Programme de certification en Fleurs de Bach

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Module 4
 Programme de certification en Fleurs de Bach

Interrogeons-nous à présent sur ce qu’est un conseiller en Fleurs de Bach - ou une conseillère

évidemment, mais par souci de lisibilité, nous garderons l’usage du masculin. Nous nous
pencherons ensuite sur les considérations pratiques de cette activité, qu’elle soit professionnelle ou
exercée dans un cadre privé.

Quel est le statut d’un conseiller en Fleurs de

Bach ?
Toute personne peut prodiguer un conseil en Fleurs de Bach. Il suffit d’avoir reçu une formation
adéquate, et acquis une connaissance et une compréhension suffisamment approfondie de la
thérapie florale.
Avant de se considérer conseiller, doit-on être agréé par le Centre Bach ? Il existe effectivement
une formation officielle qui a lieu au Centre Bach en Angleterre, ou en France par des formateurs
français agréés par ce même centre. Cependant, cette formation n’est en aucun cas obligatoire
pour prodiguer des conseils.
La philosophie d’Edward Bach est celle du partage, de la diffusion universelle d’un savoir né de
l’intuition d’une personne. Dès le début, le Dr. Bach a rendu publics ses principes, ses recettes,
l’ensemble de ses connaissances. Chacun peut s’approprier ce savoir, il n’est pas guidé par une
logique de monopole.
Le conseiller en Fleurs de Bach ne prétend ni au titre de médecin, ni à celui de psychologue. Il
cherche cependant à guérir, et si la maladie physique n’est jamais très loin, c’est aux déséquilibres
psycho-émotionnels qu’il s’adresse. Pour encadrer cette pratique de conseiller, il peut d’ailleurs,
comme nous l’avons vu, exercer tout autre métier qui s’intéresse à la santé.
Méthode complémentaire au médicament, au remède naturel, à l’analyse... le recours aux Fleurs de
Bach permet d’offrir au patient une solution supplémentaire au traitement de ses problèmes,
solution qui est aussi une proposition pour qu’il se prenne en mains, dans une démarche active de
retour sur lui-même, d’introspection.
De même qu’un conseiller en Fleurs de Bach émet des recommandations plutôt qu’il n’écrit des
ordonnances, la personne qu’il conseille est davantage un interlocuteur qu’un « patient ». Le
terme de « patient » n’est d’ailleurs pas totalement approprié, car il ne convoque pas l’idée que
l’individu en quête de conseil est actif dans son propre mieux-être.
Il renvoie à une certaine conception orthodoxe du soin, où la personne malade reçoit les soins avec
« patience » et donc une certaine passivité. On pourra toujours dire « patient » ou « client » par
souci de clarté, mais en employant ces termes avec précaution, parce que le premier peut être
empreint d’une certaine connotation négative, tandis que le second ne définit pas forcément la
relation que vous entretenez avec la personne conseillée.

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À quoi « sert » le conseiller ?

L’introspection encouragée par le principe des Fleurs de Bach peut être difficile à opérer par soi-même.
C’est là que le conseiller intervient, comme un compagnon de route et un guide. Dans cette fonction, il ne
représente en rien l’instance ingérante, qui s’immisce dans la vie et les décisions de la personne.
Le Dr. Bach estimait que cette ingérence portait atteinte à l’intégrité du Moi profond, seul à pouvoir
déterminer de sa mission. Edward Bach parlait même de « mission divine » à propos des
déterminations du Moi. Il considérait être sans intérêt d’interférer dans les choix authentiques de
quelqu’un, puisque cette intuition du Moi est fondamentalement positive.
Cette qualité positive essentielle du Moi profond peut aussi être qualifiée de « vertu guérisseuse ».
Ainsi dans son ouvrage Libère-toi, Bach recommande : « Cherchez le conflit mental permanent chez
le patient, donnez-lui le remède qui l’aidera à éradiquer ce défaut particulier, et autant
d’encouragements et d’espoir que possible : la vertu guérisseuse en lui fera le reste. »
Le conseiller, en plus de son expertise, offre son recul et sa neutralité. Parallèlement, dans ce
travail d’accompagnement, il cherche à préserver l’intégrité du sujet, en l’encourageant à trouver
en lui-même les ressources nécessaires pour surmonter sa difficulté.
L’une de ses missions est de faire comprendre à son interlocuteur que celui-ci est maître de son
destin. Après le conseil, l’essentiel du travail a lieu uniquement entre la personne et les fleurs. De
même, après l’accompagnement, la personne est capable d’utiliser les fleurs par elle-même.
Comme personne de confiance ou thérapeute respecté, le conseiller est une oreille attentive. Il
devient l’aidant dont rêvait le Dr. Bach, qui accompagne le sujet dans une analyse personnalisée
pour que l’origine de ses troubles soit méticuleusement recherchée.
Il est intéressant de connaître les deux objectifs principaux du « médecin du futur » selon Edward
Bach dans Libère-toi :

« Le premier objectif sera d’accompagner le patient dans une meilleure

connaissance de lui-même et dans la reconnaissance des erreurs qu’il peut
commettre, les déficiences de son caractère auxquelles il devrait remédier, et les
défauts dans sa nature qui doivent être éliminés et remplacés par les qualités
correspondantes. Un tel médecin devra étudier les lois qui gouvernent l’humanité
et la nature humaine elle-même, de façon à ce qu’il puisse reconnaître dans tous
ceux qui viennent à lui les éléments causant les conflits entre l’Âme et l’esprit.
Il doit être capable d’expliquer à la personne souffrante la meilleure façon de
retrouver l’harmonie, quelles actions contre l’Unité il faut arrêter, ainsi que les
qualités qu’il sera nécessaire de développer afin d’éliminer ses défauts. Chaque
cas devra être étudié avec soin, et seuls ceux qui auront dédié une grande partie
de leur vie à la connaissance du genre humain et qui ont au cœur l’ardent désir
d’aider, seront capables d’entreprendre avec succès cette glorieuse et Divine
tâche pour l’humanité, d’ouvrir les yeux du malade et de l’éclairer sur sa raison
d’être, de lui inspirer espoir, réconfort et foi, lui permettant ainsi de vaincre la
maladie. »

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À ce stade de la formation, vous avez sans doute compris que le conseiller des Fleurs de Bach vise
d’abord à traiter les troubles émotionnels et psychiques, et non les maladies physiques. Cela
n’interdit pas de croire aux nombreuses répercussions que le bien-être et l’harmonie auront sur la
santé physique. Mais le diagnostic du conseiller en Fleurs de Bach est fondé sur la santé
émotionnelle du sujet, considérée comme la cause des maux psychiques et physiques.
Grâce à l’écoute qu’il apporte, le conseiller en Fleurs de Bach peut entendre à quels problèmes
profonds une personne est confrontée. Lorsqu’il l’estime nécessaire, il peut orienter un patient vers
un professionnel de santé adapté à son état. La consultation en Fleurs de Bach, parce qu’elle est
renouvelée, parce qu’elle instaure une relation de confiance et explore les émotions en profondeur,
peut par exemple faire émerger des problématiques psychiques relevant de la psychothérapie.

Qu’est-ce qu’un bon conseiller ?

Un bon conseiller allie la connaissance des fleurs à une confiance dans ses choix. Pour cela, il est
aidé par une expérience qui va d’un travail théorique immersif (comme celui que propose cette
formation) à une expérience pratique, à commencer par une pratique personnelle des fleurs.
Cette pratique personnelle ne s’arrête pas au fait de consommer les fleurs, mais gagne à être
engagée et réflexive :
Engagée, parce que le conseiller ou futur conseiller implique son temps et sa personne dans la
connaissance des Fleurs de Bach. Il peut ainsi tenir un herbier, se mettre en relation avec des
amateurs ou experts des fleurs, tenir un journal de son parcours et de sa propre consommation,
lier d’autres pratiques thérapeutiques ou de « bien-être » à ce travail (par exemple la
méditation). Il peut créer son propre matériel, ses propres outils, ou laisser aller son inventivité
pour approfondir son savoir et s’approprier les fleurs.
Réflexive, parce que le conseiller ou futur conseiller, en plus de tenir un journal sur sa
consommation et ses changements intérieurs, peut réfléchir sur sa relation aux Fleurs de Bach
et son projet en général, ses motivations, ses difficultés.
Grâce à cette expérience, la relation entre le conseiller et son interlocuteur sera davantage une
relation de confiance, et le conseiller pourra transmettre naturellement des vibrations positives à
son interlocuteur.

À qui s’adresse le conseil en Fleurs de Bach ?

Les Fleurs de Bach sont conseillées pour :
Les adultes,
Les enfants, bébés, adolescents,
Les personnes âgées,
Les femmes enceintes,
Les personnes atteintes de maladies,

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Les personnes mourantes,

Les animaux,
Les plantes.
Les élixirs ne sont pas déconseillés aux bébés et aux femmes enceintes. Le degré d’alcool que les
petits flacons contiennent n’est pas élevé. De plus, il s’agit de l’absorption de quelques gouttes, qui
sont considérées comme totalement inoffensives. Si l’on préfère malgré tout éviter l’ingestion
d’alcool, il y a plusieurs solutions : les gouttes sans alcool, les vaporisateurs, les crèmes… nous
découvrirons la variété des formes dans un prochain module.
Le conseiller peut recevoir en entretien :
Une personne, et s’adresser directement à son problème.
Une personne, qui peut lui faire part de problématiques concernant son entourage : sa famille,
ses proches, ses animaux de compagnie…
Plusieurs personnes : couples, parents - enfants, maîtres - animaux…
Il est indispensable que le conseiller fasse preuve d’une grande tolérance envers la culture et les
croyances de la personne qu’il reçoit.

Une première rencontre, un premier entretien

Le conseiller en Fleurs de Bach recommande des quintessences. Il essaie de déterminer celles qui
conviendront le mieux à la personne en difficulté. L’entretien dure environ une heure, et permet
au conseiller de se faire une idée des fleurs dont son interlocuteur a besoin pour surmonter ses
blocages.
Cet entretien permet à la personne de partager son vécu et de prendre conscience du travail à
venir. Il aide à verbaliser les troubles réels ou ressentis. Cette mise en mots est utile, car elle
permet aux deux personnes de mieux comprendre ce vécu, et de prendre conscience des blocages,
de leurs origines, de leurs conséquences.
L’entretien ne nécessite pas de technique d’analyse psychologique sophistiquée. Le but n’est pas de
déterrer des traumatismes profonds, mais de traiter la personne dans son présent. Le mieux est
d’imaginer que l’on pèle un oignon… Il ne s’agit pas de trancher à travers les couches : on
commence par la première couche de l’oignon, comme une première couche émotionnelle et
énergétique altérée, avant d’aller chercher les altérations du passé, révélées par la résolution des
troubles en surface.
Il est également nécessaire de comprendre, même si cela peut paraître évident, que la description
d’un symptôme physique ne peut pas suffire à établir un diagnostic. Pourquoi ?
Parce que l’on s’adresse à des états psycho-émotionnels. Il est incontestable qu’un symptôme
physique n’est pas forcément dû à un état psycho-émotionnel, surtout lorsqu’il vient de causes
extérieures, par exemple une intoxication alimentaire ou une chute. Mais même en cas de
symptôme physique, d’accident, et évidemment de troubles psychosomatiques ou de fragilité des
défenses immunitaires, il faudra avant tout discuter de l’état émotionnel.

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De plus, un symptôme physique typique du blocage relatif à une fleur ne relève pas forcément de
cette fleur. Par exemple, un individu Impatiens peut ressentir des tensions dans le cou : c’est un
symptôme physique typique. Mais une personne qui ressent ces mêmes tensions n’est pas
forcément Impatiens.
Lors d’une consultation, on ne s’arrêtera donc pas à l’évocation de tensions dans le dos et le cou. Il
serait limitant et erroné de tirer une conclusion hâtive d’un blocage physique. Ainsi, avant de la
catégoriser « Impatiens », il faudra savoir pourquoi la personne ressent ces tensions et comment
elle réagit à ce vécu. On pourra alors découvrir qu’elle relève, par exemple, de Vervain à cause du
sentiment d’injustice qu’elle éprouve, ou de son implication passionnée pour une cause.
 Déroulé global de l’entretien :

Accueil de la personne conseillée dans un environnement sécurisant et confidentiel.

Présentation des fleurs et du déroulement de l’entretien, instauration d’un cadre (le conseiller
parle).
Une première question est posée pour démarrer (le conseiller parle).
L’interlocuteur expose les raisons de son désir d’être conseillé, et ce qui le trouble actuellement
(le patient parle, et le conseiller relance avec des questions).
Le conseiller choisit, ou non, de recourir à la méthode intuitive de « pioche » des fleurs.
Il expose ses conclusions et ses choix de fleurs, et le cas échéant, compare avec les fleurs
piochées.
Discussion sur le portrait floral. L’interlocuteur exprime son avis, son accord ou son désaccord
sur les choix. Un affinement éventuel a lieu, pour le choix d’une quintessence ou d’un mélange
personnalisé (dialogue).

Comment écouter ?
Peut-être que dans un premier entretien, vous commencerez par dire quelques mots avant d’être
complètement à l’écoute de l’histoire de votre interlocuteur. Quoi qu’il en soit, nous aborderons
d’abord la notion d’écoute, car elle passe avant tout.
Pour écouter… observer est le mot clé. Les impressions que nous donne la personne en entretien
doivent être notées immédiatement, ainsi que les fleurs qu’évoquent ces impressions.
Observez la voix de la personne que vous avez en face de vous, son langage corporel, ses propos.
Voici un certain nombre de questions que vous pouvez vous poser, d’éléments à remarquer :
Quel est le ton de la personne ? (Sa timidité, son assurance, son autorité ?)
Le niveau sonore de sa voix ? Ses fluctuations ?
Sa diction ? (Son débit de parole, son élocution : claire, hésitante ou saccadée ?)
Quelle est son allure corporelle ? (Dynamique ou abattue ?)
Quelle est sa posture ? Comment se tient-elle sur son siège ?

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Quelle est sa manière de se mouvoir ?

Que disent les traits de son visage ?
Est-elle plutôt ouverte ou fermée dans la position de communication ?
Comment présente-t-elle son problème ?
Quelle est son attitude face au problème ? (Globalement positive ou négative ?)
Quel est son état de stress ?
Soyez attentif à la confiance que vous sentez lui inspirer au premier abord : ce niveau de confiance
déterminera sa disposition à énoncer directement son problème. Si la confidence révélant le cœur
de son problème semble tarder, il faudra la laisser émerger avec patience, être attentif à ce qui se
dit en second ou troisième lieu, et qui ne semble pas apparemment important. Il est également
indispensable de :
Noter : veiller à prendre des notes, mais avec une certaine précaution, pour ne pas laisser l’écriture
entraver la situation de communication. Noter sans cesser d’écouter, donc… Peut-être aurez-vous
besoin d’un peu de temps pour exceller à cet exercice, mais pour que tout se passe bien dès le
début, gardez en tête l’importance de l’écoute. Cette analyse ne doit pas être l’occasion d’un
jugement : les notes resteront donc confidentielles et les plus objectives possible.
Laisser dire : écouter sans trop interférer avec les propos de la personne que l’on souhaite « faire
parler », n’est pas si facile. Pour commencer, il ne faut pas avoir peur des silences. Il faut laisser la
pensée suivre son cours dans l’esprit de son interlocuteur. Ensuite, il faut veiller à ne pas imposer
ses idées et ses interprétations - que l’on garde éventuellement pour une feuille de papier - pour ne
pas réorienter la conversation involontairement, ou laisser des informations essentielles nous
échapper.
 Quelques outils pour « écouter plus et parler moins » :

En répondant à l’énoncé d’un problème par une interrogation, il est bon de se limiter à une
seule question.
Même si l’interlocuteur a fourni dans sa réponse une information complète, ne pas
l’interrompre s’il réfléchit encore, ou s’il n’a pas terminé sa prise de parole.
Éviter les questions fermées, auxquelles on ne peut répondre que par oui ou non, et les
questions à double choix, qui empêchent l’interlocuteur de formuler une réponse personnalisée
à laquelle nous ne penserions pas forcément.
Éviter de faire des déductions hâtives de fleur. Noter les fleurs que les propos nous évoquent,
plutôt que d’en parler immédiatement.
Ne pas hésiter, en revanche, de continuer à poser des questions précises, même après notre
première déduction, et à prolonger le dialogue - une question à la fois. Cela peut servir à
confirmer ou à écarter une hypothèse.
Et enfin… écouter son intuition. Qu’est-ce que vos observations évoquent en vous, intuitivement ?
Que ressentez-vous à la vue de cette personne, à l’écoute de ses propos ? Pouvez-vous relier votre

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empathie à votre compréhension des fleurs, de façon à être le chaînon manquant entre cette
personne et les Fleurs de Bach ?

Exercice - Quelles fleurs peuvent évoquer ces

langages corporels ?
 La personne est assise en arrière sur sa chaise, jambes détendues ou croisées, cheville posée
sur un genou. Elle vous regarde un peu de haut, le menton levé.

Réponse : on peut se demander si cette grande confiance ne va pas révéler quelque chose de Vine.
 La personne courbe un peu les épaules, semble avoir la tête lourde. Son ton est monocorde.

Réponse : on peut penser à toutes les fleurs qui évoquent la tristesse, la dépression, le manque de
confiance. Mais cela peut aussi être la fatigue. Exemple : Olive, ou Hornbeam, Elm, Gorse, Mustard,
Willow, Gentian…
 La personne fronce les sourcils en permanence.

Réponse : cela peut être un indice, mais le mieux est de poser une question pour savoir s’il y a un
malentendu, une incrédulité…
 La personne hoche la tête mécaniquement lorsque vous lui présentez les fleurs, ou lui
expliquez le déroulé de la séance.

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Réponse : est-elle intéressée par ce que vous dites ? Ou plutôt par ce qu’elle va dire ? Vervain peut
nous traverser l’esprit.
 Assise sur son siège, elle a les bras et les jambes croisés.

Réponse : cette attitude de fermeture peut traduire un manque de flexibilité qui évoque une
personne Beech…
 Ou alors, la personne accroche un de ses bras avec son bras opposé…

Réponse : on peut déceler une certaine peur dans cette posture. On pensera par exemple à
Mimulus, Aspen, Star of Betlehem, Rock Rose.

Que dire ? Comment dire ?

Si votre interlocuteur est novice dans le domaine des élixirs floraux, commencez par présenter les
Fleurs de Bach, leur découverte par Edward Bach, leur mode d’action… en soulignant le fait qu’elles
ne peuvent représenter aucun danger. Gardez à l’esprit que vous serez uniquement utile le temps
que la personne trouve son autonomie dans l’utilisation des fleurs.
Soignez votre façon de vous adresser à votre interlocuteur. C’est en effet une spécificité du
dialogue lors d’un conseil en Fleurs de Bach : selon la fleur que nous évoque notre interlocuteur, on
peut adapter notre discours de manière à communiquer avec lui de manière optimale.
 Une brève présentation
Les fleurs de Bach sont des élixirs destinés à rétablir l’harmonie émotionnelle. Ce sont 38 fleurs
découvertes par un célèbre médecin anglais au début du 20e siècle. Bactériologiste, puis
homéopathe, il était convaincu par la dimension holistique de la santé, du lien entre le corps et le
mental. À leur contact dans la nature, il a senti que ces fleurs avaient des propriétés
exceptionnelles, et qu’elles pouvaient nous transmettre leurs vibrations en étant infusées.
On considère qu’à chaque état émotionnel correspond une fleur qui peut nous aider. Elle peut
permettre de sortir d’une négativité, d’un blocage, de développer le côté positif d’un état d’esprit.
Par exemple, si vous avez tendance à être impatient, vous avez conscience des rythmes qui
diffèrent du vôtre et vous avez en vous un grand potentiel pour la patience et la tolérance.
La fleur adéquate, en l’occurrence l’Impatiens, va vous aider à ressentir cela et à ne plus vous laisser
envahir par le stress et les conséquences physiques qu’il implique. Au contraire, vous serez libre de

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faire ce qui vous correspond vraiment, sans être détourné de votre vraie personnalité et finalement
de votre mission sur Terre par des blocages indésirables.
Pour comprendre quelle fleur peut vous aider à retrouver cette authenticité, nous allons donc
essayer de voir ce qui, dans votre vie actuelle, vous trouble et vous cause de petits ou de grands
problèmes. Vous n’êtes pas responsable de tout ce qui vous arrive, mais vous verrez que vous avez
malgré tout un rôle à jouer dans la façon de vivre chaque événement.
Mon rôle, c’est de vous écouter, et d’échanger avec vous pour vous aider à clarifier et mettre des
mots sur vos émotions. Mon rôle se limite à cela : ce ne sera pas de diagnostiquer une quelconque
maladie, ou d’être pour vous autre chose qu’une oreille bienveillante, un simple conseiller.
Au terme de notre heure passée ensemble, en fonction de votre histoire, j’aurai quelques indices
sur le profil floral qui vous correspond : je pourrai vous conseiller un ou plusieurs élixirs floraux et
nous en discuterons ensemble. Vous pourrez alors, si vous le souhaitez, commencer une thérapie
florale, de trois semaines minimum : c’est la durée conseillée.
Les fleurs sont infusées dans de l’eau de source, et vous prendrez quelques gouttes de cette
infusion. Le produit que vous utiliserez est sans aucun danger, ne provoque aucune allergie ni
addiction, ne comporte pas de risque de surdose, et peut être arrêté à tout moment si vous ne
souhaitez pas poursuivre la thérapie.

L’importance du présent
Dans l’exploration des émotions, il s’agit de rester dans le présent. Si les zones d’ombre
émotionnelles ne sont pas abordées spontanément par le « patient », il n’est pas question de
trancher dans l’oignon, mais de s’adresser à ce qui dysfonctionne aujourd’hui.
Si la personne n’adresse pas spontanément son problème, voici quelques questions à lui poser lors
du premier entretien. Vous pouvez également utiliser ces questions en auto-analyse. Servez-vous
du deuxième module ou de vos propres fiches pour revoir les caractéristiques et vérifier que vous
pensez bien aux bonnes fleurs.
 Les questions clés :

Êtes-vous confronté(e) à un problème aujourd’hui ? Avez-vous une problématique à résoudre ?

Quelles émotions vivez-vous en ce moment ?
Comment ressentez-vous ce qui vous arrive ?
Comment réagissez-vous à ce que vous vivez ?
Notez les fleurs que les réponses évoquent. Vous pouvez ensuite affiner cette découverte en allant
plus loin :
Quelles sont les qualités que vous souhaitez développer dans votre personnalité ?
Une ou plusieurs fleurs vous viendront de nouveau à l’esprit. Peut-être que ce seront les mêmes
que les premières, peut-être de nouvelles fleurs se révèleront.

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 Les questions complémentaires :

Cette situation que vous vivez aujourd’hui est-elle récente ou installée ?

Êtes-vous affecté(e) dans votre vie familiale, sociale, professionnelle ?
Êtes-vous affecté(e) physiquement ?

À l’issue de l’entretien
À l’issue de l’entretien a lieu la recommandation de la ou des fleurs. Vous aurez à peu près toutes
les cartes en main pour déterminer une première marche à suivre, un premier essai avec les fleurs.
Cet exercice s’organise autour de trois éléments essentiels :
 L’expertise : vous faites le point sur ce que vous avez entendu, et choisissez les fleurs en
fonction de l’histoire qui vous a été confiée. Au fur et à mesure du rendez-vous, vous aurez
l’occasion de faire des hypothèses, et de les confirmer ou de les remplacer par de nouvelles.
Mais pour choisir définitivement la ou les fleurs à recommander, plusieurs difficultés
peuvent se poser, par exemple :
Trop de fleurs viennent à l’esprit : en réfléchissant bien, ensemble, il est possible de déterminer
quelle fleur correspond au blocage du moment. Pour deux états qui se ressemblent, il peut être
utile de se référer au troisième module de cette formation, il permet de distinguer les blocages
qui semblent similaires. Parfois, un profil peut aussi être intimement lié à un autre. Par
exemple : « Je n’arrive pas à avancer dans mon objectif, commencer à y travailler me paraît une
montagne (Hornbeam) » ou alors « Je n’arrive pas à avancer, car j’ai toujours manqué d’un but
précis (Wild Oat). » C’est en déterminant, par la discussion, ce qui représente le véritable
problème du moment, que l’on fera un choix réfléchi. Par exemple, on privilégiera Hornbeam si
l’objectif recherché est important pour la personne, malgré le flou qui entoure sa vie en général.
Aucun profil floral ne semble correspondre à la problématique. Cette fois-ci, c’est en remontant
le fil du problème, avec le renfort de « pourquoi » et de « comment », que l’on parviendra à
remonter jusqu’à une fleur.
Un écueil à éviter : interpréter à partir d’une situation qui vous est personnelle, surtout si c’est par
manque d’information. C’est un processus différent du sentiment d’empathie. Mieux vaut s’en tenir
aux informations concrètes dont on dispose.
 L’intuition : à vos propres conclusions, vous pouvez joindre une démarche intuitive, où la
personne « trouve » ses fleurs. Dans ce cas-là, il peut être intéressant de lui présenter les
petits flacons ou les photographies imprimées des fleurs, et collées par exemple sur du
papier cartonné. Les flacons ou les photographies peuvent être présentés « en face » ou à
l’aveugle, selon que l’on veuille plus ou moins solliciter l’intuition de la personne. Dans tous
les cas, il conviendra de comparer les résultats de la « pioche » aux notes prises lors de
l’entretien et à l’expertise préalable. Les fleurs piochées peuvent révéler des sujets
inabordés, ou éviter d’oublier que telle ou telle fleur a pu avoir un rôle à jouer dans l’état
actuel de la personne. À vous de déterminer, ensemble, la cohérence de cette découverte.
On peut très bien s’en tenir aux conclusions tirées préalablement…

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 La non-ingérence : Si après avoir expliqué votre choix et décrit le potentiel positif de la ou

des fleur(s) que vous aurez choisie(s), la personne exprime son désaccord quant à ce choix,
voire refuse de prendre une quintessence, ne l’imposez surtout pas. Par contre, gardez ce
choix dans vos notes pour éventuellement y revenir plus tard, et le proposer à nouveau.

Choisir plusieurs fleurs

Pour la préparation d’un mélange personnalisé, on considère en général que le nombre de sept
fleurs est le maximum souhaitable. Une prise d’un trop grand nombre de quintessences peut être
contre-productive. Nous verrons dans un prochain module comment élaborer facilement ce
mélange personnalisé.

Expliquer son choix

Au moment de donner le conseil, il faudra faire attention à la manière de dire au « patient » ce
qu’on lui recommande. En effet, il n’est pas toujours productif d’expliquer avec précision pourquoi
une fleur a été choisie ou d’être trop brusque dans le choix de ses mots. Certains blocages peuvent
être difficiles à reconnaître et à assumer, d’autant plus s’ils sont présentés, négativement, comme
des défauts.
Bien qu’il y ait de fortes chances pour que votre interlocuteur découvre par lui-même la fiche
d’identité des fleurs que vous lui avez recommandées, il est cependant utile de lui parler avec
délicatesse, par exemple en réutilisant les mots avec lesquels son problème a été discuté
auparavant.
Il est primordial de s’exprimer avec tact et d’orienter le discours vers le potentiel positif du
traitement. Après tout, les défauts dont on parle ont tous leur pôle positif, sont tous porteurs d’un
grand potentiel. Le potentiel est ici un véritable mot-clé.
Ainsi, rien n’est complètement négatif dans un dysfonctionnement. Ce que sa découverte permet
de développer, ce ne sont pas les qualités des autres, à qui il faudrait ressembler : ce sont ses
qualités à soi, ce qui est extrêmement valorisant. Pour vous aider, pensez donc en expliquant votre
choix, à parler de l’objectif recherché, plutôt que du défaut à rééquilibrer.

Prendre en compte un autre traitement

Les Fleurs de Bach peuvent être prescrites en parallèle de n’importe quel autre traitement. Que ce
soit un traitement prescrit par un autre praticien ou par vous-même, bien entendu. De même,
demander quel autre traitement prend la personne peut aider à comprendre ses troubles et
influencer la recommandation d’une Fleur de Bach… mais pas nécessairement.
En parallèle des fleurs, est-il d’usage de prescrire un régime alimentaire ? Le praticien peut
recommander un régime alimentaire dans le cadre de sa pratique, mais aucun régime alimentaire
particulier n’est considéré comme un adjuvant aux fleurs ou contradictoire à la prise des fleurs.
Aucun aliment n’est contre-indiqué à la prise des fleurs, de même qu’aucun élixir n’est associé à un

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régime particulier. Et évidemment, les élixirs n’ont pas de qualités nutritives et ne remplacent pas
un régime alimentaire équilibré.

Entre deux entretiens

Trois semaines est le temps considéré utile pour laisser le temps aux fleurs d’agir. Pendant ce
temps, le travail peut continuer du côté du « patient », avec un journal d’observation que vous lui
aurez recommandé de tenir. Ce journal, un peu différent d’un journal intime, et plus court que
lorsqu’il s’agit de dérouler le contenu entier d’une journée, permet surtout de marquer les
changements et d’analyser l’évolution sur le long terme.
Si, au jour le jour, l’on ne voit que les « hauts » et les « bas », la relecture du journal par le patient
l’aidera à dégager une signification supérieure aux fluctuations de l’existence. Peut-être une
véritable direction se révèlera-t-elle également.
Que reporter dans ce journal ? Voici quelques pistes sur ce que l’on peut observer à la fin de sa
journée :
Noter les changements ressentis en soi, ou au contraire la continuité, la stagnation ressentie.
Repérer les améliorations ou les dégradations, qui ont lieu dans nos émotions et dans notre
existence.
Noter le niveau d’énergie global de chaque jour : l’énergie physique et l’énergie mentale.
Observer les sentiments de liberté d’action, de confiance en soi, comparés aux sensations d’être
enfermé, bloqué, introverti, défaitiste.
Reporter son humeur : son calme ou son irritabilité, sa positivité ou négativité, son optimisme
ou pessimisme.
Comment envisage-t-on les choses ? Avec force et courage, ou plutôt dans une attitude
d’abandon ? Avec une vision élargie des choses, ou sans aucune perspective ?
Se demander : de quoi semble-t-il que j’ai besoin aujourd’hui ?
Analyser son attitude par rapport aux autres : suis-je plutôt dans l’indifférence ou dans la
sollicitude ? Quelle indépendance, quelle autonomie, ou au contraire, quelle dépendance ai-je
vis-à-vis d’autrui ?
Quelle est ma clarté mentale ? Suis-je complètement lucide, ou mes pensées sont-elles
embrouillées, difficiles à démêler ?
Noter les événements récents concrets, et les réactions, extérieures ou ressenties.
Quel(s) choix ai-je eu à faire aujourd’hui ? Qu’ai-je mis en œuvre pour prendre des décisions ?
Il est également pertinent de transcrire les rêves, et notamment les éléments marquants des
rêves, qui en général sont porteurs de forts symboles au moment de la prise de quintessences.

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En pratique
Et vous, où en êtes-vous de votre usage des Fleurs de Bach ? Si vous n’avez pas encore
commencé à tenir un journal d’observation des changements que vous expérimentez avec les
fleurs, il est temps de vous y mettre. Et si vous n’avez pas encore déterminé les quintessences
qu’il vous faut, servez-vous des outils de ce module (et des précédents) pour vous lancer. Il
n’est jamais trop tard pour commencer à écrire, d’autant plus que quand un mélange
personnalisé est terminé, peut-être d’autres fleurs pourraient-elles nous aider à résoudre de
nouveaux troubles irrésolus.
À ce stade de formation, il est également intéressant de vous plier au jeu de l’entretien. Mais
avant de prodiguer vos précieux conseils, jouez d’abord le rôle de la personne conseillée.
Dirigez-vous vers une personne de confiance, agréée ou non, qui témoigne d’une véritable
connaissance des fleurs. Vous pourrez alors, en plus de déterminer vos besoins si ce n’est déjà
fait, être témoin de la conduite d’un entretien en thérapie florale. Ne soyez pas en analyse du
comportement de votre conseiller au moment de l’entretien, vous aurez bien assez à faire lors
de votre dialogue, qui sera sincère. Par la suite, usez de votre mémoire pour vous rappeler la
manière dont votre conseiller s’est adressé à vous, les moyens qu’il a mis en œuvre, sa pratique
d’écoute. Avec un peu de chance, vous pourrez vous en inspirer. Notez également ce qui vous a
semblé « imparfait » :

La poursuite de l’accompagnement
Un second entretien peut être utile trois semaines après le premier, le temps de laisser agir les
premières fleurs recommandées. Il est bon, avant tout, de se renseigner pour savoir si les
quintessences ont été prises régulièrement. À ce moment-là, de nouvelles questions peuvent
émerger :
Elles peuvent concerner les effets que les quintessences semblent avoir eu sur le corps ou le
mental : nous verrons dans un prochain module quels effets concrets peuvent être escomptés,
quelles sont les réactions possibles. Peut-être votre interlocuteur se sentira-t-il « mieux » ou
« moins bien » que lors de votre premier entretien. Cela peut, ou non, être dû à la prise des
fleurs. Peut-être une quintessence peut-elle tarder avant de prouver son efficacité, ou peut-être
un trouble peut-il être trop profond pour être traité seulement par les fleurs. Parfois, trois
semaines ne seront pas suffisantes à un rééquilibrage profond. Il ne faut donc pas se
décourager, de nombreux changements peuvent déjà avoir eu lieu, malgré tout.
Les questions peuvent également concerner de nouveaux blocages apportés par les
événements de la vie, ou par la thérapie elle-même. Par exemple : « depuis notre dernier

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entretien, il s’est passé de nouvelles choses, j’ai été confronté(e) à de nouveaux problèmes… »,
ou « la dernière fois, je n’ai pas pensé à parler de telle problématique », ou même « Je ne
ressens plus cette émotion négative, mais à présent je suis gêné(e) par autre chose ».
Pour déterminer ce qu’a apporté la thérapie, il faut faire le point sur les changements qui ont été
observés, les mutations en cours… Votre interlocuteur vous rapportera ce qu’il a remarqué. Et vous-
même, bien sûr, remarquerez les éventuels changements dans sa personne et son langage corporel.
En général, c’est l’entourage de la personne qui remarque le mieux les changements qui ont eu lieu,
mais cet entourage n’en parle pas forcément.
Pour comprendre le nouvel état, il sera bien sûr très intéressant de connaître les nouvelles
conjonctures matérielles ayant interféré dans la vie émotionnelle de l’interlocuteur. Vous
découvrirez parfois de nouveaux besoins éventuels. Dans ce cas, étudiez à nouveau la pertinence
des fleurs qui avaient été choisies intuitivement, ou celles qui avaient été écartées. Leur présence a-
t-elle émergé ou ré-émergé ?
En deux ou trois entretiens, on peut creuser plus en profondeur, « peler l’oignon », cibler des fleurs
qui n’apparaissaient pas en premier lieu. L’émergence de nouvelles fleurs représente forcément
une progression vers des couches émotionnelles d’abord enfouies, aujourd’hui mises à jour.
Le moment sera sans doute venu de rechercher les blocages typiques, voire de déterminer une
fleur de type.
 Questions pour approfondir et trouver une « fleur de type »
Les questions clés :
En général, quelle est votre réaction lorsque quelque chose se passe mal ? Pensez à une
contrariété récente et décrivez votre réaction.
Piste d’analyse : on ne réagit pas de la même façon devant le stress au travail, par exemple… Un
individu Vine pourrait tout écraser sur son passage, tandis qu’un Mimulus serait celui qui
« s’écrase ».
Que souhaitez-vous modifier chez vous ?
Que souhaitez-vous modifier à l’état actuel des choses, à la manière dont certaines choses vous
arrivent ? (Pour pouvoir, par exemple, sortir d’un schéma de ce type : « à chaque fois que je fais
ça, il se passe ça », ou « à chaque fois qu’il m’arrive ça, je réagis comme cela… »)
Quel est votre véritable objectif ? Ou vos objectifs, s’ils sont plusieurs ?
Qu’est-ce qui vous empêche de les atteindre ?
Quelles sont les réactions négatives qui entravent votre parcours ?
Les questions complémentaires :
Quel est votre tempérament ? Quelle fleur vous parle le plus à la lecture de sa fiche d’identité ?
(À poser si la personne a accès aux fiches des fleurs).
Quel reproche - ou reproche caché - vous fait-on le plus souvent ? Au contraire, pour quelles
qualités êtes-vous apprécié(e) en général ?

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Qu’admirez-vous chez les autres ? Que ne pouvez-vous pas supporter chez les autres ?
Tout au long de cet accompagnement, partagez votre connaissance et votre compréhension des
fleurs, en ayant toujours bien en tête de ne pas insister sur les blocages de votre interlocuteur, mais
plutôt sur le caractère complexe des fleurs, dans tout leur dynamisme et leur potentialité.

Vous situer dans votre formation

Quel est votre objectif en tant que thérapeute ? Qu’est-ce qui vous motive à exercer cette
fonction ?

Qui pensez-vous pouvoir aider ? Des proches, de futurs clients ?

Comment pensez-vous que vous décririez maintenant les Fleurs de Bach et leurs effets à un
interlocuteur néophyte ?

Pratiquez, si vous le pouvez, ce nouveau savoir-faire de conseiller sur quelqu’un de votre

connaissance. Cette personne de bonne volonté aura beau être votre « cobaye », il faudra la traiter
avec le même tact que lorsque vous vous sentirez complètement formé. Vous pourrez faire le point
plus tard dans votre formation.

Avez-vous commencé votre journal ? Partagez ici un ou deux faits qui ont éventuellement ponctué
vos observations quotidiennes, et dont vous pensez qu’ils peuvent avoir un lien avec la thérapie
florale.

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