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Écrire les éléments des sous‐ensembles obtenus par les opérations suivantes :
solutions
a. {3, 5, 7, 9, 11}
b. {7, 8, 9, 10, 11, 12}
c. {2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12}
d. {2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 12}
Intersection
a. {2, 4, 6}
b. ∅
c. {2, 3, 4, 5, 6}
d. ∅
e. {11}
Union
les éléments appartenant à la fois à A et à B ne sont inscrit qu'une seule fois dans le
nouveau sous‐ensemble.
solutions
Différence
solutions
SOLUTION
SOLUTION
SOLUTION
APPLICATION
Calculer la limite suivante :
SOLUTION
APPLICATION
SOLUTION
Sur l’intervalle ]−∞;−2[, on f(x)⩽–5. Par conséquent, sur cet intervalle, l’équation f(x)=0 ne
possède pas de soution.
La fonction f est continue et strictement croissante sur l’intervalle [−2;+∞[.
f(−2)=−8 et limx→+∞f(x)=5. Or 0∈]−8;5[.
Par conséquent, d’après le théorème de la bijection (ou corollaire du théorème des valeurs
intermédiaires) l’équation f(x)=0 possède une unique solution sur ]−2;+∞[.
Par conséquent, l’équation f(x)=0 ne possède qu’une seule solution sur R.
APPLICATION
SOLUTION
D’après le théorème de la bijection l’équation f(x)=0 possède une unique solution sur]−2;4[.
On déduit de cette étude que l’équation f(x)=0 possède donc deux solutions sur R (on a en
prime des intervalles dans lesquelles elles se trouvent).
APPLICATION
SOLUTION
Pour tout x∈] −∞ ; −3[∪] −3 ;5[, on a f(x)<1. L’équation f(x)=1 ne possède donc aucune
solution sur cette réunion d’intervalles.
L’étude précédente nous permet donc de dire que l’équation f(x)=1 possède deux solutions
sur R : −3 et un réel appartenant à ]5 ; +∞[.
APPLICATION
SOLUTION
APPLICATION
SOLUTION
APPLICATION
Etudier la continuité en f en x0 = 3
SOLUTION
APPLICATION
Considérons la fonction f définie en R par :
APPLICATION
Soit f définie en R par
APPLICATION
SOLUTION
APPLICATION
Déterminer les limites suivantes :
SOLUTION
APPLICATION
Calculer les limites suivantes
SOLUTION
APPLICATION
SOLUTION
Le numérateur et le dénominateur tendent vers +∞, il s’agit d’une forme indéterminée. Nous
allons transformer le numérateur :
APPLICATIONS : LES SUITES
APPLICATION :
Dans cet exercice toutes les récurrences devront être faites sans considérer qu’elles sont évidentes
; Soit (𝑢𝑛)𝑛≥0 la suite de nombres réels définie par 𝑢0∈]0,1] et par la relation de récurrence
SOLUTION :
1. Faisons un raisonnement par récurrence, 𝑢0∈]0,1] donc 𝑢0>0. Montrons que 𝑢𝑛>0 entraine que
𝑢𝑛+1>0.
2. Faisons un raisonnement par récurrence, 𝑢0∈[0,1] donc 𝑢0≤1. Montrons que 𝑢𝑛≤1 entraine que
𝑢𝑛+1≤1.
Dans cet exercice toutes les récurrences devront être faites sans considérer qu’elles sont évidentes
; Soit (𝑢𝑛)𝑛≥0 la suite de nombres réels définie par 𝑢0∈]1,2] et par la relation de récurrence
SOLUTION :
1. Faisons un raisonnement par récurrence, 𝑢0∈]1,2] donc 𝑢0≥1. Montrons que 𝑢𝑛>1 entraine que
𝑢𝑛+1>1.
Soient U0,𝑎 et 𝑏 trois réels. On considère la suite (𝑢𝑛)𝑛≥0 de nombres réels définie par 𝑢0 et la
relation de récurrence :
1. Comment appelle-t-on la suite (𝑢𝑛)𝑛≥0 lorsque 𝑎=1 ? Lorsque que 𝑏=0 et 𝑎≠1 ?
2. Exprimer 𝑢𝑛 dans les deux cas particulier de la question 1.
3. Dans le cas général, calculer 𝑢1,𝑢2 et 𝑢3 en fonction de 𝑢0,𝑎 et 𝑏.
SOLUTION
APPLICATION :
Et la donnée de 𝑢0
1. Montrer que si 𝑢0≤2 alors pour tout 𝑛≥0, 𝑢𝑛≤2 et que la suite est monotone.
2. Montrer que si 𝑢0≥2 alors pour tout 𝑛≥0, 𝑢𝑛≥2 et que la suite est monotone.
3. On pose 𝑣𝑛=𝑢𝑛−2. Montrer que la suite (𝑣𝑛) est une suite géométrique de raison ½ .
SOLUTION
3.
SOLUTION :