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HISTOIRE DU COSTUME

Definition officielle
“Le costume est le vêtement typique d’un pays, d’une région ou d’une époque, c’est également
l’ensemble des différentes pièces d’un habillement »

LA PRÉHISTOIRE :
- Paléolithique
L’homos sapiens va au début porter de la fourrure qu’il va porter autour de ses hanches mais la
fourrure et le cuire entrave les mouvements et l’homme va décider des les façonner, de les travailler
parce que le problème est que les peaux durcirent en séchant.
Plusieurs technique du travail de la peau : (ordre chronologique)
- Mastiquer la peau avec la bouche -> permet de détendre le cuire
- Construire des maillets et va frapper la peau -> détendre la peau
- Frotter avec de l’huile ou de la graisse -> donner plus de souplesse
- Le tannage ( fait a partir d’écorces d’arbre, le chaine ou le Saul puisque c’est deux espèces la
contiennes de l’acide tannique -> tannin, on va immerger longuement les peaux dans le liquide
est donc la peau devient plu souple et imperméable dans le long terme.)
Trois processus du travail de la peau :
- Etirer la peau
- Racler avec le grattoir pour enlever les lambeaux de chair
- Le tannage

- Néologique
L’homme va construire l’un des plus grand progrès de l’humanité donc l’importance est comparable
a celle du feux -> l’aiguille a chas pouvait être en os = début de la couture
En faisant plus de recherche on a découvert que l’homme se chaussait déjà
Le feutre devient l’une des premières étoffes, attribue au peuple mongole
- Prendre la laine
- Mouiller la laine
- Déposer les poiles sur une natte (plateforme en bois) -> on va chercher a les emmêler pour qu’il
accrochent entre eux
- Enrouler la nette et on va l’abattre pour enlever l’humidité
- On déroule la natte -> FEUTRE
Pour faire du feutre ils utilisaient des fibres végétales comme le lin et le chanvre ainsi que la fibre
animal comme le lama, l’alpaga ainsi que la vigogne

Et par la suite, nouvelles découverte, le tissage.


le tissage exige un mode de vie sédentaire puisque les métiers a tisser sont imposants et lourds
Pour faire du fil de laine :

On va par la suite poser notre fil de laine sur le métier a tisser.


Les files de chaîne ne bouge pas(vertical) , puis une grosse aiguille (la navette) va venir déposer le file
de trame (horizontal)
- Découverte des premiers accessoires, ce qui relève a cette époque, l’envie de se différencier.

On va découvrir 5 types de fibres importantes :


- Le lin (fibre végétale, la plus ancienne des fibres connues des les néolithiques en Europe)
- Le chanvre (fibre végétale, utilisation tardive, on estime 8eme siècle avant JC dans le vêtement)
- Le coton (fibre végétale, on utilise la fleur de coton, employé a la fin du néologique, originaire
d’Inde)
- La laine (fibre animal, dés que l’homme commence à domestiquer des animaux)
- La soie (fibre protéique, c’est la chenille qu’ils sécrète la protéine de soie, s’enroule et crée son
cocon, il faut que ce sour une chenille de bombix) -> l’une des matières les plus nobles et rare de
l’extrême orient, on estime au 14eme siècle avant JC

CONCLUSION 
on ne peut pas décréter qu’il y’a un type de costume pour la préhistoire, il dépend en cette de la
région froide ou chaude mais également des ressources qu’ils avaient a disposition ou du groupe
d’humain.

L’ANTIQUITÉ
- Mésopotamie

Les sumériens : portent un jupon en fourrure et en tissu à mèche, appelé kaunakès -> costume
masculin pour homme.
Alors au les sumériens lambda eux portaient un simple drapé, composé a base de tissu rectangulaire,
enroule au tour de la taille. Pour les hommes le drap tapasse sur une épaule kusitu, et les femmes
les portent en forme de tunique et un châle et cette façon de se vêtir correspond au sari indien et
s’appelait sarong.
Il y avait une lois syriennes 1 200 avant JC qui obligeait les femmes à porter le voile dans le village, et
c’est le premier témoigne toujours en vigueur dans ce pays.

On arrivait à différencier different types de costumes pendant l’antiquité :


- Le drapé (égyptien, syrien), tout ce qui était drapé était considéré comme plus noble alors que le
vêtement cousu était considéré comme barbare.
- Le type enfilé avec une ouverture au centre servant d’encolure (on parle d’encolure quand rien
repose sur l’ouverture du col, et emmanchure, ce sur quoi repose la manche -> couture)
- Le type enfile cousu fermé (sorte de débardeur)
- Le type cousu fermé à manche (sorte t-shirt manche longue)
- Le type cousu ouvert avec manches
- Le type fourreau (ancêtre du pantalon, utilisé par les barbares ,les gaulois et ensuite au moyen
âge

- Égypte ancienne
Les vêtements des Égyptiens étaient avant tout fonctionnels et adaptés au climat, destine a les
protéger des chaleurs et des brûlures du soleil. Le lin était l’étoffe privilégié des Égyptiens, considéré
comme plus sain et plieuse facile a entretenir que le coton. Il se révèle aussi plus frais quand il fait
chaud et protège mieux du froid quand te les emparera tirés diminuent.
La laine quand a elle était très rarement employée car d’origine animal et donc jugée impure.
Le lin est cultivé sur le Nil et tissé par les Égyptiens, il était de qualité très fine our les pharaons et les
nobles et plus grossier pour le peuple.
Les étoffes ++ c’est-à-dire le plus fine, les plus souples, jusqu’à la transparence sont réservée a
l’usage des reines.
Pout les femmes, elles vont porter une robe en lin blanche que l’on appelle le calasiris.

Pour les hommes, on porte une pièce d’étoffe autour des hanches avec un plis sur le devant et le
vêtement s’appelle le shenti

Les esclaves et les servantes n’avaient pas le droit de porter les mêmes costumes que leur maîtresse,
soir elles portaient une longue robe très étroite a manches serrés ou alors souvent leur costumes
étaient compose d’un collier de perle et une ceinture de perle .
Les vêtements portés étaient d’une grande simplicité, la recherche et le luxe ont se portait sur la
multitude de bijoux dont les belles égyptienne se couvraient
Les égyptiens portent très souvent des perruques, très souvent en cheveux humains (cheveux
humain), en lin (le peuple), et le bas peuple (fibre de palmier)
3 fonctions :
- Protège le cuistre chevelu du soleil
- Esthétique car elle embellie l’apparence
- La fonction sémiotique car elle montre la fortune de son propriétaire dans la vie civile

Les paysans ou ouvriers sont très souvent pieds-nus et dans l’aristocratie il se devait de porter des
sandales, obligation social et un luxe, signe de raffinement
Elles pouvaient être :
- Feuille de palmier
- Papy russe tresse
- Tige de roseaux
Première icône de la mode, Nefertiti elle porte une couronne bleu, ses lèvres sont fardés de rouge,
ses yeux soulignés de khôl, ce sont les premier témoignage du maquillage dans l’histoire du costume
est de la mode

. Azzedine AlAÏA a été inspirée par Nefertiti pour ses créations


. Michel Jackson
- Crète archaïque  : civilisation Minoenne
Elles portaient un corsage ajuste qui découvrait la poitrine et en bas une jupe en forme de cloche
(crête voulaient toujours se différencier des grecs)
En Grèce, les femmes portent des vêtements drapés qui étaient composé de deux rectangles
d’étoffes il est apple le chiton qui était généralement en lin (étoffe ceinturé haut avec l’ouverture
supérieur retenue par 14 boutons ou attaches sphériques, 7 de part et d’autre de l’espace médian
faisant office d’encolure.

Les hommes portaient aussi le chiton quoi était agrafée sur l’épaule gauche et la droite reste nue, ce
vêtement était maintenue a la taille par une ceinture ou deux.les jeunes et les cavaliers portaient
par-dessus le chiton une sorte de cape agrafé sur l’épaule et cette cape s’appelle la chlamyde
Contrairement a leur contemporain, les grecs ne jugeaient pas la nudité honteuse, elle était même
de rigueur dans les gymnases et les stades.

Autre que le chiton, les femmes pouvaient aussi porter le peplos/péplum en lin ou soie pour les
flemmes très riches qui est une robe retenue a la taille et partiellement accrochée par deux fibules
(broche)en cas de grand froid les hommes et les femmes pouvaient aussi porter des manteaux en
laine épaisse, appelés himation.

Les grecs portaient rarement des chaussures et les citoyens fortunés ont de simple sandales, les
courtisanes(prostitué) cloutaient leur semelle pour laisser apparaître le message au sol (suivez moi).
À Rome, on porte une tunique et par-dessus cette tunique on porte une toge dont la longueur varie
suivant le sexe et la situaction sociale ( + elle est longue + riche).

Hommes sandales : carbatina


Femmes mules : soccus
Hommes et femmes bottines : gallicac
A l’origine, la toge recouvre une épaule et ce n’est qu’un simple carré ou une bande d’étoffe et peu a
peu la toge évolue afin de permettre des drapés plus recherchés et elle a tendance à s’alourdir au fur
et a mesure du temps et de l’histoire.
La toge et la tunique vont subsister jusqu’à la fin de l’empire romain.

Les romains empruntaient au barbares la culotte, c’était une simple pièce de tissu noué que les
hommes et les femmes pouvait utiliser, les paysans vont la harder quand ils travaillent et les romains
aisé ne la porte que quand ils font du sport (en lin)

MOYEN ÂGE
Le costume du moyen âge va être influencé par les barbares.
- Mérovingiens
Ils vont porter une tenue plutôt simple mais un accessoire important, un casque ( symbolique
bestiale, il fait peur aux ennemis.
Ils portent un vêtement du dessus qui s’appelle gonelle, une tunique en “T”. Ils portent aussi un
pantalon large quoi est appelé braies.

Ils pouvaient porter aussi au pied des chausses (chaussettes), tenus par des jarretières
Pour les femmes, comme avaient a catcher leur corps avec manches longue et les femmes mariées
devaient cacher leurs cheveux.
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- Carolingiens
Le costumes sont les mêlés que les carolingiens sur lesquels on rajoute la dalmatique (tenue évasé
entouré de broderie et le plus ouvert dans un tissu riche tel que la soie). Charlemagne faisait brodé
des pierres précieuses sur ses dalmatiques

- Architecture romaine
Voute en berceau, petites églises et des contreforts
- Architectures gothiques
Immense architectures avec ogives et croisé d’ogives, des arcs boutants et des contreforts, elle va
beaucoup plus dans le détail avec l’ajout de statuettes, de gargouilles.

- Epoque romaine
L’homme va porter une tenue ou tunique du dessous appelé chainse et dessus une robe appelé
bliaud.

Pour la femme c’est la même chose mais pour les femmes ont ne voit pas les pieds.
On pouvait aussi retrouver chez l’homme ou la femme un col appelé Anigaut

- époque gothique (13eme siècle)


Le bliaud porte le nom de surcot et le bliaud la cotte.
Pour les femmes on retrouve une ouverture au niveau des manche que nous appelions la fenêtre de
l’enfer.
On invente une nouvelle matière appelé velux (ancêtre du velour)
- Epoque gothique ( 14eme siècle)
On vient ajouter une veste ajusté appelé POURPOINT (conserve à Lyon), vêtement ajuster qui
couvrirait le corps du cou à la ceinture. Il était rembourré de bourre de laines ou de graines (permet
de conserver la chaleur). Les brais vont devenir des haut de chausses relié et maintenu au
pourpoint.

Les femmes portaient une robe cotardie avec manche a coudière (une nouvelles manche qui part du
coude)
Les poches intérieures (passe poils) maintenant, avant étaient appelé des fichets -> ancêtre de la
poche.
Une coiffe appelé la tamplette.
On commençait a s’éveiller le front, signe d’intelligence et de richesse.
Elle portaient en dessous la cotardie et au dessus un surcot ouvert avec des emmanchures, la
fenêtre de l’enfers.
Pour le hommes, ils portaient la jacket, par-dessus lequel ont pouvait ajouter un manteau que l’ont
appelait la houppelande, dans la manche on faisait une ouverture pour faire passer le bras.
Pour les femmes, la houppelande, et robe a tassel avec un empiècement en tissu vine recouvrir la
poitrine avec un tissu qui s’appelle la tassel

Houppelande. Robe tassel

Les femmes portaient la coiffe a la hennin avec un bonnet rigide par-dessus sont fixé en bannière ou
en papillon, les huves qui sont des pièces de toile transparentes soutenues par des filles et des
épingles, on parle alors de hennin à voile échafaudé
. Les poulaines : les deux sexes chaussent des souliers pointus de velours ou de cuire flexible , appelé

poulaine, chez l’homme La pointe pouvant être tellement pointue quelle devait être attache au
genoux par une fine chaîne. La pointe de la chaussure est proportionnelle est proportionnelle a celui
qui la porte. Ducs et princes sont autorise a porter de chaussures atteignant deux fois et demie la
longueur de leurs pieds

CONCLUSION
Naissance de la mode car les tissus, les attaches, les vêtements et les accessoires gagnent en variété.
La mode née donc du désirs de changement.

CHAPITRE 2 : la renaissance du 16eme siècle à Louis 16

La renaissance voit le jour en Italie, c’est un courant artistique qui marque la fin du moyen âge vers
une époque moderne.et ce courant les inspiré de l’art greco-romain.
Grands rois :
- François 1er
- Henri II

HOMME :

Sous François 1er :


le rois a rapporter d’ilatie de belles étoffes comme le taffetas, le velours, le brocart.
Le brocart est une soie rehaussé de dessins brochés d’or et ou d’argent. Le velour va etre tres
apprécié dans la renaissance car I’ll est lourd. Fabrique a lourd en France et puis à Lyon.

Ils portaient une grande chemise fine, par-dessus on y ajoute le pourpoint. Des crevés sur le
pourpoint qui laissait entrevoir la chemise du dessous.
On y ajout un manteau appelé la Chamare. On porte également une sorte de shorts bouffants haut
de chausse (culotte) et en bas, des bas de chausse (chaussettes) souvent maintenu par des
jarretières et les chaussures sont avec bout empâté et sont appelé chaussures a pied d’ours

Sous Henri II :


même choses mais on y ajoute une cape et le haut de chasse devient + petit

Sous Henri III :


c’est pareil et on vient y ajouter un accessoire essentiel, la fraise (accessoire en bande de toile plissé
en 8 ou godronnée, les bords sont plissés naturellement, ce plissage s’appelle godron)

Henri IV :
même chose mais haut de chausse très bouffant, on ajout la luxiosité dans les tissus.
En Espagne, couleur noir et sombre de rigueur.

FEMMES
Sous Francois 1er :
Les femmes portent des robes avec grand décolletés rectangulaires, pour obtenir ce volume de robe
on y ajoutait un supports de robe appelé vertugade et les francais ajoutaient par-dessus le vertugade
un petit coussin qui fait tout le tour de la taille appelé vertugadin bourrelet. Pour s’assoir on invente
des chaise a vertugadin
Sous Henri II et III
Le corps piqué apparaît. Qui est une armature interne faite en bois. Le buste frontal assure une
rigidité de l’ensemble et on pouvait même y ajouter des pièces en ivoire gravé.femmes et petites
filles devaient s’y adapter. On est dans la raideur de la silhouette.

Sous Henri IV
On remplace le vertugadin par le vertugadin tambour ou plateau. ( sa forme en roue sur laquelle la
robe vient s’étaler) la robe reste très volumineuse sur l’arrière, la circonférence pouvait aller jusqu’à
5 mètres.
On va -abandonner la fraise et adopter des grandes collerettes en dentelle ( marie de Médicis)

Sous Louis 13
Il n’y avait pas en Europe, dans la première moitié du 17 de cours capables d’insuffler le bon gout. Les
bourgeois hollandais devinrent les dirigeant de celui-ci.
Rappelons qu’a cette période, la cours était sous emprise de 2 ecclésiastiques -, le cardinal de riche
lieu et le cardinal de Mazarin
La mode Hollandaise était le contraire de la mode espagnol, elle promulguait le confort, on élargie le
pourpoint, on enlève la rigidité et on met de la dentelle de partout.
Chez les hommes, on en met sur le bas des haut de chasses, on vient ajouter une cape portée sur une
seule épaule, les Hommes se laissent pousser le cheveux, certains les nouaient mais c’est également
le début de la perruques, c’est également le début des talons dans les chaussures hommes, c’est
Appelé la mode mousquetaire.
Chez les femmes, le volume va naître grâce a de nombreux jupons.
- Le premier jupons est appelé la sectaire ( sous le vertugadin au début, sous-vêtements)
- Le deuxième (riche et de couleur voyante) est appelé la friponne
- Le troisième ( de couleur plus sombre ouverte sur le devant) était appelé la modeste
Le col ne se porte plus a la Médicis mais sur les épaules.
La mode sous louis 13 deviendra l’annonciateur de la mode sous louis 14

- De nombreux couturiers s’en sont inspiré :


. Chanel par Karl lagerfel
. Pack Rabanne 2012

Sous louis 14

En 1644 le cardinal mazarin va mettre un frein a l’utilisation de broderie d’or et d’argent et tous les
tissus de soie et le nobles pour remplacer la décoration d’or et d’argent va remplacer par « les
galant » (le nom ancien de galon), ces fameux rubans sont jaune, bleu pale, chair ou aurore (jaune)
pour éviter l’utilisation de fils d’or et d’argent. Louis 14 va entendre le mécontentement de la cour et
il va publier un brevet signé par lui-même (le rois) qui donne le droit à l’utilisation de fils d’or et/ou
d’argent.
Vers 1675, on voit apparaitre les premières coutrières qui habillent les femmes car avant le métier
était réservé a des tailleurs (hommes).

1644-1661 : jeunesse de Louis 14


1661-1670 : apogée du règne de louis 14
1670-1715 : fin de règne

1644-1661
Des choses restent de l’époque de louis 13, les innovations sont assez nombreuses on a un col
rabattu fermé, on a un pourpoint ouvert, un tablier de galant, des canons (pièces sur les hauts de
chausses), des revers épanouis sur les bottes (très souvent avec de la dentelle) -> aspect débraillé de
la silhouette, le pourpoint est raccourci et baille pour laisser apparaitre la chemise.
Des chapeaux en feutre a large bord plat empanache (plumes)
Pour les femmes on ne remarque rien de particulier parce que l’on garde les tenues du règne
précèdent.

1661-1670
Hommes : aspect débraillé, d’élégance et de richesses, les manches sont très courtes sur le
pourpoint laissant apparaitre les manches de la chemise. Les manches du pourpoint sont garni de
volants en dentelle. Cette chemise très bouffante, dont les manches sont serrées aux coudes et aux
poignets par deux rubans.
L’élément principal de cette période est la Rhingrave (DS) jupe culotte dont la doublure s’attachait au
genoux par une coulisse servant également a assujettir les canons et elle est ornée d’une prise de
rubans a la ceinture. On va ajouter une écharpe avec un nœud d’épée.

Femme : la richesse de ces costumes est extrême en cette période, du notamment au faste des
rubans, des dentelles, des passements en or, les jupes gagnent en ampleur, celles du dessus étaient
relevé de chaque côté avec des gros nœuds de ruban. cette jupes extérieur était appelé le manteau
de robe, la robes est appelé « la robe a la française ». des louis 14, c’est déjà la naissance du luxe a la
française.

Ces robes s’ouvraient sur une autre jupe en taffetas et terminait en traine qui variait en fonction du
rang social (=>reine = très longue traine)
Les manches de cette robe était courte, arrivaient au coude et se prolongeaient par un bouillonné de
dentelle (pleins de dentelle)
Le corps de la jupe était soit graphé soit lacé sur le devant. Les étoffes pouvaient être noirée (effet
flou), rayé et on peut même peindre des fleurs sur des soieries

1670-1715
Hommes : Le costume masculin va différer de la 2eme période, il se consistera d’un justaucorps
(sorte de tunique ajusté sur le dessus mais évasé sur le bas). Ce fameux justaucorps est appelé
« habit » à la fin du règne . Il est composé d’une veste ou d’un gilet en dessous et d’une culotte
courte collante, les manches du justaucorps sont très larges er sont appelées manches à botte. Le
justaucorps comme la veste qui est en dessous descendent en dessous du genoux et boutonnés de
haut en bas par des brandebourgs
Plus le justaucorps s’ouvre est laisse apparaitre la cravate de mousseline ou de dentelle. La
particularité du justaucorps c’est que de chaque coté se forme des pants en volant (tissu plissé)
plissé pour donner de l’ampleur au bas de veste

Femme : pendant la 1ere partie de cette époque les costumes étaient d’une extrême somptuosité
mais devient plus simple sous madame de maintenon, corsage très serré a la taille qui donne à la
femme un aspect guindé, on décors ce corsage avec des échelles de nœuds en ruban. On garnie les
robes de Brandebourg
Louis 14 était un grand coureur de jupons,( sa 1ere femme Marie Thérèse d’Autriche , 1ere favorite :
louis de la Vallière qui fu un temps sa maitresse caché et peu après la mort de la reine, sa favorite
officielle, par la suit lassé par son comportement trop proche du peuple, il y eu Madame de
Montespan, elle a tout pour plaire, elle protège les artistes, elle est piquante et vive mais arrive après
les faveurs de Mme de maintenon qui fu l’épouse secrète du rois )

Sous Louis 15
Sous la sous Pompadour(maitresse de Louis 15), un style très Rococo. C’est l’avènement du plis a la
Watteau(DS) (c’est un pli qui se forme dans le milieu du dis qui part des omoplates en formant un
faux manteau de cours qui va se perdre dans l’ampleur de la robe, et formant une traine ) (Watteau
de son prénom Antoine était un peintre qui avait une forte admiration pour la robe a la française, le
nom de ce plis a été donne par des historiens modernes). Par la suite, il y a eu la robe volante et dite
a panier (DS) , à plis Watteau et à manches pagode(DS) ( manches qui forment des étages). Ces
panier étaient fait a partir de jonc de mer on en fanons de baleine

Marie Antoinette (Marie Thérèse s’Autriche)


Connu pour sa frivolité, son gout pour les toilettes, elle sait déjà tout de la mode a la française a son
arrivée en France. Elle commence très tôt à se parer des robes a la française et porte la coiffure en
queue de paon (dite coiffure a la dauphine)
Sa Couturière rose Berthin (considéré comme la ministre de la Mode) qui va l’aider à imposer son
gout à la cour, a elles deux elles réinventent la mode. Elle sait servie d’elle pour sa notoriété et lui à
apporter bcp d’inspiration. Le peuple veut copier la mode et les femmes veulent les mêmes robes.
Elle été accuse d’élapidé les bénéfices du royaume, tout allait vers les dépenses de robes.
(Étiquette => règles inventées par louis 15 pour réformer la cour ex : robe avec RB sont en dehors de
l’étiquette de la cour).
Les atours de la reine (archives nationale) permettent de suivre les commandes de chaque robe et
officieusement contrôler les dépenses de la reine.
Elle rêve par la suite de s’habiller comme une paysanne en simple robe de coton (DS) (une révolution
pour une reine de France d’apparaitre dans une robe simple et unie -> ne convient pas à l’étiquette),
elle libère son corps, ne veut plus de contrainte, de se déplacer comme elle l’entend.
Sa robe fait scandale, indécence, déconstruction de la royauté.

Soucieuse de son apparence, icone de la robe, Le styliste Jon Gagliano s’inspire de sa mode, voulait
être la plus jolie femme du royaume que d’être la reine.

Dior

Elle n’aime pas souffrir pour être belle est voit plutôt le corser a baleine comme une torture. Elle va
prendre encore des libertés en portant des tenues plus décontractées. Réputation d’une reine
extravagante dans son gout pour la mode. Elle porte des coiffures très haute et les femmes de son
royaume von -t devoir suivre la reine et faire appel à son coiffeur Leonard. Elle porte tellement de
plumes qu’elle sera appelé « la plume d’autruche »
DE LA REVOLUTION A L’INSOUSCIANCE
A la révolution, on voit apparaitre une classe émergente, les bourgeois, les gouts vont changer on va
aimer la simplicité, les hommes vont porter des couleurs sombre d’influence anglaise, et les femmes
vont préférer des étoffes en coton et des robes a l’anglaise. Toute une idéologie qui va apparaitre
(bleu, blanc, rouge).
Les sans culottes se différencie en fonction des vêtements. ON porte une veste courte que l’on
appelle la camarniole, un pantalon a pont, on pouvait porter soit le bonnet frégien soit le bicorne ou
tricorne.
Ce qui va perdurer dans le temps c’est l’habit militaire qui va devenir un costume masculin.
Les incroyables qui sont contre la monarchie vont inventer un nouveau langage sans R et un nouveau
style vestimentaire avec une chemise, un gilet, pantalon a hussarde(à bouton) et redingote
(manteau de cheval)
Et chez les femmes les merveilleuses préféraient le style à l’antique avec une capote ( chapeau),une
courte veste appelé spencer, les longs gants

Le consulat- L’empire 1790-1800

Napoléon va tout de suite comprendre l’importance de la mode et le commerce de l’élégance et


confias a Joséphine de Bauharmais le sceptre de la mode, cela aboutira au style romantique antique
=> le style empire. Ce style est inspiré des statuts grecques et romaines, souvent drapées dans une
simple toge.
La couleur va du blanc et pastel. L’histoire du costume va des lors entré dans une phase moderne, on
ne distingue plus un costume de cours, on va préférer les costumes d’apparat. La France va être
fasciné par les tissus venus d’orient, les fameux shall (ajd châle) de cachemire mais aussi la
mousseline de soie interdite à la vente car contrôlée par l’empire.
Contexte : il a des reformes sociales telles que l’enseignement obligatoire gratuit qui encourage les
classes ouvrières à s’instruire et donc à s’élever socialement, le monde évolue rapidement et
l’accroissement des classes moyennes favorise l’essor du marché de l’habillement.
Chez la femme, des robes au corsage très court et se fronce en rideau (ajoute une cordelette en
dessous de la poitrine ce qui donne à la robe un effet de rideau). On complète la tenue par des
gants longs ou des mitaines.
Sur la robe on enfile soit un spencer (veste courte a manches longues pourvu d’un col qui l’on
empreinte au vestiaire masculin, inventé par lord spencer qui lança la mode après avoir par
inadvertance brulé les pans de son habit-> le bas de la veste = crop top à un feux de bois auquel il
tenait le dos)

ou un Canezou (corsage fin fait en linon que l’on nettoyai).

Chez les hommes, les costumes renonce à ses extravagances du directoire.


Habit dégagé (veste) IMPORTANT DS le gilet à l’avant s’arrête en dessous du nombril.
L’habit=> s’arrête au-dessus de la taille et a l’arrière tombe deux pans , il comprend un grand col, un
revers, les manches sont assez étroites et descendent jusqu’aux mains).
ON porte une coiffure a la trituse.
On porte en pantalon un frac
La redingote (manteau) parfois remplace l’habit ou alors le complète, elle est croisée devant et à la
taille elle.
Le frac rappelle la culotte, il s’arrête soit au genou soit a la cheville et laisse voir les escarpins décotés
(ballerine homme)
Quand le frac s’engage dans des bottes, il devient alors pantalon a la hussarde.
Les chapeaux étaient des hauts de forme.

Joséphine de boharmais comme rose Bertin au temps de marie Antoinette, Hyppolite le rois
préfigure comme l’un des grands couturiers modernes. Il obtient la commande de l’impératrice
Joséphine pour la prestigieuse cérémonie du sacre. C’est ainsi qu’il obtient sa clientèle de tout paris,
installé rue de richelieu, il développera dans la lingerie, la ganterie, la parfumerie, les fleurs, les
eventaille et même les châles en cachemire. Napoléon de déteste. Napoléon le déteste, il l’appellera
« le marchand de chiffons de ma femme ». Joséphine ne portera jamais la même robe, c’est « une
robe a usage unique ».
Une Damme de la bonne société a besoin d’une domestique pour s’habiller.

IMPORTANT

George BRYAN.
A cette époque, les hommes font plus attention a la qualité et a la coupe de leurs habits ? les
hommes de la haute société adoptent un style décontracté et les manteaux masculins sont en laine
de couleur sobre. George Bryan dit « beau » Brummel est catalogué comme le 1 er dandy par
excellence, il fait évoluer la mode masculine au début des années 1800 il est l’archétype de la
vedette obsédé par son apparence.
Il est de conseillé ^personnelle en matière de mode et d’étiquettes du rois George 4 d’Angleterre
La tenue des dandys (gentlemen) adopte la simplicité audacieuse de Brummeil qui convient a l’esprit
révolutionnaire néoclassique de l’époque.

Le dandy => une chimise en lin blanc bien amidonné, gilet clair, manteau en laine
queue de pie (ce manteau pouvait être bleu marine ou noir, court sur le devant). On porte un
pantalon long ajusté, un foulards noué en cravate « Brummel l’attache de manière que cela
provoque une cascade de tissu », un. Chapeau haut de forme. Les boutons de cuivre du manteau
sont les seul détails voyants.la bonne conduite et le savoir vivre sont le summum se l’élégance pour
un dandy.
IL faisait polir ses chaussures au champagne, il faisait faire ses gants par 3 gantiers différents.
Comme si la simplicité de son apparence était chose naturelle.
6H de préparation et de soins quotidien => fait de Londres, le sens de la confection masculine.
Son exigence de la qualité va inspirer le couturier Charles Frederick Worth.

DE 1850 A 1900
Restauration (1829-45)
On est sous l’air louis Philippe 1er, l’ai est au style romantique, on emprisonne la taille et on en fait
une silhouette étranglée, on est avec des manches gigot, exubérantes, les jupes se rallongent, la
mode recherche son inspiration dans le passé, la petite et la moyenne bourgeoisie vont avoir accès à
la mode grâce aux magasines. (le journal des dame et des modes, la mésangère, la mode , le journal
des tailleurs, le journal des demoiselles, le musée des modes). Pendant ce temps-là, à Lyon, on va
chercher le noir, un noir intense qui portera le nom du noir fin de Lyon, car à l’époque plus le
vêtement est noir, plus c’est un signe de richesse. Les vestiaires sont quasiment identiques chez
l’homme. Chez les femmes, la robe redingote et le spencer et le Cazou sont toujours présentes. On
superpose les jupons encore une fois.

Second Empire (1845-1869)


On rentre dans une aire de la bourgeoise industrielle, c’est l’essor des banques et des conquêtes
coloniales et c’est surtout l’arrivé des grands magasins et notamment au bon marché (on affiche les
prix, ils sont fixes qui nous permettent de comparer les prix entre les produits), c’est de début des
premières soldes et remises. On propose l’achat de tissu pour confectionner sois même les
vêtements. C’est aussi le développement de la dentelle mécanique. On construit dès cette époque
des architectures de verre et de métal, on aime des taffetas mais aussi les étoffes semé de bouquets
et de guirlandes de fleur, les dentelles à motif, les pompons, des brandebourg et plus tard les
rayures. On a des nouveaux supports de robes, la crinoline

Les jeunes filles doivent être mariées pour porter du satin.


Et vers 1860, il y a une robe pour chaque occasion de la journée (une de ville, fin d’après-midi, soir,
bal)
C’est en 1857, c’est le début de la haute couture grâce a Charles Frederick Worth, c’est un anglais
qui travaillait chez un marchand de mode a paris, chez Gagelin et il va proposer ( à contre-courant de
l’esprit industriel de l’époque) de réaliser des modèles sur mesure et uniques avec une soins extrême
et de montrer à la cliente le model sur mannequin vivant dans un endroit luxueux qui nécessite bcp
d’investissement.
 La haute couture : ce qui élève la mode au rang de l’art c’est lorsqu’il signe ses robes tel un
tableau. On passe de mode bas de gamme a un rang d’art pure.
Il utilise de la soie lyonnaise, et il adore le velours de soie au sabre (on arrache de velours, on dessine
par-dessus le velours).
Worth invente un nouveau dessous de robe : la tournure a devant plat (typique de la fin 1800)
permet une silhouette en forme de triangle
IL invente aussi le lancement d’une collection, un saison en avance ( c’est actuellement ce que a
encore dans la haute couture) il propose des copies qui sont 4 model par saison et des création
uniques, il participe à la création de la chambre syndicale de la couture et de la conception pour les
dames et fillettes (1968)
Amelia Jenks Bloomer
Né en 1818-1894
Cette New yorkaise réclame de vêtements fonctionnels pour les femmes dans un article qu’elle
publie dans son journal féministe ( The Lily), elle invente une tenue pour les activités sportives et
cette tenue est composée d’un corsage ajusté -, d’une jupe ample s’arrêtant au genoux et d’un
pantalon bouffant qui descend jusqu’a la cheville ou il est froncé et volenté, ce pantalon prendra le
nom de bloomer. Au début le bloomer est critiqué et ironisé et il connaitra un succès aux débuts des
années 1880 à 1890.

Invention primordiale : la première machine a coudre est attribué a un tailleur Frc originaire de
Lyon Barthélémy Thimonnier.
Dépose en 1830 le premier brevet de mécanique a coudre, construite en bois avec un fil continu

3eme république
Apparition 3eme rep.
Worth commence a avoir des imitateurs comme redferm.
La tournure reste encore un peu la et les robes sont a tournures et s’inspire de la robe a la polonaise.
EN 1979, il propose un tailleur pour dame qui souhaite monter a cheval et pour se déplacer plus
facilement il comprend une veste tailleur et une jupe -> premier tailleur pour dame

Jacques Doucet
Avant même d’avoir 20 ans il va hériter de la boutique de lingerie de ses grands parents
en 1875, il ouvre sa maison de couture et commence à créer des robes longues et extravagantes en
dentelles, mousseline et satin de soie.
Ces tailleurs et manteaux sont doublés de fourrures, il a une subtilité pour les couleurs pastel.

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