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République Islamique de Mauritanie Honneur –Fraternité- Justice

Ministère d’Etat à l’Education Nationale, à


l’Enseignement Supérieur et à la Recherche
Scientifique
Institut Pédagogique National

Annales
du Baccalauréat National
Corrigés de tous les sujets de Mathématiques
en
séries
C & TMGM
Durant la période
D K C

2y B1

1
O
L J
A2 A1
-3 -2 -1 0 1 2 3 x
-1 F

A
-2 I B
B2

F E J

C O

G A I B

Corrigés par :
Mohamed El Bechir Ould Sidaty Mohamedou Ould Zah Bah Ould Sidatt
à l’IPN à l’IPN au Lycée Technique de Nktt

Edition mars 2013


Annales du Baccalauréat National Mathématiques / Séries : C & TMGM IPN /Mr /2012 - 2013 1
Table des matières

Avant propos 3
N° Sujet Session Enoncé Corrigé
1 Normale 5à7 70 à 75
2012
2 Complémentaire 8à9 76 à 79
3 Normale 10 à 12 80 à 84
2011
4 Complémentaire 13 à 14 85 à 89
5 Normale 15 à 16 90 à 93
2010
6 Complémentaire 17 à 18 94 à 98
7 Normale 19 à 20 99 à 103
2009
8 Complémentaire 21 à 22 104 à 107
9 Normale 23 à 24 108 à 112
2008
10 Complémentaire 25 à 27 113 à 117
11 2007 Normale 28 à 30 118 à 123
12 Complémentaire 31à 33 124 à 128
13 Normale 34 à 36 129 à 134
2006
14 Complémentaire 37 à 39 135 à 140
15 Normale 40 à 42 141 à 145
2005
16 Complémentaire 43à 45 146 à 150
17 Normale 46 à 48 151 à 155
2004
18 Complémentaire 49 à 50 156 à 159
19 Normale 51 à 53 160 à 166
2003
20 Complémentaire 54 à 55 167 à 171
21 Normale 56 à 57 172 à 176
2002
22 Complémentaire 58 à 59 177 à 182
23 Normale 60 à 62 183 à 188
2001
24 Complémentaire 63 à 65 189 à 192
25 2000 Normale 66 à 68 193 à 195

Annales du Baccalauréat National Mathématiques / Séries : C & TMGM IPN /Mr /2012 - 2013 2
Avant – propos
Chers collègues professeurs,
Chers élèves,
Dans le cadre de ses efforts permanents d’innovation d’adaptation et d’amélioration des supports
didactiques et eu égard à l’importance accordée à l’enseignement des disciplines scientifique dans
les nouvelles orientations du système éducatif national, l’IPN met à la disposition des candidats
du Baccalauréat des séries C et TMGM les annales du Baccalauréat national en Mathématiques.
Ils trouveront tous les corrigés des sujets du Baccalauréat National, tant à la session normale
qu’à la session complémentaire durant la période 2000 – 2012.
Les énoncés sont annexés dans leur intégralité tels qu’ils ont été donnés le jour de l’examen.

La publication du présent document répond à des impératifs liés à la formation et à


l’encadrement des futures générations et aux besoins observés en matière d’édition des annales
depuis deux décennies.

En outre, le rôle du professeur, reste incontournable pour une meilleure utilisation des annales
tout en mettant en œuvre le contenu, la démarche et la mise à l’exercice véhiculer à travers ce
document.

Nous sommes convaincus que les efforts qui seront fournis en harmonie et en complémentarité
entre les différents acteurs concernés par l’utilisation de ces annales vont contribuer à la réussite
et à l’atteinte des objectifs attendus, en particulier la vulgarisation des expériences et la diffusion
du savoir et du savoir-faire du Baccalauréat.

Chers élèves,
La difficulté principale et la question centrale qui se pose pour un candidat au Baccalauréat c’est
comment traiter un sujet de mathématique au baccalauréat :
Voici quelques pistes pour vous aider à surmonter cette difficulté et à répondre à cette question :
 Lisez attentivement l’énoncé jusqu’à à la fin.
En effet, les questions sont rarement indépendantes et il peut arriver que l’une d’entre elles
donne une indication précieuse quant à la résolution des questions précédentes.
 Avant de vous lancez dans les calculs, recensez les savoir et savoir-faire auxquels chaque
question peut faire appel et prenez le temps de réfléchir pour essayer de trouver l’outil de
démonstration le mieux approprié.
 Cherchez d’abord les questions au brouillon ; si vous terminez l’exercice, recopier-le ; si vous
n’arrivez pas à résoudre une question, commencer à recopier en mettant au propre ; en
faisant ressortir les résultats obtenus, cela vous aidera à trouver la suite.
 Si vous n’arrivez pas à démontrer un résultat donné dans l’énoncé laissez un blanc dans votre
copie et continuer l’exercice ou le problème en utilisant le résultat donné.
 N’oublier pas de justifier vos réponses ; mais une justification doit-être claire et concise.
 Soignez la présentation de votre copie, respecter les notations du texte.
 Si vous devez faire un graphique respectez les unités si elles sont indiquées dans l’énoncé,
sinon pensez à bien les choisir.
 Veillez à gérer au mieux le temps imparti.

Enfin, En souhaitant que cet outil soit un auxiliaire utile pour les Professeurs de cette discipline et
aux élèves des classes de 7ème C et 3TMGM, la section des mathématiques de l’IPN reste
disposée à accueillir toutes remarques ou suggestions de nature à améliorer les prochaines
éditions de cet outil.
Les auteurs

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ère
1 partie
Enoncés des sujets

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ème
2 partie
Corrigés des sujets

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Sujet 2012 /Séries : C &TMGM / Session normale
Exercice 1
f(x) = exln (ex + 1) (ae x  b)(1  e  x )  ce  x
1) Justification et interprétation des limites : f’(x) = f(x) +
1  e x
 lim f (x)  lim e x ln (ex + 1) = 0 ln ( 1) = 0 ;
x  x  ae x  a  b  be  x  ce  x
= f(x) +
 y = 0 est une (A.H) en - 1  e x
 lim f (x)  lim e x ln (ex+1) = + ex

bc
x  x

f (x) ex ae x  a  b  x
lim  lim ln (e + 1) = +  ( C)
x
= f(x) + e
x  x x  x
1  e x
admet une branche parabolique de direction ex
( Oy) en +. ae2x  (a  b)e x  b  c
2) a) Calcul de la dérivée de f : D’où f’(x) = f(x) + .
x 2 1  ex
(e ) Par identification des deux écritures de f’(x) on a :
f’(x) = exln (ex + 1) + x  f’(x) > 0 x  .
e 1 a  1 1
D’où le tableau de variations suivant : 
x - + a  b  0  2; l' équation 2 donne b = -1
b  c  0  3; l' équation 3 donne c = 1
f ’(x) + 
+ Finalement
f (x) e x
0 f’(x) = f(x) + ex – 1 + , d’où :
b) f est continue et strictement croissante, alors 1  e x
elle réalise une bijection de  sur l’intervalle x e x
f(x) = f’(x) - e + 1 - cette écriture nous
J = 0; 1  e x
c) Représentation graphique de ( C ) permet de trouver la primitive F de f :
Prenons un point d’aide : f(0) = ln (2)  0,67. F(x) = f (x) - ex + x + ln (1 + e-x) + c 
1
I   f (x)d(x)   F(x) 0 = F(1) – F(0)
y 1

0
= e ln (e + 1) – e + 1 – 1 + ln (e + 1) - ln (2) +1 - l n (2)
1 I = eln(e + 1) – e + ln(e +1) -2ln2+1.
C  Calcul de I Par la méthode b)
En posant t = ex + 1 ; on a :
 dt
dt  e dx  dx  x
x

 e
ex  t  1  ;si x  0; t  2 et si x  1; t  e  1

1 e 1
dt e 1

On a : I  f (x)d(x) 
0
 (t  1)ln(t) t  1  
2
2
ln tdt
-1 0 x 1
1
u(t) = lnt  u’(t) =
3) Calcul de I t
 Par la méthode a) v’(t) = 1  v(t) = t 
e 1
Soient a ; b et c trois nombres réels tels que : I  ln(t)dt; En utilisant une intégration par parties :
2
ae x  b ce x 1
f’(x) = f(x) +  1+e
1 1  e x 
I  v '(t)u(t) 
0
u(t) v(t)e+1
2
- 
2
u'(t) v(t)dt

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I   tlnt - t 2  (e  1)ln(e  1)  e  1 -( 2ln2 - 2)
e1
 11   1 
 10   10 
d 'où I  e ln(e  1)  ln(e  1)  e  1  2ln 2    


55 
 k    k  11
5
10  10
Exercice 2    
 22   2 
1.a) Calcul des composantes de vecteurs :  10   10 
   
1   2 1 
 
         2.a) Comme : AB  AC = 0  (AC)  (AB)
AB 1  ; AC  0  ; DE  5  d’où le triangle ABC est rectangle en A.
 2  1   2 
      1 AB  AC 1 6 5 30
1  1 
V= ( )  DF  
        3 2 3 2 10
AB  DE  1    5   1  5  4  0  AB  DE (1) 1 30 1
 2   2      0,5u.v 
    3 2 10
 2  2
De même : 2)b) 1:11MD  ME  30 ;
 
 2  1 
        On a : EF  11DF  0  F  bar (D;11);(E; 1)
AC  DE   0    5   2  0  4  0  AC  DE (2)
1   2  Donc MS1 où S1est la sphère de centre F.
   
  30 
De (1) et (2) DE est un vecteur normal au plan (ABC)  1 : M  S1  F ;  passant par D.
 10 
b) Comme DE est un vecteurnormalau plan (ABC) 30
Le rayon r  DF 
On a : x –5y -2Z + d = 0 Or A (2 ; 1; 3 )(ACB) 10
 2 : AD2  AE 2  36  A  2   2 est le plan
d’où 2 –5 -6 + d = 0 ce qui donne d = 9 et par 
passant par A et de vecteur normal DE c'est donc
conséquent l’équation du plan (ACB) devient ;
le plan (ABC):  2  (ABC).
x –5y -2Z + 9 = 0
Exercice 3
c) Soit M(x; y ; z) un point de la droite (DE) ; E :Z2 –( 6cos) Z + 4 + 5cos2 = 0 ;  0 ; 2 .
cette appartenance se traduit par l’existance 1.a) Résolution de l’équation
d' un nombre réel  tel que : DM  DE ; d' où ’= (3cos)2- ( 4+ 5cos2) = 9 cos2 -4-5cos2
x  5   ’= 4cos2 - 4 = 4(4cos2 - 1 )=-4sin2=(2isin)2;
 Donc; l’équation admet deux solutions distinctes
 y  3  5 Z1 = 3cos + 2isin ; Z2 =3cos - 2isin.
z  2  2
 b) Solutions de E suivant les valeurs de  :
d) Posons M = K ; les coordonnées de ce point Solutions doubles :  ’= 0   = 0 ou  =  ;
  = 0 ; Z1 =3cos0 = 3 ; A1(3 ; 0)
vérifient : (5 +λ)-5(3 - 5λ)-2(-2 - 2λ) + 9 = 0 
1   =  ; Z2 =3cos = -3 ; A2(-3 ; 0)
30  3  0 d' où   Solutions imaginaires pures :  cos =0 
10
 3
 49 35  18   = ou  = .
Donc les coordonnées de F sont ; ;  2 2
 10 10 10  
 49   49   1    = ; Z1 =2i ; Z2 =-2i ; B1(0 ; 2) ; B2(0 ; -2)
 10  6   10  5   10  2
      3
 
EF  kDF    2   k   3   k  
35 35 5  = ; Z1 =-2i ; Z2 = 2i ; B1(0 ; 2) ; B2(0 ; -2)
10 10 10 2
      2.a) Soient M1( x ; y) ; M2( x2 ; y2) les images
 18   18   2 
 10  4   10  2   10  respectives de Z1 et Z2.
     
Nous avons donc :

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 x1  ’ est une ellipse de centre ( -12 ; 4 )d’axe
 1
x  3 cos   3  cos  x  2  y  2 focal (x ) : y = 4 ;
    1   1  1
   3  2  c = 81  36  45  3 5
 1
y 2 sin y
 1  sin 
 2 
X  x  12  3 5  x  12  x  3 5  12

 est une ellipse. Y  y  4  0  y  4  y  4

b)  est une ellipse de centre O d’axe focale   
Donc : F 3 5  12 ;4 ; F’  3 5  12 ; 4 ; 
( Ox) ; c = 9  4  5 de foyers c 3 5 5
   
F 5 ; 0 ; F'  5 ; 0 de directrices respectives
 e=
a

9

3
;
9 9  Les sommets sont :
D:x= et D '  
5 5 A1( -3 ; 4 ); A2( -21 ; 4 ) ; B1( -12 ; 10 ) ; B2( -12 ; -2 ).

c 5
D’excentricité e =  et de sommets ; Exercice 4
a 3 1) f(x)= x – lnx ;
A1( 3 ; 0 ) ; A2( -3 ; 0 ) ; B1( 0 ; 2 ) ; B2( 0 ; -2 ).  Df = ]0 ; +[
2y B1  Limites aux bornes de Df
ln(x)
lim f (x)  lim x(1  )   ;
x  x  x
1
lim  f ( x )  lim  ( x  ln( x ))  
A2 A1 x 0 x 0
-3 -2 -1 0 1 2 3 x 1 x 1
 Dérivée de f : f'(x) = 1  
-1 x x
 Tableau de variations
-2 x 0 1 +
B2
f ’ (x) - 0 +
3) f :M(Z)  M’(Z) + +
M’ = bar A1 ;4 ; B1 ; 2 ; M ; 3
f (x)
1
a) Expression de Z’ :Z’ = 3Z -12 +4i; f est donc 1 1

est une expression complexe de la forme : 2.a) Soit λR ; I(λ)=  f (x )d( x ) =  ln( x )d( x )
Z’ = aZ + b ; avec a  et b  0.  

Alors f est une homothétie de rapport 3 et de 1


On pose : u(x) = lnx  u’(x) =
b x
centre ( ( ) ) d’où f = h( (6 ; -2 ) 3 ). v’(x) = 1  v(x) = x
1 a
1 1
b) ’= f() ; soient Z = x + iy ; Z’ = x’ + iy’.
 
ln(x)d(x) =  x ln(x) - d(x)
1
Nous avons : x’ + iy’ = 3(x + iy) -12 + 4i d’où
 
 x '12
x   x ln(x)  x   1-λln(λ) + λ
1
 x '  3 x  12 
 3
  b) 0n en déduit que :
 y'  3y  4  y  y' 4 1

1 1
x2 
I(λ) =  xd ( x ) -  ln( x )d( x ) =   -  x ln(x)  x 
1
3
 x ' 12   y ' 4 
2 2
   2 
    1 2 3 2
Or 
3 

3  I(λ) =  +1 + λln(λ) – λ =  + λln(λ) – λ ;
 1 d’où
9 4 2 2 2 2
’ est caractérisée par l’équation: d’où lim  I() 
3
 x ' 12 2  y ' 4 2 x 0 2
 1 1 n k
92 62 3 .a) n≥ 2 ; 1 ≤ k ≤ n ; Sn = k 1 f ( ) ;
n n

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 k k  1 1 k k 1 1 1
t   ;  ;1≤k≤n;   1 ; Enajou tan t f ( ) aux différents membres de cette
n n  n n n n n
 k k  1 double inégalité on trouve:
Or  ;  0 ; 1 ;
 n n  1 1 1 1 1
Sn  I( )  f ( )  Sn  f ( )  (2)
n n n n n
 k k  1
f étant décroissante sur  ; de (1) et (2) il en découle que :
 n n  1 1 1 1
On peut écrire : pour tout t tel que : I( )  S n  I( )  f ( )
n n n n
k k 1 c) D’après la double inégalité précédente ; on a
t ;
n n 1 1 1 1
Or, on a : lim I( )  lim Sn  lim ((I( )  f ( ))
n  n n  n  n n n
k 1 k
f( )  f (t)  f ( ) 1
Or lim I( ) = 0 ( Car lim  0) et
1
n n n  n n  n
d’où
1 1 1 1 1
k 1 k 1 k 1 lim f ( )  lim (  ln )  0
n  n  
n
k 1 n n
k n n n n n
 f(
k n
)d ( t )   f (t )d(t )   f ( n )d(t )
k k
1
Donc lim I( )  lim Sn  lim (I( ) 
1
n  n n  n  n
n n n
Ce qui donne : 3 3 3
k 1
 lim Sn  D'où lim S  
2 n  2 n  2
1 k 1 n
1 k k n

n
f(
n
)  f (t )d(t )  n f ( n )
k
k
n
1
n
2
4.a)  ln( )  ln( )  ln( )  ........ln( )
n
n
n
k 1
n
1 2 n n!
b) A partir de la double inégalité précédente  ln(   ...........  )  ln( n )
on en déduit la somme récurrente suivante : n n n n
k n

 k  l  2  .....  n
2
n ; c 'est la sommme des n
1 2 1 1
f ( )   f (t)d(t)  f ( ) k 1
n n 1 n n premiers termes de la suite arthméthique de 1er
n
3 terme 1 et de raison 1
1 3 n
1 2 k n
n(1  n)
f ( )   f (t)d(t)  f ( )
n n 2 n n  k  l  2  .....  n
k 1 2
 
n
1 n k 1 k n  k  k 
 b) Sn = k 1 f ( ) =   (  ln   
n n n k 1  n  n 

 1 k n
1 k n k 1 n (1  n ) 1 n!
1
1
1 n 1

n2
k   ln  2
n k 1 n n 2
 ln( n )
n n
 f (t)d(t)  n f (
k 1
f (1)  )
n n 1 n
n 1 n (1  n ) n
n! n 2  n
   ln   ln U n
n2 2 n 2n 2
1 1 1 1  n2  n  3
Sn  f ( )  I( )  Sn  f (1)  c) lim Sn  lim   ln U n   
n n n n n  n   2n 2  2
 
1 1 1 1 1 3
Sn  f ( )  I( )  Sn   lim ln U n    1  lim U n  e 1 
n n n n n  2 2 n 

1 1 1
Sn  f ( )  I( )  Sn  (1)
n n n

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Exercice 5  p = [I * K] ; R = I * C ;
1) figure illustrant les données.   S
f = t PR (PR )
E
4.a) E  I ; C  G ; E  C et I  G
C D’où il existe une unique similitude directe S telle
que : S(E) = I et S( C) = G.
b) quelques éléments caractéristiques :
    
Angle de S : (EC ; IG )  (IJ ; IG )  (2)
6
I
1 3
a
IG 3 2 3
J Rapport de S :  
EC a 3
G 2
c) Soit  le centre de cette similitude, donc on a
B

K 5.a) : M C(BC) ; S(M) = M'


M C(BC) ; S(M) = M'  ' =C(BG)
A
2.a) r1 :B  I ; J  A    
 (E ; I )  (2) et
 6
a2 a a      C(BEI)  De même on a
BJ  a 2 -  3 ; AI  3 
(BE ; BI )  (2)
4 2 2 
 6
BJ  AI   !r 1 tel que : B  I ; J  A    
      (C ; G )  (2) et
b) L'angle de r1 est : ( BJ; IA)  L'angle( GJ; GA) 
 6
     C(BCG ) 
3
(BC ; BG )   (2)
et de centre le point de rencontre de 
 6
 Donc  C(BEI) C(BCG ) ;
médiat  BJ   médiat  IA   k  r 1  r(k ; ) 
3
3.a) t  t AJ
 ; r  t  r ;f  S  S  S .
2 1 JC JE KE BE  AI 
3 a
a; BI  ; 
BI

1
;
On a :r2 (J)  t  r1 (J)  t( A)  J  r2 (J)  J 2 2 BE 3
    
 r2  r(J ; )  (BE ; BI ) 
 6
3  SS 3 
b) r1  SKC  S1 ; r2  SJC  S 2 BI  3 BE (B ; ; )
3 6

 3
1  ( KE ) ;  2  ( JE ) car JIEC est un      
parallélogramme  b)K  B;(KM; KM ')  (KM; KB)  (KB ; KM' )( )
   
r1  SKC  SKE ; r2  SJC  SJE  (CM;CB)  (GB;GM')()
   
f  SJC  SJE  SKE  r2  SKE  t AJ
  r  S
1 KE
 (GM ' ;GB)  (GB;GM' )()
 t AJ
  S
KC  SKE  SKE  f  t AJ  SKC
  0 ( )
c) f (B)  t AJ
 (A)  J ; f (I)  t  (J)  C d’où K(MM’).
c) La droite (KM) recoupe ’ en M’.
AJ

f (K)  t AJ
 (K)  I;
6) n  2 ; S2  S  S et Sn  S  Sn 1
Donc f (BIK)  (JCI)
M n : M0 = E ; M1 = S(M0 ) ;M n = Sn (M0 ).
f est une antidéplacement
a) Figure illustrant les données et
med  IC  med  KJ  ; d ' où f est une symétrie
donnant le positionnement des points demandés
glissée.

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C(BCG)

M0 = E
C

R 

M1
J I
G C(BIE)

P
M2

A K M3 B
M4

’
b) Sn = M0M1 + M1M2 +…+ MnMn+1
1
1 ( ) n 1
1 1 3
Sn  M 0 M1  M 0 M1  ...  ( ) n M 0 Mn  EI( )
3 3 1
1
3
a
c) lim Sn  2  la longueur de la ligne brisée M 0 M1 +     + M n M n+1
x  1
1
3
a 1
(1  ) n 1
2 a 3
s'approche de ; Sn 
1 2 1
1 1
3 3
 4 4
d) 1960  326   (2)  M1960  (BM 4 ).
6 6 6
 2012 = 335 6 + 2 M2012(BG) .

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Sujet 2012 /Séries : C& TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1 .a) P(-2i) = +8i +16- 8i - 8i - 12 - 4 +8i = 0 ; 
Soit P (Z) = ( Z+2i )( Z2 + aZ+ b ) tels que a et b M  A
de  . Le tableau suivant donne ces nombres : 
 ou
1 -4 + 2i 4 - 6i -4 + 8i 
-2i -2i 8i -8i +4


 MB ; MA  ( )
2
 
1 -4 4 + 2i 0
Donc a = -4 ; b = 4 + 2i Donc est le cercle de diamètre [AB] privé de B.
2
b) P(Z) = ( Z+2i )( Z - 4Z+ 4+2i )
P(Z) = ( Z+2i )( Z2 - 4Z+ 4+2i )= 0  3.a) (M)  3MO 2  4MA 2  MB2  2MC 2
Z  2i k  (G)
 2 M k  2MG 2  (G)  k  MG 2 
Z  4Z  4  2i  0
2
Or (G) = 3GO – 4GA +GB +GC
2 2 2 2
 = 16 – 16 -8i = -8i = (2 – 2i )2 = 51 - 100 + 5 + 26 = -18
Z = 3 – i ; Z’ = 1 + i
k  18
Donc les solutions de l’équation sont M  k  MG 2 
 - 2i ; 3 - i ; 1  i  2
 Si k  -18  k = 
 Si k = -18  k = G 
2.a) ZA = 1 + i ; ZB = -2i ; ZC = 3 - i
y A
1
 Si k -18  k = C k 18 
 G; 
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x  2 

-1 C b) 16 C 34 
 G; 
-2  2 
B
(O) = -4AO2 – OB2+2OC2 = -8 + 4 + 20 = 16
-3
d’où O  16  16 C(G ; OG )
-4 G
Exercice 2
; Df  0 ;   \ 1 
-5 1
f(x) =
-6 x ln x
1.a) Etude de limites et interprétation :
-7 1 1
lim f ( x )  lim      x  0 est AV
-8 x 0 x 0 x ln x 0
1 1
b) G barycentre du système xlim f ( x )  lim     x  1 est AV
1 x 1 x ln x 0
(O ; 3) ; (A ; - 4) ; (B ; 1) ; (C ; 2)  1 1
3ZO  4ZA  ZB  2ZC lim f ( x )  lim      x  1 est AV
ZG  x 1 x 1 x ln x 0
2
1 1

O  4  4i  2i  6  2i
 1  4i
lim f ( x )  lim   0  y  0 est AH
2
x  x  x ln x 
 (ln x  1)
Vérification : b) f’(x) = 2 2
; f’(x) = 0  x = e-1.
5ZO  5ZB  2ZG 0  10i  2  8i x ln x

2 2  Tableau de variations
 1  i  ZA  x 0 e 1 1 +
Alors ; A est le barycentre du système donné. f’(x) + 0 - -
 Z  (1  i)   -e +
c) M    Z  1  i ou arg    ( ) f (x) - - 0
 Z  (2i)  2 c) Représentation graphique

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Un ≥ f(n) - f(2) + U2
1 1 1
Un ≥    ln ln 2
n ln n 2 ln 2 2 ln 2
1
Un ≥  ln ln 2  Un ≥  ln ln 2
n ln n
d) (Un) est décroissante et minorée donc elle converge.
 ln ln 2 ≤ Un ≤ U2 
1
 ln ln 2 ≤ l ≤  ln ln 2
2 ln 2
Exercice 3
2 x 3  3x 2  1
f(x) =
ex
1.a) Etude de limites et interprétation
2 x 3  3x 2  1
lim f ( x )  lim  
x   x   ex
1
2x 2  3x 
f (x) x  
lim  lim
x  x x  ex
lim f (x)  lim (2x e  3x 2 e  x  e  x )  0 
3 x
2 .a) n ≥ 2 ; f est décroissante sur [n ; n + 1] ; pour x  x 

tout t tel que : n ≤ t ≤ n+1 on a : y  0 est AH 


n 1
La courbe de f admet une branche parabolique de
f(n+1) ≤ f(t) ≤ f(n)  f(n+1) ≤  f ( t )dt ≤ f(n)
direction (Oy).
n
n 1 (6x 2  6x )e x  e x (2x 3  3x 2  1)
1 1 f’(x) =
(n  1) ln( n  1) n
d’où ≤ f ( t )dt ≤ e 2x
n ln n
b) f’(x) = e  x (2x 3  9x 2  6x  1)
1
b) U n 1  U n   ln(ln(n))  ln(ln(n  1)) f’(x) = 0 ; il est claire que x = 1 est solution de
(n  1) ln(n  1)
l’équation ; pour déterminer les autres solutions on
 f (n  1)  ln(ln(t)) n
n 1
fait recours au tableau suivant :
n 1 f’(1) = 0
 f (n  1)   f (t)dt
n -2 9 -6 -1
n 1
1 -2 7 1
2.a) f(n+1) -  f ( t )dt ≤ 0 d’où (Un) est décroissante. -2 7 1 0
n x
n 1 Dona on a : f’(x) = e ( x  1)( 2x  7 x  1)
2

c) n ≥ 2 de 2.a) on a :  f ( t )dt ≤ f(n) f’(x) = e  x ( x  1)( 2x 2  7 x  1)


n
n 1 n 1  2x 2  7 x  1  0
- f(n) ≤-  f ( t )dt  f(n+1)- f(n) ≤ f(n+1) -  f (t)dt   = 49 + 8 = 57
n n 7  57 7  57
f(n+1) - f(n) ≤ Un+1 - Un . x1  ; x1 
4 4
Donc on a en sommant membre à membre :
U3- U2 ≥ f(3) - f(2) x - x1 1 x2 +
U4- U3 ≥ f(4) - f(3) x-1 - - 0 + +
…………………….. 2
…………………….. -2x +7x +1 - 0 + 0 -
…………………….. f ‘(x) + 0 - 0 + 0 -
Un- Un-1 ≥ f(n) - f(n-1)
----------------------------------------
f(x1) f(x2)
f (x)
Un - U2 ≥ f(n) - f(2) - 0 0

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b) Représentation graphique de ( C) c) 0  x  1  -1  -x  0 ;
y
xn
e  e 1
-1 -x
 xnex  xn en intégrant on a
1 e
1 1
 In   lim In = 0
0 1 2 3 4 5 6 7 x
e(n  1) n 1 n 

1
4. a) I0 =  e  x dx =   e  x   1  e 1
1
-1
0
0
-2 1 n 1
b) Soient : u’(x) = xn  u (x) = x
n 1
-3 v (x) = e-x  v’ (x) = -e-x 
1
1  x n 1  x  1 1 1 1
3 .a) In =  x e dx
n x In =  e   I n 1  e  I n 1
 n  1 0 n  1 n 1 n 1
0
L’existence de In est justifiée par la continuité de (n  1)I  1  I  In+1 = 1  (n  1)I
n n 1 n
la fonction x  x n ex sur l’intervalle [0 ; 1]. e e
1 c) A =
b) x e  0 ;  x[0 ; 1]   x e dx  0 ;
n x n x 1 1 1 1

    e dx
3 x 2 x x
0 f (x)dx  2x e dx  3 x e dx 
1 0 0 0 0

 x e (x  1)dx  0  (In) est décroissante.


n x
In+1 - In = A = 2I3 - 3I2 + I0
0
In) décroissante et minorée par 0 don elle est
convergente.

Exercice 4
a) Figure illustrant les données et
représentation demandée
E
F

A D

B C

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b) DF = DB car S(AD) conserve les distances A 1 I
  IE  D’autre part   ;
DB = GB car (DBG) est équilatéral  DF = GB E 2 A
 
d’autre part DF  GB alors ; il existe r1 tel que I 1
  E  4I   = bar (E ; 1) ; (I ; 4)
r1(D) = G et r1(F) = B d’angle E 4
    
(DF ; GB)  (GC ; GB)  .
6 2ème Méthode
Centre de r1 est 1 = media(DG)  media(FB).  1 
S  S(E)  I  I   E; car S  S  h
c) r2 : G  E ; B  A a pour angle 4
1
(  ; )
4
         
 = (GB ; EA)  (GB ; DB)  (BG ; BD)  E  4I  0 d'où   bar (E;1);(I; 4)
3
et de centre 2 = media(GE)  media(AB). 3)   M / MA  ME  2a
d) r = r2  r1 ; r (D) = ; r2 (r1 (D))  r2 (D)  E ; a)  est une ellipse de foyers A et E avec
r (F) = r2 (r1 (F))  r2 (B)  A ; AE = a 2 sachant que : a 2  2a .
   O na : DA + DE = a + a = 2a d’où D.
r a pour angle   ; b) Les sommets sont D ; F. S. S’ tel que :
6 3 2
On a : r  (D)  E donc r   r d’où le centre de JS = a = JS’ ; S ; S’ = C [J ; a]  (AE)
(J; )
2
(J; )
2 S ; S'  CJ; a   AE  .
r est J .
2 .a) h = h ; S = h  r est la composée d’une e = c  2  JE .
1
( B; )
2 a 2 AD
homothétie et d’une rotation c’est une similitude c) ’ est l’ellipse de foyers S(A) = I et S( E) = A.
 1 1
d’angle et de rapport . JE
2 2 c 2 2
et d’excentricité e’ =   
b) S :    ; a 1 2
AD
h  r( E) = h(F) = A 2
h  r( A) = h(D) = I
d’où C AE C AI autre que A. (Voir figure prcédente).
     
  
c) I ; E  I ; A  A ; E  
 
=- - =.
2 2

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Sujet 2011 /Séries : C &TMGM / Session normale
Exercice 1
1) P(Z) = Z3 - (1+2cos)Z2 + 1+2cos)Z -1 ;   X2 Y2
Après calcul ; P(1) = 0 ; (; u ; v) ; est  1
4 16
Soit P (Z) = ( Z-1 )( Z2- aZ+ b ) tels que a et b  
des nombres complexes à déterminer. Dans le repère (O ; u ; v) on donne les éléments
Il suffit d’établir le tableau suivant qui donne caractéristiques suivants :
facilement ces nombres :  Sommets: A(1 ; 0) ; A’(-1 ; 0) ; B(-1 ; 4) ;
1 -1 - 2cos 1 +2cos -1 B’(-1 ; -4).
1 1 -2cos +1 c = b2  a 2  16  4  12  2 3 ;
1 -2cos 1 0 c 2 3 3
Donc a = -2cos ; b = 1  Excentricité : e =   .
a 4 2
P(Z) = 0  (Z -1)( Z2 -2cosZ +1)= 0 ; 
Z0 = 1 ou Z2 -2cosZ +1 = 0 ; On a Construction et emplacement des points
 = (-2cos)2 – 4(1) = 4cos2 – 4 = 4 (cos2 - 1) B y

4 ( - sin ) = (2isin) d’où


2 2
4
2 cos   2i sin 
Z1   cos   i sin  ; 3
2
2 cos   2i sin  2
Z2   cos   i sin .
2 M1
1
2) Soient M1(x1 ; y1) ; M2 (x2 ; y2) les affixes de Z1 A'
A H
et Z2 respectivement.
-6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 M0 2 3
 x  cos 
x
Alors M1 (x1 ; y1 ) :  1 ;  x12  y12  1  -1
M2
 1
y  sin 
M1 C (O;1). De même M 2 C (O;1) . -2

-3
3.a) G bar (M0 ; 1) ; (M1 ; 1) ; (M2 ; -3)  ; d’où G
-4
1Z  1Z1  3Z2 1  cos   i sin   3cos   3i sin 
ZG  0  B'
1 1 -5
 1  2 cos   4i sin   ZG (1  2 cos  ; 4 sin )
Donc : ZG (1  2cos  ; 4sin )  -6

 x 1 -7
 x  1  2 cos  cos   2 
  d 'où 4.a) Si   ; On a : M 0 (1 ; 0 ) ; M1 (0 ; 1 ) ; M 2 (0 ; -1 ) ;
 y  4sin  1  2
sin   y
 G(-1 ; - 4) ; on constate que G est un somet de .
4
b) ’ est l’ensemble des points M tels que :
 x  1   1 
2 2

    y   1. MM 0 2  MM12  3MM 2 2  6
 2   4  On remarque que : M2’ d’où ’ est le cercle de
Il résulte que le lieu géométrique du point G est centre G passant par M2.
une ellipse d’équation : Exercice 2
 x  1   1 
2 2
  1.a) lim f (x)  lim( x - xlnx) = 0  f (0).
    y   1, dans le repère (O; u ; v). x 0 x 0
 2   4  D’où la continuité de f en 0.
b) Le centre de cette ellipse est (-1 ; 0) d’où  lim
f (x)  f (0)
 lim
x( 1 - lnx)
= lim (1 - lnx) = + 
l’équation de l’ellipse dans le nouveau repère est : x 0 x0 x 0 x x 0

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Donc f n’est pas dérivable en 0 et la courbe de f  Limites aux bornes
admet une demi-tangente verticale à droite de 0. lim f n (x)  lim (x n  x n ln x)  0
x 0 x 0
b) Dérivée et sens de variations de f :
lim f n (x)  lim x n (1  ln x)  
f’(x) = 1 – lnx – 1 = -lnx ; x  x 

f’(x)  0 ;  x[1 ; +[ et f’(x)  0 ; si x]0 ; 1]  Dérivée et sens de variations


 Limites aux bornes : 1
fn’ (x) = nxn- 1(1 – lnx) - xn = xn- 1(n – lnnx - 1)
lim f (x)  lim x( 1 - lnx) =  . x
x  x 0 n 1
Soit fn’ (x) = 0  x = 0 ou x = e n
 Tableau de variations : n 1
x - 1 + x 0 e n
+
f’(x) + 0 - f’(x) + 0 -
1 e n 1
f (x)
0 - f (x) n
f (x) x( 1 - lnx) 0 -
c) lim  lim = lim 1  ln x  
x  x x  x x 
3.a) On pose : fn+1(x) = fn(x)  fn+1(x) - fn(x) = 0
Donc Cf admet une branche parabolique de  xn (1 – lnx)(x-1) = 0  x = 0 ou x = 1 ou x= e.
direction (Oy). D’où toute les courbes ( Cn) passent par les trois
 Intersection de Cf avec (Ox) ; points : ( 0 ; 0) ; (1 ; 1) et (e ; 0).
f’(x) = 0x = 0 ou x= e. b) Position relative de ( Cn+1) et ( Cn).
 Représentation graphique de Cf D’après la 3.a) on a le tableau suivant qui donne la
y position cherchée
1 x 0 1 e +
fn+1(x) - fn(x) - 0 + 0 -
Cn par Cn/ Cn+1 Cn+1 / Cn Cn/ Cn+1
0 1 2 3 4 5 6 7 x rapport à Cn+1
4.a) Un est l’aire du domaine limité par (Cn) ; l’axe
-1
1
des abscisses et les droites d'équations : x = ; x  1
-2 e
1
b) Comme fn(x) > 0 sur [0 ; ]  (Un)  0 ; de
-3 e
1 1

-4
plus Un+ 1 – Un = f
1 n 1
e
(x)dx  1 f n (x)dx
e
1

-5
=  (f
1
e
n 1 (x)  f n (x))dx < 0

d’après 3.b) d’où (Un) est décroissante.


1
f (x)  x n (1  ln x)
 c) On a : U n  1 x (1  ln x)dx ; on pose :
n
2.a) Pour tout n  1:  n
f n (x)  0

e

 1
f (x)  f n (0) x n ( 1 - lnx)  u(x)  1  ln x  u '(x)  
lim n  lim  x
x 0 x0 x 0 x  
 v '(x)  x n  v(x)  1 n 1
x
= lim x  x n-1 ln x  0 
n-1

 n 1
x 0
1
 1 n 1  1 x n dx

fn est dérivable en 0 et Cfn admet une demi- tangente Un   x  (1  ln x)   1 
horizontale en 0.  n 1 1 n 1
e e

1  2  1  1 
Un  1  1  n 1   n lim Un  0 
n  1  e n 1  (n  1) 2  e  

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Exercice 3 ln 3 1 n 1

ln3
Un 2  Un   f '(t)(f n (t)1dt  f (t) 
1.a) Calcul de limites 0 n 1  0
e (e  1)
-x 2x
1 4 n 1
lim f (x)  lim =  1  y  1 est (AH) ;  ( ) .
x  x  e-x (e 2x  1) n 1 5
e x (1  e 2x ) 1 4 n 1
lim f (x)  lim = 1  y  1 est (AH) ; d) On a : Un  2  Un 
( ) ; d'où :
x  x  e x (1  e 2x ) n 1 5
1 4 2n 1
e-x  e x U 2n - U 2n-2 = ( )
b)  x  Df ; - x  Df ; f(-x) = -x  f(x)  2n  1 5
e e x
1 4 2n 3
f est impaire  U 2n-2 - U 2n-4 = ( )
2n  3 5
 Dérivée et sens de variation ............................................
(e x  e-x ) 2  (e x  e-x ) 2 4
f'(x) =  x  f'(x) > 0 ............................................
(e x  e-x ) 2 (e  e-x ) 2 ............................................
Tableau de variations 1 4 3
x - + U4 - U2 = ( )
3 5
f’(x) + 1 4
U 2 - U0 = ( )
1 1 5
f (x)
-1 
y n

 (2p -1) ( 5 )
1 1 4
U 2n - U 0 = - 2p-1

p =1
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6 x n

 (2p -1) ( 5 )
1 4
-1 U 2n  ln 3  2p-1
(car U 0  ln 3); puis on a :
p =1
d) Calcul d’aire A 1 4 2n
U 2n 1  U 2n 1  ( ) ;
ln 3 ln 3 e x  e-x
 
2n 5
A= f (x)dx  dx .ua
0 0 e x  e-x 1 4 2n
U 2n 1  U 2n 1  ( )
1 5 ln 3 2n 5
 ln(e x  e-x ) 
 ln(3  )  ln 2  ln . .....................................
0 3 3
ln 3 5 .....................................
2.a) U1 =
0 
f (t)dt  A  ln .
3 .....................................
b) On a : t[0 ; ln3] 0  t  ln3, en plus f est 1 4 2
U3  U1  ( )
croissante sur [0 ; ln3] ; alors f(0)  f(t)  f( ln3) 2 5
1 4 2n
4 4 U 2n 1  U 2n 1  ( )
d’où 0  f(t)   0  (f(t))n  ( )n 2n 5
5 5 
ln 3 ln 3 ln 3 4
Donc
0 0dt 
0 
f n (t)dt 
0
( )n (t)dt ; d’où
5  U 2n 1  ln
5
 
n
1 4 2p
( ) .
4 n 3 p = 1 2p 5
0  Un  ( ) ln 3 ; donc lim Un  0 . 2 3 2n
5 x  4 14 14 1 4
       .... 
2n  5 
e) On a : Sn = ;
4 (ex  e-x )2  4 5 25 35
c) 1 – f’(x) = 1 - x = 
(e  e-x ) 2 (ex  e-x )2 n
1 4
2p 1 n
1 4
2p

e 2x  2e-2x  4  e x  e-x 
2 Or S1    
2p  1  5 
de même S2    
p 1 2p  5 

   f (x)  p 1
2
1 –f’(x)   x
 e  e-x 
(e x  e-x )2   5
ln 3 ln 3 Donc ; Sn = S1 + S2 = ln3 - U2n+ ln - U2n +1 
Un  2  Un 
 0
(f (t) n2 n
 f (t) )dt 
 0
n 2
(f (t) (f (t)  1)dt 
Sn = ln5 - U2n - U2n - U2n +1 
3
ln 3 1  n 1  l n 3
Un  2  Un 
 0
n
f '(t)(f (t)1dt 
n  1 
f (t) 
0
lim Sn = ln5 ; car lim U2n = 0 et lim U2n+1 = 0
n  n  n 

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Exercice 4 
1.a) Figure illustrant les données et répondant à  S3  3( )    S3  h 1
3 (A;  )
8
certaines questions :
 C 'est  à  dire que S3 est l'homothétie de
C
1
centre A et de arpport - .
8
I b) En posant p = 102011 ; on veut démontrer que
Sp-1 est une homothétie de rapport négatif.
J
Méthode 1 :
G
B p = 102011 est un multiple impair de 10.
P – 1 est un multiple impair de 9 et par suite c’est
K un multiple de 3 d'où p - 1 = 3(2k +1) ; k  .

Donc ; Sp 1  3(2k  1)  ( )  2.
A 3
 a
AJ  IB  Méthode 2 :
b) On a :  2
  P – 1 = 102011 -1 
AJ  IB
 p  1 102011  1
  1  10  102  ...  10201 
IA 10  1 10  1
il existe une unique rotation r1 :
BJ 10  1  9(1  10  102  ...  10 201 ) 
2011

c) L’ angle de la rotation r1 est déterminé par : p  1  3  3(2k  1)


     
  (IB ; AJ)  (CB ; AC)  (CB ; CA)   
(p  1)(  )  3(2k  1)( )
 2 3
 
3 3  6k  3    2.
Le centre est , déterminé par :
Donc Sp-1 est une homothétie de rapport négatif.
médiatrice [IA] médiatrice [BJ] = K.
2.a) r2 (C ) = J ; r2(J ) = K ; ( voir construction). r1 (M)  M1

b) r2(JC ) = (JK). 5.a) On a : r2 (M)  M1 ; De plus
S(M)  M '

AI
r1 (I) = A r2 (I) = I
3.a) On a : h : B  J  h(ABC)  IJK
r1 (K) = K Puis r2 (K) = B
CK
r1 (A) = Sk (J) r2 (A) = Sk (J)
b) S est la composée d’une homothétie et d’une
rotation, alors S est une similitude directe de b) Soit AMM3 un triangle équilatéral indirect
1    1
rapport    et d’angle 2     . (car S = - ). Comme (R S = ), alors M'
2 3 3 3 2
est le pied de la hauteur issue de M ,
c) S(A) = r1(h(A)) = r1(I)= A ; d’où A est invariant
donc AMM' est rectangle
par S, donc A est le centre de S. M
en M' ( indirect).
d) On en dédéduit facilement la forme réduite de S
qui est : S = h’ r’ = r’ h’ telle que :
h' = h 1 et r' = r -  .
(A ; ) (A ; )
2 3
4.a) Caractérisation de S3 :

- M’
A M3
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c) On a : M ; M1 et M 2 sont alignés d'où     
        (MI ; MA) (CI ; CA)   (2) cocyclicité de
(MM1 ; MM 2 )=(MM1 ; MK)  (MK ; MI) + (MI ; MM 2 ) 3
    MAIC. Donc de (1) et (2)
= + (MK ; MI)     
6 3 (MM2 ; MI) (MI ; MA)  0
      
= (MK ; MI)   d 'où (MM 2 ; MA)  0  (M1M 2 ; MA)  0
6 .
      A  (MM 2 )
(MM1 ; MM 2 ) = 0 []  (MK ; MI)     
6 
    b) On a : S - 1 : M  M'  (MM' ; MA ) = - (1);
 (A; ; ) 6
Or (CK ; CI)  (AK ; AI)   d’où  est le 3 2
6     
cercle de diamètre [AC] privé de I et K. Or, (MA ; MK ) = (CA ; CK ) = ( cocyclisité) ( 2)
6
 De (1) et ( 2) on trouve :
   

- M1
  M (MM' ; MA ) + (MA ; MK ) = 0   
  
(MM' ; MK ) = 0    K   MM ' .
 K       
c) (M1M2 ; MM' ) = (MA ; MK ) = (CA ; CK ) =   .
 6
6 .a) M M ; M1 et M2 sont alignés ;
  
(M1M2) = (MM2) ; (MM2 ; MI)  ;
3
car r  (M)  M2 (1) ; et
(I ; )
3

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Sujet 2011 /Séries : C &TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
P(Z) = Z3 –(6 - 2i)Z2 +(10-8i)Z - 4 + 8i
1.a) P(2) = 8 –(6 -2i)4 +(10 -8i)2 - 4 + 8i
= 8 -24 +20 - 4 + 8 i– 16i + 8i = 0
b) A l’aide du tableau suivant on détermine les
coefficients demandés :
1 -6 + 2i 10 -8i -4 +8i
2 2 -8 + 4i +4 -8i
1 -4+2i 2 - 4i 0
D’où a= - 4 + 2i ; b = 2 -4i 
P(Z) = (Z- 2) (Z2 +(- 4 + 2i )Z + (2 -4i ).
P(Z) = 0  Z = 2 ou Z2 +(- 4 + 2i )Z + (2 -4i = 0; Exercice 2
 = (- 4 + 2i )2-4(2 -4i)= 16 -16i -4 -8 +16i = 4 1) g(x) = -x3 –x2 -2x +2.
4  2i  2 4  2i  2 a) Dg =  
Z2   1  i ; Z3   3i
2 2 g est continue et dérivable sur Df .
D’où les solutions de l’équation sont :  Limites aux bornes :
2 ; 1 –i ; 3 -i. lim g(x)   ; lim g(x)  
x  x 
2) On a :  ZA  = 1 - i = 2 ; ZB = 2 .
 Dérivée et sens de variation
 ZC  =  3 - i = 10 . g’(x) = -3x2 -2x -2 ; On pose :
D’autre part : BA = 2 ; BC = 2 ; AC = 2.  = (-2)2 -4(-3)(-2) = 4 -24 = -20 < 0 ;
2 2 2
En plus BA + BC = AC .  < 0  g’(x) < 0
Donc le triangle ABC est isocèle et rectangle en B.  Tableau de variations
 On a : OB = 2 ; AC = 2 ( 1) x
  - +
 AC  OB (2) g ‘(x) -
De ( 1) et (2) On en déduit que OABC est un +
parallélogramme. g (x) -
1 i
3) S : M(Z)  M '(Z') / Z'  Zi b) D’après le tableau de variation g est strictement
2 décroissante et continue sur vers  , donc elle
a) Comme cette expression est de la forme : réalise une bijection de vers  .
Z’ = aZ +b où a 0 ; alors S est une similitude c) Comme g est une bijection de vers  donc
directe du plan. l’équation g(x)= 0 admet une seule solution ().
b) Eléments caractéristiques de S : On a : g(0,6) > 0 et g(0,7) < 0 d’où
1 i 1 1 1 1 0,6 <  < 0,7.
 Rapport : RS =    
2 4 4 2 2 2xe  x
1 i  2) f(x) =
 Angle de S : arg a = arg  x2  2
2 4 2g(x)e x
b i a) f'(x) =
 Centre de S : affixe  /  =  (x 2  2)2
1 a 1 i
1 b) Etude de f
2
 1  i  ZA  Limites aux bornes x
:
e 2
Donc le centre de S est le point A(1 ; -1). lim f (x)  lim ( )   ;
x  x   x 2
c) D’après l’expression de S on a : 1 2
1 i 1 i 4  2i 2i x
ZC  i  (3  i)  i    2  ZB x
2 2 2 2 2xe
Donc S (C) = B. lim f (x)  2  0
x  x 2

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 Dérivée et sens de variations n 1
3) Un =  f (t)dt ; pour tout n / n 1.
Dérivée déjà calculée elle a même signe que g. n

 Tableau de variations a) On a : n  t  n+1  0  2


t
 1
x 0  + t 1
f ‘(x) + 0 - te  t n 1 te
t
n 1
0 2  e t  0   dt   e  t dt 
f() t 1 n t 1
2 n
f (x)1 n 1

- 0 0  U n   e  t   0  U n  e  (n 1)  e  n
n
x
f (x) e 1
lim  lim 2   d’où f admet une d 'où 0  U n  (1  )e  n  lim U n  0; d 'après
x  x x  x  2 e n 

branche parabolique de direction (Oy’) en -. le TH des gendarmes.


c) Représentation graphique de f 1
y b) On a : 0  U n  (1  )e n .
e
1
Soit 0  U n  10 5  (1  )e n  105 
e
5
0 A1 2 3 4 5 6 10 105
x e n   n  ln 
1 1
(1  ) (1  )
e e
1 1
n   ln  n  ln(1  )  105 
1 e
(1  )105
e
1
n  ln(1  )  ln105  n  12
e
Donc n 0  12 
-1

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Exercice 3
1) Figure illustrant les données et répondant à certaines questions.
C’ B’

D G C

H F
O
O’

M’ T

E
A B
J
K

A’

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DH  HO S()  
     
2.a) On a :      Or S(M)  M '  (O ; OM') = (A ; AM) (2)
 (DH ; HO)  (  0(2 ) S(A)  O
2 
Il existe une unique rotation r telle que : r(D) = H  
Donc 2(TM ; TM ') = 0(2) , d’où l’alignement
.
et r(H) = O des points T ; M et M’.
b) Comme le triangle DHO est rectangle en H d) Comme : A’= bar(A ; 2) ; ( ; -1)
d’où le cercle circonscrit à ce triangle a pour S(A’) = bar(S(A) ; 2) ; (S() ; -1)
centre  milieu de [DO]. S(A’) = bar (O ; 2) ; ( ; -1)= O’.
Ce point est le centre de la rotation r. D’où les triangles A’M et O’M’ sont semblables.
   Donc il existe une similitude SM de centre  telle
L’angle de r est : (DH ; HO)  (2).
2 que : SM(A’) = M ; SM(O’) = M’ ce qui nous
c) On a : A = bar(H ; 2) ; (D ; -1) permet d’écrire : SM([A’*O’]) = [M*M’] = J
r(A) = bar(r(H) ; 2) ; (r(D) ; -1) Soit S’ la similitude de centre  qui transforme A’ en K.
r(A) = bar(O ; 2) ; (H ; -1)= F On a : S’(M) = S’( SM(A’))
Donc l’image du carré direct DABC par r est le = SM ( S’(A’)) = SM (K)= J.
carré HFC’B’. S'()  

1
3) S = r  h ; où h a pour rapport et de centre D. S'(A ')  K ; Comme A’M est rectangle en A’
2 S'(M)  J

a) Par définition S est une similitude directe.
alors ; KJ est rectangle en K.
1
Rapport de S : RS = Lorsque M décrit  privée de  et T ; J décrit le
2 cercle de diamètre J privée de T et .

Angle de S est celui de r : S =
2 Exercice 4
Donc S = S 1  \  le centre de S à déterminer. 1) f(x) = xln(x+1)
( ; ; )
2 2 a) Calcul de limites
rh lim f (x)    x  1 est une (A.V)
x 1
b) On a :( A ; B ; C ; D)  ( O ; G ; D ; H)  f (x)
lim f (x)   ; lim    (C)
x  x  x

S()      admet une branche parabolique de direction (Oy).


4.a)   (A ; O )  (2)  x
S(A)  O 2 b) f’(x) = ln(x+1) +
1+x
 C  AO 
 Si x]-1 ; 0]  f’(x)  0  f est décroissante
De même :  C BG ;  C CD ;  C DH  sur cet intervalle.
b) S( (A ; O ) = C [S(A) ; S(A) S()] = C [O ; O ] = ’.  Si x[0 ; +[  f’(x)  0  f est croissante
sur cet intervalle.
On a : (AO) est une médiatrice de [T].
2) Tableau de variations
D’autre part la symétrie axiale autour de (AO)
nous permet d’écrire : x -1 0 +
f ‘(x) - 0 +
S(AO) ()  T
      + +
S(AO) (A)  A  (A ; O) =  (TA ; TO)  f (x) 0
 2
S
 (AO) (O)  O x 2
c
a) On pose  ax  b  
D’où les points  ; A ; O et T sont cocycliques.
     
1+x 1+x
c) Ona : 2(TM ; TM ') = 2(TM ; T) + 2(T ; TM') (2) x2 ax 2 + ax + bx + b + c ax 2  (a  b)x  b  c
       
2(TM ; TM ') = (AM ; A) + (O ; OM') (2) 1+ x 1+ x 1+ x

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a  1 0  ln(x  1)  ln 2 

  b  1 0  x n ln(x  1)  x n ln 2 
c  1 1 1
 0   x n ln(x  1)dx   x n ln 2 
0 0
1 1
b) A =  0
f (x)dx   x ln(x  1)dx ; On pose :
0  x  1 n 1

0  U n  ln 2   
 1  n  1 0
 u '(x) 
 u(x)  ln(x  1)  x 1
   ln 2
 v '(x)  x
2 0  Un  
 v(x)  x
n 1
 2 lim U n  0 
1 n 
 x2  1x
2
1
A =  ln(x  1)    dx 1x n 1
2 0 0 2 x 1 4) Vn = 0 x  1 dx ; n  1
ln 2 1 1 1
  (x  1 
1
=
x ln(x  1)dx ; On pose
)dx n
a) On a : Un =
2 2 0 x 1 0

ln 2  x 2 x   ln(x  1) 
1 1
 1
    u '(x) 
=  u(x)  ln(x  1)  x 1
2  4 2 0  2 0   n 1

ln 2 1 1 ln 2 1  v '(x)  x n
 v(x)  x
=     ua.  n 1
2 4 2 2 4
1
1
 x n 1  1 1 x n 1
3.a) Un =  x n ln(x  1)dx ; Un   ln(x  1)    dx 
n 1 0 n  1 0 x  1
0
Comme xnln(x+1) est continue sur [0 ; 1] d’où
l’existence de cette intégrale ce qui prouve la ln 2 1
Un   Vn 
définition de la suite (Un). n 1 n 1
1 1
b) U1=  x ln(x  1)dx = c’est l’aire A déjà b) n  1; 0  x  1  1  x  1  2 
4 x n 1 x n 1
0
1 1
calculée en b).  1   x n 1 
1
2 x 1 2 x 1
 Un+1 - Un =  x n ln(x  1)(x  1)dx ; Comme 1x
n 1
1 x
n 1
1
0

x ln(x+1)  0 pour tout x de [0 ; 1]; (x – 1)  0


n 0 2
dx  
0 x 1
dx   x n 1dx 
0

dans le même intervalle d’où Un+1 - Un  0 donc 1 1


 Vn   lim Vn  0 
(Un) est décroissante. 2(n  2) (n  2) n 

 D’autre part (Un) est minorée par 0 car elle est 1 x n 1


positive donc elle est convergente. c) On a : Vn =  dx ; n  1. Nous savons que:
0 x 1
d) n  1; 0  x  1  1  x  1  2 
1  ( x) n 1 1  (1) n 1 (x) n 1
n n


i 0
( x)i  1  x  ( x) 2    (1) n (x) n   (x)
i 0
i

1 x

1 x

n 1
(1) (x) 1  (x)n 1
n

n


1
( x)i    (1) n  1  x  ( x) 2    ( x) n   
i 0
1 x 1 x  1  x  1  x
1
 x 2 x3 x n 1 
Vn  (1) n  x      (1) n  ln(1  x)  
 2 3 n 1  0
 1 1 (1) n 
Vn  (1) n 1       ln(2)  .
 2 3 n 1 
1 1 (1) n 1 1 (1) n
d) On a lim Vn  0  lim 1       ln(2)  0  lim 1       ln(2) 
n  n  2 3 n 1 n  2 3 n 1

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Sujet 2010 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
f(x) = ex- x -1 Exercice 2
1.a) Etude de f 1.a) P(i) = i3 –(6cos+i)i2 +(4+5cos2+6icos)I – (4+5cos2)i
 Df = R ;
=-i + 6cos +i+ 4i +5cos2 i -6cos -4i -5cos2i = 0
 Limites aux bornes de Df A l’aide du tableau suivant on peut déterminer les
lim f (x)   ; lim f (x)    coefficients réels a et b tels que :
x  x 

 Dérivée de f et sens de variations P(Z) = (Z-i)(Z2 +aZ + b).


f’(x) = ex -1 ; f’(x)= 0  x= 0 ; x < 0 1 -6cos -i 4+5cos2+6icos -4i-5cos2i
i i (-6cos)i 4i+5cos2i
f’(x) < 0 ; x > 0  f’(x) > 0.
1 -6cos 4+5cos2 0
 Tableau de variations
D’o ù P(Z) = (Z-i)(Z2 -(6cos)Z + (4+5cos2))
x - 0 +
b) P(Z) =0  Z2 -(6cos)Z +( 4+5cos2)=0 ;
f ’ (x) + 0 +
 = (-(6cos)2-4( 4+5cos2)
+ 0 + = 36cos2 -16- 20cos2 =16cos2-16
f (x)
0 =16(cos2-1)= -16sin2 = ( i4sin)2
b) D’après le tableau de variations de f on a pour 6 cos   i 4 sin 
tout x : f(x) ≥ 0 d’où ex ≥ x +1. Z1   3 cos   2i sin  ;
2
2.a)  x -1 : x + 1 ≤ e  ln( x + 1 ) ≤ x
x
6 cos   i 4 sin 
b) x  1 -x  -1 ln( 1-x ) ≤ -x Z2   3 cos   2i sin  ;
k n 2
1 1
3) S n   ; on pose x = d’où 2.a) M0(i) ; M1(Z1) M2( Z2) ;
k 1 k k i  Z1  Z 2 i  6 cos i
1 1 1 k 1 ZG =   2 cos 
 ln(1  )   ln( ) 3 3 3
k k k k 1
k n
1 k n k  1 b) Z G (2 cos ; ). Soit Z(x ; y); sachant que :

k 1 k
 k 1
ln(
k
)  Sn  ln(1  n) 3
1
b) lim ln(n  1)    lim Sn   -2  x  2 ; y  , G décrit donc le segment
n  n  3
1
4.a) Un = Sn –ln(n) CD de la droite d 'équation y  ;avec
Un –Un-1= Sn –ln (n) - Sn-1 + ln (n-1) 3
1 n 1 1 1 C(-2 ; 1/3) et D(2 ; 1/3) 
  ln( )   ln(1  )
n n n n
1 1 1 1 3.a) On a : M1(3cos ;2sin) ; Soit M1(x ; y ) ;
D' aprés 3) on a : ln(1  )    ln(1  )   0 x
n n n n
  cos 
D' où : U n - U n -1  0 c'est a - dire que (U n ) est 3 x 2 y2
 d 'où  1 ;
décroissante.  y  sin  9 4
b) On a : Sn  ln(n+1)  ln(n) 
2
Soit Sn - ln(n+1)  0 c’est-àdire Un 0. c 'est l 'équation d 'une ellipse.
On a donc (Un) minorée et décroissante d’où sa b) Les éléments caractéristiques de ’ :
convergence vers un réel .  Centre : O (0 ; 0)
Comme Un  U2  U1  Un  1 et Un 0 ; d’où
 Sommets : A(3 ; 0) ; A(-3 ; 0) ; B(0 ; 2) ;B’(0 ; -2)
0  Un  1 ce qui prouve que : 0    1.
c 5
 Excentricité : e   car c  9-4  5;
a 3

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c) Construction de  et ’  Signe de f’(x)
y 1 1
2    x   f '(x)  0 ;
x 
1 1 1
y = 1/3    x   f '(x)  0 ;
x 
 Direction asymptotique
-3 -2 -1 0 1 2 3 x f ( x )) 3 1
lim  lim ( x  1  x ln x )  
-1 x  x x   4 2
Le graphique de f admet une branche parabolique
-2 de direction (Oy’) en +.
d) Tableau de variations de f
Exercice 3
x 1
1.a) Etude de u 0  +
 Du = ]0 ; +[ 
 Limites aux bornes de Du f’ (x) + 0 -
lim u(x)   ; lim u(x)   1
f( ) 0
x 0 x 
f (x) 
 Dérivée de u et sens de variation
0 -
1
u’(x) = 1 + 0  u’(x) = > 0 ; x Du. f est continue et strictement décroissante de
x 1 1
 Tableau de variations ] ; +[ sur ] -; f ( ) [ donc elle réalise une
 
x 0 + bijection entre ces deux intervalles et par
u’ (x) + conséquent l’équation f(x) = 0 admet une unique
+ 1
u (x) solution  tel que   . D’autre part on a :
- 
1
b) f est continue et strictement croissante de f(1) 1=  0; f(2)= 1  2ln 2  0 ; Donc 1 ≤  ≤ 2.
]0 ; +[ sur  donc elle réalise une bijection du 4
er
1 intervalle sur le deuxième. e) Graphique de f
y
c) D’après le T.V il existe un réel unique 
solution de l’équation u(x) = 0. D’autre part on a
u(1) =-1 ; u(1)  0 ; u(2)= ln2 ; u(2)  0 d’où 1≤  ≤ 2.
d) On en déduit le signe de u(x) comme suit :
x 0  + 0 1 x
u (x) - 0 +
 3 2 1 2
f (x)   x  x  x ln x ; x  0
2)  4 2

 f (x)  0
3 1 -1
a ) lim f ( x )  lim ( x 2  x  x 2 ln x )  0  f (0)
x 0 x 0 4 2  
3 1
d’où f est continue à droite de 0. 3.a) I n   f (x)dx   (  x 2  x  x 2 ln x)
f (x)  f (0) 3 1 1 1 4 2
b) lim  lim (  x  1  x ln x)  1  n n
x 0 x x 0 4 2
1  1  1
f d (0)  1  f est dérivable à droite de 0 
'
   x 3  1   x 2  1  J n
Donc Cf admet une demi-tangente de coefficient directeur 4 n 2 n 2
égale à 1 à droite de 0. 1 1  1 1 1
c) Pour tout x  0 ; f '(x)  2x  1  x ln x   3  3   2  2   J n ;
4 n  4 n  2
1
 x(  2   ln x)
x

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b) r =SAD  S AC  S 1  S AC ;  1  (AD) ;

Sachant que : J n  (x 2 ln x)dx
1 r =SAB  S AE  S AB  S  2 ;  2  (AE) .
c)  = SAB  S AD  S AC  SAB  r
n
1  1 
  x 3 ln x  1   x 3  1 = SAB  S AB  S AE  S AE .
3 n 9 n
 est une réflexion d’axe (AE).
1 1 1 1  1 
J n  3 ln   3 ln   3  3   3.a) Comme D  C et L  D ;  !S tel que :
3 n n 9  n 
D  L
3 1 1 1 1 1 1
J n   ( ln   )  3 ( ln  ) 
S 1 d’angle S1= (DC ; LD) où
3 9 n 3 n 9 C  D
1 1 1 1 1 1 1  
In   (3  3 )  (2  2 )  (3 ln   3 ln )  (DC ; LD)  (DC ; DL)       
4 n 2 n 6 n n 2 2
1 3 1
(  3 ) 
18 n Donc : S1= .
1 1 1 1 1 1 1 1 1
2
In  3 ( ln   )  3 (  ln  )  (2  2 )  LD 1
6 18 n 4 6 n 18 2 n Rapport de S1 : RS1= = .
1 1 1 DC 2
b) lim In  3 ( ln   )  2 .
n  6 18 2 D  L

1

b) S1: C  D 
Lorsque n+  0 d’où In   f (x)dx c’est R  R
n 0 
à-dire l’aire limitée par ( C), l’axe des abscisses et 
(RD ; RL) 
 R CDL et
les droites d’équations : x = 0 et x= . 2

Exercice 4 (RC ; RD)   R CCD 
2
1.a) Fgure illustrant les données et répondant à Alors, R est l’intersection autre que D de
certaines questions : C DL etC CD .D’autre part
E D K C      
Q
(RC ; RD)  (RD ; RL)      R  (CL)
2 2
Puisque S1(R)= R et S1(CL) = ( ID) on a R(DI).
R O J d 'où A  (CL)  (DI) ; Sachant que (CL)est
L perpendiculaire à (DI).
P
 C  D
r(O ; ) : 
S
2 L  I
F A I B c) h  h 1 ; f  h  r
DC  EF  a
 D  F
(C ; )
2
2.a)   r!:  f est une similitude directe, elle vérifie :

DC  FE C  E
f(D)=h(r(D) = h(F)= L
D  L
Donc, f  S1car S1 :  f(C)=h(r(C) = h(E)= D
C  D D  L
 L’angle de r est r tel que : Donc, f = S1 car : 
 C  D
(DC ; FE)  (FA ; FE) = 1
2 d) S1  h1  r1  r1  h1 ; avec h1  h(R ; )
 Centre de r = med[DF]  med[CE] ; 2
Soit A  (AE )  (AD); d' où r  r  et r1  r(R ;
1
)
(A; )
2 2

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F  B c) PQRS étant un rectangle il suffit de calculer
4.a ) S 2 :  ; l' angle de S 2 est (FB ; BC ) deux côtés consécutifs.
B  C On a : D’après le barycentre et le Théorème du
  milieu on peut écrire :
 (BF ; BC )       
2 2
BC 1  1   2 
Le rapport de S 2 : R S2 est égal à  ; KQ  KB ; PQ  BK ; 
FB 2 5 5
 1 a2 a 5
donc S 2  S( ; ) QP = 2KQ =
2
KB ; Or KB = a 2   ;
2 2 5 4 2
 1
b) Maintenant on a : S2 : S  S(Q : ; )  2 a 5 a 5
2 2 D’où : RS = SP = PQ = QR =  
5 2 5
   
(QF;QB)  2
Donc PQRS est un carré.
   
    (QF;QB)  (QB;QC)  a 5 2 5a 2 1 2 1
 SPQRS = ( )   a  SABCD 
(QB;QC)   2 25 5 5
 2 6.a) SO la famille des similitudes définies par :
Q  (CL). A  P
D’autre part : S2(FC)= S2(CL) = (B K)  B  Q

SO :  Le rapport de cette famille est :
 Q (CL)  (BK). C  R
5.a) Soit H le barycentre du système donné : D  S
H = bar (A ; -1) ; (B ; 2) ;(C ; 1) ; (D ; 3) Côté PQRS a 1 1 5
   
= bar (B ; -1) ; (C ; 1) ;(D ; -1) ; (B ; 2); (C ; 1) ; (D ; 3) Côté ABCD 5 a 5 5
= bar (B ; 1) ;(C ; 2) ; (D ; 2) = bar (K ; 4) ;(B; 1)  A  S    
D’où H (KB). D’autre part on a : b) g :  ; avec  =(AB; SP)=(AB; AJ)
B  P
H = bar (A ; -1) ; (B ; 2) ;(C ; 1) ; (D ; 3) 1
a
= bar (A ; 2) ; (C ; 2) ;(D ; -2) ; (A ; -1); (C ; 1) ; (D ; 3) BJ 1 AB a 2
sin =  2  ; cos =   .
= bar (A; 1) ;(D ; 1) ; (C ; 3) = bar (L ; 2) ;(C; 3) AJ a 5 5 AJ a 5 5
D’où H (LC). Donc le point H coincide avec le 2 2
c) Soit  l’une des similitudes SO transformant
point Q intersection de (KB) et (LC).
ABCD en PQRS.
b) Etant donné que :
Soit  (A) = P :
 P intersection de (AJ) et (BK)
On peut rencontrer l’un des cas suivants :
 R intersection de (DI) et (CL)      
 S intersection de (AJ) et (DI)  (OA ; OP)  (OA ; OS)     (2)
Par analogie avec la question a) on peut écrire :    
2 2
 P barycentre du système  (OA ; OQ)  (OA ; OS)       (2)
    3
(D ;  1) ;(A ; 2) ;(B ; 1) ;C(3 ;3)  (OA ; OP)  (OA ; OS)   
3
(2)
 R barycentre du système 2 2
En plus du cas initial évidement
(B ; 1) ;(C ; 2) ;(D ; 1) ;(A ;3)    
 (OA ; OP)  (OA ; OS)   (2) .
 S barycentre du système
(C ; 1) ;(D ; 2) ;(A ; 1) ;(B ;3)

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Sujet 2010 /Séries : C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1.a) La fonction x  x n ex est continue donc elle Gn(1) = e –nIn-1
est intégrable sur  alors,  t  b) 0  x  1 0  xn xn-1 0  xnen xn-1en
t
Gn(t) =  x n e x dx existe.
1 1
0
 0  x n e x dx  x n 1e x dx  
0 0
t
 e dx  e   e  1 ; 0  In  I n-1
x x t t
G0(t) =
0 0
t Donc (In) est décroissante minorée par 0 d’où sa
G1(t) =  xe dx ; On pose : x
0 convergence.
u(x)  x u '(x)  1 c) 0  x  1  1  ex  e xn  xn ex  e xn 
  
v '(x)  e v(x)  e 1 e
x x 1 1
0 x dx  In  e 0 x dx  n  1  In  n  1
n n

t
G1(t) =  xe x    e x dx  te t  e t  1
t

0 0 1 e
 lim  lim I n  lim d 'où
n  n  1 n  n  n  1
b) si t  0 ; 0  x  t e0  ex  et  x  xex  xet
t t t 0  lim I n  0 donc lim I n = 0
d'où 0
xdx   xe x dx   xe t dx ; donc
0 0
n  n 

selon le théorème des gendarmes 


t2 t2
 G1 (t)  e t
2 2 Exercice 2
t 0
c) si t  0 ; On a G1 (t) =  xe dx    xe dx t t
1.a) Calcul de P(1 + i):
0 t
P(1 + i) = (1+ i)3-(4 + 6i)(1+ i)2 +(-6+16i)(1+ i) +12 -4i
Comme : t  x  0 et  ex  1  x et  xex  x = 2i -2 –(4 +6i)2i +(-6 +16i)(1+i) +12 -4i
0 0 0
  xe t dx    xe x dx   xdx d’où = 2i -2 -6i +12 -6 -6i +16i -16 +12 -4i
t t t
2 2 = -12i +16i -4i +10 -22 +12 = 0.
t t t
 e  G1 (t)   Le tableau suivant donne a et b:
2 2 1 -4 - 6i -6 + 16i 12- 4i
1 t tet  et  1 1 tet 1+i 1+i -3-5i-3i+5 -4 +8i-4i-8
c) si t  0 ;  
2 (et  1) t(et  1) 2 (e t  1) 1 -3-5i -4 + 8i 0
t tet  et  1 1 Alors : P(Z) =(Z- 1 – i)(Z2 –(3+5i)Z -4 +8i).
Or, lim t  1 ; d’où lim  .
t 0 (e  1) t 0 t(et  1) 2 P(Z) = 0  Z0 = 1+ i  ou Z2 –(3+5i)Z -4 +8i = 0.
 si t  0 ; on a (e t  1)  0 et par conséquent D’où :  = (3+5i)2 - 4(-4 +8i) = 9 -30i -25 +16 -32i;
 = -2i = (1-i)2 .
1 te t te t  e t  1 1 t
  d 'où 3 +5i +1 - i
2 (e t  1) t(e t  1) 2 (e t  1) Donc : Z1 =  2  2i;
2
te t  e t  1 1 3 +5i -1 + i
lim   Z2 =  1  3i
t 0 t(e t  1) 2 2
1
 x e dx ; On pose : 2.a) Figure donnant l’emplacement des points et
n x
2) In = G n (1) =
0
nature du triangle.
u '(x)  e x
 u(x)  e x

  n 1

 v '(x)  x v(x)  nx

n

t
G n (t)  e x x n   n  x n 1e x dx d’où
t

0 0

G n (t)  t e  nG n 1 (t).
n t

D’après le résultat précédent on a :

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M1 M 2 2
c) On ona:  ;onpose :
M 0 M1 2
M 0 M1  U 0 ; M1M 2  U1 ;.......; M n M n 1 = U n .
1  q n 1
Alors : Sn = U 0 + U 1 +      + U n = U 0 
1 q
2 n 1
1 ( )
2 2 2
Sn = ( ). D'où lim Sn =
2 2 t 0 2
1 1
2 2
et c’est la limite de la ligne brisée demandée.

Exercice 3
1) Figure illustarnt les données et repondant à
ABC est rectangle et isocèle en B car : certaines questions :
M2
BC 2 + BA 2 = AC2 ; BC = BA = 2 ; AC =2.
b) On a : A; B et C sont differents deux à deux ;
   AB 2
puis (AC ; AB)   et  M M1
4 AC 2 A
D’où l’existence d’une unique similitude S telle
que : S = S  2 .
(A; ; ) I
4 2 K
c) Comme S = S  2
On a :
(A; ; )
4 2

2 i
Z’ – ZA = e (Z - ZA) 
4
B J C
2
2 2 2
Z’ = 1 + i + ( i )(Z – 1 - i) 
2 2 2 
1 i 1 1
2.a) Comme : CJ = BC  BA  BI
Z’ = Z  i et c’est la forme complexe de S.
2 2 2
1 i       
3.a) f : M  M / Z’= Z  i ; Alors et (IB ; CJ)  (AB ; CB)  (BA ; BC)  
2 3
f= S  2 . Alors il existe une unique rotation r1 telle que :
(A;  ; )
4 2 IC
r1 :
b) On a : f : M n  M n 1 d’où (A; Mn; Mn+1) est BJ
rectangle isocèle en Mn+1 car 
  Mn b) cette rotation a pour angle  et de centre 
 3
(AM n ; AM n 1 )  
4 qui est le point de concours des médiatrices de
AM n+1 2 [IC] et [BJ].
et  Mn+1 3.a) On a : r2 = t  r1 c’est une rotation par
AM n 2

(Voir figure ci-contre). définition d’angle  et de centre à déterminer.
3
A

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 r2 (I)= t  r1(I) = t(C) = K et x + 1 > 0 ; alors g(x) > 0.
 r2 (B)= t  r1(B) = t(J) = I 2) A l’ide du tableau suivant on trouve les
Or, la rotation r  est celle qui transforme I en coefficients cherchés :
(J; - )
3 2 3 2
K et B en I ; alors r2  r  . -1 -2 -1
(J; - )
3 2 1 1
b) S  r2 = S(AJ)  r2 = S  S(AJ)  J =   (AJ) 1
 Donc g(x) = 2x + 1 +
 x 1
et (AJ ; )   ; alors  = (JK) d’où 2
6 3) G(x) = x + x + ln(x+1)+ 1.
r2 = S(JK)  S(AJ) .
AA    II. 1.a) On a : f(x) = x2 + x + 1 + ln(x+1) = G(x).
4.a) On a : S1 :  S1  (AB ; AK)  et Calcul de limites :
BK 3
 lim f (x)  1  1  1  ()   ;
AK 1 x 1
k S1  
AB 2 lim f (x)  
x 
De même f (x) 1 ln(x  1)
   lim  lim x  1  
CC  x  x x  x x
S2 :  S2  (CK ; CB)  et
KB 3    1  0  0   
CB Alors C f admet une (A.V) d’équation x= -1 et
k S2   2. une branche parabolique de direction (Oy) en +.
CK
1
b) On a : f = S2  S1 = S 2 ; d’où f est une b) f’(x) = 2x+ 1 + = g (x) > 0 d’où le tableau
(? ;
3
; 1) x  1
2 de variations suivant :
rotation d’angle et comme f(B) = B alors x -1 +
3
f = r 2 . f ‘(x) +
(B ;
3
) +
5.a) On peut écrire : f (x)
       
(M ; MJ)  (M ; MM1 )  (MM1 ; MM 2 )  (MM 2 ; MJ) -
   2.a) f est continue et strictement croissante donc
Or, r1(M) = M1  (M ; MM1 )  et
3 elle réalise une bijection de I = ]-1;+[ vers
   J = ]-  ;+  [.
r2(M) = M2 (MM 2 ; MJ)   ; alors
    3 b) Comme 0 J,alors il existe d’une manière
(M ; MJ)  (MM1 ; MM 2 ) (2). unique  > -1 tel que : f() = 0 ; Or f(-0,52) < 0 et
 
b) M; M1 et M2 sont alignés  (M ; MJ)  0(); f(-0,51) > 0 d’où -0,52 <  < -0,51.
 
(M ; MJ)  0()  M(J)\  ; J. 3.a) x  0 ; x + 1  1  ln(x+ 1 )  0 
c) On a : r2 = t  r1  t = r2  r1-1 d’où x + 1 + ln(x+ 1 )  x + 1 f(x)  x + 1 .
r2  r1 (M1) = r2 (M) = M2  t (M1) = M2 
-1 Autrement dit Cf est au dessus de  d’équation
 
M1M 2  CK  M1M2 = CK donc la distance y = x + 1.
M1M2 est constante et la droite (M1M2 ) a un sens b) Comme C  C’ = A(x ; y) et vérifie
fixe qui est celui de (CK). f(x) = f-1(x) = y  f(y) = x et f-1(y) = x donc
Exercice 4 y = x c’est-à-dire x2 + x + 1 + ln(x+1) = x 
2x 2  3x  2 x2 + 1 + ln(x+1) = 0. On pose :
I. 1) g(x) = ; x > -1
x 1 h(x) = x2 + 1 + ln(x+1) ;
Comme 2x + 3x + 2 > 0 (car  = 9 – 16 = -7 < 0).
2
1 2x 2  2x  1
h'(x) = 2x + = ;
x 1 x 1

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Etudions le signe de h’(x) : 4.a) Les points M(x ; y) pour lesquels la tangente
 = 4 – 8 = -4 < 0 d’où le signe de h’(x) est celui est parallèle à D d’équation D : y = 2x est celle
de x+ 1 car le numérateur est strictement positif. dont le coeficeint directeur est égal à ( f’(x) = 2 ).
x -1  + 1 1
f'(x) = 2x + 1 + = 22x – 1 + =0
h ‘(x) + x 1 x 1
+ 2x 2  x x(2x  1) 1
h (x) 0   0  x = 0 ou x =  .
x 1 x 1 2
- Donc les points cherchés sont I(0 ; 2) ;
D’après le T.V il existe un unique  vérifiant 1 1
(  ; f(  ))
h() = 0. A l’aide du calcul direct on trouve que : 2 2
h(-0,8) > 0 ; h(-0,81) < 0 d’où : -0,81 <  < -0,8. b) Comme f est strictement croissante sur ]-1; +[
1 1  1 l’équation f(x) = k n’a qu’une seule solution selon
c) ( f -1 )'( ) =   2
f '(f ()
-1
2  3  2 2  3  2
2
les valeurs de k.
 1

c) Représentation graphique de C et C’

y=x

Cf

 
C
-1 0 1

-1

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5.a) Calcul de l’aire A : 23 23 
Comme C et C’ sont symétriques par rapport à la A = 2
+  2   2  2  ln(x  1)dx
3 3 
1ere bissectrice ( y = x), on peut écrire : On pose :

A = 2 -2  ( f (x)dx  1
 u(x)  ln(x  1) u '(x) 
   x 1 
A = 2 +  2x 2  2x  2  ln(x  1)dx  v '(x)  1 
  v(x)  x
 
A =  +  2x  2  2 ln(x  1)dx   2xdx
2   x
 ln(x  1)dx =  x ln(x  1)  2x   2 x  1 dx
2 
 
 
A = 2 +  x 2     2x 2  2  2 ln(x  1)dx  
 
1
 ln(x  1)dx =  ln(  1)  ln(  1)  ( (1  )dx

  x 1
A = 2 + 2- 2 + 
2x 2  2  2 ln(x  1)dx


ln(x  1)dx =  ln(  1)   ln(  1)   x  ln(x  1)

 
A = 2 + 
2x 2  2  2 ln(x  1)dx =  ln(  1)  ln(  1)  (  ln(  1)   ln(  1))
  1
5.a) On a : A = 2 +  
2x 2  2  2 ln(x  1)dx =  ln(  1)   ln(  1)      ln(
 1
)


 2x 3  
A = 2 +   2x   2  ln(x  1)dx

 3 
2 3 23  1
Donc A = 2 +  2  2    ln(  1)   ln(  1)  ln( ).
3 3  1

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Sujet 2009 /Séries : C& TMGM / Session Normale
Exercice 1
1.a) E  : Z2 -2(1+i)Z +2i = 0; 3Z' 2Z'' 3  3isin   3cos   2  2isin   2cos 
3.a) ZG = 
2 5 5
 = 4(1+i)2 -4(2i) = 4(2i) - 4(2i) = 0  1
= 1 + isin + cos 
5
2(1  i)
Z  1 i . 1
2 b) G(x ; y) ; On a : x = 1 + cos  et y = sin
5
E: Z2 -2Z = 0  Z( Z- 2) = 0  Z = 0 ou Z = 2.
Donc ’ : (5(x -1)2) + y2 = 1 ; d’où
b)  = 4(1 +isin)2 - 4(2isin)
’ est une ellipse.
= 4(1 +2isin – sin2) - 8isin
c) Les éléments caractéristiques demandés :
= 4 + 8isin - 4 sin2 - 8isin
 Centre : A(1 ; 0).
= 4(1- sin2) = 4cos2  6 4
2(1  i sin )  2 cos   Sommets : ( ; 0) ; ( ; 0) (1; 1) ; (1; -1).
Z'   1  i sin   cos  ; 5 5
2
2(1  i sin )  2 cos  Exercice 2
Z ''   1  i sin   cos  
2 1
1.a) f’(x) = 2xln(x+1) + x 2 ( )
2.a) Z’-1 = isin +cos = ei et x 1
Z’’-1 = isin - cos = -e-i = ei( - ); x2
Donc:  Z’-1  = 1 et  Z’’-1  = 1; puis = 2xln(x+1) + 
x 1
arg (Z’-1) =  et  (Z’’-1) =  -  ; D’où
arg
x2
AM' = 1 ; (u ; AM ')   /   0 ; 2 et  x > -1 ; x + 1 > 0 ; 0
  x 1
AM'' = 1 ; (u ; AM '')     /     ; .  -1< x  0  0  x  1  1 
Donc le lieu géométrique des points M’ et M’’ est Or ln(x  1)  0 et 2xln(x+1)  0
le cercle de centre A(1) et de rayon 1.
  1  i sin   cos   1  i sin   cos   2 cos    
b) ZM
 0  x  1  x  1  ln(x  1)  0
'M''
Donc la direction de (MM’) est la direction fixe et 2xln(x+1)  0
de l’axe réel.
c) Construction de  Donc  x]-1 ; +[ f’(x)  0.
y
1 D’où f est strictement croissante sur ]-1 ; +[.
b) T : y = f’(0)(x – 0) + f(0) ;
T : y = 0 et on a f(x) – y = f(x).
x -1 0 +
M'' M'
x2 + 0 +
ln(x+1) - 0 +
A f(x) - y - 0 +
0 1 2 x P. relative T/ C f C f/ T
2.a) Comme f est continue et strictement
croissante, alors f réalise une bijection de
]-1 ; +[ sur  d’où f admet une fonction
réciproque g.

-1
b) f(x) = x  x2ln(x+1) = x  x(xln(x+1) -1) = 0
 x = 0 ou (x) = 0 ou : (x) = xln(x+1) -1;
x
’(x) = ln(x+1) + ; x + 1 > 0.
x 1

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Tableau de variations de  3.a) A l’aide du tableau suivant on détermine les
x -1  0  + réel a ; b et c.
x - 0 + 1 0 0 0
ln(x+1) - 0 + -1 -1 1 -1
’(x) - 0 + 1 -1 1 -1
+ + x3 1
Donc x]-1;+[ on a :  x2  x  1 
x 1 x 1
(x)
0 D’où a = 1 ; b = -1 ; c= 1 et d= -1.
-1 0 0 0
   
2
Le tableau de variation de  montre que l’équation b) A = 2 x ln(x 1)dx 2xdx
 

(x) = 0 admet deux solutions  et  telle que : 1 3 


0
2 0 x3
0

  3  x  1
    x 2 
 ]-1 ; 0] (  strictement négative).On a : (-0,8) 2 3

x ln(x 1)  dx
 
> 0 et (-0,7) < 0 d’où -0,8 <  < -0,7. 2 0
 3 ln(  1)   (x2  x  1 
2 1
c) Calcul de limites : )dx   2
3 3  x 1
f (x)
 lim  lim (x ln(x  1))   
0
2 3 2 1 3 1 2 
  ln(   1)  x  x  x  ln(x  1)  
2
3  3
x  x x 
3 2 
C admet une branche parabolique de direction 2 2 1  2
 3 ln(  1)  3   2   ln(  1)   2
(Oy) en  . 3 9 3 3 3
 lim f (x)    x  1 est asymtôte verticale. 2 3 2 2 1 2 3  2
x 1
     ( ) ln(  1)
9 3 3 3
En plus C et C’ sont symétrique par rapport à la 1
droite y = x. Or f ()     2 ln(  1)    ln(  1) 

2 2 1 2 3  2 1
D ' où A  ( 3   2    ( ) )4cm 2
9 3 3 3 
2 3 4 2 1 2
Donc A  (       )4cm 2 
9 3 3 3
Construction de C et C’

C y=x

Cf


-1 1 

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Exercice 3  n pair :
f1(x) = xe-x ; Df =  x -1 0 1 +
 Limite aux bornes de Df xn + 0 + +
lim f (x)   x-1 - - 0 +
x 

lim f (x)  0  y  0est(A.H) fn+1(x) -fn(x) - - +


x 

f (x) P. relatibve
lim    C1admet une branche
Cn / Cn+1 Cn / Cn+1 Cn+1 / Cn
x  x  n impair :
parabolique de direction (Oy) en -  x -1 0 1 +
 Dérivée et sens de variation xn - 0 + +
f’1(x) = e-x - xe-x = (1- x)e-x x-1 - 0 +
f’1(x)  0  x  1 ; f’1(x)  0  x  1. fn+1(x) -fn(x) + - +
 Tableau de variations P. relatibve
x 0 1 + Cn+1 / Cn Cn / Cn+1 Cn+1 / Cn
f’1(x) 1

+ 0 - 2
3.a) On a : I1  f1 (x)dx = 1 - ;
e-1 0 e
1
f1(x) - 0 b) I n 1   0
x n 1 e  x dx ; On pose :
 Representation de C1
y u(x)  x n 1 u '(x)  (n  1)x n
1    
x x
 v '(x)  e  v(x)  e b)
1

1
1/e C1 In 1   e x x n 1  n x
 (n  1) x e dx  e  (n  1)I n . 1
 0 0

-1 0 1 2 3 x On a : 0  x  1 -1  -x  0  e-1  e-x  1


0  e  10  x e  x 
-x n -x n

1 1
x x
n x
0 e dx  n
dx 
-1 0 0
1
 1  1
0  In   x n 1   0  In  
 (n  1) 0 (n  1)
-2 lim In  0 ; D’après le théorème des Gendarmes.
n 

b) Calcul d’aire 4.a) on a : In+1 = -e-1 +(n+1)In 


1 1 e In+1 = -1 + e(n+1)In  e In+1 - e(n+1)In = -1
 f (x)dx   xe
x
A= dx ; On pose I e(n  1)In 1
0 1 0 e n 1   
(n  1)! (n  1)! (n  1)!
u(x)  x u '(x)  1 eI n 1 1
Jn+1 -   Jn+1 - Jn = ; n  .
 x
 x
 n ! (n  1)! (n  1)!
 v '(x)  e  v(x)  e 1
1 1 Jn+1 - Jn = ; n  .
 f (x)dx = -  xe    e dx 
x 1 x (n  1)!
0 1 0 0
1 1 1 b) On a d’après la relation précédente :
= -  xe  x   e  x    xe  x  e  x  
0 0 0 1
J 2 - J1 =
1 1 1 2 2!
0 f1 (x)dx = (- e - e )+(0 + 1) = 1 - e . J3 - J 2 
1
fn(x) est indépendante de n  xn est 3!
............  ......
indépendante de n  x = 0 ou x = 1.
............  ......
D’où les points cherchés ont pour
coordonnées :(0 ; 0) ; (1 ; 1/e). ............  ......
b) fn+1(x) - fn(x) = (xn+1 -xn)e-x = xn(x-1)e-x 1
J n - J n-1 
On distingue deux cas : n!

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En sommant membre à membre et après simplification: Le centre de S1 est P ; son rapport est 2 et son
1 1 1 
J n - J1  (             )  angle est .
2! 3! n! 4
1 1 1   
J n  J1  (             ); Or b) Comme: (PM ; PQ ) = et
PQ
=
1
= 2
2! 3! n! 4 PM 
tan
e 1 1 4
J1  I1  e(1  2e 1 )  e  2  e  (  )
1! 0! 1! S1(M) = Q ; Or M est milieu de [AC] donc par
Donc on en déduit que : conservation de milieu Q est le milieu de[P1P2] .
1 1 1 1 1 Puis ona H 1  3 d’où :
J n  e  (               ).      
0! 1! 2! 3! n!  
(HP1 ; HP 2 ) = (HP1 ; HP) + (HP ; HP 2 )=   
e 2 2
c) On a : lim J n = lim ( I n )= 0  0 = 0; Or  les po int s P1 ; P2 ; Q et H sont alignés.
n  n  n!

1 1 1 1 1 3.a) Comme QBQ1C et QDQ2A sont des carrés


               e - Jn  directs alors :
0! 1! 2! 3! n!       
1 1 1 1 1 (QQ1 ;QC)  (QQ 2 ;QA)  (QP ; QM) 
lim (               )  e. 4
n  0! 1! 2! 3! n! 
QC QC QM  2 1
   cos  
Exercice 4 QQ1 QQ 2 QP 4 2 2
AC  BD Q1  C
1.a) Comme :    ! rotation r1 qui
AC  BD S2 : Q 2  A
AB    PM
l 'angle de r1 est (AC ; BD)= .
CD 2 b) Or S2 1 conserve le milieu d’où P est le milieu
    
On a : (PA ; PB)=(PC ; PD)=  P 1 et 3. de [Q1Q2] ; en plus H2  4 d’où :
2 les po int s Q ; Q2 ; P et H sont alignés.
AD 4.a)  est une similitude directe car elle est la
b) Comme r2 :  l'angle de r2 est :
CB composée de deux similitudes directes.
      Ses éléments caractéristiques sont :
(AC ; DB ) = (AC ; BD ) - = -   - .   
2 2  L’angle :   ;
    4 4 2
Donc (QA ; QD ) =(QC ; QB ) 
1
Q  1   4 .  Le rapport : ( 2)( ) 1 ;
2
c) Par conservation du milieu :  Le centre : Le point N car  est une rotation
r1 (M)  N  PMN est isocèle rec tan gle en P 
 d’angle : (P) = S1 S2(P) = S1(M) = Q.
r2 (M)  N  QMN est isocèle rec tan gle en Q 2
PMQN est un carré. b) Comme: (Q 1) = S1 S2( Q1) = S1(C) = P2 et
2.a) Comme PAP1B et PCP1D sont des carrés (Q 2 ) = S 1 S2( Q 2) = S1(A) = P1 P1P2 =Q1Q2 . Puis on a :
          
 (Q1Q2 ; P2 P1 ) = = (Q1Q 2 ; P1P 2 ) +  = -(P1P 2 ;Q1Q 2 )+ 
directs donc : (PA ; PP1 ) = (PC ; PP 2 ) = et 2
4   
PP1 PC 1 d ' où (P1 P 2 ;Q1Q 2 ) = (2) 
   2 ;Or A  C et P1  P2  2
PA PP2    
cos 5.a) r est une rotation d’angle (P1P 2 ;Q1Q2 ) = ;
4 2
A  P1 Or par conservation du milieu on a r(Q) = P d’où
Il existe une similitude unique S1 qui : .
C  P2 le centre de r est M.

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   AC 2
b) Comme r(P2) = Q2 donc (MP 2 ; MQ 2 ) = ; P2A2 + P2C2 = 2P2M2 + et
2 2
      
Or (HP2 ;HQ2 ) = (HQ ; HQ2 ) = (AQ ;AQ2 ) =  2 2 2 AC 2
2 Q 2 A +Q2 C = 2Q2 M + Or ; P2M = Q2M
    2
(MP 2 ; MQ 2 ) = (HP 2 ;HQ 2 )  Les points M ; H ; d’où P2A2 + P2C2 = Q2A2 + Q2C2.
P2 et Q2 sont cocycliques. e) Relations semblables :
c) De même que les points : M ; H ; P1 ; Q1 ; et N ;  P1A2 + P1C2 = Q1A2 + Q1C2 ;
H ; P1 ; Q2 et N1 ; H ; P2 ; Q1.  P1B2 + P1D2 = Q2B2 + Q2D2 ;
d) D’après le théorème des médianes appliqué aux  P B2 + P D2 = Q B2 + Q D2 .
2 2 1 1
triangles P2AC et Q2AC on trouve :

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Sujet 2009 /Séries : C& TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
n 1
1
: Z  Z' / Z'  (  i
3
)Z  1  3i  1 
1) a): f entraîne : Zn 1  2  ei(n 1)   On a :
 2cos  
3
2
2 2
 1 1
1 3 i  Zn+1 = f(Zn ) = (  i)(2  ( ) n ein )  1  2i
 ie3 f 3
est une rotation d’angle 2 2 cos 
2 2 3
2 1 1
= 1+2i  (  i)( ) n e in  1  2i
1 i 3 2 2 cos 
et de centre le point d’affixe de : .
1 3 1 1
1 (  ) = 2+(  i)( ) n e in
2 2 2 2 cos 
1 1
1 i 3 1 i 3 Or ,  = arg(  i) d’où cos = 
Comme :  2 2 2 1  i
1 3 1 3
1 (  )  1 1
2 2 2 2 1  i   1  i  ei
Donc le centre est le point d’affixe de (2). 2 cos  2 cos 
a): f 1 : Z  Z' / Z'  Z  f 1 est l’identité du plan. Donc : Zn+1 = 2+(
1
)n 1 ei(n 1) 
2
i
2
i
2cos 
c) f 1 : Z  Z' / Z'  iZ  2  2i . Conclusion :  n  
:
Zn = 2 + (
1
)n ei(n)  .
1 i
2 2cos 
 1 1
On a : i  e 2 et
i 2 - 2i
 2  f 1 est la rotation c) Vn = ( ) n ei(n )   ( )n ; car cos   0.
1-i 1 i 2 cos  2 cos 
2
1
 Donc (Vn ) est suite géomètrique de raison :q  
d’angle et de centre le point d’affixe 2. 2 cos 
2
3 (Vn) est convergente -1 < q  1
d) f 2i : Z  Z' / Z'  Z5 ; 1 1    
2 0  1  cos       ;  
3 2 cos  2  3 3
On a :   \ 1 et
5 5
  2  f 2i est
2 3 5 1 n 1
1-( ) d) d n = Zn+1 - Zn = ( ) ( )ei  1
2 2 2 cos  2 cos 
3 1 n 1 i
l’homothétie de rapport et de centre le point d’affixe 2.
2 dn = ( ) e  2 cos 
2 cos 
2.a) Calcul de Z1 :
1 3 5 d n = Vn+1 e i  d n = Vn+1 
Z1 = f(Z0 ) = f(3)= (  i)3  1  2i   3i  1  2i   i
2 2 2 Sn = V1 + V2 + ∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙ + Vn
5 1 5
Z2 = f(Z1 ) = f(  i) = (  i)(  i)  1  2i 1
2 2 2
(1  q n 1 )  2 cos  (1  (
1 1
9 S n  V1 ) n 1 )
  2  i  1 q 1 2 cos 
4 1
n
2 cos 
 1  in Sn est la longueur de la ligne brisée reliant les
b) Pour démontrer que : Zn = 2 + 2   e .
 2cos   points M0 ; M1 ;∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙Mn+1 .
 1ere étape : Initialisation : vérifions avec n = 0 ;
Z0 = 2 + (1)ei0 = 3 c’est vrai
 2ème étape : Hérédité : Supposons pour n donné
n

in 1 
que :Zn = 2   e et montrons que cela
 2 cos  

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Exercice 2 1
b) x[0 ; 1] : 1+ ex > 1 d’où 0  1
1  ex
x
e
1.a) Etude de f0 / f0 (x) = ; Df0 = -; +
1  ex 1 1
0  f n (x)  e (1 n ) x  0   f n (x)dx   e(1 n )x dx ;
Limites aux bornes : 0 0
1
lim f0 (x)  0 ; lim f0 (x)  1   1 
x  x  x[0 ; 1] : 0 < Un <  e(1n)x  
Dérivée et sens de variation  (1  n) 0
1 n
e (1  e )  e (e )
x x x x
e x
1

e

1

f0' (x) =  > 0 x    0 < Un < 0 < U n<
(1  ex )2 (1  ex )2 n 1 n 1 n 1
lim Un  0; D’après le Théorème des gendarmes.
Tableau de variations : n 
 nx
x - + 1e  e  (1 nx )
f’0 (x) + 4.a) U n+1 + U n = 0 ex  1 dx
1  nx
1e  e  (1 nx ) 1e
 nx
(1  e x ) 1
0 ex  1 0 ex  1 dx  0 e dx
 nx
f (x) 0 dx 
b) Comme lim f (x)  0 ; lim f (x)  1
0 0
x  x 
 1
1

Donc C0 admet dux asymptôtes horizontales dont   e nx 
n 0
les équations sont y= 0 et y = 1.  nx
1e  e  (1 nx )  1   1  1 1
c) f0(2(0) – x) + f0(x) = f0(-x) + f0(x) = 0 e 1
x
dx   n      (1  n )
 ne   n  n e
e x ex 1 ex 1
    1  2( )  Donc Un+1 + Un = Vn.
1  e x 1  e x e x  1 1  e x 2
1 Vn  0 ; si n est pair
(0 ; ) est un centre de symétrie de C0. b) Comme : 
2 Vn  0 ; si n est impair
V0  U1  U 0 ;
y
1
C 0
C1
V1   U 2  U 0 ;
V2  U 3  U 2 ;
-2 -1 0 1 2 x
            
1 e x             
2.a) f1(x) =   f 0 ( x) 
1  ex e x  1 U n 1  U n ; si n est pair
Vn  
C1 est l’image de C0 par la réflexion d’axe (Oy).  U n 1  U n ; si n est impair
1 1  ex  ex ex 
b) f1 (x) =   1   1  f 0 (x)
1  ex 1  ex 1  ex U0  U n 1 ; si n est pair
f (x)  f 0 (x) 1 Sn  
d’où 1  Donc C1 est l’image de C0 U0  U n 1 ; si n est impair
2 2 Sn  U0  U n 1 ou Sn  U0  U n 1 
1
par la réflexion d’axe la droite d’équation y = . Sn  U0  U n 1
2
c) Voir figure précédente. Sn  U 0  U n 1 ou Sn  U 0   U n 1 
x
1
3.a) U0 =  f 0 (x)dx  
1 e
dx  Sn  U 0  U n 1 ; Or lim U n 1 = 0 
n 
0 0 1  ex
1 e
1 1 e lim Sn = U 0  ln( )
U0 = ln(1  e x )   ln(1  e)  ln(2)  ln n  2
0 2
1 1
U1 =  0
f1 (x)dx   (1  f 0 (x))dx
0
1 1 e
U1 =  dx  U
0
0  1  ln(
2
).

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Exercice 3 S(E) = A et S(A) = G’ où G’ est le symétrique de
1.a) Figure illustrant les données et répondant à G par rapport à (AB) d’où SS (E) =G’.
certaines questions : Donc : l’image du triangle BDE est le triangle
D BGG’.
5.a) f(B) = rS(B) = r(B) = D ;
g(B) = S r(B) = S(D) = C;
  f(E) = rS(E) = r(A) = C ;
g(A) = S r(A) = S(C) = G
   3 3
b) Comme ;   et 1   (r est une
E 3 3 2 3 3
C

similitude d’angle et de rapport 1) alors f et g
3

 3
G sont des similitudes d’angles et de rapport .
2 3
Le centre de f est un point ( 1) d’intersection des
A B cercles de diamètres [BD] et [EC].
Le centre de g est un point (2) d’intersection des
G’ cercles de diamètres [BC] et [AG].
AB  AC et AC= CD c) On a 2EC est rectangle en 2 et le triangle
2.a) Comme   
AB  CD Or AB  CD 2BD est rectangle aussi en 22 est un point
commun des cercles de diamètres respectifs
AC [AG] ;[BC] ; [CE] et [BD] d’où 2 est le centre de
! rotation r qui
BD de g( 2 est le milieu de [AC]).
    
b) L’angle de r est (AB ; CD)  (AB ; AC)  ; Exercice 4
3
  1.a) Comme le discriminant de x2 -2x + 2 est

Comme EA = EC et (EA ; EC)  alors EAC négatif alors x  : x2 -2x + 2 > 0 ; Or x 
3
est équilatéral direct. x2  0 donc f(x) existe  x≠ 0  Df =  .
D’autre part E est le centre de r. b) limf (x)    x = 0 est une (A.V) de C
x 0
3) Comme CA = CB = CD = CE = a donc les c) lim f (x)   ; lim f (x)  
points A ; B ; D et E sont cocycliques leur cercle a x  x 

pour centre C et de rayon a. d) lim (f (x)  (2x  3))  0  y = 2x -3 est (A.O) de C.


x 
4.a) Un angle de S est :
      x 2  2x  2
(BD ; BC)  (BD ; BA)  (BA ; BC) On a D : y = 2x – 3 alors f(x) – y = ln( )
x2
1    1  
 (CD ; CA)      x 2  2x  2
2 3 2 3 6 qui a le même signe que -1 =
x2
Le rapport est de S est :
BC

a

3
 2x  2
qui a le même signe que -2x + 2 d’où
BD a 3 3 x2
b) SS (B) = S(D) = B ; SS (D) = S(C) ; Or Le tableau suivant:
2
a
3 x - 0 1 +
   BG 3 2 3
(BC ; BG)  et    Alors
6 BC a 3 f(x) - y + + 0 -
S(C) = G et ; SS (D) = G; ; SS (E) = S(A);
Or ABC et ACE sont équilatéraux d’où P.
C/ D C/ D D/ C
   BA a 1 3 relative
(BE ; BA)  et    
6 BE a 3 3 3
2
2

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(2x  2)x 2  2x(x 2  2x  2) x2 x2
2.a) f'(x) = 2 +  ( )  2(1  )
x 4
x  2x  2
2
x(x  2x  2)
2

x 3  2x 2  3x  2 2((x  1)(x 2  x  2)) 2(x  1)


 2( )   (x) ; où
x(x 2  2x  2) x(x 2  2x  2) x
x2  x  2
(x)  ; Or le discriminent de x 2  x  2 est négatif d 'où x 2  x  2 > 0  (x)  0.
x  2x  2
2

Donc  > 0 ;  x ≠ .b) Le T.V de f


x -  0  1  +
x-1 - 0 - 0 +
x - 0 +
f’(x) + 0 - 0 +
f(x) + + +
0 0 0
- -1
c) D’après le T.V de f et la continuité de f sur
] - ; 0[ et ] 0 ; + [ on a l’équation f(x) = 0
admet trois solutions :  ;  ;  . Puis on a :
 f(-0,5) < 0 d’où -0,5 <  < 0 ;
 f(0,5) < 0 d’où 0 <  < 0, 5 ;
 f(1,5) < 0 et f(2) > 0 d’où 1,5 <  < 2
d) Courbe de C ci-contre
2x  2 2 
x  1  3  tan t  3  t  ; dx  (1  tna t)dt 
2
3.a)On a : 2  
x  2x  2 1  (x  1) 2 3
 
2x  2 2(1  tan 2 t) 3 2dt  2       

2
 B = 3
 1  tan 2
t
dt    3 4 6
 
x 2  2x  2 x 2  2x  2 4 4

2x  4 1 3
3 ln( x  2x  2 )dx 
2

x 2  2x  2
d'où  x  : d) S= 2 (f (x)  (2x  3)dx  4

x2
2x  4 2x  2 2 On pose :
    2x  4
x 2  2x  2 x 2  2x  2 1  (x  1) 2 x 2  2x  2
u(x) = ln( ) u’(x) =
1 3 2x  2 1 3
x 2
x(x  2x  2)
2

b) A =  dx  
 ln(x 2
 2x  2) 
2  v’(x) = 1v(x) = x doù
2 x 2  2x  2 1 3
 x 2  2x  2  1 3 2x  4
 ln(1  2 3  3  2  2 3  2)  ln 2 S =  x ln( )  dx 
 x 2
 2 2 x  2x  2
2
 ln 4  ln 2  2ln 2  ln 2  ln 2 
1 3  S  (1  3) ln(
4
)  2 ln 2  A  B 
c) B= 
2
dx ;où x = 1 + tant ; t[0 ; [ d’où
2 1  (x  1) 2 2 (1  3) 2
 4 
x  2  tan t  2  t  S  ((1  3) ln( )  ln 2  )u.a
2 (1  3) 2 6

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Sujet 2008 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
1  Représentation graphique de ( C )
f(x) = x + ; x   y
e 1 x

1 .a) Etude de f
 Df =  2
 Limites aux bornes
C D' : y = x
lim f (x)   ; lim f (x)  
x  x 
1
 Dérivée et sens de variations y: x + 1
ex (e x  1) 2  e x e 2x  e x  1 W
f '(x) = 1 -   0
(e x  1) 2 (e x  1) 2 (e x  1) 2
-2 -1 A 0 1 2
 Tableau de variations x

x - +
f ’ (x) + -1

+
f (x)
-
b) D’après le T.V de f : f est continue et Exercice 2
strictement croissante de  vers  , alors f réalise e
une bijection de  sur  . n    ; U n   x 3 (ln x) n dx ;
1
1 e
2.a) lim (f (x)  (x  1))  lim x 1  1 1  0 ; 1.a) U1   x (ln x)dx ; on pose :
3
x  x  e  1 1

Donc la droite D d’équation y = x + 1 est une  1


 u(x)  x 4
A .O de ( C ) en -. u '(x)  x 
3
4 
 
 v(x)  ln x
1
b) lim (f (x)  x)  lim x  0 ;  y = x est  v '(x)  1
x  e  1
x 
 x
une A .O de ( C ) en +. e
 x4  e x4 1
c) f(x) – x = x
1
> 0  x < f(x) ; U1   (ln x)  
 4 1
 1
 dx
4 x
e 1
1 e x e4 1 e e4 e4 1 3e 4  1
f(x) – (x+1) = x
e 1
-1 = x
e 1
< 0  f(x) < x+1;  
4 4  1
x 3 dx  -   U1 =
4 16 16 16
 x  f(x)  x+1.Donc ( C ) / D’ et D/ ( C) c’est
e e
 x (ln x) dx   x (ln x)
3 n 1 3 n
b) Un+1- Un = dx
–à-dire ( C ) est située entre D et D’. 1 1
e

d) f(-x) + (f(x) = -x +  x
1
x x
1 =  x (ln x) (ln x  1)dx ;
3 n
1
e 1 e 1 On a : 1 x  e 0  lnx  1 lnx – 1  0 
1 1
= x  x3(lnx)n(lnx – 1)  0 
e  1 ex  1 e

ex 1 1  ex  x 3 (ln x) n (ln x  1)dx  0  U n 1  U n  0 


  1 
1
=
1  ex ex  1 1  ex (Un) est décroissante ; D’autre part : 1 x  e 
1 0  lnx  1 x3(lnx)n  0
(C) admet un centre de symétrie : (0 ; ) . e
2 U n   x 3 (ln x) n dx  0 ;
e) f(-0,7)  f(-0,6) < 0 ; par le calcul ; d’où (C)
1

coupe l’axe des abscisses en un point A d’abscisse  (Un) est minorée par 0 ; on peut en déduire que
x0 où -0,7 < x0 < -0,6. (Un) est convergente.
e
2.a) U n   x 3 (ln x) n dx. ; On pose
1

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 1 4 P(Z) = 0 (Z-1)(Z2-(4+6i)Z-8 +8i = 0 
 u '(x)  x 3  u(x)  4 x Z-1 = 0  Z = 1 ou
  n 1
 Z2-(4+6i)Z-8 +8i = 0;
 v(x)  (ln x)
n
 v '(x)  n(ln x)  = (4+6i)2-4(-8+8i) = 16 +48i -36 +32 -32i
 x
e
 = 12 + 16i = (4 + 2i)2
 x4  n e 4  6i  4  2i 4i
U n   (ln x) n    x(ln x) n 1 dx  Z1    2i
4 1 4 1 2 2
e4 n 4  6i  4  2i
Un   U n 1  Z2   4  4i
4 4 2
4U n  e 4  nU n 1  4U n  nU n 1  e 4 S = 1 ; 2i ; 4 + 4i.
2Z  2ZB  ZC
e4  2U1 2.a) ZG  A 
b) 4U 2  2U1  e4  U 2   2  2 1
4 2ZA  2ZB  ZC   ZG 
3e4  1 2(2i) -2(1) –ZC = -6  ZC = 4 + 4i.
e4 
8  5e  1
4
U2  Z  ZA 4  4i  2i 4  2i
4 32  C   
ZB  ZA 1  2i 1  2i
e4  3U 2
 4U3  3U 2  e  U3 
4
 ZC  ZA 2i(2i  1)
4   2i 
ZB  ZA 1  2i
15e4  3
e4  ZC  Z A 
32 17e4  3 arg( )  arg 2i  (2) 
U3   ZB  ZA 2
4 128
3.a) Un  Un-1 car (Un) est décroissante  Le triangle (ABC) est rectangle en A.
nUn  nUn-1  4Un + n Un  4Un + nUn-1 
e4
(4 + n)Un  e4  Un  (1).
4n
 4Un+1+(n+1)Un = e4 ;
Un+1  Un  4Un+1  4Un 
4Un+1 +(n+1)Un  4Un +(n + 1)Un 
e4
e4  (n +5)Un   U n (2)
n5
 e4 e4
De (1) et (2) on a : n   ;  Un 
n5 4n
4 4
e e
b) lim  lim  0  lim U n  0
n  n  5 n  n  4 n 
4 4 4 4
b) M1  2MA2 -2MB2 –MC2 = -10 ;
ne ne ne ne 2MA2 -2MB2 –MC2 =-MG2 +2GA2 -2GB2 –GC2.
On a :  nU n  ; lim  lim  e4
n5 4  n n  n  5 n  n  5 GA2 =  ZG -ZA 2 = 6 -2i 2 =36 +4 = 40 ;
 lim nUn = e4 . GB2 =  ZG –ZB 2 = 6 -1 2 =25 = ;
n 

Exercice 3 GC2 =  ZG –ZC 2 = 6 -4 -4i 2 = 2 -4i 2 = 20 ;


P(Z) = Z3 –(5+6i)Z2 +(-4+14i)Z +8 - 8i. 2MA2 -2MB2 –MC2 = -MG2 +10
1.a) P(1) =1 -5 -6i -4 +14i +8 -8i = 9 -9 +14i -14i = 0. M1  - MG2 +10 = -10  MG2 = 20 
b) Le tableau suivant donne les coefficients cherchés : MG = 2 5 ;
1 -5 - 6i -4 + 14i 8- 8i Donc 1 est le cercle de centre G passant par C
1 1 -4 -6i -8+8i
( de rayon 2 5 ).
1 -4-6i -8 + 8i 0  2  2
M2  MA2 -MB2 = -5  MA  MB  5
2
Donc; P(Z) = (Z-1)(Z -(4+6i)Z-8 +8i.

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   
f (x  n)  t x  Fn (x)  f (x)  t x
x n x n
 (MA  MB)(MA  MB)  5  

2MI.BA  5 avec I =  A * B  nf (x  n)  Fn (x)  nf (x)
 5 lim f n (x  n)  n  1  n; lim nf n (x)  n  1  n 
MI.BA   x  x 
2 lim Fn (x)  n
Donc 2 est la droite passant par C et () à (AB) x 

c’est-à-dire (AC). b) Soit v(x) = ex -1 – x ; x > 0 ; On a


  4    2    v’(x) = ex -1> 0 ; x > 0.
c) AC   ;GC   ;AC.GC  8  8  0  Tableau de variations
 2 4  x 0 +
(AC)  (GC). v ’ (x) +
Donc 1 et 2 sont tangentes en C ; c’est à-dire 2
est la tangente de 1 en C. +
v (x)
0
Exercice 4 D’après le tableau de variations de v on a : x > 0 ;
1) Etude de variations de u v(x) > 0  ex -1 – x > 0  ex > 1 + x.
 Du = ]1 ; +[ ; On pose t = 1 + x  x = t – 1
 Limites aux bornes de Du On a donc : et-1 > t  t – 1 > lnt ;
1 x > 0  x + 1 > 1  t > 1  lnt > 0.
lim u(x)     ; lim u(x)  0
n 1 0 n  Donc : t -1 > lnt > 0  0 < lnt < t -1.
 Dérivée et sens de variations 1 1
c) lnt < t – 1   
1 ln t t  1
1 1 1
u’(x) = x 2   0 ; u’(x) < 0 x Du. e ln t  e t 1  1 
1

(ln x) x ln 2 x t 1
 Tableau de variations xn
1
x n 1
x - + x e dt  x (1  t  1)dt 
ln t

Fn (x)   t  ln(t  1) x
xn
u ’ (x) - 

u (x)
+ Fn (x)  x  n  ln(x  n  1)  x  ln(x  1) 
0 x  n 1
1 Fn (x)  n  ln(
)
2) f(x) = e u(x)
 e ; x  1; + ;
ln x x  1
x  n 1
f’(x)= u’(x).eu(x) < 0 ; car u’(x) < 0  f est Fn (x)  n  ln( )
x 1
strictement décroissante sur ]1 ; +[.
x  n 1
lim f (x)    ; lim f (x)  1 lim l n( )    lim Fn (x)  
n 1 n  x 1 x 1 x 1

 Tableau de variations d) F’n(x) = f (x + n) - f(x) < 0


x 1 +  Tableau de variations
x 1 +
f ’ (x) -
F’n(x) -
+
f (x) +
1 Fn(x)
n
xn
3) n   ; Fn (x)  

f (t)dt ;x  1 e) Une allure de F1
x
Voir représentation ci-dessous.
a) x]1 ; +[ ; on a x  t  x + n et f est
décroissante f(x+n)  f(t)  f(x) 
xn x n x  n f (x)dt
 f (x  n)dt  f (t)dt  
x x x

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  
b) L’angle de S est : (CA ; AB)  (2) .
2
AB
Le rapport de S est :  2.
CA
c) E est le symétrique de A par rapport à C, alors
S( E ) est le symétrique de S(A) par rapport à
3 S( C), c’est-à-dire S (E) est le symétrique de B par
rapport à A donc S (E) = G.
L’image du carré (COJE) est le carré (AEFG).
2 3.a) D’après les données on a :
  
y=1  S( E ) = G  (E ; G)  (2)  
1 2
appartient au C [EG]
  
 S ( C ) = A  (C ; A)  (2)  
1 2 2
Exercice 5 appartient au C [CA] .
1.a) Figure illustrant les données et répondant à   
certaines questions :  S ( A ) = B  (  A ; B)  (2)  
2
appartient au C [AB] .
  
 S ( J) = F  (J ; F)  (2)  
2
appartient au C [JF] .
F E J b) S  S = h( ; -4)  S  S(C) = S( A ) = B
 
h( C) = B  B  4C  (BC).
Les points B ; C et F sont alignés  B ;  et F
C O sont alignés.
Soit I’= [F*J] ; on a (AB)  (FJ). Soit h1 une

homothétie de centre  qui transforme B en F
alors :
 3   3 
G A I B h1 (A) = J, car F   B et FJ   BA .
2 2
F FJ
C’est –à-dire   k ( k rapport de h1).
B BA
 AE  BA  0 Donc h1 transforme le cercle de diamètre [AB] en
b)    Donc il existe une unique le cercle de diamètre [JF], alors h1 (I) =I’ 
 AE  BA
 I ;  et I’ sont alignés et puisque  appartient au
rotation r telle que : r(A) = B et r(E) = A.
C [JF] alors C [AB] et C [JF] sont tangents en  .
c) L’angle de r est  telle que :
    4.a) L’image de  par S est le cercle de centre

  (AE ; BA)  (AE ; AG)  (2)  S(A) et passant par S() c’est-à-dire le cercle de
2 centre B et passant par .
Le centre de r est le point d’intersection des
 Donc S ( ) =’. 
   
médiatrices des segments [AB] et [AE] c’est-à-
 (DA ; DB)  (DA ; D)  (D ; DB)( )
dire le point O.    
d) r( I) est le symétrique de C par rapport à O et (DA ; D)  (D ; A) (car le triangle AD
r(J) = C . est isocèle en A ).
2.a) C  A et A  B, donc il existe une unique    
(D ; DB)  (B ; D) (car le triangle DB
similitude directe S qui transforme C en A et A en B.
est isocèle en B ). Donc :

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           
 (DA ; DB)  (D ; A)  (B ; D)() (DM ; DM ')  (DM ; D)  (D ; DM ')()
 
= (B ; A)() 1   1  
 (AM ; A)  (B ; BM ')()
 2 2
= - () 1 
   
2  (AM ; A)  (B ; BM ')  ()
 2
= () A  B
2
      
= (A ; B)()  S :     (B ; BM ')  (A ; AM) 
M  M '
Les points ; A ; B et D sont cocycliques. 
b) M  et M’ = S( M) .   1    
On a : (DM ; DM ')  (AM ; A)  (A ; AM)  ( )
2
 
 (DM ; DM ')  0() 
D ; M et M’ sont alignés.

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Sujet 2008 /Séries C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1.a) P(2i) = -8i +4(4+8i)-32i -40 +24 +8i e – 2 – 2i = -im+2i -2 
= -8i +16 + 32i -32i -16 +8i = 0.  e = -im +2i -2 +2 + 2i  e = -im +4i.
b) A l’aide du tableau suivant on détermine les i

coefficients cherchés :  f = e 2 m = im  f = im.


1 -4-8i -16+20i 24+8i Z  ZA  ZM 0  2  2i  m
 g= 0  
2i 2i -8i +12 -8i -24 3 3
1 -4 - 6i -4 +12i 0 1 2  2i
Donc :  = 4 -6i ;  = -4 + 12i. g  m 
3 3
P(Z) = 0  Z – 2i = 0  Z = 2i 4i
ou Z2 –(4 +6i)Z -4 + 12i = 0. c) Comme : e  f   2i  ZB  H  B, Or
2
 = (4 +6i)2 – 4(-4 + 12i) = 16 + 48i -36 +16 -48
ZB -1 - i = 2i -1- i = -1 + i = 2 
 = -4 = (2i)2 
4  6i  2i 4  6i  2i B donc H est un point fixe de  indépendant de
Z  2  4i ;ou Z   2  2i  la position du point M sur .
2 2
Donc les solutions sont S = 2i ; 2+ 4i ; 2+ 2i. d) Les lieux géométriques demandés :
2.a) Avec I milieu de [OA] on a :  celui de E est le cercle image de  par la

 OA rotation de centre A d’angle  ,
IM  2 2
  celui de F est le cercle image de  par la
 2  2i
 ZI   1 i  m 1 i  2 
2 rotation de centre O et d’angle de diamètre
 2
 2  2i 2 2 respectifs [AO’] et [OA’] tel que AOO’ est
OA    2
 2 2 isocèle rectangle indirect en A. OAA’ est
isocèle rectangle direct en O.
O’  celui de G est le cercle image de  par
1
l’homothétie de rapport et de centre le point
3
2  2i
E
d’affixe 3  1  i qui est I centre de 
1
A’ B M 1
A 3
Donc Le lieu géométrique de G est le cercle
1
F 1 de centre I et de rayon IA.
I 3
e) Comme B(EF) et B 
on a(EF))

est
tangente à   E≠ F et EF  IB , Or EF  IB
-1 0 1 f e
  i Or
1  i  2i
b) On a la rotation :
f e 2im  4i 2(im  2i)(1  i)
   
 de centre A , d’angle  transforme M en E, 1  i  2i 1 i 2
2
 (im  2i)(1  i)  (i(x  iy)  2i)(1  i) où M(x; y)
 de centre O , d’angle transforme M en F, f e
2  (ix  y  2i)(1  i)
i
 1  i  
2i 
Donc :e – 2 – 2i = e 2
(m  2  2i) = -i(m -2 – 2i) Donc EF  IB  -x –y +2 = 0 c’est –à-dire

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y = -x +2, Or la droite d’équation y = -x + 2 coupe  2x
 en deux points : B et le point d’affixe 2 Or pour  u(x)  ln(1  x 2 )  u '(x) 
 1  x2 
M d’affixe 2 on a : E = F = B. V '(x)  1  v(x)  x
Donc B est la position de M pour laquelle le droite 
2
(EF) est tangente au cercle  d’où V0 =  x ln(1  x 2 )   2 
1 1 x
dx = ln2 – 2U1.
e = -i(2i) + 4 i = 2 + 4i. 0 0 1  x2
1
n 1 ; Vn =  (2n  1)x 2n ln(1  x 2 )dx ; On pose :
Exercice 2 0

  2x
u(x)  ln(1  x )  u '(x) 
2
1.a) Avec x = tant ; t[0 ; [ ; on a :
2  1  x2 
x = 0 t ant = 0  t =0 ; V '(x)  (2n  1)x 2n  v(x)  x 2n 1

 1 x 2n 1
x = 1  t ant = 1  t = 

1
4 Vn =  x 2n 1 ln(1  x 2 )   2 dx  ln2 - 2U n +1 .
0 0 1  x2
 
1  
I0 =  4    4 dt  1(  0) 
1
 ln(1  x
2
0 1  tan t 2
(1 tan t)dt b) 2
)dx  V0  ln 2  2U1
0 4 4 0

1 x 2n

b) x [0 ; 1] :  0 et  0  I0  0  ln 2  2(1  )
1 x 2
1  x2 4
et n   Un  0 . Puis x [0 ; 1] : 
 ln 2  2  
x2n + 2  x2n  1 d’où x [0 ; 1] : 2
x 2n  2 x 2n 1 c) Comme (Un) est décroissante et
   n  : Vn= ln2 – 2Un+1, alors (Vn) est croissante.
1 x 2
1 x 2
1  x2
Un+1  Un  U0 D’où (Un) est positive et lim Vn  lim (ln 2  2Un 1 )  ln 2  2(0)  ln 2.
n  n 
décroissante donc (Un) est convergente (car elle
est minorée et décroissante). Exercice 3
2n  2
1x  x 2n 1) Etude de f
c) U n+1 + U n =  dx
0 1  x2  Df = *  0 ;  
1 x (x  1)  Limites aux bornes :
2n 2
1
 dx   x 2n dx
0 1 x 2 0 lim f (x)   ; lim f (x)  0
x 0 x 
1
 1   Dérivée et sens de variations
 x 2n 1 
 2n  1 0 1 2
x  2x ln x
x 1  2ln x
1 f’(x) =  . Soit f’(x) = 0
 x 4
x3
2n  1
1

 0n : U1 + U0 = 1  U1 = 1 - U0 = 1 - 1 1 2  1
4 1
 lnx = 2  x = e 2 ; f( e ) = e 2e
2
1
 1n : U2+ U1 = 
3 1 1
1  2  0 < x < e  f’(x) > 0 ; x > e  f’(x) < 0.
2 2
U2 = 1 - U0 = -1 + = + .
3 4 3 4  Tableau de variations
d) On a : n  Un  0 d’où n  : 1
x 0 e 2
+
1
Un+1 + Un  Un donc n  : 0  Un  
f’ (x)
2n  1 + 0 -
lim Un  0 , D’après le théorème des gendarmes. 1
x  f (x)
1
2e
2.a) V0 =  ln(1  x )dx ; On pose :
2
- 0
0
 Représentation graphique de f

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1

y x 0 +
P. relative C k / C k’
0 1 2 x
b) C0 = (E) ; C0,2 = ( F) ; C0,8 = (I).
4) Mk(x; y) avec x = k et
ln  k
Cf y = fk(k) = - kk ; Or 1 – kk 3 -2lnk = 0
k2

-1
1  2 ln  k
alors k = 
3k
ln  k 1  2ln  k 3ln  k  1 3ln x  1
y=   
 2k  2k  2k x2
-2 Donc l’équation cartésienne de ( ) est
3ln x  1
0 ; si k = 0 y= .
2.a) lim+ f k (x)  ; lim f k (x)   x2
x 0 x   ; si k  0; 1
On a les cas suivant : Exercice 4
Si alors 1) Figure illustrant les données et répondant à
k=0 Ck = Cf a 2 asymptotes certaines questions :
x = 0 et y= 0 D G C
k  0; 1 f (x)
lim k  0 ; Ck a une seule
x  x L
H
asymptotes x = 0
b) k(x) = – kx -2lnx ;
3
I O K
lim k (x)   ; lim k (x)  
x 0 x 
F
2 J
’k(x) = – 3kx - < 0 ; x * ;  k[0 ; 1]
2
x
x 0 k + A E B
f’ (x) + -  1 1
+ AE  AB ; BF = BC
2.a) Comme  3 3
f (x) 0 - 
AB  BC
D’après le T.V de k et sa continuité sur * ,  
D’où AE =BF ; Or AE  BF donc il existe une
l’équation 1 – kx3 -2lnx = 0 admet une solution
A  B
unique k, Or k(1) = 1 – k  0 et k( e )  0 rotation unique r telle que : 
d’où 1 k  e . E  F
    
1  2 ln x  (x) b) L’angle de r est : (AE ; BF )  (AB ; AD ) 
c)f’k(x) = 3
 k  k 3 a le 2
x x Or avec O le centre de ABCD on a : OA = OB et
3
même signe de 1 – kx -2lnx d’où le T.V de fk / k0   
x 0 k + (OA ;OB )  donc O est le centre de r.
2
f’k(x) + 0 -
E  bar (A ; 2);(B ; 1)
fk(k ) AB
fk(x)
BC F  bar (B ; 2);(C ; 1)
- - c) On a r : 
3.a) 0  k  k’  1 alors : –k’ < -k ; d’où CD G  bar (C ; 2);(D ; 1)
DA
–k’x < -kx ; x *  fk’(x) < fk(x) ; x * H  bar (D ; 2);(A ; 1)
alors on en déduit :

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FG Exercice 5
1) Figure illustrant les données et répondant à
r : G  H  les triangles OEF ; OGH ; OHE
certaines questions :
HE
E D M
sont des triangles isocèles rectangles en O, d’où
EFGH est un carré. L’aire de EFGH est :
2 1 5
EF2 = BE2 +BF2 = ( a 2 )  ( a 2 )  a 2
3 3 9
OO
   
3.a) Comme r : A  B  (OB ; OF)  (OA ; OE); C
EF
OF OE I
 
OB OA M’
Donc S(B) = F ; Or ABCD et EFGH sont des 
carrés directs d’où S(C) = G et S(D) = H. A B
b) On a : S : ABCD EFGH Donc le carré du BD
5 2 2.a) Comme : Donc! similitude S1 de centre B
a BA
aire(EFGH) 9 5
rapport de S est :  2  d’où qui transforme D en A.
 
aire(ABCD) a 9
b) L’angle de S est (BD ; BA) Or les segments
5 [ AD]et [BE] ont le même milieu et ont la même
Le rapport de S est : .
3 longueur ( 2a) donc ABDE est un rectangle direct d’où
AE    
c) Comme S : donc l’angle de S est (BD ; BA) = donc l’angle de S1 est .
BF 2 2
    Le rapport de S1 est
(AB ; EF)  (EB ; EF); Or le triangle EBF est BA a a a 1
2     
a BD (2a)2  a 2 3a 2 a 3 3
BF 2
rectangle en B d’où cos    3  . DA
EF 5 5
a
3
c) Comme S1  d’où l’image de
L 'angle de S1 est
AG  BH  ; CE   DF 2
4.) Comme r :
BH   CE  ; DF  AG la droite (DE) est la perpendiculaire à (DE)
Donc par conservation du centre passant par A qui est la droite (AE).
Donc : le lieu géométrique de M’ est la droite
IJ ; KL
r: d’où IJKL est un carré. (AE) privée des points A et E’ = S1(E ) ; M’ est le
JK ; LI point d’intersection de (AE) avec la
b) Soit M = bar (D ; 4) ; ( F ; 9 On a :M (DF); Or, M = perpendiculaire à (BM) en B.
bar (D ; 4) ; ( B ; 6); (C; 3) Comme les triangles BMM’ et EMM’ sont
= bar(A ; 4) ; ( B ; -4); (C; 4); ( B ; 6); (C; 3) rectangles de même hypoténuse [MM’] donc les
= bar (A ; 4) ; ( B ; 2); (C; 7)
= bar (E ; 6) ; ( C ; 7.
points M’ ; M ; B ; E sont cocycliques.
 6  3.a) L’angle de S2 est :
c) On a : CK  CE Or, r-1 conserve le barycentre (IE        
13 ; BD)  (BE ; BD)  (BC ; BA)  (BA ; BD)
d’où J = bar(C ; 4) ; ( E ; 9, alors   
 9   3  3   
CJ  CE  KJ= CE  KJ  CE. 3 2 6
13 13 13
Or l’aire de IJKL est KJ2 où BD a 3 2 3
Le rapport de S2 est :   .
9 9 4a 2 a2 IE 3 3
KJ2 = CE2  (  a 2 ) . Donc l’aire de IJKL est a
169 169 9 13 2

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.
b) On a : f(E ) = S1S2 ( E ) = S1(D) = A avec 
     
S2 (I)  B ;(AI ; AB)   centre de f , on a : (E ; A)  ; Or
6 3
AB a 2 2 3    
   
et = = = (DE ; DA)  d'où (E ; A)  (DE ; DA)
AI a 2 3 3 3
b) Comme : Donc les points  ; E; A ; D sont cocycliques d’où
2
   appartient au cercle de diamètre [AD] qui est le

S2 (E)  D ;(AE ; AD)   cercle de diamètre [BE].
6 On a : f(I) = S1S2 ( I ) = S1(B) = B 
AD 2a 2 2 3      
et = = = (I ; B)  Or; (BI ; BA)  d’où
AE a 3 3 3 3  3
 
Donc le centre de S2 est A. (I ; B)  (BI ; BA) donc  est le cercle
4.a) Comme f est une composée de deux passant par I et B et tangent à la droite (AB) en B.
similitudes donc f est une similitude, son angle est
  
la somme des angles :   ; son rapport est
2 6 3
1 2 3 2
le produit des rapports : ( ) .
3 3 3

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Sujet 2007 / Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
A. Méthode 1 : Utilisation des nombres complexes De même on remarque que :
C’    
(BB ')  CA et (CC ')  AB.
D 'après les proporiétés de  on a :
     
C (AA '  BB'  CC ')  (AA ')  (BB')  (CC ')
   
A’  BC  CA  AB  0
b) De la question précédente on a :
A        
(AA '  BB'  CC ')  0  AA '  BB'  CC '  0
B d'où en introduisant G :
      
AG  GA '  BG  GB'  CG  GC '  0 
   
GA '  GB'  GC '  0
c) Il résulte que G’ est aussi le centre de gravité de
  
a) On a : AA’ = BC et (BC ; AA ')   2 ces A’B’C’.
2 B. Méthode 1 : Utilisation des nombres
deux égalités se traduisent par : complexes
 a ' a  c  b ' c  ia  b  ic
arg   2 a ' a i

a) On a : 
 bc 2 d 'où e 2
c  a ' c  a  ib  ic
 c  b  a ' a bc
 ia  b  (i  1)c

D’où : a’ – a = i(c- b) donc a’ = a – b + ic. a  ib  (1  i)c
i(a  ib  (1  i)c)
b) De meme on peut écrire : 
b’ – b = i(a- c) d’où et c’ – c = i(b- a) (a  ib  (1  i)c)
c) Soit G le centre gravité de ABC, g son affixe , d'où c  b ' = i. Il en découle que :
il est définit par : ca'
a bc c  b' 
g . arg  arg i   2 et c  b '  c  a ' 
3 ca' 2
a ' b ' c '   
On a : g '  est l 'affixe du centre (CA ' ; CB')   2 et CA' = CB'
3 2
de g ravité de A ' B'C '. Donc le triangle A’B’C est rectagle isocèle en C.
a  ib  ic  b  ia  ic  c  ib  ia a  c' ba'
Or, b) Comme : i ;
3 a  b' b  c'
a  ib  ic  b  ia  ic  c  ib  ia On en déduit que les triangles AB'C' et A'BC'

3 sont respectivement rectangleset isocèles en A et B.
abc
 g 2. B. Méthode 2 : Utilisation d’une rotation
3
vectorielle
D’où ABC et A’B’C’ ont même centre de gravité G.     
1. Méthode 2 : Utilisation d’une rotation a) On a (CB')   (CB  BB')   (CB)  (BB')
 
vectorielle :  AA '  CA
     
a) On a 
(AA ' ; BC)   2    d 'où (CB')  CA '.
 (AA ')  BC
2
Il résulte que :

AA '  BC

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3) Il suffit de procéder comme suit :
   
(CA ' ;CB' )   2  A partir d’un triangle A’B’C’ construire le point
 2 c 'est  à dire que A telque B’C’A est direct, rectangle et isocèle en A.
CA '  CB'
Cette construction est valable aussi pour B et C.
A 'CB'est un triangle direct rectangle et C’

isocèle en C.
C
b) par analogie
avec
 le
résultat
 précédent
 on


trouve que: (BA ')  BC ' et (AC ')  AB '
et par conséquent les triangles
BC’A’ et AB’C’ sont directs rectangles et isocèles A
A’
respectivement en B et A.
B

Exercice 2
1.a) Figure illustrant les données et répondant à certaines questions :




B I D

 
E
C

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 2  de deux points d'où f est identique à S.
b) E = bar (B ; 1) ; (C ; 2) BE  BC
b) Il s’agit de déterminer h’ et r’ de même centre
 3
F= bar (B ; 1) ; (C ; -2) BF  2BC telle que :S = h’ r’ = r’ h’.
d’où la construction de E et F ( Voir figure Cette écriture est vérifiée pour h’l’homothétie de
précédente) centre I et de rapport 2 tandis que r’ est la rotation
CI  a 
2. a) On a  
BI
 2  I  3 ; de même centre et d'angle  
2
BI  2a IC
6) Comme le rayon de 1 est a celui de 2 est 2a,
D’autre part,
   donc le rapport k’ de S’ est égale à 2.
EB
 EB  2EC  0  EB  2EC   2  E  3 ; D’où toute les similitudes transformant 1 en 2
EC Ont même rapport k’ = 2.
   FB b) Soit S'une similitude de centre M vérifiant
 FB  2FC  0  FB  2FC   2  F  3 ;
FC S'(1 )   2 
Donc les points I ; E et F appartiennent à 3.
C  B MB
MB S'    2  M  3.
b) M  3   2  MB2  4MC2  0;d 'où M  M MC
MC
      D’où le lieu géométrique des centres des
(MB - 2MC)(MB + 2MC)= 0  MF.3ME  0.
similitudes S’ est 3.
Donc 3 est le cercle de diamètre [EF]. c) S' est une homothétie 
3) On a CA = BI ≠ 0 et    
  (MC ; MB)  (2) ou (MC ; MB)  0 (2) 
CB  AI d'où l'existance d'une unique rotation
r transformant C en B et A en I.
M  E ou M  F
L’angle de r est déterminé par : et par conséquent si
 
      M  E ; h(C)  B  EB= -2EC d 'ou
(CA ; BI) =(IA ; ID)= - (2).
2 le rapport de S' est -2;
 
Le centre  est le point de concours des  M  F; h(C)  B  FB= 2FC d 'ou
médiatrices des segments [ BC] et [AI].
4.a) On a CA ≠ 0 et BD ≠ 0 d’où l’existence d’une le rapport de S' est 2.
unique similitude S qui transforme C en B et A en D.
b) Etant donné la conservation du milieu d’un Problème
segment par une similitude on constate que : Partie A
S(I) = I ( I milieu de [CA] et [BD]). 1.a) Calcul des limites
c) Eléments caractéristique de S : x x
    lim  0  lim f(x) =- ; lim 1
 x 0 x  1 x 0 x  x  1
 L 'angle : (CA ; BD) = (IA ; ID)= - (2);
2  lim f(x)=0;
x 
BD BI
 Le rapport   2 x x
CA CI lim    lim f(x)=   ; lim 1
x 1 x  1 x  x  x  1
d ) D’après les propriétés des similitudes on a :
S(1) = C [S(C) =B ; r =2a] = 2.  lim f(x)=0.
x 
5) f = h  r est une similitude directe car c’est la La courbe (C) admet trois asymptotes d’équations
composée d’une homothétie et d’une rotation. respectives x = 0 ; x= 1 et y = 0.
En plus, nous avons 1
f (C) = h(r(C))  h(B)  B  S(C) (x  1) 2 -1
 b) f’(x) = =
f (A) = h(r(A))  h(I)  D  S(A) x x(x-1)
Or, une similitude est déterminée par l'image x 1

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c) Tableau de variations 1
d 'où f k (2   x) = 2ln k - f k (x).
x - 0 1 + 2
1
f ‘(x) - + - Donc le po int ( ; ln k ) est un centre
2
+ + +
de symétrie de C k .
f (x) b) Soient M(x; y)  C et M k (x; y)  C k 
 y  f (x)
- - 0   Ck  t   0  (C) d 'où C k
 y k = lnk +f (x) uk  
 ln k 

est l'image de C par la translation de vecteur


2.a) On a : f(x) + f(1 –x) =
x 1 x x 1 x   0 
ln  ln  ln   ln1  0 uk  .
x 1 x x  1 x  ln k 
Ce résultat veut dire que le point de coordonnées c) Comme fk(x) = f-k(x) on en déduit que Ck et C-k
1 sont confondues.
( ; 0) est un centre de symétrie de la courbe (C ).
2 d) On pose : fk(x) = fk’(x) ce qui veut dire que :
b) Graphique de f lnk + f (x) = lnk’ + f (x)  lnk = lnk’.
Alors, si lnk ≠ lnk’ Ck et Ck’ n’ont pas de
points communs.
e) Tableau de variations de fe(x)
x - 0 1 +
f ‘(x) - + -
+ + +
f (x)

- - 1
Voir la représentation précédente pour observer la
courbe de Ce.
4) D’après le tableau de variations de f on constate
que h est continue et strictement croissante sur ]0 ; 1[
vers ]- ; +[ d’où h réalise une bijection :
h : ]0 ; 1[]- ; +[.
x  0  1  x  1 b) On en déduit le tableau de variations de h à
3.a) On a  ; d'où
x  1  1  x  0 partir de celui de f :
 x   \ 0 ; 1 ; (2   x)   \ 0 ; 1
1
x - +
2 -1
(h )’(x) +
et par conséquent on peut écrire
1
1 k(1  x) (h-1)(x)
f k (2   x) = f k (1  x)  ln 0
2 x
1 Soit y = (h)(x) 
d 'où f k (2   x) = f k (1  x).  x  x
2 y  ln    ey   (1  x)e y  x 
D'autre part :  1 x  1 x
ey
2ln k -ln
kx
=2ln k  ln k  ln
x (e y  1)x  e y  x  
x-1 x-1 ey  1
ex
 ln k + ln
x-1
=ln
k(x-1)
. h 1 (x) 
x   ; 
x x ex  1

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 

0 g (t)dt  ln e  1 0  ln e  1  ln 2


n t 
c) h(x) = x  h(x) – x = 0 ;
Soit v(x) = h(x) – x ; cette fonction est dérivable
e  1
sur ]0 ; 1[ sa dérivée D’où I1 = ln .
e (1  e )  e
x x 2x 2
v '(x)  h '(x)  1  1 b) En utilisant 1. c) on a :
(1  e x ) 2
x
g’ (x) = g (x) - g2(x)  pour tout n ≠ 0
e g’ (x)gn-1(x) = gn (x) - gn+1 (x) en intégrant
 1
(1  e ) x 2
membre à membre on trouve:
  
(e  e  1)
  
n 1
  g n 1 (x)dx 
2x x n
  0  g '(x)g (x)dx g(x) dx
0 0 0
(1  e x ) 2 
1
 lim v(x)   g(x) n   I n  I n 1 
 x 0 n 0
En plus  donc v est continue et
 lim v(x)   1
 x 1 g() n  g(0) n   I n  I n 1 ; Or g()  
strictement décroissante et elle change de signe n
sur ]0 ;1[ donc l’équation v(x) = 0 admet une et g(0)  1 ;
unique solution  de cet intervalle. 2
 v(0,5)  0,5 1 1 
En plus on a :  d 'où 0,5 <   1. Finalement n   ; I n 1  I n   n   n  .
lim v(x)   n 2 
 x 1
Remarque : On pourra utiliser une intégration
Partie B 
1.a) On remarque que : par parties sur I n 1   g n 1 (t)dt en posant
0
x
e  t
x   ; g(x)  h 1 (x)  x d 'où e
e 1 u(t) 
 (1  e t )
1
h  g(x)  h(h (x))  x.  v '(t)  e n t
Ce résultat veut dire simplement que g est la 
1 1
fonction réciproque de h. c) On a    n   n  I n 1  I n  0 ;
b) Calcul de la dérivée de g : 2 2
e (e  1)  e e
x x x x
e x d'où (I n ) est décroisante.
x   ; g '(x)   x ; Comme g est positive sur  0 ; α  ,
(e  1)
x 2
(e  1) 2

e x  e2x  e2x e x (1  e x ) e 2x il en découle que g n (x) là aussi; ce qui justifie que:


g '(x)    
(e x  1) 2 (e x  1) 2 (e x  1) 2
2
0
g n (x)dx  0 d'où I n  0.
ex  ex  Donc In est strictement décroissante et minorée
 x    ; d’où sa convergence.
(e  1) 2  (e x  1) 
2
3.a) Comme g est croissante sur [0 ; ] on a :
ex  ex  n   ; 0  t    g(0)  g(t)  g() 
Donc g '(x)  x  x  ;
(e  1)  (e  1) 
2
1 1
 g(t)    n  g(t) n   n ;
avec a  1 et b  1. 2 2
c) de la question b) on a : En int égrant on trouve :
g’(x) = g(x) – g2(x) en dérivant membre à
1   
n  0
membre : g’’(x) = g’(x) - 2 g(x) g’(x). t   g n (t)dt   n 1  n  I n   n 1 .
 2 0 2
2.) Calcul de I1 où I1 =  g n (t)dt ;
0 b) Il en résulte que : lim In  0 
n 
  et 

0 g (t)dt  0 (et  1)dt  ln e  1 0 4.a) En utilisant la formule récurrente trouvée en
n t

2.b) et en additionnant membre à membre on a :

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1  1   
In  I n 1    n 1  Or h()   d'où   ln( )  e  

n 1  2 n 1 1  1 


1  1  1
I n 1  In 21     n 2  
e 1 1  
n  2 2 n 2
 Donc I1  ln( )  ln( )
2 2
..............  ............. 1
..............  .............
 ln( 1   )  ln
1
  ln(2(1  )) 
..............  ............. 2 2(1  )
1  n 1
I 2  I1    1  1 1
Ce qui rend I n   ln(2(1  ))   ( k   k ) 
2  1 k 2
 b) On en déduit clairement que :
n 1 n 1
1 1
1 1
I n  I1   ( k   k ) lim  ( k   k )  ln(2(1  )) 
n 
1 k 2 1 k 2
n 1
1 1
n  1 ; I n = I1   ( k   k )
1 k 2

e  1 n 1 1 1
 ln( )   ( k   k );
2 1 k 2

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Sujet 2007 /Séries : C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1.a) Détermination des points cherchés : a) fk est une translation  le vecteur
  
MA  MB  (1  k)MC est constant c’est-à-dire la
somme des coefficients associés à A ; B et C est
nulle : 1 -1 +1 – k = 0  k = 1 
; Donc

si k = 1 ;
fk est la translation de vecteurs BA 
 b) k  \ 1 ; M est invariant par fk  M’ = M
     
E D C
 MM '  0  MA  MB  (1  k)MC  0 .
Or il existe un unique point k tel que :
   
k A  k B  (1  k)k C  0 où

G
k  bar (A;1);(B; 1);(C;1  k) 
M’ O
M = k = bar (A;1);(B; 1);(C;1  k)
I
F Donc fk admet un unique point invariant k /
M A k  bar (A;1);(B; 1);(C;1  k) .
   B    
 M 1  MA  MB  MC  a  MM '  MA  MB  (1  k)MC 
  
     M  M '  (1  1  1  k)M 
MD  DA  DB
  DC  a  MD  a  MD  a      

O M '  (1  k)M  M  M '  kM 
M C( D ; a )  1est le cercle de centre D passant par A. M '  h (  ; k) (M)  f k est l'homothétie de centre
 M 2  MA – MB + MC = a 
2 2 2 2
k et de rapport k.
MD2 +DA2 –DB2 +DC2 = a2  MD2 = a2 c) k  bar (A;1);(B; 1);(C;1  k) 
MD= a  M C( D ; a )  2 = 1 .
       1    1 
 M3 (MA  MB  MD)(2MA  2MB  MC)  0 Ck  (CA  CB)  Ck  BA 
1 k 1 k
On a : C = bar (A ; 1) ; (B ; 1) ; (D ;-1) ; k apprtient à la droite passant par C et parallèle à
E = bar (D ; 2) ; (C ; -1) ;  ;
(AB)  k (CD).
D = bar(A ; 2) ; (B ; -2) ; (C ;2) 
E = bar (A ; 2) ; (B ; -2) ; (C ; 1)  Donc le lieu géomètrique des points k est la
    droite ( CD) privée de C et D lorsque k décrit
MA  MB  MD  MC
     \ 1 .
2MA  2MB  MC  ME  M3 
 
MC  ME  0  M appartient au cercle de d) k = 1    bar (A;1);(B; 1);(C; 1 )  
 
diamètre [CE]  MC [D ; A] 3 =1 .
1
2  2 
     2

 M4  MA  MB  ME  MD  MC ; Or M’ = h 1 (M) .
( ; )
2
(AEBD) est un parallélogramme   1  
D = bar (A ; 1) ; (B ; -1) ; (E ;-1)  Ck  BA  2BA  k  E.
       1
MA  MB  ME  MD  MD  MC  CD . 1
  2
M4  MD  CD MD = CD = a  1   3 
Soit I = [M*M’] ; EM '  EM  EI = EM 
MC [D ; A] 4 = 1 . 2 4
 2 
b) On a : 1 = 2 = 3 = 4. I = h1 (M); Or DG  DI  G  h (I) 
    3
3
2
2) fk : M M’ / MM '  MA  MB  (1  k)MC
(E ; ) 2(D ; )
4 3

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    
L’angle de S1 : (OC ; IB)  (AO ; AI)   (2)
G  h 2  h1 (M)  Le lieu géométrique des points G 4
a  AI 1
est donc un cercle de rayon image de  par  
2  AO 2
c) On a :  
h2 h1 (Voir figure).  
(AO ; AI)    (2)

 4
Exercice 2
1.a) Figure illustrant les données et répondant à A est le centre d’une similitude directe d’angle
certaines questions :  1
 et de rapport qui transforme O en I ;
4 2
K C cette similitude directe est S1 donc A est le centre
D
de S1 c’est-à-dire S1(A) = A.
OD 2
4.a) Le rapport de S2 :  ; l’angle de S2 :
AB 2
O     3
L J
(AB ; OD)  (OJ ; OD)  (2).
4
F   3 
b) 2(TB ; TD)    (2) 
2 2
A
I B    
(CB ; CD)  2(TB ; TD)(2) 
T appartient au cercle de centre C passant par B et D.
      
 2(TA ; TO)   (2)  (TA ; IO)  2(TA ; TO) 
  2
a a
b) AI =  ; OK =  AI = OK et AI  OK  T appartient au cercle de centre I passant par A
2 2 et O c’est-à-dire le cercle de diamètre [AB].
Il existe une unique rotation r telle que : r(A) = O 5) h = S2  S11 ; S1(M) = M’ et S2(M) = M’’.
et r(I) = K.
  1  1     a) h est la composée de deux similitudes directes
c) (AI ;OK)  ( AB ; AD)  (AB; AD)  (2) dont le produit des deux rapports est 1 et la
2 2 2
somme des deux angles est  d’où h est une
 Le
d'où est un angle de r  symétrie centrale.
2
 Le centre de h est le milieu du segment [AO] ; donc
centre de r est le point d’intersection des médiatrices F est le milieu du segment [AO].
des segments [AO] et [IK] c’est-à-dire h (M’) = S  S1 (M’) = S (M)= M’’
2 2
le point L  r  .
1

(L; ) F = [M’*M’’] et encore F = [A*O] 


2
Les diagonale [M’M’’] et [AO] du quadrilatère
2.a) S(OJ)  S(LI) = r(L ; 2(LI
 
; OJ )
r  AM’OM’’ ont même milieu F, donc AM’OM’’ est un
(L ; )
2
parallélogramme.
S(DA)  S(LK) = r(L ; 2(LK; 
DA )
r   b) On a : h(I) = L  S2  S11 (I) = L  S2(O) = L.
(L ; )
2     
S(OJ)  S(LI) = S(DA)  S(LK) . c) 2(TA ; TL)  2(TA ; TO)  2(TO ; TL)(2 )
 3
b) g = S(OJ)  S(LI)  S(LK) = r  S(LK)  2(BA ;BO)  2  (2 )
4
= S(DA)  S(LK)  S(LK)
 3
= S(DA)  -  (2 )
g est la réflexion d’axe (DA). 2 2
     
3.a) O ≠ C et I ≠ B donc il existe une unique similitude  2(FA ; FL)  (2)  2(TA ; TL)  2(FA ; FL)(2 ) 
directe S1 telle que : S1(O) = I et S1(C) = B.  Les points A ; F ; T et L sont cocycliques.
1
AB M '  A
b) Le rapport de S1 est :
IB
 2 
AB

1
 6.a) Si M = A  
OC 1 AC AC 2 M ''  O
2

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M '  B'   A * I   lim (f1 (x) -x )  lim ( ln x)   
x  x 
 Si M = F  
M ''   O * L  La courbe C1 admet une branche parabolique de
direction y = x au voisinage de +.
M '  SF (T) 1 x 1
 Si M = T   c) f1’(x) = 1 - =
M ''  T x x
M '  F  Tableau de variations
 Si M = L   x
M ''  F
0 1 +
f1 ‘(x) - 0 +
 1
 AM '  AM + +
 2 f1 ‘(x)
b) On a : S1 (M) = M' et  1
    d) Représentation graphique de C1
(AM ; AM ')   (2)
 4

Le triangle AMM’ est rectangle isocèle en M’ :


 
Car : MM '2  AM 2  AM ' 2  2AM.AM ' cos(AM ; AM ')
1 AM 2 1
 AM 2  AM 2  2 
2 2 2
1 1
 AM  MM ' 
2
AM 
2 2
MM '  AM '
1 1
AM '2  MM '2  AM 2  AM 2  AM 2 
2 2
Le triangle AMM’ est isocèle en M’ et rectangle. n xn
   2.a) fn’(x) = 1 - 
Donc (MM ' ; MA)   (2) ; D’autre part : x x
4 Tableau de variations
     
(MM ' ; MF)  (MM ' ; MA)  (MA ; MF)( )  x 0 n +
     fn‘(x) - 0 +
(MM ' ; MF)    (MA ; MF)( ). + +
4
c) M’; M’’et F sont alignés car F = [M’*M’’]; fn‘(x)
Donc M ; M’ et M’’sont alignés  n(1-lnn)
     b) M(x ; y) appartient à Cn et à Cn+1 
(MM ' ; MF)  0( )  (MA ; MF)  ( )  fn+1(x) = fn(x)  x - (n+1)lnx = x – nlnx 
4
M appartient au cercle circonscrit au triangle (n +1- n)lnx = 0  lnx = 0  x = 1 d’où
   fn(1) = 1 donc le point (1 ; 1) est le seul point
(AFL) (Car (LA ; LF)  ()) ; c’est-à-dire le commun à toutes les courbes (Cn) .
4 fn+1(x) - fn(x) = -lnx
cercle de diamètre [ AL]. x 0 1 +
Problème
fn+1(x) -fn(x) + 0 -
Partie A
1.a) f1(x) = x – lnx P. relatibve
Cn+1 / Cn Cn / Cn+1
 Df1 = ]0 ; +[
c) Soit Tn la tangente à ( Cn) en x0 = e.
 Limite à droite de 0
lim f(x) =    x  0 est une (A.V) en
x  0
Tn : y = fn’(e) (x-e) +fn(e) = (x  e)  e  n 
e
f1 (x)
b) lim f1 (x) =   ; lim 1 en en
x  x  x y= x – e + n +e –n  y = ( )x 
e e

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  y
Tn passe par l’origine O du repère (O ; i ; j).
3.a) fn(x) – f0(x) = x –nlnx –x = –nlnx
= n(x- lnx –x)
1
fn(x) – f0(x) = n(f1(x) - f0(x)).
  
b) M 0 M n  (x  x)i  (f n (x)  f 0 (x)) j
 
 (x  x)i  n(f1 (x)  f 0 (x)) j
   0 1 2 e 3 4 x
 n((x  x)i  (f1 (x)  f 0 (x)) j)  nM 0 M1
Mn = hn(M0; n)(M1) Donc à partir d’un point M0 de
e e 1 1
C0 et un point M1 de C1 on peut construire le point 4) 1  x  e  1  g(x)    1
Mn de Cn comme étant l’image de M1 par une e 1 e g(x)
homothétie de centre M0 et de rapport n (Voir 1 x -lnx 1 lnx
 1   1  1  1 1
figure). e x e x
1 lnx lnx 1
Partie B   00  
e x x e
1.a) x]0 ; +[ ; f1(x)  1≠ 0 et g(0) = 0  e
5.a) U0 =  dx   x   e  1
e
Dg = [0 ; +[.
1 1
b) Pour x]0 ; +[ ; g représente le rapport de e
ln x e1 2 1
deux fonctions : xx et xf1(x) qui sont
continues sur ]0 ; +[ donc g est continue sur cet
U1 =1 x dx   2 (ln x) 1  2
intervalle. En plus on a: ln x n
b) x[1 ; e] ; ( )  0  Un  0
x x
lim g(x) = lim  0  g(0) 
x 0 x 0 x  ln x e ln x ln x
Un+1 – Un =  ( )n (  1)dx ;
g est continue en x 0  0. 1 x x
Conclusion : g est continue sur ]0 ; +[ . lnx 1 lnx
 1  1  0  Un+1 – Un  0 
x 1 x e x
2.a) lim g(x) = lim  lim 1
x  x  ln x x  ln x  (Un) est décroissante est décroissante et
x(1  ) (1  ) minorée par 0 ; alors (Un) est convergente :
x x
D’où y = 1 est une (A.H) de Cg. lnx 1 e lnx n 1 e

g(x) 1
c) On a :0 
x
 0
e 
1
(
x
) dx  n
e 
1
dx 
b) lim = lim  0  g est dérivable
x 0 x x 0 x  ln x e 1 e 1
0  Un  n
;Or lim n  0  lim U n  0
à droite de x0 = 0 et la courbe ( Cg ) admet une e n  e n 

demi-tangente horizontale en x0 = 0. e ln x ln x 2 ln x n
1
6.a) Sn =  (1  ( )( )    ( ) dx
x  ln x  x(1  )
1 x x x
3.a) g’(x) = x  g’(x) = 1  ln x ln x n 1
(x  ln x) 2
(x  ln x) 2 e
1 ( )
 Sn   ( x dx (car c’est la S d’1 S.G)
b) Tableau de variations 1 ln x
x 1
0 e + x
g‘(x) + 0 - ln x n 1 ln x n 1
e x  x( ) e x( )
 
e x x x
b) I - Sn = (  )dx  dx 
x  ln x x  ln x x  ln x
g (x) e 1
1 1

0 1
e ln x n 1 1
c) Représentation graphique de g c) 1  g(x)  et 0  ( )  n 1 
e 1 x e
Voir représentation ci-contre : ln x n 1 1
0  g(x) ( )  
x (e  1)e n

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e ln x n 1 1 e 1
0 
1
g(x)(
x
) dx 
(e  1)en 
1
dx  De (1) et (2) on a : S n  I  Sn +
e n 1

1 1 1 e) Sn est une valeur approchée de I à 10-2 


0  I – Sn  n  n 1 ; lim n 1  0  lim Sn  I
e e n  e n  1
n 1
 10-2  en-1  100  n – 1  ln102 
d) I – Sn  0  I  Sn  Sn  I (1) e
1 1 1 n  1 + 2ln10. Donc à partir de
Or I – Sn  n  n 1  I  Sn + n 1 (2)
e e e n = E(1 + 2ln10) +1.

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Sujet 2006 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
Illustration des données et réponses à certaines 1 2
questions : y =-x + 2.
2
H’ Donc I appartient à une parabole (P’) d’équation :
1  
y =- x2 + 2 ; dans le repère (O ; i ; j ).
2
B 1 1
: y = 2
H F
3) E(F ; e ; D) ; F(0 ; 2) ; e = ; D : y = 4
A O’ A B 3
M A
E
2
F’
1
MF = MH' 
 1
P B 2 a) M  ( P)  1   MH' = MH'
j MF = MH ' 3
3 
O i
2
 MH' = 0  MH' = 0 ( impossible; car M  D).
1.a) Soit H le projeté orthogonal de M sur D ; 3
Donc (P) et ( E) n’ont pas de points communs.
 M(P)  MF = MH’  
 MH’= MH + HH’ = MH + 2 b) Equation de ( E) ; dans le repère (O ; i; j );
( les points M ; H et H sont alignés)  1
M( E)  MF = MH’ MF2 = MH’2
1
MF = MH + 2 3 9
b) Le cercle de diamètre [AB] a pour rayon r = 2. 1 1
x2 +(2 –y)2 = (y - 4 )2 = (y2 -8y + 16) 
Le cercle de centre M passant par H a pour rayon 9 9
r’= MH. 1
M est le centre du cercleC (M ; r’) et F est le centre x + 4 -4y + y = 9 (y -8y + 16) 
2 2 2

du cercle de diamètre [AB].


9x2 + 36 -36y + 9y2 = y2 -8y + 16 
On a : MF = MH + 2  MF = r’ + r  C (M ; r’) et 7
C [AB] sont tangents. 9x2 + 8(y2 - y) + 20 = 0 
2
2.a) L’équation de (P) :
7 9
MF = MH’  MF2 = MH’2  9x2 + 8(y- y)2 - = 0 
( 0 – x)2 + ( 2 – y)2 = (x – x)2 +( 4 – y)2  4 2
x2 + 4 -4y + y2 = 16 -8y + y2  x2 = 12 – 4y  7
2 (y  ) 2
2
x = 4(3 – y) = -4(y – 3). 16 7 x 4  1.
2x2 + (y- )2 = 1  
b) Dm : y = mx + 2 ; Dm  (P) = S ; T où 9 4 1 3
( )2 ( )2
12  x 2
12  x 2 2 4
P:y= ; = mx + 2 c) Détermination des éléments de (E).
4 4
 x + 4mx – 4 = 0.
2 7 2 9 5
 x = 0  (y - ) =  y = ou y = 1 les
 = 16m2 + 16 > 0. 4 16 2
5
4m  m 2  1 sommets de l’axe focal sont B 1(0 ; ) et B2 ( 0 ; 1)
x1  = -2m + 2 m  1 2
2
4
7 1 1 1
4m  m 2  1  y =  x2 =  x = ou x= -  les
x2  = -2m - 2 m  12 4 2 2 2
4 1 7 1 7
Sommet du petit axe : A1( ; ) et A2 (- ; )
 y1 = -2m2 + 2m m 2  1 + 2 ; 2 4 2 4
7
y2 = -2m2 - 2m m 2  1 + 2 ; Le centre de ( E) est le point O’[B1*B2]  O’(0 ; ) ;
4
I = [S*T]  I(-2m ; -2m2 + 2);
xF'  0
 Le 2ème foyer F’ : = 0  xF’ = 0
2

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x = - 2m x DO OI 1
On pose:   y = -2( )2 + 2  5.a) S : k  et
2 CI DC 2
 y = -2m + 2 2
  
 
yF '  2 7 3
  y F '   F'(0 ; ) ;
3  = (DC ; OI) = (DC ;DJ) = -  2
2 4 2 2 2
1
b) S(BC) est la droite perpendiculaire à (BC)
 La 2ème directrice D’ = SO’(D) = D’ D’ : y = -  passant par I.
2
Exercice 2
DA Donc; S(BC) = (AB) ; puis S(DB) = (AC) ;
1
1) f : ; AI = DJ = AB. B = (DB)  (BC)  S(B) = (AB)  (AC) 
JI 2 S(B) = A.
Il existe un antidéplacement unique f qui c) A = (AC)  ((DA)  S(A) = J.
transforme Den A et J en I.
  
S(DB) t JK
 est un antidéplacement qui vérifie :

 D  O     
S(DB)  t JK
 (D) = S(DB)( C) = A ;
d) S:  C  I ; (C ; I ) = -  (BC ; BI )   
 (J) = S(DB)( K) = I  f = S(DB) t  .
S(DB)  t JK A  J 2
JK

 = t  
2.a) t JK   t   t   t  
; t JI  t IK  B  A
JI  IK JK IK JI
  t  = S(DB)  (S(DB)  S(JI) )  t  
f = S(DB)  t IK JI JI
 ; I. C et B sont cocycliques.
1
f = S(JI)  t JI . 6.a) S  S = S’’( ;  ; )  S  S = h( ;
1 ) .
 4 4
Donc f est une symétrie glissante de vecteur JI et
b) S  S (B) = S[S(B)] = S(A) = J  h(B) = J 
d’axe (JI). 
b) L’écriture complexe de f est de la forme : 1    
I   I  4I +B  0 
Z’ = a Z + b ; a ; b   et a = 1 ; 4
ZA = 0 ; ZD = 2i ; ZI = 1 ; ZJ = i   = bar (B ; 1) ; (I ; 4).
BB BE
0  2ia  b a  i 7) S' :  k'   2 et
   Z'  iZ  2 CE BC
1  ai  b b  2   
f f (M) = M’’ ; f (M) =M’;  '  (BC ; BE)   2 ;
2
f f : Z’’ = iZ'  2 = -i (iZ  2)  2 S  S’ = S( ?; 0 ; 1)  S  S’ est une translation;
Z’’ = -i(iZ + 2) +2 = Z -2i + 2  S  S’(B) =S(B) = A  S  S’ = t BA  .
f f est une translation de vecteur d’affixe 2-2i 
 S  S'(C) = S(S'(C)) = S( E) 
f f = t 2u ; avec u d’affixe 1- i.   S( E) = D 
S  S'(C) = t BA
 (C) = D

Z' Z
N  ZN = ; Z = 0  ZN =1   
2 (E ; D)   2 et D = 2E.
 1  2
N(1 ; 0) . u   un vecteur directeur de  ;
 1
donc  a pour équation : y = -x + b ; N(1 ; 0) 
 0 = -1 + b  b = 1   : y = - x + 1.
3) f(A) = S(DB)  t JK
 (A) = S
(DB) (B) = B

4) g = S(AI)  f ; g est la composée de deux


antidéplacements, donc g est un déplacement.
g = S(AI)  S(DB)  t JK   JK  g est une
 = r t 
(B ; )
2

rotation d’angle . Or g(O) = O  g = r  .
2 (O ; )
2

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Problème 1
 f est dérivable à gauche en 0 et f’g(0) = .
Partie A 4
 ex 1
 2x ; x0 d) f’d(0) = 0 et f’g(0) =  f’d(0) = 0 ≠ f’g(0) 
f(x) =  e  1 4
  ln(1  x) ; x  0
 f n’est dérivable en 0.
2x
e3x  e x e x (1  e 2x )
1) Continuité de f en 0. 4.a) x > 0 ; f'(x) =   0 ; x  0 ; 
1 (e2x  1)2 (e2x  1) 2
lim f (x)   f (0) ;  f est décroissante sur [0 ; +[.
x 0 2
1 ln(1  x) 1 2x
lim f (x)  lim   f (0)   2 ln(1  x)
x 0 x 0 2 x 2 b) x < 0 ; f'(x) = 1  x
f est continue en 0. 4x 2
2) f est le rapport de fonctions dérivables sur 1 ln(1  x) x + (1- x)ln(1- x)
f'(x)   
]- ; 0[ et ]0 ; +[ alors f est dérivable sur 2x(1  x) 2x 2
2x 2 (1  x)
]- ; 0[ et ]0 ; +[. c) x  0 ; v(x) = x + (1-x)ln(1-x) ;
ex

1 v’(x) = 1 – ln(1-x) -1 = -ln(1-x) < 0 ; x< 0.
f (x)  f (0) e 2x
 1 2 2e x  e 2x  1 v(0)= 0.
lim  lim  lim
x 0 x x 0 x x 0 2x(e 2x  1) Tableau de variations :
f (x)  f (0)  ex  1 1 ex 1  ex  x - 0
lim  lim  .  
x 0 x x 0  x
 2(e 2x  1) 2(e2x  1) x  v ’ (x) -
1 1 +
   0  f d' (0) v (x)
4 4 0
ln(1  h)  h 2
3) h < 0 ; u(x) = ( )x  ln(1  x)  x ; x  ; 0 Le signe de f’(x) lorsque x < 0 : D’après le T.V
h2 de v on a ;  x < 0 ; v(x)  0 et on a ;
a) u(h) = 0 ; u(0) = 0 ; u est continue sur [h ; 0] et v(x)
non constante, alors il existe c ]h ; 0[ tel que :  x < 0 ; f’(x) =  0. .
2x (1  x)
2
u’(c) = 0.
d) Tableau de variations
ln(1  h)  h 1
u’(x) = 2( )x  1 ;
h2 1 x x - 0 +
ln(1  h)  h 1 f ‘(x) + -
u'(c) = 0  2( )c  1  
h 2
1 c 1
ln(1  h)  h 1 f (x)
) . 2
h 2
2(c  1) 0 0
ln(1  h)  h 1 -ln(1- x) 1 - x
b) h0-  c0- ; lim ( )  lim  lim f (x)  lim  =0
h 0 h2 h 0 2(c  1) x  x  1- x 2x
1 ex 1
= .  lim f (x)  lim  lim x = 0 ;
2 x  x  e 2x
 1 x  e
f (x)  f (0)  ln(1  x) 1
c) lim  lim   5) Représentation graphique
x 0 x x 0 2x 2 2x Voir représentation ci-dessous.
 ln(1  x)  x 1 ln(1  x)  x 1
lim  lim  ( ) .
x  0 2x 2 x 0 2 2x 2 4

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1

1/2

-1 0 1/2 1
Partie B Partie C
1) f est continu sur [0 ; +[, donc f admet des g est la restriction de f sur [0 ; +[.
primitives sur [0 ; +[. 1 .a) g est continue et strictement décroissante sur
  ln(tan x ) [0 ; +[ (voir TV de f)  g est une bijection de
2) x   ;  ; G(x)   f (t)dt 1
4 4 0
[0 ; +[ sur J = ] 0 ; ].
 0 2
a) G( )   f (t)dt  0 -1
b) Cg est l’image de Cg par la symétrie
4 0
orthogonale d’axe la droite  d’équation y = x.
1  tan 2 x tan x
 G'(x) = (ln(tanx))'f(lntanx) =   1 (Voir figure précédente).
tan x 1  tan 2 x
ex
  c) Détermination de g-1(x), g(x) = y  2x =y
b) G(x) = x + c et G( )  0  c    e 1
4 4
 ye2x + y = ex  ye2x - ex + y = 0 ; soit X = ex
  
G(x) = x - ; xI/ I = [ ; ] ;  y X2 – X + y = 0   = 1 - 4y2 
4 4 2
  1  1  4y2 1  1  4y 2
c) On pose w(x) = ln(tanx) ; x[ ; [; X 1 = ; X 2 =
4 2 2y 2y
1  tan 2 x
> 0 ; xI. 1  1  4y 2
w’(x) =
tan x
On a : 0 < 1 – 4y  1 , alors 2
 1
2y
 
x 1  1  4y 2
4 2 X1 = ln ( )0;
2y
w’ (x) +
+ X = ln ( 1  1  4y )  0, donc
2

w (x) 2
0 2y
W réalise une bijection de I sur [0 ; + [ , donc 1  1  4x 2 1
-1
g (x) = ln ( ), x]0 ; ].
pour tout    , il existe   I ( unique ) tel que 2x 2
 = w()  = ln(tan). f (x) n

 
2) hn(x) =
1 t(ln t) dt ;
d) A() =  f (x)dx  G()  (  ).4 cm . 2
f (x)
4 a) h1(x) = 
0
t(ln t)dt ; on pose :
 1
lim A()  lim(  )4 cm 2  cm 2 .  t2
  4  u(t) 
  u '(t)  t 
2   2 
 v(t)  ln t  1
 v '(t)  t

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f (x ) n!
1  f (x ) 1 Démontrons que : ln = (-1)n-1 .
h1 (x)   t 2 ln t   tdt 2n 1
; on a :
2 1 1 2
n 1
1 
f (x )
1 
f (x ) ln+1 =  ln 
  t 2 ln t    t2   2
2 1  4 1 2
2
l2 =  l1
1 (f (x)) 1 2
h1 (x)  (f (x)) 2 ln(fx))   
2 4 4 3
l3 =  l 2
1 2
lim h1 (x)  . ……………
x  4
……………
b) x  1; En utilisant une intégration par parties:
f (x)
hn+1(x) = 1
t(ln t) n 1dt ; on pose : ……………
n 1
ln-1 =  ln 2
 t2 2
 u(t)  n
u '(t)  t 2 ln =  ln 1
 n 1
 2
 v(t)  (ln t)
n
 v '(t)  (n  1) (ln t) ---------------------
 t n! 1
ln =(-1)n-1 ; car (l1 = ).
2n 1
f (x)
1 
n
f (x) 1 (ln t) 4
h n+1 (x) =  t 2 (ln t) n 1 
 2 1

1 2 
t 2 (n  1)
t
dt
1
d) lim K n (x)  
1 2 n  1 f (x) x  (n  1) 2
2
f (x)(ln(f (x)) n 1 
2 1 
t(ln t) n dt 
Partie D
1 2 n 1 t2
h n+1 (x) = f (x)(ln(f (x)) n 1  h n (x). t
2 2  
f (x) t]0 ; ]; (t) = ; (0) =-1.
Kn(x) = 1
t n ln tdt ; on pose : 2 sin t
1) ’ est continue sur l’intervalle fermé alors ’
 t n 1 est bornée d’où il existe un réel M tel que :
u '(t)  t n u(t) 
 n 1  
  ’(x)   M ; x[0 ; ].
 v(t)  (ln t)  v '(t)  1 2
 t 

f (x ) 2) In =  2 (t) sin (2n  1)t  tdt ,


 t n 1  f (x) tn 0
Kn(x) =  ln t 
 n  1 1
- 1 n 1
dt  a) On pose :
 1
u '(t)  sin((2n  1)t) u(t)  cos((2n  1)t)

f (x)
1 1  t n 1   2n  1
Kn(x) = f (x)n 1 ln(f (x))     v(t)  (t) 
 v '(t)   '(t)
n 1 (n  1)  n  1 1


 1 2
 0 2n  1 0
1 1 1
K n (x) = f (x) ln(f (x)) 
n 1
f (x)  1 n 
n 1 I = cos((2n  1)t)  (t)   2  '(t) cos((2n  1)t)

n 1 (n  1)2    2n  1

1 1
c) On démontre par récurrence que Ln converge
vers une limite non nulle ln.
In  
2n  1 2n  1 
0
2  '(t) cos((2n  1)t)

1 b)  In   1 1
On a : lim h1 (x)  .
x  4

2n  1 2n  1 
0
2  '(t) cos((2n  1)t)

On suppose que : lim h n (x)  ln , alors ’(t)   M et cos(2n+1)t  1 , d’où


x  
1 1
n 1  In    
2 Md(t) 
lim h n 1 (x)   ln  0 2n  1 2n  1 0
x  2 1   
Conclusion : hn admet une limite finie ln ≠ 0.  In   1 M 
2n  1  2 

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1    n
 n i2kx 
0  lim In  lim
n  n 
1 M  0 .
2n  1  2 
b) 
k 1
cos(2kx) = Re  e 
 k 1 
lim In = 0  lim In = 0. n
sin(nx)
n 


n 
 cos(2kx) =
sin x
cos(n +1)x
3) x]0 ; ]; n 1. k 1
2 sin(2n  1)x  sin( x)

n
1  (ei(2x ) ) n ei(2x )  ei(2(n 1)x
a)  ei(2kx )  ei(2x )  2sin x
1  ei(2x ) 1  ei(2x ) n
sin(2n  1)x 1

k 1

cos(2kx)  
   i( 2 ) k 1 2sin x 2
ei - ei = 2isin ( )e  
2 t2
n
2i sin(nx)ei(n  2)x sin(nx) i(n 1)x
4.a)  2(

 t) cos(2kt)dt
 ei(2kx )
0
=  e
k 1 2i sin(x)eix sin x

On pose :

 2t 
 t2  u '(t)   1  
u(t)   t   t2  1 t2 2 1 2t
  
 v '(t)  cos(2kt)  v(t)  1
 0
2(

 t) cos(2kt)dt =  (  t) sin(2kt)  
 2k   0 2k 0
2(

 1) sin(2kt)dt
 
sin(2kt)
 2k

 2
 2t  u(t) 
 u '(t)   1  
On pose :    
 v(t)  sin(2kt)  v '(t)   1
cos(2kt)
 2k


  
 
t2  1 t2  2 1   1 2t  2 1 2 1 
  t) cos(2kt)dt =  (  t)sin(2kt)     2k (   1) cos(2kt)   2k 0 k ) cos(2kt)dt 
2(
0   2k  0 2k 
 
0



t2 1 1 1 2 1
0
2(

 t) cos(2kt)dt =
4k 2
 2  sin(2kt)   2
2k   2k  0 4k
 
 sin(2n  1)t 1 
n
t2 t2

1 1
b)  0
2 (

 t) cos(2kt)dt  Sn ; k  0 
k= 1 4 
0
2 (

 t) 
 2 sin t
  dt  Sn 
2  4
t2 t2 
 (  t)   (  t)
1  1 1 t2 1 1  1  1 3 1 2 2 1
0
2
2 sin t
sin(2n  1)tdt 
2  0
2 (  t)dt  Sn 
2  4 2 0
2
sin t
sin(2n  1)tdt   t  t   Sn 
2  3 2 0 4
1 1 2  3 1 1 2 1 2 2 2
In   Sn  In   Sn  Sn  2In  . Donc lim Sn  lim (2I n  ) 
2 2 24 4 2 24 4 6 n  n  6 6

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Sujet 2006 /Séries : C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1.a) St : Zt = f(t) eit Z. b) Si M est fixe ; alors Mt décrit la droite
Donc St est une similitude directe de centre O, de perpendiculaire en M à (OM).
rapport f(t) et d’angle t. c) M D  M(a ; y) Mt = St(M) a pour
b) St : Zt = f(t) eit Z; Soit Z = x + iy et Zt = xt +iyt  1
avec x ; y ; xt ; yt     x t  cos t (a cos t  y sin t)
xt +iyt = f(t)(cost+ isint) ( x + iy) coordonnées :  
= f(t)[xcost –ysint)+i(ycost + xsint)]   y  1 (y cos t  a sin t)
 t cos t
xt + yt tant = a – atna2t.
 x t  f (t)(x cos t  y sin t)
 Donc l’image de ( D) par St est une droite (Dt)
 y t  f (t)(y cos t  x sin t) d’équation : xt + yt tant = a(1 + tna2t).
St-1 est une similitude directe de centre O de   Z  Zt Z Z
3.a) (M t O; M t M)  arg( )(2) = arg( t ) (2)
1  Zt Zt
rapport et d’angle (-t).
f (t) Z  cos t(cos t  i sin t)Z
= arg( ) (2)
Donc St-1 admet une écriture complexe de la cos t(cos t  i sin t)Z
1  it sin 2 t  i cos t sin t
forme : Z’ = Z '  e Z = arg (2)
f (t) cos t(cos t  i sin t)
Soit Z’ = x’ + iy’ et Z = x + iy ;
i sin t(i sin t  cos t)
avec x' ; y' ; x ; y    = arg (2)
cos t(cos t  i sin t)
1
x' + iy' = (x cos t  y sin t)  i(y cos t  x sin t)) = arg(i tan t) (2)
f (t)

 1 = (2) 
 x '  f (t) (x cos t  y sin t)
2

 St-1  Le triangle (OMMt) est rectangle en Mt .
 y '  1 (y cos t  x sin t)
 b) Si M est fixe on a : M ≠ O :
f (t)   
1     (M t O ; M t M)   (2)  M t décrit un cercle
2) f(t) = ; t   ;  ; 2
cos t  2 2  de diamètre [OM] privé de O et M.
  Z Z   Z  ZAt
a) (OM ; MM t )  arg t (2 ) 4.a) (AM ; A t M t )  arg t (2)
Z Z  ZA
Z  Zt
 arg ( ) (2) cos teit Z  cos teit a
Z  arg( ) (2)
Za
Z  f (t)eit Z
 arg (2)  arg cos teit (2)
Z
Z(1  f (t)eit  t (2).
 arg (2)
Z    
 arg (1  f (t)eit (2) b)(H t A ; H t A t )  (AM ; A t M t ) ( )

 arg(1 
1
(cos t  i sin t)) (2)
= t ()
cos t D’autre part :
 arg(1  1  i tan t) (2)   cos teit a
 arg(i tan t) (2) (OA ; OA t )  arg = argcosteit = t ( ) 
a
   
 (Ht A ; Ht At )  (AM ; At Mt ) () 

2
Donc le triangle OMMt est rectangle en M.

Annales du Baccalauréat National Mathématiques / Séries : C & TMGM IPN /Mr /2012 - 2013 135
O ; Ht ; A et At sont cocycliques.  2k
i( )
  e n
1
Z
c) (OM ; OMt )  arg t ()  arg f (t)eit ()  t() Z  2k
/ 0  k  n 1
i( )
Z u  ue
    n

(H t M ; H t M t )  (AM ; A t M t ) ( )  t ( ) 
   
(OM ; OM t )  (H t M ; H t M t ) ( )  2.a) Z est solution de ( En)  (iZ)n = (Z +2i)n
 iZ n =  Z +2i) n   i n  Z n =  Z +2i) n
O ; M ; Mt ; Ht sont cocycliques 
   
(Mt O ; Mt M)  (Ht O ; Ht M) () Or le triangle  Z  =  Z +2i)  =  Z –(-2i)  OM = AM.
HtOM est rectangle Mt  Le projeté orthogonale b) Z est solution de ( En) 
de O sur la droite (AM) est le point Ht. M  médiatrice de [OA]  Im(Z) = -1 ( La
d) Le projeté orthogonale de O sur  est le point médiatrice de [OA] est la droite d’équation y = -1)
d’intersection de  et (Dt) donc A est le point  Z = a -i / a   .
d’intersection de  et (Dt); d’où (Dt) passe par le iZ n
point fixe A lorsque t varie. 3.a) (iZ)n = (Z + 2i)n  ( ) 1
Z  2i
iZ 2iT
Exercice 2 Soit T =  (Z = )  Tn = 1
Z  2i iT
1.a) ( E2 ) : (iZ)2 = (Z +2i)2   2k
-Z2 = Z2 + 4iZ - 4  2Z2 + 4iZ - 4 = 0 
i( )
T= e n
/ 0  k n -1 
Z2 + 2iZ - 2 = 0 ; i(
 2k
) i(
 2k
) i(
 2k
)
 = -4 + 8 = 4  2ie n
2ie n
2e n
Z=  
2i  2 2i  2  2k  2k  2k
Z1   1  i ; Z2   1 i 
i( ) i( ) i( )
ie n
i(1  ie n
) (1  ie n
)
2 2
 2k
5 5 3 3 i( )
Z1  2(cos  i sin ) ; Z2  2(cos  i sin ) 2e n
4 4 4 4 Z= k 

5 
i(  ) k 
 2  2 i i e n 4
 (2 cos(  )
b) u = Z1   2e 4
  e i  e 4
n 4
2 2 k 
 )
 
i(
n 4
 cos  i sin e
Z 
4 4 k 
ip ip cos(  )
 p n 4
up + u-p = e 4
e 4
 2 cos( )
4 k  k 
 n n 
cos(  )  i sin(  )
Z n 4 n 4 ;
 
1 1
(1  uZ) n  (1  uZ) n    Cpn u Zp 
p
Cpn u p Zp 
c)
2  2  k 
 p 0 p 0  cos(  )
n 4
1 p 
n
 
2  Cpn Zp (u p  u ) 
 Or
k  k  
  (  )  et cos(x  )   sin x 

 P 0  n 4 n 4 2 2
n
p k  k 
 C Z (2cos( 4 )  f (Z)
1
 p p
n cos(  )   sin (  )
2
P 0
n 4 n 4
d) f(Z) = 0  (1 + uZ) + (1 + u Z)n = 0  n k  k 
cos (  )  i sin (  )
(1 + uZ)n = -(1 + u Z)n  Z n 4 n 4 
k 
(1  uZ) n 1  uZ n  sin (  )
 1  ( )  1; n 4
(1  uZ) n
1  uZ k 
cos (  )
1  uZ z 1 n 4 
Soit z   (Z  ) Z  i 
1  uZ u  uz k 
sin (  )
 2k n 4
i( )
z n  1  z  e n
/ 0  k  n 1  k 
Z  i  cot an(  ) / k  0;1    ; n  1 
n 4

Annales du Baccalauréat National Mathématiques / Séries : C & TMGM IPN /Mr /2012 - 2013 136
Problème 1 x
 e2y -x e2y = 1 + x 
e2y =
Partie A 1 x
1 1 x e2y -1 = x e2y + x = ( e2y +1)x 
f(x) = ln( )
2 1 x e2y  1 e y (e y  e y ) e y  e y
1 x x =   .
1.a) f est définie  > 0  x]-1 ;1[ e2y  1 e y (e y  e y ) e y  e y
1 x Donc g est définie sur  par :
Df =]-1 ;1[ .
ex  e x
b) x Df ; -x Df ; g(x) = x .
1 1 x 1 1 x e  e x
f(-x) = ln( )   ln  f (x)  f est  2ème méthode
2 1 x 2 1 x
impaire.  ex  e x 

1  
x 1
c) Tableau de variations de f : e e
x
ex  e x 
f( x )  ln 
e  e x 2  ex  e x 
1 x  1  
( )'  ex  e x 
1 1 x 1 1 x 1 x 1 x 1
f '(x) =      1  ex  e x  ex  e x 1 2e x 1
2 1 x 2 1 x (1  x) 2
1  x2  ln   )  ln e 2x
 ln(
1 x 2  ex  e x  ex  e x 2 2e
x
2
f’(x) =
1
> 0 ;  x Df ex  e x 1 1 ex  e x
1  x2 f( x )  (2x)  x  f (x) 
e  e x 2 ex  e x
x -1 1
ex  e x
f ‘(x) +  g(x)  x
+ e  e x
f‘(x) c) (C’) est l’image de (C) dans la symétrie
- orthogonale d’axe :  : y = x ( Voir figure).
d) Représentation graphique de Cf 3) Soit A l’aire cherchée. On a :
1 1 ex  e x
A=  0
(x  g(x))dx  4 (x  0 ex  e x
)dx 
1
 x2  1 
4   ln(e x  e  x )   4   ln(e  e 1 )  ln 2  
 2 0 2 
1 e2  1  1 
4   ln  ln 2   4   ln(e 2  1)  1  ln 2  
2 e  2 
3  3 2 
4   ln 2  ln(e 2  1)   4   ln( 2 ) u.a
 2   2 e  1 
Partie B
1.a) t  [g(t)]n est continue sur  
n

0 g(t) dt
x
In(x) = existe  n  et  x  0.

1dt   t 0  x
x

x
b) I0(x) =
0
x

x
I1 (x) = g(t)dt  ln(e t  e  t )   ln(e x  e  x )  ln 2
0 0
2.a) f est continue et strictement croissante sur x
]-1 ;1[ , donc f réalise une bijection de ]-1 ;1[ sur   e e
x
 I1(x) = ln( ).
1 1 x 2
b) On pose y = f(x) = ln( )  2y = c)  p 1 et  x 0 on a : 0  t  x et g est
2 1 x
1 x croissante  g(0)  g(t)  g(x) 
ln( ) 0  [ g(t)]2p  [ g(x)]2p
1 x

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2p 2p
1 1
0 g(t) 0 g(x)
x x
0 dt  dt 0  I2p  x[ g(x)]2p. d) f ( ) = ln 2  g(ln 2 ) = 
3 3
d) x    ; g(x) [0 ; 1[ lim  g(x) 
2p
 0. 1
p  I2p(ln 2 ) = ln 2 - [g(ln 2 ) + [g(ln 2 )]3]
3
Donc (I2p) est convergente et on a : lim I2p (x)  0
p 1
+∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙+ [g(ln 2 )]2p-1] 
t 2
(e  e )  (e  e )
t t t 2
2p  1
2.a) g’(t) = 
(e t  e  t ) 2 1 1 1
I2p(ln 2 ) = ln 2 - [ + ( )3 +∙∙∙∙∙∙∙∙∙+
(e t  e  t ) 2 (e t  e  t ) 2 3 3 3
g’(t) =  
(e t  e  t ) 2 (e t  e  t ) 2 1 1
( )2p-1 ] Comme lim I 2p ln( 2)  0 
g’(t) =1 – [g(t)]2  [g(t)]2 = 1 - g’(t) ) ;  t  . 2p  1 3 p 

n2 2 1 1 1 1 1
0 g(t) dt    g(t)  g(t)  dt  lim [ + ( )3 +∙∙∙∙∙∙∙∙∙+ ( )2p-1 ] = ln 2 .
x x n
b) I n+2 (x) = p  3 3 3 2p  1 3
0

(1  g '(t))  g(t)  dt  Partie C


x

n
0
t2
dt ; x  1 ; 1
x
x n x n h(x) = 
0 1  t2

0
1  (g(t)) dt   g '(t)(g(t)) dt 
0
t2
x 1.a) La fonction : t  est continue sur 1 ; 1
 1
g(t)  = In (x) 
n 1 1 1  t2
I n (x)   g(x) n 1 
 n  1 0 n  1 Donc h est bien définie sur 1 ; 1 .
D’après 2.b) on a :
Si n = 0 ; I2(x) = I0(x) – [g(x)]

\ -1; 1 On a :
b)  t  

1 t2 t2 1 1 1  (1  t)  (1  t) 1 
Si n = 2 ; I4(x) = I2(x) – [g(x)]3 =   1    
1 t 2
1 t 2
1 t 2 2  (1  t)(1  t) 1  t 2 
3
1 1  (1  t)  (1  t) 1 
Si n = 4 ; I6(x) = I4(x) – [g(x)]5  1    
5 2  (1  t)(1  t) 1  t2 


1 1
2
1 1 1 1 t
∙ 1  ( ) ( )  1  2  2
2 1 t 2 1 t 1 t 2
1 t 1 t
1 1 1
Si n = 2p - 2 ; I2p(x) = I2p-2(x) – [g(x)]2p-1  a= -1 ; b = ;c= .
2p  1 2 2
En sommant membre à membre : 1 1
I2(x) + I4(x)+ ∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙+ I2p(x) = x
1 c) h(x) =  (1  2  2 )dt 
I0 + I2(x)+ ∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙+ I2p-2(x) – [g(x) + [g(x)] ] 3 0 1 t 1 t
3 x
 1 1 
1   t  ln(1  t)  ln(1  t)  
+∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙+ [g(x)]2p-1]   2 2 0
2p  1
1 1 t 
x x
1  1  
  t  2 (ln(1  t)  ln(1  t))     t  2 ln(1  t ) 
3
I2p(x) = I0 - [g(x) + [g(x)] ] +∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙+
3 0 0
1
[g(x)]2p-1]   h(x)   x  f (x)
2p  1 1 x2
1 1 h'(x) = -1 +f '(x) = -1 +  0
I2p(x) = x-[g(x) + [g(x)]3] +∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙∙+ [g(x)]2p-1] . 1  x2 1  x2
3 2p  1  Tableau de variations :
x -1 0 1
h ‘(x) + 0 +
+
h(x)
- 0

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 Représentation graphique de (Ch) :  Tableau de variations :
x 0 k 1
u ‘(x) + 0 -
u(k)
u(x)
k 
u(k) = lnk -  1  ln k  0  x  0 ; k   ;
x
x
u(x)  u(k)= 0  lnx -  1  ln k  0 
k
x
lnx   1  ln k 
k
x
On a : lnx   1  ln k 
k

 x  0 ;  k * ;On pose :
x 1 1 kx
u(x) = lnx -  1  ln k ; u'(x) = - 
k x k kx
1
k+
1
k+ k+
1
x k+
1
 x2  2
k-
1
2
2
lnxdx  
k-
1
2
2
( -1+lnk)dx  
k k-
1
2
2
lnxdx    x  (ln k)x  
 2k  k- 1
2

1 1
1 (k+ ) 2 (k- ) 2
k+
2  k  1  (ln k)(k+ 1 )  2  k  1  (ln k)(k- 1 ) 
k-
1
2
2
lnxdx 
2k 2 2 2k 2 2
1 1
k+ k+
 k-
1
2
2
lnxdx  1  1  ln k  
k-
1
2
2
lnxdx  ln k

3
 Si k  1 ;  lnxdx  ln1
1
2

2
5
 Si k  2 ; 32 lnxdx  ln 2
2




1
n
 Si k  n ;  1
2
lnxdx  ln n 
n
2

En additionnant membre à membre :


3 5 1 1
n n
 1
2
2
lnxdx + 32 lnxdx +       
2
n
1
2
2
lnxdx  ln(1  2    n)  
1
2
2
lnxdx  ln(n !).

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1
n
c) Donc ln(n!)  1 2
lnxdx ; Or
2
1 1
n n 1 1 1 1 1 1 1 1 1
1
2
lnxdx =  xlnx -x 1 2
 (n  ) ln(n  )  (n  )  ln   (n  ) ln(n  )  n  ln 2 
2 2
2 2 2 2 2 2 2 2 2
1 1 1
ln(n!)  (n  ) ln(n  )  n  ln 2 .
2 2 2
1
4) Un = ln(n !) - (n  ) ln(n)  n ;
2
1 3
a) Un - Un+1 = ln(n !) - (n  ) ln(n)  n - ln(n+1)!) + (n  ) ln(n  1)  n  1
2 2

3 1
= - ln(n+1) + (n  ) ln(n  1)  1 - (n  ) ln(n)
2 2
1 1 n 1
= (n  ) (ln(n+1) – ln(n)) – 1 = (2n + 1) ln( )  1 ; Or
2 2 n
1
1
1 n 1
)  ln( 2n  1 )  ln(
1 1 1
f( )  Un - Un+1 = (2n+1) f( ) -1
2n  1 2 1 2 n 2n  1
1
2n  1
1 1 1
 Un - Un+1 = (2n+1) f( ) ) = (2n + 1) h( ) 0 ; car h(x)  0 ;x 0  (Un) est décroissante
2n  1 2n  1 2n  1
1 1 1 1 1 1
b) On a : ln(n!)  (n  ) ln(n  )  n  ln 2 et (n  ) ln(n  )  (n  ) ln(n) 
2 2 2 2 2 2
1 ln 2 1 ln 2 ln 2
ln(n!)  (n  ) ln(n)  n   ln(n!) - (n  ) ln(n)  n   Un  
2 2 2 2 2
ln 2
c) (Un) est convergente car elle est décroissante et minorée par 
2

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Sujet 2005 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
1.a) Soit Z0 = ib / b  ; Z0 est solution de P(Z) = 0  5  0 - 3ZA + 4ZC - 3  2 + 4  (3 + 3i)
(ib) -(5 +7i)(ib) +(-6+26i) (ib) +24 -24i = 0 
3 2 b) ZG = 
5-3+ 4 6
-ib3 +5b2 +7ib2 -6ib -26b +24 -24i = 0   ZG = 1 + 2i ;
5b2 -26b +24 +i(-b3 +7 b2 -6b -24) = 0  ZA  ZB 2  4i
    1  2i  ZG  G =[A*B].
5b - 26b + 24 = 0
2
(1) 2 2
 3

-b + 7 b2 - 6b - 24 = 0 (2)  Z-2
La résolution de l’équation 1 donne : b = 4 ou  Z - 4i = 0

b = 1,2 ( à rejeter ). Donc Z0 = 4i. c) M C  ou 
b) T.H  Z-2 
1 -5 - 7i -6 + 26i 24 - 24i arg( )  ()
4i 4i -20i + 12 24i -24  Z - 4i 2
1 -5-3i 6 + 6i 0 
 P(Z) = (Z-4i)(Z –(5 +3i)Z +6 + 6i) ;
2 M = A

Z  4i  0  Z  4i ou donc C est le cercle de
P(Z) = 0     
Z2  (5  3i)Z  6  6i  0 (2) 
(MB ; MA)  ( )
 = 25 – 9 +30i -24 -24i = -8 +6i = (1 + 3i)2   2
5  3i  1  3i 5  3i  1  3i diamètre [AB] privé de B.
 3  3i ou Z = 2 
2 2
S = 4i ; 3 + 3i ; 2. 3.a) (M) = 6MG2 +5GO2 -3GA2 +4GC2
2.a) ZA = 2; ZB = 4i ; ZC = 3 + 3i. = 6MG2 +55 -35 + 45
  4i  = 6MG2 + 30
(OA ; OB) = arg  arg 2i  () ; Mk 6MG2 + 30 = k 6MG2 = k – 30;
2 2
   Si k < 30 k = 
4i - 3 - 3i -3 + i 
(CA ; CB) = arg  arg  arg  i   () Si k = 30 k = G
2 - 3 - 3i -1- 3i 2
 Si k > 30 k = C k 30
.
(G ; )
6

b) M60  MG2 = 5MG = 5 ; donc 60 est


le cercle de centre G et de rayon 5 passant par
les points O ; A ; B et C (Voir figure).
3Z  Z
4) f : M(Z) M’(Z’) / Z’ = ;
4
 : (x – 1)2 + (y -2)2 = 5.
 1
3(x  iy  (x  iy)  x' = x
a) x’+iy’=  2
4  y '  y
b) ’ = f() ; ’ : (2x’ – 1)2 + (y’ - 2)2 = 5 
1
4(x’ - )2 +(y’ - 2)2 = 5 ; donc ’ admet une
2
1
équation de la forme : 4(x - )2 +(y - 2)2 = 5.
    2
D’où (OA ; OB) = (CA ; CB) ()  O ; A ; B et 1 2
c) L’équation de ’ : 4(x - ) +(y - 2)2 = 5.
C sont cocycliques (car O ; A ; B et C ne sont pas 2
alignés).

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 1 f'n (1) = f'n+1 (1) = 1
X = x - 1   Donc : les courbes ( Cn )
Soit  2 et ( ; 2). Dans le repère
2  f n (1) = f n+1 (1) = 0

Y  y  2
 
admettent la même tangente : y = x – 1 en
( ; u ; v) ’ a pour équation : A(1 ; 0).
(ln x)(1  x)
X2 Y2 b) fn+1(x) - fn(x) =  0  Cn/Cn+1.
4X +Y = 5 
2 2
 2
 1 ; Donc ’ est x n+1
5 5
( )2 1
1
1
1
2 c) M n ( e n
; ); on pose X = e n
et Y = 
1 1 ne ne
l’ellipse de centre ( ; 2) ; de sommets : 1
2 Xn = e  Y = Donc les points Mn sont situés
nX n
5 1  5 1 1
( ; 2);( ; 2) ; ( ; 5  2) ; sur une branche de la courbe d’équation : Y =
1
.
2 2 2 nX n
1 c 1
( ; - 5  2 ) et d’excentricité e =  et 3) Représentation de C3
2 b 2 y

passant par O et B.
0 1 2 x
Exercice 2
ln x
n  ; fn(x) = ; x]0 ; +[.
xn
x n 1  nx n 1 ln x x n 1 (1  n ln x)
1) f’n(x) = 
x 2n x 2n
1
1  n ln x
f’n(x) = n 1
; f’n(x) = 0  1 – nlnx = 0  x = e n -1
x 1
 Tableau de variations 4.a) f est décroissante sur [ e ; + [ ; 3
1 1
x 0 e n
+  k  2 ; [k ; k+1 [  [ e ; + [  3

f ‘(x) + 0 -  x [k ; k+1 [ ; f (k+1)  f(x)  f (k) 


1 k 1 k 1 k 1

f (x) ne k
f (k  1)dx  
k
f (x)dx  k
f (k)dx  
k 1


-
Limites aux bornes
0 f(k+1) k
f (x)dx  f(k).
3
lim f n (x)   ; lim f n (x)  0
x 0 x 
b) On a : f(3)  2
f (x)dx  f(2);
4
 lnx f(4)  f (x)dx  f(3);
 y = f n+1 (x) = x n+1 3

2.a) Cn+1  Cn :   ………………………..


 y = f (x) = lnx ………………………..
 n
xn ………………………..
ln x(1  x) n

lnx lnx lnx lnx f(n) f (x)dx  f(n-1);
n+1
= n  n+1  n  0   0 n 1
x x x x x n+1
x = 1 ; fn(1) = 0. -----------------------------------
n
Donc : toutes les courbes (Cn) passent par un point
fixe A(1; 0). f’n(1) = 1 et
Sn  f (2)   2
f (x)dx  Sn  f (n)
ln 2 3 ln n
f (x)  f n 1 (1) ln x 1  Sn    f (x)dx  Sn  3 ; n  1
f'n+1 (1) = lim n 1  lim  n 1  1 8 2 n
x 1 x 1 x 1 x  1 x n n
 
ln n ln n
c) f (x)dx  Sn  3
 f (x)dx +  Sn
2 n 2 n3

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ln 2 n n ln 2 (AD)  (EG)
 Sn 
8
 
2
f (x)dx  Sn  
2
f (x)dx 
8
Donc : h1  h 2 : 
;
(DC)  (FH)

n n

Donc n  2 ; on a :  f (x)dx  3  Sn  f (x)dx 
ln n ln 2
h1  h 2 ((AD)  (DC))  (EG)  (FH) 
2 n 2 8
n n ln x h1  h2(D)= M. Or, h1  h2 est une homothétie de
d)  f (x)dx   dx ; on pose : centre P; alors P(DM).
2 2 x3
Conclusion : les droites (DM) ; (CE) et (AF) sont
 1
concourantes  M [AC].
 u(x) = lnx u'(x) =
  x      
 1   3.a) DE  DA  AE  (DE)  (DA)  (AE)
 v'(x) = x 3  v(x) = -1  
 2  DC  AH
2x  
n  AB  AH
n   ln x  n 1
2 f (x)dx   2x 2 
  2 2 2x
 3
dx  
 AF
n  ln n ln 2 1 n 1   
2 f (x)dx 
2n 3

8

2 2 x 3
dx 
  
 DE = AF
n  ln n ln 2 1 1 (DE)  AF  et
2 f (x)dx  2n3  8 - 4n 2  16     
(DE ; AF) = (2)
n 1  2ln 2 ln n 
lim  f n (x)dx  et lim 3  0 ; alors 2
n  2 16 n  n
(DE)  (AF).
    
(Sn) est convergente (encadrée par 2 suites convergentes). b) (DF)  (DC  CF)  (DC)  (CF)
1  2 ln 2 1  2 ln 2 ln 2  
e) On a :      (AB)   (GM)
16 16 8  
1
= AD  GC
2 ln e 2  2 ln 2 1  4 ln 2  
  = EG  GC
16 16

ln 2 e  2 ln 2 4 ln e = EC 
 .  
8 8 (DF)  EC
Problème     
Partie A  (DM)  (DG  GM)  (DG)  (GM)
 
1. a)Figure illustrant les données  (AE)  GC
D G C  
= AH  GC
M
F  
H = EM  MF
P 

= EF 
 
(DM)  EF ;
 
 (DF)  EC  (DF)  (EC)
 
 (DM)  EF  (DM)  (EF)
 (FA)  (DE)  (FA) est la hauteur issue de F
A E B dans letriangle FED.
2.a) h1((AD)) est la droite passant par F et  (EC)  (DF)  (EC) est la hauteur issue de E
parallèle à (AD) donc : h1((AD)) = (CB) dans letriangle FED.
b) h2((BC)) = (EG)  (DM)  (EF)  (DM) est la hauteur issue de D
c) h2  h1((AD))= h2((BC)) =(EG)
d) h1  h2((DC))= h1((AB)) =(FH) dans letriangle FED.
e) h2  h1 = h1  h2 ; (h1 et h2 ont le même centre). Donc pour tout M de [AC] les droites ( FA)

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(EC) et (DM) sont les hauteurs issues de F ; E et Partie C
D du triangle FED ; alors (FA) ; (EC) et (DM) 1) Figure illustrant les données et répondant à
sont concourantes en un seul point qui est certaines questions.
l’orthocentre du triangle FED.
On considère la réflexion S(AC) ; on a : T
(DM)  (BM)

S(AC) : (CE)  (CH) 
(AE)  (AG) D C’ G C
 J O 1

(DM) ; (SE) et (AF) sont concourantes  (BM) ; H


M
F
(CH) et (AG) sont concourantes.

Partie B A’
1.a)   M et   F ; donc il existe une unique
O
O2
similitude directe S de centre  qui transforme M en F. I
  
b) L'angle de S : (M ; F)   (2)
2
(EF)  (DM)
S:   A x E B
(EM)  (FM) 1
S((EF)  (EM))= (DM) ( FM)  S( E) = M. O2I = IO1 = O1J= JO2 = AB.
2
2) L’ image du carré (AEMH) est le carré  1   1 
(GMFC) c’est-à-dire : O 2 I  AB et IO 1  BC ; (AB)  (BC) 
A  G 2 2
E  M (O 2 I)  (JO1 )  (O 2 IO1 J) est un carré.

S:  2ème Méthode:
M  F On considère l’homothétie h 1 ; on a :
 H  C (M; )
2
   A  O 2
3) S(M) = F  (M ; F)   (2)    1 B  I
2 
   h: ; ABCD est un carré  (O 2 IO1 J)
S(E) = M  (E ; M)   (2)     2 C  O1
2 D  J
  
S(A) = G  (A ; G)   (2)     3 1
2 est un carré; puis Aire (O 2 IO1J) =  Aire (ABCD)
  4

S(H) = C  (H ; C)   (2)     4 a2
2 =
Donc M de [AC] les cercles 1 ; 2 ; 3 et4 ; 4
sont concourantes en . 2) h ' 1 : M  J ; Donc si M décrit [AC], alors
(D; )
 FM   GH 
2

 le lieu géométrique du point J est le segment


 ME    MH  [A’C’], avec A’ = [D*A] et C’= [D*C].
4) S(AC) : 
GA    FA 
3.a) Soit O = [A*C]. La rotation r  transforme
(O; )
2
 CH  CE
    G en H et la rotation r ' 
(S; )
transforme G en H;
Donc les cercles de diamètres [GH] ; [MH] ; 2

[FA]et [CE] restent concourantes quelque soit la alors S = O.


position de M sur [AC]. b) Soit A’’ = SA’(S) et C’’ = SC’(S), alors le lieu
géométrique de T est le segment [A’’C’’].

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Le foyer de P est le point A tel que :
4.a) HG2 = HM2 +GM2 = x2 + (a – x)2 ; BA = BC = d(B ; (CD)) B P.
HG 2 1 2 b) MA +MB = 2MA = AC = 2 a  M P.
Aire (SGTH) = SG2 = ( ) = (x  (a  x)) 2
2 2 (ME) (AB)  M est un sommet de (E ).
1 Le 2ème sommet du petit axe est le symétrique de
b) f(x) = Aire (JSG) = Aire(SGTH) 
4 M par rapport à (AB).
1 2 Les sommets de l’axe focale sont les points
f(x) = (x + (a – x)2). d’intersection de la droite (AB) avec le cercle de
8
1 1 a
a
c) f’(x)= (2x - 2(a-x)) = (4x -2a) ; f’(x) = 0  x = .
centre E = [A * B] et de rayon MA = (Voir figure).
8 8 2 2
2) (FH) = médiatrice [AD](FH) est tangente à P
 Tableau de variations en H.
a (FH) passe par M et  à (AB)  (FH) est
x 0 +
2 tangente à (E )en M . Donc (FH) est une tangente
f ‘(x) - 0 + commune à P et à E .
a2 a2 3.a) Soit A’ le symétrique de A par rapport à 
f (x) (A’ (DC))  = médiatrice [AA’].
8 8
Soit A0 le point d’intersection de  avec la
a2
perpendiculaire en A’ à (DC) on a : A0 P , alors
16  est tangente à P en A0.
a b) (ABA’C) est un parallélogramme (BA’)  (AC)
f est minimale lorsque x = c’est-à-dire M = [A*C].
2 D’autre part (BN)(DB) et (AC) (DB) 
Partie D (BN)  (AC)  (BA’)  (BN) N(BA’).
1.a) Figure illustrant les données et répondant à
De plus on a : BA' = AC = a 2 ; or BA’ =NB +NA’
certaines questions.
 et NA’ = NA ; donc NA + NB = a 2  NE
D G C A’ Encore : A ' NF ˆ car  = médiatrice  AA'
ˆ  FNA
ˆ  FNA
et A0 NB ˆ   est la bissectrice externe
 
H M  ’ de l'angle (NA ; NB)   est tangente à (E ) en N.
F
P c) Voir figure précédente.
N

A E B

A0

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Sujet 2005 /Séries : C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
(E) : Z2+2Z +1 – e2i = 0 ; [0 ; 2[. zn = rnein Donc zn = ei2  = rnein = ei2
1.a)  = 4 – 4(1 - e2i ) = 4 e2i = ( 2ei)2. r n  1
 
2  2ei 2  2ei n  2+ 2k ; k  
Z1   1  ei ; Z2   1  e i
2 2 r  1
 
 i  2 2k
b) Z1 = 1 + ei = 2 cos( )e 2 ;   n + n ; 0  k  n  1   
2
   2  2k 2  2k
 i2  i( 2  2 ) ze
i(  )
 k  n 1  Z  1  e
i(  )
 k  n 1
Z2 = 1 - e = -2i sin( )e  2sin( )e
i
.
n n ;0 n n ;0

2 2
Si  =   Z1 = 0 ; Si  = 0  Z2 = 0 Conclusion : les solutions de (En) sont les
Donc : i(
2 2k
 )
nombres Zk = 1  e n n
;0  k  n  1 .
   b) Z0 + Z1 + Z2 +  + Zn-1 =
 Z1  2 cos ; argZ1  si 0    
 2 2 i2 i2  i2 i2 4 i2 i2(n-1)
pour Z1  1 + e + e  e +1 + e
n n n n e +1+  e n e n +1 
n
 Z  2 cos  ; argZ   +  (2)si     2 i2 i2 i2 i2


1
2
1
2 2 n 1
n  e n (1  e n  (e n )    (e n ) ) 
   
 Z2  2 sin ; argZ2  - (2) si 0    2 i2
i2
n
pour Z2  2 2 2 1  (e n )
.;............................................................. n+e ( n
i2
)  n0  n
1 e n
2.a) M1Z1 = 1 + ei ; M2 Z2 =1 - ei ;
Soit A le point d’affixe 1. D’où Z0 + Z1 + Z2 +      + Zn-1 = n
AM1 =  Z1 - 1 =  ei = 1 ; 2  2k
AM2 =  Z2 - 1 =  -ei = 1 c) Mk : Zk = 1 + e
i(
n

n
)
;0  k  n 1
Donc si  décrit [0 ; 2[ ; alors M1 et M2 2  2k

décrivent un cercle  de centre A(1 ; 0) et de
i( )
AMk = Zk  1  e n n
 1  Mk .
rayon 1.
Z1  Z2 d) Sn = M0M1 +M1M2 +……+Mn-1Mn d’où
 1  A   M1 * M 2  alors (M1M 2 ) passe
2 2 2k 2(k 1) 
i( ) i( ) i( )
par le point fixe A. M k-1 - M k = Zk  Zk 1  e n (e n e n )

 3 3 3 3
b) Si  =  Z1   i ; Z1   i i(
2
) i(
2k
)
2
i( )  i(

)
3 2 2 2 2  e n e n (1  e n )  2i sin e n Sn
y n

1 M1  2 sin 
n
= M0M1 +M1M2 +……+Mn-1Mn
  
= 2 sin + 2 sin + ∙∙∙+ 2 sin 
n n n
0 1A 2 x 
sin
  n  2
Sn = 2n sin  lim 2n sin  lim 2
n n  n n  
n
-1 M2
 Interprétation: La somme des distances entre
3) ( En) : (Z -1)n –e2i = 0 ; [0 ; 2[. les points (Mk) lorsque n est assez grand est
a) (Z -1)n = e2i ; Soit z = Z- 1  Z = z +1 d’où : égale au périmètre du cercle (A ; 1).
z n = e2i ; On pose z = rei /r   et   

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Exercice 2 point M’ est le cercle de diamètre [JD] lorsque
1.a) Figure illustrant les données et répondant à M décrit 1.
certaines questions. 1 5
 4.a) MM’2= AM2 +AM’2 = AM2 + AM2 = AM2
4 4
C 5 AN 5
 AN = AM   AM 2 .
4 AM 4
D’après Alkhashi on a:
 
F MN2 = AM2 + AN2 -2AMANcos (AM ; AN) 
I  
AM cos (AM ; AN) 
J 5 5 5
I’ AM2 = AM2 + AM2 -2AM
4 4 4
5 5 5  
J’ =1+ - cos (AM ; AN) 
4 4 2
5     2
D A K B cos (AM ; AN) =1 cos (AM ; AN) = 
J1 2 5
 
la mesure de  de l’angle (AM ; AN) est constante.
BJ  CD et
 2 2 5
b) r(B) = C ; r(J) = D      b) cos = =
 (BJ ; CD )= (2 ) 5 5
2
 5
(BJ) (CD) . AN  AM et
c) S  1 ; S(B)  J et S(C)  D  c) On a :  4
 
(AM
(A; ; )
2 2  ; AN )= (2)
 1 Donc N est l’image de M par une similitude de :
JD  2 BC et 5
    (BC)  (JD) centre A ; de rapport et d'angle  .
(BC ; JD )=  (2) 4
 2 d) Le lieu géométrique  de N lorsque M décrit 1
d) (BJ) (CD)  (BJ) est la hauteur issue de B est le cercle passant les points I ; I’ =[C*D] ;
J’= [J*J1] avec J1 =[A*D] ( Voir figure).
dans le triangle BCD.
Problème
Partie A
 (DJ)(BC)  (DJ) est la hauteur issue de D
Sn(x) = 1 – x + x2 + ∙∙∙∙∙∙∙+ (-1)xn
dans le triangle (BCD). 1 1 (1) n n 1
J appartient à deux hauteurs du triangle (BCD) 1.a) S'n  x  x 2  x 3         x
2 2 n 1
donc J est l’orthocentre du traingle (BCD). est une primitive sur de Sn (x).
2) Les traingles (AJD) et (DFD) sont rectangles b)  x ≠-1 ;  n  2 ; Sn-1(x) est la somme de n
termes d’une suite géométrique de 1er terme 1 et
en A et F respectivement et de même de raison –x, donc on a :
hypoténuse [JD] donc les points A ; J ; F et D 1  ( x) n 1  ( 1) n x n
sont cocycliques. Sn-1 (x) =  
1  ( x) 1 x
Les traingles (ABC) et (FBC) sont rectangles en
1 (1)n x n
A et F respectivement et de même hypoténuse Sn-1 (x) =  (1)
1 x 1 x
[BC] donc les points A ; B ; C et F sont 1 (1) n t n
2.a) Sn-1 (t) =  
cocycliques. 1 t 1 t
3) I = [B*C] S(I) = S([B*C]) S(I) = [J*D]  1 (1)t n
1 est le cercle de diamètre [BC]  S(1) est le  1  t  t 2      (1) n 1 t n 1  
1 t 1 t
cercle de diamètre [JD]  le lieu géométrique du

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1 ( 1)t Partie B
n
1 1 1
0 1  t 0 0 1  t )dt
n 1 n 1
dt  (1  t  t 2
      ( 1) t )dt 
 ln(1  x)
x f (x)  ; x  0 ; +
 t2 t2 (1) n n  tn
1
 x
  ln(1+t) 
x
  t      t   (1) n dt 
0
 2 3 n  0 0 1 t 
f (0)  1
x 2 x3 (1)n n 1 tn ln(1  x)
ln(1+x) = x -
2

3
  
n
x  (1) n  1  t dt
0
(2)
1.a) lim f (x)  lim  1  f (0) ;
x 0 x 0 x
b)  x> 0 ; on a :
n Donc f est continue en x0 = 0.
1 2 x t
 Si n= 2 ; ln(1 + x) = x - x +  dt  ln(1  x)
1
2 0 1 t f (x)  f (0) ln(1  x)  x 1
b) lim  lim x  lim 
x2 x t
n x 0 x 0 x 0 x x 0 x2 2
ln(1 + x) – (x - )=  dt  0
2 0 1 t 1
Donc f est dérivable en x0 = 0 et fd’(0) = 
x2 2
(x - )  ln(1 + x). 2) u(x) = x – (x+1)lnx +1).
2
1
x 2 2 x3 x tn a) u'(x) = 1 - [ln(1+ x) +(x + 1)  ]
3 0 1  t
 Si n= 3 ; ln(1+ x) = x - x + - dt  x 1
2 u’(x) = 1 – ln(1+x) -1 = -ln(1 +x).
x 2 x3 x t
n
ln(1+ x) - ( x - + ) = - dt  0   Tableau de variations
2 3 0 1 t
x 0 0 +
x 2 x3
ln(1+ x)  x - + u‘(x) + 0 -
2 3 0
x 2
x 2 x3 u (x)
Donc : (x - )  ln(1+ x)  x - + .
2 2 3 D’après le T.V de u on a :  x> -1 ; u(x)  0
1 x t
n
b)  x]-1 ; 0[  ]0 ; +[ ;
 x]-1;0[; ln(1 + x) –( x - x2) =  dt 0
2 0 1 t 1 x
 x  1 ln(1  x)  ln(1  x)
1 f '(x) = 1+x  1+x 
(car x < 0)  ln(1 + x)  x - x 2 x2 x2
2
x-(1+ x)ln(1+x) u(x)
x 2
x 3
x t
n
f '(x) =  f '(x) = 2
 ln(1+ x) - ( x - + ) = - dt  0  2
x (1+x) x (1+x)
2 3 0 1 t
c) Tableau de variations de f
x 2 x3
x- +  ln(1+ x) Donc : x -1 +
2 3 f‘(x) -
x 2 x3 x2 +
x- +  ln(1+ x)  x - . f(x)
2 3 2 0
c) Si x > 0 : On a :
1 2 1 1 Partie C
 x  ln(1  x)  x   x 2  x 3 
2 2 3
 1 ln(1  x)
1 ln(1  x)  x
 
1 1
   x  lim
ln(1  x)  x 1
 
g(x)  f ( )  x ; x0
2 x 2 2 3 x  0 x 2 2  x x
 Si x  ]-1 ; 0[ ;

g(0)  0
1 2 1 3 1 1 x

2
x  x  ln(1  x)  x   x 2 
3 2 1.a)  0 ; x   ; 1  0 ;  et g(0) = 0
1 1 ln(1  x)  x 1
x
  x   Donc Dg = ] - ; -1[ [ 0 ; +[.
2 3 x2 2
ln(1  x)  x 1
lim  
1
ln(1  )
x 0 x2 2 x .
b) lim g(x)  lim
ln(1  x)  x 1 x 0 x 0 1
Donc lim  
x 0 x2 2
x

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1 1 1
Soit X = ; x0+  X+ d’où 2.a) g’(x) = f '( )  0 ; donc g est croissante sur Dg.
x x2 x
ln(1  X) b) Tableau de variations de g
lim g(x)  lim  0  g(0)
x 0 X  X
Donc g est continue en x0 = 0. x - -1 0 +
1 x g‘(x) + +
x ln( )
g(x)  g(0) x
lim  lim + 1
x 0 x0 x 0 x gx)
1 x 1 0
 lim ln( )  
x 0 x
Donc g est dérivable en x0 = 0.

c) Représentation graphique de ( C)

(C’)

1
(C)

-1 -1/2 0 1

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1 x antidéplacement d’après son écriture complexe.
3) ( C) : y = g(x) = x ln( ):
x Donc  est la réflexion d’axe  d’équation :
 x   x ' 1 1
x=  ( C’ ) est l’image de ( C) par la
On a :  ; C’ = (C )  2
y  y '
1
1  x ' 1 x' symétrie orthogonale d’axe  : x =  ( Voir
y' = (-x'-1) ln( )  y’ = -(x’+1) ln( ) 2
x ' 1 x ' 1
figure).
x ' 1
y’ = (x’+1) ln( ) 1
x' 4) Un = (1 + ) n 1 ;  n  2.
n
x 1
Donc h(x) = (x+1) ln( ). a) D’après le T.V de g on a :
x  n  2 ; g(x)  1 et d’après celui de h on a :
1 x 1 x  n  2; h(x)  1 donc :
g(-x-1) = (-x -1) ln( )  (x  1) ln( )
x  1 x 1  n  2; g(x)  1  h(x) 
x 1 1 n n 1
 (x  1) ln( ) n ln( )  1  (n  1) ln( )
x n n
h(x) = g(-x – 1). 1 n n 1
b) h’(x) = -g’(-x-1) < 0. n ln( )  ln e  (n  1) ln( )
n n
Tableau de variations : 1 1
(1  )n  e  (1  )(n 1)  U n  e  Vn
x - -1 0 + n n
h‘(x) - - e V
b)  n  2 ; On a : 1   n 
1 + Un Un
h(x)
1
0 1 (1  )(n 1)
e n e 1
c) On a : x’ + iy’ = -x + iy -1  Z’ = - Z -1 et 1  
1
1  1 
Un Un n
c’est l’écriture complexe de . (1  ) n
n
M’ = M  Z’ = Z  Z = - Z -1  Z + Z = -1
lim U n  e.
1 n 
2x = -1  x =  . c) (Un) est croissante et (Vn) est décroissante
2
L’ensemble des points invariants par est la d’une part et Un < e < Vn d’autre part donc (Un) et
1 (Vn) sont adjacentes.
droite d’équation x =  . et  est un
2

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Sujet 2004 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
1) Figure illustrant les données et répondant à AI
certaines questions : BA
D K C 3.a) Comme r1 : Donc l’image du
JI
LK
rectangle ABJL par r1 est le rectangle IKDA.
AA
L J BD
O b) g est la réflexion SAC ; Or g : Donc
JK
 LI
H
l’image du rectangle ABJL par g est le rectangle ADKI.
(JL)  (AC)  O
A I B c) Comme     
2(AC ; JL )  2(OC ;OJ )  
2

2.a) Comme : AJ2 = AB2 + BJ2 Donc r2 est la rotation de centre O et d’angle 
2
= AD2 +AI2 = ID2
  AD
Donc AJ = ID ; Or AJ  ID d’où il existe une
AI BA
unique rotation r1 qui : r : Or, r2 :  L 'image du rec tan gle ABJL
JD JI
        LK
b) R(AJ)  R(AB  BJ)  R(AB)  R(BJ)  AD  IA  ID
    par r2 est le rectangle DAIK 
Donc (AJ ; ID)  d’où l’angle de r1est .
2 2
i) Méthode 1 : Exercice 2
Le cercle de diamètre [AI] contient H et  ; 1) Figure illustrant les données et répondant à
Le cercle de diamètre [JD] contient H et  ; certaines questions :
Cela donne la position de  car  ≠ H. K
ii) Méthode 2:
    C
Comme: r1 (L) = A ; R(AL)  R(BJ)  BI  IA ; S1
J
F1 P1
r1 r1 (L) = r1 (A) = I; Or r1 r1 est une rotation 
J’
P2 P’1
d’angle  de centre  Donc  est le milieu de I S2
L

[IL] c’es( -à-dire ((IL). A F’1


S’1

iii) Méthode 3: E H B
On a : r1 = SAC  S  S = SAC  r1, Or
SAC  r1 (A) = SAC (I)= L Donc  est la médiatrice F2
K’
de [AL].
D’autre part :   (DC) ;  coupe (AD) en 2.a) Comme :
bar (A ; 2) ; (L ; 2) = bar (A ; 3) ; (D ; 1) et 1
  (AC) =  d’où  = bar (A ; 3) ; (C ; 1) AE  AH  AB  AC
2
( = 3 ;  = 1 par exemple).     
(AE ; AC)  (AB ; AC)    
2
Donc r(E) = C d’où l’image de la droite (EK) par r

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est la perpendiculaire à (EK) passant par C qui est deux cercles ont deux points d’intersections F1 et
la droite (BC). F2 d’où il existe deux paraboles P1 et P2 de foyers
b) Comme : le quadrilatère AIKJ a trois angles F1 et F2 , de directrices (BC) solution du problème.
droit donc (AI)  (AJ) Or, r(A) = A d’où l’image Le foyer, le sommet et la directrice de la parabole
de la droite (AI) par r est la droite (AJ), or : (P1’) sont les images par S du foyer, du sommet et
I= (EK)  (AI) et J= (BL)  (AJ) de la directrice de la parabole (P1) en plus avec
Donc r(I) = J. KEJ’K’ un carré direct on a [J’K’] est la directrice
1 de (P1’).
AC  AB  AH Problème
2
c) Comme :     Partie A :

(AC ; AH)  (AC ; AB)   1.a) n = 1 ;
2  Continuité de f1
Donc r(C ) = H , or C(BL) d’où l’image de la lim f1 (x)  lim (x(1  ln x))  lim  x  x ln x 
droite (BC) par r est la droite  perpendiculaire à  x 0 x 0 x 0

(BC) passant par H.  0  f1 (0)


d) Comme K= (EK)  (BC) : Donc f1 est continue en x0 = 0.
Donc : L= (BC)  .  Dérivabilité de f1
 1  f (x)  f1 (0)
Puis BH  BE et (HL)  (EK) et B ; L ; K lim 1  lim (1  ln x)   donc f1
3 x 0 x0 x 0
 1  n’est pas dérivable à droite de x0 = 0 et C1 admet
alignés d’où BL  BK 
3 une demi-tangente verticale au point d’abscisse 0.
 3  3  n > 1 ; Continuité de fn
3) Comme BE  BA donc le rapport de h est .
2 2 lim f n (x)  lim (x n  x n ln x)  0  f n (0)
x 0 x 0
En plus : (AJ) (EK) d’où h((AJ))= (EK) or Donc fn est continue en x0 = 0 à droite.
h((BC)) = ((BC)) d’où h(J) = K.  Dérivabilité de fn
4) Comme r est une similitude directe et h est une
f (x)  f n (0)
similitude directe donc S est une similitude lim n  lim (x n 1  x n 1 ln x)  0
directe. x 0  x0 x 0

 donc fn est dérivable à droite de x0 = 0. et Cn


En plus le rapport de r est 1, son angle est  , le admet une demi-tangente horizontale au point
2
d’abscisse 0.
3
rapport de h est son angle est 0 d’où le rapport 1
2 b) lim f n (x)   ; f’1(x) = 1(1 + lnx) + x
x  x
3 
de S est et son angle est  . = 2 + lnx.
2 2 f’1(x) = 0  lnx = -2  x = e-2.
On a : S(I) = h  r ( I ) = h(J) = K;  Tableau de variations de f1
S(A) = h  r ( A ) = E d’où x 0 e-2 +
    
(I ; K)  (A ; E)   donc  appartient f1’(x) - 0 +
2 0 +
aux deux cercles de diamètres respectifs [AE] et f1 (x) - e-2
[IK]. 1
5) L’ensemble des foyers des paraboles passant  n > 1 ; f’n(x) = nxn-1( 1 + lnx) + xn( )
par : x
n-1
= x (nlnx + n + 1 ).
 A, de directrice (BC) est le cercle de centre A
n+1
et de rayon AJ privé de J. f’n(x) = 0  x = 0 ou lnx = ( )
 I, de directrice (BC) est le cercle de centre I et n
1
de rayon IK privé de K.  (1+ )
n
x= e .
Or AI < AJ + IK ( car AIJK est un carré) d’où les

Annales du Baccalauréat National Mathématiques / Séries : C & TMGM IPN /Mr /2012 - 2013 152
 Tableau de variations de fn 1 1 1 1
1
2) On a : n + 1  n ;   1  1 
x  (1+ )
n
n+1 n n+1 n
0 e + 1 1
1 1  (1 + )  (1 + )
fn’(x) 0 - 0 + (1  )  (1  )  e n+1
e n

0 + n+1 n
fn (x) 1
 (1+ )
Vn+1  Vn d’où ( Vn) est croissante.
fn( e n
) 1
En plus, on a : (1  )  0 d’où xn  e0 ; xn  1
2) L’ordonnée d’un point d’abscisse x de Cn est n
indépendante de n si et seulement si xn est Donc (Un) est majorée par 1.
indépendant de n ou 1 + lnx = 0 c’est-à-dire x= 0 3) lim x  e  0; lim y  0  lim M  O 
n n n
1 n  n  n 
ou x = 1 ou x = d’où Cn passe par trois points 1 1
e 4.a) Un =  1 f n (x)dx =  1 x n (1 + lnx)dx ;
e e
fixes qui sont O(0 ; 0) ; A(1 ; 1) ; B(e-1 ; 0).
 1
 u(x) = 1 +lnx  u'(x) =
3) fn+1(x) - fn(x) = ( xn+1- xn)(1 + lnx)  x
n
On pose : 
= x (x -1)(1 +lnx). V'(x) = x n  v(x)  1 x n 1
Le tableau suivant donne la position relative  n 1
-1
x 0 e 1 + 1 1
 1 n 1  1  1 n 1 
n
0 + + + Un =  x (1 +lnx)   x 
n  1  n  1
x
 n 1  e 1  e1
x -1 - - 0 +
1 + lnx - 0 + +  1   1   1 
=   0 2 
 e (n 1) 
 n  1  (n  1)   (n  1)
2
fn+1(x) - fn(x) + - + 
P.relative Cn+1 / Cn Cn / Cn+1 Cn+1 / Cn
1 1 1
4) Tableau de correspondance Un =   e  (n 1) 
n  1 (n  1) 2
(n  1) 2
Courbe Fonction
(E) f1 lim Un  0  Donc sur [e-1 ; 1] on a :
n 
( F) f2 lim Cn  (Ox) 
(G ) f3 n 

b) x[e-1 ; 1] ; fn+1(x) - fn(x)  0 


Partie B fn+1(x)  fn(x)  Un+1  Un (Un ) est
1 décroissante.
1) yn = fn(xn) = xnn (1 + lnxn) = e-(n +1)( 1 – 1 - ) D’autre part, x[e-1 ; 1] ; 1 + lnx  0 
n
1 -(n +1) fn(x)  0  Un  0.
= e . Comme : (Un) est positive et décroissante donc
n
1
elle est convergente.
 (1 ) 1 -(n +1)
n
On a : Mn(xn ; yn) où xn = e et y = - e
n Partie C
1 1
 (1 ) 1 1 1
Or x = e n
 -1 - = lnx - = 1 + lnx et 1) lim1 g(x)  0e  0(0)  0  g( )
0
n n x ( ) e
1 e
-1 1
n= d’où y = (1 + lnx) e1 + lnx Donc g est continue à gauche de
1
.
1 + lnx e
-lnx
 ln x
= (1 + lnx) e1 + lnx donc le lim g(x)  F.I . On pose X = on a :
point Mn appartient à une branche de courbe de la 1 
x ( ) 1  ln x
e
-lnx
X   ; X  X ln x   ln x
fonction (x) = (1 + lnx) e 1 + lnx
. 
 X 
ln x 
 1 X

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 ln x
 X 
lim g(x)  lim (1  )e X  g’(x) = 0  lnx = 0  x = 1; Or x > 0 et e 1 ln x > 0
1 
x ( )
x 
 1 X  D’où le tableau de signe suivant :
e

  x 0 e-1 1 +
X 
 e  eX
1  lnx - - 0 +
 lim        
x  1  X 1 +lnx - + +
  X  1  1 
X  g’(x) + - +
1 4) Tableau de variations de g
Don g n’est pas continue, ni dérivable à droite en . x 0 e-1 1 +
e
1 g’(x) + - 0 +
Par contre g est dérivable à gauche en car on a : 0 + +
e
g (x)
1  1 
g(x)  g( )   ln x  ln   ln x  - 1
lim e  lim  e
e 1 ln x
  Représentation graphique de 
1
x ( )  1 x ( )   
1 1  
e x e  x 
e  e  
1
 (0)  0 
1
e
1
D’où  admet une demi-tangente horizontale d’abscisse .
e
1
La continuité de g à gauche de x0 = résulte de la
e
dérivabilité en ce point.
 1

 1 
1
2) lim g(x)  (1  ln x)e ln x   ( )(e 1 )   ;
x 
 
 
 1

 1 ln x ln x 1 
1
g(x) 1
lim  lim (  )e   (0)(e )  0
x  x x  x x
 
 
Donc  a une branche parabolique de direction
(Ox) lorsque x tend vers +.  ln x

 1
 5.a) fn (x) = g(x)  (1 + lnx) (x n
- e 1 ln x
)=0
 1 
1
  ln x
lim g(x)  lim (1  ln x)e ln x   ( )(e )   1
x  0 x 0 1 + lnx = 0 ou xn = e 1 ln x ) 
   ln x
  x = e-1 ou nlnx = .
D’où x= 0 est une asymptote verticale à . 1  ln x
 -1 1   ln x  ln x 1
 ln x
1 1 ln x  (1  ln x)  (  ln x)  nlnx = (lnx)( n + )=0
3) g'(x) = e + (1+ lnx)  x x  e 1 ln x 1  ln x 1  ln x
x  (1  ln x) 2 
1
  lnx = 0 ou n + =0
1 1 
 ln x
ln x
 ln x 1  ln x
=   e1 ln x = e1 ln x 
 x x(1  ln x)  x(1  ln x)

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1  (n 1)
1 1
1  (1 )  (1 )
x = 1 ou lnx = -( 1 + )  x = e n ; Or   Cn = ( e-1; 0) ; (1; 1) ; ( e n
e ; ).
n n
1  (n 1) b) Le troisième point est le point Mn de la partie B
1
 (1 )
-1 n
fn(e ) = 0 ; fn(1) = 1 ; fn( e )=
n
e ;  si n = 1, alors l’abscisse de Mn est e-2 et Mn
3

Finalement on a :  n = 2 alors, abscisse de Mn est e et Mn . 2

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Sujet 2004 /Séries : C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
 3  2  1  3  3  0  1   -17 
         
1.a) AD  2  3    5  ; DB  5  2    7  ;  6  3   16 
3 1   2  0  3   3    2  
  -4 

        DH 2  
3  3 
 3  2  1     
    
CD  2  5    3    17  3   -1 
   
3  4 7   6  6 
    
  289  64  1 354
b) CD  AD  (1)(1)  (3)(5)  (7)(2)  1  15  14  0 DH = DH   
  6 6
CD  DB  (1)(0)  (3)(7)  (7)(3)  21  21  0 1 1 1
  V = (  AB  DH)  CD  6  59  354
Or AD et DB ne sont pas colinéaires : 3 2 36
(car qui : x AD   0 )et sont dans le plan (ABD) 1 1
b) V = (  AB  CH)  dis tan ce(D, plan(ABC))
donc la droite (CD) est orthogonale au plan 3 2
(ABD). (car (CH) (AB)) 
2.a) Comme (CD)  plan (ABD)  (AB)  (CD), distance (D, plan (ABC)) = 6V
Or ,
Or (AB)  (CH) d’où (AB) plan (CDH). AB  CH
b) Un vecteur normal du plan (CDH) est : 1   -11 
6 2   6 
 3  2  1 
       2  
  -13 

AB  5  3    2  l’équation de (CDH) est : CH 5  et
3   3 
 0  1   1     
     17 41
  4
 



x -2y – z + d = 0 ; d  ; Or C(CDH) d’où  6   6 
2 – 10 + 4 + d = 0  d = 4 l’équation (11) 2  (26) 2  (41) 2 2478
de(CDH) est : x -2y - z + 4 = 0. CH  
6 6
Un vecteur directeur de la droite (AB) est :
5
1   distance (D, plan (ABC)) est égale à 
   7
AB  2  et A(AB) d’où l’équation de (AB) est : Exercice 2
 1 
  1.a) Figure illustrant les données et répondant à
certaines questions :
x  2  t -1
 S -1
(G) C S (F)
(AB) :  y  3  2t ; t  
z  1  t
 (G)
A B
c) H= (DH)  (AB) donc, avec t le paramètre
de H, on a : 2 + t -2(3-2t) –(1 –t) + 4 = 0 
11 11 1 11 2 (F)
t =- d'où x H = 2 - = ; y H = -3 + = ;
6 6 6 3 3 D
11 17
zH = 1 + = 
6 6

3.a) AB = AB  (1) 2  (2) 2  (1) 2  6

CD = CD  (1) 2  (3) 2  (7) 2  59

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b) D = bar (A ; -1) ; (B ; -2); (C; 2) AD 2BC
   Le rapport de S est :  2.
AD  2AB  2AC  AB BC
      
DA  2DB  2DC  0  -DA  2BC  0 AA
  b) Comme : S : B  D et ABC est équilatéral
 DA et BC sont colinéaires d'où
(BC)  (AD). C  C'
    
c) BA  BD  BA(BA  2BC)  direct d’où ADC’ est équilatéral direct.
 Or, ADE est équilatéral direct, Donc C’ = E.
BA 2  2BA  BC cos  a 2  a 2  0  AA
3
ABD est rec tan gle en B  c) Comme : S-1 : D  B 
2.a) f(A) = -0 -2AB2 +2AC2 = -2a2 + 2a2 = 0 EC
b) f(M) est un scalaire de Leibniz avec : F'  S-1 ((F)) est le cercle decentre B passant par A,
D = bar (A ; -1) ; (B ; -2); (C; 2)
f(M) = (-1 -2 + 2)MD2 + f(D) = -MD2 + f(D). et G '  S-1 ((G)) est la droite(AC).
Comme : D = bar (A ; -1) ; (B ; -2); (C; 2)
2AB2  2AC2  4BC2 Problème
f(D) =  4a 2  Partie I
1
1.a) Etude de variations de f
f (M)  MD2  4a 2   Df = ]- ; +[ ;
c) f(M) = 0  MD = 2a = DA donc (F) est le  lmites aux bornes de Df
cercle de centre D passant par A. lim f (x)    0   ;
 
 
 
 x 
3.a) g(M) = a 2  2MA  DB  0  MA  DB  0  e x 1 
D’où ( G) est la perpendiculaire à (BD) passant x  lim f (x)  lim  x(1  ( )e )   ()()  
x 
par A qui est la droite (AB).  x 
b) Comme E(F)  DE = DA , Or (DB) (AE)  Dérivée de f
( car E (G)) Donc (DB) est la médiatrice de [AE], Or f’(x) = 1 – ex -1 ; f’(x) = 0  x – 1 = ln 1= 0
       x = 1.
(DB ; DA)  (DB ; BC)  (BD ; BC)  
 Tableau de variations
     x
      (DE ; DA)  - 1 +
2 3 3 f’(x) + 0 -
 le triangle ADE est équilatéral  0
c) Comme E(G) et (BD) (AB) et E(F) donc B f (x)
est le milieu de [EA], Or, BA = BC = d’où - -
x 1
BA = BC = BE donc le triangle ACE est rectangle b) lim (f (x)  x)   lim (e )  0  
x  x 
en C.
4.a) L’angle de S est : est une asymptote à ( C), elle est au dessous de .
      c) Représentation graphique de ( C).

(AB ; AD)  (AB ; CB)  (BA ; BC)  
3

Annales du Baccalauréat National Mathématiques / Séries : C & TMGM IPN /Mr /2012 - 2013 157
2.a) f(x) – y = x- ex -1 – x + 3 = - ex -1 + 3 = 0  1
2) Z' =  (1  i)Z  2 
x – 1 = ln3  x = 1 + ln3. 2
x + 1 + ln3 + 1
x ' iy '   (1  i)(x  iy)  2
f(x) - x + 0 - 2
1
P. relative C / 1 1 / C   (x  iy  ix  y)  2) 
2
 1 1
1 ln 3 1 ln 3  x '   2 x  2 y  2
b) A = 1
(f (x)  y)dx  
1
( e x 1  3)dx 
y '   1 x  1 y
 x ' y '   x  2 
1 ln 3 
  e x 1  3x  2 2
1
x  2  x ' y ', Or 2y '   x  y d 'où
  3  3  3ln 3   1  3 y   x  2y '  2  x ' y ' 2y '  y  2  x ' y '
 3ln3 -2   x = 2 -x' -y'
Partie II Donc on a : 
 y =-2 +x' -y'
1) Comme :  (1  i)   \ 1 donc S est une
1
3) S((0)) a pour équation : 2 – x – y’ = 1 qui est
2 y’ = 1 – x’ ou y= -x +1 ;
similitude directe de centre le point d’affixe :
S((1)) a pour équation: -2 + x’ – y’ = 2- x’ –y’-3
2 4 2
  (3  i); Or 1 1
1 3i 5 qui est x’ = ou x = .
1  (1  i) 2 2
2 4.a) M(x ; y)  ( C)  y = x – ex -1
i  3
1 1
 (1  i)   ( 2e )  4
2 i( 4  )
e 
2  i( 4 )
e -2 + x’ – y’= 2 –x’ –y’- e1-x’ –y’ d’où :
2 2 2 2 e1-x’ –y’ = 4 -2x’ Donc 4 -2x’> 0 d’où :
2 3 1 – x’ – y’ = ln(4 – 2x’) donc x’< 2 et
d ' où le rapport de S est : et son angle est :  (2) 
2 4 y’ = 1 – x’ –ln(4 -2x’) d’où x’ < 2 et M’.
b) M’(x’; y’)   y’ = 1 –x’ –ln(4 – 2x’) 

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1 1 1 1  Tableau de variations de g
 x  y  1  x  y  2  ln(4  x  y  4) 
2 2 2 2 x - 1 2
ln(x  y)  x  1 d 'où x  y  e x 1  y  x  e x 1 g’(x) + 0 -
+ 0 +
Donc M(x ; y)  (C) et S(M  M '
g(x)
c) D’après l’étude faite en 4.a) et 4 .b) on a : S(C)=. -ln2
2 1
Partie III 2) h'(x) = 2 - e x-1 +  2  e x 1 
1) lim g(x)    (F.I) ;Soit X  4  2x  4  2x 2x
x  1
 2  e x 1 
X   x2
1 alors 1 1
x  2 X h''(x) = -e x-1  ( )  -e x-1 
2 (x  2)2 (x  2) 2
 1  3.a) Comme : x]- ; 2[ ; h’’(x) < 0 
lim g(x)  lim  1  X  ln X 
x  x 
 2  h’ est strictement décroissante sur ]- ; 2[.
h’(1) = 2 – 1 – 1 = 0.
 1 ln X 
 lim  1  X(  )   b) Tableau de variations de h
x 
 2 X  x -  1  2
 lim g(x)   h’(x) + 0 -
x 2
2 2 2x  2 ln2
g'(x) = -1  ( )  1   h(x) 0 0
4  2x 4  2x 4  2x
- -
lim h(x)  lim (f  g)       ;
x  x 

lim h(x)  lim (f  g)  f (2)    ;


x 2 x 2

h(1)  f (1)  g(1)  ln 2.

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Sujet 2003 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
1 2x  1 2x  1
1) f est la fonction définie par : f(x) = On a : g 2 (x)  ln  lim g 2 (x)  lim ln
ln x x 1 x 1 x 1 x 1
Df = ] 1 ; +[ ; 2x  1
Or lim ln   ; d'où lim g 2 (x) = + .
 Limites aux bornes : x 1 x 1 x 1

lim f (x)   ; lim f (x)  0 ; 3.a) f étant décroissante sur tout intervalle de son
x 1 x 
Df, en particulier sur [x ; 2x] tel que x > 1 et n 2 ;
x = 1 est AV et y = 0 est AH. On a donc t[x ; nx] :
 Dérivée et sens de variation
1 1
1  f (t)  ;en int égrant on a
 ln(nx) ln(x)
f’(x) = x  1 > 0 x] 1 ; +[ ;
nx 1 nx nx 1
(ln x) 2 x(ln x) 2
x ln(nx) x dt  f (t)dt  x ln(x)dt 
 Tableau de variations
1 nx 1 nx
 
x 1 + dt  g n (t)  dt 
f ’ (x) - ln(nx) x ln(x) x
1 1
+
 t x  g n (t)   t x d 'où
nx nx
f (x)
0 ln(nx) ln(x)
2.a)  t > 1 ; 0 < lnt (1) On pose : (n  1)x (n  1)x
 g n (t) 
(t) = t – 1 – lnt pour t> 1 ; ln(nx) ln(x)
t 1
 0 ; pour tout t  1 d’où le b) Comme lim (n  1)x   alors
1
’(t) = 1 - =
t t x  ln(nx)
tableau de variations de  :
lim g (x)   ; Puis
t 1 + x  n
’(t) + (n  1)x
+ lim ln(nx)  lim n  1  0 et
 (t) x  x x  ln(nx)
0
(n  1)x
Donc  t > 1 ;  (t) > 0 d’où lnt < t – 1 (2) ; ln(x) n 1
lim  lim 0
De (1) et (2) on trouve :  t > 1 ; 0 < lnt < t – 1. x  x x  ln(x)

D’après la double inégalité précédente on a : g (x) g (x)


1 1 d 'où 0  lim n  0  lim n  0.
 ; d’une part et d’autre part en x  x x  x
ln t t  1 nx
intégrant sur l’intervalle : [x ; 2x] tel que x > 1 on 4.a) gn(x) = x f (t)dt  g’n(x) = nf(nx)- f(x)
2x 1 2x 1
obtient :  dt   dt ; d'où g’n(x) = n
1

1
; alors x > 1;
x ln t x t 1
ln(nx) ln x
2x  1
g 2 (x)  ln(t  1) ¨x  g 2 (x)  ln n ln(x)  ln(nx)
2x

x 1 g’n(x) = .
2x nx
ln(nx) ln(x)
b) On peut écrire g n (x) =  f (t)dt   f (t)dt ; Soit g’n(x) = 0  nln(x) –ln(nx) = 0 ; x > 1
x 2x
nx ln(x)n = ln(nx)  xn = nx ; x > 1 xn-1 = n
d'où g n (x) = g 2 (x) + f (t)dt ; n  2. 1 1
2x n 1  1
Or f est positive et puisque nx  2x n  2 ; on a x = n .Posons xn = n et yn = gn( n ) ; alors
n 1 n

nx d’après 3.a) on obtient un encadrement de yn qui


alors :  f (t)dt  0 d’où n  2 ; gn(x)  g2(x). donne après calcul :
2x
b) En utilisant la relation ( 1) on a :

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n2
1
1
(n  1)2 n n 1
 yn 
(n  1)2 n n 1
.  2  ln(2)  ln1  1
ln(n) ln(n) 
 1  ln(3)  ln 2  1
 Tableau de variations 3 2
x 1 xn + 
gn (x) - 0 + ..............................
..............................
+ + 
g’n(x) ..............................
 1 1
yn   ln(n  1)  ln n 
n 1 n
b) Le point 2 de (C2) en lequel la tangente à (C2)
En additionnant membre à membre on trouve :
est parallèle à l’axe des abscisses et de n 1 n
1 1
coordonnées : x2 = 2 et d’ordonnée y2 qui vérifie :
1 2
p2 p
 ln(n  1)  p 1 p
;
 y2  ; On peut prendre la valeur
ln(2) ln(2) On peut écrire :
n n
1 1 1
moyenne 
1 3
comme valeur approximative 1     ln(n  1)   d’où
2 ln(2) p2 p n 1 p 1 p

de cette ordonnée ce qui donne : 1


-1 + Wn +  ln(n+1)  Wn.
1 3 1 30 n 1
y2      2,5.
2 ln(2) 2 6 On a d’une part: ln(n+1)  Wn ;
 L’allure de C2 1
et d’autre part : -1 + Wn +  ln(n+1) d’où
n 1
1 1
Wn +  1+ ln(n+1); Or Wn  Wn + 
n 1 n 1
Wn  1 + ln(n+1) ;
Donc: p  ; ln(n+1)  Wn  1 + ln(n+1) (2)
3 D’après (2) et puisque lim ln(n  1)  
n 

 on en déduit que : lim Wn   .


n 
2
2.a) On a : 0  x  1  e0  ex  e1 d’où 1  ex 
1 1
2  1 + ex   ; D’autre part : 1  ex 
2 1 e x

1 1 1 e x
1+e 2e 
x x
   .
1 2 1  e x 2e x 1  ex 2
Exercice 2 e x 1 1
n
1 Donc  x [0 ; 1] ;   . (3)
1.a) Wp   ; On pose (x) = ; x > 0 ;  est
1 2 1 e x
2
p 1 p x b) Nous avons :
décroissante sur [p ; p+1] où p   .  1 1  nx 1 e n  e0 1  e  n
Donc  p   ; (p+1)  (t)  (p) en intégrant 0
 nx
e dx  e    =Vn
n  0 n n
1 p 1 p 1 1 p 1 e  (n 1)x e  nx e  nx
p  1 p p p p
on trouve : dt  (t)dt  dt On a :   en intégrant on
2 1  ex 2
1 1 1 1
d’où  p  ;  ln(p  1)  ln p  (1) obtient : Vn 1  U n  Vn 
p 1 p 2 2

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1 1 Wn 1 T Wn
c) De b) on a lim Vn 1  lim U n  lim Vn .   n 
2 n  n  2 n  ln(n) (e  1) ln(n) ln(n) ln(n)
n
1 e 
et puisque lim Vn  lim  0 on en déduit En utilisant (2) :  n  ;
n  n  n ln(n+1)  Wn  1 + ln(n+1) 
que lim U n  0 . D’autre part on a : ln(n +1) Wn 1 ln(n +1)
n     
1 1 ln(n) ln(n) ln(n) ln(n)
lim nVn 1  lim nU n  lim nVn ; et puisque ln(n +1) Wn 1 ln(n +1)
2 n  n  2 n  lim  lim  lim (  ).
lim nVn  lim (1  e n )  1 et n  ln(n) n  ln(n) n  ln(n) ln(n)
n  n 
Wn
n D’où lim = 1 ; d’après le théorème des
lim nVn 1  lim (1  e n 1 )  1 n  ln(n)
n  n  n  1

1 Gendarmes.
Alors lim nU n   n
1 1
n  2 c) On a Sn =  U p et Vn 1  U n  Vn ;d 'où
3.a) En remarquant que :  p > 0  p  1 p 1 2 2
e p 1 n 1 n
1 n
1
1  e  p on peut écrire : p > 0 ;  p 
2 p2
V  U p   Vp 
2 p 1
p p p 1

n
e p n  p n
1  n 1  1
  e ; Or  e  p est la somme des n   Tn 1 - V1   Sn  Tn ; 
p 1 p p 1 p 1 2  p2  2
premiers termes d’une suite géométrique de 1er 1 1
terme e-1 et de raison e-1. Tn 1  Sn  Tn , Or lim Tn  
2 2 x 
1 n
n
1 1  (e ) e 1 e  (n 1)
D’où :  e = e p
  On en déduit que lim Sn   
p 1 1  e1 1  e1 1  e1 x 

1 e (n 1) 1 Problème
  1

e 1 1 e e  1 Partie A
p P
n
e 1 1.a) Figure illustrant
Donc 0    . les données :
p 1 p e 1 Q Q’

1 e n n 2.a) Le triangle P’CB P’


b) On a : Vn = et Tn   Vp ; est directe rectangle
C
n p 1 A
n n
1 n
e p isocèle en P’ donc
Tn   Vp    
B
; d 'où    
p 1 p 1 p p 1 p (P 'C ; P 'B)   2
n p  2  R’
Tn = Wn - 
e
de la relation précédente 
P 'C  P 'B
p 1 p 
p ' b i R
et comme lim Wn   on en déduit que : e2 
n  p ' c
lim Tn  . b  ic
n  p ' b  i(p ' c)  (1  i)p '  b  ic  p '  .
D’après 3.a) En multipliant dans (3) par -1 on obtient : 1 i
n
e p De façon analogue en utilisant les triangles Q’AC
 
1
  0 ; d'où et R’BA on obtient :
e 1 p 1 p
c  ia a  ib
n
e p q'  et r '  
 Wn  
1
Wn   Wn  1 i 1 i
e 1 p 1 p
1
Wn   Tn  Wn 
e 1

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b  ic c  ia a  ib    
b) p' + q' + r'     (CB ; CP ')   2
1 i 1 i 1 i 1  4
rapport , on obtient : 
(1  i)(a  b  c)
  a  b  c. 2  CP '  1
1 i  CB 2
Le centre de gravité du triangle ABC a pour affixe  S1 (B)  P '.
abc
le nombre ,  De façon analogue en utilisant le triangle
3
AQ’Q direct rectangle isocèle en A on obtient :
Le centre de gravité du triangle P’Q’R’a pour 
 
 
affixe le nombre
p ' q ' r '
,  (AQ ' ; AQ)   2
4
3 
Puisque a + b + c = p’ + q’ + r’,  AQ  2
alors les triangles ABC et P’Q’R’ont même  AQ '
abc Donc le rapport de la similitude S2 de centre A
centre de gravité G d’affixe g = .
3 
transformant Q en Q’ est 2 et son angle est .
3) Le triangle CBP est direct rectangle isocèle en C 4
    
 
 
(CB ; CP)   2 

(AR ' ; AB)  4  2
pc i
donc :  2  e2 
CB  CP bc On a   S2 (R ')  B
 AB  2
p  c  i(b  c)  p  ib  (1  i)c.  AR '
 De façon analogue en utilisant les triangles 2.a) La composée ( = S1  S2 ) de deux
ACQ et BAR rectangles et isocèles similitudes est une similitude dont le rapport est le
respectivement en A et B on obtient : produit des deux rapports et d’angle la sommes
q = ic + (1-i)a ; r = ia +(1 – i)b. des deux angles.
Le centre de gravité du triangle PQR a pour affixe Comme le rapport issu des deux rapport est égal à
pqr 1 ; donc  est un déplacement, mais comme son
le nombre et on a :
3 
angle est , on en déduit qu’il s’agit d’une
p  q  r ib  (1  i)c  (1  i)a  ia  (1  i)b 2

3 3 
rotation d’angle .
abc 2
 .
3 S2 S1   
 
Donc les triangles ABC et PQR ont même centre b) On a : Q '  Q  A   Q '  A
R '  B  P '  R '  P '
de gravité G.

Partie B 
et comme  est une rotation d’angle , alors
1.a) Le triangle CQA estdirect rectangle isocèle en A 2
     P 'A  R 'Q '
(CQ ; CA)  4  2
  
 
D'où   (R 'Q ' ; P 'A)   2
 2
 CA  1
 CQ 2 c) En utilisant les affixes on a :
b  ic (1  i)a  b  ic
Donc la similitude directe S1 de centre C a
a  p' 1 i 1 i
  
Transforme Q en A, elle a pour angle et de q ' r ' c  ia a  ib c  ia  a  ib
4 
1 i 1 i 1 i

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a  p ' (1  i)a  b  ic (1  i)a  b  ic c) Etant donné :
   l’existence et l’unicité de A à partir des points
q ' r ' (1  i)a  ib  c i (1  i)a  b  ic 
P’ ; Q’ et R’ ;
 P 'A  R 'Q '  l’existence et l’unicité des points B et C à
a  p' 1 
   i      partir des points A ; P’ ; Q’ et R’,
q ' r ' i (R 'Q ' ; P 'A)  2  2 on en déduit l’existence et l’unicité du triangle
d) On peut en déduire les relations suivantes : ABC solution du problème à partir d’un triangle
P’Q’R’ donné.
R 'B  Q 'P '  Q 'C  P 'R '
    Partie C
  et    
(Q 'P ' ; R 'B)   2 (P 'R ' ;Q 'C)   2. 1) Figure illustrant les données et répondant à
 2  2 certaines questions.
3.a) Comme P’A = R’Q’ ; alors le point A P

appartient au cercle de centre P’ et de rayon R’Q’ C


   Q’
et comme (R 'Q ' ; P 'A)   2 , alors le point A Q
2
appartient a une demi-droite passant par P’ et P’
perpendiculaire à (R’Q’). G
L’intersection d’un cercle et une demi-droite dont
l’origine est le centre de ce cercle est unique d’où A
l’unicité du point A. B

P
R’

Q Q’ P’
C
R
2
2.a) On considère la rotation r(G ; ) où G est le
A 3
centre de gravité du triangle ABC.
B
ABC est équilatéral donc r(B) = C et r(C)= A.
2
Posons P’’= r(P’) ; la rotation r(G ;
)
3
R’ transforme le triangle BP’C direct isocèle
rectangle en P’ en un triangle CP’’A direct isocèle
rectangle en P’’.
R Puisque CQ’A est un triangle direct isocèle
rectangle en Q’, alors P’’ coïncide avec Q’ d’où
b) Pour construire les points B et C à partir des points r(P’) = Q’.
A ; P’ ; Q’ et R’ : De la même façon on démontre que r(Q’) = R’.
On remarque que le triangle AR’B est direct rectangle Q 'C  Q 'A
isocèle en R’ d’où B est l’image de A par la rotation de   
  et

centre R’ et d’angle -  . (Q 'C ; Q 'A)   2  2
2
Aussi le triangle ACQ’ est direct rectangle isocèle en R 'A  R 'B r
Q’ d’où C est l’image de A par la rotation de centre Q’   
  avec C  A  r(Q ')  R '

et d’angle +  (R 'A; R 'B)   2  2 AB
2

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b) Les deux triangles BPC et CQA sont b) Calcul de GP: D’après le théorème de la
isométriques de même sens avec r(B) = C et médiane et puisque P’ est le milieu de [BP] on a :
r(C) = A, alors r(P) = Q. BP 2
De même, les deux triangles CQA et ARB sont 2GP’2= GP2 + GB2 - 
2
isométriques de même sens avec r(C) = A et 2 2
r(A) = B, alors r(Q) = R.  3  3  2  3  2 2a 2
 a   
2
GP = 2   a +
c) On montre facilement que : r(R’) = P’et r(R) =P  6   3  2
donc :
2 2 4 3 2 4 3
r(G ; ) r(G ; ) GP2  a  GP  a P
3 3 3 3
P'  Q' PQ
Q'  R ' QR
R '  P' RP
Chacun des deux triangles P’Q’R’ et PQR est P’
2
globalement invariant par r(G ; ) G
3
dont le centre est leur centre de gravité ; donc ces
triangles sont équilatéraux.
3.a) Calcul de GP’ : Soit A’ le milieu de [BC] ; B
puisque P’B = P’C alors P’ et un point de la  Caractérisation de 2
médiatrice de [BC] donc les points G ; A’ ; P’ sont La similitude directe 2 de centre G transforme
alignés et A’[GP’] donc : (B ; C ; A) en (P ; Q ; R) ;
1 1 3 1 2
GP’ = GA’+A’P’ = AA’ +A’B =  a+ a
3 3 2 2 GG
3 1 3 3 B  P  le rapport de  2 est
GP’ = (  )a = ( )a.
6 2 6 CQ
 Caractérisation de 1
AR
La similitude 1 de centre G transforme
(B ; C ; A) en (P’ ; Q’ ; R’) ; 4 3 4 3
a a
1 GP 3 3
k2 =   d 'où
GG GB 2 3 1
GP'  a
B  P '  le rapport de 1 est k1 = 3 2 3
GB
C  Q' k2 = 4 + 3 
A  R'  
 L ' angle  de  est :  = (GB ; GP);
2 2 2
3+ 3   GB2 + GP 2 - BP 2
a cos(GB ; GP) = d ' où
3+ 3
k1 = 6   GB.GP
2 3 2 3 GB2 + GP 2 - BP 2
 a cos 2  donc
3 2 GB.GP
1 2 4 3 2
1+ 3 a  a  2a 2
k1 = 3 3
2 cos 2  
1 4 3
 L 'angle 1 de 1 est : a. a
3 3
    
1 = (GB ; GP') = (GB ; GA') = . cos 2 
1  3

3
4 3

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c) Aires des triangles PQR et P’Q’R’ en fonction On n’en déduit donc, que f est l’homothétie de
de celle du triangle ABC : 1  3
 Puisque la similitude directe 1 de rapport centre G et de rapport k '  .
2
1 3 On peut utiliser le schéma suivant pour déterminer
k1 = transforme le triangle ABC en
2 les images par f des points demandés :
P’Q’R’ ; alors : r  f
1 3 2 A  B  P' A  P'
Aire (P’Q’R’) = ( ) Aire (ABC) donc
2 B  C  Q' B  Q'
 Puisque la similitude directe 2 de rapport C  A  R' C  R'
k2 = 4  3 transforme le triangle ABC en 2
 1  3 
PQR ; alors : Aire (P’Q’R’) =    Aire(ABC)
 2 
Aire (PQR) = ( 4  3 )2 Aire (ABC)

= 2  3  Aire(ABC). 
D’où : Aire (PQR) = (4  3) Aire (ABC) On peut remarquer que :
4) f = 1  r; c’est la composée de deux similitude  Pour une autre raison ( P’ ; Q’ ; R’) est un
directe qui est une similitude directe. triangle équilatéral.
 1 et r ont même centre G donc c’est le centre  G ; A ; P’ sont alignés
de f.  G ; B ; Q’ sont alignés
 Rapport de f c’et celui de 1, donc il est égal à  G ; C; R’ sont alignés
1 3  (AB)  (P’Q’); (BC)  (Q’R’); (AC) 
. (P’R’) car les triangles ABC et P’Q’R’ sont
2
homothétiques.
 L’angle  de f est la somme des angles de 1 et
 2
r, donc  =   .
3 3

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Sujet 2003/ Séries : C et TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1) Z2 – (4cost)Z + 4 + 5sin2t = 0 où t [ 0 ; ]. 5(x  iy)  (x  iy)
x’ + iy’ = d’où
 = (4cost)2 – 4(4 + 5sin2t ) = 16cos2t – 16 – 20sin2t 4
2
= 16( cos t – 1) – 20sin2t = -36 sin2t = (6isint)2.  3
Les solutions de l’équation ( E) sont : x '  x
 2
4 cos t  6i sin t  y '  y
Z1   2 cos t  3i sin t.
2
4 cos t  6i sin t  2
Z2   2 cos t  3i sin t. x  x '
b) D’après 3.a) on a  3 en remplaçant dans
2
 y  y '
2.a) M1(x ; y) et M2 (x ; y) les affixes de Z1 et Z2 resp.
x  2cos t 2
( x ') 2
Alors  ; t  0 ;   y '2
 y  3sin t l’équation de  on trouve 3 2  2  1 , d’où
2 3
x x’ + y’ = 9 ’=C (O ; 3).
2 2
 2  cos t
 ; t  0 ;     Figure illustrant les données et répondant à
 y  sin t certaines questions.
 3 y

 x2 3
 2  cos t
2
M'
 x 2 y2 P
; t  0 ;     2  2  1
2 M
 2 2 M1
 y  sin 2 t 2 3
 32
1
Donc lorsque t décrit [ 0 ; ] le point M1 décrit
une branche 1 (d’ordonnées positives) de l’ellipse N
-3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
x 2 y2
 d’équation cartésienne : 2  2  1 .
2 3 -1
Comme Z2 = Z1 ; alors M2 est le symétrique de
-2 M
M1 par rapport à l’axe des abssisses, d’où M2 2

décrit l’autre branche 2 de l’éllipse . -3


b) Eléments
 
caractéristiques de  dans le repère :
(O ; u ; v) . c) On prend un point M’(x’ ; y’) du cercle ’.
Soient N et P ses projetés orthogonaux respectifs
x 2 y2
 Equations cartésienne : 2  2  1 sur les axes (Ox) et (Oy). On peut construire le
2 3 point M(x ; y) antécédent de M’(x’ ; y’) par
 Centre O(0 ; 0). l’application f par deux méthodes :
 Sommets:A(2 ; 0) ; A’(-2 ; 0) ; B(0 ; 3) ; B’(-3 ; 0), Méthode 1 :
 Axe focal : (Oy)  2
 Foyers : F(0 ; 5 ) ; F’(0 ; - 5 ) x  x '
Puisque  3 alors M(x ; y) est le point du
5 
y  y '
 Excentricité : e =
3 2
3.a) f est l’application définie par : segment [QM’] qui vérifie : QM  QM ' .
3
5Z  Z Méthode 2 :
f : ZM ' x;y)  Z 'M(x ';y ') telle que : Z ' 
4 Utilisation des deux cercles ’ et ’’ de centre O
A partir de l’expression de f on a : et de rayons respectifs 3 et 2.
Soient D la droite passant par P et orthogonale à

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       
(Oy) et D’ la droite passant par le point (KA ; KB)  (KA ; KC)  (KC ; KP)  (KP ; KB)  
d’intersection de ’’ et de [OM] et orthogonale à      
et on a : (KA ; KC)  (KA ; KM)  (KM ; KC)  
(Ox). Alors M(x ; y) est le point d’intersection des
1   1  
droites D et D’.  (KN ; KM)  (KM ; KP)  
2 2
 2
x  x ' 1  
 (KN ; KP)  
Puisque  3 alors M(x ; y) est le point du
2
 y  y '   1  
2 (KP ; KB)  (KP ; KN)   
segment [QM’] qui vérifie : QM  QM ' . 2
3   1     1  
(KA ; KB)  (KN; KP)  (KC ; KP)  (KP; KN)  
Exercice 2 2 2
   
1.a ) Figure illustrant les données d ' où (KA ; KB)  (KC ; KP)   (1)
A
De façon analogue on obtient les deux relations
 suivantes :
   
 (KA ; KC)  (KA ; KM)   (2)
   
M (KC ; KA)  (KB ; KN)   (3)
N      
b) On a : (KA ; BC)  (KA ; KB)  (KB ; BC)  
   
Comme (KA ; KB)  (KC ; KP)  et
  1    
C
K
B (KB ; BC)  (PK ; PC)  (KP ; PM)   ,
2
alors en sommant on obtient :
     
(KA ; KB)  (KB ; BC)  (KC ; PM)  
   
P Or, (KC ; PM)    ; alors
2
  
(KA ; BC)    (1')
2
c) On démontre de même façon que :
  
2. a) On a : r1 = S(KB ) S(KA) ; r2 = S(KP ) S(KC) ;  (KB ; CA)    (2')
2
et f = S(KB ) S(KA)  S(KC).   
Chacune des transformations r1 et r2 est un  (KC ; AB)    (3')
déplacement car c’est la composée de deux 2
antidéplacements. D’après (1’) ; (2’) et (3’) on en déduit que le point
r1 et r2 sont deux rotations de même centre K. K est l’orthocentre du triangle ABC .
b) r1(M) = S(KB )( S(KA) (M)) = S(KB )(N) = P; 4) 4 et 5 les deux cercles circonscrit aux
r2(M) = S(KP )( S(KC) (M)) = S(KP )(P) = P. triangles ABC et MNP. Pour montrer que les cinq
On Remarque que : cercles 1 ; 2 ; 3 ; 4 et 5 sont de même rayon ;
r1(M) = r2(M) d’une part et d’autre part r1 et r2 on note r le rayon des cercles 1 ; 2 ; 3 ; et r’
ont même centre K donc r1 = r2 . celui de 4. D’une part, parce que le point K
c) Comme r1 = r2 ; on obtient : appartient aux cercles 1 ; 2 ; 3 de même rayon r
S(KB ) S(KA) = S(KP ) S(KC) d’où et de centres respectifs M ; N et P ; alors : MK =
S(KB ) S(KA) S(KC) = S(KP) ; donc f est une NK= PK = r donc les points M ; N et P
réflexion d’axe (KP). appartiennent au même cercle de centre K et de
3.a) On remarque que les droites (KA) ; (KB) et rayon r autrement dit le cercle 5 circonscrit au triangle
(KC) sont les médiatrices respectives des segments MNP ; d’où les cercles 2 ; 3 ; 4 et 5 sont de même
[MN] ; [NP] et [PM] ; en plus on peut écrire : rayon r.

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D’autre part, utilisons les propriétés du rayon d’un  La courbe représentative de f admet une demi-
cercle circonscrit : asymptote horizontale d’équation y = 0 au
Dans le triangle BKC on a : BC = 2rsin BKC ˆ où r voisinage de -.
est le rayon du cercle 3 de centre P passant par  La courbe représentative de f admet au
B ; K et C. voisinage de +  une branche parabolique de
Dans le triangle ABC on a : BC = 2r’sin BAC ˆ où direction (Oy).
r’ est le rayon du cercle 4 circonscrit au triangle 3) Tableau de variations de f
ABC. x - +
Soit K’ le symétrique du point K orthocentre du f’(x) +
triangle ABC : par rapport à (BC), alors K’4 . +
ˆ = sin BK'C
ˆ et f (x)
Comme : sin BAC 0
ˆ
sin BK'C ˆ ; alors sin BAC
= sin BKC ˆ = sin BKC ˆ La fonction f est continue et strictement croissante
d’où r = r’ et par conséquent 4 et 3 sont de sur  et f(  ) = [0 ; +[ donc f réalise une
même rayon. bijection de  sur  .
Conclusion : Les cinq cercles 1 ; 2 ; 3 ; 4 et 5
sont de même rayon. 4) On a : f’(x) = (2 + sinx + cosx) e1 x ; d’où
f’’(x) = (-sinx + cosx) e1 x + (2 + sinx + cosx) e1 x
Problème f’’(x) = (2 + 2cosx) e1 x d’où
Partie A f’’(x) =2( 1 + cosx) e1 x ;  x 
Etude et représentation graphique de la fonction f1. 5.a) D’après (1);  x  ; e1 x  f(x)  3 e1 x
f est la fonction définie par : D’où C1 est située entre les courbes 1 et 2
f1(x) = f(x) = (2 +sinx) e1 x représentatives respectivement g et h définies par :
1.a) On peut écrire :  x  ; g(x) =3 e1 x ; h(x) = e1 x ; et comme
cosx + sinx = 2(
1
cos x 
1
sin x)  h(x)  f(x)  g(x) ; alors 1 est au dessus de 2 .
2 2 b) Pour déterminer les points de contact de ( C1 )
  avec 1 ; il suffit de résoudre l’équation :
cosx + sinx = 2(cos cos x  sin sin x) d’où
4 4 g(x) = f(x)  3 e1 x = (2 +sinx) e1 x  sinx = 1
 
cosx + sinx = 2(cos(x  )) x =  k2 ; k   d’où les point de contact de
4 2
b) f’(x) = (2 + sinx + cosx) e1 x Or d’après 1.a) on (C1 ) avec 1 sont de type :

  1  k 2 
en déduit que : f’(x) = ( 2 + 2(cos(x  ))e1 x . Mk(  k2 ; 3e 2 ) avec k  .
4 2
 Pour déterminer les points de contact de ( C1 )
On a :  x  ; ( 2 + 2(cos(x  ))  2 - 2
4 avec 2; il suffit de résoudre l’équation :
 f’(x) > 0 d’où f est strictement croissante. h(x) = f(x)  e1 x = (2 +sinx) e1 x  sinx = -1
2.a) On a : x  ; -1  sinx  1 1 2+ sinx  3 
x =   k2 ; k   ; d’où les points de contact
d’où : x  : e1 x  f(x)  3 e1 x (1) 2
b) Calcul de limites de (C1 ) avec 2 sont de type :
 comme lim e1 x  0 et selon (1) lim f (x)  0 

1  k 2 
x  x  Nk(   k2 ; e 2 ) avec k  .
1 x 2
 comme lim e   et selon(1) lim f (x)  
x  x 
 Nous savons que deux courbes sont tangentes
1 x
e f (x) en un point si elles admettent la même tangente
 comme lim   et selon (1) lim  
x  x x  x en ce point.
Interprétation géométrique : On a :  x  ; f’(x) = (2 + sinx + cosx) e1 x d’où

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 1  k 2  On utilise une deuxième intégration par parties
f’(   k2 ) = e 2 Puis : 1
 cos xe
1 x
2 pour calculer : dx en posant :
0
 x  ; g’(x) = 3 e1 x 
u(x)  cos x u '(x)   sin x


1  k 2    d’où
g’(   k2 ) = 3e 2  v '(x)  e1 x
 v(x)  e1 x
2 1 1
  sin xe
1
  cos xe1 x dx = cos xe1 x   1 x
dx (3) On
Puisque f’(   k2 ) = h’(   k2 ), alors les 0 0 0
2 2 remplace dans (2) on trouve :
deux tangentes ont le même coefficient directeur 1

1 1 1
et passent par le même point 0
(sin x) e1 x dx = (sin x.)e1 x   (cos x)e1 x   sin xe1 x dx
0 0 0

 1  k 2  1
D’où 2  (sin x) e1 x dx = (sin x.)e1 x   (cos x)e1 x 
1 1
Nk(   k2 ; e 2 ) donc les deux
2 0 0 0

tangentes sont confondues , d’où les courbes ( C1 ) 1 1



1
(sin x) e1 x dx = (sin x.)e1 x  (cos x)e1 x 
et 2 sont tangentes en leur point de contact. 0 2 0
1
 (sin x) e
De façon analogue on démontre que les courbes 1 x 1
dx = (sin 1  cos1)e 2  (sin 0  cos 0)e1 
( C1) et 1 sont tangentes en leur point de contact. 0 2 
1 1
6) Courbes représentatives demandées
 (sin x) e
1 x
dx = (sin1  cos1)e2  e 
y 0 2 
7
C1 On remplace dans (1) on trouve :
1 1
6 A =  2e1 x   (sin1  cos1)e2  e  
0 2
5 1
A = 2e2  2e  (sin1  cos1)e 2  e  d’où
4 2
1
3 A = (4  sin1  cos1)e2  3e 
2
2 Partie B
Calcul d’une intégrale
1 1 1
1) On a : An =  f n (x)dx   (2  sin nx)e1 nx dx
0 0
-9 -8 -7 -6 -5 -4 -3 -2 -1 0 1 x 2 2 1
An = e1 n  e   sin nxe1 nx dx
7) Calcul d’aire : n n 0
1
Soit A l’aire du domaine plan limité par la courbe 2.a) In =  (sin nx)e1 nx dx et Jn =  (cos nx)e1 nx dx
1

0
( C1), l’axe des abscisses et les droites d’équations 0
On utilise une intégration par parties :
respectives x = 0 et x = 1.
1  Pour In ; on pose
Alors : A =  f (x)dx u.a u '(x)  n cos nx
0
u(x)  sin nx 
1 1
1 x
1
A =  (2  sin x)e dx   2e dx   (sin x) e dx
1 x 1 x  
  1 1 nx 
 v '(x)  e
1 nx
 v(x)  e

0 0 0
1
n
A =  2e1 x  0   (sin x) e1 x dx (1)
1

0
En remplaçant par l’expression de In , on trouve
1
On utilise une intégration par parties pour calculer 1  1
In =  sin nxe1 x    cos nxe1 nx
n 0 0
1
 (sin x) e
1 x
dx :
0
En remplaçant on obtient la relation :
u(x)  sin x u '(x)  cos x sin n 1 n
On pose :  1 x
 1 x
d’où In = e  J n (1)
 v '(x)  e v(x)  e n
1  Pour Jn ; on pose :
0 (sin x) e dx = (sin x.)e 0  0 e cos xdx (2)
1 1
1 x 1 x 1 x

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u '(x)  n sin nx 2 1 n 2 1 1
e  e  (sin n  cos n)e1 n  e 
u(x)  cos nx  An =
  1  n n 2n
 v '(x)  e
1 nx
 v(x)  e1 nx
 n 1 1
cos n 1 n e An =  (2)e1 nx dx   (sin nx)e1 nx dx 
Jn = e   In (2) 0 0
n n 1
 2e 1 nx
 1
  0 (sin nx)e dx
1 nx
b) De a) on obtient le système : An = 
 sin n 1 n  n 0
In  J n  n e (1) 2 2 1
 d’où An = e1 n  e1   (sin nx)e1 nx dx
n n 0
I  J  cos n e1 n  e (2)
 n n
n n An =
1
(sin n  cos n)e1 n  4e1 n  4e  e  d’où
1 2n
(1 - 2)  In  (sin n  cos n)e1 n  e  1
2n An = (4  sin n  cos n)e1 n  3e 
1 2n
(1 + 2)  J n  (sin n  cos n)e1 n  e  b) Calcul de A1 :
2n  D’après le résultat précédent :
3. a) D’après B. 1) on a : 1
2 2 1 A1 = (4  sin1  cos1)e 2  3e  et c’est le même
An = e1 n  e1   (sin nx)e1 nx dx  2
n n 0
résultat trouvé en A-7.
2 2
An = e1 n  e1  I n
n n

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Sujet 2002 /Séries : C & TMGM / Session normale
Exercice 1
1) BED et CHF sont équilatéraux car leur côtés De plus f(G) = S1 S2 (G) = S1(G) = G et
sont des diagonales du carré.
f(A) = S1 S2 (A) = S1(A) = A
2) Les points I et J sont les centres de gravités
respectifs des triangles BED et CHF. On n’en déduit que f est une rotation d’axe (AG).
 
a) Le point I est le centre de gravité du triangle b) Calculons : AG . BE.
   
BED d’où : AB + AE  AD  3AI Or         
AG . BE  AG ( BA + AE) = AG.BA  AG.AE
         
     1  AG . BE  (AB  BC  CG)BA  (AB  BC  CG)AE
AE = CG et AD = BC donc AI  AG.
3  AB2  AE 2  0
Car AB = AE nous en déduisons que (AG)  (BE).
J est le centre de gravité du triangle CHF d’où :
    Donc la droite (AG) est perpendiculaire au plan
GC + GH  GF  3GJ Or (BED) car elle est perpendiculaire à deux droites
     1  sécantes de ce plan.
GH = CD et GF = DA donc GJ  GA.
3
D’autre part, (BED) et (CHF) sont parallèles car :
b) Nous avons que :
(BE) // (CF)
 « Deux droites sécantes de l’un
 1   1   1  (BD) // (FH)
AI = AG et GJ = GA d'où JI = GA
3
  
3 3 sont parallèles à deux droites sécantes de l’autre. »
Donc AI = IJ = JG .D 'autre part :
      c) Cmme f est une rotation d’axe (AG)
OI + OJ = (OA + AI) + (OG + GJ)
1  1  1  1  perpendiculaire aux deux plans (BED) et (CHF)
= (- AG  AG)  ( AG  AG)
2 3 2 3 donc ces deux plans sont globalement invariant par f.
  
d 'où OI + OJ = 0  O est le milieu de  IJ .
d) Les plans (BED) et (CHF) étant parallèles et
3.a) On a f = S1 S2 d’axes séquents ( non invariants par f on en déduit que f est une rotation
confondus) donc c’est une rotation .
d’axe (AG) et d’angle .

Exercice 2 M
1.a) Figure illustrant les données
et répondant à certaines questions :
G
I
C

N’

R N
B
A D

M’

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   
b) ABCD est un carré ( car c’est un losange ayant c) On a : (ID ; IB) = (GD ; GB)   
un angle droit). I  aucerclecirconscrità(BDG).
   
D’où r est la rotation de centre G car : (ID ; IC) = (AD ; AC) 
GA  GD I  aucerclecirconscrità(ACD).
  
 
 (GA ; GD)   2 Donc I appartient à l'intersection des
 2 cercles circonscrit respectivement à
2. a) S est la similitude directe transformant M en (BDG) et à (ACD).
   
R et N en S. Nous avons (ID ; IC) = (AD ; AC)
Les quadrilatères M’GMR et N’GNS étant des 
=
carrés nous en déduisons que S est la similitude de 2
 Donc (ACID) est un rectangle.
centre G ; de rapport 2 et d'angle
4
4) f est une homothétie de rapport 2 car son
b) Noous savons que (MN) passe par un point
rapport est celui du produit du rapport de S par
fixe qui est C car M et N appartiennenet à  et
celui de S’
MNG rectangle en G. (c'est - à - dire ( 2  2  2)).
De plus , on a S(MN) = (RS) donc (RS) passe par En plus on a f(D) = S(B) =D donc le centre de f
un point fixe qui est le point S(C) , Or S( C) = A est D.
car le triangle (GCA) est rectangle isocèle en C,
Problème
Donc (RS) passe par C. 1. Etude de la continuité et de la dérivabilité à
D  B droite de 0.

3. a) On a : S' B  C ;alors le rapport de S est :  lim f (x)  lim
1
 0  f (0) 
I  I x 0 x 0 ln x

f est continue à droite de 0.
BC
k=  2 ; son angle a une mesure 1
BD 0
    f (x)  f (0) ln x
  lim  lim  lim
 = (DB ; BC) = (BA ; BC) = - . x 0 x 0 x x 0 x
4
  1
   lim   
(ID ; IB) = - 4  2
x  0 x ln x

b) On a :   f n'est dérivable à droite de 0.


 
(GD ; GB) = -   2 Limite aux bornes de Df
 4
     lim f (x) )   car lim ln x  0 
(ID ; IB) = (GD ; GB)   ; x 1 x 1

    lim f (x)   car lim ln x  0 


Comme (ID ; IB) = -  2  x 1 x 1

4 lim f (x)  0 car lim ln x  .


      x  x 
(ID ; IC) = (ID ; IB) + (IB ; IC)
   
= - ;Or (AD ; AC) = 2 . Dérivée et sens de variation de f
2 2 1
    
Donc (ID ; IC) = (AD ; AC)  . x  1
f '(x)  2
 0.
(ln x) x(ln x)2

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2) Tableau de variations  1
x 0 1 + 1 1  x = en
x'
D’où n y '  ; Onpose :  
f ’ (x) - - e x' y = 1
ln( n ) y'
0 + e  en
f (x)
- 0 
 x' = e x
n

 ;

n
3) Il s’agit de calculer f’’(x) et d’étudier son  y' = e y
signe: Donc Mn(x’ ;y’)Cn est l’image du point M(x ; y)
 C0 par l’homothétie hn de centre O et de rapport en.
 1  (2  ln x) ln x
f ''(x)    2 ' 
 x(ln x)  x 2 (ln x) 4 2) Tableau de variations de fn
Tableau de signe Etant donné la propriété de l’homothétie, nous en
déduisons le tabeau de variations de fn comme
1 suit :
x 0 1 +
e2 x 0 en +
2 + lnx - 0 + + f ’ (x) - -
Lnx - - + 0 +
f (x)
f’’(x) + 0 - + - 0
1
Le point d'abscisse 2 est un point d'inflexion de C0 .
e en+1 en
3) On a : f n+1 (x) =  e1  
4) Construction de C0 -n + lnx -n + lnx
f n+1 (x) = e1  f n (x)  C n 1  h (O;e) (Cn ).

4.a) On pose : fn+1(x) = fn(x) 


e n+1 en
  e(-n + lnx)
-n -1 + lnx -n + lnx
 -n -1 + lnx 
(e  1) ln x  n(e  1)  1 
1
1 n
ln x  n   x  e e-1 .
e -1
en
d 'où y n =  e n (e  1) 
1
-n + n -
e -1
1
n
Mn ( e e-1
; e n (e  1) )  Cn  Cn 1
1
Partie B n
b) Comme M n ( e e -1
; e n (e  1) ) on a :
en en
1) Soit Mn(x’ ;y’)Cn d’où y’ =  1 1
n  ln x ' x' n
ln n xn  e e -1
 e n  x n e e -1 ;
e 1
Donc y n  (1  e)e e -1 x n
On en déduit que M n appartient à la droite fixe
1
d'équation : y = (1  e)e e -1 x ; elle passe par O.

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c) Allure de Cn+1 et Cn

Partie C
1) Soit u(x) = ex-1- x ; on a u’(x) = ex-1- 1 ; d’où le
tableau variations de u(x) :
x 1 +
Le tableau suivant donne la position relative de u ’ (x) +
Cn+1 et Cn +
n n+1 + u (x)
x 0 xn e e 0
Position de
Cn et Cn+1 Cn / Cn+1 Cn +1/ Cn Cn / Cn+1 Cn +1/ Cn On en déduit donc que : pour x  1 ; ex-1 x .
D’autre part la fonction f définit au départ est
e
5) On a : g(x) =  e  f 0 (x) d’où continue sur [x ; ex-1] d’où l’existance de F(x)
-1 + lnx pour x  1.
 = h(O ;e)(C0) (c’est à-dire que  est l’image de 2.a) Pour x > 1 on a : x  t  ex-1
C0 par l’homothétie de centre O et de rapport e).
1 1 1
e lnx  lnt  x - 1   
 e  f 0 (x) x -1 lnt lnx
-1 + lnx e x 1 1 e x 1 1 ex 1 1
On en déduit donc la construction de  à partir de  dt   dt   dt 
celle de C0 facilement.
x x -1 x lnt x lnx
1 e x 1 1 e x 1
 t x  F(x)   t x 
x 1 lnx
x 1 x 1
e x e x
 F(x)  *
x 1 lnx
b) On pose p(x) = ex 1  x d 'où p est dérivable
sur et on a : p'(x) =e x 1  1.

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e x 1  x p(x)  p(1) Il en résulte que lma courbe de G admet une
 lim  lim  p '(1)  0 branche parabolique de direction (Oy).
x 1 x  1 x 1 x 1
c) Tableau de variations
De même
x 2 +
e x 1  x p(x)  p(1) x  1 G’ (x)
 lim  lim  +
x 1 ln x x 1 x 1 ln x +
1 G (x)
 p '(1)   0. G(2)
ln'1
Avec G(2)  e -2.
Donc lim F(x)  0  F(1);d 'où la continuité de F en x = 1.
x 1 Représentation graphique de G
3) Calcul de G’(x) et G’’(x) sur [2 ; +[.
Soient F et G deux primitives de f sur [2 ; +[
ex 1
donc on a :G(x) =  F(t)x = F(ex-1) - F(x) d’où
G’(x) = ex-1f(ex-1) - f(x) ;
e x 1 1
Donc G’(x) =  et
x  1 ln x
1

e x 1 (x  1)  e x 1 x 
G’’(x) = 
(x  1) 2
(ln x) 2
1
e x 1 (x  2)
G’’(x) =  x 2  0 ;car x  2.
(x  1) 2
(ln x)
Variations de G’
x 2 +
G’’ (x) +
+
G’ (x)
(e – 1) / ln2
Or G’(2) = (e – 1) / ln2 d’après (*) donc  x 2 ;
G’(x) > 0.
e x 1  x
b) D'après *  G(x) et d'autre part
x 1
1 x
x 1 -
e x ex
e ex
lim  lim    , donc
x  x  1 x  x 1
1-
x
e x 1  x G(x)
lim G(x)  . De même  et
x  x(x  1) x
1 x
x 1 -
e x e x
e ex
lim  lim 2   , d ' où
x  x(x  1) x  x 1
1-
x
G(x)
lim  .
x  x

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Sujet 2002 /Séries : C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1) Résolution de l’équation : Z2 –(8cos)Z +16 -7sin2 = 0 3
 =(8cos)2 – 4(16 -7sin2) = -36 sin2 2 4(y ' )
4x' 2 1
= (i6sin)2 d'équation 
16 9
Z1  4cos   i3sin  3
d 'où  (y ' )
Z2  4cos   i3sin 
2
x' 2  1.

4 9
2.a) M1 et M2 les affixes respectives de Z1 et Z2. 4
Donc ’ est l’ellipse d’éléments caractéristiques :
On a M(x ; y) signifie que : 3  
x  4cos  x  4cos   centre O’(0 ; ), dans le repère (O; u ; v)
 ou  2
 y  3sin   y  3sin   sommets : S1(2 ; 0) ; S2(-2 ; 0) ; S3(0 ; 0) ;
Dans les deux cas on en déduit que : S4(0 ; 3).
2 2
x y 7
  1 et c'est bien l'équation cartésiènne de .  excentricité e =
16 9 4
b)  est une ellipse d’éléments caractéristiques :
  c 7
 centre O, origine du repère (O; u ; v) (car e = et c= a 2  b 2  );
a 2
 sommets : S1(4 ; 0) ; S2(-4 ; 0) ; S3(0 ; 3) ; 7 7
S4(0 ; -3) ;  foyers : F1( ;0 ) ; F2(- ; 0) .
2 2
7
 excentricité e =
4 3
c 2 (y ' )
et c= a 2  b2  7 ) ; x' 2 1
(car e = b) Comme l’équation de ’ est 
a 4 9
 foyers : F1( 7 ;0 ) ; F2(- 7 ; 0) . 4
Il en résulte que cette formule est équivalente à :
3.a) A(0 ; 1) et M un point de  ; G barycentre du 9x’ +16y’ - 48y = 0 et c’est l’équation
2 2

système (A ; -3) ; (M ; 1). cartésienne de ’.


    1  3y
Ona : 3GA + GM  0  AG = - AM  G2 M1
2
2
G  h 1 (M). O'
(A ; )
2
1 A
Exprimons cette homothétie analytiquement : G1
Soit G(x’ ; y’) ; M(x ; y).
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 x
 1
 x '   2 x -1
Gh 1 (M)   
(A ;
2
) 1
y '   y  3 -2
 2 2
M2
x  2x ' -3

 3
 y  2y ' 3  2(y ' 2 )
D’où h 1 ()   '
(A ; )
2

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Exercice 2 3.a) Soit  le centre de S. On a S( C) = I d’où
1.a) Figure illustrant les données et répondant à      
certaines questions : (  C ; I) = -  2   ; Or (AC ; AI)  - 2
6     6
C
C’ c'est à dire que : (C ; I) = (AC ; AI) 2.

Donc les points  ; I ; C et A sont cocycliques.
B’
I Puis nous avons : S(O) = A d’où
     
O (O ; A) = -  2; Or (B'O ; B'A)  - 2
6    6
B
c'est à dire que : (O ; A) = (B'O ; B'A) 2.
Donc les points  ; A ; O et B’ sont cocycliques.
A b)  est le deuxième point d’intersection des deux
A’ cercles circonscrits respectivement aux triangles
1
b) Nous avons que : CI = CO = OI = AB ce qui AIC et AOB’.
2
signifie que le triangle IOC est équilatéral. 4.a) On a AB’ est un triangle rectangle en  ; le
Puis on a f(C)= tr(C)= t(B’) = O d’où f(C)= O. triangle ACB’ est équilatéral d’où  est le milieu
 de [CB'], on en déduit que :
c) f est une rotation d’angle car elle est la
3 1
 O = AB'  IC  OI  C ;
composée de la rotation r d’angle suivie de la 2
3
D’où OIC est un losange.
translation t. De plus f( C)= O ; f( A)= A’ et
f( B)= C’ donc le centre de f est le point I ; b) Programme de construction : il suffit de savoir
f( A) = A’ et f est une rotation de centre I et que la grande diagonale du losange OIC est le

d’angle donc le triangle IAA’ est équilatéral. côté du losange suivant (son image par S) ce qui
3
2) S la similitude directe telle que : S(O)= A et nous permet de construire un losange constitué de
S( C) = I. deux traingles équilatéraux et ainsi de suite…
On a ICO est équilatéral, de plus S transforme un 
triangle équilatéral en un triangle équilatéral d’où c) S6 est la similitude d'angle 6  ( )  
6
S(I) = A’ car S(OCI) = AIA’.
 3
6
   De rapport  27 et de centre  donc elle
L’angle de S est :   (OC ; AI)  - (2) ;
6 devienne l’homothétie h( ; -27).
3
AC
AI
son rapport est k est égal à  2  3
OC 1
AC
2

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C
C’

B’ I

O
B

A
A’

A’’

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Problème II. Etude des tangente à une courbe
I. Etude d’une fonction auxiliaire 1.a) g est la fonction définie par :
x g(0)  0
1.) f(x) = . 

1  x  x2 g(x)   1
 Df =  ; 
 g(x)  (x  1)e x
; x > 0.
 Limites aux bornes de Df g est le produit (plus la composée) de fonctions
lim f (x)  0  y = 0 est une AH. dérivables sur ]0 ; +[ donc elle est dérivable sur
x 

 Dérivée de f cet intervalle et par conséquent elle admet une


tangente en tout point de cet intervalle (x> 0).
x 2  1 (1  x)(1  x)
f(x)' =  En particulier, étudions sa tangente en O
(1  x  x )
2 2
(1  x  x 2 )2
 Tableau de variation (abscisse x = 0).
1
x - -1 1 + g(x)  g(0) 1
Ona : lim  lim (1  )e x
f ’ (x) - 0 + 0 - x 0 x0 x 0 x
1 1
1 1 x
0  lim (e  e )  0.
x
f (x) 3 x 0 x
-1 0 Donc g d (0)  0 , d’où  admet l’axe des abscisses
'

 Représentation graphique de C comme demi tangente.


y  Limites aux bornes de Dg
1
1
lim g(x)  lim (x  1)e x  
x  x 

-3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 x  Dérivée et sens de variation de g


'
-1  1

g'(x) =  (x  1)e x  ; après calcul et
2) Discussion graphique des nombre de solutions  
de l’équation : mx2 +(m-1)x + m = 0. simplification elle donne :
Cette équation est équivalente à f(x) = m
x2  x  1  x
1 1
1 1 x
autrement dit l’intersection de la courbe C avec la g '(x)  e   e .
droit d’équation y = m. D’après le graphique on a : x x f (x)
 Si m]- ; -1[, alors l’équation f(x) = m 
1

n’admet pas de solution ;  x  0 ; g’(x)  0, car f(x)  0 et e x


> 0.
 Si m= -1, alors l’équation f(x) = m admet x= -1 b) Tableau de variations
comme solution ; x 0 +
 Si m]-1 ; 0[, alors l’équation f(x) =m admet f ’ (x) 0 +
eux solutions négatives de  ; +
f (x)
 Si m = 0, alors l’équation f(x) = m admet x= 0 0
comme solution ;
1 2.a) On détermine d’abord les équations des deux
 Si m]0 ; [, alors l’équation f(x) = m admet tangentes : Ta et T1 ( a > 0 et a  1)
3 a
deux solutions positives de  ; Ta : y = g(a)’ (x- a) + g(a)  Ta coupe (Ox) au point
1
 Si m = , alors l’équation f(x) = m admet x= 1 d’abscisse x0 = -
g(a)
 a d'où
3 g'(a)
comme solution. -
1
a
1 (a + 1)e
a 
a
 f (a).
 Si m] ; + [, alors l’équation f(x) = m x0 = -
2 1 2
3 a +a +1 - a a + a +1
e
n’admet pas de solution sur  . a2

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1 1 1 2 3 1
T1 : y = g’( ) (x- ) + g( )  T1 coupe g(1) = c’est –à- dire que : T1 : y = x - .
a
a a a a
e e e
1 1
g( ) T1 coupe (Ox) au point d’abscisse .
1 3
(Ox) au point d’abscisse x1 = - a  d'où 3.a) h la fonction définie par : h(t) = 1 – (1+ t)e-t
1 a
g'( ) On a h’(t) = te-t ; t  0  0  e-t  1*
a
0  te-t  t  0  h’(t)  t.
1 -a a 1
( + 1)e En intégrant cette double inégalité membre à
1 1
x1 = - a   2 a  t2
1 1 a a + a +1 a membre on trouve : 0  h(t)  .
2
+ +1 2
a a e-a 1

1 b) x > 0 ; x - g(x) = x - (x + 1 )e x
a2
Nous savon que : t > 0 ; h(t) = 1 - (1 + t )e  t
a
 2  f (a). 1 1 1 x
1
a + a +1 en posant : t  on trouve h( )  1 - (1 + )e
Donc, Ta et T1 coupent ( Ox) au point d’abscisse x x x
1
a 1 

a d 'où xh( )  x  (x  1)e x


 x  g(x) Or
f(a) = 2 . x
a + a +1 t2
1 0  h(t)  c'est - à dire
b) D’après le le T.V de f on a : 0  f(a)  2
3 1 1
(a > 0), Or toute les tangentes Ta et T1 coupent  0  h( )  2 en multipliant par x on trouve :
a
x 2x
1 1 1
au point d’abscisse f(a) tel que: f(a) = 2
a
. 0  xh( )  , d'où 0  x - g(x)  .
a + a +1 x 2x 2x
Donc toute les tangentes à  coupent le segment Ce résultat veut dire que la droite d’équation
[OB]. y = x est une asymptôte oblique pour la courbe de
c) On a vu que les deux tangentes Ta et T1
a
g, elle est positionnée en dessus de cette courbe.
coupent [OB] en un même point d’abscisse 4) Représentation graphique de  et ses tangentes
a
f(a) = 2 . d’autre part l’équation f(x) = m
a + a +1
1
avec m]0 ; [ admet deux solutions distinctes,
3
alors par chaque point A(m ; 0) du segment [OB]
privé de O, passent deux tangentes distinctes à .
1 1
1 1 x x  1  x
d) On a : g '(x)   e  g ''(x)  e
x f (x) x4
x  1  x
1
g ''(x)  e Donc g’’(x) s’annule en
x4
changeant de signe au point d’abscisse 1 ce qui
démontre que c’est un point d’inflexion.
Soit T1 la tangente en ce point d’abscisse 1.
3
T1 : y = g’(1)(x – 1) + g(1) ; Or g(1)’ = et
e

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III. Etude d’une suite  1
u(x) 
1)  x   0 ; 1 : x n 1  x n d 'où 2.a) On pose :  1  x  x2 
 v '(x)  x n
x n 1 xn 
 ;  U n+1  U n  1 1 1 n 1
3(n  1) n  1 0
1  x  x2 1  x  x2 Donc U n =  x (x)dx.
(U n ) est décroissante.
1  2x
 x   0 ; 1 : 0 
1
 1 d 'où b) On a : (x)  , elle a pour dérivée
1  x  x2 (1  x  x 2 ) 2
xn 6x(1  x)
0  xn ;  '(x)  .
1 x  x 2 (1  x  x 2 )3
En int égrant membre à membre D’où  est décroissante sur [0 ; 1] ; Or
(0)  (x)  (1).
1 xn 1
0 dx   x n dx 1
0 1 x  x 2 0 Donc,  (x)  1 ;  x [0 ; 1].
3
1
 n   ; 0  U n   1
3) On a  x [0 ; 1] ;  (x)  1 en multipliant
n 1 3
lim U n  0. par xn+1 et en intégrant on trouve :
n 
1 1 1
 x n  2    x n 1(x)dx 
1 1
 x n  2 
3(n  2) 0 0 (n  2) 0

1 1
En multipliant par et en ajoutant
(n  1) 3(n  1)
On trouve :

1 1 1 1 1 1 1
+  +
3(n +1) 3(n +1)(n + 2) 3(n +1) (n +1) 0  x n+1(x)dx  +
3(n +1) (n +1)(n + 2)
1 1 1 1
d 'où +  Un  +
3(n +1) 3(n +1)(n + 2) 3(n +1) (n +1)(n + 2)
n +3 n +5 n(n + 3) n(n + 5)
donc  Un    nU n  .
3(n +1)(n + 2) 3(n +1)(n + 2) 3(n +1)(n + 2) 3(n +1)(n + 2)
1
On en déduit que : lim nU n  , selon les règles de calcul de limite et le théorème des Gendarmes.
n  3

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Sujet 2001 /Séries : Séries C & TMGM / Session normale
Exercice 1
 
1) Etant donné l’expression complexe donnant f :  A ; M  (2)

  
 
Z’ = (1 - icos)Z - cos avec    0 ;  . 
M  1  (cos ) A
2
 2
Qui est de la forme Z’ = aZ + b tels que :      
Or    ; 0  et (A ; AM) = (2).
a = 1 –icos et b= -cos.  4  2
Alors f est une similitude directe d’éléments
On en déduit que M trace le segment [AA1] privé
caractéristiques :
de ses extrêmités de même longueur que
 Rapport :   1  i cos   1  cos 2 
 
 Centre :  C'est l'image du point invariant par f θ ,  A  lorsque  varie dans  0 ; 2  .
 
b -cos
il est donné par : = = i; Le triangle  AA1 sera alors isocèle en A1.
1- a icos
D’où 1 = [A A1] \ A ; A1.
2.a) Les points  ; M et M’ ont pour affixes b   : M / f  (M)  A 
 
respectivesment : i Z et Z’on a donc :
Z M  Z Zi Zi  
 M ; A  (2)    
avec     ; 0 
  
ZM  ZM ' i cos Z  cos  i(Z  i) cos  A  1  (cos ) 2 M  4 
  
 
1 1
  i et M ; MA = (2).
i cos  cos  2
  

On endéduit que MM ' ; M   ; d 'où  2
On en déduit que M trace l’arc AA2 du cercle de
le triangle MM 'est rec tan gle en M et diamètre [A ] privé de ses extrêmités.
de sens indirect. 4) Dans le cas ou A(1 ; 1) on aura A1(1 ; 0) et
b) f  étant une similitude transformant M en M', alors 1 3
A 2 ( ; ).
M '   2 2
= a  1  (cos 2 )  2;   0;  ; La figure ci-dessous illustre les données et les
M  2
constructions demandées.
M 1
d 'où  , D 'autre part le triangle
M ' 2
MM 'est rec tan gle en M donc 3/2 A2
M 1 1
cos = = > .
M ' 1 + (cos) 2 2
 A
   
On en déduit que :     ;  .et puisque
 4 4 
  
MM ' est indirect alors     ; 0  .
 4 
3. ) A est un point fixé du plan différents de . A1
 : M / f  (A)  M et tel que :  var ie dans O 1/2 1

  
 0 ; 2  .M   f  (A)  M 
 

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Exercice 2 (E) étant l’ensemble des points M du plan qui
1.a) Figure illustrant les données vérifient la relation MC + MB = 2a on en déduit
que : OB + OC = 2a. Or d’après la figure
KC= OB et KB = OC d’où KC + KB = 2a , donc
K (E).D’autre part nous savons que le triangle
ˆ
DPB est isocèle rectangle en P donc l’angle PBD
C
K (E) 
mesure radian . On en déduit donc que le
D
4
triangle OPB est également isocèle rectangle en O
donc OP = OB, d’où : CP = CO + OP = CO + OB = 2a.
J
b) Les deux sommets de l’ellipse sont
O
L l’intersection de (E) avec le grand axe (BC) et
(E’) (E) ; c’est aussi l’intersection de (BC) avec le
P  cercle C 1(J ; r) où r = 0,5CP = a ; les deux
sommets sont l’intersection
 I de (E) avec son petit axe (médiatrice de BC) ou \
et par rapport à J (centre de l’ellipse).
4.a) Nous savons que chacune des isométries r1 ;
r2 ; S ; g transforme une ellipse en une ellipse
b) D’après 1 : AB = AD = DB on en déduit que : isométrique ; il suffit donc de déterminer les

  

 
 DB ; DA   (2)
 3  r1 (B)  D; ccccccc
images des deux foyers par chacune de ces
isométries. D’après 1.b) et 2.a) r1(B) = A et
DB  DA r1(C) = B ; r2(B) = B et r2(C) = A ; S1(B) = B et
S1(C) = A. g(B) = A et g(C) = B. On constate que
   
et comme 
 
 DC ; DB = - (2)
3 alors, r1 (C)  B ;
les quatre isométries transforment le segment
[BC] en [BA] ; il s’ensuit que les quatre courbes
DC  DB
E1 ; E2 ; E3 et E4 se confondent à l’ellipse (E’) de
sachant que r2 (B)  B. r2 (C)  A ; S 1(C)  A. foyers A ; B passant par O.
2.a) g(B)  r1  S2 (B)  r1 (B)  A ; Calculons l’image de K par chacune des
transformations r1 ; r2 ; S1 et g.
g(C)  r1  S2 (C)  r1 (C)  B. r1(K)= K1= O ; r2(K)= K2= L’ ; S1(K)= K3= L ;
b) g est le composé d’un déplacement et un g(K)= r1 S1(K) = r1(L)= O. avec L’ = S[AB](L) .
antidéplacement donc c’est un antidéplacement et Nous constantans en fin que les quatre points
parce que les segments [BA] et [CB] n’ont pas la appartiennent à ( E’).
même médiatrice alors g est une symétrie glissée. Problème
Ecrivons g sous sa forme réduite : Partie A
g(B)  r1  S2 (B)  r1 (B)  A ; 1)  x   ; gm(x) = x2 +2x -2m ;où m est un
g(C)  r1  S2 (C)  r1 (C)  B. paramètre réel non nul.gm(x) = x2 +2x -2m = 0 ;
on a : ’ = 1 + 2m
g  r1  S2  SDB  SDJ  SBC 1
  '  0  m   ; l'équation n 'admet
 SDB  SKJ  SIJ  t CO
  S .
IJ
2
 pas de solution;
Levecteur CO est un vecteur directeur de l'axe 1
  '  0  m   ;l'équation admet
(IJ) on en déduit que g est le gliseur de vecteur 2
 une solution double ;
CO , d'axe (IJ). 1
  '  0  m   ;l'équation admet
3.a) (E) est une ellipse de foyers C et B passant 2
par le point O. son plus grand axe mesure 2a. deux solutions différentes
x' et x'' avec x' < x''.

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2) D 'après 1) x '  1  1  2m ; 2.a) m > 0 ;I(x0 ; y0) Cm m > 0, fm ( x0) = y0
x '' =  1  1  2m , donc pour x 2
 m > 0 , x0+ mln 0  y0 
m < 0  2m < 0  2m  1  1  x0

 1  1  2m  0 et  1  1  2m  2 x0  2
 m > 0 , x0+ mln  y0  0 
x0
d'où - 2< x' < x''.
m > 0  2m > 0  2m  1  1   x0  2  x0  2
ln 0  1
 x0   x0 
 1  1  2m  2 et  1  1  2m  0
 
d'où x' < -2 < 0 < x''.  x 0  y0  0  x 0  y0
Dans la suite du problème on considère m > 0 et  x 0  2  x 0 ou x 0  2   x 0 x 0  1
que le plan est rapporté à un repère orthonormé   ;
( O ; I ; J) avec unité de mesure 1 cm.  x 0  y0  y0  1
D 'où I(-1; -1).
Partie B : Ce point vérifie bien : fm(2a – x ) = 2b - fm(x ) où
Etude d’une famille de fonctions (a ; b) = (-1 ; -1) car :
x2 2  x  2
fm(x) = x + m ln ; fm(-2 – x ) =-2 – x + m ln
x 2  x
1 .a) Df =  \ 2 ; 0 x
 2  x  m ln 
Calcul de limites aux bornes 2  x
 lim f m (x)   
; lim f m (x)   ; x
x  x 2  2  x  m ln  2  f m (x).
 lim f m (x)   ; lim f m (x)   ; 2  x
x 2 x 0
Donc le point I (-1 ; -1) est bien un centre de
 lim f m (x)   ; lim f m (x)  .
x 0 x  symétrie de toutes les courbes Cm.
xx2 b) D’après le tableau de variation de fm sa courbe
x 2  2 x
b) f'm(x) = 1 + m  1 m 2  représentative Cm possède deux asymptôtes
x2 x x2 verticales d’équations respectives x = 0 ; x = -2.
x Calculons les coefficients de l’équation de son
2 x 2  2x  2m asymptôte oblique  :
 1 m  .
x(x  2) x(x  2) x2
x  m ln
g (x) f (x) x
On remarque : f'm (x) =  m .  a = lim m )  lim
x(x  2) x  x x  x
Où gm(x) est celle définie dans la partie A. x2
Comme m> 0 ; on a gm(x)  si x [x’ ; x’’] il est m ln
x
positif ailleurs. D’où le tableau de variations de fm:  lim (1  ) 1
x  x
x - x’ -2 0 x’’ + x2

b  lim (f m (x)  x)  lim m ln  0.
gm (x) + - - - + x  x  x
x(x+ 2) + + - + + On a donc l’équation de  : y = x.
fm‘(x) + - + - + Déterminons la position relative de Cm par rapport
y’ + + + à  pour cela étudions le signe de f(x) – x.
x2 x2
fm (x) f(x) – x = m ln ; m  0 et m ln 0
- - - y’’ x x

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x2
 1. On a trois cas :
x
 x   ; 2   x  x  2  0; donc
x2 x2
0<  1 d 'où ln 0
x x
x2
 x  0 ;     1; donc
x
x2
ln > 0 on en déduit que :
x
x   ; 2   f m (x)  x  0 donc  est
au dessus de Cm : x  0 ;    f m (x)  x  0;
donc  est au dessous de Cm .
 x  2 ;0  on distinct deux cas :
1) - 2 < x < -1  0  x  2  1   x 
1 x2 x2
1    0 d'où ln  0;
x x x
donc f m (x)  x  0 d'où  est au dessus de C m ;
2 x2 1
2) -1 < x < 0  1  x  2  2     1
x x x
1 x2 x2
d 'où 1 < < ;on en déduit que : ln 0
x x x
d'où f m (x)  x  0; Donc;  est au dessous de C m .
On résume la position relative dans le tableau
suivant :
x - -2 -1 0 +
fm(x) - x - - 0 + +
Position  /C  /C C / C /
Relative
 Représentation graphique de C1 et C2
ci-contre :

Partie C
1 1
m : M(Z)  M '(Z') tel que : Z'  (1  m)  (1  m)i  Z  (1  m)  (1  m)i Z ;
2 2
où m    et Z est le conjugué de Z.
*

1 1
m (M)  (M ')  x ' iy '  (1  m)  (1  m)i  (x  iy)  (1  m)  (1  m)i  (x  iy)(x  iy) 
2 2
 1
 x '  (2x)
 2
 y '  (1  m)x  my
b) l’ensemble des points invariants par m est l’ensemble vérifiant : m(M) = M.

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 1
 x  (2x)
m (M) = M   2 avec m  1  y  x  M   .
 y  (1  m)x  my

  x  x    0  


c) MM '    MM   puisque M   et m  1 alors MM
 (1  m)x  my  y   (1  m)(x  y) 

est colinéaire à j d'où (MM ') est parallèle à (y'Oy);
      
d) M 0 M' = M 0 M + MM' = (y - x) j + (1- m)(x - y) j = (1 + m -1)(y - x) j = mM 0 M.
 1
x2  x' = (2x) x ' 2
2.a) f1 (x)  x  ln et m (M) = M'   2 d 'où y' = x' + m ln  f m (x ') 
x  y '  (1  m)x  my x'

M(x '; y ')  Cm  m (C1 ) = C m .


On en déduit que pour construire C m ilsuffit de prendre un po int M(x; y) de C1 et son projeté
M 0 (x 0 ; y0 ) sur  parallélement à (y 'Oy);
 
M 'sera alors le po int de la droite (M 0 M) quivérifie : M 0 M '  mM 0 M

b) Construction de C2 (Voir la représentation faite dans la partie B.)

Partie D : Etude de la convergence d’une suite numérique


1 x2 1 x2
1) Parce que 0 <  < 1 et < x < 1, alors  ln dx   ln dx ;
 x  x
x2 x2 x2 x2
x 0  1  ln  0,ils 'en suit que pour m  0, x  (m  1) ln  x  m ln donc
x x x x
1 1 x2 1 x2
f m 1 (x)  f m (x);On en déduit que : A    (f m 1 (x)  f m (x))dx   ln dx   ln dx.
  x  x
u'(x) = 1 u(x) = x
 
Posons  x2  2 
 v(x) = ln x  v'(x) = x (x  2)

x  2 2
1
 1 2  
A   x ln   dx  ln 3  2ln 3   ln  2ln(  2)  .
 x    x(x  2)   
 3ln 3  (  2) ln(  2)   ln .
27
Donc, lim A   lim (3ln 3  (  2) ln(  2)   ln )  3ln 3  2 ln 2  ln .
0 0 4

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2 x-x-2 x 2
2.a) Pour x > 0, h(x) = ln(1 + ); h'(x) =    0, on en déduit que h est
x x2 x  2 x(x  2)
 P P  1 P 1 P
décroissante sur 0 ; 1.Pour 1  P  n  1 nous avons x   ;   h( )  h(x)  h( ) 
n n  n n
P 1 P 1 P 1 P 1
P 1 P 1 P 1 1 P
 P
n
n
h(
n
)dx  P n h(x)dx  P n h( )dx  h(
n n
n n n
)  P n h(x)dx  h( ).
n
n n
P 1
1 n P 1 1 n n 1 n P 1 n P 1
   
1

n p 1 n n h(x)dx  Sn ;Or
b) On en déduit que : h( )  P h(x)dx  h( )  h( )  1
n p 1 n n p 1 n n p 1 n
1 n P 1 1 1 1 n 1 1 1

n p 1
h(
n
)  Sn  h( )  h(
n n n n
)  Sn  h( ).
n n
1 1 1 1 1 1 1
Donc Sn  h( )  A( )  Sn ;ils 'en suit que A( )  Sn et Sn  A( )  h( );
n n n n n n n
1 1 1 1
Soit A( )  Sn  A( )  h( ).
n n n n
1 1 27
c) Posons  = si n      0 d'où lim A( )  ln .
n n  n 4
22 22 1 1
En passant à la lim ite l 'inégalité(1) se c onserve d 'où : ln  lim Sn  ln  lim h( );
4 n  4 n  n n
1 1 1 ln(1  2n) 1  2n 22
lim h( )  lim ln(1  2n)  lim  0  2  0.; d 'où lim Sn  ln .
n  n n n  n n  1  2n n n  4

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Sujet 2001 /Séries : Séries C & TMGM / Session complémentaire
Exercice 1
1 .a) Le calcul donne P(i) = 0 ; P(2i) =0. (2a + b+ax) ex - 4( a + b + ax)ex +5 (ax + b)ex =
2 2
b) Soit P (Z) = (Z -3iZ -2)( Z + aZ+ b ) tels que a (-x + 1) ex 
et b des nombres complexes à déterminer.
( -2a + 2b +2ax) ex = (-x + 1) ex
Soit P (Z) = (Z2-3iZ -2)( Z2+ aZ+ b ) =
( -2a + 2b +2ax) = (-x + 1)
Z4 +(a-3i)Z3 –(3ia –b +2)Z2 + (-3ib -2a)Z -2b 
a  3i  2  6i 2a  1 1
  a   et b  0 
3ia  b  2  12  9i 2a  2b  1 2
 a  2  3i
  
3ib  2a  13  9i b  1  3i 1
Donc g(x) = (- xe x ) 
2b  2  6i 2
b) [g(x) + h(x)]’’ - 4[g(x) + h(x)]’ +5[g(x) + h(x)] =
P (Z) = (Z2-3iZ -2)( Z2+ -(2+3i)Z -1 +3i )
Résolvons l’équation : P (Z) = 0  [g(x) ]’’ - 4[g(x)]’ + 5[g(x)] + [h(x) ]’’ - 4[h(x)]’ +5[h(x)] =
(Z2-3iZ -2)( Z2+ -(2+3i)Z -1 +3i ) = 0 (-x + 1) ex + 0 = (-x + 1) ex
 = (2+3i) - 4 (-1+3i) = 4 -9 +12i +4 -12i = i2 .
2
D’où g(x) + h(x) est une solution de l’équation ( E’).
2  3i  i 2  3i  i
D'où Z' =  1  i et Z''   1  2i. 3) On a: f(x) = g(x) + h(x) et f’(x) = g’(x) + h’(x);
2 2 1 x 1 x
Donc les solutions de l’équation donnée sont : f’(x) = - e - xe +2 e2x[(2A + B)cosx +(2B-A)sinx]
2 2
Z1 = i ; Z2 = 1 + i ; Z3 = 2i ; Z4 = 1 + 2i.
4 4
D’après les données et 2.a) on a:
2.a)  p k   t Zk  1  t(1  2  4  5)  1  f(0) = g(0) + h(0 )= 0 + A = 0 A= 0
2

k 1 k 1
1 1
1 1 2 1 f’(0) = g’(0) + h’(0)= - + 2(2A + B) = -1 B = -
t  ; p1  i  2 4
12 12 12
Donc la fonction cherchée est :
1 1 1 1 1 5
b) p 2 = 2 = ; p3 =  4 = ; p4 = 5= 1 1
12 6 12 3 12 12 f : x   xe x  ( sin x)e 2x
c) X () = 4 ; 5 .
2 4
Exercice 2
X() 4 5 1) f1(x) = xe1-x ; Df1 =  ;
P(X= xi)
9 3  Limites aux bornes :
12 12 lim f1 (x)   ; lim f1 (x)  0.
x  x 
Exercice 1 (Uniquement pour la série TMGM)
 Dérivée : f’1(x) = e1-x( 1 – x).
1) (E ) y’’ - 4y’ +5y = 0 ;
 Tableau de variations
Comme l’équation associée à ( E ) est : r2 – 4r + 5 = 0
x - 1 +
admet deux solutions complexes (conjuguées)
f’1(x) + 0 -
2 + i et 2 – i. 1
Donc les solutions de ( E ) sont les fonctions :
f1(x)
x  e2x (A cos x  Bsin x) \ A et B    . - 0
1
2. a) Pour tout n non nul Un =  f n (x)dx ; On pose
x
2.a) On a : g(x) = (ax + b)e
x 0
g’(x) = ( a + b + ax)e

u(x)  x  u '(x)  nx
n n 1
g’’(x) =(2a + b+ax) ex  
1 x 1 x
Comme g(x) est solution de ( E’), on a : 
 v '(x)  e  v(x)   e
g’’(x) - 4 g’(x) +5 g(x) = (-x + 1) e  x 1
U n    x n e x 1   n  x n 1e1 x dx 
1

0 0
1
U n   f n (x)dx  1  nU n 1 ; Pour n  1 on a :
0

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1 1
U1   f 0 (x)dx   xe1 x    e1 x dx
1

0 0 0
1
D’
  (1  x)e1 x   2  e. C’
0

b) on a pour tout n de  ; et x de ]0 ; 1[ :
xn  xne1-x  e xn d’où :
1 1 1 O’
0
x n dx  
0
x n e x 1dx   ex n dx 
0 Q
1 e
 Un  . K
n +1 n +1
A
c ) D’après la relation trouvée en 2. a) on a :
Un = nUn-1 -1 d’où Un+1 = (n +1) Un – 1 .
B’
3.a) n de  ; Vn+1 = (n+1) !e - Un+1 I
D
Vn+1 = (n+1)!e - (n +1) Un + 1 d’où
P
Vn+1 = (n+1)[n! e - Un ] +1 = (n+1)Vn + 1 .
O
b) On constate que : H
 V1 = e – U1 = e – ( -2+e ) d’où B
V1= e + 2 –e = 2 qui est de  .
 On suppose que Vn de 
C
 On démontre que : Vn+1 est de  , ; Or
Vn+1 = (n+1)Vn + 1 d’après l’hypothèse de 
b) On considère la rotation : r(A ; )
récurrence Vn de  et par conséquent Vn+1 est la 2
somme de deux entiers naturels ce qui prouve r(D)  B et r(B')  D '.Donc ; DB'  BD 'et
l’appartenance de (Vn) à 
n    
c) Nous savons que pour n  2 ; (DB' ; BD' ) = (2) ; d'où BD' = BD' et ( B'D)  (BD').
2
1 e
 Un  ; donc Un  ; Or 
n   En appliquant plusieurs fois le théorème de la
3 3
droite des milieux, dans les triangles DBB’.
On en déduit que : n!e = (Un + Vn)  . DB’D’. BB’D’. DBD’ et en tenant compte la relation
4.a) n  q  n ! est un multiple de q soit   

n!p  dqp DB' = BD' et (DB' ; BD' ) = . On en déduit que
n ! = dq ; d’où :   dp  . 2
q q OPO’Q est un carré.
b) Supposons que e est un rationnel : 2. a) Les deux triangles BAD et BID sont

p rectangles, d’hypoténuse commune BD, on en
e= avec p de  et q de  . déduit que le cercle de diamètre BD passe par A et
q
I donc OA = OI. De même O’A = O’I.

n!p
Soit n q ; alors d’près 4. a) On en déduit donc que O’ et O appartiennent à la
  n!e  . 
q médiatrice de [AI] d’où A et I sont symétrique
par rapport à (OO’).
Ce qui est en contradiction avec le résultat en 3. c)
Donc e n’est pas rationnel. b) Soit S(OO’) la symétrie axiale d’axe (OO’) ;
d’après 1.b) et 2.a) : S(OO’)(A) = I et S(OO’)(Q) = P.
Problème S(OO’) étant une isomètre involutive on en déduit
Partie A que : AQ = IP et AP = IQ.
1.a) Figure illustrant les données et répondant à D’autre part on sait que les triangles BIB’ et DID’
certaines questions : sont rectangles en I ; on en déduit que :
(Voir figure ci-contre) 
BB' DD ' 
BB'
IP  et IQ  ; d'où AQ = IP =
2 2 2
DD '
et AP = IQ = .
2

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 1     b) S est une similitude directe de centre I
3.a) AQ . BB '  (AD  AD ').(BA  B ' A)
2 transformant O( centre du cercle ) en O’ (centre
1        
du cercle ’). Comme I est un point invariant
 (AD  AD.B ' A  AD ' .BA  AD
.BA '.B '
A)
2  
0

commun aux deux cercles  et ’ alors S()= ’.
0
1     D’autre part, S conserve les angles orientés donc :
 (AD '.BA  AD.B ' A).    
2 (IO ; IA)  (IO' ; IA1 ) (2). Il suffit alors de

Et comme la rotation r(A ; ) transforme A en tracer la droite passant par I faisant avec (IO’) un
2  
angle orienté égal à (IO ; IA), l’intersection de
A ; D en B et B’ en D’ et elle conserve le produit
    cette droite avec ’ est le point A1 cherché.
scalaire alors : AD '.AB  AD.AB ' ; donc
2. a) Soit M   \ A, On a :
1      
(AD '.BA  AD.B'A)  0 ;d 'où AQ.BB' = 0. S  
 
2  (OI ; OM)  (O'I ; O'M1)
S '      
De la même façon on démontre que : S M (AM ; AM1)  (AM ; AI) AI ;AM1 )

  1
AP.DD' = 0. On en déduit que les droites (AQ) et D’autre part
(AP) sont respectivement des hauteurs dans les    
(AM ; AM1 )  (AM ; AI) AI ; AM1 ) 
triangles ABB’ et ADD’.
 
b) O ; O’ ; P et Q sont évidement des points du 1  1  
''M1   0().
cercle circonscrit au carré OPO’Q. 2 2
Les triangles PHQ et PKQ ont pour cercle Donc A ; M ; M1 sont alignés.
circonscrit le cercle de diamètre PQ c’est-à dire le b) On en déduit que M1 est l’intersection de (AM)
même cercle circonscrit au carré OPO’Q. On en avec ’\ A.
déduit que O ; O’ ; P ; Q ; H et K sont 3.a) On utilise ce procédé pour construire les points
cocycliques. B1 ; C1 ; D1 images respectives de B ; C ; D de la
Partie B même façon A1 sera le point d’intersection de (AA’)
1.a) Figure illustrant les données et répondant à avec ’\A ; autrement dit la tangente en A au cercle .
certaines questions : b) Comme la similitude conserve les angles et le
C’ D 1 barycentre alors les points A1 ; B1. C1. D1
constituent les sommets du carré ( image de
ABCD par S) inscrit dans le cercle . Son centre
est évidement O’.
G

F

4) La rotation r(O'; ) transforme A1 en D1 ; B1


2
C1
B’ en A 1 ; C 1 en B 1 ; D 1 en C1.En plus
D’
O’ A r1
: A  B' ;B'  C' ;C'  D' ;D'  A'.
D’autre part r conserve l’intersection donc :
r : E  F ; F  G ;G  J ; J  E, et
J E    
(O'E ; O'F ) = (O'E ; O'G )
   
= (O'G ; O'J ) = (O'J ; O'E ).
I
B Donc EFGJ est un carré de centre O.
B1 A

Partie C
 est l’angle de la similitude directe S :
 
O
  (B1A1 ; AB') (2).
1.a) D’après les propriétés évidentes de la
configuration on a :
D C

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   
  (IO ; IO ') = -(AO ; AO') A (EFGJ)  a 2  2  AE  EB'
       
= - (AO ; AB) + (AB ; AB') + (AB' ; AO')  (2),  a 2  2EJ cos  EJ sin
8 8
    
   (    )      (2)  1  a 2  (EJ) 2 cos  EJ sin
4 4 2 8 8
D’autre part :
       
 = (AB ; A1 B1 ) = (AB ; AB') + (AB' ; A1 B1' )(2),  a 2  (EJ) 2  2sin cos
  8 8
     (A1 B1 ; AB') (2)  
   a 2  (EJ) 2  sin
    (B1 A1 ; AB')  (2) 4
       (2)  2 2
  a 2
 (EJ) 2
  (EJ) 2 d'où
Soustrayons 1 de 2 il vient   2 - (2). 2
2 2 a2  2
2.a) Les triangles O’JE ; EJA ; EJB1 sont (1 + )(EJ) 2  a 2  (EJ) 2  ;
rectangles de même hypoténuse [JE] donc les 2 2  2
points O’ ; J ; A ; E ; B1 sont cocycliques, d’où a2  2
      Soit A (EFGJ ) = .
(O 'B1 ; O 'A)  (EB1 ; EA) (A1B1 ; B'A) 2 2
  C’
(B1 A1 ; AB') D 1

b) l’octogone AA B’D1C’C1D’B1 formé par les


sommets des deux carrés AB’C’D’ et A1B1C1D1 est
régulier dans le cas où
  
  (O ' B1 ; O ' A)   (2) D’ A1
4

c ' est  à  dire que :  = - 
4 O’
  
c)     2    (2) 
4 2 4
.
   9 B’
2  (2)    (), soit   ou  
C1
.
4 8 8 8

Or  est un angle aigu donc  = est la solution
3
retenue et c’est celle qui fait de l’octogone A
I B
B1
précédent un octogone régulier.

3. Notons A l’aire demandée:


A (AB’C’D’) = (AB’)2 = a2 O
= 4 A (AEJ) + A (EFGJ)
1
A (AB’C’D’) = a2 = 4  AE  EB' A(EFGJ) 
2
D C

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Sujet 2000 /Séries : Séries C & TMGM / Session normale
Exercice 1
1) x solution réelle de f(Z) = 0  M 2 M3  ( 3)2  ( 3) 2  6 ;
x4 + 4x3 +6x2 +(6-2i)x +3 - 2i = 0 

x4 + 4x3 + 6x2 + 6x + 3 + i( -2x -2) = 0  936 3 396 3
M1M3   6;
4
 x 4  4x 3  6x 2  6x  3  0 Donc le triangle M1M2M3 est équilatéral.
  x  1 6
2x  2  0   i(0)
Z1  Z2  Z3
donc Z0 = -1  De plus on a :  2
3 3
1 4 6 6-2 i 3-2i 3
-1 -1 -3 -3 -3+2i   1  Z0 
3
1 3 3 3-2i 0
3 2 Donc M0 est le centre de gravité du triangle
D’où: Q(Z) = Z + 3Z +3Z +3 -2i. M1M2M3.
2) Q(i) = -i-3 +3i +3 -2i = 0 ;
1 3 3 3-2 i Problème
i -i -1+3i 2i-3 Partie A
1 3+i 2+3i 0 1
Donc: (Z) = ( Z – i)( Z +(3 + i)Z +2 + 3i) = 0;
2 1.a) f0(x) =
1  e x
f(Z) = 0  (Z+1)( Z – i)( Z2 +(3 + i)Z +2+ 3i) =0;
  ;  
 Df0 = 
Z2 +(3 + i)Z +2+ 3i = 0 ;
 = (3 + i)2 -4(2+3i) = -6i = ( 3 (1 - i))2  Limites aux bornes de Df0
lim f0 (x)  0 ; lim f 0 (x)  1
3  i  3  i 3 3  3 3 1 x  x 
Z   i( ) ou  Dérivée de f0 et sens de variation
2 2 2
3  i  3  i 3 3  3  3 1 e x
Z   i( ) f0’(x) = 0
2 2 2 (1  e x )2
Donc les solutions de l’équation f(Z) = 0 sont :  Tableau de variations de f0
 3  3 3  1 3  3  3  1  x 0 +
1 ; i ;  i( );  i( ) f0’(x) +
 2 2 2 2 
1
3 3 3 1 f0(x)
3) Z1 - Z2 = i   i( )
2 2 0
3 3 3 3 b) Représentation graphique de f0
  i( )
2 2
3  3  3 1 3  3 3 1
Z3 - Z 2 =  i( )  i( )
2 2 2 2
 3 i 3
3 3 3 1
Z1 - Z3 = i  i( )
2 2
1
3 3 3 3 Avec (0 ; ) on a : 2(0) – x  Df  x Df ;
  i( ) 2
2 2 f(2(0) – x) + f(x) = f0(-x) + f0(x)
Calcul de longueur des côtés du triangle M1M2M3:
1 1 1  ex 1
    1  2( ) 
936 3 396 3 1 e 1 e
x x
1 ex 2
M1 M 2   6;
4 1
Donc (0 ; ) est un centre de symétrie de C.
2

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1 e x x n 1  x e  x (x n 1  x  e  (n 1)x )
c) f0(-x) =   f1 (x) ; donc f1 est n  0; g n (x) = 
1  ex 1  e x 1  e x 1  e x
l’image de f0 par la réflexion d’axe (Oy). x n 1  x (1  e  x ) e  nx
 
1 ex ex 1  e x 1  e x
2.a) f0(x) =  
1  e x ex (1  e x ) 1  ex e  nx
 xn 1  x   h n (x)  f n (x) 
1  e x
1 e x )
1 (1  1
U 0 +U1 = 
0
(f 0 (x)  f1 (x))dx  
0 (1  e  x )
dx   dx  1
0
Donc  n  ; gn(x) = fn(x) + hn(x).
xn 2nx n 1 (1  x)  x n
1 ee  nx  (n 1)x 2.a) h'n (x) = nx n 1 1  x  
b)U n + U n-1 = 0 1  e x
dx
n 1
2 1 x 2 1 x
n
x (2n  x(2n  1))
 (n 1)x
1e (e  x  1) 1 h'n (x) =
 
dx   e  (n 1)x dx 2 1 x
0 e 1x 0
x n 1 (2n  x(2n  1))
 0 ; hn’(x) = 0  =0
e1 n  1
1
 1  (n 1)x  2 1 x
U n + U n-1 =  e  
1  n 1 n 2n
0
x  0 ou x =
1  e1 n 2n+1
 
n 1
1
 Tableau de variations de hn
ex 1
c) U1 = 1 - U 0 = 1-  x dx  1  ln(1  e x )  x 0
2n
1
0 e 1
0 2n+1
 1  ln(e  1)  ln 2 h0’(x) 0 + 0 -
1- e-1 2n
 U 2 + U1 =  1  e-1  1  e-1  h0(x) hn ( )
1 2n+1
U 2 = 1 - e  1  ln(e  1)  ln 2 
-1

1
d) Comme x [0 ; 1] : fn(x) > 0 d’où : n  ; n = 0 ; h'0 (x) =  0
Un > 0   n  2 ; 0  Un  Un + Un-1 2 1 x
1  e1 n 1  e1 n  Tableau de variations de h0
 n  2 ; 0  Un  ; Or lim 0 ;
n 1 n  n  1
x 0 1
Donc d’après le théorème des Gendarmes, lim Un  0  h0’(x) -
n 
1
Partie B h0(x) 0
1.a) Continuité de gn : 1
 Représentation graphique de A0 ; A1 et A2
 g0 est la somme de deux fonctions continues sur y A0
[0 ; 1] donc g0 est continue sur [0 ; 1].
 n  0 ; gn est la somme de deux fonctions
continues sur [0 ; 1] ; donc gn est continue sur
[0 ; 1]. A1
Dérivabilité de gn
 n  0 ; gn est la somme de deux fonctions A2
dérivables sur [0 ; 1[, Donc gn est dérivable sur
[0 ; 1[. 0 1
1 x
1 3.a) J n =  x n 1  xdx ; Onpose :
b) g0(x) = 1  x  x
 h 0 (x)  f 0 (x) 0
1 e u(x)  x  u '(x)  nx n 1
n

 1
2
3
 v '(x)  (1  x) 2 )  v(x)   (1  x) 2
 3

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1 1 1
c) In =  g n (x)dx = f (x) dx   h n (x) dx
1
 2 3
 2n 1 n 1
J n    x n (1  x) 2  
 3 0 3
0 x (1  x)dx 0 0 n 0

 Un  J n 
2n 2n 2n Donc : In + In-1 = Jn +Jn-1 + Un +Un-1 
= (J n 1  J n )  J n (1  )  J n 1   3  22n  2  (n  1)(n!)2 3  22n  (n)(n  1)!2 
3 3 3 1  e1 n
In + In-1 =    J0 
 (2n  3)! (2n  1)!  n 1
2n
Jn  J n 1 
2n  3 d) x [0 ; 1] ; 0  1 – x  1  1  x  1 
2 1 1
b) J1  J 0
5
xn 1  x  x n  h
0 n (x) dx   x n dx 
0
1
2  1 n 1  1
J1  J 0 Jn   x  d’où Jn  .
5 n 1 0 n 1
. 1
e) On a : n > 1 ; In = Jn + Un ; Or, Jn  
. n 1
. 1 1  e1 n 1 1 2
In  + Or   
2n n 1 n 1 n 1 n 1 n 1
Jn  J n 1
2n  3
2 1  e1n 3  e1n
 In    I  
n 1 n 1 n 1
n

Par produit membre à membre et après


identification on a :
2  4  6       2n
Jn  J0 
5  7  9       (2n  3)
2n n!(2  3  4       (2n  2))
Jn  J0 
(2n  3)!
3  2n  2  2n (n  1)(n!) 2
Jn  J0 
(2n  3)!
3  22n  2  (n  1)(n!) 2
Jn  J0 
(2n  3)!

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