Boky Sujets Poly 1

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
D’ANTANANARIVO
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CONCOURS D’ENTREE EN PREM IERE ANNEE
RECUEIL DE SUJETS
M at ières :
Ø Chimie
Ø Cult ure générale
Ø Elect ricit é
Ø Français
Ø M at hémat ique
Ø Physique
Ø RDM
Ø Test psychot echnique
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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 1994-1995

ECOLE SUPERIEURE POLYTECHIQUE Option : TOUTES
Matière : CHIMIE
CONCOURS D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Durée : 02 heures
EXERCICE N°1
Au cours d’une transformation radioactive un noyau de radium ( ) expulse un noyau
d’Helium et de trouve transformé en un noyau de Radon (Rn)
1) Ecrire l’équation de la réaction nucléaire correspondante et déterminer le numéro atomique
ainsi que le nombre de masse du Radon
En dénombrant les scintillations produites par les particules α frappant un écran au sulfure
de Zinc on a trouvé que un (1) gramme de Radon libérait 13,8.1010 particules α par seconde.
D’autre part on a mesure la quantité d’Hélium produite par la désintégration de un gramme
de Radium 0,158 cm3 en un an (volume mesuré dans l’hélium est de 0,176 gramme par litre).
2) Définir le nombre d’AVOGADRO calculer sa valeur, la masse atomique de l’hélium étant
He=4.
3) Calculer l’énergie cinétique initiale d’une particule α expulsée avec une vitesse de 20000
Km/seconde.
4) Des mesures plus précises ont montré que :
Ra=226,0482u.m.a , Rn=222.0385u.m.a He=4,0039u.m.a.
Faire le bilan massique de la désintégration et conclure quant à l’énergie mise en jeu.
5) Un gramme de Radium est enfermé dans une enceinte . La période Radium est de 1590
années, celle du Radon également radioactivité est de 3,8 heures. Calculer la masse du Radin
une fois l’équilibre établie.
On donne :c=3.108 m/s.
EXERCICE N°2
a) la pyrite de Fer FeS2 guillée a l’air donne un solide et du gaz G que l’on précisera .Ce
gaz est très soluble dans l’eau et sonne la solution sulfureuse.
En présence de solution sulfureuse en excès l’ion ClO- est réduit à l’état Cl - . Et on voit
apparaître en même temps des ions SO2-.
b) En utilisant la théorie des réactions d’oxydo-réduction écrire et équilibrer la réaction
entre la solution sulfureuse et l’eau de jave NaClO ainsi que celle du gaz G avec
NaClO
c) Quel volume de NaCLO (0,1M) réagit exactement avec 200 ml de gaz G (0,1N) ? La
solution sulfurique récupérée parla réaction précédente peut être utilisée par la
préparation de ZnSO4 et CuSO4 nécessaire à la fabrication d’une pile Daniell on utilise le
2+ 2+
schéma suivant : Zn Zn Cu Cu
Lorsqu’on laisse cette pile débiter une certaine quantité de courant, on constate que la
masse de la plaque de Zn diminue tandis que celle de la plaque de Cu augmente
d) Expliquer ces phénomènes et calculer la f.e.m de la pile sachant que CCuSO4 = CZnSO4 =
1M .E°Cu/Cu2+=0,34 V et E°Zn/Zn2+= - 0,76V.Conclusion ?
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Matière : CHIMIE
EXERCICE N°1
Au cours d’une transformation radioactive, le noyau d’un élément A expulse un noyau
d’hélium et se trouve transformé en un noyau de radioélément B .Le noyau B émet ensuite
une radiation β - en se transformant en un noyau de radioélément C et le noyau d’hélium .Le
noyau de D émet aussi une radioactivité β - en se transformant en un noyau d’un élément E .
La désintégration du noyau de E s’accompagne d’une émission de radioactivité α et donne
un noyau de F.
1) Sachant que l’élément D a pour nombre de masse 214 et pour numéro atomique 83 :
a- Donner le nombre des neutrons de chacun des éléments A,B ,C,E et F .
b- Dire si l’élément F est stable ou non .Justifier votre réponse.
2) La période du radioélément D est de 20 minutes .En prenant No le nombre initial
d’atomes contenus dans 2,14 grammes de D à l’origine des temps t=0 ;
a- calculer ce nombre No d’atomes de D ainsi que le nombre d’atomes de D au
bout de 2 heures (pour 2,14 grammes d’échantillon de D).
b- Au bout de combien de temps restera-t-il un millionième du nombre initial No
d’atomes de D dans l’échantillon ?
3) Un noyau d’Hélium expulsé lors de ces transformations radioactives est formé par 2
protons et 2 neutrons et sa masse expérimentalement déterminée est de 4,0015 u.m.a , dire si
une énergie W = 20.1011 Joules est suffisante ou non pour détruire une mole de noyau
d’Hélium .Justifier votre réponse .
EXERCICE N°2
L’ion permanganate MnO4 - , en milieu acide ,oxyde l’ion ferreux à l’état d’ion ferrique Fe3+
,et est redoit à l’état d’ion manganeux Mn2+ .Au cours d’un dosage volumétrique , 10 cm3 de
solution aqueuse de sulfate ferreux FeSO4 sont totalement oxydées par 15 cm3 de solution de
permanganate de potassium KMnO4 decinormale.
1) Ecrire toutes les équations chimiques relatives à ce dosage.
2) Calculer la masse de sulfate ferreux cristallisé (FeSO4 , 7H2O)que l’on
a dissoute dans l’eau pure pour obtenir un litre de la solution ferreuse .
3) Calculer la masse de sulfate de manganèse formée à la fin du dosage
On donne : H=1, O=16, K=39 ,Mn=55.
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Matière : CHIMIE
EXERCICE No 1 (sur 5 points)

1) Ecrire l’équation complète symbolisée par :
( , ); ; ( , ); ; ( , );
2) Un élément radioactif a une période de 10mm.
Calculer sa constante de désintégration.
3) l’activité d’un échantillon de cet élément est de 180 dps.
a) Que sera-t-elle après une heure ?
b) quelle quantité d’énergie (en Joule et en Kcal) fournira la fusion de 2 moles de protons et
de 2 moles de neutrons en noyaux d’hélium ?
On donne : p=1,007825 g/mole ; n=1,008665 g/mole ; He=4,00260 ;
C=3.10-8 m/s
EXERCICE N°2(sur 8 points)

L’acide éthanoïque (CH3COOH) est une acide faible ; l’ion éthanoate (CH3COO - ) est sa base
conjuguée.
1) Définir les termes suivants :
a) Acide faible
b) Coefficient de dissociation ionique d’un acide faible.
2) Ecrire l’équation chimique traduisant le dissociation ionique de l’acide éthanoïque dans l’eau.
3) On dispose d’une solution d’acide éthanoïque de concentration molaire c=0,5 mole/l.
le pH de la solution est 2,52.
a) Calculer le coefficient de dissociation ionique de CH3COOH dans cette solution.
b) Calculer les concentrations molaires des espèces présentes dans la solution.
4) Déduire des résultats précédents le pKa du couple CH3COOH/CH3COO – 5) Calculer le pH d’une
solution obtenue par :
a) mélange de 50 cm3 de CH3COOH 0,1M et de 50cm3 de HC1 0,1M. (1 point)
b) mélange de 50 cm3 de CH3COOH 0,1M et de 100cm3 de HC1 0,1M. (1 point)
EXERCICE N°3(sur 7 points)

1) Déterminer le nombre d’oxydation de l’azote dans N2O4 et dans NO2- (1 point)
2) En considérant les couples d’oxydoréduction I 2/2I – et S4O62 -
a) Ecrire l’équation globale de l’oxydation du thiosulfate de sodium (Na 2S2O3) par l’iode
(I2).
b) Déterminer la normalité d’une solution 0,1 M de Na2S2O3
3) Il faut 12 ml d’une solution d’iode pour oxyder totalement 10 ml de solution 0,24 M de
Na2S2O3 en Na2S2O6 Quelle est la concentration molaire de la solution d’iode ?
4) Le potentiel redox normal de couple I2/2I- est de 0,54 V, quel est celui deux couple -
?
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Matière : CHIMIE
EXERCICE N°1
1. Quelle est, à température ambiante, la concentration en ions H+, présente dans l’eau pure. (1 point)
En déduire le pH de l’eau pure à cette même température (1 point)
2. La chaux éteinte Ca(OH)2 étant supposée être une base forte pour ses deux fonctions, calculer le pH
d’une solution contenant 10-4 mole de chaux éteinte dissoute par litre (2 points).
3. Soit une solution aqueuse de chlorure d’ammonium NH4Cl
a)Définir les espèces présentes dans la solution et écrire les réactions chimiques que les lient. (2
points)
b) Si on a une solution 0,1 M de NH4Cl, calculer ma fraction hydrolysées. On donne
Ka ( ) =5,6.10-10. Calculer le pH de cette solution. (2 points)
NB : les 3 questions sont indépendantes.
EXERCICE N°2
1) Ecrire la réaction élémentaire de réduction de l’ion Cr2O7- -en Cr3+ en milieu acide. (1 point)
2) Compléter la rection cuisante que a lieu en milieu basique
CrO42 + SO32 ---------- Cr(OH)4- + SO42- il faut 9 cm3 d’une solution décinormale de thiosulfate de
sodium Na2S2O3 pour réduire 10cm3 d’une solution d’iode. Quelle est la concentration en mole par
litre de la solution d’iode ? (3 points)
(c’est le system ‘S2O3- -/S4O6 - - ;I2/2I-)
NB : les questions 1- ,2- ,3- sont indépendantes.
EXERCICE N°3
On considère le butanol –2.
1. Ecrire sa formule, développée.(0,5 point)
a. A quelle classe d’alcool appartient-il ? (0,5point)
b. Donner les formules développées des deux autres isomères du butanol-2, ces deux isomères étant
tous deux de classes différentes. (1 point)
2. On réalise avec le butanol-2, l’expérience de la lampe sans flamme, c’est à dire, son oxydation
ménagée par l’oxygène de l’air en présence d’un catalyseur au fil de platine.
a. Ecrire l’équation de la réaction.(1 point)
b. Donner le nom du produit obtenu. (1 point)
3. On peut préparer un alcool par hydratation d’un alcène.
a. Quel alcène faut-il choisir pour n’obtenir que le butanol-2? (1 point)
b. Ecrire l’équation de la réaction. (1 point).
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Matière : CHIMIE
EXERCICE N°1
1- l’uranium peut subir une réaction de fission par choc avec un neutron en donnant
alors l’yttrium et l’iode , et en émettant d’autres neutrons .
a) Ecrire cette réaction nucléaire en précisant le nombre de neutrons émis.
b) Déterminer l ‘ énergie libéré en Joule par fission de 1 gramme d’uranium 235 .
2 – L’isotrope est radioactif. Il de désintègre en noyau de plomb 206 en émettant des

particules α et β selon la réaction :
-
206
82 Pb + x.α + y.β -
a) compléter cette réaction en déterminant les nombres x et y de particules émises.
b) pour une masse de 10 g d’uranium b238 à l’ origine, sachant que sa période
radioactive est de 4,6. 106, quelle masse de cet isotope restera-t-il après 1 milliard
d’année ?
On donne : = 235,044 g/mol ; = 94,945 g /mole ; =138 ,955
n= 1,0086 g/mol ; c= 3.108 m/s
NB les questions 1- et 2- sont indépendantes
EXERCICE N°2
On prépare trois solutions aqueuses :

- solutions d’acide sulfurique H2SO4, considéré comme un diacide fort, à ka concentration
de 10 –1 M.
- solution B de soude caustique NAOH à 5.10-2 M ;
- solution C d’acide benzoïque C6H5COOH à 10-1 M, acide faible dont la base conjuguée
est l’ion C6H5COO -
1- Déterminer la normalité acide et le pH de la solution A.
2- a) Ecrire la réaction de dissociation de l’acide benzoïque dans l’eau.
b) La fraction ionisée de l’acide benzoïque dans la solution C étant de 2,5 %, déterminer
le pH de cette solution.
- c) Déterminer les concentrations molaires de l’ion C6H5COO -
et de C6H5COOH non dissocié dans la solution C.
d) En déduire la valeur de la constante d’acidité Ka de l’acide benzoïque.
3-determiner le volume VB de solution B nécessaire pour obtenir le virage de l’indicateur
coloré lors du dosage d’un mélange de 10 ml de solution A et de 10 ml de solution C.
NB : les questions 1- ,2-, et 3- sont indépendantes
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EXERCICE N°3
Les cétones et aldéhydes ont pour formule brute générale CnH2nO ou n= 1,2,3.. indique le
nombre de carbone.
1-donner le nom générique des cétones à chine normale correspondant à n=6 .
2-pour n=5 donner les formules développées des cétones isomères possibles.
3-on considère le butene-2 : la coupure de la molécule de cet alcène au niveau de la double
liaison par oxydation à l’ozone et par action de l’eau conduit à un aldéhyde unique.
a)Ecrire la formule développée du butene-2
b) A quelle valeur de n correspond l’aldéhyde unique obtenu ? En déduire sa formule brute
et donner sa formule développée.
4-Une solution de méthanal CH2O est dosée par l’ion permanganate MnO4 - :le méthanal est
alors oxydé en CO2 tandis que MnO4 - est réduit en ion Mn2+.
a) écrire les équations en milieu acide correspondant à ces deux demi réactions .En déduire
l’équation de la réaction globale de ce dosage.
b) Sachant qu’il faut verser 24 ml d’une solution 2N de MnO4 - pour oxyder totalement 20 ml
de solution de CH2O, déterminer la concentration en mole par litre de cette solution de
méthanal .
NB : les questions 1- ,2- ,3-et 4- sont indépendantes.
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Matière : CHIMIE
Exercice 1
1. La désintégration de l’isotrope radioactif ℎ engendre le . Quelle est la
nature de cette émission radioactive ?
2. Le peut émettre des particules α et engendre le nucléide . Ecrire la
réaction nucléaire correspondante et dire si le nucléide est radioactif ou non en
justifiant la réponse.
3. L’élément plomb de numéro atomique 82 et de nombre de masse 206 peut résulter de
la transformation radioactive de l’isotrope radioactif quand ce dernier émet
successivement
7 particule α et 4 particules β- .Donner le nombre de neutrons du noyau de X.
4. La période radioactive du radon 222 est de 4.106 années. Calculer la masse de Radon
222 restante après 16 million d’année sachant qu’on part de 10g de Radon.
NB : les questions 1,2,3 et 4 sont indépendantes
EXERCICE N°2
On considère une solution aqueuse A d’acide chlorhydrique HCI de concentration molaire
10-1M et une solution aqueuse B DE SOUDE NaOH de concentration massique 4 g.l-1.
Calculer les pH respectifs de A et B, ainsi que le pH de chacune des solutions suivantes :
a) (25 cm 3 de la solution A) + (15 cm3 de B)
b) (25 cm 3 de la solution B) + (15 cm3 de A)
c) (25 cm 3 de la solution A) + (25 cm3 de B)
d) (25 cm3 de B) + (25 cm 3 de solution d’acide sulfurique H2SO4considere comme un acide
fort à la concentration massique de 9,81 g.l-1).
On donne H=1, O=16, Na=23, S=32
EXERCICE N°3
On considère la réaction chimique suivante :
K2Cr2O7 + FeSO4 + H2SO4 Cr2(SO4)3 + Fe2(SO4)3 + K2SO4 + H2O
1. Equilibrer cette réaction.
2. Calculer la masse de bichromate de potassium nécessaire pour préparer 250 cm 3 de
solution décimolaire de K2Cr2O7
3. Quel volume de solution de sulfate ferreux FeSO4 de concentration massique 91,2 g.l-1
est-il nécessaire pour réagir totalement avec 25 cm 3 de solution de K2Cr2O7
décimolaire?
4. Calculer la masse de sulfate ferreux + Fe2(SO4)3 que l’on peut obtenir en faisant réagir
25 cm3 de solution de bichromate de potassium de concentration 14,7 g.l-1 avec une
solution de sulfate ferreux suffisamment en excès.
On donne : couples Redox : (Cr2O7- / Cr3+ ; Fe3+/Fe2+)
K=39 ; Cr = 52 ; O = 16 ; Fe=56 ; S = 32
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Année Universitaire 2001-2002
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SESSION du 17-18 OCTOBRE 2001
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k e r CONCOURS ar D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Matière : CHIMIE
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CYCLE INGENIEUR Durée : 2(trois) heures

Documents non autorisés
Exercice 1 :
214
Dans la famille radioactive de l’uranium, on rencontre l’élément 84 P0 (isotope du polonium) qui
par deux désintégration successives, la première du types α, la seconde du type β devient un isotope du
Bismuth (Bu).L’élément intermédiaire est un isotope du plomb (Pb).
1- Ecrire les équations traduisant ces deux désintégrations et en déduire les deux isotopes Bi et Pb.
2- On observe que la deuxième désintégration s’accompagne d’une autre émission dangereuse pour
l’organisme humain. Préciser de quelle émission il s’agit et indiquer brièvement sa cause.
235 206
3- La famille de l’uranium débute à l’élément radioactif 92U et se termine à l’élément 82 Po
Quels sont les nombres de désintégrations α et de désintégration β- au cours de cette filiation ?
---------------------------------------------------------------------------------
Exercice 2 :
1- Pour fabrique du vinaigre on fait ruisseler du vin sur des copeaux de bois : on réalise ainsi l’oxydation
ménagée par le dioxygène de l’air, de l’éthanol en acide éthanol en acide éthanoïque. Ecrire les deux demi-
réactions et l’équation bilan globale.
2- On utilise un vin titrant 9°. Quelle masse d’acide obtient-on a partir de 100hl de ce vin ? Quel est le volume
d’air nécessaire à 20°C sous 101,3kPa ?
Données : dans 100cm3 d’une boisson alcoolisée titrant x degrés se trouvent xcm3 d’éthanol pur
Masse volumique de l’éthanol : 794g/l

air
Rapport molaire =5
O2
l’aire est supposée comme un gaz parfait
R=8,314S.I. C=12 O=16 H=1
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SESSION DU 01-02 OCTOBRE 2003
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
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Options : TOUTES
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k e r CONCOURS ar D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Matière : CHIMIE
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Exercice 01
On mélange 10cm3 d’une solution aqueuse d’ammoniac de concentration 0,2 mol/ litre et 30
cm3 d’une solution aqueuse de chlorure d’ammonium de concentration 0,1mol I litre .On
obtient une solution de pH=9.
1°) Faire le recensement qualitatif et quantitatif (en mol/litre) des espèces chimiques contenues
dans la solution.
2°) Calculer le pKA du couple HN 4+ / NH 3
Exercice 02
Un alcool A a pour formule :
R’ C CH2OH
H
R et R’ sont des groupes alkyle CnH2n+1
1°) Quelle est la classe de cet alcool?
On effectue une oxydation de ce alcool par l’ion Cr2 O72− en milieu acide .Ecrire la demi-équation
de réduction de l’ion Cr2 O72− en ion Cr3+.Ecrire les demi-équations d’oxydation ménagée puis
d’oxydation poussée de l’alcool A

Ecrire l’équation équilibrée d’oxydation de l’alcool dans le cas ou la solution oxydante est en
excès.
2°) Pour déterminer la formule complète de l’alcool précédent, On oxyde avec un excès d’oxydant
Cr2 O72− une masse m=15g de A. On obtient un composé B ; le rendement est quantitatif. Le
composé B est traite par une solution d’hydroxyde de sodium de concentration 2mol/ litre.
L’équivalence acido-basique est obtenue lorsque l‘on a verse Vb=852cm3 de solution basique.
− Quelle est la masse molaire de l’alcool A?
− Quelle est la formule développée de l’alcool A ? Quel est son nom
Masses atomiques en g/mol
Exercice 03
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SESSION du 02-03 Novembre 2004
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LES QUATRE EXERCICES SONT OBLIGATOIRES
Exercice 1 : (5points)
La désintégration d’un élément radioactif A se traduit par les transformations radioactives successives schématisée
α β− α β− α 2β − 206
comme suit : A → B → C → D → E 
→ F → 82 Pb
Donner le nombre de neutron de l’élément A
Exercice 2 : (5points)
On considère les couples redox suivants : MnO4− / Mn 22 + ; Cl 2 / Cl − ; NO3− / NO 2 ; CO 2 / C 2 O 42 − ; Cu 2+ / Cu . En
utilisant les couples, compléter les relations suivantes:
1- KMnO4 + HCl 
→
2- HNO 3 + Cu 
→
3- KMnO4 + H 2 C 2 O4 
→
On donne les solutions aqueuses suivantes solution de KMnO4 de concentration 79gmol-1 (so1ution A), solution de
(solution solution de H2C2O4 9gl-1 (solution C)
1- Calculer la normalité de la solution oxydante A:
2- Calcula la normalité de la solution réductrice B sachant que pour oxyder complètement 50cm3 de cette solution,
il faut utiliser 100cm3 de la solution A.
3- Calculer alors le volume de CI2 dégagé dans les CNTP
4- Calculer le volume de solution A nécessaire pour oxyder totalement 100cm3 de la solution C.
On donne : K=39, Mn=55, O=16, Cl=35,5
Exercice 3 : (5 points)
On considère les solutions aqueuses suivantes :
− solution A : solution d’acide chlorhydrique 0,3M de volume VA=10cm3
− solution B : solution d’acide sulfurique de concentration massique 19,6gl-1, de volume. VB=10cm3
− solution C : solution de soude. de normalité 0,5N
1- Donner le pH de chacune de ces solutions
2- Calculer le volume de C nécessaire pour neutraliser totalement la solution A
3- On mélange A et B. Calculer le pH du mélange
4- le volume de C nécessaire pour neutraliser le mélange A + B
On donne H=1, O=16, S=32
Exercice 4 : les parties A et B sont indépendantes (5 points)

Partie A :
On réalise la combustion de 0,5g d’un composé de formule brute CxHyO. On obtient 0,6g d’eau et 1,1g de
dioxyde de carbone.
Déterminer sa fornn.ile brute
Trouver les formules semi- développées possibles
Partie B :
On fait bruler 2g de propanol-1
a) Ecrire l’équation bilan de la réaction
b) Déterminer le volume d’air nécessaire a la combustion
c) Quel volume de dioxyde de carbone se dégage-t-il ?
Les volumes gazeux sont pris dans les CNTP
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Matière : CHIMIE
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Options : TOUTES
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE Matière : CHIMIE
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k e r CONCOURS ar D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Durée : 2(trois) heures
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CYCLE INGENIEUR Documents non autorisés
Les quatre O4 exercices sont obligatoire

EXERCICE 1 : Le bismuth Bi est radioactif et émetteur β −
210
83
1. Ecrire la réaction de désintégration nucléaire correspondante.
Parmi les noyaux suivants, quel est celui qui est obtenu au cours de la désintégration?
82Pb; 83Bi; 84Po; 85 Rn; 87Fo
2. Quelle est en Me\? l’énergie libérée au cours de cette réaction?
210 209
83 Bi : 210,050877u 82 Pb : 209,046859u. Electron : 0,000549u
210 206
84 Po : 210,049620u 82 Pb : 206,039957u u=1,66. 10-27 kg
−19
Charge de l’électron en valeur absolue : q = 1,6.10 C
Vitesse de la1umiere: c=3.108 m/s
210 210
3. On part d’un échantillon de 83 Bi de masse m0 = 2,10 g. Quelle masse de 83 Bi reste-t-il au bout de
20 jours si la période de demi-vie de ce radionucléide est de 5 Jours ?
EXERCICE 2 :
1. Calculer le pH de chacune des solutions aqueuses suivantes:
a) solution 0.05 N d’acide chlorhydrique mol/litre)
b) solution centinormale N/1OO de soude.
c) 25 ml de solution de NaOH 0,150 M
d) 25 ml de solution de NaOH 0,150 M + 5 ml d‘une solution de Hcl 0,100M
2. Dans 20 cm3 d’eau de chaux colorée eu rouge par la phtaléine, on ‘erse progressivement une solution
décinormale (N/10) d‘acide chlorhydrique.
3. Sachant qu’il faut verser 8 cm3 de solution d’acide pour obtenir (à une goutte près) la décoloration de
la phtaléine, calculer :
a) la normalité de l’eau de chaux
b) le nombre de mole de Ca(OH)2 par litre
c) la masse d’hydroxyde de calcium Ca(OH), dissoute dans un litre de cette- eau de chaux.
On donne : M(H) =1,0 g ; M(O) = 16,0 g.mol-1; N(Na) 23,0 g .mol-1;
M(Cl) =35,5 g .mol-1 M(Ca) = 40,1g .mol-1 M (Ca(OH).) 74,1 g .mol-1
EXERCICE 3 : On veut préparer un litre de mononoxyde d’azote (dans tes conditions pour lesquelles le volume
molaire vaut 24 litres) en attaquant du cuivre par une solution aqueuse diluée d’acide nitrique.
1- Quel est le nombre d’oxydation attribué à l ‘azote dans les molécules et ion suivant:
NO, NO2, HNO3, et NO 3− ?
2- Les ions nitrates N0 en présence d’ions H oxydent le cuivre à 1’ état d’ion cuivrique Cu2 simultanément ils
sont réduits à l’état de monoxyde d’azote NO:
a) Ecrire les équations des réactions élémentaires de réduction et d’oxydation,
b) Ecrire l’équation qui représente le bilan de l’oxyde-réduction en appliquant la loi de conservation des
atomes et la loi de conservation des charges électriques.
c) En déduire l’équation globale de la réduction sachant que l’attaque du cuivre par une solution d’acide
nitrique donne du nitrate cuivrique Cu(N03)2 dissous.
3- Calculer la masse de cuivre consommée
4- Quelle précaution faut-il prendre pour recueillir ce gaz ?
: M(Cu) 63)5 g/moi
EXERCICE 4 : On considère les monoalcools saturés de formule C4H10O.

1- Donner les formules développeés des différents alcools isomères correspondant à CJ{100.
2- Préciser les noms et la classe des monoalcools.
3- On peut préparer un alcool par hydratation d’un alcène :
a) Quel alcène faut-il choisir pour n’obtenir que le butanol-2?
b) Ecrire l’équation de la réaction.
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CULTURE GENERALE
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ELECTRICITE
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Année Universitaire 1998 - 1999
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Matière : ELECTRICITE
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Durée : 1 heure
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Option : TEM
EXERCICE 1
Un circuit électrique comprend un générateur de force électromotrice E=20V, de résistance
r=1Ω, Un moteur de résistance r’=2Ω et une résistances R=7Ω placés en série.
1. Quelle est l’intensité du courant dans le circuit lorsque le moteur ne tourne pas ?
2. Calculer l’énergie thermique dissipée par effet Joule dans le moteur bloqué au bout de
10mn
3. On laisse le moteur tourner. Quand la vitesse de régime est atteinte, l’intensité du
courant qui le traverse est 1A
a). Calculer la force électromotrice du moteur.
b). Calculer la puissance utile.
c). Calculer la tension entre ses bornes.
EXERCICE 2
Une lampe à incandescence porte les indications suivantes : 220V - 60W. Ces valeurs
présentent la tension que l’on
doit appliquer à la lampe pour D
un éclairage normal (tension
nominale) et la puissance
qu’absorbe la lampe dans ce RL R0
G
cas (puissance nominale).
1). Calculer la résistance RL IAD i
du filament de la lampe à
chaud à l’aide des valeurs A B
IAB C
nominales précédentes.
2). On désire mesurer la
résistance du filament çà
froid par la méthode du
pont à fil. E, r R0
E : Electromoteur
générateur de tension E=2V de résistance interne négligeable.
R0 : Résistance étalon =20Ω
Segment AB est un fil calibré de résistance R=2Ω
Longueur AB=1m
En déplaçant le curseur C, on constate que le courant i
Le galvanomètre G s’annule pour AC=80 cm
Calculer dans ces conditions :
a. La résistance R’L du filament ;
b. L’intensité du courant dans le fil AB ;
c. L’intensité du courant dans le filament R’L et dans R0 ;
2. Calculer la puissance dissipée par la lampe dans ces conditions
EXERCICE 3
Une bobine soumise à une tension continue de 3.9 V est traversée par un courant de 30 mA
Soumise à une tension sinusoïdale de valeur efficace 5.4 V et de fréquence 50 Hz, l’intensité
efficace est de 30 mA.
1°) Calculer la résistance r et l’inductance L de cette bobine.
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2°) a°) Donner l’expression de l’intensité instantanée, la tension étant prise comme
référence.
b°) A la même tension, quelle serait l’intensité efficace du courant pour une fréquence
f = 10 KHz ?
3°) Cette bobine est ensuite montée ensuite avec une résistance R inconnue et un
condensateur de capacité inconnue. On applique une tension sinusoïdale u de valeur efficace
6V et de fréquence 50Hz à ce dipôle. Un voltmètre indique les tensions efficaces suivantes :
U1 = 4.70 V pour la bobine
U2 = 8.00 V pour le condensateur
U3 = 0.26 V pour la résistance
a°) Calculer la capacité du condensateur et la résistance R. Le dipôle est-il inductif ou
capacitif ?
b°) Donner l’expression de l’intensité instantanée, la tension u appliquée étant prise comme
référence.
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Matière : ELECTRICITE
Durée : 1 heure
Option : TEM
EXERCICE N°1 :
Soit un circuit constitué par l’oscillation en série d’une résistance R. d’une bobine de
résistance r et d’inductance L et d’un condensateur de capacité c=2 F. Il est alimenté par un
générateur basses fréquences fournissant une tension sinusoïdale de fréquence f et
d’amplitude Vm. Un ampèremètre est inséré dans le circuit pour mesurer l’intensité du
courant.
1.a) Faire un schéma de montage.
b) A l’aide d’un oscillographe on a obtenu les sinusoïdes de tension S1 et S2 dont les
variations en fonction du temps ont été relevées. Le temps t =0 (milliseconde) est choisie
arbitrairement.
T(ms) 0 0,5 1 1,5 2 2,5 3 3,5 4 4,5
V(volts) 6 4,59 1,05 -2,98 -5,63 -5,65 -3,02 1,01 4,57 6
(S1)
V(volts) _ 0,268 0,35 0,27 0,06 -0,174 -0,328 -0,32 -1,76 0,06
(S2)
Quelle est la courbe correspondant à v(t) - tension aux bornes du générateur - et celle
correspondant à vr(t) - aux bornes de la résistance R ? Justifiez votre réponse.
b) Donner une valeur approximative de la fréquence des oscillations.
c) Evaluer l’amplitude de v(t) ainsi que celle de vr(t).
d) Donner le déphasage entre v(t) et vr(t) . Indiquer si c’est un retard ou une avance.
2. L’ampèremètre indique une valeur de 25,5mA
a) Que signifie cette valeur ?
b) en déduire la valeur de R.
c) Déterminer l’impédance du circuit.
d) En déduire la résistance r de la bobine, puis son inductance L.
EXERCICE 2 :
Pour le circuit de la figure :
1) en utilisant le théorème de superposition
a) Calculer le courant dans la branche CD (directe) lorsque K est fermer.
b) Calculer VCD lorsque K est ouvert.
2) calculer les intensités des courants dans les branches et les différentes tensions aux
nœuds pour K ouvert
on donne : R1=2ω ; R2=4 ; R3=2 ; R4=4 ; générateur de tension : 6V ; générateur de
courant 2A.
RAPPEL :théorème de superposions : lorsque dans un réseau de conducteur on superpose
plusieurs systèmes de f.e.m et f.c.e.m l’intensité du courant dans chaque branche est égale
à la somme des intensités dues à chacun des systèmes agissant seul
R1
B C
A
R2 R3
+ R4
K
6V 2A
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EXERCICE 3
On se propose d’utiliser un demi-anneau ( 1 cercle ) d’un conducteur comme élément
2
de chauffage d’un système. (par exemple carburateur d’un moteur pendant l’hiver ).
Les caractéristiques de l’anneau sont:
Rayon interne : R1 - rayon externe : R2 -épaisseur : e
résistivité : ρ - surface latérale : S -masse : m
Chaleur spécifique : c
1. Calculer la résistivité R du demi-anneau en fonction de ses caractéristiques.
2. Déterminer la valeur optimale de R pour laquelle la puissance dégagée par
effet joule (dans l’anneau ) est maximale, lorsque l’anneau est branché à un
générateur de tension V et de résistance interne r. Donner des
recommandations quant au choix du matériau à utiliser.
3. Donner l’expression de cette puissance maximale.
4. Une partie de l’énergie dQ reçue par le conducteur (isolé) est perdue pendant le
temps dt suivant l’équation : dQ=kS(T-Ta)dt
K est une constante de proportionnalité
Ta est la température ambiante du milieu où le conducteur est placé.
Déterminer T=f(t) et montrer que T tend vers une température d’équilibre. Faire des
remarques pertinentes.
Indication : L’énergie nécessaire pour élever de dT la température d’une masse m est mcdT.
R1
B C
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R2 R3
+ R4
6V 2A K
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Année Universitaire 94/95
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Matière : FRANÇAIS
Durée : 2 heures
Traiter OBLIGATOIREMENT les deux questions suivantes :

I. Voici un texte :
MOINS DE SOUFRE A GARDANNE
La plus haute cheminée d’Europe, celle d’une centrale électrique thermique située
à Gardanne ( Bouches – du – Rhône ) , ne provoquera pas de catastrophe écologique . Telle
est la conclusion d’un rapport publié récemment par l’Académie des sciences, après deux ans
d’investigation. Ce document de trois cents devrait mettre fin à une controverse sur les risques
de pollution crées par cette centrale construite en 1982. Elle est en effet alimentée par le
charbon local qui possède une forte teneur en soufre (environ 5%), et qui dégage en se
consumant du dioxyde de soufre (SO2) , produit toxique pour les poumons. La hauteur de la
cheminée – trois cents mètres – garantit une meilleure dispersion des pollutions sur une très
vaste zone géographique. Cependant, plus de 600 tonnes de dioxyde de soufre par jour, soit
plus de double des rejets industriels jusqu’alors mesurés dans la région étaient ainsi évacués.
Les élus locaux ont protesté. Et obtenu du gouvernement qui l’ordonne la réduction
d’émission de SO2 à 250 tonnes. L’exploitation du gisement de Gardanne étant l’une des
seules qui soit encore rentable actuellement en France, le centre d’étude et de recherche des
charbonnages de France et de houillères de Provence ont mis au point un procédé de
désulfuration original. Son principe repose sur la combustion de deux réactifs, la chaux et le
calcaire. Les cendres filtrent le soufre avant son évacuation par la cheminée. Cette méthode
ne permet de désulfurer que 70 % des déchets, mais elle est en revanche beaucoup moins
coûteuse, donc plus facilement applicable que certains autres procédés plus performants.
Selon jacques Blamont, président de la commission d’enquête de l’Académie des
Sciences, « le procédé de Gardanne est peu répandu dans le monde, et la France fait figure
de pionnier ». Aujourd’hui les rejets de la cheminée ne dépassent pas 200 tonnes par jour, soit
50 tonnes de moins que la limite imposée par l’état. La centrale est parfaitement conforme
aux normes européennes, même dans les conditions météorologiques défavorables, par fort
mistral par exemple.
Une maigre compensation cependant, quand on sait que la ville reste la plus
polluée du département des Bouches – du – Rhône, triste record qu’elle détenait déjà avant la
mise en fonction de la centrale. Le respect des normes en vigueur permet d’envisager l’avenir
économique de la cité, et notamment l’emploi des mineurs avec plus d’optimisme. La
centrale non seulement pollue moins mais n’est pas près de fermer ses portes. Les habitants
du bassin miniers sont rassurés
a) Proposer des synonymes aux mots et aux expressions suivantes :
- mettre fin à une controverse
- compensation
b) Résumer le texte au tiers de sa longueur
II. Développer l’idée générale suivante en une trentaine de ligne :
« La personnalité se développe et se précise dans une spécialité, mais elle risque, si cela
dure trop longtemps dans la même voie, de voir son horizon se limité ».
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Année Universitaire : 1995 – 1996

Matière : Français
Option : Génie Civil , STEM , Industrielle
Durée : 2 heures
L’APPRENTISSAGE DE L’AVENIR
L’emploi des jeunes est la plus grande préoccupation d’une société

développée. Elle concerne l’avenir même de cette société par le regard, la conscience et la
motivation portés par ses futures adultes et actifs. A six ans de l’entrée du IIIème millénaire
(qui se fera mathématiquement le 1er janvier 2001), le taux de chômage des jeunes 16 – 25
ans est aujourd’hui pratiquement le double de la moyenne nationale pour atteindre près de
28% en mars 94 selon une enquête de Insee. Les choix politiques sont prépondérants en la
matière. Tout conservatisme, défaut d’écoute des jeunes et d’inertie structurelle en la matière
seront durement sanctionnés dans les prochaines années. Il convient donc de manière hyper
urgente, de donner aux jeunes de vrais métiers et de vrais Savoir-faire concrets et universels,
en ne misant pas uniquement sur des « savoirs flottants » axés sur l’élitisme culturo-
professionnel, ou en faveur de « cursus- refuges » longs et théoriques, détachés de la réalité
terrain dans un milieu d’entreprise instable et changeant. L’apprentissage et l’alternance
école-entreprise permettent de recimenter les fondations mêmes de la société active, par
l’adéquation aux besoins réels, à la réactivité quotidienne mélange l’intuition, de bon sens,
d’expérience et de réflexes précis. L’alternance dans la formation permet de redonner
simultanément un horizon d’espoir et une plus grande maturité sociétaire aux jeunes.
Questions
1-Donner la signification des mots suivants (4 points)

 Prépondérant
 Conservatisme
 Inertie culturelle
 Elitisme
2-Résumé ce texte au quart de son volume (8 points)
3-Faire un texte logique et structuré sur l’affirmation.
« L’emploi des jeunes est la plus grande préoccupation d’une société
développée ».
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y Année Universitaire : 1996 – 1997
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Durée : 2 heures
Traiter obligatoirement les deux questions suivantes :

I. Voici un texte :
LA CULTURE POUR UNE ELITE
Autrefois, on était plus cultivé.
Il est bien vrai qu’autrefois la télé n’existait pas, et qu’un certain nombre d’insanités
était épargné à nos ancêtres. Mais nos ancêtres, dans leur majorité, n’avaient accès à aucune
culture du tout. D’abord, pour la plus part, ils ne savaient pas lire ou très difficilement.
Ensuite ils avaient accès à fort peu de manifestations culturelles. Comme la radio n’existait
pas non plus, pas plus que les disques, les concerts qu’il leur arrivait d’écouter étaient ceux
qui se donnaient sur place, sans garantie de choix ni de qualité. Il n’y avait presque pas de
musée, et les grandes œuvres d’art leur étaient donc inconnues. Les livres étaient extrêmement
mal diffusés. La formation universitaire coûtait extrêmement cher. Sur les théâtres parisiens,
on jouait en général des drames consternants ou des farces lamentables. Les journaux étaient
rares et coûteux. Quelques chiffres : un grand journal de 1900 se diffusait à 50000
exemplaires ; un livre à succès ( les feuilles d’automne de Victor Hugo, par exemple) était
vendu à moins de 5000 ; les théâtres de province avaient moins de 400 places.
Certes, il y avait des cultures locales, on chantait des chansons traditionnelles. On
narrait des contes ancestraux, on perpétuait des coutumes immémoriales. C’est quand même
un peu étroit. Cela n’aidait pas énormément à comprendre le monde.
Aujourd’hui, le monde entier se présente à nous, sous toutes ses formes, dans tous les
médias. Ah, il est plus complexe que le village. On a même beaucoup de mal à le comprendre,
souvent. C’est moins facile que de chanter les chansons de grand-mère à la veillée. Tout le
monde n’y arrivait pas. Mais nous intégrons maintenant dans notre culture, qui tend à
l’universalité, la musique africaine, les romans sud américains, les films japonais. Nous
croulons sous les livres, les spectacles, les disques. Ce n’est pas, évidemment, la culture des
quelques privilégiés d’il y a un siècle. C’est différent. C’est probablement mieux.
L’EVENEMENT DU JEUDI - 11 AU 17 JUIN 1992
1°) Donner la signification des mots et ou expressions suivantes :

-Insanité
-Drames consternants
-Farces lamentables
-coutumes immémoriales
2°) Résumer le texte au quart de son volume
II. Faire un texte logique et structuré expliquant et justifiant votre choix de l’ « Ecole
Supérieure Polytechnique »
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Durée : 2 heures
Voici un texte pour le samedi 06 septembre 1997 dans le quotidien « L’EXPRESS

DE MADAGASCAR » . Lire attentivement le texte et répondre aux questions.
LA BALLE EST DANS NOTRE CAMP.
La coopération avec la France clôture ces IIIè Jeux de la Francophonie et nous

ramène qu’on le veuille ou non, sur le terrain politique, après dix jours ludiques et festifs qui
nous ont coupé de tout, sauf d’un profond désir de vivre notre temps et de partager cette joie
avec d’autres peuples.
Il convient, d’abord, de bien s’entendre sur la signification du mot « coopération ».
On peut y voir, comme dans le Nouveau Petit Robert qui, soit dit en passant est un
dictionnaire extraordinaire, « l’action de participer à une œuvre commune », qui en est, en
quelque sorte, la définition première. On peut aussi en chercher la signification actuelle, que
nous donnent dans son dictionnaire des mots nouveaux les Usuels de chez Hachette : « Aide
qu’un pays industrialisé apporte à un autre, moins avance, pour développer son équipement,
former ses cadres etc…, notamment en mettant à sa disposition des enseignants, des
ingénieurs, des médecins, des techniciens ».
Ces deux définitions, qui collent à la réalité vécue, depuis plus de 30 ans sans
grands résultats probants, n’excluent pas une interprétation plus subtile, celle que par exemple
en faisait déjà Sainte-Beuve : « En toute coopération on est, en quelque sorte, dépendant de
ses collaborateurs et solidaire avec eux » . On est bien d’accord sur cette notion de
dépendance responsable, acceptée et partagée, qu’en donnait-il y a plus d’un siècle le célèbre
romancier et critique français.
La coopération française vient à nous avec un nouveau visage, de nouvelles
perspectives, celles que veulent lui donner les socialistes français moins attachés, semble-t-il,
à la gestion d’un patrimoine historique que leurs prédécesseurs les gaullistes. Une première
tentative en ce sens, au début des années 80, avait échoué. Jean-Pierre Cot fut remercié et
éloigné du « pré-carré » sur la pression de quelques potentats africains conservateurs auprès
du président François Mitterrand qui avait, à l’égard de l’Afrique, un passé à faire oublier.
Sous le titre « Les désillusions de Jean-Pierre Cot » d’une série intitulée « France-
Afrique, les liaisons dangereuses » publiée au mois de juillet dernier, Eric Fottorino du
journal « Le Monde » écrit : « Jean-Pierre Cot voulait rompre avec les mauvaises habitudes.
Ce fût l’Afrique, soutenu par l’Elysée, qui rompit avec lui. Sûrement le locataire de la Rue
Monsieur était-il trop arrogant, trop froid et trop cassant, trop sûr de ses idées – tenues pour
utopiques – face à des interlocuteurs africains habitués au ménagement et aux proches
chuchotés ».
« Ménagement » : le mot est lâché. C’est vrai qu’une coopération qui ménage, ou
qui se ménage réciproquement, n’offre aucun autre espoir que d’aboutir à un statut que
désespérant pour les populations qui sont sensées en être les bénéficiaires. On a bien dit les
populations. Pas de dirigeant !
Aussi, le paternalisme n’étant plus d’usage, du moins l’espère -t-on, une
coopération nouvelle se doit-elle, pour convaincre de la sincérité de son engagement nouveau,
de cesser de ménager. Ce n’est qu’à cette exigence, ce devoir de sélection, qu’elle trouvera
tout son sens, celui qu’elle n’a pratiquement jamais eu.
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En ce sens, le secrétaire d’état français à la coopération a un discours intéressant.

On le verra à l’œuvre et aux actes, bien sûr. A la différence sans prédécesseur de droite,
ancien gros bras du service d’action civique ( SAC ) qui voyait mal la France se distraire, au
profit de quelques instances internationales, de son devoir d’instance à ses anciennes colonies,
Charles Josselin n’a pas honte d’accrocher le wagon de l’aide française au train de
l’ajustement structurel lancé dans les pays les moins avancés par le font monétaire
international et la banque mondiale. Il dit aussi son souci, ce qui ne peut que nous plaire,
d’être très attentif aux conséquences sociales que peut avoir sur l’environnement humain ce
convoi exceptionnel. De même que les vertus de la liberté d’expression lui paraissent
moralement limitées à son bon usage, le libéralisme économique n’a l’heur de lui plaire que
s’il n’immole pas le progrès social, éducation et santé, sur l’autel de la croissance pour la
croissance et ne creuse pas le fossé entre riches et pauvres.
Une bonne coopération doit donc s’inscrire dans la durée, par paliers, en
coordonnant en permanence le besoin flagrant en équipement des pays aidés avec
l’émergence de cadres et de techniciens spécialisés nationaux capables de prendre le relève.
Pour cela, pour que cette stratégie réussisse, il convient d’abord que les bénéficiaires de cette
assistance, qu’elle soit française ou d’une autre origine, soient eux-mêmes convaincus que
leur pays a un avenir. Et que cet avenir doit pouvoir se passer, un jour, de coopération au
profit d’un véritable partenariat.
C’est aussi le discours que l’on entend depuis longtemps, à savoir que « la finalité
de la coopération est de disparaître », qu’elle « porte en elle les germes de son effacement ».
On a eu droit, aussi, dans de belles envolées mitterrandiennes au « aider le tiers monde, c’est
s’aider soi-même », …, sans oublier le rituel « aide-toi et le ciel t’aidera ». Le discours paraît
aujourd’hui différent. La formule d’une coopération recentrée vers les secteurs sociaux est
mondialisée, elle aussi, a-t-elle plus de chance de réussir ? Il ne tient qu’à nous, et pour nous,
de tirer le meilleur profit, de faire le meilleur usage de l’aide qui nous est apportée. Pour
conclure sur ces « jeux » : la balle est plus que jamais dans notre camp.
I. Compréhension écrite (sur 10 points )

A.Expliquer le titre du texte dans un court paragraphe (5 lignes) (3 points)
B. Que faut-il comprendre par les deux qualificatifs « Ludiques » et « festifs ». (2 points)
C. Reformuler dans une phrase le contenu des trois définitions auxquelles se réfère le texte
pour le mot « coopération ». (3 points)
D. Qu’avez-vous compris de la phrase du texte qui dit : « …Charles Josselin n’a pas honte
d’accrocher le wagon de l’aide française au train de l’ajustement structurel lancé dans les pays
les moins avancés par le fond monétaire international et la banque mondiale ». (2 points)
II. Expression écrite
Dire dans un texte de 15 lignes (au maximum) les raisons qui permettent de croire que « la
finalité de coopération est de disparaître ».
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I-Texte (Extrait de l’EXPRESS du 18-09-98)
TELECEL – TOUR OPERATORS

PARTENAIRES POUR LA PROMOTION DU TOURISME
Un mois plus tôt, alors que Telecel Madagascar venait d’inaugurer son réseau
cellulaire à Brickaville et ses environs, une première séance d’information et de travail a été
donnée à l’intention des opérateurs touristiques qui seraient intéressés à investir dans la région
des Pangalanes. Cette même séance a été rééditée hier, à l’hôtel « L’Ermitage » de Mantasoa,
avec la participation de nouveaux voyagistes, dont Azur, Mdv, Its,Rttet, Mtb.
L’objectif est clair pour Telecel : contribuer à la promotion du tourisme en apportant

l’outil qui permettra aux usagers, et surtout aux touristes, de résoudre leurs problèmes de
télécommunication dans ces zones hautement touristiques mais plutôt enclavées sur le plan de
la téléphonie. Cette intention a été entérinée hier par le directeur exécutif de Telecel
Madagascar, Herizo Andriamose . Une intention qui aura, en tout cas, cite trouvé un écho
auprès de ces opérateurs touristiques, lesquels, à travers leurs questions et autres demandes
d’explication, ont manifesté un réel intérêt à promouvoir leurs opérations dans cette zone
nouvellement investie par Telecel. Désormais, Telecel et les tours opérators peuvent devenir
de sérieux partenaires pour le développement du tourisme dans cette région des Pangalanes.
La question des tarifs, les locations et mises à disposition de portables cellulaires…,

tout a été expliqué dans leurs détails par Telecel au cours de cette réunion de Mantasoa. Et d’
ailleurs, différentes formules…mutuellement avantageuses pour les parties, sont proposées.
Comme à l’accoutumée, Telecel met un accent particulier sur la mise en commun des efforts,
sinon la synergie des compétences, pour ses actions en vue du développement socio-
économique de ce pays.
A noter que cette séance de travail a été suivie d’une balade…en vedette le long du
lac Mantasoa et d’un pique-nique aux alentours de la grande cascade. Tandis que les
véritables travaux seront poursuivis jusqu’à dimanche prochain, par d’autres visites de sites
touristiques implantés sur l’axe routier RN2 et le long du Canal des Pangalanes : une manière
également de prospecter de nouveaux circuits touristiques exploitables dans la région.
Miadana Andriamaro
II- Questions
II- 1 Compéhension écrite

a- Que faut-il comprendre des expressions ci-après : réseau cellulaire ;
opérateurs touristiques ; mutuellement avantageuses.
b- Décomposer un à un les mots suivants et expliquer : voyagiste ;
téléphonie ; portables.
c- Expliquer l’intention dont il est question dans ce texte.
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II- 2 Expression écrite

Exposer dans un texte d’une page et demie au minimum, les avantages et
les inconvénients des téléphones portables pour notre société.
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1. EXPRESSION ECRITE (16 points)

I. 1. Définir ce qu’est un nuage. [ 5 lignes au minimum ]
I. 2. Décrire un poteau électrique. [ 10 lignes au minimum ]
I. 3. Soit le thème : la pollution dans les grandes villes.
Exposer dans un texte d’une page et demie (au minimum) les faits, les
causes et ce que vous penser être les solutions à ce problème
2. COMPREHENSION ECRITE (4 points)
Résumer sur cinq [ 5 ] lignes le contenu de ce texte.
TEXTE
16 ans. C’est l’âge du premier rapport sexuel dans la province de Mahajanga. Et ce

selon l’EDS 1997. « C’est le plus précoce dans le pays » a-t-on souligné pendant les
travaux de l’atelier. Au niveau national, les premières activités sexuelles remontent à l’âge
de 16,9 ans. Et ce n’est pas tout, les enquêtes démographiques sanitaires ont révélé que la
première union intervient à l’âge de 17,2 ans dans cette province (il est de 18,6 ans au
niveau de la Grande Ile). Les jeunes de 15 à 19 ans constituent les 53% de la population
dans ce faritany
Ces chiffres sont révélateurs : les premières activités sexuelles devancent d’une
année l’union ou le mariage. Comment expliquer cette situation ? A entendre les
explications des participants à l’atelier, cette précocité s’explique par le fait que les
activités sexuelles sont intenses pendant cette période d’âge. A cause des problèmes socio-
économiques, les parents laissent leurs enfants se marier très jeunes « pour se libérer
d’eux » dans cette province.
Si tel est le cas, il n’est pas étonnant que la jeune fille donne naissance à son
premier enfant à l’âge de 18 ans. L’indice synthétique de fécondité dans cette province est
de 6,61 contre 5,97 sur tout le pays. 44,5% des adolescentes sont déjà mères et 8,2% sont
enceintes de leur premier enfant. Ces chiffres illustrent les activités sexuelles précoces
dans cette province.
Force est de se demander la place de la planification familiale (PF) dans cette
partie Ouest de la Grande Ile. Si 72% des ménages enquêtés la connaissent ( contre 69%
au niveau de toute la nation). 5,3% seulement utilisent une méthode moderne et 5,4% une
méthode traditionnelle dont la continence périodique (4,3%). 43% des couples approuvent
la PF et 25% des femmes ont accès aux services de la PF. En ce qui concerne la méthode
moderne, le contraceptif injectable arrive en tête (2,4%) , puis la pilule (1,1%) , la
stérilisation féminine (1%) , le stérilet (0,1%) et le condom (00%).
Au service PF de Mahabibo , une vingtaine de femmes par jour viennent chercher
conseil et suivre une méthode contraceptive. Du côté du Service IST/SIDA, on enregistre
quotidiennement 12 jeunes patients pour s’y faire soigner de la blennorragie. La plupart de
ces patients sont des jeunes garçons. « ils n’aiment pas utiliser la capote, voilà pourquoi ils
sont vulnérables, menaçant leur partenaire » a confié un médecin. Mais, ils ont vaincu leur
honte pour mettre fin à cette infection sexuellement transmissible les minant.
H.R.
Midi Madagasikara 07-09-99
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE Matière : MATHEMATIQUES
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CONCOURS D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Durée : 3(trois) heures
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EXERCICE 1 :
a) Trouver les racines quatrièmes de – 4 sous la forme algébrique dans C.
b) Calculer le module et l’argument de chacun des nombres complexes
z1 = 6 − i 2 et z2 = 1 + i
2
En déduire le module et l’argument de z0 = z1 . Utiliser ces résultats pour calculer cos

z2
π et sin π .
12 12
c) x étant un réel quelconque et n un entier naturel, en considérant l’expression de U +
iV calculer les réels U et V définis par :
U = 1 + Cncos x + Cncos 2x + ... + Cncos nx

1 2 n
V = Cnsin x + Cnsin 2x + ... + Cnsin nx

1 2 n
Quel est l’ensemble des points M du plan complexe dont l’affixe z vérifie
zz + 3z + 3z − 7 = 0 ?
EXERCICE 2 :
a) Montrer que dans l’espace vectoriel réel des fonctions de R dans R, les 3 vecteurs
f1 = 1 , f2 = sin x , f3 = cos x sont linéairement indépendants.
b) On note ξ l’espace vectoriel engendré par f1 , f2 , f3 . Si a∈ R et si f∈ξ , on note la(f)
la fonction (qui appartient à ξ ) définie par : [ la (f) ] (x) = f (x + a) ∀ x ∈ R
Montrer que l’application la : f la(f) est linéaire sur ξ

Ecrire dans la base { f1 , f2 , f3 } la matrice de Ma de la .
c) Soit β ∈ R . Calculer laοlβ .vérifier matriciellement le résultat.
EXERCICE 3 :
I. On considère la suite (Un) définie par :
U1 = a , U2 = b , U3 = 1 ( U1 + U2 ) , ... , Un = 1 ( Un−2 + Un−1 ) , ... , a , b ∈ R

2 2
a) Démontrer que la suite de terme général Vn = Un + Un-1 est une suite géométrique.
b) En déduire l’expression de Un en fonction de a , b , n , puis la limite de (Un) quand
n tend vers l’infini.
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.c II a) Annoncer le théorème des accroissements finis pour une fonction f définie sur
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un segment [ a , b ] de R.
b) Peut-on appliquer ce théorème à la fonction népérien sur le segment [ p , p + 1 ] où
p∈N?
c) En déduire la limite de la suite (Wn) définie par : Wn = 1 + 1 + ... + 1 lorsque n tend

2 n
vers l’infini.
EXERCICE 4 :
ex² − 1
a) Calculer : lim
x →0 sin3 x

b) On considère la fonction f définie sur [ 0 , +∞ [ par : f(x) = x Log x pour x > 0
0 pour x = 0
. Etudier la continuité et la dérivabilité de f sur [ 0 , +∞ [ .

Log x
c) On considère la fonction g définie par : g(x) =
x
Etudier g et tracer sa courbe (C) dans un repère orthonormé.
Calculer l’aire S du domaine limité par (C) , l’axe 0x et les parallèles à 0y d’équation
x = 1 et x = e .
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EXERCICE 1 :
soit la fonction définie par f(x) = x Log (1 + 1 )

x
a°) Donner son domaine de définition et montrer qu’on peut la prolonger par continuité
en x=0
b°) On restreint alors la fonction sur l’intervalle [0 , + ∞[ .
Etudier les variations de cette fonction.
N.B. : On étudiera les variations de cette fonction.
c°) Montrer que la fonction admet une asymptote oblique dont on précisera l’équation
de la droite asymptote.
d°) Résoudre l’équation f(x) – x = 0
e°) Enoncer le théorème des accroissements finis.
f°) Déduire de d°) et de e°) qu’il existe une valeur de x tel que f’(x) = 1
g°) Tracer la courbe de f(x) sur [0 , + ∞[
h°) Calculer l’aire S limité par la fonction f(x) et la fonction y = x sur l’intervalle [0 , 1 ]
e−1
EXERCICE 2 :
On se donne une fonction linéaire f de R3 dans R3 tel que R3 soit un espace vectoriel sur
R. La fonction f est définie sur la base canonique { e1, e2, e3 }dans R3 par :
f(e1) = me1 + 2e2 + me3
f(e2) = e1 + 2e2 + me3
f(e3) = me1 + me2+ 3e3
avec m∈ R
a°) Ecrire la matrice de f
b°) Discuter suivant les valeurs de m la dimension du noyau de f et la dimension de
l’image de f
c°) Soit le vecteur B de coordonnées ( m + 2 , 2m + 3 , 5 )
1. Pour quelles valeurs de m la fonction est-elle bijective
2. Dans le cas de bijection, trouver l’antécédent X tel que f(x) = B. On écrira le système
linéaire pour calculer les coordonnées de X.
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EXERCICE 3 :
Soit z un nombre complexe de module 1 et d’argument θ ( 0 ≤ θ ≤ π ) . On
(z + 1)(z − 1)
pose : z' =
z²
1) Vérifier que z = 1
z
2) Ecrire z' en fonction de z
3) Déterminer les complexes z de module 1 pour lequel z’ est un nombre réel non nul
4) a – Vérifier que z est une racine carrée de 1 – z’

b – Ecrire z’ sous forme algébrique
c – Déterminer, en fonction de θ , le module et l’argument de z’
d – z’ peut-il être un imaginaire pur .
EXERCICE 4 :
On se donne la suite réelle un définie par : Un = n n

1°) a – On posera un = 1 + vn où vn est une suite positive qu’on admettra.
En remarquant que n = (1 + vn)n, montrer que v2n < 2

n −1
b – Déduire la limite de un.
2°) Soit la suite réelle un définie par : un = n + n + ... + n

n² + 1 n² + 2 n ²+ n
Encadrer judicieusement un et en déduire la nature de la suite.
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EXERCICE 1 : n étant un nombre entier supérieur ou égal à 1, on pose :

S1 = 1 + 2 + ... + n ; S2 = 1² + 2² + ... + n²; S3 = 13 + 23 + ... + n3
En remarquant que, retrouver l’expression de S1 en fonction de n.

Calculer S2 en développant (1 + k)3 pour 1 ≤ k ≤ n
Calculer S3
a) En utilisant le développement de (k + 1)4
b) En calculant [S1(k)]² − [S1(k − 1)]²
Vérifier ce résultat par récurrence sur n, n ∈ N*
EXERCICE 2 : (Un)n∈N étant une suite géométrique de raison q et premier terme U0
1°) On suppose que q = − 1 . Démontrer que ∀ n ∈ N* ; Un+1 = 1 (Un + Un−1)

2 2
2°) On suppose que (Un) n’est pas constante et satisfait à ∀ n ∈ N* :*
Un+1 = 1 (Un + Un−1) .Démontrer que q = − 1

2 2
3°) On suppose que U0 = 15 et q = − 1 et on pose S = U4 + U5 + …+ Un

2
Calculer S en fonction de n et déterminer le plus petit entier n tel que S − 2 < 10−3
3
π
Soit (Vn) la suite définie par : Vn = ∫ 4 (tg x)n dx
0
1°) Montrer que ( Vn) est décroissante et positive et en déduire qu’elle est convergente
2°) En calculant Vn + Vn+2, n ∈ N*, trouver sa limite.
i 2π
EXERCICE 3 : Trouver les racines carrées du nombre complexe C = 1 + e 3
Déterminer le réel t que les racines du trinôme x² − 2x eit + 1 aient une partie réelle nulle.
Calculer le module et l’argument du nombre complexe z = (1 + i)n . En déduire les
sommes :
U = 1 − C2n + C4n − C6n +...
V = C1n - C3n + C6n −...
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EXERCICE 4 :
On donne la fonction g de R dans R définie par :

ex − 1
g(x) =
ex + 1
1°) Etudier cette fonction, tracer sa courbe représentative dans le repère orthonormé
(O, i, j)
et montrer que g est impaire.
g(x) + g(y)
2°) Montrer que, ∀ les réels x et y : g(x + y) =
1 + g(x) g(y)
3°) Montrer que g est une bijection de R sur ] –1, 1 [. Déterminer sa fonction reciproque
g-1
et la dérivée de cette fonction .
On considère une fonction f définie pour tout réel et vérifiant la propriété :
f(x) + f(y)
∀ (x, y) ∈ R ² : f(x + y) =
1 + f(x) f(y)
1°) montrer que s’il existe un réel c tel que f( c) =1 ou f( c )= -1, la fonction f est constante
sur R
On suppose dans toute la suite que f n’est pas constante
2°) En écrivant x = x + x , montrer que, pour tout réel x, on a : -1 < f(x) < 1 et établir que
2 2
f (0) = 0 . En déduire que f est impaire.
3°) On suppose que f est dérivable en O et que f’(0) = k. Montrer que f est dérivable en
tout point x de R et que f’(x) = k[1 – (f(x))²]. Le nombre k peut-il être nul ? Montrer que f
est monotone sur R.
4°) On appelle f-1 la fonction réciproque de f définie sur f( R ). Calculer la dérivée de f-1 et
en déduire f-1 puis f.
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EXERCICE 1 :
On donne les nombres complexes A=2 – i , et B =17 + 3i et C =15 – 5i
1 + x + iy
D= . On désigne par M un point du plan P dont l’affixe est x + iy.
1 − x − iy
1°) Ecrire D sous la forme a + ib
2°) Déterminer l’ensemble des points M tels que D soit un nombre réel.
3°) Déterminer l’ensemble des points M tels que D soit un imaginaire pur
4°) Calculer K = A⋅B et déterminer les racines carrées, dans C, du nombre K.

C
EXERCICE 2 :
Trois suites U, V ,W sont définies de la manière suivante sur N*
U1 = 1 V1 = 12
Un > 1 :Un +1 = 1(Un + 2Vn) ; V n > 1 : Vn+1 = 1 (Un + 3Vn)
 3  4
W : Wn=Un - Vn, ∀ n
1°) Montrer qu W est une suite géométrique convergente à termes négatifs.
2°) Montrer que Un est croissante et que V est décroissante
3°) Montrer que 1 ≤ Un < Vn ≤ 12 pour tout n.
Les suites U et W sont-elles convergentes ?
4°) On considère la suite t définie, Pour tout n, tn = 3Un + 8Vn. Montrer que t est
constante.
5°) Montrer que U et V ont la même limite.Trouver cette limite
EXERCICE 3 :
e2x − 1
Soit f la fonction telle que f(x) = et g l’application de ] 0 , +∞ [ dans ℜ définie
e2x + 1
−x + 1 + 2 logx si x ∈ ]0,1[
par : g(x) =  x − 2 + e1−x si x ∈[1, +∞[

1°) Montrer que pour tout réel x, f(x) < 1 et que f est impaire
2°) Etudier les variations de f et tracer sa courbe représentative

3°) Montrer que f est une bijection de R sur ]-1 , 1 [. Déterminer f-1
4°) Montrer que g est continue sur ] 0, + ∞[.
5°) Montrer que f est dérivable à gauche et dérivable à droite au point x = 1. L’application
g est-elle dérivable en ce point ?
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EXERCICE 4 :
Voici trois vecteurs de R4, u = (1, −1, 1, −1) ; v = (1, 1, -1, -1) ; w = (1, -1, -1, 1)
1°) Donner la base canonique de R4
2°) La famille F = {u, v, w} avec t = (−1, −1, −1, 3) . C est-elle une famille libre ? est-elle
une famille génératrice de R4.
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EXERCICE 1 :
PREMIERE PARTIE
Soit f une application d’un ensemble E dans un ensemble F.

Pour tout sous ensemble A de E on désigne par f(A) l’ensemble {y=f(x) ∈ F ; x ∈ A}.
1°) Montrer que si A ⊂ E et si B ⊂ E, f(A B) ⊂ f(A) f(B) et qu’en général
f(A B) ≠ f(A) f(B)

2°) Démontrer que f(A B) = f(A) f(B) pour tous sous ensembles A et B de E si et seulement
si : f est une application injective.
DEUXIEME PARTIE
Soit (Un)n≥1 une suite numérique définie par la relation de récurrence :
U1 = 2 ; Un+1 = 2+Un (n≥1)

1°) Montrer que : (Un)n≥1 est une suite croissante
2°) Montrer que Un = 2cos( π

n +1
) Quelque soit n ≥ 1
2
EXERCICE 2 :
PREMIERE PARTIE
Soit a ∈ C, Considérons l’équation dans le corps des nombres complexes C.

E: (z + a)n = zn (n ∈ N*, z ∈ C)
1°) Résoudre l’équation (E)

2°) Montrer que si a ∈ R* , ie si a est un réel non nul, les racines de l’équation (E) décrivent une
droite parallèle à l’axe des nombres imaginaires pures
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DEUXIEME PARTIE
Soit z ∈ C, z = r, Arg(z) = t, 0 ≤ t < 2π, et n ∈ N
Un(t) = 1 + rcost + r²cos(2t) + ... + rn cos(nt)
Vn(t) = 1 + r⋅sin t + r²sin(2t) + ... + rnsin(nt)
1°) Calculer Un(t) et Vn(t) pour r ≠ 1

2°) Soit r = 1, Montrer que
(n + 1)⋅t (n + 1)⋅t
sin × cos nt sin × sin nt
a°) Un(t) = 2 2 , Vn(t) = 2 2 , si t ≠ 0
sin( t ) sin( t )
2 2
b°)
limUn(t) = Un(0) limVn(t) = Vn(0)
t→0 t→0
3°) On pose r = 1 , et on considère la fonction périodique de période 2π définie pour tout t ∈ [0

2
, 2π [ par : f(t) = lim Un(t)

t→+∞
Etudier les variations de la fonction f et tracer sa courbe représentative.
EXERCICE 3 :
f étant une fonction définie par : f(x) = 1 et g, la fonction primitive de f qui s’annule pour x =
x² + 1
x
0, g(x) = ∫ f(t) dt
0
1°) Quel est le domaine de définition de f et en quels points f est-elle dérivable ?

2°) Quel est le domaine de définition de g ?
3°) Montrer que g est une fonction impaire.
4°) Montrer que g est bijective
ey − e−y
5°) Calculer g( ) et en déduire g−1(x) (la fonction réciproque de g)
2
NB : On répond aux questions 2°), 3°), 4°), 5°) sans calculer la fonction primitive g(x)
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k e r CONCOURS ar D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Durée : 3(trois) heures
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1. PROBLEME :
Soit f la fonction numérique à variable réelle x définie par : f(x)=2ln[ e (x+ 4 )] où ln

4 x
désigne le logarithme népérien de base e.
Partie 1 : Soit (C) la courbe représentative de f dans un repère orthonormé (o, i , j ) d’unité 1 cm.
1) Etudier les variations de f . Montrer que la courbe (Γ) d’équation y=2ln[ex ] est asymptote à (C) au
4
voisinage de +∞
2) Tracer (C) et (Γ) sur la même figure.
3) Etudier le signe de g (x) =f (x) –x et démontrer que pour tout x ≥ 2, on a f (x) ≤ x
Partie 2 : On considère la suite numérique (Un) définie par U0 > 0 et Un+1 = f(Un) = 2ln[ e (x+ 4 )] , ∀ n ∈ N.
4 x
1) Montrer que pour tout n ∈ N* , on a Un ≥ 2 et que (Un) est une suite décroissante à partir du rang 1.
2) Soit ϕ1 la fonction numérique d’une variable réelle x définie par ϕ1 (x) = ln (1+x) –x.
a) Démontrer que pour tout x ∈ ]-1 , +∞ [ , on a ln (1+ x) ≤ x.
b) En déduire que pour tout h ≥ 0, on a 0 ≤ f(2+h)−2 ≤ h² ≤ h²

2(2+h) 4
3) On pose Vn = Un – 2 , ∀ n ∈ N. montrer que pour tout n ∈N* , on a 0 ≤ Vn+1 ≤ V²n

4
Partie 3 :
1) Soit ϕ2 la fonction numérique à variable réelle x définie par :
ϕ2 (x) = ln (1+ x) – x + x²
2
Etudier le signe de ϕ2 sur l’intervalle ]-1 , +∞ [.
2) Pour n ∈ N* , ϕn est la fonction définie sur l’intervalle ]-1 , +∞ [ par :
x3 xn
ϕn (x) = ln (1+ x) – x + x² - +............+ (−1)n.
2 3 n
Etudier le signe de ϕn (x) pour x ∈ ]-1 , +∞ [
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x3−4x
Partie 4 : On considère l’application h de R dans R définie par h (x) =
x²+4
1) – a / Trouver trois constante réelles a , b , c telles que pour tout x ∈ R , on ait
h (x) = ax + b + cx
x² + 4
b / Déterminer une primitive H de h.
2) Soit α un nombre réel supérieur à 2. En utilisant les résultats obtenus précédemment , calculer en
fonction de α l’intégrale suivante :
α
I(α) =∫ 2xln[e (x+ 4 )]dx
2 4 x
2. EXERCICE :
Soient ABC un triangle isocèle et BCDE un rectangle. On donne AB = 5cm,
BC = 6cm et CD = 3cm.
Soit O la projection orthogonale du point A sur le segment [ BC ].
On considère un point M du segment [ AO ] tel que AM = x.
On note N le projeté du point M sur la droite ( BC ) parallèlement à la droite ( AC ). On note P le
symétrique du point N par rapport à la droite ( AO ).
1) Construire une figure
2) Calculer AO , MO , ON et vérifier que MN = 5 (4− x)

4
3) Calculer A (x) l’aire du quadrilatère AMNC en fonction de x.
4) Soit B (x) l’aire du domaine limité par ABEDC, extérieur au triangle MNP.
Exprimer B (x) en fonction de x .
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SESSION du 27-28 SEPTEMBRE 2000
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k e r CONCOURS ar D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE Matière : MATHEMATIQUES
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Partie A :
Exercice I :
1) Démontrer que :
P( z ) = z 2 + (1 − 2i )z + 7 − I (z ∈ C ) , est le produit de deux polynômes du 1er degré.

On considère sur C l’équation (E ) :
t 2 − 3 zt + 2 z 2 + iz + 1 = 0
Ou t est l’inconnue et z paramètre complexe.
a) Déterminer les deux solutions de (E ) dans le cas généal.

b) Déterminer l’ensemble z pour que lui-même soit solution de (E ) .
Partie B :
Exercice II :
n!
On rappelle que : C n =
p
p!(n − p )!
1)- Démontrer que :

C np+1 = C np + C np −1
2)- On admet que :
(a + b )n = Cn0 a n + Cn1 a n−1b + Cn2 a n−2b 2 + ........ + Cnnb n
a) Calculer :
C n0 + C n1 + C n2 + ......... + C nn −1 + C nn
b) Montrer que :
C n0 + C n2 + C n4 + ......... = C n1 + C n3 + C n5
c) Montrer que :
C n0 + C n2 + C n4 + ......... = 2 n−1
3)- Démontrer, d’après le principe raisonnement par récurrence que :
C n0 + C n1 + C n2 + ......... + C nn−1 + C nn = 2 n
Partie C :
Exercice III :
Soit la fonction d’une variable réelle définie par :

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 f (r0e ) = 2
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
 ln (1 + x )
 f ( x ) = x
+ 1+ x2
1)- Donner son domaine de définition.

2)- La fonction est-elle continue en 0.
3)- Calculer la dérivée de la fonction f.
4)- On se propose de définir le signe de f’ sur ]− 1;0]
a) Montrer que la fonction g ( x ) = x − 1 − ln x est positive sur [1;+∞[ .
b) En choisissant un changement de variable judicieux, déduire alors le signe de f’ sur ]− 1;0]
c) Calculer les limites suivantes :
lim f ' ( x ) lim f ' ( x )
x→0 x → +∞
x 0
d) Calculer f ' (1) .Quel est son signe ?
5)- On admettra alors que f ' ( x ) ≥ 0 sur [0;+∞[
a) Dressez le tableau de variation complet de la fonction f
(limites, dérivées particulières, branches infinies).
b) Monter que la courbe est au-dessus de l’asymptote oblique
c) Tracer le graphe de la fonction f. Soit (C ) cette courbe.
d) Soit la droite (D ) d’équation y = ax + 1 .
d1) Pour quelle valeur de a la droite (D ) coupe-t-elle la courbe (C ) en un point, en deux
points ?
d2) Quelle valeur de a (D ) ∩ (C ) = ∅ ?
e) Donner l’équation d’une parabole passant par le point (-1 ;0) et tangente a la courbe au point (0;2).
Exercice IV :
1
1+
Soit I n = ∫1
n 1 + x n dx
1
1+ 1 1
Monter que ∫1
n
1+ x n
dx
n 2
n
 1
lim1 +  = e
Monter que  n
n → +∞
En intégrant par partie, déduire que la suite I n converge et donner sa limite.
Exercice V :
Calcul de primitive.
dx π 2 + 2tg 2 x
∫ e sin xdx ∫ sin x ∫
cos x 4
a) c) b) dx
0
1 + tgx
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Tous les exercices sont obligatoires.
Exercice1
1+ z
1- z étant un nombre complexe, on pose A =
1− z
On désigne par M un point du plan dont l’affixe est z
a) Déterminer I’ ensemble des points M tel que A soit un nombre réel.
b) Déterminer l’ensemble des points M tel que A soit imaginaire
5+i 3
2- Le nombre complexe u s’écrit u =
2−i 3
a) Ecrire u sous forme trigonométrique
b) Calculer u4
3- Résoudre dans C l’équation 6 z 2 − (5 − i )z + 2 −

5i
=0
6
n
4- Calculer la somme suivante, oø n est un entier naturel S = ∑ cos kθ
k =0
----------------------------------------------------------------------------------
Exercice 2:
1- La suite (un).est définie la manière suivante : u0=1, u1=3 ; n 1 ; u n = 3u n −1 − 2u n −2

a) Calculer u2, u3, u4, Démontrer que, pour tout n u n = 2 n +1 − 1 .
La suite (un) est-elle convergente ?
b) La suite (vn) définie par : v n = u n − 2u n −1
Démontrer que (vn) est constante. En déduire une relation entre un et un-1
c) Peut-on trouver des suites géométriques (sn) vérifiant, pour tout n >1 : s n = 3s n −1 − 2 s n − 2
2- La suite (wn) est définie pour wo=a, w1=b et pour tout n supérieur 1 par : w n +1 = wn − wn −1
Démontrer que (u n ) est périodique.
1 2 3
3- Trois réels x,y, z forme dans cette ordre une suite arithmétique dont la somme est 9; , et
x y z
forment dans cet ordre une suite géométrique. Calculer x, y et z
Exercice 3:
1- Soit f l’application de ]0,1[ dans R définie par

− x + 1 + 2 Logx si x ∈ ]0,1[
f (x ) = 
x − 2 + e
1−x
si x ∈ [1,+∞[
a) Montrer que f est continue au point x=1.Montrer que f est continue sur ]0,+∞[ .
b) Montrer que f est dérivable gauche et dérivable droite au po int x=1.L ’application
est-elle dérivable en ce point
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 π
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 par g ( x ) = Log (sin x + cos x )
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2- Soit la fonction g définie sur l’intervalle  0,
 2
π /2 π /2
cos x sin x
b)-On pose I = ∫
0
sin x + cos x
dx et J = ∫
0
sin x + cos x
dx
Calculer I+J et I-J. En déduire la valeur de I et celle de J.
-----------------------------------------------------------------------------------------------
Exercice 4 :
1- Soit la fonction g : R → R
x → g ( x ) = (1 − x )e x − 1
Donner l’expression de la dérivée g' (x ) et donner le tableau des variations de la fonction
En déduire le signe de g (x ) .
2- Soit f la fonction numérique de la variable réelle x définie par : f ( x ) = (2 − x )e x − 2 − x

a) A l’aide des résultats obtenus en 1, déduire les variations de la fonction f .
b) Montrer que la courbe représentative (C ) de cette fonction f admet pour asymptote oblique
la droite d’équation y = 2 − x . Préciser la position de la courbe (C ) par rapport la droite (D ) .
c) Déterminer le point K de la courbe (C ) en laquelle la tangente est parallèle (D ) .
d) Tracer la courbe (C ) dans un repère orthonormé. Préciser les coordonnées des point
d’intersection A et B de la courbe (C ) avec les axes.
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SESSION du 03-04 DECEMBRE 2002
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EXERCICE I :
Les deux parties A et B sont indépendantes et obligatoires.

Partie A
On considère la suite réelle (Un) définie par :
U 0 = 0

U n+1 = 2 + U n
pour ∀n ∈ Ν
1° Montrer que, par récurrence sur IN la site (Un) est majorée par un nombre ‘h’ qu’on déterminera.
2° Démontrer que (Un) est strictement croissante :
a) En raisonnant par récurrence
b) En étudiant le signe de différence (Un+1- Un).
Que peut-on en déduire ?
3° On construit une nouvelle (Vn) par :
∀n ∈ Ν , Vn=2-Un
1
a) Démontrer que : ∀n ∈ Ν , Vn +1 ≤ Vn
2
b) En déduire lim Vn et lim U n
n → +∞ n → +∞
c) Vérifier que le résultat de lim U n satisfait la déduction de la question 2°

n → +∞
4° Déterminer directement la limite de la suite (Un)
Partie B
Pour chacune des suites suivantes, explicitez dans chaque cas le terme générale Un en fonction de n, n ∈ N
U 0 = 1

a)  1
U n = 3 U n −1
U 0 = 1
b) 
U n +1 = 10U n − 8 − 9n
U 0 = 1
 Un
c) 
U n +1 =
 U n2 + 1

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EXERCICE II :
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Les deux parties A et B sont indépendantes et obligatoires.
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re Partie A re
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Soit f la fonction de R vers R définie par f ( x ) = x − 1 + x2 − x

→ →
1 Etudier la variation de f et tracer sa courbe représentative (C ) dans un repère (0, i , j )
2 Etudier la variation de f l’intervalle ]− ∞,0] ; monter que f1 est une bijection de cet intervalle sur un
intervalle I que l’on précisera. Soit g = f 1
−1
la bijection réciproque de f1 ; construire la courbe (C1 )
représentative de g dans le mŒme repère que C . ( )
3 Déterminer :
g ( x ), ∀x ∈ I
Et calculer l’aire géométrique de la partie du plan définie par :
 1  x 
− 1 ≤ x ≤ − 2  et  g ( x ) ≤ y ≤ + 1
 e   2 
Partie B
1
1° Calculer l’aire d’un disque de rayon égal à .
2
2° On considère la fonction définie, pour tout x de [0;1] , par :
f ( x ) = x(1 − x )
Etudiez les variations de f (x ) (on admettra que f (x ) n’est pas dérivable en 0 et en 1).
(C ) et I le point de coordonnées  1 ;0  ; calculer IM

2
Soit M le point d’abscisse x de .
2 
Prouvez que (C ) est un demi-cercle dont on précisera le centre et le rayon. Tracez ce demi-cercle.
1
Donnez une interprétation géométrique de l’intégrale ∫

0
x(1 − x)dx
En déduire la valeur de cette intégrale
EXERCICE III :
Les trois questions suivantes sont indépendantes et obligatoires.
Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes le système :
(1 + i )z − (2 − 3i )z ' = 4 + 3i

(2 − 3i )z + (4 − 2i )z ' = 3 − 4i
Ou les inconnus sont z et z ' ; z et z ' sont les conjugués de z et z '
Résoudre dans C l’équation :
z 2 + (2 + 4i )z + 3 − 4i = 0
Soit la transformation ponctuelle S du plan tel que S (M ) = M ' ou M et M’ ont respectivement pour l’affixe z et z ' telles
que :
z ' = (1 + i )z + 3 − 2i
Donner les éléments caractéristiques de S
-1 n
En déduire les éléments caractéristiques de S et S .
Déterminer l’image par S :
De la 1èrebissectrice
Du cercle trigonométrique
PD PD
!
W
W
O
O
N
N
y
y
bu
bu
to
to
ww
ww
om
om
k
k
lic
lic
C
C
.c
.c
w
w
tr e tr re
.
.
ac ac

_____________________________________________________________________________
Exercice n°1
Partie A
Soit f une application du corps de nombres complexes C dans lui-même
z +1
f (z ) =
1− z
1. Trouver deux nombres complexe a et b tels que :

(1 point)
f (z ) = a +
b
z −1
2. Soient E l’ensemble des points M d’affixe z tels que z = 1 , E1 l’image de E par l’application
z1 = f1 ( z ) = z − i , E2 l’image de E1 par l’application z 2 = f 2 ( z1 ) =
1
, E3 l’image de E2 par
z1
l’application z 3 = f 3 (z 2 ) = b.z 2 , E4 l’image de E3 par l’application z 4 = f 4 ( z 3 ) = a + z 3 .
Déterminer les ensembles E1 , E2 , E3 , E4 et tracer leurs courbes représentatives dans le plan
complexe. (2 points)
Partie B
1. Résoudre dans le corps des nombres complexes l’équation z 4 − 1 = 0 et en déduire les

solutions de l’équation [( ) ] 4
3 − i z +1 = 1. (2 points)
6− 2 6+ 2
2. Soit a = +i . Calculer a 4 .
2 2
3. Déterminer la forme trigonométrique puis la forme algébrique des nombre complexes
solutions de l’équation z 4 = 8 1 − i 3 ( ) (2 points)
____________________________________________________________________________
Exercice n°2
Dans cet exercice on désigne par R le cops des nombres réels, par Q le corps des nombres
rationnels, par Z l’ensemble des nombres entiers, par N l’ensemble des entiers naturels.
On suppose qu’il existe une fonction continue unique F définie sur R, vérifiant les conditions a) et
b) suivantes :
a) ∀x ∈ R et ∀y ∈ R f (x + y ) + (x + y ) = ( f (x ) + x )( f ( y ) + y ) .
b) f (1) = e − 1 (e : base des logarithmes népériens).
PD PD
!
W
W
O
O
N
N
y
y
bu
bu
to
to
ww
ww
om
om
k
k
lic
lic
C
C
.c
.c
w
w
tr re tr re
.
.
ac ac
1° Montrer que :
(1) (∀t ∈ R )( f (t ) + t ≥ 0) (1 point)
(2) (∀t ∈ R )( f (t ) + t ≠ 0) et que f (0) = 1 . (1 point)
2° Montrer que :
(3) (∀x ∈ R ) et (∀n ∈ N ) f (nx ) + nx = ( f ( x ) + x )n (0.5 point)
Posant y = − x dans a), calculer f (− x ) − x et établir que (3) reste vérifiée (∀x ∈ R ) et
(∀n ∈ Z ) (0.5 point)
3° Calculer, en fonction du nombre e et du nombre entier n, l’expression f (n) + n puis
1 1
f + . (1 point)
n n
En déduire que :
(4) (∀r ∈ Q ) ( f (r ) = e r − r ). (1 point)
4° On admet que tout nombre réel x est limite d’une suite de nombres rationnels
(rn )n≥0 , (rn ∈ Q ) , c'est-à-dire
(∀x ∈ R ) (∃(rn )n≥0 ⊂ Q ) et lim rn = x
n → +∞
a) Montrer que (∀x ∈ R ) ( f (x ) = e x

)
−x . (1 point)
Etudier et représenter graphiquement les variations de f, en soignant particulièrement l’étude
des branches infinies. Que peut-on dire de la tangente à la courbe représentative de f au point
x = 1. (2 points)
b) Evaluer l’aire, A(b) , de la portion du plan comprise entre la courbe, son asymptote et
les droite d’équation x = 0 , x = b (b 0) et trouver la limite de A(b) ,lorsque b tend
vers − ∞ . (1 point)
5° a) Montrer que l’on a :
(5) (∀x ∈ R ) (e x ≥ 1 + x ) (1 point)
b) On pose :
PD PD
!
W
W
O
O
N
N
y
y
bu
bu
to
to
ln (Ure 0 ) = 0 , ln (U n ) = ln (1 + a ) + ln (1 + a 2 ) + ... + ln (1 + a n ) , (n
ww
ww
om
om
0) ,
k
k
lic
lic
C
C
.c
.c
w
w
tr tr re
.
.
ac ac
Avec 0 a 1 et ln le logarithme népérien.

Montrer que (U n )n≥0 est une suite convergente. (2 points)
PD PD
!
W
W
O
O
SESSION du 02-03 NOVEMBRE 2004
N
N
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y
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ww
om
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k
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lic
C
C
.c
.c
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w
tr e tr re
.
.
ac ac

N.B. : On tiendra compte d’une bonne présentation et d’une bonne rédaction de toutes les
démonstrations. (2 points)
Exercice (sur 6 points)
Soit la famille d’équations
(Eθ ) : z 2 − (1 + i sin 2θ )z + i sin 2θ =0

2
 π π
Dans laquelle θ désigne un réel appartenant à l’intervalle semi-ouvert  − , .
 2 2
A tout complexe z = x + iy , on associe le point M de coordonnées (x, y) dans le plan.
1. Résoudre l’équation (Eθ ) dans l’ensemble des nombres complexes. (2 points)
2. Soient M ' (θ ) et M ' ' (θ ) les points du plan associes aux solutions z ' (θ ) et z ' ' (θ ) de l’équation (Eθ ) et soit
I (θ ) le milieu du segment [M ' (θ ), M ' ' (θ )] .
 π π
a) Déterminer l’ensemble des points I (θ ) lorsque θ décrit  − ,  . (1 points)
 2 2
b) Montrer que l’ensemble des point M ' (θ ) et M ' ' (θ ) est un cercle que l’on
précisera. (1 points)
c) Démontrer, lorsque M ' (θ ) et M ' ' (θ ) sont distincts, que la droite contenant ces deux points a une
direction indépendante de θ . (1 points)

π
d) On pose θ = , déduire de ce qui précède une construction simple de I (θ )
6
et des points M ' (θ ) et M ' ' (θ ) . (1 points)
Problème (sur 12 points)
Partie A
1. Soient g 1 une application de ]0,+∞[ dans R : g1 ( x ) = 2 x 3 + 1 − 3Logx ,
g 2 une application de ]− ∞,0[ dans R : g 2 ( x ) = x 2 + 1 − 2 Log x ,
ou Logx désigne le logarithme népérien de x.
Etudier les sens de variation de g 1 et de g 2 . (1,5 points)

PD PD
!
W
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y
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 1 
Soient h1 une application de ]0,+∞[ dans R : h1 ( x ) =  2 −
ww
ww
om
om
k
k
lic
lic
 log x ,
C
C
.c
.c
w
w
tr
2.
re tr re
.
.
ac ac
 x3 
 1 
h2 une application de ]− ∞,0[ dans R : h2 ( x ) = 1 − 2  Log x
 x 
Etudier la variation de h1 et de h2 . (1,5 points)
Partie B
Soit f une application dans R :
f (x ) = e h1 ( x ) si x 0 , f (0) = 0 , f ( x ) = e
h2 ( x )
si x 0
ou e est la base des logarithmes népériens.
1. La fonction f est-elle continue sur R ? (1 points)
2. La fonction f est-elle dérivable sur R ? (1 points)
f (x )
3. Calculer lim . (1 points)
x → +∞ x
f (x ) − x 2 f (x ) + x
4. Calculer lim et lim . (1 points)
x → −∞ Log x x → −∞ Log x
x x
5. En déduire lim f ( x ) − x , lim f ( x ) + x , puis étudier les branches infinies

2
(1,5 points)
x → +∞ x → −∞
6. Etudier le signe de f ( x ) − x 2 pour x ≥ 0 et f (x ) + x pour x ≤ 0 (1,5 points)
7. Etudier le sens de variation de f. Tracer la Courbe représentative de la fonction f dans
un repère orthonormé. On précisera sa position par rapport aux asymptotes et l’on
indiquera la tangente au point 0. (2 points)

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.
.
ac ac

EXERCICE
1) Résoudre dans C l’équation z 2 − 2 2 z + 4 = 0 .On désignera par z1 la solution dont la

partie imaginaire est positive et par z 2 l’autre solution.
2) a) Déterminer le module et un argument de chacun des nombres z1 et z 2 .
2
z 
b) Déterminer le module et un argument du nombre complexe  1  .
 z2 
3) Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormal direct (O, u , v ) ,(unité = 1cm),on
Considère le point
P1 d’affixe 2 (1 + i ) , le point P2 d’affixe 2 (1 − i ) et le point P d’affixe z = 2
.
p
2
a) Déterminer l’affixe du point P3 , image de P2 par l’homothétie H de centre P et de rapport -3
 π
b) Déterminer l’affixe du point P4 , image de P2 parla rotation R de centre O et d’angle  − 
 2
c) Placer dans le même repère les points

P1 , P2 , P et P4 .
3
z 3 − z1
d) Calculer .
z4 − z2
e) Soient I le milieu du segment [ p1 , p2 ] et P5 le symétrique de P1 par rapport à I .
Montrer que les point s P1 , P2 , P3 et P4 forme un carré.
PROBLEME Les trois partie A,B et C sont indépendantes.

Partie A : On se propose d’étudier dans cette partie les fonctions
Tn ( x ) = cos nθ ou x = cos θ et n ∈ N .
1) Montrer que pour tout n, on a la relation Tn +1 ( x ) = 2 xTn ( x ) − Tn −1 ( x ) .
 2k − 1 
2) Vérifier que la suite des nombres xk = cos π  , ou k = 1,2,........., n ,sont racines simples
 2n 
des équations Tn ( x ) = 0
3) a) Pour n=3, déterminer les trois valeurs de la suite x k correspondante.

b) En utilisant la formule du binôme, montrer que
n
(
cos nθ = ∑ C nk i 1 − x 2
k =0
)x
k
n−k
avec k pair.
4) En déduire ainsi que les fonctions Tn (x ) = cos nθ sont des fonctions polynomiales de
degré n et à coefficients du plus haut degré égal à 1.
PD PD
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W
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O
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N
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y
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bu
T0 ( x ), T1 (x ) et T2 (x ) .
to
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ww
ww
om
om
k
k
Déterminer en fonction de x les trois fonctions suivantes :
lic
lic
C
C
.c
.c
w
w
tr re tr re
.
.
ac ac
Partie B : Soient f ( x ) = x 2 + 1 et g ( x ) =
2
3
( )
7 − 2 x 2 + 1 deux fonctions à variable réelle définies sur R.
On se proposes, dans cette partie, de résoudre l’équation
x2 +1 −
2
3
( )
7 − 2 x2 −1
1) Montrer que f est une fonction bijective sur [0,−∞[ et déterminer sa fonction réciproque f −1
→ →
 
2) Etudier les fonctions f et g et tracer sur un même repère orthonormé  0, i , j  les courbes représentatives C et H
 
respective de f et de g .
On donne 2 = 1,414 5 = 2,236 7 = 2,645

3) En déduire a l’aide de la lecture graphique les valeurs approximatives des solutions de l’équation (1) .
4) Calculer en fonction de x les dérivées successives jusqu’à l’ordre 4 de la fonction f ( x ) = x 2 + 1
Partie C : Dans cette partie, on considère une fonction h( x ) définie sur le segment [− π , π ] continue et ayant ses dérivees
jusqu’à l’ordre m-ième continues et qui vérifie la relation h
k
(− π ) = h k (π ) pour tout 0 ≤ k ≤ m
π
∫ π h(x )cos nxdx
1
Considérons la suite de nombres a n = ,n ∈ Ν .
π −
1 π π 
1) Montrer que l’on a la relation a n = ∫ h' (x ) cos + nx dx .
πn −π
 2 
π π 
∫ π h (x )cos 2 m + nx dx
1
2) En déduire que pour tout m, on a aussi a n =
m
πn m −
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Exercice 1
1) On considère le nombre complexe

a = −1 + i
1
Calculer le module et l’argument de a, de , de a 2
a
2) Déterminer les racines carrées du nombre complexe :
a = 5 − 12 i
3) Résoudre dans l’équation :
z 2 − (5 − 4 i )z + 3(1 − 3i ) = 0
Exercice 2
On considère la suite réelle (u n ) définie par :
u 0 = 1

∀n ∈ ΙΝ : 2u n +1 = u n + 3
1) On pose : ∀n ∈ ΙΝ : v n = u n +1 − u n
a) En écrivant : v n = (u n +1 − u n ) en fonction de u n +1 = u n , montrer que v n +1 et v n sont du
même signe que l’on précisera. En déduire le sens de variation de (u n )
b) Monter que la suite (v n ) est une suite géométrique dont on précisera le premier
terme v 0 et la raison q
1
c) Calculer s n = ∑ v p , puis L = lim s n ,
n → +∞
p=0
2) Montrer qu’il existe une suite géométrique ( wn ) telle que (u n − wn ) soit indépendante de n
Exprimer u n en fonction de n, puis retrouver

PD PD
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Exercice 3
ww
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C
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.c
.c
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.
.
ac ac
→ →
Le plan étant rapporté au repère orthonormé (o, i , j ) , on donne les fonctions f de [0,2π ]
2e x + 1
2
 x
Dans IR définie par f ( x) =  sin  et g de IR dans IR définie par g ( x) = x .
 2 e +1
On note (C ) la courbe de f.
1) f est –elle périodique ? Si oui, déterminer sa périodique T

2) f est–elle paire?
3) Montrer que (C ) admet la droite ( D ) d’équation pour axe de symétrie
4) Donner le tableau de variation de g et montrer que g possède une fonction réciproque h.
Préciser le domaine de h et exprimer h(x) en en fonction x
Exercice 4
→ →
Le plan étant rapporté au repère orthonormée (0, i , j ) ,on donne la fonction ϕ
− x + 1 + Logx pour 0 x 1
ϕ ( x) = 
x − 2 + e
− x +1
pourx ≥ 1
1) Montrer que ϕ est continue et dérivable en tout point x strictement positif et différent de 1.
2) En x 0 = 1 , ϕ est-elle continue? Est-elle dérivable?
3) Etudier les variations de ϕ et tracer sa courbe représentative en précisant les asymptotes

4) Soit λ un réel supérieur à 2.Exprimer l’aire A(λ ) du domaine des points M vérifiant :
1 ≤ x ≤ λ

0 ≤ y
 x − 2 ≤ y ≤ ϕ ( x)

5) Calculer α = lim A( λ )
λ → +∞
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Universit6 d'Antananarivo Année Universitaire 2007 ~2008

Eco le Supérieure Polytechnique Session du 05-06 Décembre 2007
Option : Toutes
Concours d,'entrée en Première Année MatièJ~: Mathématiques
Durée 03 heures
Exercice N°l
On considère l'équation
(E): (2 - i).z3 ..- 2(7 + 4i).z2 + 4(2 + 9i).z + 24 -- 32i ::::0,
où z représente un nombre complexe.
1° Montrer que l'équation (E) admet une solution réelle, notée 2] que l'on déterminera (1,5 pt)
2° Mettre l'équation {E) sous la forme (z - zl ).f(z) ::::0 et résoudre cette équation. On notera z2
et z3 le solutions non réelles, aveG IZ2' < IZ31. (1,5 pt)
3° Dans le plan complexe [Pl muni d'un repère orthonormé \0;

1 u,
--) v placer les points A, B, C
d'affixes respectives zA =. z2, zB ::::z3 et ze ::::z].
a) Calculer IZEl -ZAI, IZe --ZAI. !Ze --ZBI (0,5 pt)

b) En déduire la nature du triangle ABC (1 pt)
4° Soit S J'application de [Pl dans [Pl qui à tout point M(x, y) fait correspondre le point
M'(x', y') défini par:
fx'=x+y-2
~
lyl:::: -x + y
on note M(z) et ~A'(z), z:::: X + iy) z' = :'~'-+- iyl.
a) Donner l'écriture complexe de S . En déduire sa nature. (1~5pt)

b) Donner les .fléments caractéristiques de S . (1 pt)
c) Construire.: A'B'C transformé de ABC par l'applicationS. (1 pt)
Suite au rers() =:>

PD PD
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.
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Dans tout!'exercice l'JOl Log désigne Je logarithme népérien.

ParlieA
10 Soit f la fonction de 12.dans lR définie par:
Etudier les limites de C';ltc fonction aux bornes de son dOJi!aine de définition, étudier les
variations de f. Calculer f(- n (3 pts)
Puriie B
On cOllsJdère la fonction il
o d"e %
fIT' iJ"n'-
_U1.:) [l\ d--6.~tl';P
,.:\.•. n,,[
\.Il.1 .. 1t_ .e"'I" .~
on appelie (C) 1,8 courbe représentxt!ve de g dans un repère ofthonormé(O, i,}) ,

Ii ~'H Il'' Il
,III"=q
ii ,1
!',;:;;
ii - Ii
lem.
10 !,/lol'tre,'
. "_J. _ ",11P
\..~""'Io-' u ,w',
b ."û1- rj,·.iri·>I,·h1."
•.•. ,_~~••..•. '. Lt:..!v 0L..
"ï~ ''''-Y) ',"'c'~-I-\î..1f'
;...,'.)L t""ll."l-V' LUl...;,..,
J,. .!" t1\.'.dL!1_
-l-l:f,,,ir'l';)I'1 ••..
\...!.\..- •.. ""'j''<]!'
j' 'i;A
''"' ..r b(ri(v\
\.-t,.,.~""·'~ "_~.,,.}. (1 pt)
2° EfUl"\' .,..t 'le',
~ J . ,"" ,"" 1;','l';'P(' ' ,j",
J.l.t.~ •... •.•••... .6
..!, r,\ 1 \'
'1' C~,t{~ horn"'"
••...• ,J, '.~:,.,) .'1", C""-l' ""1""11,'0'
•••.•\_' :::'''';:., vI!.:) •.•.•.•
il. 1'"
•••' (l,> _ .1. .1 l j,l,
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~,;',fl(ln'l't~l' 1._ •••. , ••
deux ::lsvm,PWtcsl'ur·,e
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\.::.•.•./ ,~t"'h',-, \.4;.),.;
"<èV'TI,n-l'ot.o,
,.",,,,,,,t,.lf\,.- .••t tJ -...... ()hFrJLie
l'!o..~••
J, •.. Etudier la l)osition
relative de (e) par n:ppon il (D). (1;5 pt)
,30 Etucner les variations (1;;: !:.-i [onclin:] g . (0,5 pt)
4° Déü:müner bs points de (C) en ksquels la tang(mtc è5t parallèle à ln droi'ce- (D). (1 pt)
-0 '1',racer
~. ..\,! en
, utill's:-'ll"l'i,"
,~~~ ,J,'::u,i'a"t"
Jo _1.
.-",.J~.' '''''''('''.:;'''t,·
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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universit aire2009-2010

ECOLE SUPERIEURE POLYTECHIQUE Opt ion : TOUTES
M at ière : M athematiques
Concours d’ent ree en Premiere Année Durée : 03 heures
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Année Universitaire : 1996-1997

Matière : Physiques OPTIONS : TOUTES
Durée : 2 heures
EXERCICE 1
On admettra que le poids P d’un corps de masse m est dû à la seule force d’attraction terrestre.
1°) L’intensité P du poids d’un corps de masse m situé à une distance r du centre C de la
m
terre est donnée par la relation : P = k , k est une constante. r²
Exprimer l’accélération g de la pesanteur à une distance r de C en fonction de l’accélération g0
de la pesanteur au sol, du rayon R de la terre et de r.
AN: g0 = 10 m/s²; R = 6400 km et r = 7000 km
2°) Un satellite artificiel S de masse m a une trajectoire circulaire de rayon r dans le plan de
l’équateur.
a°) Montrer que sa vitesse angulaire ω est reliée au rayon r de la trajectoire par
la relation ω² r3 = constante. Exprimer la valeur de cette constante en fonction de g0 et R.
b°) Exprimer la période T du mouvement
On donne r =3 18.6 × 109 . Calculer T.
3°) Calculer en fonction de m, g, R et r le travail W du poids P du satellite lors du
déplacement depuis le sol où r0 = R jusqu’à un point de la trajectoire de rayon r
4°) Exprimer l’énergie cinétique du satellite en fonction de m , g0, R et r
EXERCICE 2
La remorque d’un véhicule au repos peut être assimilée au dispositif suivant : une masse M =
500 kg reposant par l’intermédiaire de deux ressorts identiques de raideur k sur une barre B
représentent l’axe des roues de la remorque.
1°) En admettant que sous l’action de M , les deux ressorts verticaux sont comprimés de
Δl = 15 cm, quelle est la raideur de chaque ressort ?
2°) Lorsque l’on charge la remorque, cela revient à augmenter M de m = 50 kg. Chaque
ressort est alors comprimé d’une même quantité supplémentaire x0.
a°) Calculer x0
b°) A t =0 la charge m est enlevée. Etablir l’équation différentielle du
mouvement de translation de la masse M en prenant un axex’x orienté vers le bas.
c°) Calculer la période T0 des oscillations.
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• M
EXERCICE 3
Une bille de masse m = 10 g, est lâchée sans vitesse initiale d’une hauteur 20 m au-dessus d’un
plan sur lequel elle rebondit. Exprimer l’énergie potentielle du système (bille + Plan + terre ),
son énergie cinétique et l’énergie mécanique en fonction de t compté à partir du choc supposé
parfaitement élastique. g= 10 m /s²
1°) En fait, à chaque choc sur le plan, une fraction q = 20% de l’énergie mécanique se trouve
perdue. La bille rebondit ainsi à plusieurs reprises restant sur la même trajectoire verticale.
Exprimer l’énergie mécanique après le n-ième choc en fonction de n.
2°) Quelle distance aura au total parcouru la bille jusqu’à ce qu’elle s’immobilise ? Au bout de
quel temps t la bille s’immobilise t-elle.
EXERCICE 4
Une sphère conductrice M de masse m = 20 g et portant une charge q* est suspendue en un

point fixe O par l’intermédiaire d’un fil isolant inextensible de masse négligeable et de
longueur l = 10 cm. Ce pendule est placé entre deux armatures métalliques A et B, plane et
horizontale, de grande dimension, distante de d = 20 cm. Le point de suspension O est situé à 5
cm au-dessus de l’armature supérieure A. On applique entre les deux armatures une différence
de potentielle Ur AB = VA - VB = 2.103 V créant alors entre A et B un champ
électrostatique uniforme E.
r r
1°) Caractériser E et F s’exerçant sur M.
2°) La sphère porte la charge q = + 0.2.106 C. Le pendule est écarté de sa position d’équilibre
de α = 90° et abandonné sans vitesse initiale. Déterminer la vitesse de M et la tension du fil au
passage à la verticale.
3°) Le fil se casse au passage à la verticale, déterminer l’équation et la nature de trajectoire de
M après rupture du fil.
4°) Quelle est la durée du mouvement au moment où M touche l’armature B.
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Durée : 2 heures
1ère partie :
A b E
M
a a
N
B C D
a a
a = 10 m
La figure ci-dessus représente deux plans inclinés et un plan horizontal de traces AB, ED, et
BD. Les corps M et N de masses respectives m1=100g et m2 = 10 g peuvent glisser sans
frottement sur ces plans tandis que la bille de masse m3=100g est animée d’un roulement sans
glissement.
1°) M est lâchée de A sans vitesse initiale à l’instant t = 0. Ecrire l’équation horaire de
son mouvement et déterminer l’instant tB où il arrive en B ainsi que sa vitesse en B et sa
composante horizontale.
2°) Calculer la durée du trajet BC et sa vitesse en C.
3°) En C, il heurte N, calculer les vitesses de M et N après les chocs (supposés
parfaitement élastiques)
4°) Ecrire l’équation du mouvement de N entre C et D et déterminer l’instant où il
arrive en D.
5°) A cet instant, la bille b est lâchée de E sans vitesse initiale.
a°) Calculer l’accélération du centre d’inertie de b
b°) Ecrire les équations horaires des mouvements des centres d’inertie de N et
b sur ED c°) Déterminer l’instant où ils se
heurtent
2ème partie
On dispose d’un ressort de constante de raideur k et de longueur à vide l0 = 18 cm, dont l’une
des extrémités est accrochée au point A du plafond.
1°) Calculer k si sa longueur devient l = 20 cm quand on l’étire avec une force
d’intensité F = 10N.
2°) On suspend une masse m = 700g à l’autre extrémité du ressort. Déterminer la
tension du ressort ainsi que sa longueur à l’équilibre.
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3°) On tire la masse m vers le bas et on la lâche lorsque la longueur du ressort est de 25
cm. Etablir l’équation différentielle du mouvement du centre d’inertie G de m en utilisant la
relation fondamentale de la dynamique, l’espace étant rapporté à un repère dont l’origine O se
trouve à la position d’équilibre de G.
4°) Retrouver la même équation en utilisant le théorème de la conservation de
l’énergie mécanique.
5°) Ecrire l’équation horaire du mouvement de G puis trouver la période des
oscillations et l’expression de la vitesse de G quand il passe par O.
6°) Un deuxième ressort identique au précédent est attaché à la masse m, la deuxième
extrémité étant fixée au point B qui se trouve sur la même verticale que A, à une distance
AB = 50cm a°) Donner les expressions littérales des tensions et des longueurs des deux
ressorts à l’équilibre.
b°) On abaisse m de 5 cm de sa position d’équilibre puis on la lâche. Exprimer les
tensions des ressorts à un instant quelconque t puis écrire l’équation différentielle du
mouvement de G dans un repère dont l’origine se trouve à la nouvelle position d’équilibre de
G.
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Durée : 2 heures
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EXERCICE N° 1
Un camion dont la masse totale est de M = 4 tonnes, démarre sur une route rectiligne et
horizontale. Il atteint une vitesse de 72 km/h en 5 mn et continue sa marche à vitesse constante.
On suppose que l’ensemble des forces de frottement et de résistance de l’air est équivalent à
une force unique, opposée à la vitesse, d ‘ intensité constante f = 300 N .Cette force est supposée
indépendante de la vitesse et la pente de la route.
1°) Calculer l’intensité de la force de traction développée par le moteur dans les deux cas
suivants :
a°) au cours du démarrage, le mouvement étant alors supposé rectiligne et uniformément
accéléré. b°) après 5 minutes de marche, le camion roule alors à une vitesse constante.
2°) Pour ralentir le camion, le chauffeur débraie, annulant ainsi la force de traction et en même
temps il freine. Le mouvement toujours rectiligne devient alors uniformément retardé. La
vitesse du camion passe alors de 72 km/h à 36 km/h sur un parcours de 200 m. Calculer
l’intensité de la force de freinage.
3°) Le camion aborde maintenant, avec la vitesse de 36 km/h, une côte qui s’élève de
20mm par mètre. Quelle doit être la valeur de la force de traction pour que sur une distance de
500 m, le mouvement étant uniformément accéléré. La vitesse atteigne 45 km/h. ( On prend g
= 10m/s²)
EXERCICE N°2
O1 On donne O1O2 =76 cm, R1et R2 deus ressorts identiques de longueur
à vide l0 = 25 cm, de coefficient de raideur k = 24,5 N/m ; A un
cylindre de 4 cm de haut, de masse M = 200g. Le cylindre étant en
équilibre, on le tire vers le bas de 3 cm et on l’abandonne sans vitesse
R1 l1
initiale.
1°) Déterminer la position d’équilibre du centre de gravité G du
O cylindre.
A
2°) Former l’équation horaire du mouvement de G
R2 l2 3°) Déterminer la période du mouvement
l
x
O2
EXERCICE N° 3
Une fusée atteint une altitude de 600 km/h et éjecte un satellite de masse 40 Kg sur une orbite
circulaire qu’il décrit d’un mouvement uniforme. La trajectoire est située dans le plan équatorial
terrestre et son centre est celui de la terre. Le rayon de la terre vaut R = 6400 Km. A 800 Km
d’ altitude, la valeur de g est 8.2 10-2 m/s².
1°) Calculer la vitesse du satellite sur son orbite.
2°) Déterminer son énergie cinétique
3°) Calculer la durée d’une révolution.
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.Almée Universitaire ; 2000 -. 2001
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ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQ1JE SESSION DU 27- 28 SEPTEi'v1BRE 2000
Q:ill!911~:TOUTES
CONCOURS D'ENTREE EN PRE MIE RE ANNEE lY:li!tièt~: PHYSIQUE
Ql.rr6~ : 02 heures
Exercice 1 :
Une roue~ de masse négligeable, de rayon

f, peut toumer autour de son axe de révolution
horizontal (A).
Une tige AB homogène, perpendiculaire
en SOIl centre de gravité il: 1'a."{e (.t!o), de
longueur 7/" de masse 3m, pOlte à son
extrémitéB une masse ponctuelle m. La tige
AB est solidaire à la roue.
lIn fil inextensible, de masse négligeable,
dont une extrémité est :fixée à la roue, autre r
extrcnùlé est accrochée à un petit solide de
tigure 1 .
masse ln' (rnai'lSC ponctuelle) qui peut gtis,seI
sans frottement sur tm plan incliné cr angle a
(voir tiQure 1").
1).~ Déh.'l1uU.tCf l'angle Ho que fait l'axe de la lige j-\B av(,'C la verticale du pouü 0 pour que 1t
système soit en éqlùlibre.
Note: On étudiera séparément J'équilibre de l'ensemble (roue + tige AB -{-masse nI) d'nne part et celui
du solide ID" d~autre part
2).- A l'instant t= 0, on coupe le fil reliant le solide de mas;;;em' à la roue,

a). - Etudier la natme du mouvement du solide fa' sur le plan incliné
b). - La distance CD étant de 0,5 111, calculer:
la durée du mouvement de- m' sur {CD],
la vitesse et l'énergie c.inétique de m'au {.""Il)intD
3). - On s'intéresse maintenant au mouver.ne-nt pris paf le gystème (roue + tige AB +- masse m)
après que le fI} a été coupé et en nègligeant tout frottement.
a). l\IIontrer que le système est animé d'un 1110UVeme-11t sinusolâal autour de (.1),
d'amplitude 80•
b). - Détenrriner au passage à la verticale du point 0 :

la valeur absolue de la vitesse angulaire e' 1
l'énergie cinétique du système.
.. ~/2._
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Une poulie Pl de diamètre dl = 100 1ll1ll., fixée il

l'arbre d'un Inüteut' électrique, Iuet 20 secondes
courroIe pour atteindre la vitesse de régime de 1200 tr/mn,
1). - Déterminer;
a). - l'accélération angulaü-e, supposée
constante, de Pl pendant la période de démarrage.
b).- le nombre de tours que la poulie Pl a
fuit aVàDI d'atteindre la vitesse de régime.
2).- On. relie la poulie Pl avec. une autre
poulie Pz par i'intemlédiaire d'une COUlToie. On
supl-Xlse qu'il n'y a pas de glissement entre les
poulies et la courroie; de plus on neglige tout
11f;ure2 frottement.
DétemlÎner le diamètre d2 de la poulie Pl pour qu'eUe toumc à la vitesse de 480 tr/mn (la poulie
Pl tourne à 1200 tr/mn)
Exercice III :
Un projeclile r..1 est lancé d'un POÙlt 0, à
t y 0<: (1, < rJ2
î l'instant 1 .::':'0 avec Ulle vitesse ·~o mc1inée d\m
13 angle u.,par rapport a 1'horizontaJ, vern un mur AB
1 _._~_. de hauteur IL sliué à une düdanco L du point 0
i
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(voir figure 3),
1
1),- Ecrire l'équation de la trajectoire de M.
i
2),- Déterrniner l'angle am = (1o,Ox) poUl'
iH
1
1
que le projectile atteigne le mur au poùltA"
1
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1
,, 3),- Ddenniner l'angle ('lM c::: (~)Ox) pOUl'
1
i que la t1eche de la t.r~jectoire, eest-à--dirC
01
1
.._ ..{~-_._.~
x rordonnée Ul{L'Ù!nale coïncide avec le point B.
----~ figure 3
On donne' .. ~r;,'
. . v·0 :::..., y. m/ s, H'''= 0)5 ID, L = 1m,
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UNIVERSITE DOANTANANARlVO Annee Universimire 2005-2006
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Session du 08-09 novembre 2005
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k e r- s o ft w a ECOLE SUPERIEURE POL YTECHNIQUE k e r- s o ft w a
Option: TOUTES
CONCOURS DOENTREE EN 1ere ANNEE Matiere : PHYSIQUE
INGENIORAT Dun~e: 02 heures 30 min
Exercice 1/3
La roue d'un moteur est animee d'un mouvement de rotation uniforme dont la frequence
est de n=600 t/min jusqu'au moment ou elle est freinee. A partir du moment de freinage,
elle acquiert un mouvement uniformement decelE~reet s'arrete au bout de 10 secondes.
On demande:
a) la vitesse angulaire de la roue avant le freinage
b) I'acceleration de la roue pendant le freinage
c) la vitesse et l'acceleration d'un point de la roue situe cl un rayon
R=10 cm , a un temps t=5 sec du debut de freinage
d) le nombre de rotation que fait la roue cl partir du moment de
freinage jusqu'a I'arret complet.
Exercice 2/3
M l---1~=~-=--=_~-~ K17r
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Un circuit comprend :(voir schemas ci-dessus)
- trois resistance RI=1 00 D ; R2=1 00 'D : R3=50 D
une bobine d'inductance L variable et de t"esistance negligeable,
un condensateur de capacite C.
Une tension sinuso'idale, de valeur efficace Uef = 150 V , et de frequence f est appliquee
aux bornes MN du circuit.
1°) Pour une valeur f1 de f, les tensions efficaces aux bornes des appareils sont
telles que Ul:; Uc = 3 UR
• calculer l'intensite efticaGG du circuit
• en deduire les valeurs de UF:, UL, Uc .
• en deduire les impedances de la bobine et du condensateur en
fonction de R.-,-,
2°) La tension appliquee gardant tou.!ours la valeur efficace U=150 V, on regie
la frequence f2 = 2f1 .
Determiner: .
2.1. I' intensite efficace I'ef .
2.2. le dephasage cp' entre la tension appliquee aux bornes MN du circuit
et I'intensite.
2.3. la tension efficace existant entre !es bornes MP, PK, KN de chaque
apparei!.
Exercice 3/3
1- On dispose d'un objet iumineux AB et d'un ecran ; I'objet et I'ecran se situent a
une distance invariable de 2 m I'un de i'autre .
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On veut obtenir sur I'ecran une irnage AB' de AB de trois fois plus grande que
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I'objet en utilisant une lentille convergente dont I'axe principal est perpendiculaire a
I'ecran et passe par le point A.
1.1 ) Determiner par rapport a A la position de la lentille.
1.2 ) Quelle est la distance focale de cette lentille.
"7 2- On accole une lentille convergente mince L1 de distance focale f1' = 20 cm a une
autre lentille mince L2. L e sysieme obtenu a une vergence de +15 O.
2.1.) Quelle est la distance foca!e f2' de la lentille L2 ?
2.2.) Quelle est la nature de l'image ?
3- Les deux lentilles ne sont pas accolees. Un objet lumineux est place a 40 cm de
la lentil le la moins convergente.
- A queUe distance de celle-c! faut-il placer la 2eme lentille pour que le
systeme donne finalement de I'objet une image reelle et egale a celle-ci ?
Preciser alors la distance objet - image.
c:::::: . :._~:=':.-.=~ ~ _
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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universit aire 2008-2009

ECOLE SUPERIEURE POLYTECHIQUE
Epreuve : PHYSIQUE
Filière : Toutes Durée : 02 heures 30 m inut es
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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universit aire 2009-2010

ECOLE SUPERIEURE POLYTECHIQUE
Epreuve : PHYSIQUE
Filière : Toutes Durée : 02 heures 30 m inut es
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R.D.M
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k e r- s o ft w a Année Universitaire 1996 - 1997 k e r- s o ft w a
Matière :RESISTANCE DES MATERIAUX

Options : GENIE CIVIL, STEM, INDUSTRIELLE
Durée : 2 heures
Q
PROBLEME 1 :
Un pilier de section constante et circulaire, de masse

H volumique ρ = 2400 kg/m3 et de hauteur h = 3 m doit porter
d axialement une charge Q de 11 tonnes. Calculer le diamètre d
de ce pilier si la contrainte normale admissible est de
800000 N/m² . On donne g = 9,8 m/s².
PROBLEME 2 : F2 F3
F1
Une poutre de masse négligeable reposant
sur deux appuis simples A et B est soumise aux
charges verticales F1 , F2 et F3 avec F1 = F2 = F3 = F A B
Déterminer en fonction de a , b , c , d et F les
réaction RA et RB des appuis A et B. a b c d
b PROBLEME 3 :
B C
A) On considère une surface plane rectangulaire
ABCD ( AB = DC = h ; BC = AD = b ) représentée
par la figure 1. Un axe (d1) parallèle à BC passe par
h le centre de gravité de la surface. Un autre axe (d2)
(d1) contenant le côté AD est parallèle à (d1).
Donner en fonction de b et h les expressions des moments
quadratiques I(d1) et I(d2) respectivement par rapport à
A D (d2)
(d1) et (d2).
figure 1
B) Soit une surface plane (S) et un système d’axes
y rectangulaires (0x , 0y) représentés par la figure 2.
Déterminer pour (S) :
20 1) Les coordonnées xG et yG du centre de gravité G
2) Les moments quadratiques I0x et I0y
respectivement par rapport aux axes 0x et 0y.
3) Le moment quadratique polaire I0 par rapport au
40 20 point 0.
70
20
10
0 x
Figure 2
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Durée : 2 heures
EXERCIE 1 :Considérons une poutre AD dont la section droite et en forme de T (voir figure .
1) En prenant le point 0 comme origine des axes, déterminer :
a) la position du centre de gravité de la section,
b) les moments quadratiques Iox et Ioy respectivement par rapport aux axes 0x et
0y .
2) cette poutre AD se repose sur deux appuis simples A et B, et elle est sollicitée par un
système de forces P et F (voir figure I.1)
sachant que F = 100 N , P = 750 N et a = 2 m
a) Déterminer la distance l pour que RA = 2 RB .
3
( RA réaction en A et RB réaction en B).
b) En utilisant les résultats obtenus à la question a) , écrire les équations des
efforts tranchants T(x) et des moments fléchissants Mf(x) ; tracer les
diagrammes correspondants.
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12 P F
y
2
A C B
M+ D
(cotation en mm ) a a l
8
0 x figure I.2
4
figure I.1 EXERCICE 2 : Un portique (ABCD) est soumis à
une force F = 800 N selon la figure II.
1) En isolant respectivement les éléments [1], [2] et
F [3] et en supposant qu’il n’y a pas de flambage,
déterminer :
3m 1m a) Les réactions en C et D supposées comme appuis
A
B simples,
[1] b) Les sollicitations dans chaque élément du
système (effort normal, effort tranchant, moment
2m [2] [3] fléchissant).
2) Sachant que les piliers [2] et [3] sont de section
C D carrée de côté a = 10 cm et que la barre [1] a une
section circulaire de diamètre φ 70 (en mm).
a) Calculer les contraintes normales maximales
figure II respectives dans [1] et [2].
b) Etablir l’équation de la déformée de la barre [1]
en fonction de l’abscisse x, de la rigidité EI supposée
constante et en prenant A comme origine.
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Durée : 2 heures
EXERCICE 1 :
On considère un demi-section circulaire plane de rayon R représentée par la figure 1

1) Déterminer la position de son centre de gravité.
2) Calculer le moment d’inertie de la section par rapport à l’axe x’x.
3) En déduire le moment d’inertie de la demi-section circulaire plane par rapport à
l’axe horizontale passant par son centre de gravité.
4) Comparer ce moment à celui d’une section circulaire plane entière par rapport
également à l’axe x’x.
y
R x
x’
0
figure 1
EXERCICE 2 :
Deux fers plats, d’épaisseur e = 5 mm, sont assemblés par deux rivets. L’assemblage
est soumis à une force de 20 kN. La largeur des pièces est égale à b (figure 2).
1). Déterminer le diamètre nécessaire des rivets pour une contrainte limite de
cisaillement de 9 daN/mm².
2). Déterminer la largeur b des fers plats afin que la contrainte normale admissible ne
soit pas dépassée si la contrainte élastique est de 60 daN/mm² et le coefficient de
sécurité égale à 5.
b
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EXERCICE 3 :
Soit une poutre droite de section rectangulaire b h et de longueur égale à l ,

reposant aux appuis simples de même niveau A et B. Cette poutre est soumise à deux charges
…. P et F en G et C respectivement (figure 3).
1). Déterminer la distance a entre les appuis pour que la réaction en A soit nulle.
2). Tracer les diagrammes respectifs de l’efforts tranchant et du moment de flexion.
3). Calculer la flèche en C.
On donne : l = 3m ; P = 120 N ; F = 80 N ; E = 21.104 N/mm² ; b = 4 cm et h = 10 cm.
a
A G B
C h
l/2 l/2
P b
figure 3
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Durée : 2 heures
d
a PROBLEME 1
Calculer le moment d’inertie d’un hexagone régulier

x x’ par rapport à un diagonal d.
Identification :
Partir du calcul du moment d’inertie d’un triangle
par rapport à sa base.
d PROBLEME 2
Déterminer le diamètre « d » d’un poinçon

cylindrique ainsi que l’effort P à lui fournir pour
percer une tôle d’épaisseur e = 10 mm. La contrainte
P de résistance à la compression du poinçon est de
e σ = 50 kg/mm² . La contrainte de rupture au
cisaillement de la tôle est de τT = 25 kg/mm² .
P
PROBLEME 3
Calculer les épaisseurs d’un mur de maçonnerie, à

a1 h1 redans, et embase ci-contre de largeurs a1 , a2 , a3
données, sachant que la résistance maximale d’un
embase sol est de R1 kg/cm² et la résistance à la compression
de maçonnerie est de R kg/cm².
h2 Le mur supporte à son couronnement une charge P
a1
par metre linéaire. Soient γ et γ1 les poids
spécifiques de la maçonnerie du mur et de l’embase.
a1 h3
PROBLEME 4
a b
Soit une poutre horizontale en porte à faux à section
q constante sur deux appuis simples, sous l’action
d’une charge uniforme partielle, on demande de :
1. Déterminer les diagrammes des efforts
C B tranchants T(x) et des moments fléchissants M(x).
2. déterminer la flèche en C.
b a donner les résultats en fonction de q ,b et a.
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TEST PSYCHOTECHNIQUE
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Matière : TESTE PSYCHOTECHIQUE
Durée : 1 heure
RECOMMANDATIONS :
1. Utilisez exclusivement un stylo bleu ou noir.
2. Pour chaque question, cochez la case correspondant à la bonne réponse selon votre choix.
3. L’usage de machine à calculer ou de règle à calculer est interdit.
4. N’indiquez qu’une seul réponse par question et répondez à toutes les questions.
I. II. III. IV.

CONNAISSANCES LOGIQUE MATHEMATIQUES SCIENCES PHYSIQUES
NOM ET PRENOM : ………………………………………………………………………
NUMERO DE CONCOURS : ……………………………………………………………..
CENTRE DE CONCOURS : ………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
R A B A T R E S U I V A N T C E P O I N T I L E
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Page n° 1
I – CONNAISSANCES GENERALES
1. Parmi ces quatre provinces de Madagascar, la plus grande en superficie est :
A: FIANARANTSOA B : TULEAR
C : MAJUNGA D : TOAMASINA
2. Le plus haut sommet de l’Afrique, le Kilimandjaro, se trouve :
A : au KENYA B : en OUGANDA
C : en TANZANIE D : en ETHIOPIE
3. Le capitale fédérale du Canada est :
A : Moncton B : Ottawa
A: Montréal D : Quebec
4. Le seul mammifère qui peut s’agenouiller sur ses quatre pattes est :
A : le chameau B : le chat C : le dromadaire D : l’éléphant

5. L’élevage des poissons s’appelle :
A: l’aquaculture B : la pisciculture
C : l’algoculture D : l’héliciculture
6. L’appareil qui sert à mesurer la vitesse du vent s’appelle :

A: l’anémomètre B : l’héliomètre
C: le baromètre D : l’altimètre
7. La magnitude d’un séisme est mesurée à l’aide de l’échelle de :

A: Neper B : Richter
C: Celsius D : Réaumur
8. La navette spatiale américaine qui a explosé juste après son décollage s’appelle :
A : Colombia B : Challenger
C : Atlantis 9. D : Discovery
Une otalgie est :
A : une douleur du pied B : une douleur des os

C : une douleur de la langue D : une douleur de l’oreille
10. En athlétisme, l’épreuve du marathon se court sur une distance de :

A : 42,195 km B : 42,095 km
C : 42,175 km D : 42,075 km
THOA THOA
PFD-FX-C ONLS
GE PFD-FX-C ONLG
SE
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Page n° 2
II – LOGIQUE
1. Trouver l’intrus :
A: inclassable B : inflammable C : incassable D : incessable
A: Ecole B : Stop C : Arrêt D : Bus
3. Compléter la série des mots suivante : Diapason ; Lubie ; Marelle ; Méhari ; ? ;

Vertige ; Sablier.
A : casquette B : Horloge B : Balançoire D : Jeux
4. Compléter la série des chiffres suivante : 4 ; 8 ; 6 ; 12 ; 10 ; ? ;
A: 14 B : 16 C : 20 D : 18
5. Compléter la série des mots suivante : mince ; fluet ; creux ; petit ; ? ;
A: épais B : mesure C : grave D : nabot
6. Compléter la série des chiffres suivante : 350 ; 371 ; 413 ; 476 ; 560 ; ? ;
A : 594 B : 581 C : 665 D : 634
7. Compléter le dernier couple : France–Citroën ; Japon-Isuzu ; Italie–Fiat ; Suède- ? ;

A : Opel B : Volvo
C : Lancia D : Daewoo
A : Agate B : Béryl
C : Citrate 9. D : Saphir
Trouver l’intrus :
A : 106 B : 205 D
C : 306 : 307
A : Éclairs B : Tonnerre
C : Chute D : Pluies
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Page n° 3
III – MATHEMATIQUES
1. 32 = ?
A : 5,654 B : 5,655
C : 5,656 D : 5,657
3
2. 3=?
A : 1,42424 B : 1,44224
C : 1,42244 D : 1,44422
3. Pour convertir une grandeur exprimée en mile nautique, en mètre, il faut multiplier cette
grandeur par :
A : 1852 B : 1601
C : 1718 D : 1515
4. Le volume d’un cylindre creux est égal à :
A:V= R²(H − h) B:V= H(R² − R'²)
C:V= H(R² − R'²) D : V = H.R².R'²
5. a3 – b3 = ?
A : (a – b) (a² - b²) B : (a + b) (a² - b² - ab)

C : (a + b) (a² - b²) D : (a – b) (a² + b² + ab)
6. ∫ = ?
A: + B: +
C : Log(Logx) + k D: + +k
7. sinxdx = ?
A: B:0
C:1 D : -1
8. Log(1 + x)dx = ?
A: B:
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Page no 4
C: D:
9. –π/ 2≤ arcsin u ≤+π/ 2 (arcsin u) = ?
A: B:−
√ √
C: D:
√ √
10. Quel est le nombre de droite dans cette figure ?
A : 40 B : 42
C : 44 D : 46
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IV - SCIENCES PHYDIQUES ET TECHNIQUES
1. Quelle est la définition exacte d’un newton (1 N) ?

A: 1 N est la force qui donne à la masse de 9,81 kg une accélération de 9,81 m/s².
B: 1 N est la force qui donne à la masse de 1 kg une accélération de 9,81 m/s². C:
1 N est la force qui donne à la masse de 9,81 kg une accélération de 1 m/s². D: 1
N est la force qui donne à la masse de 1 kg une accélération de 1 m/s².
2. Les plus petites particules d’un élément sont :
A : les molécules B : les protons C : les atomes D : les ions
3. A l’aide d’un treuil, une charge de 50 kg est soulevée de 10 mètres en 2 secondes.
Quelle est la puissance du treuil ?
A : 2453 Nm/s B : 2500 Nm/s C : 250 m.kg/s D : 1000 m.kg/s

4. Quelle donnée concernant la réduction des unités est fausse ?
A : déci pour 10-2 B : milli pour 10-3

B C : micro pour 10 -4 D : centi pour 10-2
5. Le nombre de tours d’un agitateur est n = 3 t/s. Si le diamètre est de 2 m, quelle est la
vitesse à la périphérie de l’agriculture ?
A : 6 m/s B : 3 m/s C : 18,9 m/s D : 1,5 m/s
6. Quel est le volume d’un corps ayant une masse de 85 kg et une densité de 2,5 g/cm3 ?
A : 2,125 m3 B : 34 dm3 D : 212,5 dm3 C : 3400 cm3

7. On définie la différence de charge entre deux corps comme :
A : la tension électrique B : l’intensité du courant électrique
C : la résistance électrique D : la conductibilité électrique
8. Quelle matière conduit le courant électrique ?
A : solution aqueuse de sel de cuisine B : l’eau pur

C : verre D : matière plastique
9. Quel est le meilleur moyen pour faire évaporer un liquide ?
A : apport de chaleur ou accroissement de la pression
A : apport de chaleur et accroissement de la pression
B : apport de chaleur ou diminution de la pression
C : apport de chaleur et diminution de la pression
10. Quelle teneur en oxygène doit avoir au minimum l’air pour ne pas présenter de danger
d’asphyxie pour l’homme ?
A : 21 % vol. B : 15 % vol. C : 11 % vol. D : 7 % vol.

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I - CONNAISSANCES GENRALES
1. Le gisement de SAKOA se trouve dans la province de TOLIARA et renferme du :
A : NICKEL B : CHARBON
C : PETROLE D :FER
2. Madagascar possède un gisement d’ilménite important, ce gisement se trouve dans la
région de :
A : TOLAGNARO B :TOAMASINA
C : MAHAJANGA D : TOLIARA
3. Le mille nautique équivaut à :
A : 1000 m B : 1500 m
C : 1580 m D : 1852 m
4. La capitale de l’Afrique du Sud est :
A: WINDHOEK B : JOHANNESBORG
C : PRETORIA D : CAPTOWN
5. La première liaison aérienne sans escale de New York à Paris a été effectuée par :
A: Charles LINDBERGH B : Louis BLERIOT
C : Michaël STORM D : Georges GUYNEMER
6. Quelle est la langue la plus parlé du monde ?

A: L’ANGLAIS B : LE CHINOIS
C : LE FRANCAIS D : L’ESPAGNOL
7. Quelle est la planète la plus proche du soleil ?

A: MERCURE B : PLUTON
C : SATURNE D : VENUS
8. Les lois de l’attraction universelle ont été découverte par :
A : GALILEE B : COPERNIC
C : NEWTON D : EINTEIN
9. L’écriture « BRAILLE » est utilisée par :

A : LES STENOGRAPHES B : LES MILITAIRES
C : LES AVEUGLES D : LES ARABES
10. L’UNESCO a été créé en :
A : 1945 B : 1947
C : 1946 D : 1948
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II – LOGIQUE
1. Dans le souci de logique alphabétique, quel nom doit-on écarter de la série suivante :
A : RASOA B : RIANA
C : RAEVA D : ROMBA
2. Quel nombre complète la série suivante : 1275 ; 2373 ; 3372 ; ? ; 5253.
A : 4376 B : 4263
C : 4193 D : 4351
3. Parmi les quatre mots ci-après, un mot se distingue des trois autres. Lequel§ ?
A : MYRIAM B : PATRICIA C : ELEONORE D : ARIELA

4. On donne la suite ci-dessous. En suivant l’ordre des flèches, déterminez le nombre à
inscrire dans le cercle laissé en blanc.
3 10 5 26 12
7 21
5 6 12 11
5 11 ? 23
6 9
Est-ce ?
A : 14 B : 18
C:6 D:2
5. Quel nombre minimum d’allumettes bien assemblées doit-on utiliser pour constituer 5
carrés ?
A : 15 B : 16 C : 12 D : 20
6. Sortez l’intrus des groupes suivants :
A : FRANCE – GABON B : SUISSE – NIGERIA

C : ALLEMAGNE - SENEGALE D : ESPAGNE - HAÏTI
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7. On donne la suite des fractions suivantes : ; ; ; ;?
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lic
C
C
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.c
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.
.
ac ac
A: B:
C: D:
8. Formez un ensemble rationnel en inscrivant les lettres manquantes dans la dernière des trois figures.
C E O
E H G J
G I S
A: Q T B: A D
C: F I D Q
D:
9. Complétez la série logique de doublets suivants : 4 ; 8 – 12 ; 24 – 36 ; 72 - ?; ?

A : 48 ; 96 B : 108 ; 216
C : 144 ; 288 D : 52 ; 104
10. Complétez le nombre manquant :
12 13 14 15
27
29
25
52 56
A : 100
B : 80
C : 108
? D : 96
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Page n° 3
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k e r- s o ft w k e r- s o ft w a
III – MATHEMATIQUES
1. Un pilote d’avion mesure sur une carte au 1/200000è, la distance qui sépare deux villes, soit 80 cm.
Quelle est sa vitesse moyenne, s’il effectue le trajet en 30 mn.
A : 160 km/h B : 320 km/h
C : 300 km/h D : 640 km/h
2. Donnez la mesure en décigrades d’un angle de 72°
A : 720 dgr B : 720 dgr

C : 144 dgr D : 800 dgr
3. D’un sac plein de sable, on retire le quart du contenu, puis le tiers de ce qu’il y reste, et ensuite le
cinquième du poids restant. Le sac pèse alors 16 kg. Quel est le poids du sac plein ?
A : 40 kg B : 30 kg
C : 50 kg D : 32 kg
4. La surface latérale d’une pyramide régulière dont le périmètre mesure 8 m, est 25,12
m². Quelle est la longueur de l’apothème ?
A : 3,14 m B : 8,26 m
C : 6,28 m D : 6,18 m
5. Quelle est la longueur d’un arc de cercle de 18° dans un cercle de 50 cm de rayon ?
A : 18,21 cm B : 17,50 cm
C : 9,12 cm D : 15,70 cm
6. Un bateau garde côte qui a une vitesse de pointe de 20 nœuds, poursuit un bateau de pêche pirate qui
file à 35 km/h.
A: Le bateau garde côte est 1,51 fois plus rapide que le bateau pirate.
B: Le bateau garde côte est 1,06 fois plus rapide que le bateau pirate.
C: Les deux bateaux ont même vitesse.
D: Le bateau garde côte est 1,16 fois moins rapide que le bateau pirate.
7. ?
A : − ln| 2 − 3 |+ B:
| |
+
C:7 + D : ln| 2 − 3 | +
8. Quel est le volume d’une sphère dont le diamètre en cm est égal à la racine cubique de 27 diminué
de la moitié de la racine cubique de 8 ?
A : 41,18 cm2 B : 5,28 cm2
C : 3,47 cm2 B : 6,32 cm2
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9. Le theorème de l’Hospital mentionne : si 2 fonction f(x) et g(x) devienne 0 à x=a, la limite de leur
quotient est egale à la limitent de leurs dérivées respectives.
Calculer la limite de − lorsque x 1
A:0 B:
C:− D : -1
10. Deux entreprise peuvent faire un ouvrage, l’une en 12 jours et autre en 16 jours. On prend la moitié
des ouvriers de la première entreprise et les 2/3 des ouvriers de la deuxième. Combien de temps
mettront-elles ensemble pour construire cet ouvrage ?
A :14 jours B : 8 jours
C : 10 jours D : 12 jours
IV- SCIENCES PHYSIQUES ET TECHNIQUE
1) Lors de la célébration de la fête nationale, vous êtes désignés comme responsables de lancement de
ballons. Quel gaz allez-vous utiliser pour remplir les ballons ?
A : AIR B : DIOXIDE DE CARBONE
C : CHLORE D : HELIUM
2) Le psi est une unité de pression et veut dire :
A : POUND PER SQUAR INCH
B : PRESSION PAR SURFACE INTEGREE
C : PRESSURE PER SQUARE INCH
D : PRESSION PAR SURFACE INTERNE
3) Le laiton est un alliage de :
A : CUIVRE et d’ETAIN B : PLOMB et d’ALUMINIUM

C : CUIVRE et de ZINC D : FER et d’ETAIN
4) On remplit un récipient de 5l avec 1l d’eau à 40 C, 1l d’eau 90o C, le reste avec de l’eau à 30oC.
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Quelle est la température du mélange après stabilisation ?

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CONCOURS D’ENTREE EN PREMIERE ANNEE - 2003
II. LOGIQUE
1. indiquer le mot qui suit cette liste :
Antananarivo - Voiture - Recharge - ? -
A : Avion B : Tamatave C : Geste D : Mouvement
2. Compléter la série :
France - Antananarivo Pakistan - Paris Argentine - Alger Mali - ?
A : Maroc B : Berlin D : Québec D : Antsirabe
3. Compléter :
Alliance - Bague Cahier - Devoir Elève - ?
A : Enfant B : Parent C : Famille D : Jouet
4. Compléter :
18  16 18  20 18  9 18  ?
A : 19 B : 40 C : 24 D : 36
5. Quel est celui qui est incompatible aux autres ?
A : Carré B : Rectangle C : Cercle D : Triangle
6. Quel nombre complète la série suivante ?
126 - 247 - 379 - 522 - ? - 841
A : 683 B : 676 C : 746 D : 710
7. Chaque lettre correspond à un chiffre, trouver alors le chiffre manquant :
S U I V A N T E
21 5 ? 23 1 17 22 2
A : 20 B:3 C:7 D : 14
8. Effe tue l’op atio o solue si o a :
0+2=2 2+3=5 1+5=6 3+4=? 1+3=4
A:3 B:4 C:0 D:1

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9. Compléter la série suivante :
53 - 165 - 278 - ? - 507 - 623
A : 345 B : 467 C : 292 D : 479
10. Compléter la série suivante :
2127 - 1874 - 1620 - ? - 1109 - 852
A : 1217 B : 1365 C : 1428 D : 1395
III - MATHEMATIQUES
si °
1) =?
c s °
A : 1,414 B : 0,8165 C : 0,8660 D : 1,107
2) Quelle est la su fa e d’u to e de volutio do t le petit diamètre est le quart du grand

diamètre qui est égal à 12 cm ?( = √ )
A : 113,84 cm2 B : 720 cm2 C : 360 cm2 D : 455,37 cm2
3) Trouver ∫ cos
A: + sin + 2x cos + c B: − sin + 2x cos + c
C: + sin - 2x cos + c D: sin - 2x cos + 2 sin + c
4) Une fourmi se déplaçant à 10 inches par minutes, parcourt une distance de 100 cm. Quelle
est la durée du trajet ?
A : 9 mn 3,7 s B : 1 mn 11,4 s C : 3 mn 15,6 s D: 5 mn 11,08 s
5) Trouver ∫ ��
� � � � � � � �
A: �� + +c B: �� + +c C: �� + +c D: �� - +c
9 9
6) Pour un octogone régulier de côté c circonscrit dans un cercle, la mesure du rayon R est :
� √
A:c√ B:c√ C: D:c
7) L’ai e d’u e zo e de i-sphérique est égale à 765 cm2 . Quel est le rayon de cette demi-sphère ?
( = √ )
A : 15,55 cm B : 7,78 cm C : 5,55 cm D : 11 cm

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8) Quel est le p i d’a hat d’u e go e ve due à F g do t le f ais est de % du p i d’achat et le

bénéfice de 15% du prix de revient?
A : 85 Fmg B : 90,32 Fmg C : 100 Fmg D: 84,84 Fmg
9) calculer √ x √
A: 59,397 B: 59,410 C: 58,983 D: 59,389
10) La te p atu e d’u o eau de via de surgelée est de - 85°F. Elle change de 0,7 °C par minute.
Quel sera le temps mis pour avoir la température de 20°C ?
A : 2 h 22,5 mn B : 2 h 1,4 mn C : 2 h 30,7 mn D: 1 h 58,5 mn
IV - SCIENCES PHYSIQUES ET TECHNIQUES
1) Le cartésianisme est la philosophie de:
A : Einstein B : Descartes C : Maxwell D : Newton
2) Dans le groupe (Aciers - Bronzes - Laitons -Maille ho ts), t ouve l’i t us:
A : Maillechorts B : Aciers C : Laitons D : Bronzes
3) Un réservoir de 10 m2 de se tio et de de hauteu est e pli d’eau à as o d. La asse d’eau

contenue dans le réservoir est de :
A : 10 t B : 1011 mg C : 107 kg D : 109 g
4) Parmi les matériaux suivants, lequel est le plus dur ?
A : le marbre B : l’ ei C : le quartz D : le verre
5) Le roulement à bille est une invention :
A : allemande B : japonaise C : française D : américaine
6) Le diamètre de la terre est de 12.756 Km et la vitesse du son est de 1.230 Km.h-1 . Quel est le temps
que met un avion supersonique qui vole à une altitude de 14.866 m avec une vitesse mach 3 (3 fois la
vitesse du son) pour faire le tour de la terre ?
A : 9 h 53 mn B : 10 h 53 mn C : 11 h 53 mn D: 12 h 53 mn
7) L’a ide a o i ue H2CO3 est un diacide dont les pKA so t , et , . Quel est le pH d’u solutio
molaire de bicarbonate de sodium NaHCO3 ?
A : 3,25 B : 6,50 C : 8,4 D : 10,30

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8) L’aspa ta e e pla e le su e pou les dia ti ues. La dose jou ali e auto is e pa pe so e est
de 40 mg par kg de son popids. Quel volume de boisson contenant 0,5 g.l-1 d’aspa ta e peut boire
par jour un diabétique de 50 kg ?
A : 1 litre B : 2 litres C : 4 litres D : 8 litres
9) U o de sateu de apa it C = F, est ha g à l’aide d’u g ateu de te sio o sta te

U=10 V. Quelles sont les charges prise par chacune des armatures (en valeur absolue) ?
A : 10-9 F B : 10-6 F C : 10-3 F D : 10-1

F
10) U o jet ’est vu ette e t pa l’œil ue si so i age se fo e su la ti e situ e à du
Quelle est la distance focale image du cristallin ?
A : 1,5. 10-4 m B : 1,5. 10-3 m C : 1,5. 10-2 m D:
I . CONNAISSANCES GENERALES
1) La première République Malgache a été proclamée le :
A : 26 juin 1960 B : 10 juin 1959 C : 10 octobre 1958 D : 14 octobre 1958
2) Le savant Albert Einstein est de nationalité :
A : juive B : américaine C : allemande D : française
3) Le format de papier A4 est de dimension :
A : 420x297 B : 210x297 C : 420x594 D : 210x594
4) Laquelle de ces planètes se trouve à côté de la terre :
A : Mercure B : Venus C : Jupiter D : Neptune
5) Le P side t e e e i e de l’U it Af icaine est originaire de :
A : Ghana B : Sénégal C : Afrique du Sud D : Maroc
6) Le uel de es pa s ’est pas de l’OPEP :
A : Venezuela B : Koweït C : Nigeria D : Afrique du Sud
7) Le BURINDI a pour capitale :
A : Maputo B : Kigali C : Bujumbura D : Harare

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8) Sur quelle mer se trouve la Croatie?
A : Adriatique B : Noire C : Méditerranée D : Caspienne
9) T ouve l’ l e t i t us da s la liste :
A : Hélium B : Vanadium C : Ruthénium D : Rhodium
10) Le uel de es pe so alit s ’ tait pas P side t des Etats-Unis:
A : Truman B : Marshal C : Eisenhower D: Nixon
II. LOGIQUE
1) Compléter la série suivante: GLACE-NEIGE-FROID- … ?...... GAZON-SOUTENEMENT-TALUS-BRIQUE
A : SORBET B : PORTE C : MIROIR D : SOLIDE
2) Quel est l’ l e t i t us da s le g oupe ?
A : Fer B : Mercure C : aluminium D : Zinc
3) Compléter la série : 25 - 36 - 46 - 55 - ? -
A : 61 B : 63 C : 72 D : 65
4) Quel mot complète la série ? BATIMENT - CHIMIE - MINES - HYDRAULIQUE - … ?......
A : Carrière B : Ingénieur C : Moteur D : Electronique
5) Quel chiffre complète le tableau suivant ?

6 ? 10
2 1 3
8 5 13
A:2 B:4 C:8 D : 16
6) Parmi les matériaux ci-après, un se distingue des trois autres. Lequel ?
A : CIMENT B : BRIQUE C : CHAUX D : PLATRE
7) Quel nombre complète la série suivante ? 84 - 115 - 146 - ? - 208 - 239
A : 167 B : 177 C : 187 D : 157
8) Quel nombre complète la série suivante ? 1275 - 2373 - ? - 4362 - 5343
A : 3282 B : 4022 C : 3328 D : 3194
9) So ti le g oupe ui ’est pas o pati le ave les aut es :
A : France-Corse B : Italie-Sardaigne C : Madagascar-Nosy Bé D : Espagne-Chypre

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10) Quel nombre complète la série suivante ? 83 - 119 - 156 - 194 - 233 - ? -
A : 273 B : 253 C : 263 D : 285
III. MATHEMATIQUES
cos °
=?
sin °
A : 1,732 B :1,220 C : 0,707 D : 1,020
2) Quelle est la racine carrée de 48 ?
A= 3,464 B : 6,928 C : 4,494 D : 5,196
) Quelle se a le p i d’a hat d’u ahie ve du à 4.400Fmg pour avoir un bénéfice de 8% ?
A : 3.400 Fmg B : 4.000 Fmg C : 4.400 Fmg D: 4.500 Fmg
)Quel est le ôt d’u he ago e i s it da s u e le dont le diamètre est égal à 4 cm ?
A : 1,80 m B : 2,20 m C : 2,0 m D : 2,30 m
5) Trouver ∫ √ + en posant + =v
A: + 3/2 + c B: + 1/2 + c C:
9
+ +c D: + 2+ c
) L’ai e d’u t ia gle uilat al de ôt est :
√ √ √ √
A: B: C: D:
7) Calculer √ x√
A : 32,496 B : 33,270 C : 32,120 D : 31,982
) U ateau se d plaça t à œuds, va d’u po t A à u g a d po t B, se t ouva t à k de A. Quelle est

la durée du trajet ?
A:2h B : 1 h 37 mn C : 2 h 10 mn D: 1 h 50 mn
9) U fou i se d plaça t à pou es pa se o de, va d’u poi t A à u poi t B, dista t de . Quelle est
la durée du trajet ?
A : 60 s B : 45 s C : 20 s D : 35 s
10) + =?
A: − + + B: + − +
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C: − + + D: + + +
) L’e p essio e a te du ha p de g avitatio G u’e e e u e pla te de asse M et de a o R su

une masse m qui se trouve à une altitude z est:
A : G = Km/(R+z)2 B : G = KM/(R+z)2 C: G = KMm/(R+z)2 D: G = K(R+z)2/Mm
2) Un ressort est accroché à une de ses extrémités à un support fixe. On accroche une masse de 200 g à
l’aut e e t it et o e egist e u allo ge e t de . La valeu de la o sta te de raideur k du
ressort est :
A : 0,02 N.m-1 B : 0,2 N.m-1 C : 20 N.m-1 D : 200 N.m-1
3) La définition de la résistance passive est:
A : force accompagnant le mouvement B : fo e s’opposa t au ouve e t
C : force favorisant le mouvement D : force nulle
4) Un rayon lumineux to e su u i oi pla sous u e i ide e de °. Quelle est la valeu de l’a gle
de réflexion ?
A : 60° B : 45° C : 30° D : 15°
) Le pH d’u e solutio a ueuse de i a o ate de sodiu NaHCO3 (pKA1 = 7,1 ; pKA2 = 11,1) est :
A : 9,1 B : 4,1 C : 7,1 D : 13,1
6) Après combien temps une personne entend-elle le uit d’u e e plosio ui se p oduit à 000m
d’elle, si la vitesse de p opagatio de so est de 224 km/h ?
A : 14,7 s B : 13,8 s C : 16 s D : 17,5 s
7) Un des termes chimiques suiva t ’est pas elatif au iso es :
A :Conformation B : Position C : Dismutation D : Constitution
) Les o pos s o ga i ues a a t is s pa l’e haî e e t -CO-N sont des :
A : Amines B : Acides C : Amides D : Anhydrides
9) Quelle est la masse approximative de 1 litre de ciment ?
A : 1 Kg B : 2Kg C : 3 Kg D : 4 Kg
) L’e p essio du appo t [H 3O+]/[OH-] en fonction de pH et du pKe est :
A : 10-pH/10(-pH + pKe) B : 10-pH/10(pH - pKe) C: 10-pH/10(pH + pKe) D: 10-pH/10(-pH - pKe)

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I . CONNAISSANCES GENERALES
1. Madagascar devient autonome après la colonisation en :
A : 1956 B : 1947 C : 1958 D : 1972
. U de es pa s ’est pas e es de l’OPEP. Le uel ?
A : Israël B : Irak C : Venezuela D : Nigeria
3. Une des planètes suivantes est plus proche de la Terre. Laquelle ?
A : Mercure B : Mars C : Jupiter D : Uranus
. Le d apeau atio al de l’u de es uat e pa s ’a ue deu ouleu s. Le uel ?
A : Russie B : Maurice C : Borneo D :Indonésie
5. La plus grande île du monde est :
A : Madagascar B : Groenland C : Suisse D : Italie
6. Les premiers Jeux Olympiques modernes se déroulaient en :
A : 1900 B : 1896 C : 1904 D : 1893
7. Le scléromètre est un appareil qui sert à mesurer :
A : la fluidit d’u gaz B : la vitesse C : la du et d’u solide D : la température
. La apitale f d ale de l’Alle ag e est :
A : Bonn B : Berlin C : Munich D : Stuttgart
9. Le taux le plus élevé du Sida dans le monde se trouve :
A : en Afrique B : aux Etats-Unis C : en Chine D : en Thaïlande
10. Le plus haut sommet du monde est :
A : l’Hi ala a B : les Alpes C : Fuji D : Everest
II. LOGIQUE
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1. Quel mot complète la série suivante :
MANIOC - CAROTTE - PATATE - ? - GINGIMBRE - BETTERAVE - NAVET
A : IGNAME B: TOMATE C: MAIS D: ARTICHAUT
2. Compléter la série : 37 - 43 - 50 - 58 - ? -
A : 65 B : 67 C : 69 D : 63
. Da s la s ie des ots, he he l’i t us .
A : volige B : panne C : madrier D : ciment
4. Quel nombre complète la série suivante : 1263 - 1299 - ? - 1412 - 1493
A : 1324 B : 1348 C : 1353 D : 1336
5. Quel nombre complète la série suivante : 28 - 149 - ? - 462 - 658
A : 316 B : 246 C : 275 D : 293
6. Compléter la série : zébu-chaîne ; okapi-cocotier ; élan-peuplier ; zèbre- ?;
A : avocat B : habitat C : musique D : hêtre
. So ti le g oupe ui ’est pas o pati le ave les aut es :
A : Frère-Tante B : Oncle-Ami C : Père-Bru D : Mère-Neveu
8. Quel chiffre complète le tableau suivant ?
5 8 9
13 ? 3
4 8 12
A:6 B:7 C:8 D:9
9. Quel chiffre complète la série suivante ? 78 - 199 - 55 - 224 - ? -
A : 125 B : 63 C : 28 D : 37
10. Compléter la série suivante : MAISON - GARAGE - ? - JARDIN - CLOTURE
A : ALLEE B : PORTAIL C : TERRASSE D : VOITURE
III. MATHEMATIQUES
c s °
1. =?
c s °
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A : 1,4142 B : 0,8660 C :1,7320 D : 0,707
2. Pour un triangle uilat al de ôt , la esu e de l’apoth e est :
�√ �√ �
A: B: C:
�√
D:
3. Quel est le bénéfice en vendant du riz à 3570 Fmg acheté à 3400 Fmg le Kg ?
A:7% B : 6,5 % C : 4,76 % D:5%
. Quelle est la su fa e d’u e le da s le uel est i s it u a de de ôt ?
A : 1,047 m2 B : 1,785 m2 C : 1,570 m2 D : 1 m2
5. Trouver ∫ √ + en posant + =�
3/2 3/2
A: + +c B: + +c C: + -3/2 + c D: + -3/2 + c
6. Un cercle a une équation égale à 4x2- 4x + y2 + 4y + 1 = 0. Quels sont les coordonnées de son centre
et son rayon ?
A : (1/2 ; -2) et 2 B : (1 ; -2) et 1 C : (1/2 ; 2) et 1 D : (-1 ; 2) et 1
7. Quel est le dernier chiffre de cette série : 43 - 78 - 113 - 148 - ?
A : 218 B : 203 C : 178 D : 183
√ − √
8. Calculer
A : 14 B : 21 C : 13 D : 28
9. Une fourmi se déplace à une vitesse de 29,528 inches par minute. Quelle est la distance parcourue
en 2 mn 15 s ?
A : 1,687 m B : 1,274 m C : 1,106 m D : 3,375 m
10. x3 + x2y - 3xy2 - 3y3 = ?
A : (x - y) (x2 + xy + 3y2) B : (x + y) (x2 + 3y2) C : (x - y) (x3 + 3y2) D : (x + y) (x2 - 3y2)
1. La pression de 1 pascal est de :
A : 9,81 N.m-2 B : 1 N.m-2 C : 1 Kg.cm-2 D: 1 daN.m-2

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2. Lequel de ces métaux est le plus dense?
A : le fer B : l’alu i iu C: le zinc D : le cuivre
. Da s la s ie d’ l e ts suiva ts, uel est l’i t us ?
A : deutérium B : hélium C : hydrogène D: tritium
2
. Quelle est la asse d’u e a e de plo de de section et de 100 cm de longueur?
A : 1150 g B : 115,0 g C : 11,50 Kg D : 11,50 g
. La te sio au o es d’u e sista e le t i ue de oh s est de volts. L’i te sit du

courant qui passe à travers la résistance est de :
A:5A B:2A C : 1,2 A D : 0,2 A
6. Une voiture ayant une masse de 1400 Kg et lancée à une vitesse constante 60 Km/h, a une quantité
de mouvement égale à (1 Kg = 9,81 N) :
A : 2 520 000 N.m.s-1 B : 24 721 200 N.m.s-1 C : 824 040 000 N.m.s-1 D : 84 000 000 N.m.s-1
7. A quelle distance la Lune se trouve-t-elle si elle ’est visi le à l’œil u’ap s s de so

apparition et que la vitesse de propagation de la lumière est de 3.108 m.s-1
A : 1,488.108 Km B : 1,488.105 Km C : 1,488.108 m D: 1,488.105 m
8. Classer les gaz suivants du plus léger au plus lourd :
A : air, hydrogène, dioxyde de carbone B : dioxyde de carbone, air, hydrogène
C : hydrogène, air, dioxyde de carbone D : air, dioxyde de carbone, hydrogène
9. En ce moment, à Antananarivo, il est 11 heures, à Dhaka 14 heures, à Tokyo 17 heures. A Quelles

heures est-on en Nouvelle Calédonie ?
A : 20 heures B : 19 heures C : 21 heures D : 18 heures
10. Parmi les groupements suivants, quel est celui qui caractérise la fonction alcool ?
A : -COOH B : -COH C : -CHOH D: -COC-

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UNIVERSITE D’ANTANANARIVO

CONCOURS D’ENTREE EN PREM IERE ANNEE

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 1994-1995

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 1995-1996

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 1996-1997

EXERCICE No 1 (sur 5 points)

EXERCICE N°2(sur 8 points)

EXERCICE N°3(sur 7 points)

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 1998-1999

2 – L’isotrope est radioactif. Il de désintègre en noyau de plomb 206 en émettant des

On prépare trois solutions aqueuses :

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 1999-2000

CYCLE INGENIEUR Durée : 2(trois) heures

Masse volumique de l’éthanol : 794g/l

CYCLE INGENIEUR Durée : 2(trois) heures

d’oxydation poussée de l’alcool A

CYCLE INGENIEUR Durée : 2(trois) heures

Exercice 4 : les parties A et B sont indépendantes (5 points)

UNIVERSITE D’ANTANANARIVO Année Universitaire 2005-2006

CYCLE INGENIEUR Documents non autorisés

Les quatre O4 exercices sont obligatoire

EXERCICE 4 : On considère les monoalcools saturés de formule C4H10O.

Traiter OBLIGATOIREMENT les deux questions suivantes :

Année Universitaire : 1995 – 1996

L’emploi des jeunes est la plus grande préoccupation d’une société

1-Donner la signification des mots suivants (4 points)

Traiter obligatoirement les deux questions suivantes :

L’EVENEMENT DU JEUDI - 11 AU 17 JUIN 1992

1°) Donner la signification des mots et ou expressions suivantes :

Année Universitaire : 1997 – 1998

Voici un texte pour le samedi 06 septembre 1997 dans le quotidien « L’EXPRESS

LA BALLE EST DANS NOTRE CAMP.

La coopération avec la France clôture ces IIIè Jeux de la Francophonie et nous

En ce sens, le secrétaire d’état français à la coopération a un discours intéressant.

I. Compréhension écrite (sur 10 points )

Année Universitaire : 1998 – 1999

I-Texte (Extrait de l’EXPRESS du 18-09-98)

TELECEL – TOUR OPERATORS

L’objectif est clair pour Telecel : contribuer à la promotion du tourisme en apportant

La question des tarifs, les locations et mises à disposition de portables cellulaires…,

II- 1 Compéhension écrite

II- 2 Expression écrite

1. EXPRESSION ECRITE (16 points)

16 ans. C’est l’âge du premier rapport sexuel dans la province de Mahajanga. Et ce

CYCLE INGENIEUR Documents non autorisés

En déduire le module et l’argument de z0 = z1 . Utiliser ces résultats pour calculer cos

U = 1 + Cncos x + Cncos 2x + ... + Cncos nx

V = Cnsin x + Cnsin 2x + ... + Cnsin nx

Montrer que l’application la : f la(f) est linéaire sur ξ

U1 = a , U2 = b , U3 = 1 ( U1 + U2 ) , ... , Un = 1 ( Un−2 + Un−1 ) , ... , a , b ∈ R

c) En déduire la limite de la suite (Wn) définie par : Wn = 1 + 1 + ... + 1 lorsque n tend

. Etudier la continuité et la dérivabilité de f sur [ 0 , +∞ [ .

CYCLE INGENIEUR Documents non autorisés

soit la fonction définie par f(x) = x Log (1 + 1 )

4) a – Vérifier que z est une racine carrée de 1 – z’

On se donne la suite réelle un définie par : Un = n n

En remarquant que n = (1 + vn)n, montrer que v2n < 2

2°) Soit la suite réelle un définie par : un = n + n + ... + n

CYCLE INGENIEUR Documents non autorisés

EXERCICE 1 : n étant un nombre entier supérieur ou égal à 1, on pose :

En remarquant que, retrouver l’expression de S1 en fonction de n.

b) En calculant [S1(k)]² − [S1(k − 1)]²

Vérifier ce résultat par récurrence sur n, n ∈ N*

EXERCICE 2 : (Un)n∈N étant une suite géométrique de raison q et premier terme U0