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Il était neuf-trente sur Christrnas Eve. Comme j’ai ouvert mon. porte
d’entrée et est sorti dehors j’ai senti immédiatement, et wittr un
éclaircissement. coeur, qu’il y avait eu un changement dans le temps.
Toute la semaine précédente. nous avions eu une pluie froide mince et
une brume qui gisait bas autour de la maison et. Pendant de
nombreuses années, mes esprits ont été excessivement affectés par le
temps. Mais maintenant, l’humidité et les brouillards avaient volé. loin
comme des voleurs dans la nuit" le ciel a été piqué avec des étoiles et.
la pleine lune bordée d’un halo de givre à l’étage, trois enfants ont
dormi. avec des bas attachés à leurs poteaux de lit. Il y avait quelque
chose dans l’air cette nuit-là. Que ma tranquillité d’esprit était sur le
point d’être perturbé, et des souvenirs. Je pensais être mort pour
toujours, je n’en avais naturellement aucune idée. Que je renoue avec
la terreur mortelle
d’esprit, aurait semblé à ce moment impossible. J’ai pris un dernier
regarde l’obscurité glaciale, soupira de joie, et entra dans l’heureux
Au bout de la pièce se trouvait l’arbre. Il y avait
allumés aux chandelles et drapés, et sous elle se trouvaient les cadeaux.
Il y avait
vases de chrysanthèmes blancs , et au centre de la salle une pyramide
de fruits dorés et un bol d’oranges plantées de clous de girofle,
parfum épicé remplissant l’air et se mêlant à la fumée de bois pour être
le
très arôme de Noël. Je me suis rendu compte que j’avais intemrpted le
d’autres dans une conversation animée. "Nous racontons des histoires
de fantômes - tout simplement

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chose pour la veille de Noël!" Et donc ils étaient - rivaliser avec l’autre
Pour ûell le plus honi, plus épine-froid conte. Ils vieux de la pierre qui
coule
les murs des châteaux inhabités et les ruines du monastère recouvert
de lierre au clair de lune,
des pièces intérieures verrouillées et des cachots secrets, des charniers
humides
et des cimetières envahis, des hurlements et des cris, des
gémissements et
sabordages C’était un sport, un jeu animé et inoffensif entre
jeunes, il n’y avait rien à tourmenter et Erouble moi, rien de
que je pourrais désapprouver. Je ne voulais pas paraître un rabat-joie,
vieux,
stodgy et sans imagination. J’ai tourné la tête pour qu’aucun d’eux
Et maintenant c’est ton tour. "Oh non? Je lui ai dit:
"Rien de moi." "Vous devez connaître au moins une histoire de
fantôme, tout le monde
Ah, oui, oui, en effet. Tout ce temps j’avais écouté
leurs inventions macabres, sinistres, la seule pensée qui avait été dans
mon
Et la seule chose que j’aurais pu dire était "Non, non, vous n’avez aucun
de vous toute idée. Tout cela est absurde, fantaisie, ce n’est pas comme
ça. Rien
si caillant, si becréfié et si grossier - pas si [...] si risible.

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La vérité est tout autre, et tout à fait plus terrible. "


Je vous ai déçu, ai-je dit. "Mais je n’ai pas d’histoire à raconter!" Et je
suis allé vite
de la chambre et de la maison. Je marchais dans une frénésie
d’agitation, mon
cœur battant, ma respiration courte. J’avais toujours su dans mon cœur
que
l’expérience ne me quitterait jamais, qu’il a été tissé dans mon très
fibres. Oui, j’ai eu une histoire, une vraie sûory, une histoire de hanter
et le mal, la peur
et la confusion, l’horreur et fagedy. Mais ce n’était pas une histoire à
raconter
autour de la fresque le soir de Noël.

Acteur (lecture d’une copie du manuscrit)


-- Certains disent que jamais la saison ne viendra
la naissance de notre Sauveur est célébrée,
Cet oiseau de l’aurore chante depuis longtemps.
Et ils disent qu’aucun esprit n’ose se répandre,
Les nuits sont saines, alors aucune planète ne frappe,
Aucune fée ne prend, ni la sorcière n’a le pouvoir de charmer

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Ce temps est si sacré et si gracieux.

Il était neuf heures et demie en ce réveillon de Noël. En quittant la


salle à
manger où nous venions de partager un premier repas de fête, et
avant de
rejoindre les miens désormais rassemblés au salon autour d’une belle
flambée, je m’arrêtai dans le long vestibule de La Moinerie, puis,
comme
souvent le soir, me dirigeai vers la porte, l’ouvris et sortis.

Acteur (lecture) Il était neuf-trente la veille de Noël.


Comme je traversais le long. hall d’entrée de ma
maison, sur mon chemin de la salle à manger, où nous.
Il venait de savourer le premier des joyeux repas festifs,
vers le salon et le feu autour duquel ma famille était
maintenant rassemblée. Je me suis arrêté, et puis,
comme je le fais souvent au cours d’une soirée, est allé.
à fte porte d’entrée, ouvert et est sorti.

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