Architecture Des Réseaux Partie3

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ENSA
ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS
ECOLE NATIONALE DES

SCIENCES APPLIQUEES D’EL JADIDA
DEPARTEMENT DE
TELECOMMUNICATIONS
Cours: Réseaux 1
Introduction générale aux réseaux :
Modèle OSI
Prof. A. AQQAL
Cycle Ingénieur
2013
Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 1
Objectifs
Les objectifs se rapportant à ce chapitre sont :

• Maîtriser les concepts de base de la téléinformatique
• Comparer les différentes techniques relatives à la transmission des

données via une liaison téléinformatique
• Comparer les différents supports de transmission utilisé dans une

liaison téléinformatique
• Introduction à la notion de l’erreur sur le réseau
1
-
Plan
1. Le circuit de données
2. Les modes de transmission

3. La qualité du circuit de données
4. Les bases de transmission
5. Les techniques de transmission
6. Les supports de transmission
7. La gestion des erreurs sur le réseau
Plan
1.1. Éléments de transport d’information

1.2. Signaux représentant l’information
2
-
Éléments de transport d’information
Système de communication Informatique :

Plan
1.1. Éléments de transport d’information

1.2. Signaux représentant l’information
3
-
Signaux représentant l’information
 Nature de l’information : un signal analogique (ex. voix) ou

numérique (ex. données en bits)
Signal analogique : y(t)=A sin (2Л ft+φ)

Caractéristiques : Amplitude, fréquence, phase
 Variation continue d’un paramètre physique
Signal numérique : suite de bits

5V
Bit 0  0 V
0V
Bit 1  5 V 1 0 1 0 0 1 0
 Variation discontinue du paramètre physique utilisé
Numérisation
 Etapes de la numérisation :
4.2
 Echantillonnage (Th. Shannon Fe≥2Fmax) 3.2
3.9
2.8 3.4
1.2
 Quantification
100 4
011 3
 Codage 010 2
001 1
000 0
 (métaphore : notes, note par semestre, mention) 011 100 011 011 001 100
Avantages : 011 100 011 011 001 100
 Langage des ordinateurs

 Fiabilité de la transmission (moins affectée par la distance)
 Protection contre les erreurs
 Facilité de traitement (compression, cryptage..)
4
-
Plan

6. La gestions des erreurs sur le réseau
LES MODES DE TRANSMISSION
LES MODES DE TRANSMISSION
Pour une transmission sur une voie de communication entre deux

machines, la communication peut s'effectuer de différentes manières.

La transmission est caractérisée par :
 le sens des échanges;

 le mode de transmission : série ou parallèle;
 la synchronisation : synchrone ou asynchrone.
5
-
Plan

1.1. le sens des échanges
1.2. le mode de transmission : série ou parallèle
1.3. la synchronisation : synchrone ou asynchrone
Le sens des échanges
SENS DES ECHANGES
• Unidirectionnelles (simplex): Les données sont

transmises dans une seule direction.
Exemple: Télévision
• Bidirectionnelles à l’alternat (half duplex): Les

données sont transmises dans les deux directions,
mais il n’y a qu’un émetteur à tout instant.
Exemple: radio de police.
• Bidirectionnelles simultanées (full duplex): Les

données sont transmises dans les deux directions, et il
peut y avoir plusieurs émetteurs simultanés.
Exemple: téléphone.
6
-
Plan


les modes de transmission
• Transmission série : Les bits sont transmis les uns après les autres.
• Transmission parallèle : plusieurs bits sont transmis simultanément
7
-
les modes de transmission
Comparaison :
on constate qu’il faut seulement 3 temps bit (temps d’émission d’un bit
sur le support) pour transmettre le mot « ISO » en transmission parallèle,
alors que la transmission série nécessite 8 temps bit pour transmettre la

seule lettre « O ».
Plan


8
-
La synchronisation
LA SYNCHRONISATION
– Problème:
Chaque caractère est émis de façon irrégulière dans le temps par un
Emetteur (ETCD A) vers un Récepteur (ETCD B).
• L’émetteur utilise son horloge pour déterminer le début et la fin de

chaque bit
• Le récepteur utilise son horloge pour déterminer quand un bit se termine
et quand le suivant commence
La synchronisation
LA SYNCHRONISATION
– Problème: Synchronisation des horloges
Imaginons qu'un seul bit soit transmis pendant une longue période de
silence. Le récepteur ne pourrait savoir s'il s'agit de 00010000, ou
10000000 ou encore 00000100...
Si les deux horloges n’ont pas la

même fréquence
 erreurs de transmission
9
-
La synchronisation
Solution 1:
• Transmission asynchrone: Les horloges de l’émetteur et du récepteur sont
indépendantes, mais elles sont périodiquement synchronisées.
– Un médium inactif est placé au niveau haut (celui qui correspond à 1)
– Avant que les données soient émises, le médium est placé au niveau
bas durant un temps égal à celui de la transmission d’un bit (c’est le bit « start »,
il permet de synchroniser les horloges)
– À la fin de la période (exemple: transmission d’un caractère 7bits + 1
bit parité), l’émetteur place le médium au niveau haut pendant un temps au
moins égal à la transmission de 1 bit (bit « stop»)
– Remarque: en plus des données, cela entraîne l’envoi des bits (start, stop) et
suppose que tout au long d’une période les horloges restent bien synchronisées
La synchronisation
10
-
Plan

La qualité du circuit de donnés
 Le Taux d’erreur : Rapport du nombre de bits émis erronés reçus au

cours d’une période d’observation sur le nombre total de bits transmis
pendant cette période.
Nombre de bits émis erronés

Taux d’erreur =
Nombre total de bits transmis
 Le débit binaire D exprimé en bit/s : Représente le nombre de bits

transmis par seconde.
débit physique
Nombre de bits transmis ≠

Débit binaire = débit logique
Unité de temps
 La rapidité de modulation R exprimée en Baud. Indique le nombre de

symboles transmis (le nombre des états de modulation) par unité de temps.
 R=I/Te ; Te: intervalle élémentaire pour transmettre un état
significatif
11
-
 Si on a n bits par état significatif alors D=R×n,
 pour Te=durée d’1 bit  D = R

 Si on définit la valence des signaux émis V=2n =nombre de symboles utilisés
 alors n  log 2 V donc : D  R. log V 2
¼S
Exemple :
 Transmission binaire à 2 états : n=1 , V=2 1

1 0 1 1 0 0
R = 4 baud et D = 4 bit/s  D = R 0
11
11
10 10
 Transmission binaire à 4 états : n=2 , V=4 10
R = 4 baud et D= 8 bit/s  D = 2×R 01
00
00
Amélioration du débit: Augmenter D c’est augmenter R × n

 n  log 2 V : Utiliser plusieurs niveaux du signal
 Augmenter la complexité de codage : limité la bande du récepteur

 Augmenter la capacité du canal : R limité par la bande du support :
Débit maximal:
* Théorème de Nyquist: Hypothèse: le signal n’est affecté par
aucun bruit. Dmax= 2 H log2(V)
H = la largeur de bande.
V= nombre de niveaux du signal.
* Théorème de Shannon: en présence de bruit, le débit
maximal est: Dmax= H log2(1+S/R)
S= puissance du signal
R= puissance du bruit.
12
-
0 1 0 1 0 1 0 1 0 1 0 1
0 1 0 1 0 1
Objectif : Transmettre sans erreurs une suite binaire à une machine distante :
- il faut décider du type de codage de la donnée à envoyer
- il faut prendre en compte les erreurs de transmission
Atténuation du signal
• Le signal physique est une onde qui se propage sur un support qui
atténue naturellement le signal.
• L'affaiblissement est proportionnel à la longueur de la voie de

transmission et à la fréquence du signal.
13
-
ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS La qualité du circuit de donnés
Perturbations
Le signal physique est soumis à des perturbations ponctuelles qui peuvent

altérer le sens du message initial :
Les parasites (ou bruit) = perturbations modifiant localement la forme du signal

La distorsion du signal = déphasage entre le signal en entrée et le signal en sortie.
Il est nécessaire de :

Normaliser le codage
 Adapter le signal à la sortie de l'ordinateur au support
 Choisir un support de qualité
 Prévoir des procédures pour le détection et la correction
des erreurs
14
-
Plan

Les techniques de transmission
En fonction du support de transmission (notamment sa Bande Passante), on

utilise 3 techniques de transmission :
 Transmission en bande de base;
 Transmission par transposition de fréquence;

 Multiplexage.
Ceci est réalisé par l’ETCD appelé généralement MODEM ou Codeur.
15
-
Les techniques de transmission
• Transmission: on doit tenir compte de deux facteurs:

– Spectre de fréquences contenu dans le signal ([f1, f2])
– Spectre de fréquences acceptées par le support ([f, f’]).
• Remarques:
– Pour ne pas avoir une déformation du signal, il faut que
[f1, f2] ⊆ [f, f’]
– Si (f2-f1) << (f’-f)  une mauvaise utilisation du canal.
• Techniques de transmission:
– Transmission en bande de base :
* Les signaux sont transmis tels qu’ils sortent de la source
* Utilisée lorsque les spectres du signal convient bien les spectres
acceptés par le canal.
– Transmission par transposition de fréquence:
* Le signal sortant de la source est modifié avant d’être envoyé
* Utilisée lorsque le canal n’est pas bien adapté aux spectres du signal.
Plan

4.1. Transmission en bande de base

4.2. Transmission par transposition de fréquence
4.3. Multiplexage.
16
-
La transmission en bande de base (TBB)
• Utiliser lorsque la Bande Passante du support physique est légèrement

supérieure à la bande de fréquence occupée par le signal à transmettre.
• Aucun traitement spécifique n’est réalisé sur le signal à transmettre,
sauf un codage particulier sur les 0 et les 1. Il n’est pas nécessaire de

moduler le signal.
• Le signal émis sur la ligne est celui obtenu après le codage.
• Dans la transformation en bande de base, l’appareil transformant les
données, ne fait pas de modulation. Dans ce cas, on l’appelle plutôt
transceiver ou transmetteur.
• L’intérêt de ce codage est le coût peu élevé
Exemple : Réseaux locaux industriels
Les TBB ont sujets à une atténuation dont l’importance dépend du support.
Ils doivent être regénérés périodiquement en utilisant des répéteurs.
La transmission en bande de base (TBB)
1 0 1 0 0 1 0 0 1 1 1 0 0 0
OBJECTIF : Utiliser un codage qui permet d’envoyer les données à

émettre, et si possible lui adjoindre une information sur l’horloge.
Deux méthodes de transmission de l’horloge sont utilisées :

1. On émet le signal d’horloge en le superposant au signal de données.
Mais, on consomme de la puissance émise
2. On restitue l’horloge à partir des transitions du signal. Il faut donc
transmettre des signaux tels que le récepteur puisse trouver de
nombreuse transitions, mêmes pour des suites de bits identiques.
17
-
La transmission en bande de base (TBB): le codage
Code NRZ (No Return to Zero) : Il consiste à transformer les 0 en -

X et les 1 en +X.
Code tout ou rien:

• 0 ⇒0 (volt)
Code NRZ: • 1 ⇒+V
• 0 ⇒-X Code RZ:
• 1 ⇒+X • 0 ⇒0
• 1 ⇒+V durant la 1ère moitié de
l’intervalle et 0 durant la 2ème moitié
De cette façon, on a un codage bipolaire dans lequel le signal n'est jamais nul.
Par conséquent, le récepteur peut déterminer la présence ou non d'un signal.
• Mal adapté au support, concentré autour des basses fréquences
• Problèmes de synchronisation d’horloge dans le cas d’une longue suite de
bits identiques
• Il présente, une résistance au bruits car le codage est à deux niveaux
Code de MANCHESTER ou biphase: Il introduit une transition au

milieu de chaque intervalle Δ.
On envoie les bits en série à chaque front montant de l’horloge.

Code NRZ:
• 0 ⇒-X
• 1 ⇒+X
Code Manchester:
Données 1 0 1 1 0
• 0 ⇒transition de bas vers le
haut au milieu de l’intervalle
• 1 ⇒transition de haut vers le

bas au milieu de l’intervalle
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-
Code de MILLER : Identique au code de MANCHESTER, à ceci près qu'une

transition apparaît au milieu de l'intervalle alternativement uniquement
lorsque le bit est à 1. De plus, pour éviter les longues suites de 0 posant toujours
un problème lors de la synchronisation à la réception, si un bit 0 est suivi d’un
autre 0, on rajoute une transition à la fin du temps d’horloge.

• riche en transition et résistant au bruit
– Code Miller:
• 0 ⇒ pas de transition si le bit suivant est 1, transition à la fin de l’intervalle
si le bit suivant est 0
• 1 ⇒ transition au milieu de l’intervalle 0
Code bipolaire simple : Codage sur trois niveaux.

Il propose trois états de la grandeur transportée sur le support physique :
 La valeur 0 lorsque le bit est à 0
 Alternativement +X et -X lorsque le bit est à 1
• Pour une même largeur de bande, permettent un débit au moins

deux fois plus élevé sur câbles chargés
• Il est plus sensible aux erreurs que les codages à 2 niveaux
Code bipolaire:
• 0 ⇒0
• 1 ⇒ alternativement +V, -V 1 0 0 1 0 1 1
19
-
Plan


4.3. Multiplexage.
Transmission par transposition de fréquence
Rappels : Toutes grandeurs sinusoïdales y(t) peut s’écrire sous la forme :

y(t )  Y .sin  2 . f .t    ou y(t )  Y .cos  2 . f .t   
Y= Amplitude; f= Fréquence; φ= Phase
Représentation dans le domaine temporel : Représentation dans le domaine fréquentiel :

Amplitude appelée SPECTRE
fréquence
f0
Abscisse : Temps Abscisse : Fréquence
Ordonnée : Amplitude Ordonnée : Amplitude
20
-
OBJECTIF : Placer la bande de fréquence occupée par le signal à

émettre dans la bande passante du support.
Bande passante d’un support: c’est la gamme de fréquences

transmises sans affaiblissement par un support de transmission.
 Modulation: Modifier (moduler) un ou plusieurs paramètres

d’une onde porteuse en fonction du rythme des signaux binaire à
transmettre.
– Porteuse: Vp(t)= Ap cos(2πfpt + φp )

– Paramètres de la porteuse: Ap, fp et φp
 4 types de modulation :
• Modulation d’amplitude  modifier Ap
• Modulation de fréquence  modifier fp
• Modulation de phase  modifier φp
• Modulation combinée  modifier plusieurs paramètres à la
fois (ex.: amplitude et phase)
21
-
Transmission par transposition de fréquence:

• Modulation d’amplitude :
- Pour un 1 logique : le modem envoie un signal d’amplitude A1

- Pour un 0 logique : le modem envoie un signal d’amplitude A0
 La modulation d’amplitude est sensible au bruit de la liaison
Avec 4 Amplitudes (4°) on peut transporter 2 bits :
• A1  00 • A2  01 • A3  10 • A4  11

• Modulation de fréquence :
- Pour un 1 logique : le modem envoie un signal de fréquence f1
- Pour un 0 logique : le modem envoie un signal de fréquence f0
 La modulation d’amplitude est insensible au bruit de la liaison mais

exigeante en BP
Avec 4f on peut transporter 2 bits :
• f1  00 • f2  01 • f3  10 • f4  11
22
-

• Modulation de phase :
- Pour un 1 logique : le modem envoie un signal en opposition de phase
avec la porteuse
- Pour un 0 logique : le modem envoie un signal en phase avec la

porteuse
4φ on peut transporter 2 bits :
• φ1 (90°)  00
• φ2 (0°)  01
• φ1 (180°)  10
• φ1 (270°)  11
00
10 01
Diagramme spatial
11
• Modulation hybride (exemple): D  R. log 2 V

Lorsque le signal x(t) est un signal numérique, pour augmenter le débit on regroupe
alors les bits à transmettre en symboles. Ici, on a regroupé 4 bits consécutifs en 1
symbole, soit 16 états possibles, donc la valence V=16. Le débit est alors multiplié par 4.
Pour ce faire :
PSK : multiplier les états de phase  l’écart entre les états de phase va être réduit sur le
diagramme spatiale  l’influence du bruit sur la transmission
PSK+AM: allier différentes modulations. Par exemple, modulation d’amplitude et de
phase ( appelée Modulation par saut de phase et d’amplitude) meilleure répartition
sur le diagramme spatiale  meilleure immunité au bruit.
MAQ: PSK+AM PSK

010
état possible
011 001
Changement de phase
100 000 Changement d’amplitude

1 000
0 000
101
111
110 8 états de phase (3 bits)
4 bits
1 état d’amplitude (1 bits)
23
-
Plan


4.3. Multiplexage.
Multiplexage
24
-
Multiplexage
MULTIPLEXAGE
Lorsque la bande passante d’un support physique est nettement
supérieure au spectre du signal à émettre, il est intéressant d’utiliser
ce même support pour transmettre plusieurs signaux. On parle
alors de MULTIPLEXAGE.
Deux possibilités :
 Multiplexage fréquentiel;
 Multiplexage temporel.
Multiplexage
25
-
Multiplexage
MULTIPLEXAGE FREQUENTIEL
Principe : On découpe la bande passante du support en plusieurs sous bandes.
Chaque sous bande est affectée à une voie de transmission.
Signal 1
Signal 2
Signal n
Chaque signal d’entrée est modulé en fréquence. La voie n est modulée

par une porteuse à la fréquence fn Emission à n’importe quel moment
mais limité en bande de la porteuse
Wavelength Division Multiplexing

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ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS Time Division Multiplexing
Limité en temps
mais à l’émission, il
a toute la bande !
MULTIPLEXAGE TEMPOREL
• Partage du temps d’utilisation du support et allocation totale de la BP

pour un utilisateur  Gaspillage des ressources
• Ce type de multiplexage est très utilisé dans les réseaux de communication
téléphonique fixe.
Principe : On découpe les voies d’entrées en IT (Intervalle de Temps = 125μs par

exemple pour la téléphonie fixe), et on les concatène grâce au multiplexeur.
Multiplexeur temporel Principe : on laisse la voie libre à chaque

échantillon au bout du temps.
0 0 0 0 0 01 10
27
-
Plan

Supports de transmission
• Plusieurs types de support:

– Câble: câble coaxial, paire torsadée blindée, paire
torsadée non blindée;
– Fibre optique;
– Systèmes sans fil: infrarouge, ondes radio, satellite.
• Le choix se fait selon plusieurs critères:
– Coût, largeur de bande, extensibilité, détérioration de
signal, interférences (sensibilité aux bruits), etc.
• Un réseau peut combiner plusieurs types de support de
transmission.
28
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Les supports de transmission
Support filaires
• Câble coaxial
• Fibre optique
• Paire torsadée
Support non filaires
•Les ondes laser ou infrarouge

•Les faisceaux hertziens
•Les satellites
•Les ondes radioélectriques
Plan

5.1. Paire torsadée
5.2. Câble coaxial

5.3. Fibre optique
5.4. Support non filaires
29
-
ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS Les supports de transmission : Le câble à paires torsadées
Description :
L’entrelacement des brins de cuivre permet de limiter les
interférences extérieures (moteur, relais, transformateur, …).
Parasite +Signal + Parasite
+Signal
e –
- Signal
- Signal + Parasite
Parasite
= 2 Signal
D’où l’utilité des paires torsadées
Les supports de transmission : Le câble à paires torsadées
Propriétés :
• installation et connexions simple et une grande flexibilité du câble
• grande vulnérabilité aux interférences, pertes élevées
• ne garanti pas l’intégrité des données transmises sur de longues

distances et à des débits élevés…
• type de câblage bon marché
Utilisation :
• Si l'on veut des débits importants, il faut limiter la distance entre
deux nœuds :
• 100 Mbs pour une distance maxi de 100 m,
• 1 Mbs lorsque la distance est de quelques centaines de mètre.
• Raccordements téléphoniques et informatiques.
30
-
Les supports de transmission : La Paire torsadée
• Les performances d’un câble en paires torsadées est mesurée par

deux valeurs :
 L ’Affaiblissement Lineique (appelé généralement
Attenuation) : L ’atténuation se mesure en DECIBEL par

kilomètre ou 100 mètres.
 Elle augmente avec la fréquence du signal et la longueur du

câble.
 Pour abaisser l’affaiblissement linéique, il faut augmenter son

Impédance. Cela implique d’augmenter son diamètre et celui
des isolants. Donc câble plus encombrant, plus rigide et plus
coûteux.
La diaphonie : due au couplage inductif entre paires voisines,

correspond au transfert du signal d’un câble à un autre.
31
-
• L ’Affaiblissement Paradiaphonique : Il traduit l’aptitude du

câble à ne pas être perturbée par les signaux transmis par les
paires voisines.
• Pour améliorer la paradiaphonie il faut poser un écran autour de

chaque paire. Donc plus encombrant et plus coûteux.
Les supports de transmission : Le câble à paires torsadées
Types de cable :
non blindé (UTP pour UNSHIELDED TWISTED-PAIR)
Câble composé de 4 Paires UTP
Conducteur Gaine
Mono-Brin Anti-Feu
Paire Torsadée
Fil de déchirement
blindé (STP pour SHIELDED TWISTED-PAIR)

Câble composé de 4 Paires torsadées écrantées (FTP)
Drain
Conducteur Feuille
Mono-Brin d ’aluminium
Gaine
Anti-Feu
Paire Torsadée
Fil de déchirement
32
-
Paire torsadée blindée: une paire torsadée non blindée protégée par
une feuille métallique (tresse métallique).
– Interférence: la tresse assure une meilleure protection contre les
interférences.
– Coût: plus cher que la paire torsadée non blindée mais le prix demeure
faible par rapport à d’autre supports.
– Largeur de bande: débit peut atteindre 150 Mbps.
– Extensibilité: moins flexible à cause de la tresse  l’extension demande un
travail plus laborieux.
• Paire torsadée non blindée: composé d’un certain nombre de

fils (2, 4, 6 ou 8) vrillés deux à deux.
– Interférence: le vrillage rend le câble moins sensible aux interférences.
– Coût: c’est le câble le moins cher.

– Largeur de bande: permet d’atteindre un débit de 100Mbps.
– Détérioration du signal: détérioration rapide du signal (quelques
dizaines de mètres). Il n’est pas conçu pour relier des ordinateurs très éloignés.
– Extensibilité: très flexible  facile à l’installer et faire l’extension.
33
-
Paire torsadée non blindée
Les grandes familles du câble UTP:
• Cat 1: Anciennement recommandée par le téléphone

(actuellement non recommandée).
• Cat 2: Anciennement recommandée pour la boucle

IBM 4 Mb/s.
• Cat 3: Recommandée pour les bandes de fréquences

jusqu’à 16 Mhz. Utilisation typique pour le réseau
Ethernet 10 Mbit/s
• Cat 4: Recommandée jusqu’à 20 Mhz typiquement

pour la boucle IBM 16 Mbit/s
Paire torsadée non blindée
Les grandes familles de câble UTP :
• Cat 5: Performance jusqu’à 100 Mhz pour la Ethernet

à 100 Mbit/s (actuellement non recommandée).
• Cat 5e: Performance jusqu’à 100 Mhz pour la

Ethernet à 100 Mbit/s et Ethernet Gigabit.
• Cat 6, 6A: Performance jusqu’à 250 Mhz pour

Ethernet Gigabit & 10 Gig Ethernet (10000 Mbps)
• Cat 7: Performance jusqu’à 600 Mhz (4 paires

torsadées blindées STP) pour Ethernet Gigabit ou 10G
34
-
ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS Topologies 10BaseT  10GBase-LX4
Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI

69 69
Plan

5.2. Câble coaxial

5.3. Fibre optique
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-
Les supports de transmission : Le Câble coaxial
• Câble coaxial: ressemble à ce que vous utilisez pour brancher votre

TV. Deux types: 50 ohms et 75 ohms.
Les supports de transmission : Le Câble coaxial
• Câble coaxial: ressemble à ce que vous utilisez pour brancher votre

TV. Deux types: 50 ohms et 75 ohms.
– Interférence: la tresse assure une bonne protection contre le

bruit.
– Coût: un peu plus élevé par rapport aux paires torsadées.
– Bande passante: quelques centaines de Mhz (le débit peut
atteindre quelques centaines de Mbps).
– Détérioration du signal: moins que les paires torsadées
– Extensibilité: passablement simple
36
-
Plan

5.2. Câble coaxial

5.3. Fibre optique
Les supports de transmission : La fibre optique
La fibre optique
Description :
Fibre optique : C’est un support qui permet de guider un faisceau
lumineux (conduit la lumière). Constituée d’un fil de verre très fin.
Le cœur de la fibre propage la lumière.
Les messages sont codés numériquement en impulsions lumineuses

et transmis sur de grandes distances. Un câble à fibres optiques peut
acheminer simultanément plusieurs milliers de messages.
37
-
Un système de transmission par fibre optique :

• un émetteur de lumière (transmetteur), constitué d’une diode
électroluminescente (LED, Light Emitting Diode) ou d’une diode
LASER (Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation),

qui transforme les impulsions électriques en impulsions lumineuses
• un récepteur de lumière, constitué d’une photodiode de type PIN

(Positive Intrinsic Négative) ou de type PDA (à effet d’avalanche)
qui traduit les impulsions lumineuses en signaux électriques
• une fibre optique.
un faisceau lumineux guidé par une réflexion interne totale

Les supports de transmission : La Fibre optique

– En pratique, on réunit souvent plusieurs fibres à l’intérieur d’une

même gaine protectrice pour former un câble :
(a) gaine avec une seule fibre
(b) gaine avec trois fibre
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-
ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS Les supports de transmission : La fibre optique
Fibre à saut d’indice : le cœur d’indice n est entouré d’une

gaine d’indice n2. La variation d’indice entre le cœur et la
gaine est brutale (saut d’indice). La propagation s’y fait par
réflexion totale à l’interface cœur/gaine. la fibre admet
plusieurs rayons qui se propagent sur des chemins différents ou
modes de propagation (dispersion modaleFibre multimode)

Les fibres à gradient d’indice: l’indice du cœur décroît de

façon continue, depuis le centre du cœur jusqu’à l’interface
cœur/gaine suivant une loi parabolique.
39
-
ENSAJ- DÉPARTEMENT DE TÉLÉCOMMUNICATIONS Les supports de transmission : La fibre optique
Fibre monomode: en réduisant le diamètre du cœur, on réduit

l’ouverture numérique. La fibre n’admette plus qu’un seul
rayon.
Les supports de transmission : La Fibre optique
• Comparaison entre la fibre monomode er la fibre multimode :

40
-
Avantages :
– Interférence: Pas d’interférence; Insensible aux parasites
électromagnétique
– Bande passante: quelques centaines de GHz (Débit peut
atteindre plusieurs centaines de Gbps);
– Détérioration du signal: Affaiblissement très réduit,
transmissions sans répéteurs sur des distances de 100 à 200 km.
– Remarque: Un taux d’erreur binaire très faible, de l' ordre
de 10-12 et difficulté de se mettre à l’écoute (sécurité)
• masse linéique très faible
Inconvénients :
– Coût: élevé par rapport aux autres supports (Prix de la fibre,
prix des ETCD);

– Extensibilité: raccordement très délicat;
– Expertise : un savoir-faire certain.
Utilisation :
- Transmission en temps réel, long distance, en milieu perturbé.
- Artères (backbones) des réseaux de télécommunication,
- Infrastructure des réseaux locaux à haut débit (Gigabit
Ethernet)
41
-
Plan

5.2. Câble coaxial

5.3. Fibre optique
Les supports de transmission : Support non filaire
Utilisation des ondes électromagnétiques dans l’atmosphère ou

le vide. Ce support comprend les faisceaux hertziens, les rayons
infrarouges et les rayons laser.
42
-
– Avantages :
• Pas de support physique: Éviter tout risque de rupture des
câbles, lorsque le câblage est difficile etc.
• Couvrent des grandes distances avec faible coût

• Solution idéale pour se connecter à partir d’un ordinateur
mobile (dans une voiture, dans un avion, dans un bateau,
dans un train, etc.).
– Inconvénient:
• Sensible aux conditions atmosphériques : Les conditions
météorologiques au sol ou en altitude peuvent affecter

temporairement la qualité des communications.
• Dispersion des faisceaux : Retransmission et correction
d’erreur nécessaires
• Confidentialité : Cryptage indispensable pour maintenir la
confidentialité des communications.
43
-
Les supports de transmission
Exemple : Réseaux regroupant différent supports de transmission

Plan

44
-
Contrôle des erreurs dans les réseaux
Deux types d’erreurs:
• Erreurs humaines
• Erreurs de réseaux
Dans les erreurs de réseaux, nous dénotons deux types

d’erreurs:
• Données corrompues
• Données perdues
Les erreurs de réseau
• Les erreurs de réseau sont normales dans les installations

réseaux
• Les erreurs arrivent généralement en rafales
• Plusieurs bits d’information sont changés en même temps
45
-
Qu’est-ce qui cause les erreurs

 Distortion :
* Limitation du canal de transmission: incapable de transmettre toutes les
harmoniques, le canal se comporte comme un filtre  déformation du
signal.
Exemple : Bande passante réseau téléphonique commuté 300-3400 Hz
* Distorsion temporelle: Toutes les composantes harmoniques d’un
signal ne se propagent pas à la même vitesse.
• Atténuation: correspond à une perte d’énergie du signal pendant sa
propagation.
• Bruits de ligne :
* Bruit thermique
* Bruit impulsionel
* Bruit diaphonique
* Bruit harmonique
Les phénomènes perturbateurs
Bruit blanc : agitation thermique,

- de faible puissance,
- sur une large plage de fréquences.
Bruit impulsif : organes électromécaniques, microcoupures

- forte puissance,
- durée faible,
- peu présent dans les réseaux numériques.
Diaphonie : couplage parasite entre lignes voisines - influence

électromagnétique
- placement des câbles, blindage, fibre optique !
Echo : réflexion du signal due à une désadaptation d’impédance

- suppresseur d’écho.
- ex : câblage téléphonique 4 fils/2 fils
46
-
Comment prévenir les erreurs
La protection contre les erreurs peut se faire de deux façons :
 Fiabilisation du support de transmission.

• Blinder les fils

• S’assurer que les câbles sont loin des sources de bruit
• Ajuster l’équipement de transmission et améliorer la
qualité de la connexion
• Utiliser des amplificateurs et des répéteurs
• Louer des circuits conditionnés
Détection d’erreurs
 Mise en place des mécanismes logiques de détection et de
correction des erreurs.
• Repérer les erreurs : envoyer des données supplémentaires

• En général, plus l’on envoi des données supplémentaires, meilleure est
notre capacité à repérer les erreurs
• Principe de base :
Redondance = ajout d'information (checksum) pour la vérification de la
validité des données.
• Principales méthodes :
 Le contrôle de parité
 Le contrôle de parité croisé (Redondance longitudinale)
 Le contrôle de redondance cyclique
47
-
Parité
Le contrôle de parité (VRC = Vertical Redundancy Check)

• Le plus vieux mécanisme
• Ne protège pas si le nombre de bits qui change est pair
Codage : Ajout d’un bit supplémentaire (bit de parité) à un

certain nombre de bits de données appelé mot de code
(généralement 7 bits, pour former un octet avec le bit de
parité)
Par exemple : ajout d’un 1 si le nombre de bits 1 du mot est

impair, 0 dans le cas contraire.
1001001 1 - 1110001 0 - 1111001 1

Parité
Contrôle : si le bit de parité ne correspond pas à la parité de

l'octet reçu : une erreur est signalée.
Transmission du mot « HELLO ».
48
-
Redondance longitudinale
Si deux bits (ou un nombre pair de bits) venaient à se modifier
simultanément lors du transport de données, aucune erreur ne
serait alors détectée...
Comment contrôler l'intégrité des bits de parité d'un bloc ?

 Le contrôle de parité croisé par bloc (Longitudinal
redundancy Check)
Letter ASCII Parity bit
D 1000100 1
A 1000001 1
T 1010100 0 VRC
A 1000001 1
LRC 1101111 1
Limite : Méthode plus efficace que le bit de parité  détection de

plusieurs bits erronés. En cas d’erreur il faudra retransmettre tout
le bloc.
Le Contrôle de Redondance Cyclique (CRC)
Ce contrôle protège des blocs de données, appelés trames (frames

en anglais) par une vérification polynomiale qui ajoute un
caractère ou plus à la fin du message basé sur un algorithme
mathématique
A chaque trame est ajouté un bloc de données, appelé code de

contrôle (CRC) dont la valeur dépend des données transmises.
Le bloc de contrôle d’erreur = Reste (message à transmettre /

code binaire connu)
 Tout mot hors du code (message erroné) donne un reste non nul
49
-
an-1 an-2 an-3 … … … … a1 a0
On considère la trame à transmettre comme un groupe de bits. On lui associe un

polynôme P(X) tel que le coefficient de degré i corresponde à la valeur du ième bit.
n 1
P( X )   a . X k
k
k 0
On choisit un polynôme appelé polynôme générateur G(X) de degré « r » ayant des

propriétés spécifiques.
On calcule Xr*P(X) et on le divise par G(X). Le reste de cette division polynomiale est un
autre polynôme noté R(X).
On transmet : M(X) = Xr*P(X) + R(X).
an-1 an-2 an-3 … a1 a0 rk … r1 r0
A la réception, on vérifie que le reste de la division M(X) par G(X) est nul.
Exemple (chez l’émetteur) :

Soit la séquence 110111 à envoyer et qu’on propose de traiter comme un
polynôme binaire
Le polynôme P(X) associé au polynôme vaut donc X5+X4+X2+X+1;

On veut ajouter deux bits de redondance on multiplie par X2 : X7+X6+X4+X3+X2
Si on choisi un polynôme générateur de degré inférieur au degré du polynôme
message : G(X)=X2+X+1;
Les bits de redondance ajoutés au message sont les coefficients du polynôme
reste dans la division du polynôme message par le polynôme générateur
1 X7+1X6+ 0X5+1X4+1X3+1 X2 X2+X+1
X7 + X6 + X5
X5 +X3 +1
X5 + X4 + X3 + X2
X5 + X4 + X3
X2
X2+X+ 1
X+ 1
Soit le message transmis est donc : 110111 1 1
50
-
Exemple (chez le récepteur) :

Le récepteur :
• Utilise le même polynôme générateur : G(X)=X2+X+1
• Utilise le polynôme du message reçu : soit X7+X6+X4+X3+X2 +X+1

la séquence du message binaire 110111 11 (s’elle est bien reçu)
• Tout mot hors du code (message erroné) donne un reste non nul
110111 1 1  1 X7+1X6+ 0X5+1X4+1X3+1 X2 + X+ 1 X2+X+1

X7 + X6 + X5
X5+X3+1
X5 + X4 + X3 + X2 + X+ 1
X5 + X4 + X3
X2 + X+ 1
X2 + X+ 1
0
Le reste du message correctement reçu est donc : nul
La correction des erreurs
1. Accusé de réception et retransmission
Méthode la plus fréquente, dans la transmission des données.

En conclusion
La protection contre les erreurs de transmission nécessite :
- La création d’un format structuré pour les données échangées
- La définition de procédures normalisées
On devra définir un PROTOCOLE
51
-
Objectifs
Ce chapitre nous a permis de :

• Survoler les concepts de base de la téléinformatique
• Comparer les différentes techniques relatives à la transmission des

données via une liaison téléinformatique
• Comparer les différents supports de transmission utilisé dans une

liaison téléinformatique
• s’initier à la notion de l’erreur sur le réseau
52

Architecture Des Réseaux Partie3

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ECOLE NATIONALE DES

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 1

Les objectifs se rapportant à ce chapitre sont :

• Maîtriser les concepts de base de la téléinformatique

• Comparer les différentes techniques relatives à la transmission des

• Comparer les différents supports de transmission utilisé dans une

• Introduction à la notion de l’erreur sur le réseau

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 2

2. Les modes de transmission

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 3

1.1. Éléments de transport d’information

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 4

Éléments de transport d’information

Système de communication Informatique :

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 5

1.1. Éléments de transport d’information

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 6

Signaux représentant l’information

 Nature de l’information : un signal analogique (ex. voix) ou

Signal analogique : y(t)=A sin (2Л ft+φ)

 Variation continue d’un paramètre physique

Signal numérique : suite de bits

 Variation discontinue du paramètre physique utilisé

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 7

Avantages : 011 100 011 011 001 100

 Langage des ordinateurs

2. Les modes de transmission

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 9

LES MODES DE TRANSMISSION

LES MODES DE TRANSMISSION

Pour une transmission sur une voie de communication entre deux

machines, la communication peut s'effectuer de différentes manières.

 le sens des échanges;

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 10

2. Les modes de transmission

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 11

Le sens des échanges

SENS DES ECHANGES

• Unidirectionnelles (simplex): Les données sont

• Bidirectionnelles à l’alternat (half duplex): Les

• Bidirectionnelles simultanées (full duplex): Les

2. Les modes de transmission

2.1. le sens des échanges

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 13

les modes de transmission

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 14

les modes de transmission

alors que la transmission série nécessite 8 temps bit pour transmettre la

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 15

2. Les modes de transmission

2.1. le sens des échanges

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 16

• L’émetteur utilise son horloge pour déterminer le début et la fin de

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 17

Si les deux horloges n’ont pas la

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 18

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 20

2. Les modes de transmission

Prof. A. Aqqal Cours Réseaux. 1 : Modèle OSI 21

La qualité du circuit de donnés

 Le Taux d’erreur : Rapport du nombre de bits émis erronés reçus au

Nombre de bits émis erronés