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SOMMAIRE DU PROJET
Décembre 2002
Projet de restauration de plage
- Méthode de Système d'épis Maltais-Savard (SEMS) -
Partenaires financiers
Avec la collaboration de :
Parc Nature de Pointe-aux-Outardes
Développement des ressources humaines Canada
Kruger – scierie Manic
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ÉQUIPE DE TRAVAIL
Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire
Nicolas Roy, géomorphologue, M.Sc.A., directeur de projet
Nancy Imbeault, secrétaire administrative
Nathalie Pelletier, ingénieure stagiaire, chargée de projet (2001)
Pascal Bernatchez, géomorphologue, M.Sc., consultant
Hydro-Québec
Danielle Messier, conseillère Environnement, Vice-présidence exploitation des
équipements de production
Richard Perron, chef Administration et relations avec le milieu, Direction
régionale Manicouagan
Suzanne Labrie, conseillère Environnement, Direction régionale Manicouagan
MRC de la Manicouagan
André Blais, aménagiste
Institut des sciences de la mer de Rimouski
Barbara Boczar-Karakiewicz, PhD, océanographie physique
Wojciech Romanczyk, PhD, associé de recherche en océanographie physique
Concepteurs de la méthode SEMS
Jean-Pierre Savard, citoyen péninsulaire
Lucien Maltais, citoyen péninsulaire
Groupe conseil Génivar
Claude Théberge, M. Sc., directeur de projet
Daniel Poirier, biologiste, B.Sc.
Derek Lynch, technicien
Gino Tremblay, technicien
Janine Beaucage, secrétaire
Nick Girard, technicien
Lucie Bellerive, secrétaire
Robert Laprise, technicien
Tony St-Pierre, ing. f., chargé de projet
Cadoret, Savard, Baron et Tremblay, a.-g.
David Thériault, arpenteur-géomètre
Gérald Tanguay, technicien
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TABLE DES MATIÈRES
Pages
Figure 3 – Photographies de l’implantation des pieux sur la plage pour former la structure des
SEMS. ................................................................................................................................................... 6
Figure 6 - Photographie des épis en forme de ‘V’ renversé pour compenser l'érosion générée par
les courants latéraux. ......................................................................................................................... 8
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1 CONTEXTE DU PROJET
Suite au colloque sur l'érosion des berges tenu en février 1999 à Baie-Comeau, le
Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire et ses partenaires ont réalisé l'importance
d'étudier la gestion intégrée des berges afin de trouver des solutions à leur
problématique d’érosion. Ce colloque avait permis, entre autres, la mise à niveau
des connaissances des problématiques associées à l'érosion des berges en milieu
marin et sur les méthodes disponibles pour protéger et restaurer le littoral en
érosion.
Cependant, la problématique de l'érosion des berges était encore loin d'être
résolue et nécessitait une concertation accrue ainsi qu'un partenariat soutenu. À
ce titre, la gestion intégrée des interventions sur le littoral constitue une approche
intéressante et prometteuse pour laquelle les membres du Comité ZIP, en
collaboration avec les autres acteurs du milieu, devront multiplier des initiatives
régionales.
Un comité
Faisant suite au colloque, un Comité interministériel sur l’érosion des berges s'est
constitué sur la Côte-Nord. Cette entente associe six ministères, ainsi que le
Conseil régional de développement de la Côte-Nord. Le principal mandat du
comité vise la préparation d'un plan de gestion des berges. Ce plan doit, entre
autres, prévoir les secteurs de berges à protéger et définir des stratégies visant
des alternatives de protection du littoral à l’enrochement systématique des
berges. Cette dernière option de protection est, jusqu'à présent, la seule
généralement retenue par les instances décisionnelles pour fin de protection du
littoral de la Côte-Nord.
Un partenariat
Toujours lors du colloque, un constat général est ressorti sur le manque de
connaissances et d’outils sur les techniques de protection du littoral.
À cet égard, Hydro-Québec et la MRC de Manicouagan annonçaient une entente
de partenariat pour tester une nouvelle technique de protection du littoral. Ce
partenariat faisait suite à un rapport d’étude, commandé par Hydro-Québec et
préparé par la firme Poly-Géo (1998), qui recommandait que la péninsule de
Manicouagan sur la Côte-Nord comme secteur de choix pour établir des bancs
d'essai pour tester une technique de restauration de plage. À ce moment, la
restauration de plage montrait un bon potentiel de développement et
d’avancement technologique pour la protection des berges.
Un groupe de travail
Ainsi, quelques mois après le colloque, le Comité ZIP, l’Institut des sciences de la
mer de Rimouski (ISMER), Hydro-Québec et la MRC de Manicouagan
associaient leur savoir-faire pour former un groupe de travail. Le but commun
1
était d’évaluer la performance d'une nouvelle technique de protection pour
contrer l’érosion des plages.
Une nouvelle technique
Il faut rappeler que le Parc Nature de Pointe-aux-Outardes sur la péninsule
Manicouagan (Naturam Environnement, 1997) avait été l'hôte d'une technique
des caissons de bois et de la bio ingénierie. Toutefois, les résultats révélaient qu’il
était ardu de contrer l’érosion en milieu marin par l’utilisation de caissons et de
végétaux.
Ainsi, dans le cadre de ce projet, le Comité ZIP a proposé une technique
novatrice de restauration des plages à partir d’épis de bois. Cette technique
artisanale a été conçue et développée par deux citoyens péninsulaires,
MM. Lucien Maltais et Jean-Pierre Savard. C’est cette technique, nommée
Système d’épis Maltais-Savard (SEMS), qui a été retenue par le groupe de travail
pour de nouveaux bancs d’essai pour contrer l’érosion.
2 INTRODUCTION
Dans le cadre de la démarche de ce projet, trois études spécifiques ont été
réalisées. Il fallait tout d’abord bien comprendre le travail de terrain réalisé
auparavant par les concepteurs durant une période de sept années. Une première
étude intitulée "Évolution de la technique de restauration de plage du système d'épis
Maltais-Savard (SEMS) et analyse des composantes contrôlant la morphosédimentologie
des plages" a alors été réalisée à l’hiver 2000 par M. Pascal Bernatchez,
géomorphologue. Ce rapport permettait de mettre à niveau le groupe de travail
sur les acquis réalisés par les concepteurs.
Par la suite, les efforts ont été dirigés vers la compréhension des processus
hydrauliques régissant l’interaction des SEMS avec les sédiments et l’eau. La
seconde étude, réalisée par l’ISMER et intitulée "Modèle conceptuel de
fonctionnement d'un ouvrage de protection du littoral: système d'épis Maltais-Savard
(SEMS)" avait pour but d’éclaircir ces processus. Cette étude a permis de jeter les
bases du premier concept scientifique sur les travaux des concepteurs. Elle a été
réalisée au cours de l’hiver et du printemps 2000.
Enfin, des travaux d’aménagement des SEMS, réalisés dans le Parc Nature de
Pointe-aux-Outardes et à Baie Saint-Ludger (Pointe-aux-Outardes), ont été
réalisés en juin et en juillet 2000. Ils se sont poursuivis au printemps 2001 afin de
compléter une seconde série d’ouvrages et d’en améliorer le concept de base. Les
travaux d’aménagement de 2001 ont aussi permis de réparer certains SEMS
construit en 2000 qui avaient été abîmés par les glaces.
En parallèle, le suivi topographique, confié par Hydro-Québec au Groupe conseil
Génivar, a débuté avant l’implantation des ouvrages mis en place par le Comité
ZIP et s’est poursuivi jusqu’en novembre 2001, date de fin du suivi. Cette
2
dernière étude s’intitule ‘‘Suivi de l’évolution de la topographie à deux sites de la
péninsule Manicouagan’’.
Il est aussi important de noter qu’un suivi d’un troisième banc d’essai est
toujours en cours (Boczar et al., en préparation). Il consiste à déterminer si la
technique peut être efficace pour contrer les effets de bout des enrochements1. Ce
troisième banc d'essai ne sera cependant pas abordé dans le présent rapport.
En somme, le présent document se veut une synthèse des trois études qui ont
constitué le projet de manière à pouvoir livrer au lecteur des recommandations et
des conclusions générales de l'ensemble du projet. On retrouve également
d'autres informations concernant la démarche des concepteurs et la technique de
construction des SEMS elle-même.
1 Effet d’érosion accrue générée par la présence d’un enrochement à chacune de ses extrémités.
3
l’automne 1999. En parallèle, les concepteurs ont tenté, en vain, d'obtenir un
brevet de leur concept. Cette démarche n’a pas été poursuivie en raison des coûts
élevés d’obtention du brevet et de la complexité de la démarche sans garantie de
succès.
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Figure 1 - Plan d'ingénierie
détaillé des SEMS.
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Figure 2 – Photographies du transport du bois et du coupage et affûtage des pieux.
Figure 3 – Photographies de l’implantation des pieux sur la plage pour former la structure des SEMS.
6
Figure 4 - Photographies de la barge servant au transport d'épinettes.
Partie
excédante
Pieu Barre
transversale
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4.2 Principaux résultats provenant de la construction des ouvrages
L’aménagement des 12 SEMS et l’évaluation de leur résistance aux processus
hydrodynamiques (vagues, courant et mouvement des glaces) nous a permis d’acquérir
de l’expérience sur le comportement des structures côtières légères.
Il faut rappeler qu’un Guide de construction (Comité ZIP, en préparation) détaillera la
technique de réalisation de ce type de technologie de protection du littoral. Toutefois,
voici les principaux faits saillants notés durant cette dernière expérimentation :
1. Le remplissage des structures avec des tiges d’épinettes trop courtes (moins de
2 m) est contre indiqué. Des tempêtes relativement faibles peuvent alors évacuer
le matériel assez facilement (cas vécu sur l’un des SEMS installé au Parc Nature
de Pointe-aux-Outardes).
2. Une problématique d’érosion locale accrue du bas de talus, due à un courant
latéral généré par la présence de l’ouvrage SEMS lors de tempêtes d’importance,
a pu être résolue. L’aménagement de deux épis courts en forme de « V » renversé
(Figure 6) élimine l’effet négatif d’érosion observée à l’arrière des structures.
Figure 6 - Photographie des épis en forme de
« V » renversé pour compenser l'érosion générée
par les courants latéraux.
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5. Le nombre d’épis latéraux disposés sur un SEMS et la prédominance
directionnelle du courant de dérive littorale des sites expérimentaux ne semblent
pas jouer un rôle majeur sur le niveau d’ensablement de part et d’autre des
structures. Il serait alors adéquat que les SEMS se composent d’un nombre égal
d’épis latéraux disposés de chaque côté de l’épi principal afin d’intercepter
efficacement les deux dérives et d’éviter l’effet érosif de la vague de Mach
(Boczar et al, 2000). Empiriquement, le nombre minimal d’épis latéraux est
évalué à deux de chaque côté pour un SEMS de 15 m de longueur .
5 RAPPORTS D’ÉTUDE
Trois rapports d’étude ont été réalisés. Les sous-sections suivantes présentes ces
derniers rapports. Ils sont disponibles en annexe du présent rapport, sur le site Internet
du Comité ZIP ou sur CD-Rom.
6 CONCLUSIONS
Les conclusions respectives, préparées par les auteurs des trois études, se trouvent à
même leur rapport (études 1, 2 et 3). Le lecteur peut donc s’y référer en consultant ces
documents. D’autres conclusions, proposées par le Comité ZIP, s’imposent quant à
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l’aménagement des ouvrages et les différents niveaux d’efficacité évalués pour ralentir
l’érosion des plages et des berges. En voici les principaux faits saillants :
• La résistance des structures à la dérive des glaces est faible dans le cas où
l’ensablement n’est pas suffisant pour couvrir les ouvrages plus que
partiellement. Par ailleurs, le déchaussement printanier de la plage devant le
pied de glace peut aussi abîmer la partie aval des structures.
• Le matériel de remplissage des SEMS doit, idéalement, contenir des troncs
d’épinettes d’une longueur de plus de 3 m pour éviter que les structures ne se
vident lors de tempête surtout si le matériel n’est pas enveloppé d’une
membrane géotextile. Ce problème est amplifié lorsque le matériel n’est pas
enveloppé d’une membrane géotextile.
• Le banc d’essai de Baie Saint-Ludger (BSL) est situé devant un enrochement de
pied de talus et les SEMS ont été aménagés entre des épis rocheux. Ce banc
d'essai montre qu’il est possible de redresser la plage sur plus de 0,3 à 0,5 m et de
stabiliser son élévation à un niveau supérieur. La mise en place et l’entretien
d’ouvrage SEMS peut donc assurer la pérennité des enrochements en évitant
l’affouillement des ouvrages.
• Il est considéré possible, mais non démontré, que les SEMS puissent avoir un
impact négatif sur les zones avoisinantes pour les zones faiblement sablonneuses
telles que celle de BSL. Il pourrait être problématique d'utiliser ce type de
structure dans des secteurs de plages possédant de faible quantité de sable.
• Au site du Parc Nature de Pointe-aux-Outardes, les résultats du suivi
démontrent que le taux de recul du talus est légèrement plus faible derrière les
SEMS que dans les zones avoisinantes sans protection.
• Toujours au Parc Nature, les efforts d’entretien indiquent cependant une
récurrence importante de travaux. Au banc d’essai de BSL, là où l’énergie
hydrodynamique est généralement plus faible, le niveau d’effort d’entretien est
nettement moins important.
• La piste de recherche portant sur des ouvrages perméables, rugueux et flexibles
tels que les ouvrages SEMS semblent être porteurs de résultats probants. Les
efforts de recherche, en concertation avec les acteurs du milieu, devraient se
poursuivre encore quelques années afin d’aboutir à un outil de protection adapté
à la Côte-Nord et compatible avec les techniques de protection déjà utilisés.
7 RECOMMANDATIONS
Le groupe de travail soumet quelques recommandations pour des pistes de recherche et
d’utilisation de la méthode SEMS. En effet, quoique plusieurs paramètres techniques
restent encore à développer, les résultats obtenus lors de ce projet mettent en
perspective certains éléments importants.
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7.1 Recommandations de recherche
• Dans la perspective où les résultats obtenus au banc d’essai du Parc Nature
n’indiquent qu’un faible ralentissement de l’érosion et en considérant l’effort
octroyé pour maintenir l’efficacité des ouvrages, il est recommandé de ne pas
continuer le suivi à ce banc d’essai. Si des recherches expérimentales devaient se
poursuivre, il serait préférable d’investiguer cette technique sur des secteurs
rencontrant d’autres caractéristiques telles que celles rencontrées sur le banc
d’essai pour contrer l’effet de bout d’enrochement de Pointe-aux-Outardes
(Boczar et al, 2003).
• L’analyse des résultats obtenus au banc d’essai de Baie Saint-Ludger démontre
un certain succès d’efficacité des ouvrages. Il est recommandé de continuer le
suivi pour évaluer si c’est derniers résistent bien à l’effet du temps.
• Le ministère des Transports du Québec (MTQ) fait annuellement des relevés
topographiques depuis 1996, date d’implantation de l’enrochement linéaire et de
plusieurs épis en roches parallèles à ceux concernés dans le présent rapport.
L’analyse de ces résultats jumelés à quelques visites de terrain devraient nous
permettre d’extraire les résultats de suivi nécessaire à l’évolution de
l’ensablement générée par les SEMS et ce, à moindre coût. Il est donc
recommandé de faire des démarches auprès du MTQ pour obtenir le droit
d’utiliser les résultats du suivi d’arpentage réalisé depuis 1996.
• Des analyses pourraient être réalisées afin de comparer les taux d’érosion
obtenus en présence des SEMS comparativement aux taux d’érosion historiques.
L’évaluation des taux d’érosion du talus a été réalisée par le Comité sur l’érosion
des berges de la Côte-Nord pour le secteur du Parc Nature. Cette comparaison
des taux d’érosion pourrait préciser le niveau d’efficacité de la technique de
protection SEMS. Le groupe de travail recommande de réaliser une démarche
auprès du Comité sur l’érosion pour obtenir ces données et procéder à l’analyse.
• Afin de mieux comprendre la problématique associée à l’impact des SEMS sur la
dérive littorale et sur le trouble de voisinage2 qu’ils pourraient causer, une
analyse détaillée de l’évolution des profils topographiques, mesurés durant le
suivi (15 en 2 ans), devrait être réalisée.
• À la lumière de ces travaux d’expérimentation, la recommandation générale
d’utilisation de la technique SEMS reste à confirmer. Des ajustements, associés à
la résistance des structures ainsi qu'à leur dimension et à leur disposition,
devraient être réalisés pour diminuer la récurrence des entretiens et en optimiser
2 L’accumulation de sable engendrée par les SEMS pourraient générer un abaissement de la plage aux
environs des structures et augmenter l’érosion de ces zones avoisinantes, ce qui n’est cependant pas
encore démontré.
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leur efficacité à long terme. Les travaux effectués sur le banc d’essai pour contrer
l’effet de bout d’enrochement devraient amener plusieurs réponses précises sur
le sujet (Comité ZIP, en préparation).
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8 RÉFÉRENCES
BERNATCHEZ P. 2000. Évolution de la technique de restauration de plage du système d'épis
Maltais-Savard (SEMS) et analyse des composantes contrôlant la morphosédimentologie des
plages". Rapport remis au Comité ZIP de la rive nord de l’Estuaire. 31 pages.
Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire. 1999. Les actes du colloque régional sur l’érosion
des berges – vers une gestion intégrée des interventions en milieu marin. 207 pages.
Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire. En préparation. Guide de construction - système
d'épis Maltais-Savard (SEMS).
BOCZAR B. et W. Romanczyk. 2000. Modèle conceptuel de fonctionnement d'un ouvrage de
protection du littoral: système d'épis Maltais-Savard (SEMS). Préparé par l’Institut des
sciences de la mer de Rimouski pour le Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire.
34 pages.
BOCZAR B., W. Romanczyk et N. Roy. En préparation. Analyse de l'efficacité de la
méthode de protection du littoral: Système d'épis Maltais-Savard (SEMS) - Banc d’essai de
Pointe-aux-Outardes, péninsule Manicouagan, Québec, Canada. Préparé par l’Institut des
sciences de la mer de Rimouski pour le Comité ZIP de la rive nord de l’estuaire.
NATURAM ENVIRONNEMENT. 1997. Restauration des berges du Parc régional de Pointe-
aux-Outardes; élaboration d’un projet expérimental. Naturam Environnement inc. pour
Pêches et Océans Canada. 137 p.
Poly-Géo inc. 1998. Mesures de protection des berges en milieux estuarien et marin. Rapport
présenté à Hydro-Québec, Hydraulique et Environnement, Direction Expertise et
Support technique de Production.
GÉNIVAR. 2002. Suivi de l’évolution de la topographie à deux sites de la péninsule
Manicouagan. Rapport soumis à Hydro-Québec. 2 volumes, cartes et photos.
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