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LA RÉDACTION |
J’ai été élevée par ma tante. Elle travaillait à son domicile comme couturière. Il y avait beaucoup de va-
et-vient chez elle et sa clientèle était essentiellement féminine. Adolescente, j’admirais déjà les séances
d’essayage, cachée derrière la porte du petit atelier. L’anatomie féminine n’avait plus de secrets pour
moi et la vue des tétons dressés et des minous poilus me fascinait. Je sentais mon corps frémir. Un
jour, ma tante m’a surprise en train de me doigter.
Elle m’a alors fait un cours d’éducation sexuelle en m’apprenant tout sur le corps des femmes et celui
des hommes, dessins à l’appui. Elle m’a ensuite expliqué les positions à adopter pour faire l’amour. J’ai
ainsi été prête le moment venu. J’ai commencé à 18 ans et j’ai souvent été déçue. Je ne sentais rien ou
presque, et rares étaient les fois où je prenais du plaisir. A 22 ans, je travaillais déjà dans
l’administration. Un jour, un homme est arrivé dans le service. Pierre était célibataire et j’ai remarqué (et
je n’étais pas la seule) qu’il avait en permanence une belle bosse sous son pantalon. Ça m’excitait
beaucoup et il m’arrivait de faire des voyages aux toilettes pour me soulager.
Plusieurs mois ont passé, on se parlait beaucoup et on s’appréciait encore plus. Un jour que ma voiture
m’avait « lâchée », il m’a proposé de me ramener à la maison (j’habitais toujours chez ma tante). Cette
dernière nous a proposé l’apéro. Moi, j’avais le feu partout, je sentais que ma chatte était trempée. Et
puis, alors que je ne m’y attendais pas, Pierre m’a fait une déclaration : il voulait que je devienne sa
femme. Je n’ai rien pu dire, rien pu faire. C’est ma tante, au courant de mes déboires sexuels, qui lui a
répondu : « Est-ce que vous faites bien l’amour aux femmes ? » Le pauvre Pierre a juste pu bredouiller «
Je ne sais pas, on ne m’a rien dit ! » Ma tante a répondu qu’il n’y avait qu’un moyen de vérifier. Elle s’est
précipitée sur lui et lui a baissé son pantalon. Un slip blanc bien rempli est apparu.
Ma tante en a extirpé une grosse queue et l’a branlée. Rapidement, un énorme membre d’une
vingtaine de centimètres a pris forme. Ma tante n’a pas perdu de temps, elle a enfilé le sexe dans sa
bouche et a fait quelques va-et-vient. Elle a vite retroussé sa jupe puis, comme elle ne portait pas de slip,
s’est empalée vite fait sur Pierre, qui était toujours assis sur le canapé. J’étais médusée, mais personne
ne prêtait attention à moi. Ma tante prenait son pied et Pierre semblait lui aussi aux anges. Il a pris les
commandes et a culbuté ma tante sur le dos. Elle s’est retrouvée les jambes en l’air, bien écartées. Je
voyais sa chatte ouverte et dégoulinante. Pierre l’a pilonnée à une cadence infernale. Elle criait de
plaisir. Il l’a ensuite retournée et l’a prise en levrette en lui caressant le clitoris. Ma tante a été prise
de spasmes et Pierre s’est retiré pour décharger sur ses fesses.
Ma tante en sueur m’a déclaré : « Tu peux l’épouser si tu veux, il baise bien. » Et c’est ainsi que j’ai
entraîné Pierre dans ma chambre pour qu’il me fasse l’amour. Et, effectivement, il était très fort à ce jeu-
là. Il m’a prise dans toutes les positions, il s’est occupé de moi avec beaucoup de tendresse. Il était à
l’écoute de mon plaisir et ce jour-là, enfin, j’ai joui.
Notre histoire dure depuis maintenant trente-deux ans. Pierre est devenu mon mari et je l’aime toujours
autant. Je voulais vous raconter cet épisode de ma vie, parce que j’ai conscience que ce n’est pas le
genre de situation qui arrive tous les jours…
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OH MARIE, SI TU SAVAIS…
LA RÉDACTION
MON AMANT ENCHANTE MON MARI
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