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DANS LE CABANON AVEC MA COUSINE

LA RÉDACTION |

Pierre-Emmanuel, 18 ans.

D’abord, je trouve votre magazine super génial. Avec quatre potes de la classe, on l’achète chacun son
tour et on se le passe. J’ai hésité longtemps avant de vous écrire, car mon histoire n’est peut-être pas
très belle.

Je me lance : j’ai eu 18 ans en juin, et ma cousine en juillet. Tous les ans, ma famille organise une
réunion dans le midi car mes oncles et tantes ont construit trois maisons côte à côte, et il y a beaucoup
de place. Moi, ça faisait trois ans que je n’étais pas venu à cette grande fête de famille. Quand j’y suis
allé l’été dernier, j’ai trouvé que ma cousine avait beaucoup changé.
L’après-midi, je l’ai bien observée, alors qu’on était tous les deux au bord de la piscine. Je voyais pointer
le bout de ses seins dans son maillot humide. Au moment d’aller dîner, je lui ai dit: « Dommage que tu
sois ma cousine. » Amélie m’a demandé pourquoi. Je n’ai pas répondu, mais au fond de moi, je pensais
que je serais bien sorti avec elle.

Le dîner s’est prolongé par une fête avec de la sangria qui coulait à flots. À partir de deux heures du
matin, on est restés entre jeunes. Ma cousine avait les yeux brillants… Un autre cousin qui était resté
nous racontait des histoires Grades. Plus il en racontait, plus ma cousine lui en réclamait. Nous étions
dehors et il faisait très bon. Amélie a voulu qu’on danse et ensuite, elle m’a entraîné devant la maison, là
où il n’y avait personne. Il faisait tout noir. Là, elle m’a dit : « Oublie que je suis ta cousine. » Puis, elle a
posé ses lèvres sur les miennes en me disant que l’alcool la rendait trop amoureuse.

Je me suis retenu au début, mais c’était elle qui me le demandait ! Alors je lui ai roulé une super
galoche comme si ce n’était pas ma cousine. J’ai caressé ses épaules nues. Mon engin commençait à
réagir et à se raidir. Puis nous sommes revenus avec les autres car il ne fallait éveiller aucun soupçon.
Plusieurs fois, elle m’a fait comprendre qu’elle en voulait plus.

Il était entre trois et quatre heures du matin quand tout le monde est allé se coucher. Moi, je dormais
avec mon petit frère sous une tente, et elle, sous une autre, toute seule. Nous avions mis une stratégie
au point. Sans être sûr que j’allais en avoir besoin, j’ai tout de même pris une capote. Et j’ai bien fait, car
ma cousine s’est montrée gourmande. Nous nous sommes retrouvés un peu à l’écart des maisons, dans
un petit cabanon où un oncle faisait son bois. On avait beaucoup joué dans ce cabanon quand on était
petits. Amélie portait un pyjama très court et rien dessous. Je m’étais dit que j’allais lui donner ce qu’elle
voulait mais pas plus. Et d’ailleurs, je ne savais pas jusqu’où elle était allée avec les mecs.

Comme tout le monde dormait, on était tranquilles. On s’est embrassés longtemps, nos langues glissant
l’une sur l’autre. Bien sûr, je me suis mis à bander grave. Je lui ai caressé la nuque, et ma main est
descendue jusqu’à ses fesses. Elle me laissait faire. J’ai senti ses tétons durcir contre mon torse, à
travers son pyjama fin. Elle m’a serré en frottant son ventre contre le mien, elle ne pouvait que sentir ma
bite gonflée. Ensuite, tout est allé très vite. Elle m’a chuchoté tout net à l’oreille: « Fais-moi l’amour« .

Je lui ai demandé si elle l’avait déjà fait, elle m’a répondu: « Oui, et toi ? » Naturellement j’ai répondu oui.
Mais j’ai eu beau lui dire que l’endroit n’était pas très confortable, elle voulait quand même. Je suis
descendu pour explorer son minou qui était bien mouillé, et j’ai pu introduire mon majeur, entièrement.
Sa main droite était dans mon bermuda, elle tenait ma bite fermement. Je me suis mis à poil, j’ai baissé
sa culotte de pyjama. Je lui ai caressé la fente et j’ai bien mouillé toutes ses lèvres. Nous avons dû
prendre une position un peu acrobatique. Je l’ai fait asseoir sur l’établi, les fesses tout près du bord, les
bras appuyés derrière et les jambes sur mes épaules.  J’ai mis la capote et là, elle a constaté: « Tu avais
envie aussi » J’ai mouillé le bout de la capote avec ma salive et je suis entré doucement dans ma cousine.
Elle était étroite mais pas trop. Elle s’est cambrée. J’ai caressé son clitoris bien gonflé, elle a
commencé à pousser des petits cris en tournant la tête à droite et à gauche, s’est laissé aller en arrière,
et puis elle m’a demandé d’entrer plus.

J’ai pu loger ma queue entièrement dans son fourreau bien chaud, en quatre ou cinq fois, tout
doucement, je ne voulais pas lui faire mal. J’étais tellement excité que j’ai vite giclé en me cramponnant
àses hanches, le plus près possible de son ventre, puis je me suis accroupi pour la faire jouir elle aussi,
avec mes doigts et ma langue sur son petit sexe à la toison brillante. Amélie était super heureuse.
Le lendemain soir, cousines et cousins, tous les six, on est allés en boîte. Au retour, elle a voulu qu’on
recommence et, malgré l’inconfort du local, on l’a refait là-bas. Ma cousine m’a demandé de lui
apprendre à  sucer. Elle s’est mise à genoux, a déballé toute seule la marchandise, et je n’ai pas eu
grand-chose à ajouter car elle savait s’y prendre. Ses doigts et sa langue m’ont fait jouir sur sa figure.
Pour sûr, elle avait déjà sucé. Pour la remercier, je me suis appliqué à lui faire un beau cunni, elle
allongée sur l’établi et moi penché sur elle, en promenant mes doigts partout. J’ai même été obligé de
mettre une main sur sa bouche pour étouffer ses cris de jouissance. Depuis, on ne s’est pas revus. On
verra bien à la prochaine réunion de famille.

(Image à la une : Getty Images)

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Dépucelage de ma cousine
« Elle m’a caressé par-dessus le slip, et mon sexe a gonflé de manière spectaculaire, au point que cela
m’a fait rougir. Voyant alors mon excitation et mon embarras qui devenaient de plus en plus évidents,
elle a passé ses mains dans mon slip » Henri.

Bonjour ma cousine
« Je me suis mis à la peloter, à la palper, comme si j’effectuais une fouille au corps. Puis j’ai passé la
frontière de sa culotte et je suis allé chatouiller son minou » Aymeric.

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