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Histoire Courte (1)

Par maximilien7

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Il à fallut du temps, avant qu'Alicia ne trouve le courage de me raconter son histoire. Cette femme est belle, et
son âge est à son avantage, une poitrine généreuse qu'elle m'offre par un décolleté somptueux, des jambes qui
se découvrent sans excessive timidité et un visage harmonieux sans fard ni artifice. L'unique bijou que
devraient porter les f

Nous avons dîné et la table était excellente, le vin également, notre relation elle, était au point mort depuis des mois. Le
sexe relégué aux calendes grecques n'était plus qu'un v?u pieux, les disputes avaient prit la place d'une communication
respectueuse. Il n'y a pas de secret, c'est un faîte, à quarante ans l'imagination remplace le vécu, alors on cherche à
apaiser ses désirs qui surviennent quand on ne les attend pas. La vérité est cru et l'esprit est faible alors, baiser ou se
faire baiser est, qu'on le veuille ou pas, une finalité à atteindre, une affaire de goûts et d'opportunités. Quand elle se
présente on se jette dessus avec avidité, quelques fois aussi avec passion.

Alors on saisit la balle au bond, ou plutôt la foufoune ou la bite selon le cas, car tout est bon pour satisfaire cette
appétence qui mijote entre nos cuisses. De ce côté-là, au moins, il y a égalité entre les hommes et les femmes, et
toujours?, toujours, c'est l'imagination qui l'emporte. L'imagination salace et libidineuse vous porte à faire ce qui ne se
fait pas, on oscille entre la raison et la déraison, on se construit une histoire que l'on joue au-delà de toute raison. Alors
on frotte sa vulve, on astique son manche quand l'envie se fait sentir, on s'active nue dans un endroit improbable au
risque d'être surpris, ou devant un écran ou une femme se fait défoncer par un étalon sans pitié, face à un cul qui se fait
battre.

La vie sexuelle des uns et des autres est tributaire de l'imagination et le moins qu'on puisse dire, c'est que cette nuit,
mon cher et tendre a fait preuve d'imagination. Nous avons pris ascenseur pour le quatrième étage en direction de notre
chambre. L'hôtel est cossu, les longs couloirs se suivent paré de leurs moquettes bouclées et se projettent presqu'à
l'infini. Je m'attends à une nuit sans surprise, donc je prévois une masturbation discrète couchée sur ma main, les doigts
enfoncé dans mon sexe pour une fois de plus, calmer le feu qui couve. Quand Jeff me saisit par le bras, je n'en
comprends pas immédiatement la raison, donc je m'arrête et sans avoir le temps de poser question, il ordonne :
- enlève tes chaussures !
- quoi ?, qu'est-ce qui te prends ?
- ne pose pas de questions, fait ce que je te dis, enlève tes chaussures !
Alors intriguée je m'exécute, et la sensation de cette moquette sous mes pieds porte aussitôt une fermentation
cérébrale, les questions que je me pose fusent, pourquoi me demande t-il cela et pourquoi faire ? Mais c'est excitant et
j'obtempère.
- Maintenant enlève ta culotte, allez chérie donne la moi !
- mais?? Ma culotte ?, ça ne va pas, ici dans le couloir, quelqu'un pourrait venir !
- oui, c'est un risque, mais fait le, maintenant?allez?
A ce moment là, je doute de sa santé mentale, en dépit de mon étonnement je sens monter en moi un intolérable
crépitement, je soulève ma jupe, ascenseur se met en route, j'hésite, Jeff insiste ! L'élastique résiste puis cède, la
culotte glisse le long de mes jambes et tombe au sol, je la ramasse et Jeff s'en empare avec un rictus de satisfaction. Je
mouille et entre mes cuisses une fraîcheur s'aventure, un mélange de honte et d'espérance se fait jour, jusqu'où ira-t-il ?
L'ascenseur s'ouvre, un couple un peu éméché en sort, l'homme fixe mes pieds nu, elle, elle semble comprendre et s'en
lèche les babines. Évidement elle ne s'encombre d'aucun trouble, et me fait entendre ce que je n'aurais espérer au plus
chaud de mes 40 années.
- Toi, ma belle tu vas te faire ramoner la foufoune, mmm !! tu vas déguster..

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Jeff jubile, et moi j'ai honte !
- vous voulez voir, soulevez sa jupe !!
- Merde Jeff tu es fou, arrête tes conneries, là ça va, trop c'est trop !
On soulève ma jupe, je resserre mes cuisses, l'impression se fait jour de me prendre pour une pute.
- Ouai !!, tu mouilles bien, regarde chérie, allez, écarte tes cuisses, juste un peu.
Je me laisse faire en disant que je suis une salope qu'on prête à qui veut bien s'en servir et en même temps j'apprécie
de sentir ces doigts graviter autour d'une vulve en ébullition. Elle ose et trouve, c'est une femme, ça n'a pas de secrets
pour elle. Il fait chaud, j'accepte l'attouchement qui se prolonge, et lui, il mate, ça fourmille dans mon bas ventre, je
ferme les yeux et apprécie. Puis ils s'en vont en riant.
- espèce de salaud va, tu me prostitue maintenant alors qu'on ne baise plus depuis des mois ?
Nous faisons quelques mètres pour tourner à droite dans un prochain couloir, au bout c'est notre chambre. Sans autre
question, il soulève ma jupe et ses doigts gravitent autour de ma minette, ils s'emparent de quelques poils, puis me
pénètrent furtivement, je retiens ma respiration, puis il s'en va. Nous avançons encore puis on s'arrête une nouvelle fois.
- tu vois là haut, ce point rouge c'est une caméra de surveillance. Il y a un type qui nous observe derrière un écran,
alors tu vas te déshabiller ma chérie?
- Jeff, tu es devenu fou, putain me déshabiller ici face à cette caméra ?
- Allez chérie, si tu ne le fait pas, c'est moi qui vais le faire, alors tu te décides ?
- Jeff?., je t'en prie?
- Allez, obéis pour une fois, fais ou je vais le faire.

Alors j'ouvre mon chemisier, l'?il rivé sur la caméra qui clignote, j'enlève mon soutien-gorge, et je laisse tomber ma jupe
au sol je retire mes bas ! Me voilà nue, tremblante dans ce couloir et Jeff sourit comme un imbécile heureux, un gosse
qui a réussi un coup foireux. On se dirige vers la chambre, je franchis le seuil de la pièce dans une sorte d'euphorie
malsaine.
- je vais te bander les yeux, tu te mettras à quatre pattes sur le lit et tu attendras que je revienne.

Ça faisait longtemps que je n'étais plus arrivée à un tel stimulus sexuel, je mouillais beaucoup et me demandais quand
enfin il s'occuperait de moi. La porte s'est ouverte et je me sentais bien seule sur ce lit, le cul exposé à attendre que les
choses se passent. La porte finalement se rouvrit, autour du lit j'entends des frôlements et des bruissements, des
étoffes qu'on écrase.
Puis un doigt qui s'infiltre entre les lèvres du sexe, je gémis on perce, on cherche le passage, puis enfin on entre en moi
et je jouis une première fois, un plaisir que j'avais oublié.
Quand enfin j'atteins le point de non retour, Jeff me pénètre savoureusement et laboure puissamment ma caverne. Je
pars vers de lieux inconnus, et pendant que j'exulte le bandeau disparaît, face à moi, une jeune femme en uniforme
observe en souriant cette copulation qui prends de l'ampleur.

Je suis hors de moi, je bascule entre la honte et l'acceptation de me voir baisée sous les yeux de cette jeunette. Puis je
me rends, l'orgasme est violent c'est du bonheur que Jeff vient de m'offrir, elle me fixait et prenait un plaisir fou à voir et
entendre. Puis, elle s'est approchée pour caresser ma croupe, jouant avec douceur dans mes cheveux, elle à enlever
ses vêtements, elle est stupéfiante, magnifique de beauté.

Jeff éjacule et moi je suis projetée au 7ème ciel, lentement il se retire et je ne me remets qu'à peine des soubresauts qui
m'agitent.
On me couche sur le dos et la langue de la jeune fille s'active au plus profond de moi, je me débats, le bonheur ne se
mesure qu'aux cris qui sortent de ma bouche. Elle, elle s'active, mordille et pourlèche chaque centimètre carrée de ma
peau, sans indulgence elle provoque et abat mes résistances. Jeff revient à la charge, il se dresse dans son dos et sa
vigueur semble démentielle. La fille est projetée sur moi, nos deux corps s'entrelaces et entre mes cuisses je la sens,
vivante, ardente, ses seins se plaquent sous les miens.
Le cri qui sort de sa bouche est strident, ses yeux reflètent la surprise quand Jeff l'enfourche une nouvelle fois, elle est
devenue l'instrument et moi le support d'un coït endiablé.

Nous avons fait l'amour une nuit entière, entremêlé par la volupté, nous avons joué de nos corps jusqu'à nous endormir
dans un même lit.

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Elle s'appelait Martha, elle avait dix huit ans, et une envie d'amour sans borne.

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