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La Synagogue de 

Satan
par Mazetto, le 3 juin 2021

Je connais ta tribulation et ta pauvreté bien que tu sois riche, et les calomnies de la part de
ceux qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de Satan.
Apocalypse 2–9

Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une
marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans
avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. C’est ici la sagesse. Que celui
qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son
nombre est six-cent-soixante-six. 
Apocalypse 13–17

Le Messie de 1666
C’est dans sa ville natale de Smyrne, qu’en décembre 1665, Sabbataï Tsevi se proclama
« l’oint du Dieu de Jacob, rédempteur d’Israël », et fixa la date de la rédemption au 15e jour
de Sivan 5426, correspondant au 18 (6+6+6) du 6e mois de 1666(1). Le nombre de la bête
marquera le plus important mouvement messianique du judaïsme depuis la destruction du
second temple.
Sabbataï Tsevi naquit en 1626 et, dès l’âge de 18 ans, était déjà considéré par ses maîtres
comme un grand kabbaliste. Il fut l’inspirateur de la secte turque des Sabbatéens ou
Dönmeh(2) et provoqua, au sein du judaïsme, un schisme profond, qui s’accentua, un siècle
plus tard, avec Jacob Frank(3). Celui-ci se déclara comme son successeur et il propagea en
Europe la doctrine sabbatéenne, qui devint le sabbatéo-frankisme, ou le frankisme.
Sabbataï Tsevi, Jacob Frank et leurs adeptes se distingueront par leur rejet de toute loi morale
ou religieuse(4), en plus d’une apparente flexibilité religieuse. Tout en restant des kabbalistes
dans l’âme, ils prétenderont être des juifs respectueux de la Torah, ou se convertiront, les uns
à l’islam, les autres au catholicisme, qu’ils subvertiront de l’intérieur. Pour les sabbatéo-
frankistes la vrai foi ne peut être celle qu’on professe, elle doit rester cachée. Nous avons ici
les fondements du mensonge et de l’inversion qui caractérisent les agissements de cette secte,
qui subit dans son histoire l’excommunication de la communauté juive, mais réussit à
reprendre l’ascendant sur celle-ci à partir de Weishaupt, en tant que sorte d’État profond du
judaïsme, jusqu’à en prendre le contrôle total, comme c’est le cas aujourd’hui.
La kabbale lourianique
L’avènement de Sabbataï Tsevi ne peut être dissocié de l’influence considérable, qu’eurent
sur le monde juif, les concepts théologiques de la kabbale lourianique (Isaac Louria, 1534–
1572):(5)
« Les spéculations mystiques lourianiques sur la nature de la rédemption et du « monde
restauré » (olam ha-tikkun) qui devait suivre, ajoutèrent de nouveaux contenus et de
nouvelles dimensions au mythe populaire messianique d’un héros national conquérant,
l’élevant au niveau d’un drame cosmique suprême : le processus rédempteur n’est plus conçu
comme une simple réalisation de l’émancipation temporelle d’Israël du joug des Gentils,
mais comme une transformation fondamentale de la Création tout entière, touchant aussi
bien les mondes matériels que spirituels et conduisant à une rectification de la catastrophe
primordiale de «  la brisure des vases  » (chevirat ha-kelim), au cours de laquelle les mondes
divins retrouveront leur unité et leur perfection originelles. »(6)
Selon Isaac Louria, c’est Dieu lui-même qui serait à l’origine de la catastrophe primordiale,
car, lors de la création, Il aurait sous-estimé la puissance de sa lumière divine :

« Les trois premières «  sefirot », les trois premiers vases – la Couronne (Keter), la Sagesse
(Hokhmah), l’Intelligence (Binah) – disposent d’un réceptacle assez solide pour supporter la
croissance de l’intensité lumineuse, mais les vases des sept autres « sefirot » sont trop
fragiles pour contenir l’afflux de la lumière. Ils se brisent. C’est la « chevirat hakelim. » »(7)
Si la kabbale lourianique a exercé une influence aussi profonde sur la communauté juive, c’est
qu’elle a donné une dimension cosmique à la question, qui tourmentait le monde juif dans la
période faisant suite à la catastrophe de 1492, sur la nature de la diaspora (galout) et de la
rédemption. La kabbale lourianique expliquera que lors du chevirat hakelim, des étincelles de
la lumière divine tombèrent dans les profondeurs où résident les forces des ténèbres, du mal et
de l’impureté. Ces étincelles étaient celles de la shekhina, la manifestation de l’aspect féminin
de la divinité. Ainsi, il en résulta aussi une « diaspora » d’une partie du divin, ces étincelles de
la shekhina, qui aspirent à retourner à leur source divine, mais qui ne le peuvent, tant qu’elles
ne sont pas secourues.

Gershom Scholem,(8) la haute autorité en matière de kabbale, le résume ainsi :


« Nous avons ici une image cosmique de la diaspora (galout), non pas la diaspora du seul
peuple d’Israël, mais la diaspora de la « shekhinah » dès l’origine même de sa venue en
existence. Tout ce qui se passe dans le monde n’est qu’une expression de cette diaspora
originelle et fondamentale. Toute existence, y compris, « pour ainsi dire », Dieu, réside dans
la diaspora. »(9)
Voilà donc le drame originel au cœur de la cosmogonie kabbalistique, d’où découlera le
concept de la nécessaire « réparation du monde » : tikkoun olam(10). Et ce sera au peuple élu
qu’incombera la tâche de « réparer » le monde et de restaurer l’harmonie universelle.
On doit aussi à Isaac Louria d’avoir énoncé le principe selon lequel il ne faut pas s’en
remettre passivement à la volonté divine pour la rédemption, mais qu’il faut y travailler
activement, afin de hâter sa venue. C’est ce principe kabbalistique qui est à la racine du
sionisme et que rejettent les tenants de la vraie foi juive, qui considèrent que « le sionisme est
un mouvement fondamentalement hérétique qui nie l’impératif divin selon lequel les Juifs
doivent rester en exil jusqu’au jour du miracle de la rédemption de toute l’humanité » (11)
Kabbale et satanisme
Ce qui frappe, de prime abord, dans la kabbale, c’est la remise en cause, dans sa cosmogonie,
de la perfection de la création divine, avec cette mission donnée à l’homme de « réparer » les
manquements à la création, que Dieu aurait été incapable de prévoir. Ce pouvoir, prêté au
peuple élu sur la création, semble franchir l’ultime frontière de l’hubris et empiéter sur le
domaine de Satan.

Un des attributs du satanisme est aussi l’inversion des valeurs, ce que les sabbatéens mettent
en pratique par leur concept de « rédemption par le péché », par lequel toutes les perversions
imaginables sont permises.

Les kabbalistes ont repris à leur compte un principe occulte que les sociétés secrètes, à travers
les âges, ont enseigné :

« Le mystique peut trouver la rédemption à travers une volonté héroïque de faire le mal au
nom d’une ascension rédemptrice ultérieure vers le plus haut bien spirituel ; l’immersion
dans le tréfonds du plus bas devient ainsi un chemin vers la rédemption : … connu par
l’expression hébraïque, « Yeridah zorekh aliyah  », à savoir la descente en vue de
l’ascension, la transgression en vue du repentir »(12)
Et ils en ont trouvé une justification dans une citation du Talmud :

« «  Le Fils de David viendra dans un temps ou complètement coupable ou complètement


innocent » (Sanhedrin,98 a.). De cette épigramme, beaucoup de sabbatiens en ont tiré la
conclusion morale : « Puisque nous ne pouvons pas tous être des saints, soyons tous
pécheurs. » (13)
Une des plus grandes organisations du judaïsme « orthodoxe » mondial d’aujourd’hui
(sioniste et kabbaliste), Chabad, ne semble avoir aucune réserve sur ce même concept :

« La règle est que pour réaliser une ascension, il faut d’abord qu’il y ait une descente. C’est
une révélation stupéfiante. C’est une révélation si grande qu’elle change à jamais
l’appréciation que l’on a du monde. Il n’y a pas de mal dans le monde. » (14)
Parallèlement aux enseignements théologiques et mystiques de la kabbale, il y a,
officiellement, aussi une kabbale qui s’apparente aux sciences occultes et à la sorcellerie.

Gershom Scholem nous apprend que la kabbale se compose de deux éléments :

« Une kabbale spéculative (kabbalah iyyunit), dont l’intérêt premier est la guidance
spirituelle intérieure de l’individu, et une «  kabbale pratique » (kabbalah ma ”ait), qui
s’intéresse avant tout à la pratique de la magie. »
« Les lignes ostensibles tracées par les kabbalistes pour fixer les limites de la magie permise
ont souvent été dépassées et obscurcies, avec pour conséquence l’apparition dans la kabbale
pratique d’une bonne partie de magie « noire » – c’est-à-dire de la magie destinée à nuire à
autrui… ou qui utilisait « les noms impies » (shemot ha-tum ”a1, Sanhedrin 91 a) de diverses
puissances sombres et démoniaques… Dans le Tikkunei Zohar, la manipulation de ces forces
est considérée comme justifiable dans certaines circonstances. »
Il ajoute : « Souvent, les pratiques de magie blanche des amulettes et des charmes protecteurs
côtoient l’invocation de démons, les incantations et les formules à but privé (raccourcis
magiques, découverte d’un trésor caché, imprenabilité face à ses ennemis, etc.), voire la
magie sexuelle et la nécromancie… Parmi les ouvrages kabbalistiques plus anciens,
particulièrement riches en matériel emprunté à la kabbale pratique, figurent le Zohar, les
écrits de Joseph b. Shalom Ashkenazi… »(15)
Il convient de mentionner ici que le Zohar est considéré comme la « Bible » de la kabbale.

La kabbale et le satanisme qui lui est associé, ont aussi été utilisés par le complexe médiatico-
industriel dans son entreprise de destruction de la base chrétienne de notre société. Outre la
promotion faite chez des jeunes de la fête de Halloween(16), Hollywood a aussi, par l’entremise
du star-système(17), tenté de populariser la kabbale auprès de son audience.
Donald Trump lui-même, dans un de ses livres, nous confie le nom de son professeur de
kabbale(18). Cela en dit long sur la nature de sa foi chrétienne et l’attachement qui le lie à ses
maîtres kabbalistes.
La cabale
C’est à Francfort que la jonction se fera entre la secte sabbatéo-frankiste et les Illuminés de
Bavière de Weishaupt. C’est donc là que se formera la cabale de domination planétaire, qui
entre aujourd’hui dans sa phase ultime.
« À l’époque, Francfort était le siège des « Illuminati », fondés par le jésuite Adam
Weishaupt, ainsi que de l’empire financier des frères Rothschild. Cela mérite d’être répété :
Francfort était le lieu de naissance à la fois des Illuminati et de l’empire Rothschild. Lorsque
Jacob Frank est entré dans la ville, l’alliance entre les deux avait déjà commencé. Weishaupt
a fourni les ressources conspiratoires de l’Ordre des Jésuites, tandis que les Rothschild ont
apporté l’argent. Ce qui manquait, c’était un moyen de diffuser le programme des Illuminati,
ce que les frankistes ont ajouté avec leur réseau d’agents à travers les mondes chrétien et
islamique… la vision frankiste était la destruction de l’éthique juive pour être remplacée par
une religion basée sur l’exact opposé des intentions de Dieu. Lorsque ces factions se sont
mélangées, une guerre sanglante contre l’humanité, avec les Juifs en première ligne, a éclaté
et, en ce moment même, elle atteint son apogée. « (19)
L’abolition de toute religion figurait au programme pré-communiste de Weishaupt, mais la
priorité devait être donnée à la religion juive, comme l’explique le rabbin M. Antelman :
« Puisque la religion juive a été la mère de deux grandes religions occidentales, le
christianisme et la religion musulmane, le judaïsme est naturellement devenu une cible
principale. Les brillants dirigeants communistes savaient et percevaient que c’était le
judaïsme qui continuait à infuser et imprégner une spiritualité dans ces autres religions »(20)
Le concept de Synagogue de Satan commence ici à prendre tout son sens.

De cette cabale, qui, très tôt, œuvrera à prendre le contrôle de la franc-maçonnerie, allait sortir
d’abord la Haskala(21), les Lumières du judaïsme, fomentée par Mendelssohn(22), sous
l’influence de Nicolai(23), dont le rôle au sein de la loge de Weishaupt était précisément
l’activisme anti-religieux, suivie de la Ligue des Justes(24), l’ancêtre de l’Internationale
communiste. Ce fut ensuite cette Ligue, qui chargera Abraham Geiger(25) de la perversion du
judaïsme, en en initiant le mouvement de « réforme ».(26)
Le siècle des « Lumières » allait rayonner de toute la lumière luciférienne émanant de la
cabale de Francfort et propager le « poison du libéralisme » dans toutes les sociétés et toutes
les religions. Le frankisme allait aussi avoir une influence politique directe sur la révolution
française à travers les clubs de Jacobins.

Dans la ligne directe de cette cabale, l’École de Francfort(27) et, aujourd’hui, le siège de


la BCE(28) sont deux éléments, qui pourraient faire penser que le lieu géographique est resté,
depuis le 18e siècle jusqu’à nos jours, un des centres névralgiques de la Synagogue de Satan.
Les crypto-sabbatéens
L’infiltration du judaïsme par des sabbatéens, dès le 18e siècle, est illustrée par la controverse
qui opposa le rabbin Jonathan Eybeschutz(29) à son confrère Jacob Emden(30), qui l’accusa
d’être un crypto-sabbatéen. Aujourd’hui ce genre de controverse n’existe plus, car le judaïsme
a été entièrement subjugué par la secte satanique. Celle-ci domine partout où l’avortement est
devenu un droit, partout où flotte le drapeau LGBT, partout où les mots « inclusion »,
« mixité » ou « diversité » dominent le discours, partout où la loi naturelle et le judaïsme
véritable sont foulés aux pieds.
En 1976, Harold Rosenthal(31), jeune et arrogant « juif » sioniste, faisant partie du cercle des
initiés du pouvoir mondialiste, accorda un entretien qui fut enregistré et auquel il ne survécu
que quelques mois. À la fin de cet entretien, qui fut publié sous le nom « La tyrannie
cachée », il fit la révélation suivante :
« Nous sommes le peuple élu de Dieu… La plupart des Juifs n’aiment pas l’admettre, mais
notre dieu est Lucifer – je ne mentais donc pas – et nous sommes son peuple élu. Lucifer est
bien vivant. »(32)
Voilà qui résume bien ce qu’est le judaïsme dominant d’aujourd’hui. La Synagogue de Satan,
aussi, est bien vivante.

Communisme et sionisme
C’est la Ligue des Justes qui engagea Karl Marx(33) pour écrire le Manifeste, selon les idées
déjà formulées auparavant par Weishaupt. Moses Hess(34) fut, non seulement, le mentor de
Karl Marx, mais aussi le précurseur du sionisme non-religieux. Le fait que son arrière-grand-
père, le rabbin David T. Hess, fût un sabbatéen, confirme la volonté d’empêcher la création
d’un état religieux en Israël, ce qui sera définitivement confirmé en 1917 par la
Déclaration(35) Balfour adressée à Lord Rothschild. L’État juif créé en 1948 porte la marque
d’appartenance à la Synagogue de Satan(36).
Le règne du mensonge et de l’inversion
À la veille de la main mise complète de la secte satanique sur l’humanité, la grande majorité
des « fidèles » des trois grandes religions monothéistes ne se sont toujours pas rendu compte
qu’ils ne sont les « fidèles » que du libéralisme et que les instances religieuses, qu’ils n’ont
pas cessé de respecter, les ont vendus au diable depuis bien longtemps. Les musulmans
continuent dévotement à faire le pélérinage de La Mecque, dans des lieux saints désacralisés,
aux mains des forces sataniques sabbatéennes. Les chrétiens continuent d’envoyer leurs
enfants à l’église pour faire leur première communion, tout en révérant leur saint-père franc-
maçon, qu’ils considérent comme le digne successeur de saint Pierre. Les Juifs israéliens sont
persuadés qu’ils vivent dans l’unique démocratie du Moyen-Orient et sont fiers de la
réputation de leur ville de Tel-Aviv comme la plus « gay-friendly » du monde, ce qu’il ne
perçoivent pas comme une négation du judaïsme dont ils se réclament. Le culte « illuminé »
du libéralisme et de la raison a fait des miracles de « tolérance » partout, y compris en Israël,
malgré que la Torah soit claire et intransigeante sur le sujet de l’homosexualité (Lévitique 20–
13).

Tout comme la secte a subverti les trois religions du livre, elle a aussi subverti le médecine.
Elle a pris le contrôle de toutes les institutions médicales, y compris les académies, l’ordre des
médecins et le complexe pharmaco-industriel. On peut noter que Stéphane Bancel, PDG de
Moderna, est « juif » et, depuis 2009, « Young Leader » du Forum économique mondial. Le
cas d’Albert Bourla(37), PDG de Pfizer, est aussi intéressant. Lui aussi est « juif » et il est
originaire de Thessalonique, qui se trouve être le berceau historique de la secte sabbatéenne.
La grande majorité des médecins d’aujourd’hui sont des médecins, qui, de bonne foi, pensent
que le paradigme médical pasteurien, imposé par Rockefeller(38), est compatible avec la santé,
de même que les chrétiens « libéraux » vont à l’église, et de bonne foi, pensent que le
libéralisme est compatible avec la foi chrétienne.
Israël, l’État sabbatéo-frankiste
Après avoir pris le contrôle de la Palestine grâce à la première guerre mondiale, il fallut à la
cabale qu’elle en fomente une deuxième pour permettre la création de l’état juif :

« L’objectif final du mouvement (sioniste) était d’établir un état sabbatéen sur la terre
historique des Juifs et prendre ainsi définitivement le contrôle du judaïsme. Pour faire
émerger cette idée, il fallait que la vie des Juifs d’Europe devienne si intolérable que
l’évasion vers la Palestine apparaisse comme la meilleure option. »(39)
Le financement de l’Allemagne nazie fut assuré par les financiers de Wall Street(40). Quant
à Adolf Hitler, on peut dire qu’il a bien servi les intérêts de la cabale. Sa collaboration avec
les sionistes pour le transfert de Juifs vers la Palestine est un fait historique reconnu(41), mais
qu’il vaut mieux ne pas évoquer. Ken Livingstone, ancien maire de Londres et un vétéran du
parti travailliste anglais (50 ans de service) a été forcé de quitter le parti, à la suite de sa
suspension pour antisémitisme, après avoir mentionné(42) cette simple vérité historique. C’est
un sujet délicat sur lequel il est conseillé de rester discret, car l’évoquer semble constituer un
crime grave : une atteinte antisémite à l’intégrité idéologique de l’antisémitisme.
D’autre part, Hitler lui-même n’était sans doute pas le personnage décrit aujourd’hui dans les
livres d’histoire. Le rabbin M. Antelman nous en donne une autre version, qui est plus en
accord avec la logique machiavélique de ceux qui le financèrent :

« Un article du New York Times de 1933 traitant des prétendues origines juives d’Hitler
affirmait qu’il y avait du sang juif du côté des Stronnes, la grand-mère maternelle d’Hitler,
une famille qui s’était convertie au catholicisme à Vienne dans les années 1850. Un
témoignage d’un tribunal rabbinique affirme que non seulement le vrai père d’Hitler était un
sabbatéen, mais aussi son arrière-grand-père maternel ; Il existe des preuves qu’Hitler a
maintenu des contacts étroits avec les sabbatéens tout au long de sa vie. En fait, son
astrologue personnel, Erik J. Hanussen (assassiné dans les bois à l’extérieur de Berlin en
février 1933), était un sabbatéen qui fut appelé «  le prophète du Troisième Reich » et
« magicien de Berlin ». Son vrai nom était Hershel Steinschneider, né à Vienne en 1889. »(43)
De son côté, la Fédération sioniste d’Allemagne avait supplanté en 1933 toutes les autres
organisations juives :

« En 1932, combien d’organisations en Allemagne représentaient les Juifs allemands ? Plus
de 250. En 1933, combien ? Une, et une seule : le sionisme travailliste…Les Juifs allemands
seront d’abord endoctrinés au bolchévisme dans des camps de sionistes travaillistes, puis,
avec l’approbation britannique, transférés en Palestine… Les sionistes travaillistes ont eu les
Juifs qu’ils voulaient, et ont laissé les millions de Juifs religieux et autres non-frankistes périr
en Europe sans aucune tentative de leur porter secours. »(44)
Dans un livre publié en 1977, le rabbin Moshe Shonfeld nous livre des “documents et des
témoignages sur les criminels de guerre juifs” et nous dit dans son introduction :
“Criminels de guerre juifs  » est une expression qui ne figurait pas dans le lexique du
« yishouv » d’Eretz Yisroel ou de la diaspora. Elle ne se trouve même pas dans les fantasmes
ou la plus folle imagination de l’esprit de quiconque…
C’est pourquoi l’auteur de cet ouvrage a voulu dévoiler, aux yeux de tous, le visage des
collaborateurs juifs, qui étaient à la tête du mouvement sioniste et qui ont prêté main-forte
aux monstres nazis. »(45)
À la lumière de ces faits, il devient plus facile de comprendre que l’antisémitisme est une
stratégie machiavélique qui a trompé la majorité de la communauté juive et la majorité de la
communauté des gentils. Elle a cimenté la cohésion de l’État national juif, comme refuge
contre les persécutions, pendant qu’elle protégeait le parcours de la secte vers la domination
mondiale. Lorsque la façade sioniste de la secte commença à être trop exposée au feu de la
critique, l’antisémitisme « nouveau »(46) est apparu, incluant l’anti-sionisme.
Aujourd’hui, les Israéliens sont aussi, comme nous, à un tournant de leur histoire. Certains
découvrent que ce que leur gouvernement appelle « complotisme » est la clé qui libère l’esprit
et ouvre la voie vers la vérité. Dans le cadre de la vaccination en cours, on parle maintenant
d’un « nouvel holocauste. »(47)
Klaus Schwab, le sabbatéen
Klaus Schwab est issu d’une famille « juive »(48) de collaborateurs nazis. Le groupe qui
contribua le plus à la création de son Forum Économique Mondial est le Club de Rome, dont
les valeurs « humanistes » sont bien connues :
« En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu
l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine
et d’autres phénomènes de ce genre, feraient l’affaire. … Mais en désignant ces dangers
comme l’ennemi, nous tombons dans le piège … à savoir, confondre les symptômes avec les
causes. .… Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »(49)
Le Club de Rome et Klaus Schwab partagent évidemment les mêmes valeurs, ainsi que tous
les grands philanthropes milliardaires de notre temps, ce qui illustre bien le principe
d’inversion énoncé plus haut. Cela nous renvoie directement à la kabbale. En effet, dans son
étude du messianisme sabbatéen, Gershom Scholem nous dit :

« Au demeurant, si l’idée de violer la Torah de « beriah »(50) est restée un principe cardinal


de la «  sainte foi  », son application a été transférée à d’autres domaines, notamment aux
rêves d’une révolution générale qui balayerait le passé d’un seul coup pour reconstruire le
monde… »(51)
Le rêve sabbatéen de « révolution générale », évoqué par l’auteur, ressemble fort au projet de
Klaus Schwab : un grand « reset » général pour « balayer le passé d’un seul coup et
reconstruire le monde ». Schwab, l’élu de Satan, usurperait alors la fonction du Créateur pour
reconstruire le monde « en mieux » (« build back better »).(52)
666, la marque déposée
Ce n’est pas un hasard si Microsoft a déposé un brevet transhumaniste, dont le numéro
contient la marque de la bête(53), car le symbolisme est important chez les kabbalistes.
L’internet des « corps »(54) marqués et contrôlés par l’IA est la vision de Schwab pour la
nouvelle humanité. Celle-ci sera, non seulement diminuée numériquement, mais aussi
spirituellement, car l’âme qui aspire à Dieu ne peut que déplaire à son maître. Maintenant que
la science possède les moyens techniques de la juguler, la mise en garde de Rudolf Steiner,
qui, en 1917, nous disait qu’un vaccin, qui effacerait toute aspiration à la spiritualité, pourrait
être mis au point, ne doit pas être écartée. La science de la génétique est sans doute beaucoup
plus évoluée que ce que nous pouvons imaginer. Les premières expérimentations génétiques
sur le VMAT2, qu’on a appelé « le gène de Dieu »(55) remontent déjà à une vingtaine d’années.
Ne sous-estimons pas les possibilités actuelles résultant des connaissances et des technologies
de la génétique d’aujourd’hui.(56)
On peut remarquer ici que même Orwell, dans sa vision du futur, n’avait pas anticipé la
dimension purement démoniaque du projet. Sa vision d’un totalitarisme policier ou militaire
absolu a, en comparaison, quelque chose de presque idyllique. En effet, vivre dans ce monde
transhumain, où Klaus Schwab nous promet, que grâce à l’implant d’une puce électronique
dans le cerveau, nous pourrons apprendre une langue étrangère par simple téléchargement,
équivaudra à vivre dans un monde d’automates humanoïdes, un monde sans humanité.
Devenir des objets biologiques connectés en permanence, avoir toutes nos données
biologiques et mentales, allant même jusqu’à nos pensées les plus intimes, stockées dans une
banque de données, avoir une mémoire éditable par l’IA, ne plus jamais avoir la possibilité
d’être seul, un instant, avec soi-même, avoir comme seule âme, un système d’exploitation de
Microsoft, actualisé sans cesse par le dernier vaccin obligatoire, pour nous automatiser
toujours d’avantage, me semble être une vision dantesque de l’enfer, que le poète florentin, à
son époque, ne pouvait encore concevoir.
La fuite en avant
Maintenant que la secte satanique est sortie de l’ombre, après avoir dû révéler la nature de ses
véritables intentions pour l’humanité, elle a perdu le pouvoir qui la rendait invincible :
l’invisibilité.
Bien que beaucoup continuent d’être trompés par la propagande des médias, des
gouvernements et de tous les autres agents à sa solde, la secte est obligée d’accélérer son
programme pour contrer une prise de conscience grandissante auprès du public. En
effet, de plus en plus de personnes, à travers le monde, commencent à s’apercevoir que
l’unique raison de ce cataclysme planétaire provoqué est cette volonté d’imposer une
modification du génome humain à l’ensemble de l’humanité, et cela sous couvert de
vaccination imposée en dépit de tout bon sens logique ou médical. Maintenant, les enfants ou
les personnes qui ont déjà acquis une immunité naturelle au supposé SARS-CoV-2, sont aussi
passibles de « vaccination ». Cette fixation fanatique sur un « vaccin » inutile, qui a déjà
derrière lui tout un cortège de victimes, ne peut plus passer inaperçue. Et plus la cabale devra
presser le pas, plus la prise de conscience ira en s’amplifiant.
Mazetto

Notes de lecture :
(1)
 Encyclopaedia Judaica, Second Edition, Volume 18
(2)
 https://en.wikipedia.org/wiki/D%C3%B6nmeh
(3)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Frank
(4)
 « Jakob Frank a résumé sa doctrine dans son livre « Les paroles du Seigneur », affirmant
que le Dieu créateur n’était pas le même que celui qui s’était révélé aux Israéliens. Pour lui,
Dieu est mauvais. Frank se proclame comme le véritable Messie. Il jure de ne pas dire la
vérité, rejette toute loi morale et déclare que la seule voie vers une nouvelle société passe par
la destruction totale de la civilisation actuelle. Le meurtre, le viol, l’inceste et la
consommation de sang sont des actes parfaitement acceptables et des rituels nécessaires. »
(Jüri Lina, Sous le Signe du Scorpion, p. 22)
(5) https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique
(6)
 Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.111
(7)
 https://wikimonde.com/article/Kabbale_lourianique
(8)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Gershom_Scholem
(9)
 Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.68
(10)
 https://wikimonde.com/article/Tikkoun_olam
(11)
 https://en.wikipedia.org/wiki/Yisroel_Dovid_Weiss
(12)
 Michael Hoffman : Judaism discovered, p.191–192
– https://1lib.fr/book/2767043/fe4b52
(13)
 Gershom Scholem : Les grands courants de la mystique juive p.461–462
(14)
 https://www.chabad.org/library/article_cdo/aid/80898/jewish/Yeridah-Descent-for-
Aliyah-Ascent.htm
(15)
 Gershom Scholem, Kabbalah , p.183–184 : https://1lib.fr/book/2293311/ff607d
(16)
 https://www.youtube.com/watch?v=_UjCWLdgG1s
(17)
 https://www.msn.com/fr-ca/style-de-vie/horoscope/la-kabbale-un-fil-rouge-chez-les-
stars/ar-BB1acDMV
(18)
 D. Trump, The Way to the Top, page 141 – https://ca1lib.org/dl/3569979/4bf403
(19)
 Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.199
– https://1lib.fr/book/964237/8b5986
(20)
 Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.1 p.
(21)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Haskala
(22)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Mendelssohn
(23)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Nicolai
(24)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_des_justes
(25)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham_Geiger
(26)
 https://www.nytimes.com/1990/06/26/us/reform-judaism-votes-to-accept-active-
homosexuals-in-rabbinate.html
(27)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_de_Francfort
(28)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Banque_centrale_europ% C3%A9enne
(29)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Eybeschutz
(30)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Emden
(31)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Harold_Rosenthal
(32)
 https://archive.org/details/TheHiddenTyranny-HaroldWallaceRosenthal/page/
n38/mode/2up
(33)
 Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2 p.21
(34)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Moses_Hess
(35)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9claration_Balfour_de_1917
(36)
 https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Elyon.JPG
(37)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Bourla
(38)
 https://www.pdfdrive.com/murder-by-injection-eustace-mullins-e39680998.html
(39)
 Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.200
(40)
 https://www.voltairenet.org/IMG/pdf/Sutton_Wall_Street_and_Hitler.pdf
(41)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Accord_Haavara
(42)
 https://www.theguardian.com/politics/2018/may/21/ken-livingstone-quits-labour-
after-antisemitism-claims
(43)
 Rabbi M. Antelman, Eliminate the Opiate vol.2, p.163
(44)
 Barry Chamish, Shabtai Tzvi Labor Zionism and the Holocaust, p.202
(45)
 Reb Moshe Shonfeld, Holocaust Victims accuse, p. 8 –
https://1lib.us/book/5255692/918b9e
(46)
 https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvel_antis%C3%A9mitisme
(47)
 https://degroenegeus.wordpress.com/2021/03/11/israeli-fears-a-new-holocaust-is-
coming-shai-dannon-talks-with-david-icke/
(48)
 https://unlimitedhangout.com/2021/02/investigative-reports/schwab-family-values/
(49)
 https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85/mode/2up?
q=the+real+enemy
(50)
 Selon leur “sainte foi”, les Sabbatéens prétendent ne respecter que la Torah du
monde supérieur de l’émanation divine (atzilut). La Torah que vénérent les vrais juifs,
qu’ils appellent Torah de beriah (de la création), fait partie d’un monde inférieur dans
la hiérarchie des mondes kabbalistiques, donc elle ne doit pas être respectée.
(51)
 Gershom Scholem, The Messianic Idea in Judaism, p.162
(52)
 https://odysee.com/@jobroski:6/bbb-sverige:8
(53)
 https://patentimages.storage.googleapis.com/58/f5/bf/bf453d0035610f/
WO2020060606A1.pdf
(54)
 https://cv19.fr/2021/01/06/de-linternet-des-objets-a-linternet-du-corps/
(55)
 Dean H. Hamer, The God Gene : How Faith Is Hardwired into Our Genes
– https://1lib.us/book/5600763/a79838
(56)
 https://www.ficsum.com/dire-archives/ete-2016/biologie-crispr-revolution-
genetique-a-portee-de-main/

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