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−2 3 1
Soit f ∈ L(R ) représenté dans la base canonique de R par la matrice A = 5 1 0 .
3 3
4 11 3
1. Déterminer une base de ker f .
2. Déterminer une base de Imf et l’équation linéaire définissant Imf .
!
1 2
Soient M = et
0 3
f : M2 (R) −→ M2 (R)
A 7−→ AM − M A.
Déterminer une base de ker f et une base de Imf .
1 2 −1 2 −1 4
Soient A = 0 1
2 et B = 0
3 −2
.
0 0 1 1 −3 1
1. Calculer A−1 et B −1 .
2. En déduire (AB )−1 .
3. Soient C, D ∈ Mn (R). Montrer que CD ∈ GL(n, R) ⇒ C ∈ GL(n, R) et D ∈ GL(n, R).
1 2
Soit A = 3 4
. Déterminer, s’il y en a, toutes les matrices B telles que BA = I.
−1 4
E xer ci ce 5
1 −1 −1
Soit A = −1 1 −1
.
−1 −1 1
an b n b n
1. Montrer que An est de la forme bn an bn .
b n b n an
2. Exprimer an+1 et bn+1 en fonction de an et bn .
3. En déduire An .
0 2 3
1 0 −1
1. Déterminer le rang de f .
2. L’application f est-elle bijective ?
3. En déduire dimR (ker f ).
4. Soit k ∈ N\{0, 1}. Calculer Ak .
5. Déterminer le rang de f k .
6. En déduire dimR (ker f k ).
/ ker f 2 . Montrer que B2 = {f 2 (v ), −f (v ), v} est une base de E.
7. Soit v ∈
8. Déterminer B = MB2 (f ).
9. On pose C = A + I3 . Calculer C n en fonction de A pour n ∈ N.
10. En déduire l’expression de C n .
Soit N une matrice carrée. On dit que N est nilpotente s’il existe p ∈ N tel que N p = 0.
1. Montrer que si N est nilpotente, I − N est inversible.
1 a b c
0 1 a b
A=
0 0 1 a
0 0 0 1
avec a, b, c ∈ R.
f : R2 [X ] −→ R2 [X ]
P 7−→ Q,
Dans cette exercice, B = {e1 , e2 , e3 } désigne la base canonique de E = R3 , on rappelle que e1 = (1, 0, 0),
e2 = (0, 1, 0) et e3 = (0, 0, 1). On note f l’endomorphisme de R3 dont la matrice dans la base canonique
est
−2 5 2
A = −1 4 2
.
2 −10 −5
On pose g = f + idE .
1. Calculer f (x, y, z ) et g (x, y, z ) pour tout (x, y, z ) ∈ R3 . Déterminer la matrice de g dans la base B.
2. On pose u1 = e1 , u2 = (f + idE )(u1 ) et u3 = 2e1 + e3 . Montrer que B1 = {u1 , u2 , u3 } est une base
de R3 .
3. Écrire la matrice T de f dans la base B1 .
4. Écrire la matrice de passage P de la base canonique à la base B1 et calculer P −1 .
5. Exprimer alors A à l’aide des matrices T , P et P −1 .
6. On pose J = I3 + T , où I3 est la matrice identité d’ordre 3. Calculer J 2 .
7. Montrer que que pour tout k ∈ N∗ , T k = (−1)k (I3 − kJ ).
8. En déduire l’expression de Ak pour tout entier naturel non nul k.
9. Application. Déterminer les suites réels (un )n∈N , (vn )n∈N et (wn )n∈N en fonction de n, sachant
que u0 = v0 = 0, w0 = 1 et pour tout naturel n ∈ N∗
un = −2un−1 +5vn−1 +2wn−1
v
n
= −un−1 +4vn−1 +2wn−1
wn = 2un−1 −10vn−1 −5wn−1 .
un
Poser Xn = vn .
wn
Soit A = (ai,j )0≤i,j≤n ∈ Mn (K). On appelle trace de A la somme des termes de la diagonale principale
de A :
Tr(A) = a11 + a22 + · · · + ann .
1. Montrer que l’application Tr : Mn (K) −→ K est une forme linéaire.
2. L’application Tr est-elle injective ?
3. L’application Tr est-elle surjective ?
4. Montrer que Tr(AB ) = Tr(BA). Est-ce que Tr(AB ) = Tr(A)Tr(B ) ?
5. En déduire qu’on ne peut pas trouver deux matrices A et B dans Mn (K) telles que AB − BA = In .
6. En déduire que deux matrices semblables ont la même trace.