et de la
conseil budgétaire
cohérence opérationnelle
détachements de liaison
section du pilotage et du contrôle EMZD
interne
Bureau de l'immobilier et du
Bureau du personnel civil
POLE RENSEIGNEMENT stationnement
Officier adjoint RENS
section de l'immobilier domanial zonal
Bureau des compétences
cellule programmation pilotage
zonal
POLE SÉCURITÉ PUBLIQUE SÉCURITÉ
ROUTIÈRE et COOPÉRATION section de la f ormation
TRANSFRONTALIÈRE détachements de
Officier adjoint SÉCURITE PUBLIQUE l'appui technique zonal
Bureau de l'accompagnement du
POLE POLICE JUDICIAIRE personnel
section des matériels
OAPJ zonal psychologue clinicien
section armements munitions
section de la chancellerie observ ation protection
section de la mobilité
ANNEXE IV
Commandant de région
Commandant le GGD CL
commandant en second
section
commandement
CHEF des OPÉRATIONS CHEF de l'APPUI OPÉRATIONNEL Chargé(s) de projets
section santé et
sécurité au travail
centre d'information et de
Cellule renseignement
recrutement
psychologue clinicien
centre d'orientation et de
reconversion
ANNEXE V
Commandant de région
Commandant le GGD CL
commandant en second
cabinet communication
Officier Adjoint Commandement
section
commandement
SSIC
bureau de s com pé tences e t de
l'accom pagnem ent du personnel
section de la formation
district social
BDRIJ
- 1/4 -
ANNEXE VI
GLOSSAIRE
A
AEM : action de l'État en mer.
AGIV : aspirant de gendarmerie issu du volontariat.
AM1 : autorité militaire de premier niveau.
AM2 : autorité militaire de deuxième niveau.
AMOP : armements, munitions, observation, protection.
AMOD : armements, munitions, optique, divers.
B
BAIGN : bureau des affaires immobilières de la gendarmerie nationale.
BAP : bureau de l'accompagnement du personnel.
BBA : bureau du budget et de l'administration.
BCO : bureau de la coordination des opérations.
BDC : bureau des compétences.
BDCAP : bureau des compétences et de l'accompagnement du personnel.
BDM : bureau de la dépense militaire.
BDRIJ : brigade départementale de renseignements et d'investigations judiciaires.
BDROP : bureau de la défense, du renseignement et de l'ordre public.
BGP : bureau de la gestion du personnel.
BGPM : bureau de la gestion du personnel militaire.
BI : bureau de l'infrastructure.
BIL : bureau de l'immobilier et du logement.
BIS : bureau de l'immobilier et du stationnement.
BMAT : bureau des matériels.
BMOB : bureau de la mobilité.
BMOPS : bureau des moyens opérationnels.
BOE : bureau de l'organisation et des effectifs.
BOP : budget opérationnel de programme.
BPC : bureau du personnel civil.
BPCO : bureau de la performance et de la cohérence opérationnelle.
BPJ : bureau de la police judiciaire.
BRENS : bureau renseignement.
BSIC : bureau des systèmes d'information et de communication.
BSO : bureau des soutiens opérationnels.
BSPP : bureau de la sécurité publique - partenariat.
BSPSR : bureau de la sécurité publique et de la sécurité routière.
BUL : bureau unique du logement.
C
CAFZ : centre administratif et financier zonal.
CAO : chef de l'appui opérationnel.
CCECO-SIC : cellule conseil évaluation coordination opérationnels des systèmes d'information et de
communication.
CDR : commandant de région.
CEGN : commandement des écoles de la gendarmerie nationale.
CEM : chef d'état-major.
CIR : centre d'information et de recrutement.
CNSL : centre national de soutien logistique.
CO : chef des opérations.
- 2/4 -
- 3/4 -
- 4/4 -
U
UO : unité opérationnelle.
Z
ZDS : zone de défense et de sécurité.
ZGN : zone gendarmerie nationale.
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Direction générale
de la gendarmerie nationale
_
Direction des opérations et de l’emploi
_
Sous-direction de l’organisation
et des effectifs
_
Bureau des études
_
Références :
Code de la défense, notamment ses articles R. 3225-7 à 9 et D. 4131-5 ;
Code de la sécurité intérieure, notamment son article L. 421-2 ;
Décret no 2014-296 du 6 mars 2014 relatif aux secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’inté-
rieur et modifiant diverses dispositions du code de la défense et du code de la sécurité intérieure (JO no 36 du
7 mars 2014, texte 14) ;
Arrêté du 13 mai 2011 portant organisation de la prévention des accidents du travail et des maladies profession-
nelles pour les militaires servant au sein de la gendarmerie nationale (JO no 118 du 21 mai 2011, texte no 33 –
NOR : IOCJ1109763A ; signalé au BOC no 29 du 22 juillet 2011 ; BOEM 126.1 – CLASS. : 63.06) ;
Arrêté du 12 août 2013 modifié, portant organisation de la direction générale de la gendarmerie natio-
nale (JO no 188 du 14 août 2013, texte no 29 – NOR : INTA1319645A ; signalé au BOC 41/2013 ; BOEM 110.3 –
CLASS. : 12.07) ;
Arrêté du 6 décembre 2013 relatif aux missions et à l’organisation du service de l’achat, des équipements et de
la logistique de la sécurité intérieure (JO no 293 du 18 décembre 2013, texte no 29 – NOR : INTA1329317A) ;
Arrêté du 2 juillet 2014 relatif à l’organisation et aux attributions des échelons de commandement de la gendar-
merie nationale en métropole (JO no 157 du 9 juillet 2014, texte no 40 – NOR : INTJ1408091A) ;
Circulaire no 65500/GEND/SRH/SDAP du 26 août 2009 (n.i. BO – CLASS. : 91.23) ;
Circulaire no 165000/GEND/OE/SDPJ/PJ du 12 mars 2010 (n.i. BO – CLASS. : 44.04) ;
Circulaire no 9800/GEND/DOE/SDOE/BE du 10 février 2011 (n.i. BO – CLASS. : 12.09) ;
Circulaire no 42000/GEND/ST(SI)² du 31 mai 2012 (n.i. BO – CLASS. : 98.01) ;
Circulaire no 56000/GEND/DSF/SDIL/BBR du 20 septembre 2012 (n.i. BO – CLASS. : 95.19) ;
Circulaire no 86000/GEND/DPMGN/SDPRH/BRFM du 8 novembre 2012 (NOR : INTJ1233897C – BOMI –
CLASS. : 31.05) ;
Circulaire no 5874/GEND/DPMGN/SDPRH/BDI du 6 mars 2013 (n.i. BO – CLASS. : 31.37) ;
Circulaire no 119500/GEND/DOE/SDAO du 14 mai 2014 (n.i. BO – CLASS. : 33.01).
Pièces jointes : six annexes.
Texte abrogé :
Circulaire no 26000/GEND/DOE/SDOE/BE du 29 juillet 2014 (NOR : INTJ1408125C – BOMI).
SOMMAIRE
Préambule
TITRE IER
Chapitre 1er
Chapitre 2
2. État-major
2.1. Chef d’état-major
2.2. Branche opérations emploi
2.2.1. Bureau de l’organisation et des effectifs
2.2.2. Bureau de la défense, du renseignement et de l’ordre public
2.2.3. Bureau de la sécurité publique et de la sécurité routière
2.2.4. Bureau de la police judiciaire
2.2.5.
Cellule conseil évaluation coordination opérationnels des systèmes d’information et de
communication
2.3. Branche ressources humaines
2.3.1. Bureau de la gestion du personnel militaire
2.3.2. Bureau du personnel civil
2.3.3. Bureau des compétences
2.3.4. Bureau de l’accompagnement du personnel
2.4. Branche soutiens finances
2.4.1. Bureau du budget et de l’administration
2.4.2. Bureau de l’infrastructure
2.4.3. Bureau des matériels
2.4.4. Bureau de la mobilité
2.5. Autres unités et personnels
TITRE II
ANNEXES
Annexe I. – Organigramme des régions de gendarmerie zonales autres que les RGZDS, Île-de-France et Est
Annexe II. – Organigramme de la région de gendarmerie zonale d’Île-de-France
Annexe III. – Organigramme de la région de gendarmerie zonale Est
Annexe IV. – Organigramme des régions de gendarmerie non zonales autres que la RGNZ de Corse
Annexe V. – Organigramme de la région de gendarmerie non zonale de Corse
Annexe VI. – Glossaire
Préambule
TITRE IER
Chapitre 1er
–– de conseiller et d’assister le commandant de région en matière de SF, notamment dans sa fonction de délégataire
du RBOP, et, à leur demande, les RUO ;
–– d’exercer, en liaison avec les commandants de formation administrative et le CEGN, le contrôle des cercles, ordi-
naires et coopératives implantés dans la zone ;
–– de mettre en œuvre au niveau zonal le contrôle interne comptable de niveau 2 ;
–– de développer les méthodes et les outils relatifs au pilotage et à la maîtrise des risques en matière de SF.
Elle entretient des liens avec les bureaux de la chaîne SF de la RGZDS et des RG UO du BOP, avec le SGAMI de
la zone et la MRA, le SAELSI, la DSF de la DGGN, le CEGN le cas échéant, ainsi que l’IGGN.
1.7. Autres unités et personnels
Le commandant de région dispose également :
–– d’un ou plusieurs détachements de liaison auprès des EMIZDS et des PREMAR, le cas échéant ;
–– pour emploi, du conseiller réserves régional.
–– de s’assurer d’une gestion conforme aux exigences qualitatives et quantitatives attendues des divers volants de
matériels en compte dans les SSIC (lots tactiques, lots de maintenance) ;
–– de veiller à la bonne connaissance et l’utilisation adaptée, par les chefs opérationnels et les utilisateurs, des
capacités d’emploi des SIC ;
–– la section des formations et des moyens spécialisés : unité chargée de l’ensemble des questions propres aux for-
mations et moyens spécialisés pour la RG et, le cas échéant, pour la ZDS. Elle est également chargée, pour les
unités de la ZDS, de la mise à disposition et de l’emploi des moyens spécialisés du niveau zonal. La SFMS entre-
tient des relations avec la SDSPSR de la DGGN et l’ensemble des unités spécialisées de la zone ainsi qu’avec les
unités des gendarmeries spécialisées qui y sont implantées ;
–– la section de l’emploi de la GM, de la défense et de la sécurité nationale, chargée :
–– de la planification de l’emploi des EGM et GGM au sein de la ZDS, en relation avec la SDDOPP de la
DGGN ;
–– du contrôle opérationnel de la GM, en relation avec la SPEC ;
–– de la formation collective de la GM, en relation avec le bureau des compétences (section de la formation) ;
–– des questions de défense civile et militaire.
Pour la RGZDS Est, le BCO prend l’appellation de « pôle opérations » et comprend également la CVCO.
La CVCO, chargée d’assurer une veille opérationnelle des questions et événements d’ordre public, entretient des
relations avec la SDDOPP et la SDAO de la DGGN.
–– d’assurer les fonctions de chargé de prévention dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail ;
–– d’assurer l’organisation et le fonctionnement de la DAO. À ce titre, il veille à l’optimisation et à la rationalisation
de son fonctionnement ;
–– de veiller au respect de la confidentialité des dossiers ;
–– d’assurer le respect des délais de traitement des dossiers ainsi que de la transmission rapide de l’information vers
les autorités destinataires ;
–– d’assurer la transversalité des dossiers entre les différents bureaux ;
–– de tenir à jour, d’actualiser et de diffuser aux échelons de commandement subordonnés les directives du com-
mandant de région ;
–– de coordonner les échanges entre les unités de la DAO et celles qui sont rattachées au commandant de région ;
–– de s’assurer, pour la DAO, de l’exécution des directives du commandant de région.
Le CAO a autorité sur huit bureaux, répartis en deux branches (RH et SF). Il dispose d’un officier adjoint RH et
d’un officier adjoint SF.
Pour la RGZDS Est, les OARH et OASF sont dénommés « sous-chef RH » et « sous-chef SF ».
–– un district social, chargé notamment des questions sociales et culturelles de la RG et de l’organisation du comité
social ;
–– un COR : les conseillers en emploi accompagnent les candidats à la transition professionnelle en les aidant à
élaborer un projet professionnel viable et entretiennent des contacts avec les entreprises privées et les administra-
tions ou organismes publics du ressort de la RG.
Chapitre 2
1.1. OAPJ
Les attributions de l’OAPJ sont fixées par le texte de 9e référence.
–– de conseiller en matière de SF le commandant de région zonale, RBOP et, à leur demande, les RUO ;
–– d’exercer, en liaison avec les commandants de formation administrative et le CEGN, le contrôle des cercles, ordi-
naires et coopératives implantés dans la zone ;
–– de mettre en œuvre au niveau zonal le contrôle interne comptable de niveau 2 ;
–– de développer les méthodes et les outils relatifs au pilotage et à la maîtrise des risques en matière de SF.
Elle entretient des liens avec les bureaux de la chaîne SF de la RGZDS et des UO du BOP, avec la MRA, avec le
SAELSI, avec la DSF de la DGGN, le CEGN le cas échéant, ainsi que l’IGGN.
1.6. Section du pilotage, de l’évaluation et du contrôle
La SPEC a les mêmes attributions qu’au chapitre 1er du titre I.
Elle entretient des relations avec l’ensemble des bureaux de la RG ainsi qu’avec la MPP de la DGGN et l’IGGN.
1.7. Autres unités et personnels
Le commandant de région dispose également :
–– d’un centre administratif et financier zonal ;
–– pour emploi, du conseiller réserves régional.
2. État-major
–– trois détachements de liaison auprès de la préfecture de police de Paris (cf. organigramme en annexe II) ;
–– un officier nautique zonal, non reconnu en organisation, chargé d’assurer la coordination des moyens fluviaux
ainsi que des enquêteurs subaquatiques de la zone.
TITRE II
1.1. OAC
L’OAC coordonne l’activité de l’état-major régional et garantit la transversalité des dossiers, l’équilibre dans
la répartition du travail et l’équité de traitement des groupements. Il participe au quotidien et sur délégation du
commandant de région, à la direction de l’action des unités du groupement de gendarmerie départementale chef-lieu.
Officier le plus ancien dans le grade le plus élevé de la région (exclus, le CDR et son second), il assure la suppléance
du commandement en second en matière disciplinaire (sanctions et récompenses). Ce dernier peut lui déléguer ses
prérogatives d’AM1 en application de l’arrêté du 30 mai 2006 autorisant les autorités militaires de premier niveau à
déléguer leur signature. L’OAC est suppléé par l’officier le plus ancien dans le grade le plus élevé de la région et du
groupement.
Outre les attributions détaillées au chapitre 1er du titre I, la CCECO-SIC, sous le contrôle et l’impulsion de l’OAO/
OSIC, conseille le GGDCL et les échelons de commandement subordonnés dans tous les aspects d’appui opérationnel
SIC.
Elle est l’interlocuteur privilégié du ST(SI)² en charge de la coordination régionale des opérations de déploiement
ou de maintenance nationale ou interdépartementale de matériels ou logiciels.
Le COG assure une veille permanente et est chargé :
–– d’alerter le CDR, commandant le GGDCL (ou son adjoint) et le CROGEND de la survenance de tout événe-
ment important ou sensible ;
–– de centraliser l’information, en mesure de répondre aux sollicitations internes et externes à la gendarmerie ;
–– de gérer les interventions.
La SSIC est chargée :
–– d’appuyer l’action quotidienne des unités implantées dans le GGDCL ;
–– de déployer et de maintenir en condition opérationnelle les SIC de la gendarmerie, en veillant en particulier à
garantir la permanence et la continuité du service opérationnel offert par le réseau RUBIS.
Sur directives du commandant de région, commandant le GGDCL, l’OAO/OSIC participe au service de permanence
du commandement opérationnel du département d’implantation.
2.3. Bureau renseignement
Placé sous l’autorité de l’OAR, dont les missions sont définies dans la circulaire de 15e référence, le BRENS, chargé
des questions de renseignement et d’intelligence économique, se compose de deux cellules :
–– la cellule suivi des événements ;
–– la cellule renseignement.
L’OAR a autorité sur le sous-officier SDRT.
Sur directives du commandant de région, commandant le GGDCL, l’OAR participe au service de permanence du
commandement opérationnel du département d’implantation.
Il entretient des relations avec le SRRT et la SDAO de la DGGN.
2.4. Bureau sécurité publique - partenariat
Placé sous l’autorité de l’OASP, ce bureau comprend, le cas échéant, un référent sûreté. Chargé des questions de
sécurité publique générale, le BSPP assure notamment le suivi de la réglementation, de la prévention de la délinquance,
de la fraude documentaire et du partenariat.
L’OASP, chargé du suivi des directives de la DGGN dans le domaine de la SPG, entretient des relations avec la
SDSPSR.
Sur directives du commandant de région, commandant le GGDCL, l’OASP participe au service de permanence du
commandement opérationnel du département d’implantation.
2.5. Bureau de la police judiciaire
Le BPJ est composé de la BDRIJ.
En RG Corse, le BPJ est placé sous l’autorité de l’OAPJ et se compose de la BDRIJ et de la SAR (chargée de
l’ensemble des questions de PJ pour la RG).
L’OAPJ entretient des relations avec la SDPJ de la DGGN et le PJGN.
des arrêtés de délégation de pouvoirs du ministère de l’intérieur pris sur le fondement du décret no 2006-1780 du
23 décembre 2006 portant délégation de pouvoir en matière de recrutement et de gestion de certains personnels
relevant du ministère de l’intérieur.
Il est également chargé de la mise en œuvre du contrôle interne de fiabilisation des données RH-solde de 1er niveau
en application du texte de 14e référence.
Il entretient des relations avec la SDGP et la DRG de la DGGN.
Le BGP est composé de quatre sections :
–– une section de la GAP et de l’administration (mêmes attributions qu’au chapitre 1er du titre I) ;
–– une section du personnel officier (les attributions sont détaillées dans le texte de 10e référence, chapitre 4 para-
graphes 2 à 5, référence dans la colonne RG) ;
–– une section du personnel non officier (les attributions sont détaillées dans le texte de 10e référence dans la
colonne RG) ;
–– une section du personnel de réserve (les attributions sont détaillées dans le texte de 10e référence dans la colonne
RG). Cette section est chargée, notamment, de la constitution et de la gestion des dossiers qui doivent être
transmis à la SDC-BRCE en vue de l’évaluation psychologique des candidats à la réserve opérationnelle.
Pour la RG Corse, les sections du personnel officier et du personnel non officier sont fusionnées en une seule
section du personnel.
3.3.2. Bureau des compétences (excepté en RG Corse)
Le BDC a la même organisation et les mêmes attributions qu’au chapitre 1er du titre I avec les exceptions suivantes :
–– les attributions des différentes unités ne concernent pas la GM (attributions des RG zonales) ;
–– il n’y a pas de CSC au sein des BDC des RG non zonales (attributions des RG zonales).
Concernant le CIR, outre les attributions mentionnées au chapitre 1er du titre I, il est également chargé d’organiser
les épreuves de sélection à des emplois de volontaires dans les armées en service au sein de la gendarmerie nationale –
GAV et AGIV.
Il entretient des relations avec la SDC de la DGGN ainsi qu’avec le CSC de la région zonale.
3.3.3. Bureau de l’accompagnement du personnel (excepté en RG Corse)
En liaison étroite avec le BGP, le BAP est chargé des questions de chancellerie, des questions sociales, de
reconversion, de contentieux statutaire et de protection fonctionnelle des personnels militaires.
Il instruit les autorisations à servir par dérogation à la norme d’aptitude, les demandes d’envoi devant les différentes
commissions de santé et de réforme ; il représente la région à la commission régionale de santé des armées.
Il entretient des relations avec la SDAP de la DGGN.
Le BAP est composé de trois unités :
–– une section de la chancellerie et de la protection fonctionnelle et du contentieux, chargée des questions de chan-
cellerie, des cumuls d’activités, de la discipline, des récompenses et décorations et du suivi des dossiers liés aux
congés de non-activité pour les personnels militaires de la RG, ainsi que des questions de protection fonction-
nelle, des recours et du contentieux statutaire ;
–– un district social, chargé notamment des questions sociales et culturelles de la RG et de l’organisation du comité
social ;
–– un COR qui, dans le cadre de la reconversion, entretient des contacts avec les entreprises privées et les adminis-
trations ou organismes publics sur le ressort de la RG.
Un psychologue clinicien, dont les attributions sont définies dans le texte de 8e référence, est rattaché au BAP.
3.3.4. Bureau des compétences et de l’accompagnement du personnel de la RG Corse
Le BDCAP est chargé des questions de formation des personnels, des questions de chancellerie, de contentieux
statutaire et de protection fonctionnelle des personnels militaires, des questions sociales et de reconversion.
Il se compose de quatre unités :
–– une section de la formation ;
–– une section de la chancellerie, de la protection fonctionnelle et du contentieux ;
–– un district social ;
–– un COR.
Il entretient des relations avec la SDC de la DGGN ainsi qu’avec le CSC de la région zonale.
Un psychologue clinicien, dont les attributions sont définies dans le texte de 8e référence, est rattaché au BDCAP.
–– un ou plusieurs chargés de projets (chargés, par le CAO, de dossiers, missions ou questions spécifiques parfois
transverses) ;
–– une section commandement (chargée de toutes les tâches de secrétariat de la DAO) ;
–– une section santé et sécurité au travail (dont les attributions figurent dans le texte de 4e référence).
La présente circulaire sera publiée au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 14 août 2014.
Pour le ministre et par délégation :
le général d’armée,
directeur général de la gendarmerie nationale,
D. Favier
ANNEXE I
ANNEXE I
ORGANIGRAMME
ORGANIGRAMME DESDES RÉGIONS DE
RÉGIONS DEGENDARMERIE
GENDARMERIE ZONALESZONALES
AUTRESAUTRES
QUEQUE
LESLES RGZDS, ILE-DE-FRANCE
RGZDS, ÎLE-DE-FRANCEET ESTET EST
commandant de région
commandant en second
officier nautique zonal * Officier adjoint ressources humaines Officier adjoint soutiens finances
section de la mobilité
centre de sélection et de concours
section de la sécurité routière
ANNEXE II
ANNEXE II
ORGANIGRAMME DE LA RÉGION DE GENDARMERIE ZONALE D’ÎLE-DE-FRANCE
ORGANIGRAMME DE LA RÉGION DE GENDARMERIE ZONALE D’ÎLE-DE-FRANCE
commandant de région
commandant en second
OAPJ zonal
bureau unique du logement
cabinet communication
secrétariat
centre opérations renseignement
gendarmerie d'Ile-de-France section planif ication entretien
section de la sécurité routière, des bureau des compétences section de la gestion et de l'achat des
f ormations et des moy ens spécialisés matériels
psychologue clinicien
(1) - un détachement de liaison auprès du cabinet du
préfet de police de Paris ; section de la chancellerie
- un détachement de liaison auprès de l'EMIZDS de la
préfecture de police de Paris ;
- un détachement de liaison auprès de la direction de section de la protection f onctionnelle
l'ordre public et de la circulation (DOPC) de la et du contentieux
préfecture de police de Paris.
ANNEXE III
commandant de région
commandant en second
section du contrôle et du
Bureau de la performance et de la
conseil budgétaire
cohérence opérationnelle
détachements de liaison
section du pilotage et du contrôle EMZD
interne
section de la mobilité
section de la chancellerie
ANNEXE IV
Commandant de région
Commandant le GGD CL
commandant en second
section
commandement
CHEF des OPÉRATIONS CHEF de l'APPUI OPÉRATIONNEL Chargé(s) de projets
section santé et
sécurité au travail
BUREAU RENSEIGNEMENT
bure au de s com pé tences
(Officier adjoint renseignement)
centre d'information et de
Cellule renseignement
recrutement
psychologue clinicien
centre d'orientation et de
reconversion
ANNEXE V
ANNEXE V
ORGANIGRAMME DE LA RÉGION DE GENDARMERIE NON ZONALE DE CORSE
ORGANIGRAMME DE LA RÉGION DE GENDARMERIE NON ZONALE DE CORSE
Commandant de région
Commandant le GGD CL
commandant en second
cabinet communication
Officier Adjoint Commandement
section
commandement
SSIC
bureau de s com pé te nce s e t de
l'accom pagne m e nt du pe rs onne l
section de la formation
district social
BDRIJ
GLOSSAIRE
A
AEM : action de l’État en mer.
AGIV : aspirant de gendarmerie issu du volontariat.
AM1 : autorité militaire de premier niveau.
AM2 : autorité militaire de deuxième niveau.
AMOP : armements, munitions, observation, protection.
AMOD : armements, munitions, optique, divers.
B
BAIGN : bureau des affaires immobilières de la gendarmerie nationale.
BAP : bureau de l’accompagnement du personnel.
BBA : bureau du budget et de l’administration.
BCO : bureau de la coordination des opérations.
BDC : bureau des compétences.
BDCAP : bureau des compétences et de l’accompagnement du personnel.
BDM : bureau de la dépense militaire.
BDRIJ : brigade départementale de renseignements et d’investigations judiciaires.
BDROP : bureau de la défense, du renseignement et de l’ordre public.
BGP : bureau de la gestion du personnel.
BGPM : bureau de la gestion du personnel militaire.
BI : bureau de l’infrastructure.
BIL : bureau de l’immobilier et du logement.
BIS : bureau de l’immobilier et du stationnement.
BMAT : bureau des matériels.
BMOB : bureau de la mobilité.
BMOPS : bureau des moyens opérationnels.
BOE : bureau de l’organisation et des effectifs.
BOP : budget opérationnel de programme.
BPC : bureau du personnel civil.
BPCO : bureau de la performance et de la cohérence opérationnelle.
BPJ : bureau de la police judiciaire.
BRENS : bureau renseignement.
BSIC : bureau des systèmes d’information et de communication.
BSO : bureau des soutiens opérationnels.
BSPP : bureau de la sécurité publique - partenariat.
BSPSR : bureau de la sécurité publique et de la sécurité routière.
BUL : bureau unique du logement.
C
CAFZ : centre administratif et financier zonal.
CAO : chef de l’appui opérationnel.
CCECO-SIC : cellule conseil évaluation coordination opérationnels des systèmes d’information et de
communication.
CDR : commandant de région.
O
OAC : officier adjoint commandement.
OAO : officier adjoint opérations.
OAPJ : officier adjoint chargé de la police judiciaire.
OAR : officier adjoint renseignement.
OARH : officier adjoint ressources humaines.
OASF : officier adjoint soutiens finances.
OASP : officier adjoint chargé de la sécurité publique.
ONZ : officier nautique zonal.
OSIC : officier sécurité des systèmes d’information et de communication.
OSSI : officier sécurité des systèmes de sécurité et d’information.
P
PJ : police judiciaire.
PJGN : pôle judiciaire de la gendarmerie nationale.
PREMAR : préfecture maritime.
R
RBOP : responsable de budget opérationnel de programme.
RG : région de gendarmerie.
RGIF : région de gendarmerie d’Île-de-France.
RGNZ : région de gendarmerie non zonale.
RGZDS : région de gendarmerie située au chef-lieu d’une zone de défense et de sécurité.
RH : ressources humaines.
RUO : responsable d’unité opérationnelle.
S
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Les élections pour le renouvellement général des organismes consultatifs au sein desquels s’exerce la participation
des fonctionnaires et agents de l’État sont organisées dans le nouveau cadre juridique issu de la loi no 2010-751 du
5 juillet 2010 relative à la rénovation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives à la fonction
publique.
La date de ces prochaines élections est donc commune à l’ensemble de la fonction publique d’État. Elle a été fixée
au jeudi 4 décembre 2014, par arrêté du 3 juin 2014 de la ministre de la décentralisation et de la fonction publique.
Toutefois, ledit arrêté a prévu, de manière dérogatoire, que ces élections se dérouleraient du 1er au 4 décembre 2014
pour les scrutins des comités techniques (CT) à l’exception du CT ministériel (CTM), des commissions administratives
paritaires (CAP) et des commissions consultatives paritaires (CCP) de la direction générale de la police nationale
(DGPN), ainsi que pour les élections au comité technique interdépartemental (CTI) des services de police de la
préfecture de police et au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) spécial relevant de la
direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS). S’agissant du CTM, les élections se dérouleront
sur la seule journée du 4 décembre 2014.
Des arrêtés ministériels, publiés au Journal officiel, précisent les modalités des élections pour chaque corps ou
catégorie de personnels du ministère de l’intérieur.
Il sera procédé au dépouillement de tous les scrutins le 4 décembre 2014, à partir de 17 heures, heure de Paris,
heure de clôture du scrutin.
Cette instruction a pour objet de présenter les conditions générales dans lesquelles se dérouleront les scrutins
auxquels participeront tous les personnels du ministère de l’intérieur.
FFait le 4 août 2014.
Le directeur des ressources La directrice des ressources humaines
et des compétences de la police nationale, du secrétariat général,
M. Rouzeau N. Colin
SOMMAIRE
I. – ÉLECTORAT
A. – Qui est électeur ?
1. Conditions générales
2. Cas particuliers
3. Ne sont pas électeurs
4. Personnels bénéficiant d’une mutation
5. Personnels bénéficiant d’une promotion
6. Agents bénéficiant d’une décharge d’activité de service (totale ou partielle)
B. – Inscription sur les listes électorales
II. – ÉLIGIBILITÉ
A. – Conditions de candidature
1. Conditions liées à l’organisation syndicale
2. Conditions liées à la personne
B. – Modalités de dépôt des listes
I. – HORAIRES DE VOTE
T A B L E AU D E S A N N E X E S
I. – ÉLECTORAT
Les conditions à remplir pour être électeur sont fixées par :
–– l’article 12 du décret no 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires,
–– l’article 8 de l’arrêté du 18 juillet 2008 portant création des commissions consultatives paritaires compétentes à
l’égard des agents contractuels de droit public de la police nationale,
–– l’article 11 de l’arrêté du 4 juillet 2014 portant création de la commission consultative paritaire compétente à
l’égard de certains agents non titulaires du ministère de l’intérieur,
–– l’article 11 de l’arrêté du 4 juillet 2014 portant création d’une commission consultative paritaire compétente à
l’ égard de certains personnels contractuels navigants et non navigants affectés au bureau des moyens aériens,
–– l’article 9 de l’arrêté du 8 octobre 2009 instituant des commissions consultatives paritaires compétentes à l’égard
des adjoints de sécurité recrutés en application de l’article 36 de la loi no 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation
et de programmation relative à la sécurité.
La qualité de l’électeur s’apprécie au 4 décembre 2014, jour du scrutin ou du 1er au 4 décembre 2014 à titre dérogatoire
pour les scrutins cités en page 1 de l’instruction.
–– les fonctionnaires d’une autre administration en détachement entrant au ministère de l’intérieur. Ils votent à la
CAP nationale du corps d’accueil, la CAP locale du corps d’accueil et à la CAP nationale de leur corps d’ori-
gine ;
–– les fonctionnaires du ministère de l’intérieur en détachement sortant dans une autre administration. Ils votent
au ministère de l’intérieur uniquement pour la CAP nationale de leur corps d’origine. Ils votent également à la
CAP nationale et à la CAP locale de leur corps d’accueil ;
–– les fonctionnaires en position d’activité (selon les modalités de cette position : affectation, position normale
d’activité sortante et mise à disposition sortante). En l’absence d’arrêté individuel, ils ne voteront que s’ils sont
en mesure de démontrer que la date de leur affectation et leur prise effective de fonctions auront lieu avant la
date du scrutin. Ils sont électeurs à leur CAP nationale ;
–– les stagiaires dont la date de titularisation intervient avant la date du scrutin, même en l’absence d’arrêté indi-
viduel ou d’avis de la CAP sur leur titularisation, dès lors qu’ils ont reçu un avis favorable de titularisation de
leur chef de service ;
–– les agents contractuels de droit public en position d’activité ou en position de congé parental, s’ils comptent au
moins un an de services effectifs en cette qualité à la date prévue du scrutin pour l’élection à leur commission
consultative paritaire ;
–– les adjoints de sécurité ayant terminé leur formation à la date du scrutin pour l’élection à leur commission
consultative paritaire.
NB : les chefs de service administratif (CSA), les conseillers d’administration de l’intérieur et de l’outre-mer
(CAIOM), les chefs des services techniques, les chefs des services des SIC et les agents principaux des services
techniques (APST) sont des emplois fonctionnels sur lesquels des personnels de corps et de grades différents peuvent
être détachés. Ils votent aux CAP nationales et locales de leur corps d’origine.
–– les stagiaires non titularisés avant la date du scrutin. Ces derniers sont en revanche électeurs dans leur corps
d’origine s’ils sont déjà fonctionnaires. Ainsi, pour le corps de commandement, les officiers détachés dans le
corps des commissaires, élèves et stagiaires, sont inscrits sur la liste électorale du bureau de vote central du corps
de commandement. Ils votent par correspondance. Pour le corps d’encadrement et d’application, les personnels
détachés sont inscrits sur la liste électorale de leur dernier lieu d’activité dans leur corps d’origine – ex : gardien
de la paix détaché en qualité d’élève ou de stagiaire dans le corps de commandement. Ils votent par correspon-
dance ;
–– les personnels « PACTE » dont l’arrêté de titularisation n’a pas été signé avant la date du scrutin ;
–– les ouvriers en essai d’embauche, les intérimaires, les agents en disponibilité, en congé de fin d’activité, en posi-
tion hors cadres, les volontaires du service national ou civique ;
–– ne disposent pas non plus de la qualité d’électeurs pour des motifs statutaires les membres du corps préfectoral
sauf lorsqu’ils sont détachés dans un autre corps et notamment celui des administrateurs civils, les militaires (à
l’exception de ceux qui sont détachés dans des corps d’accueil civils, et notamment les gendarmes détachés dans
le grade de gardien de la paix), les ministres du culte.
Nul ne peut voter s’il n’est inscrit sur une liste électorale.
Les listes électorales sont élaborées à partir de l’application DIALOGUE. Les services devront donc porter une
attention particulière à la mise à jour dans ce logiciel :
→ de l’affectation administrative ;
→ de l’affectation opérationnelle ;
→ de la position administrative ;
→ de l’adresse personnelle des agents, notamment pour ceux qui sont détachés, en CLM ou en CLD.
L’application DIALOGUE permet aux bureaux de vote d’éditer dans « Excel » les listes des électeurs à partir d’une
requête publique.
Cette requête permet également d’éditer les listes d’émargement pour le jour du scrutin.
Le nom et les caractéristiques de cette requête seront communiqués ultérieurement. Cette liste sera établie par
bureau de vote en fonction des informations enregistrées dans DIALOGUE.
En cas de rectification de la situation de l’agent, de ses modalités de vote ou du bureau de vote de rattachement,
c’est le dossier de l’agent dans DIALOGUE qui doit être mis à jour et non le fichier Excel.
Il appartient à tous les bureaux de vote et sections de vote de procéder obligatoirement à l’affichage des listes
électorales pour les CAP et les commissions consultatives paritaires (CCP), le mardi 23 septembre 2014 à 17 heures
au plus tard.
Les listes affichées mentionnent les matricule, nom, prénom, grade, affectation administrative de chacun des agents
inscrits ainsi que les modes de scrutin correspondants.
La liste des électeurs est arrêtée par le chef de service auprès duquel est placé la section ou le bureau de vote.
Un procès-verbal attestant de cet affichage à la date du 23 septembre 2014 doit être établi et adressé par messagerie
à l’adresse electionspro@interieur.gouv.fr
La publicité des listes devra être permanente jusqu’au 4 décembre inclus.
Dans les huit jours ouvrés qui suivent l’affichage, les électeurs peuvent vérifier leur inscription et, présenter dans ce
délai une demande de modification (matérielle, erreur,…) ou d’ajout sur la liste. Dans les onze jours ouvrés suivant
l’affichage, si la demande de modification ou d’inscription a été rejetée, les candidats ou les représentants syndicaux
peuvent présenter une réclamation contre les inscriptions ou les omissions à l’autorité auprès de laquelle est placée
la CAP.
Seule l’acquisition ou la perte de la qualité d’électeur peut alors donner lieu à une modification individuelle à
l’initiative de l’administration ou à la demande de l’intéressé. Elle est immédiatement affichée.
Les gestionnaires mettront à jour les dossiers informatiques des agents concernés, dans l’application DIALOGUE,
dans les meilleurs délais.
Une fois affichée, la liste devient définitive. Toute modification liée à des situations individuelles donne lieu à un
affichage distinct.
Les listes d’émargement seront ensuite éditées en intégrant les modifications éventuellement intervenues.
II. – ÉLIGIBILITÉ
–– listes concurrentes : les organisations syndicales affiliées à une même union ne peuvent présenter des listes
concurrentes à une même élection. Si le cas se présente, l’union peut alors procéder ou non à la désignation de
l’une des candidatures concurrentes. Dans ce dernier cas, les candidatures non désignées devront prouver qu’elles
remplissent la condition d’ancienneté et qu’elles satisfont aux critères de respect des valeurs républicaines et
d’indépendance.
Les listes de candidats, accompagnées des déclarations de candidature signées par chaque candidat, devront être
déposées par les organisations syndicales au plus tard jeudi 23 octobre 2014, 15 heures pour les scrutins se déroulant
le 4 décembre et le lundi 20 octobre à 15 heures pour ceux se déroulant à partir du 1er décembre.
Dès le 30 septembre 2014, le dépôt des listes sera rendu possible sur support papier.
Pour le périmètre « secrétariat général » (SG), le dépôt sur support papier des listes de candidats aux CAP nationales
et CAP locales placées auprès de la direction des ressources humaines (DRH) se fera à la DRH (immeuble Lumière,
2e étage, 40, avenue des Terroirs de France, 75012 PARIS), de 9 heures à 15 heures, du lundi au vendredi.
Pour le périmètre police, le dépôt sur support papier des listes de candidats aux CAP nationales et CAP locales
siégeant au niveau de l’administration centrale se fera au secrétariat de chaque bureau de gestion concerné de la
sous-direction de l’administration des ressources humaines (SDARH) – (DRCPN, immeuble Lumière, 6 et 7e étages,
40, avenue des Terroirs de France, 75012 PARIS) de 9 heures à 15 heures, du lundi au vendredi.
Les listes de candidats qui seraient déposées après le 20 ou le 23 octobre selon les dates d’ouverture des scrutins,
15 heures, seraient déclarées irrecevables.
La liste doit mentionner le nom d’un agent, délégué de liste, habilité à la représenter dans toutes les opérations
électorales. Ce délégué de liste peut être candidat ou non, électeur ou non, membre ou non de l’organisation qui
dépose la liste. L’organisation syndicale peut désigner un délégué suppléant.
Lors du dépôt des listes, il est délivré un récépissé à chaque délégué de liste.
Ce récépissé ne peut en aucun cas être considéré comme valant reconnaissance de la recevabilité de la liste déposée
et de l’éligibilité des candidats.
S’agissant du dépôt des listes pour les CAP locales, les SGAMI, la préfecture de police de Paris et les préfectures
seront chargés, chacun en ce qui les concerne, des mêmes opérations. Il revient à chaque organisation syndicale de
prendre contact avec l’autorité responsable du scrutin pour en connaître les modalités.
La DRH et les bureaux de gestion, pour la DRCPN, doivent s’assurer, chacun en ce qui les concerne, de l’éligibilité
des candidats aux scrutins dont ils ont la charge et vérifier la bonne constitution des listes de candidats déposées.
Nul ne peut être candidat sur plusieurs listes d’un même scrutin.
L’absence d’un délégué de liste ou de son représentant ne constitue pas une cause de nullité du tirage au sort. Ce
tirage au sort détermine l’ordre des listes qui sera respecté pour l’affichage des listes de candidats, la diffusion des
professions de foi et l’installation des bulletins de vote dans les lieux de vote.
Pour les scrutins nationaux et locaux de centrale, la livraison des professions de foi par les organisations syndicales
se fera sur rendez vous, chez l’entreprise chargée de la mise sous pli jusqu’au lendemain de la date limite de dépôt des
professions de foi, 12 heures. Le nom et l’adresse de cette entreprise seront indiqués en septembre 2014.
Pour les scrutins locaux, les autorités concernées (préfectures et SGAMI) devront indiquer aux organisations
syndicales le point de livraison des professions de foi qui devront être mises sous pli.
Les préfectures et les SGAMI doivent organiser à leur niveau la mise sous pli des propagandes pour les scrutins
locaux (préfectures : CAP locales de la filière administrative ; SGAMI : CAP locales de la filière technique et SIC et
CAPI du CEA, CAP locales des adjoints techniques et des ASPT PN).
Date limite du dépôt des professions de foi 23 ou 20 octobre (pour les scrutins débutant le 1er décembre) 2014
Date limite de livraison des professions de foi par les organisations syndicales Jusqu’au 24 ou 21 octobre 2014 (12 heures)
Date limite de vérification des livraisons auprès de l’entreprise chargée de la mise sous pli 24 ou 21 octobre 2014 (à partir de 14 heures)
Date limite de mise sous pli achevée. Contrôle par sondage 13 novembre 2014
Les professions de foi seront mises en ligne sur le site intranet du ministère de l’intérieur consacré aux élections.
I. – HORAIRES DE VOTE
La date des élections pour le renouvellement des CAP, des CCP, des CNAD et des CLAD est fixée au
jeudi 4 décembre 2014 pour les périmètres SG et GN, selon des horaires fixés par le ministre de l’intérieur.
Par dérogation, pour tous les corps gérés par la direction générale de la police nationale, ce scrutin est fixé du
lundi 1er décembre au jeudi 4 décembre selon des horaires fixés par le ministre de l’intérieur (annexe no 8).
Les heures de début de scrutin sont les suivantes : le 1er décembre 2014 à 14 heures (heure de Paris) pour le périmètre
police nationale et le 4 décembre 2014 à 8 heures pour le périmètre secrétariat général. La clôture s’effectuera à
17 heures (heure de Paris) pour tous les périmètres.
Le représentant de l’État dans les départements et collectivités d’outre-mer adapte les horaires d’ouverture et de
fermeture des bureaux de vote aux conditions locales.
Pour le vote par correspondance, la date limite de réception des votes dans les boîtes postales prévues à cet effet
est fixée au jeudi 4 décembre 2014, avant la dernière levée du courrier.
Les scrutins pour lesquels serait prévu le recours exclusif au vote électronique ne seraient pas concernés par ces
dates et horaires. Un arrêté spécifique du ministre de l’intérieur fixerait les modalités de l’élection des représentants
du personnel au sein des instances concernées.
II. – MODALITÉS DE VOTE
Le scrutin est secret et chaque bulletin de vote est placé dans une enveloppe qui ne doit porter aucun signe distinctif.
Le vote par procuration n’est pas autorisé.
Les électeurs votent pour une liste entière, sans adjonction ni radiation de noms et sans modification de l’ordre de
présentation des candidats. En conséquence, le panachage et le vote préférentiel sont interdits. Est nul tout bulletin
établi en méconnaissance de l’une de ces dispositions.
Ces prescriptions réglementaires doivent être rappelées par un affichage dans la salle de vote.
–– les CAP nationales et CAP locales relevant de la direction générale de la police nationale, et du secrétariat
général (filière administrative et corps des adjoints techniques).
Les formalités de vote se limitent à ce que l’électeur :
–– justifie de son identité ;
–– émarge sur la liste de la commission au titre de laquelle il est électeur.
2. Corps à effectifs réduits dans le ressort d’un bureau de vote spécial
Dans l’hypothèse où la faiblesse des effectifs d’un corps, au plan local, ne permet pas de garantir le respect du
principe de confidentialité du vote, il convient de solliciter le rattachement des électeurs concernés auprès d’un autre
bureau de vote spécial inclus dans le même ressort de CAP locale ou du bureau de vote central et leur inscription sur
une liste spécifique gérée par ces mêmes bureaux.
Ces modifications nécessitent une bonne information entre services (SGAMI et préfectures de département) et la
modification des informations dans DIALOGUE.
3. Personnels affectés en juridictions administratives et dans les services de la gendarmerie nationale
Les agents de la filière administrative et les adjoints techniques affectés dans les juridictions administratives situées
en dehors de l’Île-de-France votent par correspondance dans les boîtes postales ouvertes auprès des préfectures.
Ils votent par correspondance dans les boîtes postales ouvertes auprès de l’administration centrale (immeuble
Lumière) lorsqu’ils sont affectés en Île-de-France.
Les agents de la filière administrative et les adjoints techniques affectés en gendarmerie hors Île-de-France votent
par correspondance dans les boîtes postales ouvertes auprès des préfectures.
Ils votent dans les boites postales ouvertes auprès de la direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN-
site d’Issy-les-Moulineaux) lorsqu’ils sont affectés en Île-de-France. Seuls les agents (filière administrative et adjoints
techniques) du site d’Issy-les-Moulineaux votent à l’urne.
Une section de vote est le lieu où les électeurs votent mais où il n’est pas procédé au dépouillement sur place.
Chaque section de vote est composée :
–– d’un président et un président suppléant : membre du corps de conception et de direction ou du corps de com-
mandement ou fonctionnaire de catégorie A ou B du ministère de l’intérieur ;
–– d’un secrétaire et un ou plusieurs secrétaires adjoints : fonctionnaires des corps actifs de police ou fonctionnaire
de catégorie A, B ou C du ministère de l’intérieur ;
–– d’un représentant de chaque liste en présence : chaque liste peut désigner un représentant titulaire et un repré-
sentant suppléant choisis parmi les agents qui seront présents pour l’ensemble des opérations du scrutin. Ces
représentants sont dispensés de service pour la durée de leur présence lors des opérations électorales, y compris
lors du dépouillement.
Les organisations syndicales qui présentent des listes de candidats doivent faire connaître les noms des représentants
de liste et du ou des suppléants qu’elles ont désignés au président de chaque bureau de vote trois jours au plus tard
avant le scrutin.
Il peut être institué des bureaux de vote spéciaux rattachés à un bureau de vote central et chargés :
–– de recueillir les votes à l’urne et par correspondance ;
–– d’en assurer le dépouillement ;
–– de transmettre les résultats au bureau de vote central sans les proclamer.
Chaque bureau de vote spécial est composé :
–– d’un président et un président suppléant : membre du corps de conception et de direction ou du corps de com-
mandement ou fonctionnaire de catégorie A ou B du ministère de l’intérieur ;
–– d’un secrétaire et un ou plusieurs secrétaires adjoints : fonctionnaires des corps actifs de police ou fonctionnaire
de catégorie A, B ou C du ministère de l’intérieur ;
–– d’un représentant de chaque liste en présence : chaque liste peut désigner un représentant titulaire et un repré-
sentant suppléant choisis parmi les agents qui seront présents pour l’ensemble des opérations du scrutin. Ces
représentants sont dispensés de service pour la durée de leur présence lors des opérations électorales, y compris
lors du dépouillement.
Les organisations syndicales qui présentent des listes de candidats doivent faire connaître les noms des représentants
de liste et du ou des suppléants qu’elles ont désignés au président de chaque bureau de vote trois jours au plus tard
avant le scrutin.
● En administration centrale :
Il est instauré auprès du directeur des ressources humaines ou du directeur des ressources et des compétences de
la police nationale des bureaux de vote centraux chargés de la centralisation et de la proclamation des résultats des
scrutins nationaux et des scrutins locaux de centrale : CAPN, CCP, CNAD, CAPL de centrale.
Des arrêtés du ministre de l’intérieur ou de l’autorité auprès de laquelle sont placées les instances concernées
nomment les membres de ces bureaux de vote centraux qui comprennent :
–– un président et un président adjoint : un administrateur civil, un fonctionnaire du corps de conception et de
direction, ou un fonctionnaire de catégorie A ;
–– un secrétaire et un ou plusieurs secrétaires adjoints : fonctionnaires de catégories A, B, ou C des corps adminis-
tratifs ou fonctionnaires du corps de commandement ;
–– un représentant de chaque liste en présence avec un suppléant, désignés dans les conditions mentionnées ci-
dessus pour les bureaux de vote spéciaux. Ces représentants sont dispensés de service pour la durée de leur
présence lors des opérations électorales, y compris lors du dépouillement.
● En administration territoriale :
Il est instauré auprès :
–– du préfet de région pour les CAP locales de la filière administrative ;
–– du préfet de police ou du préfet délégué pour la défense et la sécurité placé auprès du préfet de la zone de défense
et de sécurité, en charge du SGAMI pour les CAP locales des personnels techniques, SIC, de la police technique
et scientifique, des adjoints techniques et des adjoints de sécurité et pour les CAPI du corps d’encadrement et
d’application.
Ces bureaux de vote sont chargés de la collecte et de la centralisation des résultats dépendant de leur ressort
géographique ou fonctionnel. Ils sont chargés aussi de la proclamation des résultats des élections.
Ces bureaux de vote sont composés comme suit :
–– un président et un ou deux présidents adjoints : sous-préfet, fonctionnaire du corps de conception et de direction
ou un fonctionnaire de catégorie A ;
–– un secrétaire et un ou plusieurs secrétaires adjoints : fonctionnaires de catégories A B ou C des corps adminis-
tratifs ou fonctionnaires du corps de commandement ;
–– un représentant de chaque liste en présence : chaque liste peut désigner un représentant titulaire et un repré-
sentant suppléant choisis parmi les agents qui seront présents pour l’ensemble des opérations du scrutin. Ces
représentants sont dispensés de service pour la durée du scrutin y compris lors du dépouillement.
Les arrêtés de composition des bureaux de vote seront publiés avant le 14 novembre 2014.
Selon les dates indiquées ci-dessus et les horaires définis par l’arrêté ministériel précité, les présidents des bureaux
de vote et des sections de vote déclarent le scrutin ouvert et rédigent un procès-verbal (annexe no 2). Les votes à
l’urne sont pris en compte selon les modalités décrites dans le mémento du président du bureau de vote. Pour les
scrutins relevant de la police nationale, le taux de participation devra être communiqué les 2, 3 et 4 décembre 2014
au bureau de vote central à 12 heures pour la remontée et l’agrégation des taux constatés via l’application « Dialogue
web Elections ». Pour les scrutins relevant du périmètre secrétariat général, ce taux devra être communiqué le
4 décembre 2014, à 12 heures.
Le 4 décembre 2014, ou le cas échéant le 3 décembre, à l’heure indiquée dans l’arrêté ministériel précité, chaque
président de bureau de vote ou section de vote procède à la clôture du scrutin. Il constate le nombre total d’électeurs
inscrits. Il comptabilise le nombre total de votants à l’urne, ainsi que le nombre d’enveloppes éventuellement reçues
par correspondance.
Dans ce cas, il procède à l’ouverture du bac et vérifie la conformité du contenu avec les indications du procès-verbal.
Il comptabilise les enveloppes d’expédition contenues dans la boîte postale. Ces opérations sont consignées par
procès-verbal (annexe no 3).
Chaque président de section de vote procède au scellé des urnes correspondant aux scrutins dont il a la charge,
en présence des représentants des listes et les transfèrent avec la liste d’émargement et les procès verbaux rédigés au
cours des opérations électorales, au bureau de vote auquel il est rattaché.
Les opérations de recensement des votes débutent, dans chaque bureau de vote, dès la clôture du scrutin.
Aucune opération de dépouillement, de quelque nature que ce soit, ne doit être effectuée avant le jeudi 4 décembre
à 17 heures, au risque d’annuler le scrutin au niveau national.
Cette instruction pose le cadre général relatif aux élections des représentants du personnel aux CAP, CCP, CNAD
et CLAD. Les questions plus précises ou les cas particuliers sont appelés à être traités sur le site intranet de la direction
des ressources humaines du ministère de l’intérieur accessible à l’adresse suivante : http://ressources-humaines.
interieur.ader.gouv.fr/index.php/elections-professionnelles.
Un système de « foire aux questions » y sera disponible à compter du mois de septembre.
Les questions sont traitées par le biais de l’adresse electionspro@interieur.gouv.fr sous réserve d’avoir été envoyées
à l’aide de la fiche de liaison disponible sur le site intranet de la direction des ressources humaines du ministère de
l’intérieur.
ANNEXE 1
Je soussigné(e)
NOM patronymique :
NOM marital :
Prénom :
Matricule :
Affectation précise :
Date d’affectation :
Téléphone et/ou mail :
□ Nationale
ou
□ Locale Ressort : 3
Fait à le 2014
Signature
1
Compléter les rubriques.
2
Rayer la mention inutile.
3
Préciser le ressort (ex : région Alsace, zone de défense ouest, services centraux, préfecture de police…).
ANNEXE 2
Ouverture
Nous avons fait constater que les urnes étaient vides d’enveloppes, de bulletins et de tout objet.
Participation : date
LE PRÉSIDENT
Clôture
Nous avons déclaré le scrutin clos à ………..
Nous avons compté le nombre d’émargements suivants :
INSTANCES INSCRITS VOTES A L’URNE
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 3
............... enveloppes ont été comptabilisées et placées dans un sac qui sera mis sous scellé.
ANNEXE 4
→ Président(e) :
→ Secrétaire :
→ Délégués des listes en présence :
Enveloppes no 1 mises dans l’urne (le nom des électeurs dont émanent ces =
enveloppes est émargé sur la liste électorale)
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 5
LE PRÉSIDENT
Clôture
Nous avons déclaré le scrutin clos à ………..
Nous avons compté le nombre d’émargements suivants :
INSTANCES INSCRITS VOTES A L’URNE
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 6
LE PRÉSIDENT
Clôture
Nous avons déclaré le scrutin clos à ………..
Nous avons compté le nombre d’émargements suivants :
INSTANCES INSCRITS VOTES A L’URNE
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 7
CALENDRIER DE TRAVAIL
OPÉRATIONS DATES
ANNEXE 8
CAP/CT DGPN
JOUR Services centraux (tous corps, tous scrutins) Hors services centraux TECHNIQUES PN ET SCIENTIFIQUES
HORS CTM
Les personnels administratifs et techniques SG affectés dans les services de Police voteront sur la seule journée du
4 décembre pour le CTM et pour les CAP de leur corps, en revanche pour les CT du périmètre police ils voteront
du 1er au 4 décembre.
Pour toutes les instances relevant du périmètre SG et GN (à l’exception de certains services d’outre-mer)
jeu. 4 déc. 14 08 : 00 – 17 :00
ANNEXE 9
Projet d’arrêté fixant les modalités de vote par correspondance en vue des élections des repré-
sentants du personnel à certaines instances consultatives relevant du ministère de l’intérieur
et du ministère des outre-mer
Le ministre de l’intérieur,
Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi
no 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires ;
Vu le décret no 82-453 du 28 mai 1982 modifié relatif à l’hygiène et à la sécurité du travail ainsi qu’à la prévention
médicale dans la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 86-83 du 17 janvier 1986 modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris pour l’application de l’article 7 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions
statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
Vu le décret no 91-102 du 25 janvier 1991 modifié relatif au régime disciplinaire des ouvriers d’État du ministère de
l’intérieur assujettis aux dispositions du décret no 55-851 du 25 juin 1955 ;
Vu le décret no 2011-184 du 15 février 2011 modifié relatif aux comités techniques dans les administrations et les
établissements publics de l’État ;
Vu le décret no 2013-728 du 12 août 2013 modifié portant organisation de l’administration centrale du ministère de
l’intérieur et du ministère des outre-mer,
Arrête :
Article 1er
En vue de l’élection des représentants du personnel aux instances consultatives du ministère de l’intérieur et du
ministère des outre-mer mentionnées en annexe, sont admis à voter par correspondance les agents suivants :
1o Ceux qui n’exercent pas leurs fonctions au siège d’une section de vote ou du bureau de vote ;
2o Ceux qui sont en congé, notamment au titre des articles 34, 40 bis et 54 de la loi du 11 juillet 1984 susvisée
(congé de maladie, congé de grave maladie, congé de longue maladie, congé de longue durée, congé de maternité ou
d’adoption, congé de paternité, congé parental, congé de présence parentale, congé pour formation syndicale ou pour
formation professionnelle) ;
3o Ceux qui n’ont aucune obligation de service pendant les heures d’ouverture du scrutin ;
4o Ceux qui sont en position d’absence régulièrement autorisée ;
5o Ceux qui sont éloignés du service pour raisons professionnelles ;
6o Ceux qui sont suspendus ou temporairement exclus de leurs fonctions ;
7o Ceux qui sont empêchés, en raison des nécessités du service, de se rendre à la section de vote le jour du scrutin ;
8o Ceux qui remplissent des fonctions syndicales le jour du scrutin.
En outre, en vue de l’élection des représentants du personnel aux commissions administratives paritaires, sont
admis à voter par correspondance les agents placés en détachement.
Les agents énumérés aux précédents alinéas, à l’exception de ceux mentionnés au 7o, ont la faculté de voter
directement à la section de vote à laquelle ils sont rattachés. Dans ce cas, le vote direct prévaut lorsque l’électeur
utilise les deux procédures.
Article 2
Le vote par correspondance s’effectue de la façon suivante :
1o La liste des agents appelés à voter par correspondance est annexée à la liste électorale arrêtée par le chef de
service auprès duquel est placée la section de vote à laquelle ils sont rattachés.
Quinze jours au moins avant la date des élections, les agents intéressés sont avisés de leur inscription sur cette liste
et des conditions dans lesquelles ils pourront voter.
Article 3
La réception et le recensement des votes par correspondance s’effectuent dans les conditions suivantes :
1o La section de vote à laquelle sont rattachés les votants par correspondance procède, à l’issue du scrutin, au
recensement des votes recueillis par cette voie.
Les enveloppes no 3 puis les enveloppes no 2 sont ouvertes.
Au fur et à mesure de l’ouverture des enveloppes no 2, la liste électorale est émargée et l’enveloppe no 1 contenant le
bulletin de vote est déposée, sans être ouverte, dans l’urne contenant les suffrages des agents ayant voté directement
au siège de la section.
2o Sont mises à part, sans être ouvertes :
–– les enveloppes no 3 parvenues à la section de vote après l’heure de clôture du scrutin ;
–– les enveloppes no 2 sur lesquelles l’identité ou la signature du votant ne figurent pas ou sont illisibles ;
–– les enveloppes no 2 multiples parvenues sous la signature d’un même agent ;
–– les enveloppes no 1 portant une mention ou un signe distinctif ou susceptible de lui ôter son caractère anonyme ;
–– les enveloppes no 1 parvenues en nombre multiple sous une même enveloppe no 2.
Le nom des électeurs dont émanent ces plis n’est pas émargé sur la liste électorale.
Sont également mises à part, sans être ouvertes, les enveloppes émanant d’électeurs ayant pris part au vote
directement. Dans un tel cas, le vote par correspondance n’est pas pris en compte.
3o Un procès-verbal des opérations définies aux 1o et 2o est adressé au bureau de vote qui est chargé de procéder
au dépouillement. Sont annexées à ce procès-verbal les enveloppes mises à part sans être ouvertes en application des
alinéas ci-dessus.
Article 4
Sont abrogés :
–– l’arrêté du 1er septembre 1993 fixant les modalités de vote lors des élections aux commissions administratives
paritaires compétentes à l’égard des personnels actifs et des corps administratifs de la police nationale ;
–– l’arrêté du 8 janvier 1996 fixant les modalités de vote par correspondance en vue de l’élection des représentants
du personnel aux commissions administratives paritaires relevant du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Article 5
Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
FFait le [ ].
Le ministre de l’intérieur,
B. Cazeneuve
La ministre des outre-mer,
G. Pau-Langevin
ANNEXE
Liste des instances consultatives pour lesquelles le vote par correspondance est possible :
Commission administrative paritaire (CAP) compétente à l’égard du corps des administrateurs civils affectés ou
rattachés au ministère de l’intérieur ;
CAP compétente à l’égard du corps de l’inspection générale de l’administration au ministère de l’intérieur ;
CAP nationales et locales compétentes à l’égard des corps des attachés d’administration de l’État rattachés au
ministère de l’intérieur, des secrétaires administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer et des adjoints administratifs de
l’intérieur et de l’outre-mer ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des ingénieurs des services techniques du ministère de l’intérieur et
CAP nationales et locales compétentes à l’égard des corps des contrôleurs des services techniques du ministère de
l’intérieur, des contremaîtres des services techniques du matériel du ministère de l’intérieur et des adjoints techniques
de l’intérieur et de l’outre-mer ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des ingénieurs des systèmes d’information et de communication du
ministère de l’intérieur et CAP nationales et locales compétentes à l’égard des corps des techniciens des systèmes
d’information et de communication du ministère de l’intérieur et des agents des systèmes d’information et de
communication du ministère de l’intérieur ;
CAP compétente à l’égard du corps des assistants de service social des administrations de l’État, pour les assistants
de service social rattachés au ministère de l’intérieur ;
CAP nationales compétentes à l’égard des corps des délégués au permis de conduire et à la sécurité routière et des
inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière ;
Commissions nationales et locales d’avancement et de discipline compétentes à l’égard de certains ouvriers d’État
du ministère de l’intérieur ;
Commission consultative paritaire (CCP) compétente à l’égard de certains agents non-titulaires dont la gestion
relève de la compétence du secrétariat général du ministère de l’intérieur ;
CCP compétentes à l’égard des agents non-titulaires de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
CCP compétente à l’égard des personnels contractuels navigants et non navigants affectés au bureau des moyens
aériens de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises ;
Commission consultative professionnelle des personnels contractuels non navigants techniciens de maintenance du
groupement d’hélicoptères de la sécurité civile ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps de conception et de direction de la police nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps de commandement de la police nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement et d’application de la police nationale ;
CAP locale compétente à l’égard des gradés et gardiens de la paix des compagnies républicaines de sécurité ;
CAP locale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application relevant de la
Direction générale de la sécurité intérieure ;
CAP locale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application relevant de la
formation des services de la police nationale ;
CAP locale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application relevant de la
formation pédagogique de la police nationale ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale relevant du secrétariat général pour l’administration de la police de la zone de défense et de sécurité
de Paris affectés dans les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Picardie ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Nord - Pas-de-Calais ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Corse ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Languedoc-Roussillon ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Lille ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Lyon ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Metz ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Rennes ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des ingénieurs de la police technique et scientifique de la police
nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des techniciens de police technique et scientifique de la police
nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la
police nationale ;
CAP locale de l’administration centrale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de police technique et
scientifique de la police nationale ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés à la zone de défense et de sécurité de Paris ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Lille ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Marseille ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Bordeaux ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Lyon ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Metz ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Rennes ;
CCP compétente à l’égard des agents contractuels de droit public de la police nationale de catégorie A, B et C ;
CCP compétente à l’égard des agents contractuels de droit public de la police nationale relevant de l’article 34 de
la loi no 2000-321 du 12 avril 2000 ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Bordeaux) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Lille) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Lyon) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Marseille) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Metz) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Rennes) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAP de la zone de défense et de sécurité de Paris) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Guyane) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Guadeloupe) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Martinique) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (La Réunion) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Nouvelle-Calédonie) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Polynésie française) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Mayotte) ;
Commission paritaire nationale compétente à l’égard des ouvriers cuisiniers de la police nationale ;
Comité technique (CT) ministériel unique du ministère de l’intérieur et du ministère des outre-mer ;
CT d’administration centrale du ministère de l’intérieur et du ministère des outre-mer ;
CT spécial de la direction générale des étrangers en France ;
CT de service déconcentré dans certains services déconcentrés du ministère de l’intérieur ;
CT de service déconcentré dans certains services déconcentrés d’outre-mer du ministère de l’intérieur ;
CT de service déconcentré pour les secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’intérieur ;
CT spécial placé auprès du directeur général de la gendarmerie nationale ;
CT spécial du bureau des moyens aériens de la sécurité civile ;
CT spécial de la base aérienne de la sécurité civile ;
CT spécial du groupement hélicoptère de la sécurité civile ;
CT des établissements publics relevant de la tutelle administrative du ministre de l’intérieur ;
CT des directions et services administratifs de la préfecture de police au sein duquel s’exerce la participation des
agents de l’État ;
CT de réseau de la direction générale de la police nationale ;
CT de proximité de la direction générale de la sécurité intérieure ;
Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) spécial du bureau du déminage ;
CHSCT spécial compétent pour les services de la direction centrale des compagnies républicaines de sécurité.
ANNEXE 10
À ces catégories d’électeurs, les SGAMI et SGAP enverront d’office le matériel nécessaire au vote par correspondance.
Sont ainsi admis à voter par correspondance :
1. Électeurs dans l’une des positions énumérées à l’annexe 9.
2. Parmi les électeurs inscrits à une commission administrative paritaire interdépartementale ou locale des
DOM-COM :
–– les fonctionnaires n’exerçant pas leurs fonctions dans le ressort territorial d’un bureau de vote local installé au
commissariat de sécurité publique ou au poste dépendant de la direction de la police aux frontières, (y compris
les fonctionnaires non formateurs affectés dans les centres de formation et autres structures de la sous-direction
de la formation et du développement des compétences relevant de la DRCPN). Ces fonctionnaires sont rattachés
au bureau de vote situé auprès du siège de la direction départementale de la sécurité publique.
3. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale des CRS :
–– les fonctionnaires des délégations régionales sont rattachés au bureau de vote de la CRS la plus proche de leur
affectation à l’exception des délégations d’Anglet et de Corse ;
–– les fonctionnaires des détachements de haute montagne de Chamonix, d’Albertville et de Briançon sont ratta-
chés au bureau de vote de la CRS 47 de Grenoble ;
–– les fonctionnaires mis à disposition des écoles et centres de formation de la police, lorsque ces services ne sont
pas implantés dans une ville siège d’une compagnie ou groupement, sont rattachés au bureau de vote de leur
compagnie d’affectation.
4. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale de la formation des services de la
police nationale (FSPN) :
–– les fonctionnaires n’exerçant pas leurs fonctions dans les départements 75,92,93,94, et à Lognes (77) ;
–– les fonctionnaires affectés dans des services spécifiques et susceptibles d’être en mission pendant la durée des
opérations électorales (SDLP, FIPN : RAID et GIPN uniquement, etc.) ;
–– les fonctionnaires affectés en Polynésie Française et à Saint-Pierre-et-Miquelon ;
–– les fonctionnaires relevant de la DCI-étrangers et exerçant leur activité en qualité de garde de sécurité diploma-
tique dans les ambassades de France à l’étranger.
5. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale de la formation pédagogique de la
police nationale (FPPN) :
–– les fonctionnaires ayant la qualité de formateur au titre de l’arrêté INTC 9400014 A du 18 octobre 1994 modifié
et n’exerçant pas leurs fonctions dans une école érigée en bureau de vote local de la présente instruction. Ces
fonctionnaires sont rattachés au bureau de vote central de la formation pédagogique de la police nationale.
6. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale de la direction générale de la sécurité
intérieure :
–– les fonctionnaires exerçant en dehors du département du siège de la direction zonale de la sécurité intérieure ;
–– les fonctionnaires exerçant dans un département d’outre-mer ou une collectivité d’outre-mer ;
–– les fonctionnaires exerçant en tant qu’officier de liaison à l’étranger ;
–– les fonctionnaires exerçant leur fonction sur le site de Boullay-les-Troux.
Les électeurs qui ne pourront se rendre au bureau de vote pour cause de maladie, de mission, d’absence
régulièrement autorisée, des nécessités du service, de l’exercice de fonctions syndicales, peuvent également voter par
correspondance. Ils devront adresser leur demande par rapport sous couvert de la voie hiérarchique au SGAMI, au
SGAP, à la direction zonale CRS, à la direction générale de la sécurité intérieure ou à la direction de des ressources
et des compétences de la police nationale (FSPN/FPPN) qui leur expédiera le matériel nécessaire et veillera à prendre
toutes mesures leur permettant d’exprimer leur vote.
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Les élections pour le renouvellement général des organismes consultatifs au sein desquels s’exerce la participation
des fonctionnaires et agents de l’État sont organisées dans le nouveau cadre juridique issu de la loi no 2010-751 du
5 juillet 2010 relative à la rénovation du dialogue social et comportant diverses dispositions relatives à la fonction
publique.
La date de ces prochaines élections est donc commune à l’ensemble de la fonction publique d’État. Elle a été fixée
au jeudi 4 décembre 2014, par arrêté du 3 juin 2014 de la ministre de la décentralisation et de la fonction publique.
Toutefois, ledit arrêté a prévu, de manière dérogatoire, que ces élections se dérouleraient du 1er au 4 décembre 2014
pour les scrutins des comités techniques (CT) à l’exception du CT ministériel (CTM), des commissions administratives
paritaires (CAP) et des commissions consultatives paritaires (CCP) de la direction générale de la police nationale
(DGPN) ainsi que pour les élections au comité technique interdépartemental (CTI) des services de police de la
préfecture de police et au comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) spécial relevant de la
direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS). S’agissant du CTM, les élections se dérouleront
sur la seule journée du 4 décembre 2014.
Des arrêtés ministériels, publiés au Journal officiel, précisent les modalités des élections pour chaque corps ou
catégorie de personnels du ministère de l’intérieur.
Il sera procédé au dépouillement de tous les scrutins le 4 décembre 2014, à partir de 17 heures, heure de Paris,
heure de clôture du scrutin.
Cette instruction a pour objet de présenter les conditions générales dans lesquelles se dérouleront les scrutins
auxquels participeront tous les personnels du ministère de l’intérieur.
FFait le 4 août 2014.
Le directeur des ressources La directrice des ressources humaines
et des compétences de la police nationale, du secrétariat général,
M. Rouzeau N. Colin
SOMMAIRE
II. – ÉLIGIBILITÉ
A. – Conditions de candidature
B. – Modalités de dépôt des candidatures
C. – Vérification des listes de candidats
D. – Éléments de calendrier
E. – Bulletins et enveloppes de vote
CHAPITRE 2 : DÉPÔT, EXAMEN ET LIVRAISON DES PROFESSIONS DE FOI
I. – CONDITIONS DE CONFORMITÉ DES PROFESSIONS DE FOI
II. – DEPÔT ET VALIDATION DES PROFESSIONS DE FOI
III. – LIVRAISON DES PROFESSIONS DE FOI
A. – Les modalités
B. – La mise sous pli et le routage
T A B L E AU D E S A N N E X E S
I. – ÉLECTORAT
Les conditions à remplir pour être électeur sont fixées par l’article 18 du décret no 2011-184 du 15 février 2011
relatif aux comités techniques dans les administrations et les établissements publics.
–– les fonctionnaires mis à disposition d’un service du ministère de l’intérieur (mise à disposition entrante) pour
leur comité technique de proximité et leur éventuel comité technique spécial ou de réseau. Ils votent également
au comité technique ministériel de leur ministère d’origine qui assure leur gestion ;
–– les attachés d’administration de l’État, corps relevant du corps interministériel à gestion ministérielle (CIGEM),
d’un autre ministère, en fonction au ministère de l’intérieur votent au comité technique du ministère de l’inté-
rieur s’ils ont fait jouer leur droit d’option en faveur de ce ministère. Dans le cas contraire, ils sont électeurs au
comité technique ministériel de leur ministère d’origine. Ils votent néanmoins au comité technique de proximité
et à l’éventuel comité technique spécial ou de réseau de leur service d’affectation ;
–– les fonctionnaires stagiaires en position d’activité ou de congé parental, à l’exclusion des stagiaires en cours de
scolarité ;
–– les agents contractuels de droit public ou de droit privé qui bénéficient d’un contrat à durée indéterminée ou,
depuis au moins deux mois, d’un contrat à durée déterminée d’une durée minimale de 6 mois ou reconduit suc-
cessivement depuis au moins 6 mois à la date du scrutin.
–– les personnels à statut ouvrier, en service effectif ou en congé parental ou bénéficiant de toute forme de congé
rémunéré ou accueillis par voie de mise à disposition. Parmi cette catégorie d’agents, ceux effectuant le stage
valant essai d’embauche ne sont pas électeurs.
Ne sont pas électeurs les fonctionnaires en cours de scolarité, les ouvriers en essai d’embauche, les intérimaires,
les agents en disponibilité, en congé de fin d’activité, en position hors cadres, les volontaires du service national ou
civique.
Ne disposent pas non plus de la qualité d’électeur pour des motifs statutaires les membres du corps préfectoral
sauf lorsqu’ils sont détachés dans un autre corps et notamment celui des administrateurs civils, les militaires (à
l’exception de ceux qui sont détachés dans des corps d’accueil civils et notamment les gendarmes détachés dans le
grade de gardien de la paix), les ministres du culte.
b) Cas particuliers
Électeurs en instance de mutation
Le délai de réalisation du mouvement de mutation doit être pris en considération au moment du recensement des
électeurs.
Ne seront considérés comme électeurs que les agents effectivement installés à la date du recensement. Par suite,
si, à cette date, un fonctionnaire est en instance imminente de mutation, il convient de prendre attache avec le lieu
d’accueil afin de déterminer dans quel bureau de vote celui-ci sera électeur.
En cas d’incertitude persistante, le fonctionnaire sera inscrit sur les listes électorales du bureau de vote où il exerce
actuellement ses fonctions.
Agents bénéficiant d’une décharge d’activité de service (totale ou partielle)
Les personnels du ministère de l’intérieur bénéficiant de décharges d’activité de service sont électeurs et éligibles.
En cas de décharge totale, l’agent vote au comité technique de proximité du service qui assure sa gestion
administrative et, le cas échéant, au comité technique spécial ou de réseau.
Nul ne peut voter s’il n’est inscrit sur une liste électorale.
Les listes électorales sont élaborées à partir de l’application DIALOGUE. Les services devront donc porter une
attention particulière à la mise à jour dans ce logiciel :
→ de l’affectation administrative ;
→ de l’affectation opérationnelle ;
→ de la position administrative ;
→ de l’adresse personnelle des agents, notamment pour ceux qui sont détachés, en CLM ou en CLD.
L’application DIALOGUE permet d’éditer les listes des électeurs. L’administration centrale fournira à tous les
référents élections responsables de l’organisation du scrutin une requête des listes pour chaque bureau de vote via cette
application. Des fichiers hors application Dialogue pourront également être utilisés pour éditer les listes électorales
des bureaux de vote non reliés à ce logiciel (par exemple les agents de la DGEF relevant d’autres ministères).
Cette requête permet aussi d’éditer les listes d’émargement pour le jour du scrutin.
En cas de rectification de la situation de l’agent, de ses modalités de vote ou du bureau de vote de rattachement,
c’est le dossier de l’agent dans DIALOGUE qui doit être mis à jour. La liste des électeurs est arrêtée par le chef
de service auprès duquel est placé le bureau de vote. Le cas échéant, il peut créer une ou plusieurs sections de
vote par bureau de vote. Dans ce cas, la liste électorale est arrêtée puis affichée le mardi 23 septembre 2014, à
17 heures au plus tard par le chef de service auprès duquel est placée la section de vote.
Les listes affichées mentionnent les matricules, nom, prénom, grade, affectation administrative de chacun des
agents inscrits ainsi que les modes de scrutin correspondants.
La date de l’affichage sera apposée sur les listes. Cet affichage permet aux électeurs et aux candidats de contrôler
l’exactitude de cette liste.
Un procès-verbal d’affichage à la date du 23 septembre 2014 doit être établi et transmis par messagerie à l’adresse
electionspro@interieur.gouv.fr.
La publicité des listes devra être permanente jusqu’au 4 décembre inclus.
Une fois affichée, la liste est définitive. Toute modification liée à des situations individuelles donne lieu à un
affichage distinct.
Dans les huit jours ouvrés qui suivent l’affichage, les électeurs peuvent vérifier leur inscription et, présenter dans ce
délai une demande de modification (matérielle, erreur,…) ou d’ajout sur la liste. Dans les onze jours ouvrés suivant
l’affichage, les candidats ou les représentants syndicaux, dont la demande de modification ou d’inscription a été
rejetée, peuvent présenter une réclamation contre les inscriptions ou les omissions à l’autorité auprès de laquelle est
placé le comité technique.
Seule l’acquisition ou la perte de la qualité d’électeur peut alors donner lieu à une modification individuelle à
l’initiative de l’administration ou à la demande de l’intéressé. Elle est immédiatement affichée.
II. – ÉLIGIBILITÉ
La DRH et les bureaux de gestion pour la direction des ressources et des compétences de la police nationale
(DRCPN) doivent s’assurer de l’éligibilité des candidats et vérifier la bonne constitution des listes de candidats
déposées.
En cas d’élection au scrutin de liste, chaque organisation syndicale ne peut présenter qu’une liste de candidats pour
un même scrutin. Nul ne peut être candidat sur plusieurs listes d’un même scrutin.
a) Constitution des listes de candidats
Chaque liste comprend un nombre de noms égal au moins aux deux tiers et au plus au nombre de sièges de
représentants titulaires et de représentants suppléants à pourvoir, sans qu’il soit fait mention pour chacun des
candidats de la qualité de titulaire ou de suppléant. En outre, elle doit comporter un nombre pair de noms au
moment de son dépôt.
b) Vérification de l’éligibilité
Le principe est qu’aucune liste ne peut être déposée ou modifiée après l’heure limite de dépôt.
Cette règle a pour effet d’interdire un retrait volontaire ou un désistement de candidature, sauf dans les cas énoncés
ci-dessous.
Si dans un délai de trois jours après la date limite de dépôt des listes de candidatures (à savoir le jeudi 23 octobre
ou le lundi 27 octobre, à 24 heures, un ou plusieurs candidats inscrits sur une liste sont reconnus inéligibles, le service
en charge du bureau de vote central informe sans délai le délégué de liste. Celui-ci peut alors procéder, dans un délai
de trois jours à compter de l’expiration du délai de trois jours susmentionné, aux rectifications nécessaires.
En l’occurrence, elles pourront être opérées jusqu’au jeudi 30 octobre ou au lundi 27 octobre (pour les scrutins
débutant le 1er décembre) 2014, à 24 heures.
À défaut de rectification, si l’un au moins des candidats inscrits sur une liste est reconnu inéligible, la liste intéressée
est considérée comme incomplète. La liste pourra participer aux élections si elle satisfait à la condition de comprendre
un nombre de noms égal au moins aux deux tiers des sièges de représentants titulaires et suppléants à pourvoir.
Cependant, dans le cas où une modification de la liste régulièrement déposée est rendue obligatoire par un fait
indépendant de la volonté des candidats (soit qu’un candidat se trouve obligé de retirer sa candidature pour cas de
force majeure, soit qu’un fait motivant son inéligibilité intervienne après la date prévue pour le dépôt des listes), le
candidat défaillant peut, par dérogation à la règle ci-dessus, être remplacé sur la liste qui l’avait présenté sans qu’il y
ait lieu de modifier la date des élections.
Dans l’hypothèse où la recevabilité d’une liste n’aurait pas été reconnue par l’administration, le délégué de liste
peut saisir le tribunal administratif de ce refus. Le délai de trois jours ne court, dans ce cas, qu’à compter de la
notification du jugement du tribunal administratif.
La publicité des listes de candidats est assurée par voie d’affichage dans chaque section de vote. L’affichage doit
intervenir au plus tard après le délai prévu pour le contrôle et la rectification de l’éligibilité. À titre indicatif, en
fonction d’éventuels recours contentieux, cet affichage pourrait avoir lieu à compter du mercredi 5 ou du lundi
10 novembre 2014 (pour les scrutins relevant du périmètre SG).
D. – Éléments de calendrier
Les bulletins et les enveloppes de vote sont établis aux frais de l’administration d’après un modèle type. Ces bulletins
doivent mentionner l’appartenance éventuelle de l’organisation syndicale à une union de syndicats à caractère
national, afin d’éclairer le choix des électeurs.
Les maquettes des bulletins sont validées par l’administration et communiquées aux organisations syndicales :
l’administration signe ensuite les bons à tirer pour l’imprimeur. L’impression et l’envoi des bulletins de vote se font
au plus tard le vendredi 14 novembre 2014.
Les SGAMI et la préfecture de police assurent l’acheminement de ces bulletins de vote dans les services selon les
modalités précisées dans le « mémento logistique » disponible par voie électronique.
Afin d’éviter toute erreur, les matériels de vote (enveloppes et bulletins) se verront dotés d’une couleur spécifique :
–– BLANC pour le CTM ;
–– ANIS pour les CT de proximité ;
–– JAUNE pour les CT de réseau ou CT spéciaux ;
–– SAUMON pour les CHSCT.
Chaque organisation syndicale ou liste de candidats ne peut faire imprimer qu’une seule profession de foi par
scrutin (CTM, CT de proximité, CT spécial ou de réseau). Cette profession de foi sera envoyée en un exemplaire par
l’administration à chaque électeur.
La profession de foi, feuille simple (format A4) ou feuillet (format A3 plié en deux par le milieu), ne peut dépasser
les dimensions de 210 mm × 297 mm. Le grammage doit être compris entre 70 g et 100 g au m². L’impression peut
se faire recto et verso.
Le contenu de la profession de foi doit être conforme aux lois et règlements en vigueur, notamment au code de
déontologie de la police nationale et de la gendarmerie nationale.
La combinaison des trois couleurs bleu, blanc et rouge, si elle est utilisée, ne doit pas conférer au document un
caractère officiel, susceptible d’introduire une confusion dans l’esprit de l’électeur.
Les coordonnées téléphoniques, l’adresse Internet et le flashcode de l’organisation syndicale peuvent figurer sur la
profession de foi.
Chaque liste de candidats se verra attribuer un code aléatoire pour chaque modèle de professions de foi à diffuser.
Ce code permettra d’éviter les confusions lors de la mise sous pli. Il devra impérativement figurer au bas et à droite
de la première page du document.
Les professions de foi dont le format, le libellé, l’impression ou le contenu ne répondent pas à ces prescriptions ne
seront pas acceptées par les services chargés de la réception des maquettes des professions de foi tel qu’énumérés au
paragraphe suivant.
Les maquettes des professions de foi pourront être déposées dès le 30 septembre 2014 et au plus tard le
23 octobre 2014, 15 heures ou le 20 octobre, 15 heures pour les scrutins débutant le 1er décembre :
–– pour le périmètre SG, par voie électronique à l’adresse suivante : electionspro@interieur.gouv.fr ;
–– au cabinet du DRCPN, pour les scrutins relevant du périmètre police ;
–– auprès des responsables désignés par les autorités présidant les instances locales, pour les scrutins locaux.
Il en sera accusé réception.
L’administration a compétence pour apprécier la conformité des professions de foi éditées par les organisations
syndicales pour les différents scrutins.
Les professions de foi, une fois validées, sont déposées sur support papier mais également envoyées par messagerie
en format pdf à l’adresse suivante : electionspro@interieur.gouv.fr.
Les autorités locales en charge de réceptionner les professions de foi devront communiquer aux organisations
syndicales une adresse mail pouvant les recevoir.
Les professions de foi déposées après le 20 ou le 23 octobre 2014, 15 heures, ne seront pas prises en charge par
l’administration pour leur routage.
Pour les scrutins nationaux de l’administration centrale, y compris les comités techniques spéciaux, la livraison des
professions de foi par les organisations syndicales se fera sur rendez vous, chez l’entreprise en charge de la mise sous
pli jusqu’au lendemain de la date limite de dépôt des professions de foi. Le nom et l’adresse de cette entreprise seront
indiqués en septembre 2014.
Pour les scrutins locaux, les autorités concernées (préfectures et SGAMI) devront indiquer aux organisations
syndicales le point de livraison des professions de foi qui devront être mises sous pli.
En effet, les préfectures et les SGAMI doivent organiser à leur niveau la mise sous pli des propagandes pour les
scrutins locaux (CT de la préfecture et CT du SGAMI et du SGAP de Paris).
Date limite du dépôt des professions de foi 23 ou 20 octobre (pour les scrutins débutant le 1er décembre) 2014
Date limite de livraison des professions de foi par les organisations syndicales Jusqu’au 24 ou 21 octobre 2014 (12 heures)
Date limite de vérification des livraisons auprès de l’entreprise chargée de la mise sous pli 24 ou 21 octobre 2014 (à partir de 14 heures)
Date limite de mise sous pli achevée. Contrôle par sondage 13 novembre 2014
Les professions de foi seront mises en ligne sur le site intranet du ministère de l’intérieur consacré aux élections.
I. – HORAIRES DE VOTE
1. CTM
La date des élections pour le renouvellement du CTM est fixée au jeudi 4 décembre 2014 à 3 heures pour le
périmètre PN et à 8 heures pour le périmètre SG.
II. – MODALITÉS DE VOTE
Le scrutin est secret et chaque bulletin de vote est placé dans une enveloppe qui ne doit porter aucun signe distinctif.
Le vote par procuration n’est pas autorisé.
Les électeurs votent pour une liste entière, sans adjonction ni radiation de noms et sans modification de l’ordre de
présentation des candidats. En conséquence, le panachage et le vote préférentiel sont interdits. Est nul tout bulletin
établi en méconnaissance de l’une de ces dispositions.
Ces prescriptions réglementaires doivent être rappelées par un affichage dans la salle de vote.
Le vote à l’urne est prévu pour tous les comités techniques et les comités d’hygiène, de sécurité et des conditions
de travail dont les membres sont élus, à l’exception de ceux votant uniquement par correspondance tels qu’énumérés
dans les arrêtés du ministère de l’intérieur portant ouverture du scrutin.
Les formalités de vote se limitent à ce que l’électeur :
–– justifie de son identité ;
–– émarge sur la liste du CT au titre duquel il est électeur.
Le vote par correspondance est organisé dans les conditions fixées par arrêté ministériel. Il est rappelé que le seul
mode d’acheminement d’un vote par correspondance est la voie postale. Les votes par correspondance qui seraient
déposés directement dans les bureaux de vote ne seront pas pris en compte.
Une convention a été conclue avec la Poste pour la gestion des retours de vote par correspondance.
Toutes les informations relatives aux boîtes postales (numéros notamment) devront être communiquées aux
délégués de liste.
Après la dernière levée (dont l’horaire sera indiqué lors de l’ouverture de la boîte postale), le 4 décembre 2014
ou le 3 décembre 2014 pour certains départements d’outre-mer, le président du bureau de vote ou son représentant,
accompagné, le cas échéant, d’un représentant de chaque liste, procède au relevé du contenu de la boîte postale
spécialement réservée à la réception des plis électoraux. Ce relevé ne pourra en aucun cas intervenir avant la date du
scrutin.
Les enveloppes d’expédition sont alors comptabilisées puis placées sous scellé. Cette opération est constatée par
un procès verbal signé du président du bureau de vote ou de son représentant et contresigné par les délégués de liste
présents.
Tout pli arrivant après cette levée ne sera pas pris en compte.
Il conviendra ainsi d’attirer l’attention des électeurs sur la nécessité de ne pas attendre le dernier moment pour
voter.
Le respect des modalités de vote est d’autant plus important qu’il conditionne, à l’occasion du dépouillement, la
validité du suffrage.
Si un électeur vote à la fois à l’urne et par correspondance, seul le vote à l’urne sera comptabilisé.
Chaque électeur adresse son vote par voie postale exclusivement. Cette enveloppe doit être postée dans des délais
permettant la réception au bureau de vote destinataire avant la date de la dernière levée du courrier de la poste
précédant l’heure de clôture du scrutin.
Il convient de souligner la stricte application des modalités de vote. En effet, toute enveloppe qui parviendrait après
l’heure fixée pour la clôture du scrutin ne serait pas prise en compte.
À noter que les agents des juridictions administratives situés hors de l’Île-de-France votent par correspondance
pour le CTM dans les boîtes postales ouvertes auprès des préfectures de département.
En Île-de-France, ils votent par correspondance dans les boîtes postales ouvertes auprès de l’administration
centrale (Lumière).
Les agents affectés en gendarmerie votent par correspondance dans les boîtes postales ouvertes auprès de la DGGN
(Issy-les-Moulineaux) pour le CTM et le CTS GN. Seuls les agents du site d’Issy-les-Moulineaux votent à l’urne.
Les inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière et les délégués au permis de conduire et à la sécurité
routière votent par correspondance dans les boîtes postales ouvertes auprès de l’administration centrale (Lumière)
pour le CTM.
Pour toutes les instances votent également par correspondance les agents empêchés ou isolés qui n’ont pas accès
à une section de vote sur leur lieu de travail ou à proximité (voir, en annexe no 9, l’arrêté fixant les modalités de vote
par correspondance).
II. – DÉROULEMENT DU SCRUTIN
Une cellule chargée du conseil et de l’aide sera mise en place à la DRH et à la DRCPN. Elle sera dotée de liaisons
téléphoniques, d’une ou plusieurs adresses électroniques et d’un télécopieur de secours.
Selon les dates indiquées ci-dessus et les horaires définis par l’arrêté ministériel précité, les présidents des bureaux
de vote et des sections de vote déclarent le scrutin ouvert et rédigent un procès-verbal (annexe no 2). Les votes à
l’urne sont pris en compte selon les modalités décrites dans le mémento du président du bureau de vote. Pour les
scrutins relevant de la police nationale, le taux de participation devra être communiqué les 2, 3 et 4 décembre 2014
au bureau de vote central à 12 heures pour la remontée et l’agrégation des taux constatés via l’application « Dialogue
web Elections ». Pour les scrutins relevant du périmètre secrétariat général, ce taux devra être communiqué le
4 décembre 2014, à 12 heures.
Le 4 décembre 2014 ou, le cas échéant, le 3 décembre, à l’heure indiquée dans l’arrêté ministériel précité, chaque
président de bureau de vote ou section de vote procède à la clôture du scrutin. Il constate le nombre total d’électeurs
inscrits. Il comptabilise le nombre total de votants à l’urne, ainsi que le nombre d’enveloppes éventuellement reçues
par correspondance.
Dans ce cas, il procède à l’ouverture du bac et vérifie la conformité du contenu avec les indications du procès-verbal.
Il comptabilise les enveloppes d’expédition contenues dans la boîte postale. Ces opérations sont consignées par
procès-verbal (annexe no 3).
Chaque président de section de vote procède au scellé des urnes correspondant aux scrutins dont il a la charge,
en présence des représentants des listes et les transfèrent avec la liste d’émargement et les procès verbaux rédigés au
cours des opérations électorales, au bureau de vote auquel il est rattaché.
Les opérations de recensement des votes débutent, dans chaque bureau de vote, dès la clôture du scrutin.
Aucune opération de dépouillement, de quelque nature que ce soit, ne doit être effectuée avant le jeudi 4 décembre
à 17 heures, au risque d’annuler le scrutin au niveau national.
Le dépouillement du CTM sera effectué prioritairement.
Cette instruction pose le cadre général relatif aux élections des représentants du personnel aux CT et CHSCT.
Les questions plus précises ou les cas particuliers sont appelés à être traités sur le site intranet de la direction des
ressources humaines du ministère de l’intérieur accessible à l’adresse suivante : http://ressources-humaines.interieur.
ader.gouv.fr/index.php/elections-professionnelles.
Un système de « foire aux questions » y sera disponible à compter du mois de septembre.
Les questions sont traitées par le biais de l’adresse electionspro@interieur.gouv.fr sous réserve d’avoir été envoyées
à l’aide de la fiche de liaison disponible sur le site intranet de la direction des ressources humaines du ministère de
l’intérieur.
ANNEXE 1
Déclaration de candidature
Je soussigné(e)
NOM patronymique :
NOM marital :
Prénom :
Matricule :
Affectation précise :
Date d’affectation :
Téléphone et/ou mail :
Fait à le 2014
Signature
ANNEXE 1
Je soussigné (e)
NOM patronymique :
NOM marital :
Prénom :
Matricule :
Affectation précise :
Date d’affectation :
Téléphone et/ou mail :
Fait à le 2014
Signature
Compléter la rubrique.
1
ANNEXE 1
Fait à le 2014
Signature du déposant
1
Préciser le ressort.
ANNEXE 1
Fait à le 2014
Signature du déposant
Préciser le ressort.
1
ANNEXE 2
Ouverture
Nous avons fait constater que les urnes étaient vides d’enveloppes, de bulletins et de tout objet.
Participation : date
LE PRÉSIDENT
Clôture
Nous avons déclaré le scrutin clos à ………..
Nous avons compté le nombre d’émargements suivants :
INSTANCES INSCRITS VOTES A L’URNE
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 3
............... enveloppes ont été comptabilisées et placées dans un sac qui sera mis sous scellé.
ANNEXE 4
→ Président(e) :
→ Secrétaire :
→ Délégués des listes en présence :
Enveloppes no 1 mises dans l’urne (le nom des électeurs dont émanent ces =
enveloppes est émargé sur la liste électorale)
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 5
LE PRÉSIDENT
Clôture
Nous avons déclaré le scrutin clos à ………..
Nous avons compté le nombre d’émargements suivants :
INSTANCES INSCRITS VOTES A L’URNE
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 6
LE PRÉSIDENT
Clôture
Nous avons déclaré le scrutin clos à ………..
Nous avons compté le nombre d’émargements suivants :
INSTANCES INSCRITS VOTES A L’URNE
LE PRÉSIDENT
ANNEXE 7
CALENDRIER DE TRAVAIL
OPÉRATIONS DATES
ANNEXE 8
CAP/CT DGPN
JOUR Services centraux (tous corps, tous scrutins) Hors services centraux TECHNIQUES PN ET SCIENTIFIQUES
HORS CTM
Les personnels administratifs et techniques SG affectés dans les services de Police voteront sur la seule journée du
4 décembre pour le CTM et pour les CAP de leur corps, en revanche pour les CT du périmètre police ils voteront
du 1er au 4 décembre.
Pour toutes les instances relevant du périmètre SG et GN (à l’exception de certains services d’outre-mer)
jeu. 4 déc. 14 08 : 00 – 17 :00
ANNEXE 9
Projet d’arrêté fixant les modalités de vote par correspondance en vue des élections des repré-
sentants du personnel à certaines instances consultatives relevant du ministère de l’intérieur
et du ministère des outre-mer
Le ministre de l’intérieur,
Vu la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires, ensemble la loi
n 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État ;
o
Arrête :
Article 1er
En vue de l’élection des représentants du personnel aux instances consultatives du ministère de l’intérieur et du
ministère des outre-mer mentionnées en annexe, sont admis à voter par correspondance les agents suivants :
1o Ceux qui n’exercent pas leurs fonctions au siège d’une section de vote ou du bureau de vote ;
2o Ceux qui sont en congé, notamment au titre des articles 34, 40 bis et 54 de la loi du 11 juillet 1984 susvisée
(congé de maladie, congé de grave maladie, congé de longue maladie, congé de longue durée, congé de maternité ou
d’adoption, congé de paternité, congé parental, congé de présence parentale, congé pour formation syndicale ou pour
formation professionnelle) ;
3o Ceux qui n’ont aucune obligation de service pendant les heures d’ouverture du scrutin ;
4o Ceux qui sont en position d’absence régulièrement autorisée ;
5o Ceux qui sont éloignés du service pour raisons professionnelles ;
6o Ceux qui sont suspendus ou temporairement exclus de leurs fonctions ;
7o Ceux qui sont empêchés, en raison des nécessités du service, de se rendre à la section de vote le jour du scrutin ;
8o Ceux qui remplissent des fonctions syndicales le jour du scrutin.
En outre, en vue de l’élection des représentants du personnel aux commissions administratives paritaires, sont
admis à voter par correspondance les agents placés en détachement.
Les agents énumérés aux précédents alinéas, à l’exception de ceux mentionnés au 7o, ont la faculté de voter
directement à la section de vote à laquelle ils sont rattachés. Dans ce cas, le vote direct prévaut lorsque l’électeur
utilise les deux procédures.
Article 2
Le vote par correspondance s’effectue de la façon suivante :
1o La liste des agents appelés à voter par correspondance est annexée à la liste électorale arrêtée par le chef de
service auprès duquel est placée la section de vote à laquelle ils sont rattachés.
Quinze jours au moins avant la date des élections, les agents intéressés sont avisés de leur inscription sur cette liste
et des conditions dans lesquelles ils pourront voter.
Article 3
La réception et le recensement des votes par correspondance s’effectuent dans les conditions suivantes :
1o La section de vote à laquelle sont rattachés les votants par correspondance procède, à l’issue du scrutin, au
recensement des votes recueillis par cette voie.
Les enveloppes no 3 puis les enveloppes no 2 sont ouvertes.
Au fur et à mesure de l’ouverture des enveloppes no 2, la liste électorale est émargée et l’enveloppe no 1 contenant le
bulletin de vote est déposée, sans être ouverte, dans l’urne contenant les suffrages des agents ayant voté directement
au siège de la section.
2o Sont mises à part, sans être ouvertes :
–– les enveloppes no 3 parvenues à la section de vote après l’heure de clôture du scrutin ;
–– les enveloppes no 2 sur lesquelles l’identité ou la signature du votant ne figurent pas ou sont illisibles ;
–– les enveloppes no 2 multiples parvenues sous la signature d’un même agent ;
–– les enveloppes no 1 portant une mention ou un signe distinctif ou susceptible de lui ôter son caractère anonyme ;
–– les enveloppes no 1 parvenues en nombre multiple sous une même enveloppe no 2.
Le nom des électeurs dont émanent ces plis n’est pas émargé sur la liste électorale.
Sont également mises à part, sans être ouvertes, les enveloppes émanant d’électeurs ayant pris part au vote
directement. Dans un tel cas, le vote par correspondance n’est pas pris en compte.
3o Un procès-verbal des opérations définies aux 1o et 2o est adressé au bureau de vote qui est chargé de procéder
au dépouillement. Sont annexées à ce procès-verbal les enveloppes mises à part sans être ouvertes en application des
alinéas ci-dessus.
Article 4
Sont abrogés :
–– l’arrêté du 1er septembre 1993 fixant les modalités de vote lors des élections aux commissions administratives
paritaires compétentes à l’égard des personnels actifs et des corps administratifs de la police nationale ;
–– l’arrêté du 8 janvier 1996 fixant les modalités de vote par correspondance en vue de l’élection des représentants
du personnel aux commissions administratives paritaires relevant du secrétariat général du ministère de l’intérieur.
Article 5
Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
FFait le [ ].
Le ministre de l’intérieur,
B. Cazeneuve
La ministre des outre-mer,
G. Pau-Langevin
ANNEXE
Liste des instances consultatives pour lesquelles le vote par correspondance est possible :
Commission administrative paritaire (CAP) compétente à l’égard du corps des administrateurs civils affectés ou
rattachés au ministère de l’intérieur ;
CAP compétente à l’égard du corps de l’inspection générale de l’administration au ministère de l’intérieur ;
CAP nationales et locales compétentes à l’égard des corps des attachés d’administration de l’État rattachés au
ministère de l’intérieur, des secrétaires administratifs de l’intérieur et de l’outre-mer et des adjoints administratifs de
l’intérieur et de l’outre-mer ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des ingénieurs des services techniques du ministère de l’intérieur et
CAP nationales et locales compétentes à l’égard des corps des contrôleurs des services techniques du ministère de
l’intérieur, des contremaîtres des services techniques du matériel du ministère de l’intérieur et des adjoints techniques
de l’intérieur et de l’outre-mer ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des ingénieurs des systèmes d’information et de communication du
ministère de l’intérieur et CAP nationales et locales compétentes à l’égard des corps des techniciens des systèmes
d’information et de communication du ministère de l’intérieur et des agents des systèmes d’information et de
communication du ministère de l’intérieur ;
CAP compétente à l’égard du corps des assistants de service social des administrations de l’État, pour les assistants
de service social rattachés au ministère de l’intérieur ;
CAP nationales compétentes à l’égard des corps des délégués au permis de conduire et à la sécurité routière et des
inspecteurs du permis de conduire et de la sécurité routière ;
Commissions nationales et locales d’avancement et de discipline compétentes à l’égard de certains ouvriers d’État
du ministère de l’intérieur ;
Commission consultative paritaire (CCP) compétente à l’égard de certains agents non-titulaires dont la gestion
relève de la compétence du secrétariat général du ministère de l’intérieur ;
CCP compétentes à l’égard des agents non-titulaires de l’Office français de l’immigration et de l’intégration ;
CCP compétente à l’égard des personnels contractuels navigants et non navigants affectés au bureau des moyens
aériens de la direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises ;
Commission consultative professionnelle des personnels contractuels non navigants techniciens de maintenance du
groupement d’hélicoptères de la sécurité civile ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps de conception et de direction de la police nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps de commandement de la police nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps d’encadrement et d’application de la police nationale ;
CAP locale compétente à l’égard des gradés et gardiens de la paix des compagnies républicaines de sécurité ;
CAP locale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application relevant de la
Direction générale de la sécurité intérieure ;
CAP locale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application relevant de la
formation des services de la police nationale ;
CAP locale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application relevant de la
formation pédagogique de la police nationale ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale relevant du secrétariat général pour l’administration de la police de la zone de défense et de sécurité
de Paris affectés dans les départements de Paris, des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Picardie ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Nord - Pas-de-Calais ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Corse ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Provence-Alpes-Côte d’Azur ;
CAP interdépartementale compétente à l’égard des fonctionnaires du corps d’encadrement et d’application de la
police nationale pour la région Languedoc-Roussillon ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Lille ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Lyon ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Metz ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des adjoints techniques de la police nationale affectés au SGAMI de
Rennes ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des ingénieurs de la police technique et scientifique de la police
nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des techniciens de police technique et scientifique de la police
nationale ;
CAP nationale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la
police nationale ;
CAP locale de l’administration centrale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de police technique et
scientifique de la police nationale ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés à la zone de défense et de sécurité de Paris ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Lille ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Marseille ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Bordeaux ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Lyon ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Metz ;
CAP locale compétente à l’égard du corps des agents spécialisés de la police technique et scientifique de la police
nationale affectés au SGAMI de Rennes ;
CCP compétente à l’égard des agents contractuels de droit public de la police nationale de catégorie A, B et C ;
CCP compétente à l’égard des agents contractuels de droit public de la police nationale relevant de l’article 34 de
la loi no 2000-321 du 12 avril 2000 ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Bordeaux) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Lille) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Lyon) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Marseille) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Metz) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAMI de Rennes) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (SGAP de la zone de défense et de sécurité de Paris) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Guyane) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Guadeloupe) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Martinique) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (La Réunion) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Nouvelle-Calédonie) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Polynésie française) ;
CCP compétente à l’égard des adjoints de sécurité (Mayotte) ;
Commission paritaire nationale compétente à l’égard des ouvriers cuisiniers de la police nationale ;
Comité technique (CT) ministériel unique du ministère de l’intérieur et du ministère des outre-mer ;
CT d’administration centrale du ministère de l’intérieur et du ministère des outre-mer ;
CT spécial de la direction générale des étrangers en France ;
CT de service déconcentré dans certains services déconcentrés du ministère de l’intérieur ;
CT de service déconcentré dans certains services déconcentrés d’outre-mer du ministère de l’intérieur ;
CT de service déconcentré pour les secrétariats généraux pour l’administration du ministère de l’intérieur ;
CT spécial placé auprès du directeur général de la gendarmerie nationale ;
CT spécial du bureau des moyens aériens de la sécurité civile ;
CT spécial de la base aérienne de la sécurité civile ;
CT spécial du groupement hélicoptère de la sécurité civile ;
CT des établissements publics relevant de la tutelle administrative du ministre de l’intérieur ;
CT des directions et services administratifs de la préfecture de police au sein duquel s’exerce la participation des
agents de l’État ;
CT de réseau de la direction générale de la police nationale ;
CT de proximité de la direction générale de la sécurité intérieure ;
Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) spécial du bureau du déminage ;
CHSCT spécial compétent pour les services de la direction centrale des compagnies républicaines de sécurité.
ANNEXE 10
À ces catégories d’électeurs, les SGAMI et SGAP enverront d’office le matériel nécessaire au vote par correspondance.
Sont ainsi admis à voter par correspondance :
1. Électeurs dans l’une des positions énumérées à l’annexe 9 ;
2. Parmi les électeurs inscrits à une commission administrative paritaire interdépartementale ou locale des
DOM-COM :
–– les fonctionnaires n’exerçant pas leurs fonctions dans le ressort territorial d’un bureau de vote local installé au
commissariat de sécurité publique ou au poste dépendant de la direction de la police aux frontières, (y compris
les fonctionnaires non formateurs affectés dans les centres de formation et autres structures de la sous-direction
de la formation et du développement des compétences relevant de la DRCPN). Ces fonctionnaires sont rattachés
au bureau de vote situé auprès du siège de la direction départementale de la sécurité publique.
3. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale des CRS :
–– les fonctionnaires des délégations régionales sont rattachés au bureau de vote de la CRS la plus proche de leur
affectation à l’exception des délégations d’Anglet et de Corse ;
–– les fonctionnaires des détachements de haute montagne de Chamonix, d’Albertville et de Briançon sont ratta-
chés au bureau de vote de la CRS 47 de Grenoble ;
–– les fonctionnaires mis à disposition des écoles et centres de formation de la police, lorsque ces services ne sont
pas implantés dans une ville siège d’une compagnie ou groupement, sont rattachés au bureau de vote de leur
compagnie d’affectation.
4. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale de la formation des services de la
police nationale (FSPN) :
–– les fonctionnaires n’exerçant pas leurs fonctions dans les départements 75, 92, 93, 94, et à Lognes (77) ;
–– les fonctionnaires affectés dans des services spécifiques et susceptibles d’être en mission pendant la durée des
opérations électorales (SDLP, FIPN : RAID et GIPN uniquement, etc.) ;
–– les fonctionnaires affectés en Polynésie Française et à Saint-Pierre-et-Miquelon ;
–– les fonctionnaires relevant de la DCI-étrangers et exerçant leur activité en qualité de garde de sécurité diploma-
tique dans les ambassades de France à l’étranger.
5. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale de la formation pédagogique de la
police nationale (FPPN) :
–– les fonctionnaires ayant la qualité de formateur au titre de l’arrêté INTC 9400014 A du 18 octobre 1994 modifié
et n’exerçant pas leurs fonctions dans une école érigée en bureau de vote local de la présente instruction. Ces
fonctionnaires sont rattachés au bureau de vote central de la formation pédagogique de la police nationale.
6. Parmi les électeurs inscrits à la commission administrative paritaire locale de la direction générale de la sécurité
intérieure :
–– les fonctionnaires exerçant en dehors du département du siège de la direction zonale de la sécurité intérieure ;
–– les fonctionnaires exerçant dans un département d’outre-mer ou une collectivité d’outre-mer ;
–– les fonctionnaires exerçant en tant qu’officier de liaison à l’étranger ;
–– les fonctionnaires exerçant leur fonction sur le site de Boullay-les-Troux.
Les électeurs qui ne pourront se rendre au bureau de vote pour cause de maladie, de mission, d’absence
régulièrement autorisée, des nécessités du service, de l’exercice de fonctions syndicales, peuvent également voter par
correspondance. Ils devront adresser leur demande par rapport sous couvert de la voie hiérarchique au SGAMI, au
SGAP, à la direction zonale CRS, à la direction générale de la sécurité intérieure ou à la direction de des ressources
et des compétences de la police nationale (FSPN/FPPN) qui leur expédiera le matériel nécessaire et veillera à prendre
toutes mesures leur permettant d’exprimer leur vote.
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la sécurité intérieure ;
Vu le décret no 2000-376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds, notamment
l’article 2 et le II de l’article 4 ;
Vu l’arrêté du 28 avril 2000 modifié fixant les normes minimales nécessaires à l’agrément prévu par l’article 4 du
décret no 2000-376 du 28 avril 2000 modifié relatif à la protection des transports de fonds ;
Vu la demande de la société VEHIXEL CARROSSIER CONSTRUCTEUR immatriculée le 23 septembre 2003
au registre du commerce et des sociétés de Bourg-en-Bresse (01) sous le no 450 087 549, sise zone d’activité, 01340
Attignat ;
Vu les visites du véhicule effectuées le 22 avril 2014 et le 20 juin 2014 par les services techniques de la direction de
l’équipement et de la logistique du secrétariat général pour l’administration du ministère de l’intérieur sud-est ;
Vu l’avis favorable du préfet de la zone de défense et de sécurité sud-est en date du 27 juin 2014 ;
Considérant que le véhicule réceptionné correspond aux caractéristiques requises de résistance balistique des
matériaux blindés opaques (parois) et des matériaux blindés transparents (vitrage),
Arrête :
Article 1er
Le type de véhicule de transport de fonds, tête de série, Iveco Stralis 26 tonnes, no de châssis WJME2NSH40C279987,
est agréé.
Article 2
Le présent arrêté entre en vigueur à compter de la date de sa notification à la société VEHIXEL CARROSSIER
CONSTRUCTEUR. Il sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 30 juillet 2014.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur des libertés publiques
et des affaires juridiques,
T. Andrieu
MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR
_
Le ministre de l’intérieur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 3332-1-1 et R. 3332-4 à R. 3332-9 ;
Vu l’arrêté du 22 juillet 2011 fixant le programme et l’organisation des formations requises pour l’obtention des
attestations prévues à l’article R. 3332-4-1 du code de la santé publique ;
Vu la demande en date du 20 décembre 2013 et le dossier complet présentés par l’organisme dénommé
« CAPPERFO », sis 196, rue Nicéphore-Niépce à Hyères (83400), formation continue pour adultes,
Arrête :
Article 1er
L’organisme de formation dénommé « CAPPERFO », sis 196, rue Nicéphore-Niépce à Hyères (83400), est agréé
pour une durée de cinq ans à l’effet de dispenser à l’attention des exploitants de débits de boissons à consommer
sur place ou d’établissements pourvus de la « petite licence restaurant » ou de la « licence restaurant », la formation
prévue au premier alinéa de l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique ; à l’attention des débitants de boissons
à emporter vendant des boissons alcoolisées entre 22 heures et 8 heures, la formation prévue au deuxième alinéa de
l’article L. 3332-1-1 du code de la santé publique.
Article 2
Le présent arrêté sera notifié à l’organisme dénommé « CAPPERFO », sis 196, rue Nicéphore-Niépce à
Hyères (83400), et sera publié au Bulletin officiel du ministère de l’intérieur.
FFait le 11 août 2014.
Pour le ministre et par délégation :
L’adjoint au chef du bureau des polices administratives,
M. Cattin