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Version 1 - 11/07/22
Table des matières
1 Résultat numérique 1
1.1 Écriture scientifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.2 Chiffres significatifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
1.3 Récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1
2 Système d’unités 2
2.1 Préfixes et suffixes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
2.2 Conversions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
2.3 Ordres de grandeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
2.4 Récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
3 Analyse dimensionnelle 4
3.1 Détermination d’une unité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
3.2 Dimension d’une unité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
3.3 Grandeur sans dimension . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
3.4 Récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
4 Techniques expérimentales 6
4.1 Types de verrerie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
4.2 Instruments de mesure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
4.3 Le multimètre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
4.4 L’oscilloscope . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
4.5 Protocoles usuels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
4.6 Récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
5 Mesures de grandeurs 11
5.1 Vocabulaire de la mesure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
5.2 Vocabulaire de l’erreur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
5.3 Incertitude-type de catégorie A . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
5.4 Incertitude-type de catégorie B . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
5.5 Comparaison à une valeur de référence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
6 Langage Python 15
6.1 Variables et fonctions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
6.2 Boucles et conditions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
7 Calcul vectoriel 16
7.1 Produit scalaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
7.2 Produit vectoriel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
7.3 Produit mixte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
7.4 Dérivée temporelle d’ordre 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
7.5 Dérivée temporelle d’ordre 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
7.6 Récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
8 Opérateurs vectoriels 18
8.1 Gradients . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
8.2 Divergence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
8.3 Rotationnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
9 Réponses et corrigés 20
9.1 Récapitulatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
Présentation et mode d’emploi
À quoi sert-il ?
En physique-chimie, le sens de la démarche est fondamental. Sans lui, il est impossible de correctement
appréhender un problème concret. De même que l’on doit faire des gammes et beaucoup pratiquer
lorsque l’on apprend un instrument, on doit s’imprégner d’une manière de penser lorsque l’on pratique la
physique-chimie dans l’enseignement supérieur, notamment en classes préparatoires scientifiques.
Un travail personnalisé
Choisissez les fiches que vous faites en fonction des difficultés que vous rencontrez et des chapitres que
vous étudiez, ou bien en fonction des conseils de votre professeur de physique-chimie. Pensez aussi à
l’utiliser à l’issue d’un devoir surveillé ou d’une colle, lorsque vous vous êtes rendu compte que certains
points étaient mal maîtrisés. Enfin, ne cherchez pas à faire linéairement ce cahier : les fiches ne sont pas à
faire dans l’ordre, mais en fonction des points que vous souhaitez travailler.
Un travail régulier
Essayez de pratiquer les fiches à un rythme régulier : une quinzaine de minutes par jour par exemple.
Privilégiez un travail régulier sur le long terme plutôt qu’un objectif du type "faire 10 fiches par jour
pendant les vacances". Point important : pour assimiler une méthodologie, il faut la reproduire. C’est pour
cela que nous avons mis plusieurs exemples illustrant chaque point abordé. Il peut être utile de parfois
refaire certains calculs : n’hésitez pas à cacher les réponses déjà écrites dans les cadres, ou à écrire vos
réponses dans les cadres au crayon à papier.
Un travail efficace
Attention à l’utilisation des réponses et des corrigés : il est important de chercher suffisamment par vous-
même avant de regarder les réponses et/ou les corrigés. Il faut vraiment réaliser une phase de recherche
afin que le corrigé vous soit profitable. N’hésitez pas à ne faire qu’en partie une feuille : il peut être
utile de revenir plusieurs fois à une même feuille, afin de voir à quel point telle technique a bien été assimilée.
Quelle progression ?
Avoir de solides bases méthodologiques s’acquiert sur le long terme, mais si vous étudiez sérieusement les
fiches de ce cahier, vous verrez assez rapidement des progrès apparaître, en colle, en devoirs, etc. Une
bonne connaissance du cours combinée à une plus grande aisance en méthodologie scientifique, c’est un
très beau tremplin vers la réussite en classes préparatoires et dans toutes vos poursuites d’études !
1 | Résultat numérique
Pour bien comprendre :
Un résultat scientifique s’appuie sur des données chiffrées. Il est caractérisé par son nombre
de chiffres significatifs, c’est-à-dire les chiffres pour lesquels la précision est crédible (les autres
étant exclus). Par soucis de rigueur et pour comparer plus facilement des résultats, on utilise
la notation scientifique a×10b avec 1 ≤ a < 10 (a comportant le bon nombre de chiffres significatifs).
1
d.) 23, 56 × 12, 768 . . . . . . . . . . . . . . . . . i.) 490 × 3, 21 4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
e.) 2302 × 2, 067 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . j.) 3, 0 × 340
2×10−3
...................
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 2
2 | Système d’unités
Pour bien comprendre
Un résultat exprimé sans unité est dénué de signification car on ne peut pas savoir de quoi il est
question (d’un temps, d’une longueur, d’une somme d’argent, d’une nombre d’objets,...). Une
application numérique est donc un résultat chiffré auquel doit systématiquement succéder une
unité. Il existe une très grande variété d’unités, d’une part parce qu’il existe plusieurs unités pour
une même grandeur (litre L et mètre-cube m3 sont de unités de volume,...) et d’autre part que
chacune possèdent des multiples (méga-, kilo-,déca-,...) et des sous-multiples (centi, milli-, nano-,...)
Objet
Taille typique
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 2
Masse volumique : ρ= M
V = M
S×∆h = M
L×l×∆h
g
Applications Numériques : ρmin = = kg.L−1
15 ×0,5 × dm
kg
ρmax = = kg.L−1
m× m× m
En conclusion, la masse volumique d’un corps humain est de l’ordre de , ce qui correspond assez
bien à une composition riche en eau. Cela explique par ailleurs qu’il soit plus facile t’atteindre le fond du
piscine avec les poumons partiellement remplis.
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 3
3 | Analyse dimensionnelle
Pour bien comprendre
S’il existe une infinité d’unité, il n’existe qu’un nombre réduit de dimensions. Le système
international (SI), inspiré du système métrique, en comptabilise sept (masse M , longueur L,
temps T , température Θ, intensité électrique I, quantité de matière N , intensité lumineuse J).
Toute unité est décomposable en sous la forme Mα .Lβ .Tγ .Θδ .Iϵ .Jζ avec (α, β, γ, δ, ϵ, ζ) ∈ R7 ,
donc une unité est définie dans un espace à sept dimensions. L’analyse dimensionnelle per-
met d’étudier une situation par l’intermédiaire des grandeurs physico-chimiques qui la caractérisent.
|m1 | |m2 |
Fg = G
r2
avec G = 6, 61 × 10−19
1 |q1 | |q2 |
Fe =
4πϵ0 r2
avec ϵ0 = 8, 99 × 109
kiogramme (kg) • • L2
joule (J) • • M.L2 .T−1 .I−2
milli-ohm (mΩ) • • Θ.L−1
masse volumique (kg.m−3 ) • • M.L2 .T−1
kelvin par mètre (K.m−1 ) • • 1
centimètre par seconde (cm.s−1 ) • • L.T−1
tour par minute (tpm) • • T−1
mégahertz (MHz) • • M.L−3
densité (∅) • • M
micromètre (µm) • • L
radian (rad) • • L3
centilitre (cL) • • J.L3
Indice : pour les cas moins évidents, on pensera à s’appuyer sur des relations connues comme la définition
d’une fréquence, la loi d’Ohm, l’énergie potentielle de pesanteur,...
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 3
On souhaite construire un nombre adimensionné k à partir d’une vitesse V , d’une longueur L0 , une masse
volumique ρ et d’une viscosité dynamique η. On donne dim(η) = [Poiseuille] = M.L−1 .T−1 .
■ dim(V )= [Mètre]/[Seconde] =
■ dim(L0 )= [Mètre] =
■ dim(ρ)= [Grammes]/[Centimètre]3 =
■ dim(η) = [Poiseuille] = M.L−1 .T−1
= 0
α =
= 0 ⇔ β =
=
= 0 γ
Finalement on a k =
■ dim(m) =
■ dim(ρ) =
■ dim(D) =
Ainsi on peut écrire dim(∆t) =
⇔
Finalement on a ∆t ∝ .
Si la masse de l’aliment est doublée, le temps de cuisson idéal sera multiplié par .
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 4
4 | Techniques expérimentales
Pour bien comprendre
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 4
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 4
Verbes d’actions : Ajouter Compléter Homogénéiser Introduire Placer Plonger Positionner Prélever Régler
Relever Rincer Sortir Tarer
Matériel : Bain-marie Balance Fiole jaugée Calorimètre Lentille Miroir Objet Sonde ph-métrique Source
lumineuse
Matériel complémentaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Matériel complémentaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Matériel complémentaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 4
■ la à l’eau distillée.
Matériel complémentaire ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Matériel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Protocole :
■ Détermination de R
■ Détermination de ρbille
■ Détermination de vlim
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 5
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 5
5 | Mesures de grandeurs
Pour bien comprendre
La mesure permet de faire le lien entre le monde des idées et le monde réel, c’est-à-dire
entre les théories et les phénomènes. Une expérience de mesure est le résultat d’une succes-
sion de processus, apparents ou non-apparents, complexe ou non : il existe donc une certaine
variabilité de la mesure qui est quantifiée par les calculs d’incertitudes. On distingue deux approches :
■ L’approche statistique (dite de type A) requiert de réaliser un grand nombre de mesures, nombre
noté N . Le résultat de l’expérience de mesure est alors
m ± u(m)
avec m la moyenne des N mesures et u(m) l’incertitude-type de cette moyenne telles que :
N
1 X
m= mi
N i=1
avec mi les différentes valeurs obtenues au cours des N mesures, et i allant de 1 à N .
v
N
1u 1 X
u
2
u(m) = t (mi − m) .
N N − 1 i=1
■ L’approche non statistique (dite de type B) lorsqu’une mesure sans variabilité observée on ne
peut pas utiliser une approche statistique : on estime la plus petite plage dans laquelle l’expé-
rimentateur est certain de trouver la valeur recherchée. On note m la valeur centrale et ∆ sa
demi-largeur.
Par exemple, lorsqu’on effectue une unique mesure de la masse d’un objet de 100 g à l’aide d’une
balance précise à 1 g près, la demi-largeur est de 1 g : on est sûr de trouver la valeur recherchée
dans l’intervalle [m − ∆; m + ∆], soit [99 g; 101 g]. On peut alors déterminer l’incertitude-type à
partir de la demi-largeur ∆ :
∆
u(m) = √ .
3
■ Intérêt : Après une expérience de mesure, on peut comparer la valeur obtenue à une valeur de
référence afin, par exemple, d’estimer l’erreur de mesure. Cette valeur de référence peut être la
valeur vraie de la grandeur, mais comme cette valeur vraie est par définition inconnue, on utilise
le plus souvent la valeur conventionnellement vraie. Pour comparer quantitativement le résultat
d’une mesure m avec une valeur de référence mref , on utilise le z-score noté Z. Ce dernier est
défini tel que :
|m − mref |
Z= .
u(m)
Le résultat de la mesure est jugé compatible avec la valeur de référence si le z-score est inférieur
à 2 a.
a. Ce seuil de 2 est d’origine historique. On le retrouve dans de nombreux champs scientifiques, comme la
médecine, la pharmacie, la biologie, la psychologie, l’économie, l’écologie, etc. Ce seuil peut différer selon le domaine :
par exemple pour démontrer l’existence d’une nouvelle particule en physique subatomique, il faut atteindre le seuil
minimal de 5.
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 5
1. COmmittee on DATA for Science and Technology, soit Comité de données pour la Science et la Technologie
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 5
U (V) 4,955 5,596 4,271 4,955 5,164 5,371 4,671 4,736 5,393 4,183
b.) Mesure de la distance entre le centre optique d’une lentille O et la position d’une image réelle A.
OA (cm) 24,6 24,5 25,1 25,1 25,3 25,4 24,9 24,8 24,9 25,4 25,3 24,9
c (m.s−1 ) 341,9 350,9 342,2 349,3 352,6 351,8 344,4 348,0 352,2 352,2
b.) Mesure d’une température au cours d’une expérience de calorimétrie à l’aide d’un thermomètre digital.
On a obtenue une valeur θ de 53,1◦ C.
■ L’encadrement de θ est .
■ L’incertitude-type u(θ) associée est .
■ Le résultat de la mesure est .
c.) Mesure du volume d’une solution V dans une fiole jaugée avec une contenance de 200 mL et une
précision de 0,15 mL.
■ L’encadrement de V est .
■ L’incertitude-type u(V ) associée est .
■ Le résultat de la mesure est .
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 5
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 6
6 | Langage Python
Exercice 6.1 | Variables et fonctions
Compléter la structure pour définir une fonction qui renvoie le champ de pesanteur à la surface d’une
planète de masse M et de rayon r sachant que g = GMr2
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 7
7 | Calcul vectoriel
Pour bien comprendre : Pour bien comprendre
Les vecteurs sont des objets mathématiques obéissant aux propriétés des espaces vectoriels. Les
situations réelles conduisent souvent à considérer des vecteurs de dimension n = 3 et à effectuer des
produits scalaires et vectoriels. Les décompositions se font dans les bases orthonormées cartésiennes
(→
−
ex , →
−
ey , →
−
ez ), cylindriques (→
−
er , →
−
eθ , →
−
ez ) ou sphériques (→
−
eρ , →
−
eθ , −
e→
ϕ)
a.) x →
−
ex · (x →
−
ex + y → −
ey ) . . . . . . . . . . . . . d.) z →
−
ez · (z →
−
ez + z →
−
ex ) . . . . . . . . . . . . .
→
− →
−
b.) r er · r er . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e.) E e · (dx e + dy →
→
− →
− −
e ) ..........
x x y
0 f.) a −
e→ →
− →
−
x ϕ · (b eθ + c eρ ) . . . . . . . . . . . . . .
c.) y · 1 . . . . . . . . . . . . . . .
z 0 g.) (ẋ →
−
e + ż →
x
−
e ) · F sin(θ) →
z
−
e ......
x
a.) x →
−
ex ∧ (x →
−
ex + y → −
ey ) . . . . . . . . . . . . d.) z →
−
ez ∧ (z →
−
ez + z →
−
ex ) . . . . . . . . . . . .
b.) r →
−
er ∧ r →
−
er . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e.) E →
−
e ∧ (dx →
x
−
e + dy →x
−
e ) .........
y
0 f.) a −
e→ →
− →
−
x ϕ ∧ (b eθ + c eρ ) . . . . . . . . . . . . .
c.) y · 1 . . . . . . . . . . . . . . .
z 0 g.) (ẋ →
−
e + ż →
x
−
e ) ∧ F sin(θ) →
z
−
e .....x
−−−→ → →
−
= Fmag · −
ez = q →
−
v ∧ B ·→−
ez = q =
Fmag,z ∧ ·
=q →
−
ex + →
−
ey + →
−
ez · →
−
ez
→
=q ·−
ez
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 7
a.) x →
−
ex + y →
−
ey . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
b.) (x2 + y 2 )→
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
c.) x2 →
−
ez + y 2 →
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
d.) r cos(θ) →
−
ex + r sin(θ) →
−
ey . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
a.) x →
−
ex + y →
−
ey . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
b.) (x2 + y 2 )→
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
c.) x2 →
−
ez + y 2 →
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
d.) r cos(θ) →
−
ex + r sin(θ) →
−
ey . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 8
8 | Opérateurs vectoriels
Pour bien comprendre : Pour bien comprendre
Les opérateurs vectoriels sont des fonctions qui, appliquées à un vecteur, renvoient une fonction sca-
−−→
laire ou vectorielle. Les opérateurs principaux : gradient (grad(·)), divergence (div(·)) et rotationnel
−→
(rot(·)) s’obtiennent en appliquant l’opérateur nabla.
a.) div(x →
−
ex + y →
−
ey + z →
−
ez ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
b.) div(yz →
−
ex + xz →
−
ey + xy →
−
ez ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
→
−
c.) ∇ · (x2 + yx + z)→
−
ex + (y 2 + zy + x)→
−
ez + (z 2 + xz + y)→
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
→
−
d.) ∇ · r →
−
er + z →
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
→
−
d.) ∇ ∧ r →
−
er + z →
−
ez . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Corrigés
Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 9
9 | Réponses et corrigés
1.1 Écriture scientifique
1.3 Récapitulatif
2.2 Conversions
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Cahier de pratiques scientifiques Fiche n◦ 9
Récapitulatif
Masse volumique : ρ= M
V = M
S×∆h = M
L×l×∆h
65 × 103 g
Applications Numériques : ρmin = = 0,984 kg.L−1
15 dm ×5 dm × 0,88 dm
65 kg
ρmax = = 1,032 kg.L−1
1,5 m× 0,5 m× 0,084 m
En conclusion, la masse volumique d’un corps humain est de l’ordre de 1 kg.L−1 , ce qui correspond assez
bien à une composition riche en eau. Cela explique par ailleurs qu’il soit plus facile t’atteindre le fond du
piscine avec les poumons partiellement remplis.
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α + β − 3γ − δ = 0 =
α
−δ
γ+δ = 0 ⇔ β = 3γ + δ − α = −δ
−α − δ = 0 γ = −δ
Finalement on a k = ρV L
η
3.4 Récapitulatif
Le temps de cuisson ∆t d’un aliment dépend de sa masse m, de sa masse volumique ρ et de son coefficient
de diffusivité thermique D (exprimé en m2 .s−1 ). Exprimer, le rapport des temps de cuissons de deux
aliments identiques mais de masses différentes.
■ dim(m) = M
■ dim(ρ) = M.L−3
■ dim(D) = L2 .T−1
α+β =0 α = 2/3
2δ − 3β = 0 ⇔ β = −2/3
−δ = 1 δ = −1
m2/3
Finalement on a ∆t ∝ Dρ2/3
.
Si la masse de l’aliment est doublée, le temps de cuisson idéal sera multiplié par 1,6 .
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■ Introduire la masse prélevée dans une fiole jaugée de volume V = 100 mL.
Matériel complémentaire : contenant (type cuillère ou bécher) et/ou pince pour prélever placer le matériau
chaud dans le calorimètre
■ Placer la lentille à une distance suffisante pour former une image de l’objet dans le plan focal.
■ Placer un miroir plan après la lentille .
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■ Plonger la sonde pH-métrique dans une première solution tampon et régler la valeur.
■ Plonger la sonde pH-métrique dans une deuxième solution tampon et régler la valeur.
2. COmmittee on DATA for Science and Technology, soit Comité de données pour la Science et la Technologie
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U (V) 4,955 5,596 4,271 4,955 5,164 5,371 4,671 4,736 5,393 4,183
U ± u(U ) = (4, 9 ± 0, 1) V
b.) Mesure de la distance entre le centre optique d’une lentille O et la position d’une image réelle A.
OA (cm) 24,6 24,5 25,1 25,1 25,3 25,4 24,9 24,8 24,9 25,4 25,3 24,9
c (m.s−1 ) 341,9 350,9 342,2 349,3 352,6 351,8 344,4 348,0 352,2 352,2
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b.) Mesure d’une température au cours d’une expérience de calorimétrie à l’aide d’un thermomètre digital.
On a obtenue une valeur θ de 53,1◦ C.
■ L’encadrement de θ est [53, 0◦ C; 53, 2◦ C] .
0,1◦ C
■ L’incertitude-type u(θ) associée est u(θ) = √
3
= 0, 06◦ C .
◦
■ Le résultat de la mesure est θ = (53, 10 ± 0, 06) C .
c.) Mesure du volume d’une solution V dans une fiole jaugée avec une contenance de 200 mL et une
précision de 0,15 mL.
■ L’encadrement de V est [199, 85 mL; 200, 15 mL] .
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Matériel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Protocole :
■ Détermination de R
■ Détermination de ρbille
■ Détermination de vlim
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