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Karine la Coquine

Quand nous nous sommes installés la première fois c’était dans une maison louée à
la va-vite, dans l’urgence. Je passe sur les obligations, recompositions… Rien de ça
n’est évident mais nous avons remporté ce challenge. La vie a repris un cours stable
et notre relation en fut confortée. Nos « un week-end sur deux » se sont imposés
comme de tendres intermèdes… à forte tendance sexuelle !

Le printemps revient enfin ! Le réveil du samedi invite à des jeux qui nous laissent
dans une torpeur béate : satisfaction des corps après des mois d’emmerdements, de
paperasses, de divorces… Karine se lève. J’admire son corps nu, les cheveux collés
par divers fluides, sperme, transpiration, etc… J’adore autant la voir à poil qu’elle aime
être nue devant moi à la maison. Là, elle m’allume mais si on veut faire quelques
courses, il faut redevenir sérieux !

Sortie de douche, elle passe une robe légère sur un soutien-gorge arachnéen. Il
soutient peut-être ses seins mais de mon point de vue il les montre plus qu’il ne les
cache.

« Chérie ? » « Oui mon amour ? » « Ca va ? » « Oh, très bien, mon cœur ! »

Nos échanges verbaux sont d’une grande banalité, une mise en bouche !

« Chérie ? » « Oui mon coeur ? » « Tu as oublié ta culotte… »

« Non elle est dans mon sac. Il fait bon et j’ai envie de sortir cul nu avec toi, je sais
que tu aimes ça, alors pourquoi pas pendant les courses ? Je joue à Karine la
Coquine ! »

Son rire fait vibrer ma poitrine ; j’ai un pincement au bas-ventre… J’aime MA femme.
Elle me comble, tant par sa tendresse et sa sensualité qu’en occupant une place
difficile, à mes cotés, à gérer notre petite famille. Même dans les moments sensuels,
coquins, pleins de clins d’œils et de promesses, je sais que notre complicité est
établie sur tous les points. Sans cela, nous n’aurions pas pu mener vie commune.

Parcours tranquille ce matin, le long des allées de l’hypermarché. On charge des


provisions dans le caddie puis dans le coffre de la voiture.

« Chéri ? Je retourne voir les petites robes d’été, tu viens ? »

« Oui ma puce, je te suis »


C’est comme ça qu’on se balade, courses faites, il est dix heures du matin. Les allées
sont peu encombrées. Au rayon des vêtements masculins, un jeune homme hésite
devant des chaussettes et des caleçons. Je vois Karine lui jeter un coup d’œil. Elle
sent ma présence dans son dos, se retourne, me fait une grimace !

Je murmure… « beau mec ! » Elle répond « voui.. bof.. »

Je décide de regarder aussi les dessous « Hommes ». Karine se colle contre moi
sachant que je n’ai besoin de rien : c’est elle qui s’occupe de mes habits ! Déjà à
l’époque, nous sortons dans des boites ou des saunas échangistes mais nous ne
pensons pas au « candaulisme ». Karine aime s’exhiber et j’adore qu’elle montre ce
que généralement on cache. Notre plaisir est de flasher, comme on dit, un homme ou
un couple sans avoir l’air de le faire exprès. Je suis heureux et ressens une énorme
excitation à voir Karine en mini-robe remontée haut, sans petite culotte, l’entrecuisse
ouvert sur sa chatte épilée.

Ma chérie s’accroupit devant le bas du rayon, saisit des chaussettes, me regarde. Ma


queue fait un bon dans mon jean ! Dans le mouvement, elle s’est tournée vers moi ET
vers le jeune homme, assise sur ses talons, genoux un peu écartés. Lui et moi avons
la même vue sur sa fente adorable, épilée, ouverte à cause de la position et de
l’excitation de Karine. Elle fait semblant de rien, au contraire, elle s’adresse à moi en
parlant de la composition du tissu. Son inattention feinte l’entraîne à écarter un peu
plus ses genoux.

Je jette un œil en coin à notre « cible » qui n’en demandait pas tant ! Le jeune homme
a du mal à détacher son regard de ma belle chipie. Elle rapproche ses genoux. Je
crois entendre un soupir de désespoir sur ma gauche. Karine se penche pour fureter
dans le fond de la gondole. Ses seins à peine maintenus semblent sortir de son
soutif. Le jeune homme à ma gauche soupire de plus belle. J’espère qu’il a le cœur
solide ?

Karine se relève « Aide-moi ! »

Elle brandit une seule chaussette « Zut ! J’ai échappé l’autre ! »

Ma chérie s’accroupit derechef devant le bas du rayon, râlant à propos du peu


d’intérêt que je manifeste… Je me suis éloigné vers un autre rayon, laissant la porte
ouverte à un éventuel « chevalier servant »…

Croyant s’adresser à moi, Karine fait semblant de ne pas voir le jeune homme !

« Aide-moi, zuuut ! Je n’arrive pas à attraper cette fichue chaussette »

« Laissez-moi vous aider, voulez vous ? »

Karine se retourne, toujours accroupie, les cuisses ouvertes sur une chatte
certainement de plus en plus humide (je connais ma femme, elle est très sensuelle…)

A son sourire, notre cible bronze à vue d’œil… à moins que ce ne soit la rougeur de
l’émotion ; ma femme étant ce qu’on appelle un canon !

« Je veux bien, merci monsieur, c’est dans le fond »

« Oui, je vois » (tu parles qu’il voit ! il voit surtout la chatte de ma femme et je ne peux
pas lui en faire grief, je le comprends, c’est un morceau de roi !)

En se penchant vers Karine, il tend le bras : soit il est idiot, soit il comprend qu’il est le
jouet d’un jeu de coquins… A son regard entre les cuisses de ma femme, je sais qu’il
est de la seconde catégorie. Tant mieux.

Je bande, ma queue tend la toile du jean alors que ma chérie s’exhibe devant cet
inconnu ! Je regarde autour de nous… calme plat.

Il ne résiste pas « Madame… madame ? pardon mais… ce que vous me montrez est
vraiment, euh… si agréable, excitant, pardon si c’est involontaire mais vous êtes si
belle, je m’en voudrais de ne pas vous le dire » Il me jette un regard inquiet,
interrogateur, tout de suite rassuré par mon sourire. Il comprend être la cible d’un
couple de coquins.

Il se jette à l’eau « Vous êtes… euh… des libertins ? »

Je réponds indirectement « Chérie, tu devrais ouvrir plus tes cuisses, te montrer plus
à monsieur, puisqu’il semble apprécier ton… physique. Je suis de son avis, tu est
super bandante ! »

Karine ne répond pas mais docile, elle ouvre ses cuisses en grand.

« Mon chéri ? ça me fait mouiller quand on me mate comme ça, tu sais bien… »
dit-elle d’une petite voix timide. Je me tourne vers le jeune homme. J’ai envie d’un
plan exhibition un peu décalé… provocateur…

« Vous voulez bien toucher le sexe de ma femme, s’il vous plait ? Je veux savoir si
elle mouille ? »

Sur qu’il veut bien ! Ils sont tous deux accroupis, face à face. Il regarde Karine, passe
la main entre ses cuisses. Elle ferme les yeux en mordant sa lèvre inférieure. Là je
sais qu’il touche les lèvres de son sexe, les réunit et passe doucement deux doigts
sur sa moule, il me semble entendre le bruit visqueux des doigts dans sa mouille
gluante.

« Elle est trempée, et même elle coule, je dirais. C’est… tellement bon, de la
caresser… »

« Merci. J’aime faire toucher ma femme par un inconnu, je vous la donnerais


volontiers à baiser, mais ici… »

Je laisse ma phrase en suspens, nous ne sommes pas à l’endroit rêvé pour « aller
plus loin »

Je souris « Chérie, trouves-tu monsieur à ton goût ? »

« Oui mon cœur, et en plus… il sent bon ! » (sous-entendu, il doit avoir la queue
propre)

Je me fend d’un large sourire « Vous voulez bien nous laisser un instant ? »

Il s’éloigne sans nous perdre de vue. Je jette un œil vers les cabines. Un échange de
regard avec Karine qui chuchote « Tu ne penses pas me faire sauter ici ? Tu es fou ? »

« Ecoutes… non, bien sur, mais tu peux le sucer ? Ca me ferait plaisir de te voir le faire
décharger, fais comme tu veux… ça m’excite comme un fou ! »

C’est la première fois que j’envisage une relation sexuelle de ma femme SANS moi ou
plutôt avec moi mais juste comme voyeur. Karine est surprise mais le scénario
l’excite.

« C’est comme tu veux ma chérie, je ne veux pas te forcer à quoi que ce soit mais… »

Elle m’interrompt « D’accord ! Ce mec me fait envie, c’est si excitant que j’en suis
trempée, je sens que ça coule le long de mes cuisses maintenant que je suis debout,
touche moi ! »

Je passe la main entre ses fesses, le long de sa fente lisse… ma petite salope est
mouillée !

« Je ne pensais pas faire ça mais si tu aimes, moi aussi. Je veux toujours que ça
vienne de toi ! Je suis à toi, tu es seul à décider ! »

Karine ne veut pas prendre la responsabilité de nos « égarements », c’est normal,


même si elle adore clairement le cours pris par notre sexualité.

« Nous savons quels sont nos fantasmes, ma chérie ; réalisons celui-là, regarde mon
pantalon, j’ai la queue qui cherche une sortie ! Tu t’occupes de lui, je surveille les
alentours. Après on rentre à la maison, je vais t’en mettre un plein cul, ma salope
adorée ! Je t’aime ! »

Elle me fait un grand sourire complice.


Je fais signe à notre inconnu de nous suivre dans une cabine. Ils se glissent tous les
deux dans l’étroit cagibi, je reste dehors, lorgnant à l’intérieur. Lui s’assoit sur le banc,
sortant rapidement sa queue bien dure. A genoux, elle le guide dans sa bouche.

Quelqu’un s’approche… putain une vendeuse ! Je referme vivement la porte.

« Vous avez besoin de quelque chose ? » demande-t-elle en souriant.

« Non merci madame, ma femme essaye quelques bricoles, vous savez comment
c’est !? »

Sourire complice « Allons, il faut que les hommes soient patients s’ils veulent que
leurs épouses se fassent belles ! » J’approuve avec un sourire niais et rassurant. Ben
voyons…

J’ouvre la porte. Karine suce lentement notre nouveau partenaire. Elle me regarde,
pousse le beau membre d’un petit coup de langue taquin.

« Elle est bonne, sa bite, j’en ai très envie, mon amour ; qu’est-ce qui se passe ? »

« Rien, une vendeuse. Continuez à vous amuser tous les deux, fais-le venir dans ta
bouche »

Karine reprend la queue en bouche. Elle n’aime pas les gorges profondes mais ce
sexe étant court, elle lui donne cette joie. Elle veut recevoir son foutre sur elle. Elle se
relève, dégage sa mini-robe et son ersatz de soutif. Voyant ma femme à poil, il
parcourt sa peau nue de gestes fébriles, caresse ses seins, sa chatte luisante de
mouille, y rentre un doigt, le lèche. Elle le suce doucement, le pouce frottant le gland.
D’un seul coup, retenant un cri, son ventre s’arc-boute et malgré qu’il se retienne, il
jouit brusquement. Des jets sporadiques de sperme arrosent les seins et le ventre de
Karine… Elle ferme les yeux mais je vois à son attitude qu’elle aime sentir ce foutre
chaud sur elle, sur sa peau.

Le secteur étant redevenu calme, je me branle et décharge sur elle. A mon tour, mon
sperme arrose son bas ventre.

On se rajuste très vite tous les trois, la vendeuse ne doit pas être loin.Karine, toujours
tendre, dépose un bisou au coin de la bouche de son partenaire.

J’ai dans mes yeux le souvenir de ma femme toute nue, suçant la queue d’un inconnu
et se faisant arroser de foutre. Karine a dans la bouche le goût de cette belle bite.
J’aimerai beaucoup la lui faire prendre dans la chatte et dans son superbe cul…

Nous partons vite, avec une énorme envie de faire l’amour à la maison, tous les
deux…

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