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Éternels

Éclairs
Poésie Peinture

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Je suis naïf, toi


cruelle
Je suis naïf, toi cruelle,
Et j'ai la simplicité
De brûler au feu mon aile
Et mon âme à ta beauté ;

Ta lumière m'est rebelle


Et je m'en sens dévorer ;
Mais la chose sombre et belle
Et dont tu devrais pleurer,

C'est que, toute mutilée,


Voletant dans le tombeau,
La pauvre mouche brûlée
Chante un hymne au noir flambeau.

— Victor Hugo,
Toute la lyre

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Les Poèmes de Victor Hugo de


AàZ
Lettrines photographiées sur des ailes de papillons
par Kjell Sandved

À Alexandre D.
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À André Chénier
À Aug. V.
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À Granville, en 1836
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À Mlle Fanny de P
À M. Froment Meurice
À Paul M.
À Petite Jeanne
À Vianden
À Villequier

Éternels
À Virgile
À celle qui est restée en France
À celle qui est voilée

Éternels
À ceux qu'on foule aux pieds

Éclairs
À ceux qui sont petits
À des âmes envolées

Éternels
À des oiseaux envolés

Éclairs
À dona Rosita Rosa
À l'Arc de triomphe
À l'enfant malade pendant le siège

Éclairs
À la Colonne
À la France
À la belle impérieuse
À la fenêtre, pendant la nuit
À la mère de l'enfant mort
À l’homme qui a livré une femme
À ma !lle
À ma !lle Adèle
À propos d'Horace
À propos de dona Rosa
À qui donc sommes-nous ?
À qui la faute
À quoi songeaient les deux
cavaliers
À un homme partant pour la
chasse
À un poète
À un poète aveugle
À une femme
À une jeune !lle
À vous qui êtes là
Abîme L'Homme
Abîme La Voie Lactée
Adieux de l'hôtesse arabe
Ah ! c'est un rêve !
Aimons toujours !
Air de la princesse d'Orange
Âme ! être, c'est aimer
Amis, un dernier mot !
Amour
Amour secret
Anacréon, poëte aux ondes
érotiques
Apparition
Après l'hiver
Attente
Au bois
Au bord de la mer
Au !ls d'un poëte
Au peuple
Au poète qui m'envoie une plume
d'aigle
Au point du jour
Aucune aile ici-bas
Autre chanson
Autre guitare
Aux Feuillantines
Aux anges qui nous voient
Aux arbres
Aux champs
Aux morts du 4 décembre
Aux proscrits

Baraques de la foire
Bêtise de la guerre
Bièvre
Billet du matin
Bon conseil aux amants
Booz endormi

C'est à coups de canon


C'est la nuit
C'était la première soirée
Cadaver
Canaris
Ce qu'on entend sur la montagne
Ce que c’est que la mort
Ce que dit la bouche d'ombre (I)
Ce que dit la bouche d'ombre (II)
Ce qui n'a pas encore de nom
Ce qui se passait aux Feuillantines
Ce siècle avait deux ans
Ce siècle est grand et fort
Cent mille hommes
Cérigo
Certes, elle n'était pas femme
Ceux qui vivent
Chanson, L'Âme en fleur
Chanson, Proscrit regarde les roses
Chanson d'autrefois
Chanson de Gavroche
Chanson de grand-père
Chanson de pirates
Chanson des oiseaux
Chanson du bol de punch
Chanson pour faire danser
Chant sur le berceau
Charles Vacquerie
Chose vue un jour de printemps
Choses du soir
Clair de lune
Claire
Claire P.
Commencement d'une illusion
Conclusion
Conseil
Crépuscule
Cri de guerre du mu#i
Croire, mais pas en nous

D'après Albert Dürer


Danger d'aller dans les bois
Dans ce jardin antique
Dans l'alcôve sombre
Dans l'église de ***
Dans l'ombre
Dans la forêt
Dans le jardin
Dante écrit deux vers
Date lilia
Demain, dès l'aube
Depuis quatre mille ans
Depuis six mille ans la guerre
Deux voix dans le ciel
Dicté après juillet 1830
Dicté en présence du glacier du
Rhône
Dieu fait les questions
Dolor
Dolorosae
Du haut de la muraille de Paris

Éclaircie
Écoutez. Je suis Jean.
Écrit après la visite d'un bagne
Écrit au bas d'un cruci!x
Écrit en 1827
Écrit en 1846 et en 1855
Écrit sur la plinthe d'un bas-relief
antique
Écrit sur la première page d'un
Pétrarque
Écrit sur la vitre d'une fenêtre
Écrit sur le tombeau
Écrit sur un exemplaire de la
"Divina Commedia"
Églogue
Elle avait pris ce pli
Elle est gaie et pensive
Elle était déchaussée
Elle était pâle
En écoutant chanter la princesse
En écoutant les oiseaux
En frappant à une porte
En hiver la terre pleure
En mai
En marchant la nuit dans un bois
En marchant le matin
En sortant du collège
Enthousiasme
Envoi des feuilles d'automne
Épitaphe
Épitaphe de Jean Valjean
Espoir en Dieu
Est-il jour ?
Et Jeanne à Mariette a dit
Être aimé
Exil
Explication
Extase

Fenêtres ouvertes
Fonction du poète
France ! à l'heure où tu te
prosternes
Fuite en Sologne
Fulgur

Garde à jamais dans ta mémoire


Georges et Jeanne
Guitare

Halte en marchant
Hélas ! tout est sépulcre.
Hermina
Heureux l'homme occupé
Hier au soir
Hier, la nuit d'été
Horror
Hymne

Ibo
Il fait froid
Il faut que le poète
Il lui disait
Il n'avait pas vingt ans
Insomnie
Insondable, immuable, éternel,
absolu
Intérieur

J'ai cueilli cette fleur pour toi


J'aime l'araignée
J'aime un petit enfant
Janvier est revenu
Je la revois, après vingt ans
Je lisais
Je n'ai pas de palais épiscopal en
ville
Je ne me mets pas en peine
Je ne veux condamner personne
Je ne vois pas pourquoi
Je payai le pêcheur
Je prendrai par la main
Je pressais ton bras qui tremble
Je racontais un conte
Je respire où tu palpites
Je sais bien qu'il est d'usage
Je suis enragé. J'aime
Je suis fait d'ombre et de marbre
Je suis naïf, toi cruelle
Je t'aime, avec ton oeil candide
Je travaille
Jeanne chante ; elle se penche
Jeanne dort
Jeanne endormie
Jeanne était au pain sec
Jeanne fait son entrée
Jeanne songeait
Jeune !lle
Jeune !lle, l'amour
Joies du soir
Jolies femmes
Jour de fête
Jour de fête aux environs de Paris

L'aurore s'allume
L'autre
L'échafaud
L'enfance
L'enfant
L'enfant, voyant l'aïeule
L'expiation
L'hirondelle au printemps
L'ombre
L'oubli
L'univers, c'est un livre
La Chouette
La Figliola
La Terre - Hymne
La blanche Aminte
La captive
La chanson de Maglia
La cicatrice
La clarté du dehors
La coccinelle
La conscience
La douleur du pacha
La fête chez Thérèse
La !ancée du timbalier
La hache
La méridienne du lion
La nature
La nature est pleine d'amour
La nichée sous le portail
La pauvre fleur
La pente de la rêverie
La plume de Satan
La prisonnière passe
La rose de l'infante
La sieste
La sortie
La source
La source tombait du rocher
La statue
La sultane favorite
La tombe dit à la rose
La vie aux champs
La ville prise
La vision de Dante
Laetitia
Laissez
Lazzara
Le Maître d'études
Le Poëte
Le Pont
Le Progrès calme et fort
Le Revenant
Le cantique de Bethphagé
Le champ du potier
Le couchant flamboyait
Le crapaud
Le cruci!x
Le deuil
Le doigt de la femme
Le !rmament
Le grand homme vaincu peut
perdre en un instant
Le hibou
Le manteau impérial
Le matin
Le mendiant
Le poème éploré se lamente
Le poète bat aux champs
Le poète dans les révolutions
Le poète s'en va dans les champs
Le pot cassé
Le ravin
Le rouet d'Omphale
Le sacre de la femme
Le sacre de la femme - Ève
Le satyre
Le soleil était là
Le soleil s'est couché
Le trouble-fête
Le vieillard
Les Djinns
Les Mages
Les Malheureux
Les autres
Les autres en tout sens laissent
aller leur vie
Les enfants lisent
Les enfants pauvres
Les femmes sont sur la terre
Les feuilles d'automne
Les forts
Les fusillés
Les innocents
Les martyres
Les oiseaux
Les pauvres gens
Les paysans au bord de la mer
Les siècles sont au peuple
Les tronçons du serpent
Lettre
Lettre à une femme
Liberté !
Lise
Lorsque l'enfant paraît
Lorsque ma main frémit
Lueur au couchant
Lux

Ma Jeanne
Magnitudo parvi
Mai
Mais tu brûles !
Malédiction
Me voici !
Melancholia
Mes deux !lles
Mes poèmes
Mes vers fuiraient
Mon bras pressait ta taille frêle
Mors
Mugitusque boum

N'envions rien
N'est-ce pas, mon amour
Napoléon II
Noces et Festins
Nomen, numen, lumen
Non
Nos morts
Nous
Nous allions au verger
Nouvelle chanson sur un vieil air
Novembre
Nuit
Nuit tombante
Nuits d'hiver
Nuits de juin

Ô Charles, je te sens près de moi


Ô Dieux ! si vous avez la France
sous vos ailes
Ô Rus
Ô gouffre !
Ô mes lettres d'amour
Ô soldats de l'an deux !
Ô souvenirs !
Ô strophe du poëte
Ô temps
Oceano nox
Oh ! dis !
Oh ! je fus comme fou
Oh ! je fus comme fou dans le
premier moment
Oh ! n'insultez jamais une femme
qui tombe
Oh ! par nos vils plaisirs
Oh ! pour remplir de moi
Oh ! quand je dors
Oh ! qui que vous soyez
On vit, on parle ...
Où donc est la clarté ?
Où donc est le bonheur ?
Oui, je suis le rêveur

Paris bloqué
Paris incendié
Paroles dans l'ombre
Paroles sur la dune
Passé
Pasteurs et troupeaux
Pendant que le marin
Pepita
Petit Paul
Pleurs dans la nuit
Ponto
Pour l'erreur, éclairer, c'est
apostasier
Prélude
Premier janvier
Premier mai
Prenez garde aux choses que vous
dites
Près d'Avranches
Printemps
Prologue
Promenades dans les rochers (I)
Promenades dans les rochers (II)
Promenades dans les rochers (III)
Promenades dans les rochers (IV)
Puisqu'ici-bas toute âme
Puisque j'ai mis ma lèvre
Puisque le juste est dans l'abîme
Puisque mai tout en fleurs
Puisque nos heures sont remplies
Pure innocence

Quand deux coeurs en s'aimant


Quand la lune apparaît
Quand les guignes furent mangées
Quand nous habitions tous
ensemble
Que le sort, quel qu'il soi
Que nous avons le doute en nous
Que t'importe, mon coeur
Quelle est la !n de tout ?
Quelques mots à un autre
Quia pulvis es
Quinze février 1843

Regard jeté dans une mansarde


Regardez les enfants
Religio
Réponse à un acte d'accusation
Réponse à un acte d'accusation
(Suite)
Rêverie
Ronde pour les enfants
Rosa fâchée

Saison des semailles


Sara la baigneuse
Satan dans la nuit - I
Satan dans la nuit - II
Satan pardonné
Saturne
Seule au pied de la tour
Soir
Soleils couchants
Sonnez
Sous les arbres
Souvenir de la nuit du 4
Spectacle rassurant
Spes
Stella
Sur la falaise
Sur le bal de l'Hôtel de Ville
Sur une barricade
Suzette et Suzon

Toi ! sois bénie à jamais !


Tous les hommes sont l'Homme
Toute la vie d'un coeur - 1817
Toute la vie d'un coeur - 1819
Toute la vie d'un coeur - 1820
Toute la vie d'un coeur - 1822
Toute la vie d'un coeur - 1826
Toute la vie d'un coeur - 1833
Toute la vie d'un coeur - 1835
Tristesse d'Olympio
Trois ans après
Tu me vois bon, charmant et doux
Tu peux, comme il te plaît, me
faire jeune ou vieux
Tu rentreras comme Voltaire

Ultima verba
Un grand sabre
Un groupe tout à l'heure
Un hymne harmonieux
Un jour au mont Atlas
Un jour je vis le sang couler
Un jour, le morne esprit
Un soir que je regardais le ciel
Un spectre m’attendait
Une bombe aux Feuillantines
Une femme m'a dit ceci
Une nuit à Bruxelles
Une nuit qu'on entendait la mer
Une terre au flanc maigre
Unité

Veni, vidi, vixi


Vénus
Vere Novo
Vers 1820
Vieille chanson du jeune temps
Viens ! - une flûte invisible
Vision sombre
Vivants
Voeu
Voici que la saison décline
Vois, cette branche est rude
Voyage de nuit
Voyons, d'où vient le verbe ?

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Éditeur, curateur & auteur : Stéphen Moysan

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