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NOTRE JARDIN SECRET


LA RÉDACTION |

On a tous envie de se souvenir du temps où nous nous promenions librement et où nous pouvions nous
étreindre avec n’importe qui. Cela m’évoque d’ailleurs un souvenir particulièrement émouvant avec José, notre
jardinier. On se faisait de l’œil depuis de nombreux mois, mais mon mari était toujours dans les parages alors
je ne pouvais passer du fantasme à la réalité et m’abandonner librement à des ébats passionnés avec lui.

Notre jardin secret


Notre jardin secret

   
Heureusement, un après-midi, mon rendez-vous professionnel s’est terminé plus tôt que prévu (je suis
agent immobilier et j’organise des visites d’appartement), je suis rentré chez moi avant mon homme.

Je me souviens qu’il faisait beau, José, taillait les haies avec une énorme cisailles. Je portais des
vêtements courts et provocateurs, choisis spécialement pour appâter le client en mal de projet
immobilier… Mais quand j’ai vu le regard de José se poser sur moi, j’ai vite compris qu’il était lui aussi
tombé dans mes filets. Nous n’avons même pas parlé, ou à peine, je ne me souviens plus vraiment. Je
me rappelle juste qu’il avait l’air bête, planté au milieu du jardin, les yeux rivés sur mon cul, mes jambes
et mes beaux escarpins. Alors, encore euphorique de ma visite d’appartement qui s’était
particulièrement bien déroulée, je me suis approchée de mon beau jardinier, je me suis accroupie sur
mes talons, les yeux au niveau de son entrejambe. Je devinais à la bosse de son pantalon qu’il bandait
déjà très fort.

Et je dois avouer que cela m’excitait énormément. J’ai donc


sorti sa bite de sa cachette et j’ai été agréablement surprise
par la découverte d’un sexe parfaitement glabre, dur,
triomphant. Exactement ce que j’avais envie de me mettre
sous la dent. J’ai donc commencé à le pomper, très
sensuellement. Je faisais en sorte que mes lèvres dessinent
un bel ornement à son sexe.

Le Monsieur s’est laissé faire.

De sa hauteur, il avait une vue plongeante sur sa queue, ma


bouche et ma poitrine offerte, dont les tétons ne
demandaient qu’à s’échapper de mon soutien-gorge. J’ai
pris mon temps pour profiter de cette belle bite. Elle
comblait parfaitement ma bouche et José, comme statufié,
ne bougeait pas d’un pouce. Je le sentais pourtant
bouillonner de plus en plus. Son excitation frôlait son
paroxysme, or je ne voulais pas écourter cette séance dont
le personnage principal – cette belle queue – devait pouvoir
me donner, de belles sensations.

Je me suis assise sur le canapé de jardin, les jambes bien


écartées, en relevant ma jupe. Le message était clair : je voulais goûter moi aussi de sa langue. Docile,
José s’est mis à quatre pattes, m’a fait un grand sourire et a glissé sa tête entre mes grandes tiges.
J’étais à mon aise, les seins au soleil, à me prélasser dans le jardin tandis qu’il s’activait dans ma fente. Je
dois bien avouer que c’était une agréable façon de ponctuer la journée. Trouver un paysagiste pour
s’occuper de votre petit jardin secret après le boulot… ça n’a pas de prix !

Je me rappelle tout de même avoir ressenti une pointe du culpabilité en pensant à Georges, mon mari.
Culpabilité vite disparue quand José s’est mis à utiliser sa langue en mode “vibreur”. Il l’agitait sur ma
chatte à une vitesse folle, comme un papillon. Ça me rendait dingue, et j’avais du mal à retenir mes
gémissements. Si les voisins nous surprenaient j’étais dans de beaux draps ! Il faut avouer que José
savait s’occuper des belles plantes, et ma chatte frissonnait de plaisir sous ses coups de langue, et à
l’idée de recevoir le membre de cet homme.

Il s’est débarrassé de son short et a approché de mon sexe une queue virile et bien bandée. Je me suis
contentée d’un petit clin d’œil et José, au bord de l’implosion, s’est calé entre mes jambes. Il n’a même
pas pris la peine de retirer ma culotte, il a simplement tiré l’élastique sur le côté et a glissé son membre
luisant entre mes chairs. Ma jupe est remontée jusque ma taille tandis que José continuait à gagner du
terrain dans mon feu intérieur.

À ce moment, j’ai lu sur son visage qu’il s’était totalement laissé aller, qu’il n’y avait plus de rapport
hiérarchique, que ce n’était plus lui le jardinier, et moi l’employeur, mais que nous étions deux corps
désirants qui avaient fusionnés. Deux êtres remplis de désirs revenus à l’état animal. Et ça m’avait
manqué ! Si je peux vous faire une confession : avec mon mari, nos ébats étaient devenus presque
robotiques. C’était d’un ennui mortel et évidemment, plus le temps passait, plus mes fantasmes se
faisaient débridés et précis.

Enfin, aujourd’hui je m’étais


autorisée à les vivre et je retrouvais
des sensations nouvelles,
spontanées, inédites, grâce à la
queue de José. Et à ses mains aussi
! Mon mari n’osait même plus me
regarder pendant l’acte, alors un
geste tendre, n’y pensez pas.

Mais José, lui, promenait ses doigts


sur toutes les parcelles de ma peau
nue, il prenait mes nichons à pleine
main, malaxait mes tétons,
s’agrippait à mes hanches. Il
s’amusait avec mon corps et ça me
plaisait bien ! Peut-être que ses talents de jardinier lui donnaient des aptitudes manuelles particulières ?
Peut-être que cultiver un terrain vous donnait de bonnes prédispositions pour alterner la délicatesse et
la fermeté ?

En tout cas, José savait s’occuper de mon petit gazon ! « Allez ma belle, on va pas rester à se regarder
dans le blanc des yeux ? Montre-moi ta croupe ! »

Je me suis redressée, les cheveux encore en bataille de sa première attaque, et j’ai fait voler ma jupe
dans l’herbe haute. Je me suis retournée, fièrement, sur la pointe des pieds, et je me suis bien cambrée
pour qu’il puisse admirer le rebondi de mon cul. « Tu peux toucher, tu sais. C’est de la bonne qualité »
l’ai-je provoqué, un peu taquine.

Le José ma tendrement embrassé dans le cou, puis a frotté sa bite tout contre mon cul avec des va-et-
vient très sensuels. Je sentais toute la mouille se coller sur mes fesses, il faut dire que j’étais bien
trempée ! Ce salaud m’avait rendue liquide comme jamais.
Il m’a de nouveau empalée avec son gros instrument. Ça tapait bien au fond cette fois-ci, et José avait
donné un élan encore plus profond à ses coups de rein. Impossible maintenant de me retenir, j’étais
obligée d’hurler pour dissiper les sensations intenses qui m’envahissaient. Ses couilles, épaisses,
tapaient contre ma chatte par intermittence.

Je me sentais totalement à lui. Et ça me plaisait. Si mon mari avait eu l’idée saugrenue de rentrer chez lui
à ce moment-là, il aurait été bien surpris de voir sa femme se faire prendre comme la dernière des
catins dans le jardin ! J’imaginais sa tête, ses joues devenir rouge, sa mâchoire se relâcher, ses pupilles
se dilater…et pourquoi pas, une érection se deviner à travers la toile de son pantalon ? Les hommes
peuvent être très pervers, parfois, et mon Georges pourrait faire partie de cette catégorie d’hommes qui
aime que leur partenaire s’abandonne à des queues amicales.

Alors, j’ai fermé les yeux et j’ai imaginé la suite du scénario. Je regarderais Georges droit dans les yeux,
ne cachant rien de mon plaisir, en jouant même les mimiques que font parfois les actrices de porno.
Ha ! Ha ! « Mets-la moi bien profond ! » Je pousserais des gémissements de plaisir en le toisant, la
bouche déformée par un rictus de satisfaction. J’écarterais mon cul, ma chatte, devant son visage… je lui
demanderais même de se rapprocher pour qu’il profite de la scène au plus près.

Pour qu’il sente l’odeur de foutre, de sueur et de mouille qui émanait de nos deux bassins collés. Qu’il
soit à deux doigts d’y mettre son nez, ou sa langue, que rien ne lui soit épargné. Je lui ordonnerais de se
rapprocher encore, de se mettre à quatre pattes. Je lui assénerais des horreurs en hurlant, pour que tout
le voisinage entende : son incompétence au lit, sa bandaison molle et dégoûtante, ses mouvements
fades et mécaniques. Georges aurait adoré. En tout cas, c’est le fantasme que je m’imaginais. Mon petit
mari cocu terriblement excité en regardant ma chatte dilatée par un autre mieux membré.

José, lui, continuait avec brio


l’alternance de gestes tendres et de
mouvements plus brusques. Sa bite
s’enfonçait naturellement, avec
fluidité tout au fond de ma fente bien
large et bien humide. Nos deux corps
avaient trouvé leur rythme, je
répondais à ses assauts par un petit
mouvement arrière du cul, ce qui
faisait taper son pubis encore plus
fort contre moi.

Des vagues de chairs mouvantes se


déployaient à chaque coup de rein,
comme une magnifique onde dans
l’eau. Et sa bite, merde, sa bite ! Elle frottait pile là où il faut, un peu en haut, sur la paroi qui touche la
vessie, là où je suis la plus sensible. Comble de l’élégance masculine, il a passé une main devant ma
vulve et a entamé un délicat massage du clitoris parfaitement bienvenu.

Je commençais à décoller, mes yeux se sont révulsés, mon souffle se faisait de plus en plus irrégulier,
mes membres se sont raidis.
Et je l’ai senti venir du plus profond de moi, j’ai senti l’orgasme m’emporter. Je me suis mise à trembler,
là, debout dans mon jardin, José toujours planté derrière moi. Je sentais chaque parcelle de mon corps
me dire « merci », le flux énergétique me foudroyer. Enfin, je me sentais vivante.

Quand je suis revenue à moi, j’ai enjambé José, entièrement nue, et je lui ai roulé une grosse pelle, à la
fois reconnaissante de l’orgasme fulgurant qu’il venait de m’offrir, mais également piquée par un début
d’affection sincère pour cet homme. Nous nous sommes ensuite regardé pendant des secondes qui
m’ont paru interminables, droit dans les yeux.

C’est alors que José s’est mis à suçoter la pointe de mon sein, comme s’il s’agissait d’une jolie tétine.

Il m’a ensuite soulevée au-dessus de ses hanches, puis s’est à nouveau enfoncé en moi. Il me tenait
tendrement dans ses bras et je montais et redescendais sur sa tige. Mes mouvements se faisaient
lascifs, doux. Ma chatte était à vif, déchirée par mon précédent orgasme, chaque mouvement me
provoquait des sensations folles, à la limite du supportable. José a glissé ses mains sur mes fesses et a
écartelé mon petit cul, mettant mon anus à découvert. Je sentais le vent frais titiller les plis et les replis
qui étaient maintenant au vu et au su de tout le monde. Il rapprochait ses mains l’une de l’autre très
lentement, et soudain, ses doigts se sont retrouvés sur mon trou du cul et en chatouillaient le pourtour.
Son regard s’est mis à briller.

Mon José était donc un petit pervers obsédé par les trous de balle ! Mais je ne me sentais pas encore de
lui accorder la sodomie. À la place, je me suis allongée dans ses bras, sur le canapé de jardin, et José a
continué à me pilonner en cuillère. Je sentais qu’il allait bientôt jouir. Avant un orage, l’air devient
souvent électrique, eh bien c’était pareil pour José !

Sa bite s’est mise à gonfler subitement, en moi. J’ai eu la présence d’esprit de lui dire de se retirer, mais
il savait visiblement gérer et, in extremis, il a éjaculé de longues giclées de sperme sur ma vulve. Ça
dégoulinait de partout, je ne pensais pas qu’un homme pouvait produire autant de semence.

Je regardais le liquide translucide couler sur moi. J’ai laissé le foutre glisser sur ma fente, puis sur ma
cuisse, pour enfin venir s’échouer sur le canapé et se répandre en petites auréoles humides sur le tissu.
J’ai imaginé ordonner à Georges de lécher le tout, et à nouveau, ça m’a excité ! Je me suis alors mise à
me branler en reprenant la bite de José en bouche. Il restait encore quelques gouttes de son sperme
salé sur sa queue qui se mélangeaient avec les sécrétions de ma chatte.

J’ai tout avalé, sans en laisser la moindre miette. Plus besoin de passer à la douche pour mon José !
J’avais tout nettoyé jusqu’aux couilles. « Et ta chatte ? Elle est toujours luisante ma belle ? Tu veux pas
me montrer comment tu la nettoies, elle aussi ? » José me mettait au défi !

Je lui aurai bien ordonné de le faire lui-même, mais je sentais que son excitation retombait. Tant pis, on
n’est jamais mieux servi que par soi-même, j’ai glissé un doigt sur ma vulve et je l’ai porté à ma bouche.
Ça a fait rire José qui s’est exclamé : « Si j’avais su que ma  cliente était aussi folle du cul ! Une belle
surprise ! J’aime les femmes libres qui n’ont peur de rien… » Décidemment, ce José était vraiment très
touchant.

Nous avons rapidement rassemblé nos vêtements que nous avions éparpillés un peu partout dans le
jardin en riant. Alors que je remettais en place mon cache-cœur blanc, j’ai entendu les pneus d’une
voiture crisser sur le trottoir devant la maison.
Nous nous sommes jetés un regard affolé avec José et j’ai
accouru près de l’entrée. J’ai vu mon Georges sortir de la
voiture, triomphant, un bouquet de roses à la main. Il a
sursauté en me voyant : « Oh non Héléna ! Tu es déjà là ?
Je pensais rentrer plus tôt pour te faire une surprise ! » Je
devinais à l’avance le programme de ma soirée : bain
moussant, dîner aux chandelles puis partie de baise dans
le lit conjugal. L’odeur de José toujours flottante dans
mes cheveux. Et quelque part, ça m’excitait terriblement. l

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