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JENNIFER SUCEVIC
Même pas en rêve
Copyright© 2018 par Jennifer Sucevic
Tous droits réservés. Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite,
distribuée ou transmise sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit,
y compris la photocopie, l’enregistrement ou autres méthodes électroniques ou
mécaniques, sans la permission écrite de l’éditeur, à l’exception de brèves
citations dans le cadre de critiques littéraires et autres usages à but non
commercial autorisés par la loi sur le droit d’auteur.
Ce livre est une œuvre de fiction. Tous les noms, les personnages, les lieux et les
incidents décrits sont le produit de l’imagination de l’auteur. Toute ressemblance
avec des personnes existantes ou ayant existé, des choses, des lieux ou des
événements réels, serait purement fortuite.
1. Chapitre premier
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
Chapitre 18
Chapitre 19
Chapitre 20
Chapitre 21
Chapitre 22
Chapitre 23
Chapitre 24
Chapitre 25
Chapitre 26
Chapitre 27
Chapitre 28
Chapitre 29
Chapitre 30
Chapitre 31
Chapitre 32
Chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
Chapitre 36
Chapitre 37
Chapitre 38
Chapitre 39
Chapitre 40
Chapitre 41
Chapitre 42
Chapitre 43
Épilogue
Maintenant ou jamais
DAISY
CARTER
DAISY
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
DAISY
CARTER
CARTER
DAISY
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
M erde !
Je sais que c’est mal, mais je ne pense pas que
quoi que ce soit ait déjà été aussi bien. La façon dont sa
langue lèche mon gland est un nirvana absolu. Elle donne
de lents coups de langue. Regarder la langue de Daisy
danser sur ma queue est la chose la plus excitante du
monde. Je tourne de l’œil quand elle me lèche de haut en
bas avant de laper mes boules épilées.
Bordel !
C’est incroyable !
Ahhhhh !
Les vagues de plaisir qui me traversent sont presque
suffocantes. Je ne sais pas comment je vais supporter plus
de quelques minutes de cette douce torture et elle ne m’a
même pas encore sucé. Je ne savais pas ce que Daisy
penserait de mon épilation sous la ceinture, mais vu sa
manière de me caresser, elle a l’air d’être fan.
Ce qui m’a mis sur la voie d’un entretien impeccable ?
Un pari stupide que j’avais perdu en deuxième année.
Vous savez quoi ? C’est la meilleure chose qui me soit
jamais arrivée. À ma coucherie suivante, j’ai été
agréablement surpris par la réaction qu’ont provoquée mes
valseuses. Sans la jungle de poils, elles reçoivent largement
plus de préliminaires.
Alors j’ai continué de les maintenir ainsi.
Est-ce que c’est un peu casse-couilles ?
Oui, ça prend du temps. Mais ça en vaut vraiment la
peine.
Et puisque j’apprécie les pubis parfaitement épilés, je
comprends parfaitement.
Je ne demanderais jamais à une fille de faire quelque
chose à laquelle je me refuserais personnellement.
Je vous en prie, les filles.
Agenouillée entre mes jambes, Daisy braque son
attention sur une bourse avant de passer lentement à
l’autre. Je ferme les yeux et profite de sa langue
talentueuse.
— J’aime qu’elles soient lisses, murmure-t-elle avec
admiration, confirmant mes soupçons.
— Je suis content que ça te plaise.
Parce que Dieu sait que j’adore ce qu’elle est en train de
faire. Je manque d’avaler ma langue quand elle suce un
testicule dans sa bouche avant de le libérer.
Bordel !
Qui est cette fille et où a-t-elle appris à faire ça ?
Une meilleure question : va-t-elle le refaire ?
Je suis au bord du précipice et cette petite manœuvre
m’entraîne plus près de l’explosion. Elle prodigue à l’autre la
même attention et sa langue remonte le long de ma verge.
Sa langue tourbillonne autour du gland palpitant.
L’aplatissant, elle en caresse le dessous délicat.
Mes doigts s’enfoncent dans sa chevelure. J’ai passé des
années à me demander quelle texture ils auraient. C’est
plus génial que ce que je m’étais imaginé.
Il y a des fois où tu veux quelque chose si fort que tu te
l’exagères jusqu’à ce qu’en faire l’expérience s’avère être
une déception.
Juste pour être clair, ce n’est pas une de ces situations.
Absolument pas.
Être avec Daisy est tellement mieux que ce que je
m’étais imaginé. On parle d’années d’un désir refoulé qui
fait rage comme une bête à l’intérieur de moi. Je ne sais pas
si un train de marchandises lancé à pleine vitesse saurait le
retenir.
Particulièrement quand Daisy aspire ma queue dans sa
bouche.
Putain !
Je ferme les paupières et me cambre sur le lit. Tous mes
muscles se contractent alors qu’elle monte et descend sur
mon érection. Chaque fois que je disparais à l’intérieur de sa
bouche, elle me prend plus profondément qu’avant.
Un orgasme naissant fait se contracter mes bourses.
Elle enroule les doigts autour de la base de ma verge et
l’étrangle. Mes hanches ondulent avec son mouvement. La
succion de sa bouche est la meilleure sensation de la terre
entière. Je ne sais pas si c’est parce qu’elle est douée pour
sucer ou bien si c’est parce que c’est elle, Daisy, la fille sur
laquelle j’ai passé des années à fantasmer.
Ça doit être ça. Ce que je ressens a tout à voir avec elle.
Mes doigts s’enfoncent dans ses cheveux. Ne voulant pas
jouir dans sa bouche, je l’écarte.
— Je vais jouir.
Je l’encourage à reculer, mais elle ne bouge pas.
— Daisy, il faut que tu…
Oh, merde.
Trop tard.
Quand sa bouche se resserre autour de ma queue, je
perds les pédales. Je dois être à moitié dans sa gorge.
J’entonne son nom alors que mes muscles se contractent
et qu’un orgasme s’empare de mon corps. Elle ne desserre
pas son emprise. Ses lèvres refermées autour de ma queue
alors que je déverse ma semence me font l’effet d’une
révélation. Mes bourses sont vides, mais Daisy continue
d’aspirer la moindre goutte de ma verge.
J’ai légèrement le vertige après cette expérience. Je me
force à ouvrir les yeux et rassemble sa chevelure dans mes
mains pour voir ses lèvres se déplacer contre ma chair
turgescente.
— Merde, Daisy, marmonné-je d’une voix lente. C’était
génial.
Mon corps tout entier est vidé et détendu. Si je n’y
prends pas garde, je risque de sombrer dans le coma. Avec
une dernière succion, elle libère ma verge qui se ramollit et
la frotte avec son nez, déposant un baiser à l’endroit où le
gland aurait dû se trouver.
Mais ce n’est pas le cas.
Parce que j’ai l’impression qu’il a explosé.
Je glisse les mains sous ses bras et la soulève pour
pouvoir l’embrasser. Nos langues se mêlent alors que je la
cale en travers de ma poitrine. Il y a quelque chose de
réconfortant dans le poids qui est pressé contre moi,
m’ancrant dans la terre.
C’est une pensée à la con. Elle devrait m’effrayer. Je me
prépare et attends que la panique s’installe, mais ça
n’arrive pas. Je resserre les bras autour de Daisy et la
maintiens en place.
Nous restons tous les deux silencieux. On digère peut-
être ce qu’il vient de se passer.
Pour une fois, les mots ne semblent pas nécessaires.
CHAPITRE 23
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
DAISY
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
—O ui, d’accord.
Carter hoche la tête et me serre à nouveau les
doigts avant de les lâcher.
— Où tu veux qu’on aille ?
— Pas toi, lance Noah en tendant un doigt dans ma
direction. J’ai envie de m’entretenir avec elle.
— Quoi ?
Carter fronce les sourcils en m’adressant un regard
surpris.
Cette demande me désarçonne tout autant que lui.
— Moi ? dis-je en plaçant une main sur ma poitrine pour
clarifier. Tu veux me parler ?
Le visage de Noah se rembrunit. Je ne me souviens pas
de la dernière fois où je l’ai vu aussi en colère. Il a l’air à
deux doigts de péter un plomb.
— Oui, à toi.
Il désigne ma chambre d’un geste du menton.
— Allons-y.
Je croise le regard de Carter et secoue la tête, confuse.
— Hmm, d’accord.
Ce n’est pas ainsi que j’imaginais que la conversation
allait se passer. Noah file vers ma chambre et je le suis
avant de refermer la porte. Je savais qu’il allait se mettre en
rogne. Mon cousin s’est toujours foutu les nerfs en boule
quand ses amis ou ses coéquipiers me regardaient en
douce. Alors, je m’attendais à cette réaction. Cela dit,
j’avais pensé qu’il voudrait s’en prendre à Carter, pas à moi.
Mais c’est peut-être pour le mieux. Je peux peut-être
désamorcer la situation avant qu’elle ne continue de nous
échapper. La dernière chose que je veux est que Carter et
Noah soient en désaccord.
— Je suis désolée de te l’avoir dissimulé, dis-je. On n’a
jamais…
— Carter et toi ne serez jamais ensemble et c’est mon
dernier mot.
Il croise les bras et me fusille du regard.
Que je sois avec n’importe lequel des amis de Noah
plomberait déjà bien l’ambiance, mais c’est le fait que ce
soit avec son meilleur ami qui est encore pire.
Je m’humecte les lèvres et réessaye.
— Noah, laisse-moi t’expliquer.
Refusant d’écouter, il secoue la tête.
— Il n’y a rien à expliquer, parce que tu vas casser avec
lui tout de suite, avant que ça aille plus loin.
Surprise, je cligne des paupières en entendant son ton.
— Écoute, tu as tous les droits d’être en colère.
— Tu as raison, je le suis, crache-t-il.
Je tords les doigts devant moi.
— Mais je ne veux pas que tu sois en colère contre
Carter. Il n’a rien fait de mal. C’était entièrement de ma
faute, j’admets.
Noah fronce les sourcils et serre les poings contre lui.
— Je n’ai jamais pensé le contraire, Daisy.
Je fronce les sourcils.
— Quoi... Quoi ?
— Carter ne t’aurait jamais séduite.
On ne peut pas nier que Noah est en colère que Carter et
moi soyons ensemble, mais cette colère ne semble pas
dirigée vers son ami. Elle est dirigée vers…
— Attends un peu.
Je me redresse de toute ma taille et plaque une main sur
ma poitrine pour la seconde fois.
— Tu es en colère contre moi ?
Noah lève les yeux au ciel.
— Oui.
Il désigne la porte d’un geste de la main.
— Qu’est-ce que tu fais ?
Je suis dans la quatrième dimension ? Parce que je ne
comprends rien à ce qu’il dit.
Je secoue la tête afin de m’éclaircir les idées avant de
marmonner :
— Je ne comprends pas.
— Carter n’est pas comme les autres mecs avec lesquels
tu fricotes.
Je pousse un soupir frustré.
— Ce n’est pas ce qui se passe entre nous.
Ce que Carter et moi avons est beaucoup plus que ça.
Cette relation est peut-être récente, mais je vois déjà que
mes sentiments pour lui sont profonds. Ils l’ont peut-être
toujours été et j’étais simplement trop entêtée pour m’en
rendre compte.
Il pince les lèvres.
— Tu vas juste le détruire, Daisy.
Cette accusation me laisse bouche bée et je murmure :
— Comment peux-tu dire une chose pareille ?
Il hausse brusquement les épaules.
— Soyons honnêtes, tu as de mauvais antécédents
question mecs. Tu les enchaînes aussi souvent que la
plupart des gens changent de caleçon. Carter n’en a pas
besoin. Particulièrement pas maintenant.
Ses mots aspirent tout l’air de mes poumons et
m’empêchent de respirer.
— Noah…
Comment notre conversation a-t-elle pu dérailler à ce
point ?
Une lueur de protection féroce brille dans ses yeux. J’ai
déjà vu ce regard une centaine de fois, mais il a toujours été
pour moi et jamais contre moi.
— Je ne veux pas que tu lui retournes le cerveau,
marmonne-t-il.
Ses mots me transpercent comme une lame de rasoir. Ce
qui ne fait qu’empirer les choses est qu’ils viennent de mon
cousin. La seule personne sur laquelle je peux compter pour
me soutenir.
— Tu penses vraiment que je ferais une chose pareille ?
Il ignore la question et dit plutôt :
— Si tu tiens vraiment à lui, tu vas mettre un terme à la
situation avant que ça n’aille plus loin.
— D’où ça sort, tout ça ?
Ma voix meurt alors que je me rends compte que Noah
n’essaye pas de me protéger de son ami.
Noah essaye de protéger Carter de moi.
Dès que cette pensée prend racine, sa motivation me
frappe comme un mur de briques.
Il sait.
Noah le savait depuis le début et n’en avait jamais
soufflé mot. Je repense à l’étrange regard qu’ils ont échangé
quand Carter est parti au milieu du match de foot. Pour la
énième fois de la journée, j’ai l’impression d’être une idiote
de n’avoir pas réalisé quelque chose qui aurait dû me
sembler clair depuis longtemps. Toutes les pièces du puzzle
se trouvaient sous mes yeux, mais je n’ai jamais pris la
peine de les assembler.
— Tu es courant pour sa famille, n’est-ce pas ? murmuré-
je.
— Bien sûr, dit-il en retroussant la lèvre. On est amis
depuis des années.
Il cligne des paupières alors que son expression se
change en incrédulité.
— Attends un peu… Il t’en a parlé ?
La journée a été pleine de révélations. Leur poids presse
sur mes épaules, m’empêchant de continuer à rester
debout. Je me dirige vers le rebord du lit et me laisse
tomber dessus, les yeux braqués sur mes mains jointes.
— Il m’a emmenée dans un parc pour faire un pique-
nique cet après-midi.
Surpris, Noah a un mouvement de recul.
— Pardon… Il a fait quoi ?
Je lève les yeux et croise son regard effaré. J’affiche un
petit sourire.
— Carter a préparé un déjeuner et m’a emmenée au
parc.
Dans une tout autre situation, j’aurais adoré désarçonner
mon cousin. Noah se laisse tomber à côté de moi et le
matelas s’enfonce sous son poids. Je le regarde en dessous
alors qu’il articule un unique mot.
Ouah.
Un ricanement m’échappe et meurt sur mes lèvres. Au
lieu de garder le contact visuel, on regarde droit devant
nous alors que je l’informe de ce qu’il s’est passé cet après-
midi avec les parents de Carter.
— Il faut que tu sois certaine, Daisy.
Il se passe une main dans les cheveux.
— Certaine que c’est ce que tu veux.
Ses yeux bleus restent braqués sur les miens.
— Ce que Carter ressent pour toi n’est pas une passade.
Le plaisir explose dans ma poitrine.
— Comment le sais-tu ?
— Je le sais, c’est tout, marmonne-t-il. Il ne laisse pas
entrer grand monde dans sa vie. Quoi que tu fasses, ne le
traite pas mal.
— Noah…
Je ne sais pas quoi lui répondre.
— Je suis sérieux, lâche-t-il. Carter a assez de soucis
comme ça. Je n’ai pas envie qu’il se confie pour que tu le
largues comme une crotte dans quelques semaines.
— Je ne vais pas le faire, dis-je doucement.
— J’espère bien.
Un sourire flotte sur ses lèvres, mais il ne contient pas le
moindre humour.
— Je détesterais avoir à te botter le cul et crois-moi, j’en
serais capable.
Il hausse un sourcil.
— Cousine ou pas.
— Ah oui ? Essaye un peu, dis-je d’une voix étranglée.
Noah passe un bras autour de mes épaules et m’attire
près de lui. Je suis soulagée de sentir la camaraderie
s’infiltrer à nouveau dans notre échange.
— La dernière fois où tu as essayé quelque chose, c’est
moi qui en suis sortie victorieuse.
Noah lève les yeux au ciel et rouspète :
— Oui, c’est parce que tu fais des coups bas… Comme
une fille.
— Je t’en prie…
Il a raison. J’ai recours à des coups bas si c’est nécessaire
pour gagner. Et contre un homme qui fait presque cinquante
kilos de plus que moi, bien sûr que je vais utiliser tous les
avantages à ma disposition !
Je ne suis pas une idiote.
— Tu m’as saisi les bourses et tu as serré, grommelle-t-il.
Je cligne innocemment des paupières.
— Oh ? C’est ça à quoi je me raccrochais ? Elles étaient si
petites que je n’en étais pas certaine.
Il secoue la tête.
— J’espère que Carter sait dans quoi il se fourre.
Un sourire s’empare de mon visage.
— Après le fiasco des brownies, je vais me perdre en
conjectures et dire que oui.
— Tu es un véritable danger, Daisy Thompson.
Avec un mouvement rapide comme l’éclair, il me saisit la
tête et enfonce les jointures de ses doigts dans mes
cheveux avant de les frotter d’avant en arrière.
Arg !
Je déteste ça ! Noah ne me l’a plus fait depuis des
années. Pas depuis la dernière fois que je lui ai agrippé les
noisettes.
— Je ne pourrais pas être plus fier, rit-il.
CHAPITRE 35
DAISY
CARTER
DAISY
CARTER
DAISY
DAISY
CARTER
CARTER
DAISY
CARTER
Fin
Merci beaucoup d’avoir lu Même pas en rêve ! Envie d’en
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MIA
Série Campus
Le Coureur du campus
L’Idole du campus
L'Idylle du campus
Le Canon du campus
Le Dieu du campus
La Légende du campus
Ma liste d’envies
Ma liste de règles
Tout et Maintenant
Maintenant ou jamais
Tout ou rien
Aime-moi, déteste-moi
Jennifer Sucevic est une auteure de best-sellers au classement de USA Today qui
a publié dix-neuf romans « New Adult » et « Mature Young Adult ». Son œuvre a
été traduite en allemand, en néerlandais et en italien. Jen est titulaire d’une
licence en histoire et d’une maîtrise en psychologie de l’éducation, de
l’Université du Wisconsin-Milwaukee. Elle a commencé sa carrière en tant que
conseillère d’orientation dans un collège, un métier qu’elle a adoré. Elle vit dans
le Midwest avec son mari, ses quatre enfants et une ménagerie d’animaux. Si
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