Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Les Sociétés
Secrètes Bantu
Préface du Professeur
Yvon Norbert GAMBEG
Tome 1
Essai
Du même auteur déjà publié
2
Au Couple PAMBOU NGOMA Pierre,
représentant l’Ecole Africaine des Initiations Spirituelles
de Libreville !
3
« J’apporte dans ce livre une lumière, un
soulagement pour ceux qui ont une
attitude négative envers nos sociétés
secrètes. »
4
Note de l’Editeur
5
répondre aux diverses révélations, sinon aux faits étalés
par l’auteur à travers ses belles pages.
Au mieux, ce livre est un parchemin de plus qui
vient s’ajouter dans la bibliothèque de la connaissance sur
l’histoire africaine ; pour aider le commun des mortels
dans sa quête de la vérité.
Car, croyez-nous sur parole, la vérité n’est pas
une goutte d’eau jetée dans la mer, mais elle, la vérité, est
plutôt une couche atmosphérique qu’il faut détecter dans
les sphères célestes ! Il faut donc des hommes qui osent en
parler, pour éveiller les ignorants et mobiliser pour sa
détection !
Editeur,
Véracité-KTN.
6
Préface du Professeur
Yvon Norbert GAMBEG
7
les hommes se sont toujours posées sur les origines de
l’homme noir.
Ce livre apporte des révélations sur l’épopée des
Noirs, qui ont conquis, enseigné et éduqué le monde. Car,
ce livre ne fixe d’autres objectifs que de montrer
l’importance des sociétés secrètes dans les milieux Bantu.
Au moment où une grande partie de nos rites,
coutumes et traditions disparaissent, notre identité est
confrontée à des problèmes d’ordre culturel. La culture
d’origine occidentale qui, par l’évangélisation, mène la
guerre contre nos traditions, nos sociétés secrètes qui jadis
étaient la lumière de notre civilisation et cet ouvrage est un
appel au ressaisissement des Africains.
L’auteur apporte dans ce livre une lumière, un ouf
de soulagement pour ceux qui ont une attitude négative
envers nos sociétés secrètes. J’ose aussi croire que la
lecture profonde de ce livre emmènera le lecteur à se
réconcilier avec son identité, à comprendre qu’une société
secrète est l’assise de la société. Ce que le mondain appelle
par société secrète n’est en réalité qu’une religion au sens où
elle solidifie le lien social entre les membres d’une société.
Puisque depuis la rencontre de l’Occident avec l’Afrique
au XVe siècle, celui-ci a décrit de manière biaisée les
réalités du Continent. La religion et la spiritualité africaines
n’échappent pas à cette vérité. La méconnaissance de la
vérité de l’Afrique demeure un sérieux handicap
dépersonnalisant et traumatisant. Les études africaines qui
ne critiquent pas ses errements et les reproduisent
servilement, qui ne décapent non plus là gangue
idéologique et politique qui les recouvre ne font
qu’aggraver le malheur de l’Afrique.
Ce livre met à nu la description les réalités des
sociétés secrètes africaines qui ont été satanisées par des
8
non-initiés; il est une prescription aux Bantu de la
confiance critique qu’ils doivent à leur propre culture, et à
l’assimilation de leur propre identité.
« Les Sociétés Secrètes Bantu », est une résurrection
d’un « Sot l’y laisse », vieille expression anglaise signifiant
fouler au pied quelque chose de vitale, qui est même le
fondement d’une société.
Ce livre analyse le lien existant entre l’homme
Bantu et son histoire qu’il n’ose plus exploitée, tellement
embrouillé par les cultures des autres peuples, une histoire
qui renait d’un passé méconnu, à travers les mythes des
mouvements migratoires des peuples Bantu, qui se
résument, d’après Waka Futur Sacré-Cœur, en trois
phases :
1/ L’épopée des peuples Bantu en Europe, en
Asie, où ils sauront bâtir une civilisation religieuse en tant
que premier prototype humain sur terre, détenteur des
pouvoirs surnaturels, les premiers à avoir rencontré des
dieux descendus du ciel ;
2/ La construction de la première et la plus
grande civilisation du monde préhistorique, dont les
pyramides des négroïdes égyptiens, témoignent encore les
vestiges d’une civilisation passée ;
3/ La grande migration des Bantu en Afrique
centrale et vers le sud de l’actuelle Afrique, théâtres de la
confrontation avec leurs frères de race, les « pygmées »,
déjà installés dans cette partie depuis des milliers d’années.
Ainsi que la découverte des royaumes kamit dans la partie
sud à l’instar des royaumes Kongô et Téké, centres de
renouvellement de ce que le Proto-Bantu avait perdu en
Egypte nègre (le savoir).
9
Dans ce livre, Waka Futur Sacré-Cœur place les
Bantu au centre du monde Kamit et des progrès
préhistoriques.
Les enseignements tirés de ce livre de nature
anthropologique et ethnologique, forment le caractère
dimensionnel de la civilisation Kamit où le sacré a été à la
genèse des sociétés secrètes Bantu nées dans les « maisons de
vie égyptiennes », dont l’Afrique détient soigneusement et
jalousement l’héritage préhistorique. Il s’agit de ces sociétés
secrètes que l’auteur du livre, Waka Futur Sacré-Cœur, tente
de raviver.
Ce livre vient alors pour briser le silence de mort et
vaincre l’ignorance!
Désormais, les Bantu n’auront plus à se plaindre,
car les connaissances jadis mystifiées viennent d’être
sculptées dans le marbre, dans ce livre. Il est un panneau de
sensibilisation sur lequel il est écrit : « Celui qui ne sait pas d’où
il vient, ne saura jamais où il va » !
L’avantage des autres peuples par rapport aux
Bantu, c’est qu’ils ont brisé le silence et l’énigme, ils ont
rédigé leur spiritualité et ils avancent dans le développement
tout en gardant le cordon ombilical qui les relie à leur passé,
ce qui leur donne une identité cultuelle.
L’Afrique doit faire autant, écrire son histoire,
enseigner son mysticisme à ses enfants ! Waka Futur Sacré-
Cœur s’appuie, pour ses démonstrations, sur les preuves de
« l’Anthropologie nécromancienne », à la manière des chamans et
des devins. Ce principe de la connaissance relève tant de la
croyance, de la foi que de la science expérimentale et des
méthodes historiques.
Dans « Les Sociétés Secrètes Bantu », Waka Futur
Sacré-Cœur procède à une réflexion à haute voix qui
présente les Bantu dans leurs religions : rites, symbolismes,
évocations, initiations, avantages et inconvénients.
10
Certes, il ouvre la voie à l’étude des religions
traditionnelles de l’Afrique, encore plus à l’étude du sacré
des Africains. Ce qui le différencie des autres auteurs
anciens ou contemporains, c’est la profondeur des réalités
décrites par lui qui sont, à notre avis, un puissant
témoignage de celui qui s’est offert comme acteur et sujet
de l’histoire dont il rapporte dans ce livre quelques pans
entiers. Cette histoire des Bantu est bien une histoire
structurale, une histoire anthropologique où la succession des
sociétés secrètes Bantu livre des stades de l’évolution des
peuples. C’est, entres autres repères, à travers elles que se
lisent des temporalités ancestrales diverses, les principales
étapes de la vie des hommes à travers les rites de passage ou
de guérison ; ceux-ci ont des temps distincts comme le sont
aussi les temps sociaux masculins et féminins, rites qui
renouvèlent en général la vie de la société ou du pays. Tous
ces temps de la religion, du mysticisme ou de la vie socio-
politique et économique sont saisis au moyen de symboles
et maîtrisés dans des actes, des gestes et des œuvres. Les
rites sacrés sont la vie essentielle dans un univers cosmique
unique. L’homme relié à la nature, au cosmos, aux
Divinités, à Dieu et à l’homme lui-même, s’inscrit dans ce
cycle de la vie et est vivifié en permanence par la parole
sacrée. Et, l’homme agit pratiquement pour conquérir,
améliorer et conserver les cadres spatio-temporels de son
existence et de celle de la communauté. Il recherche la
protection et la perfection. C’est ce qui donne sens à la
spiritualité africaine Bantu. C’est la profondeur de cet
ouvrage.
Yvon Norbert GAMBEG,
Professeur titulaire
en Histoire et Civilisation Africaines,
Université Marien Ngouabi,
Brazzaville.
11
12
Introduction
13
incertain. L’idée de cette étude, qui germe dans mon esprit
il y a plus d’une quinzaine d’années, se concrétise
aujourd’hui, grâce à des multiples découvertes sur l’épopée
des Noirs, disant des Bantu en Europe et en Asie il y a
plusieurs milliers d’années. Les Bantu, comme l’affirme ce
livre, étaient autrefois les maîtres du monde, les premiers
habitants du globe terrestre avant les autres races.
Les Bantu ont été les premiers à avoir des
contacts avec les divinités venues du Ciel, qui les ont dotés
de la connaissance mystique, des savoirs et du pouvoir de
la transformation. Ceci s’expliquerait par la présence des
squelettes et des statuettes négroïdes trouvées en Europe
occidentale, en Italie, à la Sibérie. Grâce aux fouilles
effectuées partout sur le globe terrestre, la science
moderne a aidé les hommes à reconstitué leur histoire. La
présence de l’homme noir, dès l’origine sur le globe, c’est
autant dire que l’intériorité des Nègres n’a plus besoin
d’être prouvée.
Si l’Afrique est le berceau de l’humanité et que les
premiers êtres ont existé en Afrique, donc ils étaient des négroïdes !
Comment ne pas porter son point de vue, sur les
incompatibilités sur l’histoire des Bantu qui nous ont été
contées par des extra-Bantu, ne parlant ni les langues
Bantu, ni n’étant des initiés de cesdites sociétés occultes ?
C’est ainsi que je voudrais proposer les pistes essentielles
que voici :
Je m’interroge sur l’essence même des sociétés
secrètes Bantu. Il s’agit d’une ouverture intellectuelle et
d’une vision qui dépassent la rigueur habituelle du
chercheur.
D’après les témoignages archéologiques dont
disposent les savants aujourd’hui, les premiers hommes
apparus sur terre étaient des négroïdes. Alors, Adam et
14
Eve le seraient-ils ? La Bible qui fait mention de leur
création le propose en un style ironique : « Dieu créa
l’homme à son image et il créa la femme de l’homme ».
C’est alors pour moi une occasion d’éblouir les
yeux de mes lecteurs par cette révélation séculaire : Si
l’homme a été tiré de la terre et que la première couche de la terre est
de couleur noire, donc le premier prototype humain était Noir.
Yves Coppens un paléoanthropologue de nationalité
française, dans ses recherches aboutissant à la découverte de Lucy,
arrive à conclure que le premier être humain était noir et que tout
l’humanité est sortie d’une même souche. Ce qui justifie ces propos :
« l’Afrique berceau de l’humanité ». C’est pour dire que le premier
prototype était africain pour ce paléoanthropologue, les races
n’existent pas, il existe que la race noire, les restes ne sont que des
colorations ou des dépigmentations due au changement climatiques.
Nous somme en possession des preuves, pour affirmer que
le premier prototype humain que les archéologues ont appelés par
Lucy er Toumay, ne sont-ils pas Adam et Eve ?
Mais il faut aussi reconnaitre que l’Afrique centrale n’a
jamais fait l’objet des fouilles anthropologiques à grande échelle.
L’essai sur les fouilles anthropologiques au Gabon (Lagounier), par
une entreprise de mines nommée SOCOBAB, montre que les
ossements découverts étaient plus vieux que ceux de Lucy et Toumay.
Ne dira-t-on pas que le jardin d’Eden a existé en Afrique centrale ?
Si les Bantu constituaient cette première famille
linguistique Kamit et au sein de cette famille les nzélé (Téké)
constituaient la première langue kamit, donc le premier prototype
était nzélé. C’est aussi vrai de vous révéler qu’Adam et Eve étaient
Téké. Oui ! Jusqu’alors les plus vieilles fossiles datant de 2, 2
milliard d’années ont été découvertes au Gabon, une terre
premièrement habitée par les téké.
15
Tous les doctrinaires scientifiques d’aujourd’hui
écrivent selon les recherches scientifiques, dépourvue
d’une compétence mystique d’interroger les aïeux. Ils ont
comme outils de recherches les méthodes scientifiques,
pour expliquer le vécu antérieur de nos aïeux. C’est de
cette expérience que m’est venue l’idée de créer une
nouvelle science dénommée : « Anthropologie nécromancienne ».
Cette science qui sera utile et apportera un lendemain
meilleur à ceux qui en appliqueront dans l’obtention et le
transfert des données métaphysique vers les sciences
existentielles, la nécromancie est une science qui permet à
une personne d’entre en contact avec un mort.
Les informations contenues dans ce livre m’ont
été livrées par ceux qui ont fait l’histoire eux-mêmes c’est-
à-dire au travers de mes nombreux voyages astraux à la
rencontre de nos aïeux.
Ce livre riche en révélations est un outil
indispensable pour les chercheurs qui apprendront que
dans la civilisation Kamit, tous les Noirs n’étaient pas de la
famille des Bantu. Il y avait des Nilotiques, des
couchitiques, des Soudanais. Ainsi que des peuples
avoisinants non négroïdes comme les berbères, les
touareg, des Zuana. Comme le pense l’un des plus grand
paléoanthropologue et père de Lucie, Yves Coppens qui
pense qu’il n’existe qu’une seule race celle de peau noire, le
reste des peules que nous pensons être des races ne sont
qu’une dépigmentation ou une décoloration du aux
changements climatiques.
Aujourd’hui dispersés dans tout le globe, après
avoir instruit, initié, hébergé les races voisines, après avoir
laissé leurs empruntes en Asie, en Inde, en Mésopotamie,
c’est partant de là, qu’il y a une forte présence des noirs au
Pakistan, en Papouasie, à la Nouvelle Guinée, à la
16
Nouvelle Zélande autrement dit les Amérindien qui
forment le peuple mayas ont importé avec eux de l’Egypte,
la civilisation kamit et l’ingénierie, d’où la présence des
pyramides mayas. Mayas le nom porté par une déesse
égyptienne.
Après avoir été les constructeurs des pyramides
dont aucune œuvre humaine jusqu’aujourd’hui ne peut se
comparer, après avoir construit la plus grande civilisation
dans le monde préhistorique, après avoir été les détenteurs
des véritables sociétés secrètes au monde, après avoir
démontré son plus grand génie universel, quittant la
civilisation kamit pour se diriger vers le sud de l’Afrique,
exposés aux dangers face aux animaux féroces, des
grandes forêts, des grandes rivières, fleuves qu’il faillait
traverser, l’histoire de ces peuples ne fait nullement
l’unanimité des africains.
Qu’est-ce qui pourrait rendre possible cette
migration ? Si ce ne pas la cosmogonie des sociétés
secrètes dont disposait les peuples Bantu ?
Ce livre est une invite à vous faite, afin de
découvrir le mysticisme Bantu pendant la migration vers le
sud de l’Afrique, la puissance du nkobè é ndzobi, des rites
Vaudoo dans la traversée des fleuves, océans, rivières,
forêts, les diverses batailles de suprématie entre les Bantu
et leurs frères pygmées.
Grâce à mes contributions anthropologiques et
ésotériques, le berceau primitif immédiat et commun à
tous les peuples Bantu est désormais fixé avec des
révélations illustrées dans ce livre ! Qui aurait cru que dans
les maisons de vie égyptiennes, l’un des rites initiatique
pratiqués était le ndzobi ? Et que l’arche de l’alliance de
Dieu n’était autre que le nkobè ?
17
Voilà pourquoi l’attitude réductrice d’une opinion
occidentale qui fait des peuples Bantu, un monde sans
culture, sans civilisation s’étend jusqu’au rejet de l’existence
d’une organisation des sociétés Bantu, ne peut qu’être
condamnée dans ce livre.
Pour une étude de cette dimension, ce livre qui est
entre vos mains est un outil d’enseignements, un scoop
volant qui vous fait pénétrer dans les époques très lointaines,
dans un passé inaccessible de la puissance mystique de
l’homme noir. C’est ainsi que je vous convie à la découverte
de l’histoire et de la culture Bantu, si le lecteur désire lui-
même le situer dans cette démarche. Il l’amène à établir le
lieu d’origine d’où proviendraient les Bantu et les étapes de
leur migration.
A partir de certains faits historiques ou bibliques, de
comparaisons linguistiques et d’observations diverses de
certains ethnologues, je vous propose la lecture de ce livre et
une compréhension de l’histoire des Bantu depuis leurs
origines « supposées » jusqu’à nos jours.
En dernière analyse, il conviendrait de dire que ce
livre à une particularité singulière par apport aux autres,
parce qu’il étudie le côté mystique des peuples Bantu dans
leur migration et l’apport que ces sociétés ont avec nos
réalités actuelles.
En plein XXIe siècle où l’identité n’existe plus, ni
dans un en-soi, ni dans une forme, fut-elle majeur, de la
symbolique sociale, comme par exemple la langue et la
religion, mais dans un système complexe ; être c’est non
seulement être-dans, c’est être-avec, c’est provenir de
quelque part, mais c’est aussi être engagé vers la
connaissance et la découverte de nos sociétés secrètes.
Bonne lecture
L’auteur.
18
PREMIERE PARTIE
19
20
Table des matières
21
La découverte du Zimbabwe .......................................... 39
La découverte des terres de Yulu-Kongo ...................... 41
La découverte du Royaume Kongo ............................... 45
La bataille d’Ambuila ........................................................ 47
La découverte du foyer de M’bé ..................................... 50
22
Deuxième partie : Les sociétés secrètes Bantu ..... 73
23
Le symbolisme du Ndzobi ............................................ 116
La danse et ses mystères dans le Ndzobi ..................... 128
Objectifs du Ndzobi ....................................................... 144
Le ndzobi soigne, protège et tue ................................... 148
Le matin de l’initiation ................................................... 148
L’accueil des candidats ................................................... 150
L’entrée du candidat dans la forêt ................................ 153
24
La sortie du candidat ....................................................... 182
Les problèmes inhérents à l’initiation .......................... 188
Ofouhou Okioo ............................................................. 190
La sortie du candidat ou Ofouhou onènè .................... 192
25
Qui est le lembé? ............................................................. 214
Adhésion dans le lemba ................................................. 214
L’initiation ........................................................................ 214
26
Chapitre III : Lièèmbi dans le Kouilou ............ ...235
Comment se faire initier dans le lièembi ? .................. 235
Qui doit être initié dans le lièembi ? ............................ 235
Pourquoi adhérer le lièembi ? ........................................ 236
Le pouvoir de lièembi .................................................... 236
Ndombi nkissi ou Tchivundulu tchimbi nkissi .......... 237
L’initiation au lièembi .................................................... 237
Qui est mama mukissi ou tata mukissi ? ..................... 237
La consultation dans lièembi ........................................ 237
L’habillement initiatique ................................................ 239
27
Chapitre VI : La Confrérie Mukissi dans la
Bouenza ............................................................. ...249
L’origine de Mukissi ....................................................... 249
L’intérêt des mikissi chez les bantu ............................... 250
Les catégories des mikissi .............................................. 251
Comment devient-on un mukissi ? .............................. 253
L’initiation ........................................................................ 253
La première procédure ................................................... 254
Le jour du dépôt du nga mukissi .................................. 254
La deuxième procédure .................................................. 256
Le but de l’initiation ....................................................... 257
L’autonomie des mikissi ................................................. 257
Conséquences .................................................................. 258
La mort de la prêtresse .................................................... 259
La composition du foutu ............................................... 260
La demeure du foutu ...................................................... 261
L’entretien du foutu ........................................................ 262
Le mutòtò ba-kuyu .......................................................... 262
Les pouvoirs du nga mukissi ......................................... 263
Le mukissi et l’Eglise ....................................................... 263
28
Le Dzèba (Boueta) ......................................................... 265
Comment devenir un moyaya ? .................................... 266
L’initiation au grade d’un moyaya ................................ 267
Cérémonie initiatique ..................................................... 268
La sortie ........................................................................... 270
Interdiction .................................................................... 273
La place des miyaya (oracles) dans les villages ........... 273
La mort d’un moyaya ..................................................... 275
Le ndami ou la notabilité chez les bomitaba .............. 275
La désignation du nouveau ndami ................................ 276
La sortie du ndami ......................................................... 277
La responsabilité du ndami dans le village .................. 278
La mort du ndami .......................................................... 279
Les funérailles du ndami ................................................ 279
29
La soirée de l’initiation .................................................... 297
Le matin du test .............................................................. 301
30
L’initiation à la notabilité chez les Bamiléké ............... 327
La nomination d’un notable ......................................... 327
La succession à la notabilité chez les Bamiléké .......... 328
Les titres distinctifs et nominatifs du notable ............ 329
La succession et ses aléas .............................................. 330
Les critères du candidat ................................................. 331
Notable sans progéniture .............................................. 333
Le cas d’un fils adultère ................................................. 333
Les dignitaires bamiléké ................................................ 334
Le rôle du totem dans une confrérie traditionnelle ... 336
Le respect des principes cultuels .................................. 343
Les funérailles du notable ............................................. 344
L’expansion occidentale comme pesanteur sociologique
chez les bamiléké ............................................................ 345
31
Intérêts ............................................................................ 355
Les objectifs ..................................................................... 355
La mort du notable ......................................................... 356
Le jour de l’initiation ...................................................... 360
L’entrée des initiés en forêt ........................................... 360
L’entrée des candidats en forêt ..................................... 362
La sortie des initiés ......................................................... 363
Le symbolisme du kiba .................................................... 366
32
Chez le même Editeur
33
Tél. : (00242) 05 544 22 19
ISBN papier : 979-10-94983-60-7
ISBN epub : 978-2-38154-021-4
N° de publication : 0032/BNC/2020.
N° de publication epub: 0023/BNC/2020.
E-mail : veracitektn@gmail.com
www.luzabusu.blogspot.com
Pointe-Noire (République du Congo)
34