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REVELATION D’ANA

J’ai débuté l’école 3 semaines après la rentrée scolaire. Je ne voulais pas commencer dès les débuts avec
les autres. J’ai voulu les laisser se connaitre premièrement avant que je ne vienne marquer la différence.
Il faut noter que les internats sont les lieux ciblés des ténèbres. Et les filles sont les plus attaquées. Les
filles sont de nature attirée par la mode. Ce qui brille. Elles ont toujours l’envie d’avoir ce que l’une ou
l’autre a. Elles veulent se faire remarquer. Et leurs pauvres parents qui se battent pour elles ne savent
pas ce que leurs enfants sont devenus dans les internats.

La reine des eaux m’a donné 20 différents sous-vêtements. Tous en ensemble. J’avais 10 strings et 10 V.
Tous très chics avec des couleurs super frappantes. Mes formes étaient de telle manière que plusieurs
filles enviaient. Mon huile de toilette avait un parfum asphyxiant. Et mon propre parfum pouvait
hypnotiser. J’avais des montres et bracelets en Or. Mes chaussures étaient tellement jolies et même
mes cahiers et stylo étaient hors du commun. J’étais une vraie fille de la mode.

Mon premier jour au dortoir était comme le premier jour de toute nouvelle personne. Personne ne
gérait l’autre. Bref personne ne me gérait vu que j’étais nouvelle. La plupart d’entre elles se connaissait
déjà. Mon deuxième jour de classe, tôt le matin je suis allée me doucher avec 5 filles. Vu que nous
avions les douches en commun. Mon gel de toilette avait une odeur transperçant. J’ai mis dans mon eau
et avec mon savon je me suis lavée. Toute la douche avait une odeur très agréable. De là ressortait un
parfum nouveau. Je suis allée me changer. Mon huile de toilette et mon parfum avait changé l’aspect du
dortoir. J’ai retiré de mon Sac un ensemble string bleu très jolie et j’ai porté. Je me suis habillée et je suis
allée à l’école. En salle de classe je marquais la différence toute belle que j’étais ; j’étais aussi très calme
et très posée. Mes cahiers étaient différents, mes stylos pareils. Tous les outils scolaires que j’avais
laissaient tout le monde dans l’envie de l’obtenir.

Mon professeur de Français a commencé à me regarder. J’avais déjà lu son intention avant même qu’il
ne pose les regards sur moi assise au premier banc il avait une vue direct sur moi alors pour le
provoquer j’ai écarté mes jambes et lui présenter mes entre cuisses. Nous avions fait cours et le soir
après les classes je suis retournée au dortoir. Les cuisinières avaient retardé avec la nourriture. Il était
déjà 17h et personne n’avait encore mangé. J’ai retiré un paquet de chocolat. Un vrai délice. Une
merveille du royaume des eaux. Je me suis mise à sucer. C’était une mambo qui ne se vendait nulle part
sur terre. C’était extrêmement bon. Toutes les filles du dortoir pleuraient la faim. Alors j’ai retiré de mon
sac les paquets de ce style de mambo. Chose qu’adorent les filles. Sur 9 filles présentes dans la chambre,
certaines étant à la répétition, 6 filles ont pris les paquets de chocolats. Les autres ont refusé. Je
suppose qu’elles étaient prudentes. Mais ce n’était guère un problème. Ce chocolat que je leur avait
donné avait un but principal. Celui de les attacher à moi. Désormais je devais être comme leur amie
intime. Chacune me prenant comme son deuxième. Ma voisine du lit après avoir fini sa plaquette de
mambo, m’a remercié

--- Waouh je n’ai jamais vu ni goutter une mambo de ce genre. C’est non seulement très bon mais ça ne
finit pas vite. Je me demande bien ou tu l’as acheté.

--- c’est un don de ma mère quand je venais. Je ne sais pas où elle se les procure. Moi c’est Ana. (Dis-je
en lui souriant)

--- Enchanté Ana. Moi c’est Marianne. Je suis en Terminale D. Et toi ?

--- Je suis en première. Je suis nouvelle dans le collège.


--- C’est ce que j’ai remarqué. Tu t’es alors bien équipée en venant hein. Tout ce que tu as c’est hors de
prix. Je n’ai jamais vu ces choses que tu as. Tellement luxueux et juste brillant.

--- Merci Marianne.

Nous avons continué les présentations jusqu’à ce que les cuisinières nous ont appelé de venir manger.
Après avoir mangé je suis retournée au dortoir. Et j’étudiais puis je me suis endormie. En salle de classe
pendant la pause je mangeais toujours de ces genres de biscuits chocolaté bien chère a vu d’œil. Je me
faisais des amis en classe et ceux pu celles qui m’approchait je leur donnais ce que je mangeais. Un soir
vers 20h. C’était un samedi. Les filles de mon dortoir ont décidé de sortir se détendre un peu. 3 parmi
elles devaient voir chacune leur petit ami. Arianna est venue me voir. C’était une jolie petite fille ayant
maxi 16 ans.

--- Oui Arianna. Je peux faire quoi pour toi ?

--- Ana s’il te plait je voulais demander tes choses pour aller à mon rencard. Ça fait 3 mois je n’ai pas vu
mon gars. Et il est dans la ville et aujourd’hui est le seul jour libre de la semaine. Comme tu as les choses
luxueuses là je voulais...

--- Oh je vois. C’est normale ma chérie. Il faut lui donner l’envie de te voir chaque fois. Il faut qu’en te
voyant de loin que son pantalon commence à trembler. Bon je vois que tu as un peu mon corps. De
jolies formes. J’ai encore 6 sous vêtement jamais ouvert. Tu peux choisir ce qui te plait tu prends. J’ai
aussi un talon jamais porté. Et une robe très mini et sexy qui ne me plait plus. Mais je sais que tu vas
l’adorer. Je peux te maquiller et tu peux utiliser mon parfum. Nous sommes sœurs ici Marianne. Sans toi
libre.

--- Merci beaucoup Ana.

Elle était très fière. Elle s’est habillée et elle était splendide en plus du make-up que je lui ai fait.
D’autres filles ont pris leur courage et elles sont venues me voir. Je leur ai tous distribué ce que j’avais et
toutes en joie elles sont sorties. Je suis restée seule dans la chambre avec Amina. Elle n’était pas sortie.
Elle venait d’être larguée par son mec. Nous n’étions que 2. Il fallait que je fasse un truc. Alors après son
explication je l’ai pris dans mes bras essayant de la consoler. Et sans qu’elles ne s’en aperçoivent j’ai
commencé à la toucher. La délicatesse que j’ai utilisée l’a excité et je l’ai embrassé. Nous sommes allées
à la douche du dortoir et j’ai commencé à la caresser et la toucher partout elle était de plus en plus
sensible, commencer à la doigter son vagin était chaud et doux elle se mis à gémir de plus en plus fort ce
moment était magnifique. C’est ainsi que je l’ai rendu lesbienne. Et pour celles qui avaient pris mes
choses pour leurs sorties venaient d’être initié sans le savoir. Ma mission commençait à porter des
fruits.

Le lendemain matin quand elles sont rentrées j’étais là couché. J’avais fini avec celle qui était restée au
point où elle dormait. Marianne est venue vers moi. Il était 5h du matin. J’étais sur mon portable. Elle
m’a remercié pour ce que j’avais fait pour elle.

--- Pas de quoi je ne fais que ce qui est bien. Si je suis bien il faut que vous soyez aussi.

--- Mais pourquoi tu n’es pas aussi sortie hier ?


--- Euh juste manque de volonté. Mais t’inquiète Amina et moi, nous nous sommes très bien amusés. Et
ça s’est passé comment ? Tu as franchi le cap ?

--- Oui oui. Je te jure que le comprimé que tu m’as donné là a été très efficace. J’ai ressenti un plaisir
extrême. Vraiment merci Ana. En plus lorsqu’il m’a vu il est resté inerte pendant un bon bout. Il était
dépassé par ma beauté. C’est même lui qui était souple comme la femme. J’ai passé une douce soirée
hier. Grâce à toi.

--- Sais-tu que tout ce que j’ai si, toi aussi tu peux l’avoir ?

--- comment ça je ne travaille pas encore. Comment me procurai- de si joli vêtement ?

Je l’ai regardé et j’ai sourit

--- Un jour tu sauras. Ne te dérange pas. C’est moi qui te le dis.

Elle s’est couchée pour profiter de ce peu de temps qui restait avant que le coq ne chante. Celle qui
avaient reçu aussi de moi un don sont venues me remercier pour leur sortie qui a été aussi un succès. Je
fus très heureuse pour tout cela. Le dimanche lorsqu’elles sont sorties, certaines pour l’église et d’autres
pour leurs différentes balades, je suis allée faire un tour dans l’eau pour perdre un peu de temps. Le soir
je suis quitté avec beaucoup plus de choses sexy et bon à manger. Je ne cessais d’impressionner les filles
de mon dortoir. La nuit du dimanche pendant que toutes dormaient j’ai lancé des rêves fantastiques à
toutes les filles de mon dortoir qui avaient pris où toucher quelque chose m’appartenant. Dans leur rêve
je les faisais se voir dans un cadre de luxe. Dans un environnement beau et ayant une vie belle. Je
pouvais remarquer le sourire sur leurs lèvres le lendemain. Personne n’osa raconter son rêve à son
prochain. Seul moi savais. Je me suis habillée comme d’habitude et je suis allée en salle. Le professeur
de Français est entré à la 1ère heure. Il faisait cours nais ses regards ne se détournaient pas sur moi.
Lorsque son cours est fini il m’a demandé de l’attendre à la fin des cours. J’ai acquiescé et il est parti.
Notre surveillant général a envoyé m’appeler. Je suis allée dans son bureau pendant la pause pour
connaitre la raison de cet appel.

--- Oui c’est toi Ana n’est-ce pas ?

--- Oui monsieur. Vous avez envoyé m’appeler.

--- Oui. Euh ferme la porte s’il te plait et tu viens t’assoir.

J’ai fermé la porte de son bureau et je me suis assise. Il m’a regardé et a commencé à sourire.

--- Ana tu sais pourquoi je t’ai appelé ? En fait depuis quelques temps je t’observe. Ça ne fait pas 2
semaines que tu es dans cet établissement mais il ne faut pas les années pour enfin dire ce qu’on a au
cœur. Tu sais dans ce collège depuis ma venue ici il y’a beaucoup de chose qui tournent mal. Des élèves
qui se plaignent au proviseur pour certains actes faits par certains professeurs. Et ces professeurs se
voient chassé de l’établissement. Tu sais au moins qu’ici c’est le privé et non le public. Donc chasser un
enseignant n’est pas un problème.

--- Monsieur allez tout droit au but. Ce que vous dites là je sais déjà.

--- Humm Ana. En plus elle est même autoritaire.


--- Non monsieur je ne suis pas autoritaire. Juste que je veux que vous alliez au but directement. Vous
naviguez a vu monsieur.

--- En fait Ana. C’est juste que je ne sais comment m’y prendre. Non seulement je crains de me retrouver
dans cette même situation que certains profs mais...

--- Je vous plait c’est ça ?

Il a sorti les yeux. Je suppose qu’il ne s’attendait pas à ça.

--- Euh Pardon ?

--- Je demande si je vous plais. Votre manière de parler, votre façon de tituber c’est étrange. Je vous
intéresse ?

--- Euh Ana Ana. Il est bien vrai que je ne m’attendais pas à cette question mais je t’assure que tu as
raison. Tu es très belle. Tu es séduisante et j’avoue que tu m’intéresses vraiment. Mais j’ai vraiment
peur de...

--- N’ayez pas peur monsieur. Je suis discrète. Même si je refuse vos avances, cela ne te met pas en
danger. Je ne suis pas ainsi. Bien. Je vous trouve pas mal. Mais vous êtes marié. Père de 3 enfants. Et vos
deux enfants sont mêmes dans ce collège. Comment me voulez-vous alors que vous avez une famille
bien stable ? Cette question le choqua. Il ne savait pas que j’étais au courant de sa vie privé.

--- Qui vous a tout dit cela ? Comment tu sais tout ç Ana ? Tu t’es renseigné sur moi ?

--- euh pas vraiment. Mais disons juste que j’ai la chance de connaitre les choses. Dites-moi donc que
ferrai-je avec vous alors que vous êtes marié ? le mariage est sacré et vous êtes marié devant Dieu et
devant les hommes

--- Ana Ana... le mariage n’est pas un obstacle. Tu me plais.

--- Dites plutôt que mon corps vous attire. Je sais j’ai les formes. Un bon teint. Une bonne poitrine. Et
c’est ça que vous voulez. Bien. Donnez-moi un papier et du stylo. Il a déchiré un bout de papier et il m’a
donné avec un stylo. J’ai écrit mon numéro de téléphone dessus et je lui ai donné.

--- Au dortoir on interdit les téléphones. Je l’utilise sur vibreur. Alors si vous voulez communiquer avec
moi, c’est par sms. Je sais que vous n’êtes pas prête à quitter votre femme pour moi. Alors lorsque vous
avez l’envie de me sauter dessus faites-moi signe à ce numéro et je viendrai vous trouver. Il est resté
inerte. J’ai souri je me suis levée je me suis avancé près de lui. J’ai posé ma main sur son pantalon et je
lui ai dit que je rêvais lui sucer sa queue. Puis j’ai ouvert la porte et je suis partie. Je n’avais pas de
problème s’il fallait coucher avec lui. Je savais que c’est toujours un moyen pour honorer la reine des
eaux. Je suis rentrée dans ma salle de classe j’avais cours de science et d’informatique. J’ai très bien suivi
ce cours et à la fin j’ai attendu le professeur qui m’avait demandé de l’attendre à la fin des classes.
J’étais assise sur un banc au couloir lorsqu’il est venu. La plupart des élèves étant déjà rentré.

--- Comment tu vas Ana ?

--- Très bien monsieur. Mais je me demande bien comment vous connaissez mon nom alors que nous
n’avons même pas encore fait la première séquence.
--- Je crois que les informations existent encore. Bien si ça ne te dérange pas je pense qu’on peut
s’échanger de contact et causer le soir. Vu que l’administration pourrait nous voir et je risque une
sanction.

--- Sans soucis monsieur. Donnez-moi votre numéro et je vous ferai signe.

--- Je ne crois pas trop que vous ferrez signe. Donne-moi plutôt le tient.

--- vous ne croyiez pas aussi que j’allais vous attendre n’est-ce pas ? Mais je suis là. Si vous doutez
toujours alors donnez-moi un bout de papier je vous donnerai le mien

--- Voila plutôt mon portable.

J’ai pris son téléphone et j’ai enregistré mon numéro. Puis nous nous sommes séparés. Je suis rentrée au
dortoir toute souriant. Une fois dans mon dortoir, Après m’être douché je suis rentrée étudier puis je
me suis couché. Je n’ai pas mangé. La faim n’était pas mon problème. Dans la nuit vers 1h j’ai disparu et
je me suis retrouvé dans mon appart. Les filles de mon dortoir ont aussi apparu. Chacune était surprise
de me voir. Elles se sont mises à trembler.

--- Ne vous dérangez pas mes sœurs. Ici c’est ma maison. Bienvenue. --- Mais comment sommes-nous
arrivés ici ? M’a demandé Marianne.

--- déjà n’ayez crainte. Soyez au contraire fière d’être ici. La reine vous a choisi pour être ses membres.
Vous aurez tous ce que vous voulez. Regardez toutes mes choses que j’ai. Les tendances. La mode et
autre... j’obtiens cela gratuitement. Je dis bien vous pouvez tout avoir. L’argent, les habits tendances et
autres. Si vous voulez vous pouvez tout simplement me dire que vous êtes d’accord. Et si tu n’es pas
d’accord je te renvois. Je me suis assise. Elles étaient là. J’ai ouvert la télé et je les ai montrés tout ce
qu’il y’avait de beau. De jolie fille riche et influente. Parmi ces 9 présentes, 7 ont accepté me rejoindre.
Alors j’ai renvoyé les deux et j’ai initié les 7 autres. Leur initiation n’était pas semblable au mien. Ce fut
bref et elles sont retournés. Les 2 autres devant être des facteurs gênants pour nous le lendemain je l’ai
ai jeté l’épilepsie à l’une et l’autre est devenue muette. C’est ainsi qu’elles ont libéré le dortoir. Les
initiées ont commencé à initier aussi d’autres amies. Nous faisions des choses horribles. Couchions entre
nous les filles du dortoir. J’ai reçu le message du prof de français deux jours après. Il me faisait la cour
bien évidemment. Je lui ai répondu que je n’étais pas prête à entamer une relation. Mais s’il voulait une
relation sexefriend je pouvais être partant. Comme tout homme, il a réfléchi avec son pantalon et non
son cerveau et il a accepté. Il m’a invité à un hôtel et je suis allée. Nous avons couché la première fois. Et
j’ai emporté son sperme. Et nous avons couché plusieurs fois encore avant que je ne mette fin à cela.
Depuis ce jour il n’a jamais eu de femme stable car je l’avais rendu stérile. J’avais aussi couché avec le
surveillant général mais une seule fois. Il me dégoutait et je lui ai ôté la vie. On l’a retrouvé mort un
samedi soir dans la rigole. Ce fut mon travail. Trois s’étaient écoulé depuis le début des classes. J’avais
déjà implanté mes agents dans cet internat alors je ne voyais plus l’utilité de rester. Pendant les congés
de noël j’ai quitté le collège et je suis rentrée chez moi. Je n’avais plus pensé à mes parents depuis
longtemps. Mais ce jour couché sur mon lit j’ai pensé à eux. Toute furieuse j’ai pris le miroir qui était
dans ma chambre. J’ai invoqué la personne responsable de la mort de mon père. Ce vieillard a apparu.
J’ai utilisé l’acide j’ai versé sur lui. C’est ainsi que le lendemain son corps a commencé à pourrir jusqu’à
ce qu’il soit mort. J’ai voulu invoquer mon oncle au vu de tout ce qu’il m’avait fait. Mais à cause de mon
petit frère j’ai reporté sa sanction.
Deux semaines après j’ai eu l’envie de grandir. D’être plus puissante. J’ai contacté l’inde pour une
initiation approfondi. J’ai dû faire 7 jours au fond de la terre. Ce que je vis est difficile à expliquer. J’avais
subi plusieurs épreuves et réussir. L’avant dernière devait être de passer 6 jours au fond de la terre. J’y
étais accompagné de toute sorte d’animaux extraterrestre. Et je ne devais pas crier au péril de ma vie. Il
y’avait des animaux qui avait la forme humaine mais avec une tête de cheval. D’autres animaux avec 7
yeux et 4 bras. Il y’avait toute sorte de serpent qui montaient sur moi. Mais je ne devais pas crier. Il
y’avais des grosses chenilles et des fourmis qui marchaient sur moi. Mais je supportais. Après ces 6 jours
infernaux. Les dernières étapes devaient être d’avoir les rapports sexuels avec un mort au cimetière de
mon choix à minuit. Je voulais vite en finir. J’ai choisi un cimetière ou je suis allée. Ils ont fait apparaitre
un mort. Nouvellement enterré le corps en pleine décomposition. Nous avons fait l’amour et je me suis
évanoui. Je me suis réveillé dans mon lit à Douala. Les puissances que j’avais eues étaient 12 fois plus
que ce que j’avais déjà eues. Il était 16h. J’ai eu l’envie de manger la chair fraiche. J’ai envoyé un garde
en forme humaine me chercher un enfant. Il est parti et m’a amené une petite fille nouvellement
accouchée. Une infirmière qui était des nôtres l’avait aidé à voler un enfant dans une couveuse. J’ai
décapité sans sentiment cet enfant et j’ai dégusté.

Deux ans plus tard j’avais déjà tué des gens au point d’arrêter de compter. J’ai décidé de voyager un jour
par bus. Je suis allée dans une agence de voyage pour l’ouest. Curieusement Arthur était assis près de
moi. Ce fut le début de ma chute du monde des ténèbres.

--- Eh Ana. Waouh tu as grandi. Comment tu vas ? --- Je vais bien et toi ?

--- Bon tout va pour le mieux. Le Seigneur veille. Et toi tu deviens quoi ? Tu fais quoi maintenant ?

--- Rien rien. Je suis là. Et toi ?

--- Bon par la grâce de Dieu je travaille dans une entreprise de la place. J’ai commencé cette année après
l’obtention de ma licence

--- La licence déjà ?

--- Oui ça fait 3 ans et demi déjà que tu t’es évaporée au lycée nor... tu oublies ?

--- Ah oui tu as raison. Ah j’oubliais que tu faisais Terminale. C’est très bien. Bravo. Tu es déjà marié ? Ou
tes fiançailles sont en cours ? Il a souri et m’a regardé.

--- Rien des deux. En fait j’ai décidé de ne plus faire la navigation à vue. J’ai demandé au Seigneur Jésus...

Ayant prononcé ce nom j’ai comme reçu une bonne paire de gifle. J’ai sursauté. Je ne savais pas ce qui
se passait. Heureusement il n’avait pas vu mon geste. Je lui ai demandé de répéter car je n’avais pas
compris. J’ignorais que c’est ce nom puissant qui m’avait mis hors de moi.

--- Je dis j’ai demandé au Seigneur Jésus de me trouver une bonne femme selon sa volonté.

J’ai encore eu une bonne paire de gifle spirituelle à la joue. Arthur ne s’était pas rendu compte. Brune
que j’étais il a juste constaté ma joue qui avait rougie.

--- Mais Ana. C’est quoi sa sur ta joue ? Qui t’a encore frappé ? Tes joues sont rouges et tracées de
doigts. On dirait qu’on t’a bien giflé alors que nous sommes ici depuis. Les larmes coulaient d’un côté. Je
ne savais quoi faire. Le bus était en vive allure. Qu’allaient dire les gens en voyant mon visage ? En plus
d’où venaient ces claques bien appliquées ? Alors j’ai changé ma trajectoire. J’ai commandé aux esprits
de faire dormir tout le monde dans la voiture pendant 30mn. Même Arthur s’est mis à dormir. Alors j’ai
disparu et je suis allée dans l’eau. Je suis allée voir la reine des eaux pour demander ce qui s’était passé.
Je me disais qu’elle était à l’origine de cela.

--- Ana. Pourquoi te frapperai-je ? C’est la 4ème fois qu’un membre vient me montrer ceci. Et j’ai perdue
2 d’entre eux. Ces traces sont les traces du Dieu des illuminés. Dis-moi pendant que tu causais y’a-t-il un
nom qui fut prononcé ?

--- Oui Seigneur Jésus.

La reine des eaux est tombée après que j’eus mentionné ce nom. J’ai encore reçu une triple claque et j’ai
commencé à pleurer. J’avais déjà souffert dans ma vie. Mais je n’avais jamais ressenti de douleur
comme celle que je traversais à ce moment-là. Lorsqu’elle s’est levée elle était toute furieuse. J’ai reculé
devant elle de peur de souffrir de sa colère. Elle m’a regardé

--- Je ne veux plus jamais que tu prononces ce nom devant moi. Plus jamais ou tu mourras. Raaaaaaah.
Je ne dis plus jamais.

--- Mais je n’ai fait que ...

--- Ferme là. Tu seras puni pour ton comportement. Tu resteras 24 sous la forme d’un oiseau.

--- Non s’il te plait ma reine. Je m’excuse.

Toute furieuse qu’elle fut elle m’a transformé en corbeau. J’ai passé 24 h sous cette forme et hors de
l’eau survolant dans les airs de Douala. Après ces 24h je suis redevenue normale j’ai décidé aller encore
m’excuser auprès d’elle.

--- Je te donne une seconde chance parce que j’ai de l’admiration pour toi. Bien la mission rédemptrice
que je te donne. Va tuer l’homme qui a occasionné cela.

--- Ok ma reine

Je me suis tourné et je suis partie. Je méditais dans mon esprit. Que ferrai-je ? Tuer le seul homme pour
qui j’ai eu de l’admiration ? Tuer Arthur ? C’était un mal nécessaire. J’étais obligé de le tuer si je tenais à
ma vie. Sachons que lorsque Jésus nous touche quel que soit ce que nous faisons ou là où nous partons
nous penserons que c’est nous qui sommes maitre mais non. C’est lui qui nous guide. J’ai voulu appeler
le nom d’Arthur via mon miroir magique pour le tuer sans fournir trop d’effort. Mais j’ai changé d’idée
et j’ai résolu aller le trouver et le détruire. Il est vrai que je n’avais pas son contact. Mais le monde
mystique est beaucoup plus que ce que nous pensons. Alors un esprit s’est chargé de me trouver son
numéro. Je l’ai appelé

** AU TELEPHONE **

---Oui bonjour c’est qui s’il vous plait ?

--- Bonjour Arthur c’est Ana. Désolé de te déranger ce soir.


--- oh non Ana tu ne me déranges pas. Je suis très heureux de t’avoir. Comment tu vas ? Comment as-tu
eu mon numéro ?

--- Je suis une femme Arthur. Si je veux avoir ton numéro c’est un petit problème pour moi. Je ne vais
pas très bien. Dis-moi s’il te plait tu es où ?

--- Euh Actuellement je suis à Douala. Mais qu’est ce qui s’est passé l’autre jour ? On causait subitement
le sommeil m’emporte et quand je me réveil je ne te vois plus. Juste une sacoche

--- Euh oui. Je suis descendu uriner et le chauffeur est partie. J’ai crié comme je pouvais mais rien j’ai
alors trouvé un autre moyen.

--- j’ai ton porte-monnaie avec moi. Avec plus de 150 mille dedans. Je n’ai pas jugé bon de le laisser chez
ces gens-là. Demain si tu veux je peux te le donner.

--- Tu vis seule ou en famille ?

--- Je suis quand même un grand garçon Ana. Bien sûre que je vis seule. Je loue un studio.

--- Ok s’il te plait je veux te voir maintenant. J’ai envie de rester près de toi s’il te plait. J’ai eu de graves
problèmes ici et j’ai besoin de changer d’air.

--- Euh je ne pense pas que ce soit une bonne idée.

--- Ok je vois que tu refuses. Bonne nuit. Je regrette d’avoir appelé. J’ai cru que tu m’aimais encore. Mais
tu n’es qu’un menteur.

--- Non ne dis pas ça de moi Ana s’il te plait. Ok tu peux venir. Je t’envoie l’adresse par message.

--- ok.

PAR MESSAGE (SMS) *

ARRIVE A BESSENGUE TU ME FAIS SIGNE VIA CE NUMERO. JE VAIS T’APPELER ET MIEUX T’INDIQUER. JE
10 minutes. ANA**

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Je me suis habillée. J’ai porté une robe mini évasée. J’ai fait le make-up nécessaire. J’étais super belle et
sexy. J’ai pris un paquet de préservatif qui venait de l’eau et j’ai mis dans mon porte-monnaie. Puis je
suis partie. Comme il m’avait prévenu, je suis arrivée à Bessengue et je l’ai appelé. Il avait une moto
dame starlette 2 places. Il est venu me chercher avec et nous sommes partis. Nous sommes arrivés chez
lui 5 minutes après. Lorsqu’il a garé sa moto il a allumé et il m’a vu.

--- Waouh très jolie. Mais un peu trop extravagant. On dirait une femme en chaleur.

Dit-il en souriant. Je ne m’attendais pas à cette réplique. Avec tout ce que j’avais sur moi, il devait
bander à l’instant où il me voyait. Il devait même sauter sur moi. Mais il a apprécié d’une manière
désintéressée et il est entré dans la chambre.
--- Pas mal ta chambre. Très bon lit. Bon matelas pour faire de bonne chose. Je suppose que ça fait de
bonne chose. Dis-je en lui souriant et m’assaillant. Il ne m’a pas répondu et il s’est juste mis à arranger le
lit et enlever les habits qui étaient au lit.

--- Bon voilà ma maison Ana. Ma petite cabane ou je me cache. En attendant que Dieu me fasse grâce
d’une autre meilleure que celle-ci. Bien. Je n’ai rien à manger là donc tu vas m’excuser je vais aller
chercher un truc en route pour toi. Je ne voulais pas me séparer de lui. Tout ce que je voulais était de le
tuer. Mais dans la plus douce des manières.

--- Non non ne me laisse pas seule ici. Allons ensemble S’il te plait.

---- Ok. Porte donc ma seconde paire de sandale là. Je suppose que ton talon te ferra mal aux pieds. Vu
que je ne sors pas avec la moto. Nous irons à pied.

--- sans soucis.

J’ai changé de chaussure et nous sommes partis. Nous avons acheté du poisson braisé et nous sommes
rentrés. C’était un studio. Une chambre et un petit salon. Nous nous sommes assis au salon. Il a déposé
le poisson sur la table et moi je suis allée dans la chambre prendre la bouteille de Jack Daniel (L’un des
meilleurs whisky) qui était dans mon sac et j’ai posé sur la table. Selon moi je voulais qu’après un bon
poisson braisé bien pimenté nous prenons du whisky. Puis avec la dose d’alcool et seul dans la chambre,
je pourrais l’exciter et dès qu’il sera entre mes jambes j’utiliserai ma puissance pour qu’il meure en plein
acte. Puis je disparaitrai. Mais ce dont je pensais n’était pas ce qui s’est passé. Curieusement Arthur m’a
dit :

--- Je vois que tu marches avec du whisky.

--- Oui je venais te donner mais bon. Je crois qu’à cette occasion ça ne dérange pas de l’ouvrir.

--- Désolé chéri je ne bois pas de l’alcool. Donc je ne pourrais pas t’accompagner dans cela. En plus tu es
venu et nous sommes même allés acheter de quoi manger sans remercier le Seigneur pour son amour.
C’est une erreur. Alors on va prier avant. Il s’est agenouillé et a commencé à prier.

« Je te remercie Seigneur pour ton amour, pour ta grâce, pour ta bonté dans la vie de mon chère amie
Ana ici présente. Tu as permis qu’elle soit ici ce soir en la protégeant contre toute attaque du diable.
Contre les agresseurs et les malfaiteurs. Merci Seigneur pour cela. Là nous allons manger Seigneur. Je te
rends grâce pour cela. Je prie que tu donnes à tous les nécessiteux, tous ceux qui n’ont pas à manger
dans le monde visite les Seigneur. Merci pour ce que tu ferras. Garde-moi pendant cette nuit. Protège
Ana pendant qu’elle dormira contre tout sorcier. Contre tout démon. Qu’elle dorme sous ta protection
Divine. Merci Seigneur et a vous mes ancêtres je détruis tous les plans du diable dans ma vie cette nuit.
Au nom de Jésus j’ai prié. AMEN. » Nos attentes, nos impressions ne sont pas toujours celles de Dieu.
Après cette prière j’ai touché ma joue pour voir si j’étais encore uniforme ou si la gifle de la fois dernière
m’avait détruite sans que je ne sache. Mais j’étais toujours là. Intact. Sans problème. Je ne comprenais
plus rien. Je fis tout de même heureuse.

Après la prière Arthur s’est levé. Vu qu’il priait à genou. Je faisais le maximum d’effort pour être
patiente. Je ne voulais pas le tuer si brutalement bien que les esprits m’harcelaient de lui envoyer un
malaise. Il m’a regardé et a sourit
--- Je ne sais pas si ma prière t’a plu mais si tu as constaté j’ai changé Ana. Je suis devenu chrétien. J’ai
accepté le Seigneur dans ma vie et je ne peux m’empêcher de prier ou de le louer ou de parler de lui aux
autres. Non. Je fais tout mon possible pour qu’il soit reconnu de tous. Alors tu peux manger maintenant.

--- Tu ne manges pas ?

--- Euh j’avais déjà mangé. Mais bon si tu veux que je t’accompagne c’est sans soucis.

--- Bien sûre que je veux.

Je lui ai souri et nous avons commencé à manger. Après cela j’ai pris l’alcool j’ai bu. Et j’ai commencé à
me rapprocher de lui. Il a vite vu mes plans. Ce qui est étonnant il ne m’a pas repoussé avec force et
autre mais juste sa parole. J’ai posé ma main sur sa cuisse. Il m’a dit :

--- Ana ma chérie. Nous voilà 2. Je ne sais pas si c’est Dieu ou si c’est mon cœur. Mais je dois t’avouer
que je n’ai jamais cessé de t’aimer. Quand je t’ai fait la cour en Terminale c’était la chair qui me
conduisait. Je voulais t’avoir pour satisfaire mes désirs personnels. Genre vivre une histoire comme celle
des jeunes aujourd’hui. On sort ensemble on couche ensemble et on rompt quand il y a problème. Oui
c’est ce que moi je voulais avant. Mais curieusement quand j’ai donné ma vie à Christ. J’ai décidé de me
préserver jusqu’à ce que je trouve une femme selon Dieu. Et... Il a regardé vers la chambre et il s’est
levé.

--- patientes s’il te plait.

--- Il est allé dans la chambre et est ressorti avec mon porte-monnaie que j’avais laissé dans le bus. Le
plus étonnant est qu’il avait changé de bas. Il avait maintenant porté un jeans.

--- Voilà ta sacoche là. J’avais peur d’oublier. Bien comme je te disais tantôt Ana. Je ne sais pas si c’est le
moment pour te le dire mais cette même affection ce sentiment que j’avais à ton égard je peux affirmer
qu’il est toujours présent. Tu me plais vraiment et si l’occasion se posait je t’épouserai.

--- Toi aussi tu me plais Arthur. Je jure tu as été la seule pour qui mon cœur a ressenti de l’affection.
Mais je traversais une situation qui ne pouvait pas me permettre de te gérer normalement. Mais je crois
que si je suis ici aujourd’hui c’est pour t’accepter. J’ai voulu l’embrasser mais il m’a barré la route.

--- Ana je t’ai dit je ne suis plus comme avant. Je ne peux plus vivre ou faire comme les gens de ce
monde. Je suis une nouvelle personne Ana. Désolé si je te repousse je ne peux pas assouvir tes désirs et
pécher contre mon Dieu. Surement je te fais mal mais tu comprendras. La vie que nous menions quand
nous étions pécheur nous croyions que c’était la meilleure jusqu’à ce que Christ nous ouvre les yeux sur
la vraie vie. Ana. Je ne sais pas ton passé. Je n’ai même jamais su ton passé. Mais je peux t’affirmer que
tu peux avoir une vie meilleure si seulement tu te confies en Dieu.

Lorsqu’il me parlait j’avais l’impression qu’on me piquait avec les aiguilles. Les ténèbres n’ont pas de
part avec la lumière. Je supportais. Je ne voulais pas manifester un quelconque comportement qui sera
pour moi une occasion de chuter. Quand il a fini de parler il était 23h. Il est entré prendre la couverture
dans sa chambre.

--- Mais où tu vas avec la couverture ?


--- Je vais dormir sur le canapé. Je te laisse la chambre. Tu ne peux pas quand même venir chez moi et je
te laisse dormir sur le canapé

--- ton lit est grand. Et si on s’y couchait ensemble ?

--- Non non je vais bien. Ça va aller ici. Je dors même souvent ici laissant le lit. Donc ne te déranges pas.

--- Humm Arthur

--- Tu peux aller te coucher

Je ne voulus pas trop discuter. Sans plus poser des questions je me suis levée et je suis allée dans la
chambre. Toutes les lumières furent éteintes. Il était donc seul au salon et moi seule dans la chambre.
J’ai décidé de l’attaquer dans son rêve. J’avais toutes ces capacités-là. Je pouvais vivre en esprit comme
physiquement. Je pouvais tuer physiquement ou tuer spirituellement. J’ai alors changé de dimension.
J’ai commencé à œuvrer spirituellement. Je suis sortie de la chambre et je me suis rendue au salon. Il
était couché mais le plus admirable, tout autour de lui il y’avait un cercle de feu. Qui brulait sans arrêt. Il
y’avait pas de faille par ou passer car ses ancêtres était plus puissants que moi et ce Dieu-là . Tout de
même j’ai voulu avancer. Avec ma puissance je pouvais éteindre ce feu. Mais il semblait que toutes mes
incantations allaient plutôt dans le sens contraire. Car à chaque fois que je récitais une formule
magique, le feu autour de lui s’agrandissait. J’étais confuse. Avais-je confondu la récitation ? Non. J’ai
changé d’incantation mais le même phénomène se produisait. J’ai essayé tout ce que je pouvais mais je
ne l’atteignais pas.

Il était 5h quand je suis allée me coucher. Tous mes efforts étant vains. Le matin à 7h je me suis levée.
Toute faible. Et nerveuse. Il est venu me saluer dans la chambre.

--- Comment tu vas Ana on dirait que le sommeil t’a plutôt épuisé. Tu as l’air fatigué.

--- surement que j’ai trop dormi. Tu sais que quand tu dors trop tu te fatigues.

--- Oui tu as raison. Bon je dois aller au travail. Je fais comment ? Je te laisse ici ou bien...

--- Non non merci pour l’abri de ce soir. Je dois partir.

J’ai lavé ma face et je suis sortie avec lui. Il m’a raccompagné avec la moto jusqu’à un certain niveau puis
il m’a tendu un billet de 5000f pour le transport. J’ai refusé disant que j’en avait assez. Il a insisté puis j’ai
pris. Je suis rentrée chez moi. J’ai commencé à me questionner d’où pouvait bien sortir cette puissance
qui était au-delà de la mienne. Je suis allée dans l’eau pour me renforcer. J’ai expliqué ce qui s’était
passé à la reine et elle m’a demandé de laisser tomber. De ne plus côtoyer cet Arthur. Mais au fond de
moi je ne voulais pas laisser. Je ne me voyais pas abandonner si facilement sa fournir des efforts. J’ai
pratiqué certains rituels et je me suis armée davantage. Toute puissante, je suis sortie de l’eau dans
l’espoir de vaincre cet idiot. Dieu a toujours un plan pour tout le monde. Chose que j’ignorais.

Trois jours après Arthur m’as appelé. Je me suis rendue chez lui. Il avait préparé un délicieux plat de riz.
Comme toujours il m’a gêné avec la prière. Mais j’ai supporté. Il s’est mis à me prêcher. Il a commencé à
me parler des choses mystérieuses. Beaucoup de choses que J’ignorais. Je lui ai demandé pourquoi il me
Racontait tout cela.
--- Ana la vie que nous voyons là est très compliquée. Aujourd’hui tu nais demain tu meurs. Alors la
question à se poser est celle de d’avoir ou tu iras après la mort. Ana. Longtemps j’ai pris cela pour de la
blague jusqu’à ce que mes yeux soient ouverts. Aujourd’hui je vis et j’ai la ferme assurance que si
aujourd’hui je meure je crois que Dieu me recueillera car je vis et m’efforce de suivre sa volonté. Ana la
vie est bien. Mais elle est très bien si nous la vivons dans la droiture et dans la volonté de Dieu. Si je t’en
parle c’est parce que je t’aime Ana. Je veux que tu sois parmi ceux qui rirons à la fin des temps. Et non
seulement ça... je t’aime d’un amour sincère. Plusieurs fois dans mes prières c’est toi que le Seigneur me
révèle. Je le regardais et j’étais troublé. Physiquement ce qu’il disait me transperçait le cœur. Il avait
raison. Et il était sincère. Mais intérieurement les esprits m’attachaient et ne commandaient de lui faire
du mal. Arthur était la seule personne qui m’a fait savoir que je pouvais avoir de l’opposition. Je
ressentais cela seul. Mais lui il causait comme si de rien n’était. J’si constater que devant lui j’étais
impuissante. Je me battais en moi-même. Mais je ne pouvais rien faire. Il a longtemps parlé puis il m’a
demandé de réfléchir par rapport à ce qu’on s’est dit. Il m’a donné un Nouveau testament et j’ai pris
congé de lui. Arrivée chez moi je me posais beaucoup de question. Je me demandais ce qu’il y’avait en
lui qui était pour moi une forte opposition. Moi Ana. La puissante Ana. Qui peut disparaitre et apparaitre
ou elle veut et quand elle veut. Devant un petit Arthur. Je suis sans puissance. Qu’est ce qui ne va pas ?
Qu’est ce qui m’arrive ?

Une semaine après, un mardi, Arthur m’a appelé et m’a demandé de l’accompagner à l’église le soir il y
avait un programme à l’église et il voulait absolument que je sois présent. J’ai accepté sans réfléchir.

Il faut noter que dans le monde des ténèbres, celui qui réussit à mettre un pasteur au sol reçoit une
récompense du grand maitre en personne. Alors aller dans cette église était pour moi une bonne
occasion de grimper rapidement. J’ignorais le plan de Dieu.

A SUIVRE

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