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EPIGRAPHE
« L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde. »
Nelson MANDELA
ii
DEDICACE
REMERCIEMENTS
La réalisation de ce travail n’aurait pu être facile pour nous, sans l’apport de plusieurs
personnes. C’est pourquoi, animé de cet esprit de reconnaissance, nous rendons grâce, de
prime abord, à notre Dieu le Tout Puissant, le maître des temps et des circonstances pour le
souffle de vie qu’il nous octroie qui est le préalable de toute activité humaine. Nos sincères
remerciements vont ensuite à l’endroit des autorités académiques de l’Université Adventiste
de Goma du corps enseignant qui nous ont transmis la formation et les connaissances dont le
présent travail est le fruit. Nous exprimons notre sentiment de gratitude à notre mère
BIBIKWA BENDELA Loy. Nos remerciements s’adressent particulièrement à notre directeur
SHINDANO aquister, qui malgré ses lourdes tâches a accepté de diriger ce travail. Nos
remerciements s’adressent également à ceux qui nous ont moralement soutenu à l’instar de
PALA MAZAMBI Bendela, Nicole BENDELA, Grace Kisunzu, MALASI BENDELA
Sophie. En plus, nos remerciements s’adressent à nos camarades et compagnons de
AIMERANCE BIRHANGI Honnête, KINDONDA MUTABILWA Jean, TUYIKUNDE
Fenias. Et enfin, que tous ceux qui de près ou de loin ont participé à la réalisation de ce
travail, trouvent ici l’expression de nos vives reconnaissances
a. Processus ...................................................................................................................... 23
III.6. Critique de l’Existant .................................................................................................. 24
III.6.1. Aspects fort .......................................................................................................... 24
III.6.2 Aspects négatifs ..................................................................................................... 24
III.8. Solutions Proposées................................................................................................. 25
CHAPITRE IV. MODELISATION DU SYSTEME FUTUR ................................................. 26
IV.1. Introduction ................................................................................................................. 26
IV.2. Description Statique du Système d’information ......................................................... 26
IV.2.1. Quelques concepts de base ................................................................................... 26
IV.2.2. Dictionnaire de données ....................................................................................... 26
IV.2.3. Matrice de dépendance fonctionnelle a source simple ......................................... 27
IV.2.4. La construction du modèle conceptuelle de données (MCD) .................................. 28
IV.3. Description Dynamique du Système ........................................................................... 30
IV.3.2 Le Modèle Conceptuelle de Traitement (MCT)........................................................ 30
IV.3. Modèle Organisationnel du Système futur .............................................................. 35
IV.5 Le Modèle Logique de Traitement (MLT) .................................................................. 39
IV.6 Modèle Physique de Données(MPD) ............................................................................... 42
CHAPITRE V. PRESENTATION DU SYSTEME REALISE ............................................... 43
V.1. Choix de l’environnement du Travail .......................................................................... 43
A. Environnement Matériel .............................................................................................. 43
B. Environnement Logiciel .............................................................................................. 43
V.2 Documentation de l’application .................................................................................... 43
V.2.a Présentation de quelques interfaces utilisateurs ..................................................... 43
V.3 Etats de Sortie ................................................................................................................ 45
CONCLUSION ........................................................................................................................ 46
BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................... 46
Références ................................................................................................................................ 47
vii
SIGLES ET ABREVIATIONS
A : Alphabétique
AN : Alphanumérique
Bord. : Bordereau
CA : Comité d’Administration
CC : Commission de crédit
CDI : Centre des Impôts
Cpte : Comptabilité
CS : Conseil de Surveillance
M : Mouvement
INTRODUCTION
I.1. Contexte de l'étude
Le siècle présent est appelé siècle de la technologie, caractériser par l’essor de la technologie
de pointe dont l’informatique et l’automatisation a tous les niveaux. L’informatique est devenue
un outil incontournable de la gestion c’est-à-dire utilisée dans la gestion comme outil
d’accompagnement permettant de réduire le cout, de minimiser le temps et accroitre ainsi la
qualité et la rentabilité. Cet outil est d’autant plus important qu’on s’en sert aussi bien dans les
entreprises privées que publiques.
Pour ce qui est de l’administration publique au niveau global, l’informatisation des services
étatique permet à l’Etat moderne de jouer sur la qualité des services offerts aux citoyens, de
couvrir un si grand nombre des citoyens en un temps record lui évitant par conséquent la lenteur
administrative tout en maximisant les recettes publiques. Toute organisation, toute
communauté, toute gouvernement fonctionne grâce à un budget lui alloue pour financer sa
politique. (https://fr.wikipedia.org/wiki/Imp%C3%B4t, 1905)
Chaque pays de l’UE peut imposer ses propres règles fiscales, pour autant qu’elles soient
conformes à la législation de l’UE et, notamment, qu'elles n'entraînent pas de discriminations
pour les ressortissants étrangers. Même dans les domaines où ils ont réussi à harmoniser
les règles européennes taxe sur la valeur ajoutée (TVA), droits d’accises sur l’alcool, le tabac
et les produits énergétiques, par ex. les pays de l’UE peuvent généralement fixer librement leurs
taux d’imposition (européenne, 2022).
Cependant, parfois la politique peut être bonne et souffrir d’exécution faute d’un budget
conséquent pour son financement. Ce problème est beaucoup plus criant dans les pays en voie
de développement faute d’une politique efficiente dans la mobilisation des recettes publiques.
Le service de fisc joue un rôle d’alimentation pour un Etat, c’est comme la bouche pour le corps
humain et sa politique organisationnelle ses mains ; il se charge de récolter les impôts et taxes
dus à l’Etat.
En Afrique précisément au Mali en fin décembre 2021, la DGI a réalisé 989,072 milliards de
FCFA sur un objectif annuel de 987,122 milliards de francs CFA, soit un taux de réalisation
de 100,2% et un écart absolu positif de 1,950 milliards de FCFA. Ces réalisations sont
supérieures à celles de l'année 2020 qui étaient de 921,160 milliards de FCFA sur un objectif
de 891, 325 milliards de FCFA, soit un taux de réalisation de 103,35 % et un écart absolu
positif de 29,835 milliards de FCFA. Comparées aux réalisations de 2020, on enregistre une
hausse des recettes en 2021 de 67,912 milliards de FCFA. (rapport annuel de recette de la
DGI du Mali, 2021)
Néanmoins, si ce service de fisc ne fait pas son travail comme il se doit ou le fait mal c’est tout
un pays qui en souffre financièrement. Actuellement, l’informatique comme outil de gestion
aide les Etats à bien organiser leurs services, afin de maximiser les recettes publiques.
L’informatique dans le service de fisc permet à ce dernier de gérer automatiquement les
assujettis, de canaliser les recettes récoltées dans le trésor public, permet une gestion efficiente
des agents et de tous les intervenants en la matière.
Notre travail est axé sur la DGI qui est l’une des trois régies financières. Elle collecte les impôts,
c’est dans ce cadre que la DGI dans l’une de ses divisions provinciales, s’occupe de la gestion
2
de contribuable. Lesquels nécessitent une attention particulière quant à leur gestion étant donné
que l’Etat congolais dépense suffisamment beaucoup d’argents quant à leur impression à
l’Hôtel de monnaie à Kinshasa et à leur acheminement dans chaque province ou ils doivent être
utilises. (https://www.dgi.gouv.cd, 2015)
générale des impôts. Nous devons donc arriver à analyser et concevoir une base de données qui
sera adapté au mode de fonctionnement de cette entreprise.
a. METHODES
Nous soutenons avec beaucoup d’enthousiasme BUABUA NKALA Pasteur, dans la définition
de celle-ci. Il dit : « une méthode est une marche à suivre, c'est-à-dire, une marche raisonnée et
rationnelle, pour atteindre la vérité, pour aboutir à un résultat. (Pasteur, 2019)
Il s’agit d’un ensemble des procédés fixant l’ordre à suivre et les conditions à remplir pour
parvenir à un résultat.
Dans le cadre de notre sujet, nous avons utilisé les méthodes suivantes :
METHODE HISTORIQUE : Dans notre recherche, cette méthode nous a permis de
comprendre et connaître l’évolution de notre milieu d’étude, car on ne peut pas se
contenter du présent sans passer par le passé.
METHODE FONCTIONNELLE : C’est par le canal de celle-ci que nous avons su le
fonctionnement de différents postes de travail de la DGI.
Il convient également de signaler que nous tiendrons compte de la MERISE (Méthode d’Etude
et de Recherche en Informatique pour Système d’Entreprise). Est une méthode de
rassemblement des idées sans effort. Elle nous permettra d’analyser le système existant pour
comprendre le milieu d’étude afin de nous aider à bien concevoir un système d’information
futur
b. TECHNIQUES
La définition de celle-ci par BUABUA NKALA. Nous avons bel et bien fasciné en disant que
: « les techniques sont des instructions dont dispose le chercheur pour élucider et éclairer la
vérité »
Parmi les techniques, nous avions utilisé celles qui suivent :
TECHNIQUE D’INTERVIEW Libre: Avec celle-ci, nous avons eu la chance de trouver
les résultats de nos préoccupations grâce à l’échange verbal entre les futurs utilisateurs
du nouveau système et nous.
TECHNIQUE DOCUMENTAIRE : Cette technique peut se justifier de la manière
suivante : pour un travail scientifique (en informatique), le chercheur doit consulter des
archives et autres documentations.
C’est ce qui nous a fait aboutir au résultat espéré.
4
Son travail porte sur « Impact du contrôle fiscal sur le recouvrement des recettes publiques. Cas
du centre des impôts de Beni. De 2004 à 2007 ». Ce travail s'était réalisé dans le but de dénicher
l'implication du contrôle fiscal et l'impact de ses conséquences occasionnées à savoir : les
pénalités sur les recettes fiscales et tenté d'en fournir des solutions pour son opérationnalisation
adéquate au sein de la direction générale des impôts, centre de Beni.
6
5.TSHAL TSHIBOB Yves dans son travail de fin de cycle « La problématique du recouvrement
de la TVA au Katanga » République démocratique du Congo enregistré de faibles performances
économiques, financières et sociales, malgré des perspectives prometteuses sur le plan de la
résolution des conflits, de l'exploitation des richesses minières et des réformes structurelles
(BCC.2011).
Ces résultats sont dus à des facteurs exogènes, tels que le contexte mondial de crise financière,
et à des facteurs structurels endogènes, le manque d'infrastructures de base et de transports,
d'énergie, sans mettre le faible niveau de gouvernance politique et économique.
Au cours de cette année, le taux de croissance s'est établi 5.7 pour cent en fin d'année contre
16.7 pour cent en 2007. Pendant la même période. Le franc congolais s'est déprécié de 29.3
pour cent par rapport au dollar américain
Parmi les reformes programmées per le gouvernement congolais pour assainir les finances
publiques, il existe la TVA mis en place depuis le 1 janvier 2012, en remplacement de l'impôt
sur le chiffre d'affaires la TVA et ICA sont tous deux impôts sur la consommation. Ces impôts
sont conditionnés par des exonérations.
Faire une étude comparée entre exonérations de l'ICA et de la T VA permettra au pouvoir public
d'avoir un instrument solide d'amélioration de la rentabilité du système fiscal congolais qui
constitue l'un des objectifs de la réforme de la TVA. (Yves, 2012-2013)
6.NDAYE BAKATUSHIMA dans son travail « la détermination de la taxe sur la valeur ajoutée
collectée et de la taxe sur la valeur ajoutée déductible » Unilu, économie 2012 ; qui nous dit
que la TVA assure un bon rendement à l'Etat.
Il nous ait dit que le système fiscal congolais est de type auto-déclaration, c'est -à-dire les
contribuables sont appelles a déclaré d'eux même la base de leurs revenus, biens importés,
produits ou services exportés.
Mais il ne s'agit pas là d'un laisser-aller, par ce que chaque fois l'état, à travers le service fisc,
contrôle la véracité de chaque déclaration et les récalcitrants sont punis suivant les sanctions
prévues dans le code fiscal congolais.
Comparativement aux travaux des auteurs cités ci haut, notre étude porte plus particulièrement
sur la problématique du recouvrement de la TVA au Katanga. mais aussi l'efficacité du régime
de la TVA Congolais si celui-ci permet à ce dernier ses recettes par rapport à l'ICA.
(BAKATUSHIMA, 2012)
Augmenter les recettes, et le faire de manière équitable, suppose d’envisager la politique et
l’administration fiscales autrement. Ces nouvelles approches se sont attachées jusqu’ici
à engager des réformes fiscales internationales, porter une attention accrue à l’impôt sur le
patrimoine et la taxe foncière, ou encore améliorer l’efficacité des services fiscaux grâce à la
numérisation. Cependant, il devient de plus en plus évident que la solution pour une
mobilisation accrue et plus performante des recettes ne réside pas seulement dans
l’élargissement de la base imposable ou dans la simplification de l’acquittement des impôts : il
est également indispensable d’accorder davantage d’importance à la relation entre le
contribuable et les autorités fiscales.
7
C’est dans ce contexte que s’inscrit un nouveau rapport de la Banque mondiale réalisé avec le
soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates et intitulé Innovations in Tax Compliance:
Building Trust, Navigating Politics, and Tailoring Reform. Ouvrant une nouvelle voie en
matière de réforme fiscale, cette publication propose un cadre novateur et intégré qui favorise
un plus grand consentement à l'impôt, en particulier dans les pays à faible revenu. (ESTEVÃO,
2022)
des recettes fiscales de l’Etat de jouer pleinement son rôle, la présente ordonnance a pris des
dispositions générales, des structures, des attributions et reconnu que le personnel soit régi par
un règlement d’administration pris conformément aux statuts de la fonction publique.
En 1997, elle a mis en place une nouvelle politique de mobilisation des recettes axée
principalement sur la réorganisation des services et la forme de législation financière.
Actuellement, ce service est régit par le décret-loi n°017/2003 du 2 mars 2003 portant création
de la Direction Générale des Impôts.
Ainsi, au regard de ce décret-loi, les attributions de la DGI sont, d’une manière générale,
d’exercer les missions et prérogatives en matière fiscale conformément aux dispositions légales
et réglementaires en vigueur c’est-à-dire celles concernant l’assiette fiscale, la liquidation et le
prélèvement à caractère fiscal.
1.2. Mission
Les missions comprennent notamment celles concernant l’assiette, le contrôle, le recouvrement
et le contentieux des impôts, taxes, redevances et prélèvement à caractère fiscal.
La DGI est chargée d’étudier et de soumettre à l’autorité compétente les projets de lois, de
décrets et d’arrêtés en matière fiscale. Elle doit être consultée pour tout texte ou toute
convention à incidence fiscale ou tout agrément d’un projet d’investissement à un régime fiscal
dérogatoire.
1.3. Objectif
L’objectif principal des services de la DGI est la maximisation des recettes fiscales pour le
compte de l’Etat Congolais.
La DGI a aussi pour objectif d’exercer ses compétences, de manière exclusive, sur toute
l’étendue du territoire national.
1.4. Fonctionnement
La DGI dispose, pour son fonctionnement et la motivation de son personnel, d’une allocation
budgétaire au moins égale à 5% des recettes assignées ainsi que celle de 40% des pénalités
fiscales recouvrées.
Elle bénéficie également, en sus des crédits budgétaires lui alloués à cet effet, d’une quotité de
10% des pénalités recouvrées pour ses dépenses d’investissement.
Il délègue une partie de ses compétences au Directeur Général Adjoint qui lui en rend compte.
En cas d’absence ou d’empêchement, le Directeur Général est provisoirement remplacé, dans
la plénitude de ses fonctions, par le Directeur Général Adjoint, à défaut de ce dernier, par un
Directeur désigné par le Ministre ayant les Finances dans ses attributions.
B. Directeur Général Adjoint
Il assiste le Directeur Général dans l’exercice de ses fonctions et donne ses avis sur toutes les
matières.
Il décide dans les matières de la compétence du Directeur Général lui déléguées, tout en lui
rendant compte.
En cas d’absence ou d’empêchement du Directeur Général Adjoint, le Ministre ayant les
Finances dans ses attributions peut désigner un Directeur pour assumer son intérim.
C. Division Administrative & Cellule Technique
C’est le cabinet du Directeur Général, elle est chargée de l’instruction du contentieux.
1.5.2. L’Inspection des Services
Elle contrôle les services des Directions Centrales, de la Direction des Grandes Entreprises ainsi
que les Directions Urbaines et Provinciales sur ordre du Directeur Général.
Elle peut être chargée des missions d’enquête et de contre vérification fiscale. Elle veille à
l’application régulière des lois et règlements en vigueur et au strict respect des directives de
l’Administration Centrale. Elle propose, suite aux manquements constatés, les mesures
disciplinaires et les réformes de nature à améliorer l’organisation et le fonctionnement des
services.
1.5.3. La Direction des Ressources Humaines
Elle a pour attributions :
La gestion du personnel affecté à la DGI ;
L’organisation du recrutement des agents nécessaires au fonctionnement des services selon les
modalités en vigueur en la matière ;
La formation en cours de carrière des agents.
1.5.4. La Direction de la Gestion Budgétaire et des Services Généraux
Elle a pour attributions :
La gestion des crédits alloués à la DGI ;
La coordination, l’harmonisation et le suivi de la gestion de la part des pénalités revenant aux
services ;
La gestion des biens meubles et immeubles mis à la disposition de la DGI.
1.5.5. La Direction de l’Informatique
Elle a pour attributions :
L’élaboration de la stratégie d’informatisation de système d’information ;
10
L’inspection de services propose, suite aux manquements constatés, les mesures disciplinaires
et les réformes de nature à améliorer et le fonctionnement des services.
Secrétariat
Cellule d’Appoin
t et du
Bureau Etudeet Bureau Gest° des Bureau Bureau d’Immatr. Bureau de Bureau de
Développement RHM d’Accueil et et Tenue des Doss. Recherche Paiement
Information
Bureau de
Poursuite et
Contentieux du
Recouvrement
Bureau
d’Antennes
Provinciales
III.2. Objectif
L’analyse de l’existant permet de comprendre la nature du système actuel, décrit la solution
présente du domaine d’étude au terme d’organisation
LEGENDE
1. Paiement de la somme due pour impôt
2. Remise bordereau de paiement
3. Retrait de l'argent pour rémunération des agents
4. Remise bordereau de retrait
5. Orientation contribuable
6. Demande des renseignements
7. Instructions à suivre et paiement
8. Exécution tâche et vérification
9. Instructions à suivre
10. Rapport administratif
11. Instructions
12. Rapport
13. Etat de besoin
14. Réponse à l'état de besoin
22
Contribuable Administration
a. Processus
RO1 : Le contribuable est accueilli à la réception où il doit demander les informations ;
RO2 : Une fois que le réceptionniste comprend le contribuable, ce premier peut lui conduire
maintenant chez le gérant ;
RO3 : Si le gérant est en présence d’un nouveau contribuable, il ne peut demander à ce dernier
de lui présenter ses pièces d’identités ;
RO4 : Lorsque le gérant est en possession de différents documents qui cadres avec ses identités,
on doit bien l’analyser et si possible de retenir tout ce que le nouveau contribuable fait dans la
vie sociale ;
RO5 : Si les documents sont corrects, le gérant peut maintenant demander au nouveau
contribuable d’aller payer à la caisse le frais d’impôt ;
RO6 : Lorsque le contribuable paie ses frais d’impôt, il doit montrer au gérant un reçu
témoignant qu’il a déjà payé le frais exigé en tant que contribuable ;
RO7 : Une fois l’opération effectuée avec succès, le guichetier doit signer sur le bordereau ainsi
que le contribuable et doit remettre au contribuable le bordereau et doit rester avec une copie ;
RO8 : Le guichetier doit vérifier attentivement l’identité du contribuable et s’assurer si c’est
réellement le compte du contribuable présent au guichet ;
RO9 : Après la vérification de toutes les informations fournies par le contribuable, le guichetier
peut maintenant imprimer un bordereau où ils doivent tous signer ;
RO10 : Après avoir signé, le guichetier doit remettre au contribuable le bordereau de paiement
d’impôt et rester avec une copie ;
Tableau de Procédure Fonctionnelle
b. Présentation
Contribuable A
Code AN 10 X X
Nom A 40 X X
Post nom A 30 X X
Prénom A 20 X X
Sexe A 10 X X
Etat_civ A 15 X
Secteur N 20 X
Adresse AN 70 X x
Nationalité A 30 X
Catégorie A
Id Categ AN 10 X X
Service A 30 X
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Raison soc A 30 X
Forme jur AN 30 X
Compte A x
Id AN 10 X
Nom A 30 X
Montant N 30 X
Date_Créat D 15 x
Type activ A 30 x
Code N 10 X
Secteur A X
Agent A 30 x
Code N 10 X
Nom A 30 X
Post nom A 30 X
Prénom A 30 X
Sexe A 15 X
Légende :
A : Alphabétique
AN : Alphanumérique
N : Numérique
D : Date
IV.2.3. Matrice de dépendance fonctionnelle a source simple
Les règles de gestion
RG1 : Un contribuable peut payer l’impôt un ou plusieurs fois ;
RG2 : Un impôt ne peut être payer que par un et un seul contribuable ;
RG3 : Un ou plusieurs impôts peuvent être payer à un et un seul contribuable;
RG4 : Un contribuable peut avoir un ou plusieurs activités ;
RG5 : Un contribuable peut être un agent ;
RG6 : Un ou plusieurs catégories peuvent être concerner par un et un seul contribuable ;
RG7 : Un catégorie peut regorger un ou plusieurs sièges ;
RG8 : Un ou plusieurs sièges peut contenir un et une seule succursale ;
Les dépendances fonctionnelles (DF)
Dans l'étude des bases de données, les dépendances fonctionnelles sont les liens existant
entre deux propriétés présentes dans la base de données. Exemple : Il existe une
28
Les éléments du MCD sont notamment les suivants : Chaque rectangle représente un objet =
Entités. Les propriétés (la liste des données associées à l'entité) Les descriptions de la façon
dont les entités sont reliées (les ovales et leurs jambes qui relient les entités)
30
ET
Réception Contribuable
- Présentation
- Orientation
OK NON OK
Contribuable en sursis
Contribuable reçu
Présence du Chef
ET
Demande d’adhésion
- Présence pièces d’identité
OK NON OK
Contribuable en attente
Demande Accepté
A
32
ET
Coordonnees Contribuable
- Verification des coordonnees
- Saisie des coordonnees
OK NON OK
Contribuable en sursis
Coordonnees contribuable Guichetier
a b c
a ET b ET c
Ouverture
- Nom d’activiter
OK NON OK
Contribuable en sursis
Activiter disponible
Chef
ET
Ajout Contribuable
MAJ liste des contribuables
Toujours
Processus d’enregistrement
ET
Réception contribuable
- Présentation
Toujours
Carnet présenté
Contribuable recu
Enregistrement vérifier
b
a
c
a ET b ET c
Opération dépôt
- Vérification numéro
OK NON OK
B
34
Edition d’enregistrement
- Edition d’enregistrement
- Elaboration Bordereau
Toujours
Guichetier Présent
ET
Remise documents
Documents remis
Fin Processus
Chef présent
Opération Effectuées
ET
OK NON OK
Fin
a. Création
b. Processus d’enregistrement
6 8h<t<15 X’ Présentation du TM Guichet Guichetier Guichetier
contribuable au Dépôt
h30’
guichet de dépôt
08h a
15h Arriver Etude Demande
contribuable
a
a Contribuabl
a
e
(a ET b) OU (b ET c)
Coordonnées Contribuable
TM Gérance
Vérification des coordonnées
Saisie des coordonnées
OK NON OK
Contribuable en sursis
b
c
a
a ET b ET c
Ouverture Compte
TM Gérance
Numéro du compte
Nom de compte
OK NON OK
08h a Contribuable
15h enregistrer
Fin processus
38
Contribuable
Edition d’enregistrement
- Edition d’enregistrement
TM Guichetier
- Elaboration Bordereau
Toujours
Guichetier
ET
Remise documents
- Remise carte d’électeur TM Guichetier
- Remise bordereau
Toujours
Documents remis
Fin Processus
8h à
15h
39
ET
Cette ULT est associée avec le sous schémas logique de données, qui ne sont rien d’autres qu’un
sous ensemble de tables et d’attributs définis sur le MLD que nous venons de valider afin de
pouvoir présenter la logique fonctionnelle qui représente l’organisation générale de l’ensemble
des traitements à effectuer.
b. Passage du MOT au MLT
Le passage du Modèle Organisationnel de Traitement au Modèle Logique de Traitement
concerne la réflexion ou l’imagination du développeur de l’application selon sa maîtrise et/ou
sa pensée dans laquelle il appliquera sur la conception de ses interfaces.
Cependant, nous allons éliminer à partir du Modèle Organisationnel de Traitement les tâches
qui ne seront pas informatisées et les tâches restantes détermineront l’ULT où des évènements
fonctionnels disparaissent et cèdent la place aux actions des utilisateurs notamment : click, saisi,
etc.
Présentation du Modèle Logique de Traitement
41
Debut de procedure
Recherche du Contribuable
Suivant OK Annuler
Fin
42
1. Contribuable (code# : Int, nom : chaine, post nom : chaine, prénom : chaine, sexe:
chaine, Etat_civ : chaine, numero_tel : chaine, nationalité : chaine, adresse : chaine,
catégorie# : entier)
2. Type Activité (code# : entier: chaine des caractères)
3. Catégorie (chaine, profession : chaine, date_naiss : date, adresse# : entier, catégorie#
: entier)
4. Agent (id_ag# : entier, nom : chaine, post nom : chaine, prénom : chaine, genre :
chaine)
5. Compte (id# : nom : chaine, montant : chaine, date création : date)
43
Formulaire :
Le répertoire :
45
Quant aux états de sortie, notre application nous permettra de produire un répertoire de
contribuable et la liste des contribuables. Pour bien accomplir notre tâche voici les ressorts de
notre travail :
46
CONCLUSION
Nous voici au terme de notre travail de fin de cycle qui porte sur la « Conception et mise en
place d’une application de gestion de répertoire de contribuable dans une régie financière
étatique. Cas de la Direction General des Impôts ».
En effet, tout au long de nos recherches, nous avons cherché à soulever les problèmes liés à
l’inaccessibilité au répertoire par le contribuable lorsque ce dernier est en dehors du pays, nous
nous sommes posé les questions suivantes :
Dans quelle mesure l’outil informatique avec une base de donnée pourrait-il participer
dans la gestion d’un répertoire de contribuable d’une régie financière étatique ?
Cet outil est-il à même de favoriser la réalisation des assignations en recettes en
modernisant ce service d’une manière efficace ?
Pour une bonne étude des problèmes soulevés à travers les questions ci-hauts posées, nous
nous sommes fixés les hypothèses selon lesquelles :
- Nous pensons que la Direction General des Impôts utilise seulement les agents,
faute de quoi, ils n’arrivent pas à satisfaire tous les contribuables au même moment.
- L’application de gestion de répertoire de contribuable apporterait un gain aux
contribuables ainsi que la maximisation des contribuables car le système local que
les agents utilisent ne permet pas aux contribuable d’effectuer leurs opérations
partout où ils se trouvent. Partant, de ces hypothèses nous avons analysé avec un
œil critique, la gestion de répertoire de contribuable ainsi que les documents
utilisés. Nous avons donc mis au point une application dont la basse de données est
sous MYSQL et les interfaces ont été réalisée dans le langage de programmation
JAVA. En fin ce projet contribuera à la sécurité, la rapidité, la crédibilité et la
fiabilité dans la gestion de répertoire des contribuables à la Direction General des
Impôts et d’autres régies financières étatiques qui pourraient être intéressé par cette
application.
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrages
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MBIKAYI MPANYA Jean Marcel, Méthode d’Analyse en Informatique, Editions
CRISS, 2014
MBIKAYI MPANYA Jean Marcel, Modéliser un système d’Entreprise avec l’approche
MERISE, Editions CRISS, 2013
Autres
Prof. EMMANUEL KALUME., Cours de MAI II, G3 IG, UAGO, 2021-2022
KASAVUBU, Cours de MAI 1, G2 IG, UAGO, 2020-2021
MALALA DONACIEN, Cours d’Initiation à la Recherche Scientifique G1 IG
UAGO, 2020-2021, inédit
Webographie
47
http://www.developpez.com
http://www.commentcamarche.net
http://www.openclassroom.com
http://www.codesources.net
Références
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(2021). rapport annuel de recette de la DGI du Mali. Bamako: Ministere de l'ecoomie et de
finance.
Yves, T. T. ( 2012-2013). La problématique du recouvrement de la TVA au Katanga.
kATANGA, ECONOMIE, RDC.
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ANNEXES
/*
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*/
package repertoire_dgi;
import java.sql.Connection;
import java.sql.PreparedStatement;
import java.sql.ResultSet;
import java.sql.SQLException;
import java.util.logging.Level;
import java.util.logging.Logger;
import javax.swing.JOptionPane;
/**
*
* @author Bendela
*/
public class typeActivite {
private String cod_act;
private String nom;
private String secteur;
}
public void update(Connection con,PreparedStatement ps,String code,String nom,String
secteur )
{
try {
String sql = "UPDATE `activite` SET `nom_act`=?,`secteur`=? WHERE
`cod_act`=?";
ps = con.prepareStatement(sql);
ps.setString(1, code);
ps.setString(2, nom);
ps.setString(3, secteur);
ps.executeUpdate();
JOptionPane.showMessageDialog(null,"Modifier avec succée");