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DE L’ART ASILAIRE
Lydia Couet
Lydia Couet
1. Marcel Réja, L’Art chez les fous : le dessin, la prose, la poésie, Paris, Mercure de France, 1907.
2. Hans Prinzhorn, Bildnerei der Geisteskranken, Berlin, J. Springer, 1922 ; Expressions de la folie, Paris,
Gallimard, 1984.
3. Pour une étude détaillée de la vie et de la carrière d’Édouard Toulouse, voir l’ouvrage de Michel Huteau,
Psychologie, psychiatrie et société sous la Troisième République : la biocratie d’Édouard Toulouse (1865-
1947), Paris, L’Harmattan, 2002.
4. Allison Morehead, « The Musée de la folie, Collecting and exhibiting chez les fous », Journal of the
History of Collection, 2010, p. 1-27.
5. Auguste Armand Marie, « Anciens asiles et anciens traitements», Bulletin de la Société clinique de
médecine mentale, 20 décembre 1909, p. 348.
6. Pour plus d’informations sur Nicolae Vaschide, voir Michel Huteau, « Un météore de la psychologie
française : Nicolae Vaschide (1874-1907) », Bulletin de psychologie, n° 494, février 2008, p. 173-199.
16. Marcel Réja, « Art : à propos de théories », La Critique, 5 mars 1897, n° 49, p. 56-57.
17. Ibid.
18. Marcel Réja, « Symbolisme pictural. H. Heran – E. Munch – O. Redon », La Critique, 20 janvier 1900,
p. 9-11.
19. Marcel Réja, « Le baiser dans l’œuvre de Rodin », La Critique, 20 novembre 1900, p. 169-170.
20. Ibid.
21. Marcel Réja, « Ce qu’évoque son œuvre. Pour J. Valadon », La Plume, 15 février 1897, n° 188, p. 122.
22. Marcel Réja, « La danseuse », La Plume, 1er juin 1898, n° 219, p. 369-370.
23. Marcel Réja, « L’œuvre de Baric. Du point de vue social », La Plume, 1er décembre 1897, n° 207,
p. 764-765.
24. Marcel Réja, « Eugène Grasset », Eugène Grasset et son œuvre, numéro spécial de La Plume, vol. XI,
1900, p. 144-146.
25. Marcel Réja, « Victor Hugo… », La Plume, 26 février 1902 (n° spécial Victor Hugo), p. 294.
26. Marcel Réja, « Biegas sculpteur », La Plume, 15 août 1902, p. 998.
27. Marcel Réja, « La littérature des fous », La Revue universelle, n° 3, 1903, p. 129-133.
28. Paul Meunier et Nicolas Vaschide, « Le sentiment poétique et la poésie des aliénés poètes », La Plume,
n° 367-368, 1905, p. 194-200 ; n° 375, 1905, p. 679-686 ; n° 376, 1er août 1905, p. 740-744.
29. Paul Meunier et Nicolas Vaschide, « Le sentiment poétique et la poésie des aliénés poètes », art. cité,
p. 196.
30. Remy de Gourmont, « Le Mercure de France », Promenades littéraires, Paris, Mercure de France, 1912,
vol. 4, p. 81-92, ici p. 82.
31. Marcel Réja, La Vie héroïque, op. cit. ; Id., Ballets et variations, op. cit.
32. Marcel Réja, L’Art chez les fous : le dessin, la prose, la poésie, op. cit.
33. Marcel Réja, « La danse et l’art », Paris, Mercure de France, 1898.
34. Ibid.
35. Te Tanville, « Le Monde : un drame musical », Gil Blas, 8 janvier 1908, n° 10302, p. 2.
36. Maurice Monda, « Quelques souvenirs sur Mallarmé », Le Figaro : supplément littéraire du dimanche,
8 septembre 1923, n° 231, p. 1.
37. Gravure d’Henri Héran : « Les jours et les nuits », illustration hors texte, L’Ermitage, juillet
décembre 1898, vol. 17, non paginé.
38. Marcel Réja, « Symbolisme pictural. H. Héran – E. Munch – O. Redon », art. cité, p. 9.
39. Citation extraite de Stellan Ahlström & Torsten Eklund (éd.), Ögonvittnen. August Strindberg. Mannåar
och ålderdom, Stockholm, 1961, p. 137. Traduit et cité par Annie Bourguignon, « Marcel Réja et les
artistes scandinaves », dans Sylvain Briens (dir.), Cent ans d’études scandinaves, Stockholm, Kungliga
Vitterhetsakademien, 2012, p. 331-341.
40. Marcel Réja, « Souvenirs sur Strindberg, et lettres inédites, Strindberg à M. Réja », dans August
Strindberg, Inferno, Paris, Mercure de France, 1966.
41. Arne Eggum, « Munch tente de conquérir Paris (1896-1900) », dans Munch et la France, cat. expo.,
Paris, Réunion des musées nationaux, 1991, p. 203.
42. Ibid.
43. La gravure, datée de 1897, est actuellement conservée au Munch Museet d’Oslo et la peinture, accro-
chée au domicile de Marcel Réja à la fin des années 1940 demeure aujourd’hui introuvable. D’après Arne
Eggum, « Munch tente de conquérir Paris (1896-1900) », art. cité, p. 205.
44. Edvard Munch, Paul Herrmann et Paul Contard, 1897, huile sur toile, 54 x 73 cm, Vienne, Kunsthis-
torisches Museum.
45. Ibid.
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46. Oscar Schmitz, « Les vêpres de l’art », L’Ermitage, janvier-juin 1898, vol. 16, p. 207-218.
47. Il s’agit d’un fragment de L’autoportrait au bras de squelette, 1895, lithographie, Oslo, Munch Museet.
Il est reproduit dans Oscar Schmitz, « Les vêpres de l’art », art. cité. D’après Rodolphe Rapetti, « Munch
face à la crique française (1893-1905) », dans Munch et la France, op. cit., p. 30-31.
48. Annie Bourguignon, « Marcel Réja et les artistes scandinaves », art. cité et Rodolphe Rapetti, « Munch
face à la crique française (1893-1905) », art. cité, p. 30-31.
49. Edvard Munch, La Fleur d’amour, 1896, lithographie, 62 x 29 cm, Oslo, Munch Museet.
50. Edvard Munch conservait dans sa bibliothèque trois ouvrages dédicacés de Marcel Réja : La Vie
héroïque (1897), Ballets et variations (1898) et Au pays des miracles (1930). Je remercie Allison Morehead
et Annie Bourguignon pour ces informations.
51. Marcel Réja, « Art : à propos de théories », La Critique, 5 mars 1897, n° 49, p. 56-57.
52. Marcel Réja, « L’art malade : dessins de fous », La Revue universelle, 28 septembre 1901, p. 913-915
et p. 940-944.
53. Ibid., p. 913.
54. Marcel Réja, « La littérature des fous », La Revue universelle, n° 3, 1903, p. 129-133.
55. Les docteurs Paul Sérieux (1864-1947), Auguste Armand Marie (1865-1934), Marius Ameline, Édouard
Toulouse (1865-1947) et Jules-Bernard Luys (1828-1897).
56. Le début du xxe siècle est marqué par une multiplication des thèses de médecine et autres écrits s’inté-
ressant à la pathologie des hommes de génie, peu d’entre eux y échapperont : Maupassant, Dostoïevsky,
Flaubert, Nerval, Shakespeare, Hugo, Rousseau, Comte, Baudelaire, Musset, Molière, Poe, Balzac, Zola,
Hoffmann… Pour une bibliographie détaillée de ces écrits, voir Fréderic Gros, Création et folie, une histoire
du jugement psychiatrique, Paris, PUF, 1998, p. 202-210.
57. Cesare Lombroso, L’Homme de génie, Paris, F. Alcan, 1889 ; Édouard Toulouse, « La Névropathie de
Zola », Chronique médicale, 1902, p. 664-672.
59. Marcel Réja, L’Art chez les fous : le dessin, la prose, la poésie, op. cit., p. 95.
60. Le phénomène s’essoufflera dans les années 1920.
61. Le musée du Trocadéro a été créé en 1878 à l’occasion de l’Exposition universelle. Il tomba ensuite
rapidement à l’abandon. Poussiéreux, froid, étroit, mal entretenu, mal gardé, l’établissement devint la
cible de toutes les critiques. Guillaume Apollinaire fut l’un de ceux qui s’insurgea le plus violemment
contre le manque de considération accordé à ce musée avant d’être rejoint par les surréalistes. Bien que les
collections se furent considérablement enrichies au cours des années, faute de moyens, elles étaient entre-
posées dans des conditions déplorables et beaucoup d’entre elles furent dérobées. La salle océanienne dut
même être fermée au public de 1890 à 1910. Ce n’est qu’en 1928, lorsque Paul Rivet accéda au poste de
directeur, que le musée fut entièrement repensé et rénové. Les mises en scènes exotiques et décoratives
laissèrent alors place à des présentations relevant davantage de l’ethnographique et du scientifique.
62. Marcel Réja, L’Art chez les fous : le dessin, la prose, la poésie, op. cit., p. 97.
67. Marcel Réja, L’Art chez les fous : le dessin, la prose, la poésie, op. cit., p. 73.
68. Le terme « primitif » utilisé par Marcel Réja ne se réfère pas aux arts extra-européens (qualifiés de
« sauvages ») mais à l’art des « primitifs italiens ».
69. Marcel Réja, L’Art chez les fous : le dessin, la prose, la poésie, op. cit., p. 88.
70. Ibid., p. 87.
71. Ibid., p. 85.
72. Marcel Réja, « L’art malade : dessins de fous », art. cité, p. 943.
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73. Remy de Gourmont, « Causeries : Art et folie », La Dépêche de Toulouse, 18 décembre 1907, n° 14.
74. Gaston Danville (Armand Blocq), « Revue de la quinzaine : psychologie », Mercure de France, 1er juin
1908, n° 263, p. 510.
75. Jules Bois, « Revue des livres », Les Annales politiques et littéraires : revue populaire paraissant le
dimanche, 16 août 1908, n° 1312, p. 149.
76. « Au jour le jour », Le Journal des débats politiques et littéraires, 2 et 3 janvier 1908, n° 2, p. 1.
77. Frédéric Masson (de l’Académie française), « Derrière le masque », Le Gaulois, littéraire et politique,
8 janvier 1908, n° 11043, p. 1 ; Ph.-E. Glaser, « Petite chronique des lettres », Le Figaro, 14 février 1908,
n° 45, p. 4.