Reseau

Modèle de référence OSI Couche liaison de données MAC IEEE 802.
11 Couche réseaux
Réseaux informatiques
Cours à l’intention des étudiants en Master 1 informatique
Kamal Mehaoued
Département d’informatique, université de Béjaia
2021/2022
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Modèle de référence OSI Couche liaison de données MAC IEEE 802.11 Couche réseaux
Plan du cours I
1 Modèle de référence OSI
2 Couche liaison de données
Fonctions de la couche liaison de données
Services fournis à la couche réseaux
La notion de trame
Contrôle d’erreurs
Contrôle de flux
Détection et correction d’erreurs
Codes détecteus d’erreurs
3 MAC IEEE 802.11
Notions élémentires
Couche MAC
Les mécanisme Request to Send/ Clear to Send RTS/CTS
4 Couche réseaux
Types de services fournis à la couche transport
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Algorithmes de routage
Plan du cours II
Routage par innondation
Routage à vecteur de distance
Routage à État de lien
Découverte des voisins
Définition des coûts des liens
Élaboration des paquets d’état de lien
Distribution des paquets à état de lien
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Introduction
Un seul ordinateur (une seule entité) peut-il constituer un réseau ?
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Introduction
Pour avoir un réseau, nous avons besoin d’au moins deux entités
(ordinateurs), mais est-ce suffisant ?
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Introduction
Pour avoir un réseau, nous avons besoin d’au moins deux entités
(ordinateurs) et un moyen physique de communication.
Remarque
Tous ces moyens permettant à deux ordinateurs de transmettre et
d’échanger des infos entre eux, constituent la première couche du
modèle OSI
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Introduction
Considérons le réseau de la figure suivantes :
Deux questions se posent :

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Introduction
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Introduction
Question 1
Comment l’ordinateur A peut distinguer B de C pour qu’il puisse
lui envoyer des données ?
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Introduction
Question 1
Question 2
Si l’ordinateur A et C veulent transmettre en même temps, lequel
aura accès au canal en premier ?
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Introduction
Question 1
Question 2
Si l’ordinateur A et C veulent transmettre en même temps, lequel
aura accès au canal en premier ?
Important
La réponse à toutes ces questions se trouvent dans la deuxième
couche du modèle OSI
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Introduction
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
routeur 1
A
routeur 4 B
routeur 2
Questions : Comment les données sont acheminées de l’ordinateur

A du réseau 1 à l’ordinateur B du réseau 2 ?
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Introduction
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
routeur 1
A
routeur 4 B
routeur 2
Questions : Comment les données sont acheminées de l’ordinateur

A du réseau 1 à l’ordinateur B du réseau 2 ?
Important
L’acheminement des données entre deux hôtes à travers
l’inter-réseau se fait grâce à la troisième couche du modèle OSI. departement.png
Introduction
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Introduction
Question
Maintenant que nous savons comment acheminer des données de
bout en bout grâce à la couche 3, comment peut-on être sûr que
les données acheminées sont bien reçues ? Comment les données
envoyées sont-elles découpées pour voyager dans l’inter-réseau ?
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Introduction
Question
Maintenant que nous savons comment acheminer des données de
bout en bout grâce à la couche 3, comment peut-on être sûr que
les données acheminées sont bien reçues ? Comment les données
envoyées sont-elles découpées pour voyager dans l’inter-réseau ?
Important
Les réponses aux deux questions précédentes, sont dans la couche
transport du modèle OSI
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Introduction
Considérons la figure suivante dans laquelle la station A sollicite

des données de deux serveurs différents : serveur1 et serveur 2.
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
serveur 1
routeur 1
A
routeur 4 serveur 2
routeur 2
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Introduction
Considérons la figure suivante dans laquelle la station A sollicite

des données de deux serveurs différents : serveur1 et serveur 2.
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
serveur 1
routeur 1
A
routeur 4 serveur 2
routeur 2
Question 1
Comment la station A peut distinguer les données en provenance
du serveur 1 de celles du serveur 2 ?
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Introduction
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Introduction
Réponse
La réponse est que la station A, en sollicitant les deux serveurs,
créent deux sessions différentes, ce qui permet de distinguer les
données provenant de chaque serveur grâce à la notion de session.
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Introduction
Réponse
La réponse est que la station A, en sollicitant les deux serveurs,
créent deux sessions différentes, ce qui permet de distinguer les
données provenant de chaque serveur grâce à la notion de session.
Important
La réponse à la question précédente, se trouve donc dans la couche
5 du modèle OSI.
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Introduction
Les station A et B sont dotées de systèmes d’exploitation complètement différents.
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
routeur 1
A
routeur 4 B
routeur 2
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Introduction
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
routeur 1
A
routeur 4 B
routeur 2
Question
Comment les station A et B peuvent-elles se comprendre mutuellement ?
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Introduction
Réseau 1 Réseau 2
routeur 3
routeur 1
A
routeur 4 B
routeur 2
Question
Comment les station A et B peuvent-elles se comprendre mutuellement ?
Réponse
La réponse est que les données doivent être représentées dans un standard compris
par les deux machines. Ceci est possible grâce à la couche présentation
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Introduction
Enfin terminons avec la question suivante :

Question
Qui est ce qui déclenche l’échange de données entre deux stations
du réseau
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Introduction
Enfin terminons avec la question suivante :

Question
Qui est ce qui déclenche l’échange de données entre deux stations
du réseau
Réponse
La couche Application qui constitue le point d’accès au réseau des
applications utilisateurs est l’initiatrice de tout échange de données
entre deux entités du réseau
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Modèle OSI
Modèle OSI en 7 couches
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Modèle OSI
Les données à travers les 7 couches
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Modèle OSI
L’encapsulation des données
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Modèle OSI I
Couche physqie Permet la transmission des éléments binaires

d’une machine à une autre. C’est à ce niveau que
sont définis les aspects et les synchronisations, par
lesquels, les bits sont transmis sous forme de signaux
sur des canaux de transmission.
Couche Liaison de données Permet à deux machines
adjacentes(physiquement connectées par un canal)
d’échanger des données sous forme de de bits
regroupés en trames de façon fiable et efficace.
Couche réseau La couche réseau a pour mission d’acheminer des
paquets de bout en bout d’une source à une
destination, en traversant plusieurs réseaux et
routeurs.
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Modèle OSI II
Couche transport Elle s’appuie sur la couche réseau pour assurer

de façon fiable le transport de données entre une
source et une destination et cela indépendamment
des réseaux physiques.
Couche Session Permet principalement d’ouvrir, de gérer et de
clore une session entre deux machines
communicantes.
Couche Présentation Permet la présentation des données dans un
format standard compréhensible par toutes les
machines.
Couche Application La couche Application constitue une interface
d’accès au réseau pour les applications utilisateurs.
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1 Offrir une interface de services à la couche réseau
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2 Traitement des erreurs de transmission
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2 Traitement des erreurs de transmission
3 Régulation des flux de données échangés
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1 Service sans connexion et sans accusé de réception
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2 Service sans connexion avec accusé de réception
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2 Service sans connexion avec accusé de réception
3 Service orienté connexion avec accusé de réception
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Service sans connexion et sans accusé de réception
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1 La machine source envoie des trames à une machine

destination sans accusé de réception.
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2 Aucune connexion logique n’est établie ou libérée entre les
deux machines communicantes.
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3 Si une trame est perdue, y aura aucun moyen d’y remédier.
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3 Si une trame est perdue, y aura aucun moyen d’y remédier.
Important
Ce genre de service est intéressant dans le cas ou le taux d’erreurs
est très faible ou que leurs correction a été prévue au niveau des
couches supérieures. Intéressant pour le trafic à temps réel.
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Service sans connexion et avec accusé de réception
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1 plus fiable que le service précédent
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2 Pas de connexion logique entre les deux machines
communicantes
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communicantes
3 Chaque trame envoyée est acquittée par le récepteur.
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communicantes
4 Si une trame n’est pas acquittée au bout d’un certain temps,
elle sera envoyée de nouveau
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communicantes
4 Si une trame n’est pas acquittée au bout d’un certain temps,
elle sera envoyée de nouveau
Important
Ce service est très utile dans les canaux peu fiables comme les
liaisons sans fil 802.11.
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Service orienté connexion et avec accusé de réception
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1 Avant tout envoi de données une connexion logiques entre les

deux machines communicantes doit être établie.
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2 Chaque trame envoyée est numérotée
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3 Elle garantit que chaque trame est reçu une seule fois et que
toutes les trames sont reçues dans l’ordre.
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4 Ce service fournit aux deux processus de la couche réseau un
canal fiable.
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4 Ce service fournit aux deux processus de la couche réseau un
canal fiable.
Important
Ce service est approprié sur de longs liens non fiables.
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Notion de trame
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Notion de trame
Le flux de bits reçu par la couche de données n’est pas exempt

d’erreurs
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Notion de trame

d’erreurs
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Notion de trame

d’erreurs
Certains bits peuvent changer de valeurs ou le nombre de bits
reçu peut être différent de celui émis
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Notion de trame

d’erreurs
C’est à la couche de liaison de données de détecter ces erreurs
et de les corriger éventuellement.
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Notion de trame

d’erreurs
C’est à la couche de liaison de données de détecter ces erreurs
et de les corriger éventuellement.
Dans ce but, elle découpe le flux de bits en trames(frames)
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Découpage en trames
Première méthode : Taille des trames
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Utilise un champ dans l’entête de la trame indiquant sa taille

en octets.
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en octets.
La couche de liaison de données du destinataire, en lisant ce
champ, connaît le nombre d’octets qui vont suivre et connait
donc la fin de la trame.
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en octets.
Exemple (Transmission correcte)

5 start 12 14 5 8 3 start 11 7 4 start 9 1 2
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en octets.
Exemple (Transmission correcte)

Exemple (Transmission incorrecte)

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Découpage en trames I
Deuxième méthode : Fanions de signalisation et replissage d’octets
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Découpage en trames II
Fanion Entête Champ des donnés proprement dites Entête Fanion
Si le récepteur perd la synchronisation, il lui suffit de retrouver

les deux délimiteurs
si un fanion fait partie des données, La couche liaison de
données de l’émetteur insère un octet spécial d’échappement
(ESC) avant lui
La couche liaison de donnée du récepteur élimine l’octet
(ESC) avant de transmettre la donnée à la couche réseau
Si un octet d’échappement fait partie des données, lui aussi
sera rempli avec un octet d’échappement (ESC)
Au niveau du récepteur le premier octet d’échappement est
supprimé ne laissant que celui faisant partie des données. departement.png
Découpage en trames I
Exemple (Exemple 1)
X Fanion Y après remplissage on obtient :
X ESC Fanion Y
Exemple (Exemple 2)
X ESC Fanion Y Après remplissage on obtient :
X ESC ESC ESC Fanion Y
Exemple (Exemple 3)
X ESC ESC Y Après remplissage
X ESC ESC ESC ESC Y
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Troisième méthode : Indicateurs de début et de fin de trame avec remplissage de bits
La méthode de remplissage d’octets exige que la taille des

trames soit un multiple de 8bits
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Avec un remplissage de bits les trames peuvent avoir une taille
quelconque
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quelconque
Cette méthode a été développée pour le protocole
HDLC(High-level Data Link Control)
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quelconque
Chaque trame est délimitée par un fanon de signalisation
binaire 01111110
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quelconque
binaire 01111110
La couche liaison de la source ajoute un 0 chaque fois qu’elle
rencontre cinq 1 successifs dans la donnée à transmettre.
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quelconque
binaire 01111110
La couche liaison du récepteur enlève tout 0 trouvé après cinq
1 consécutifs
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quelconque
binaire 01111110
La couche liaison du récepteur enlève tout 0 trouvé après cinq
1 consécutifs
Si le fanion 01111110 est contenu dans la donnée alors la
séquence transmise est 011111010 departement.png
Exemple
séquence originale : 011011111111111111110010
séquence transmise : 011011111011111011111010010
Séquence reçu : 011011111111111111110010
Grace au remplissage de bits la couche liaison du récepteur

reconnaît sans ambiguïté les délimiteur de chaque trame.
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Comment s’assurer que le récepteur a reçu toutes les trames

et dans le bon ordre ?
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Supposons que le récepteur peut savoir si une trame reçue est
correcte ou non
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correcte ou non
Pour réaliser une liaison fiable, il faut informer l’émetteur en
lui envoyant un ack positif si une trame est correctement
reçue ou un ACK négatif sinon.
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correcte ou non
Pour réaliser une liaison fiable, il faut informer l’émetteur en
lui envoyant un ack positif si une trame est correctement
reçue ou un ACK négatif sinon.
Si une trame est perdue à cause d’un problème matériel avant
d’atteindre la destination, l’émetteur ne recevra aucun
acquittement du récepteur et ne saura comment continuer et
par conséquent sera planté à jamais.
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Ce problème peut être évité grâce à un temporisateur(Timer)
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Quant un émetteur envoie une trame, il arme le temporisateur
pour une durée telle que : la réception de la trame, son
traitement et son acquittement se déroulent dans de bonne
condition.
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condition.
Si la trame ou l’acquittement sont perdus, l’émetteur ne
recevra aucun acquittement durant la durée du timer. La
solution est donc de retransmettre la trame.
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condition.
Si une trame est retransmise plusieurs fois, le récepteur
l’accepte plusieurs fois pour la délivrer plusieurs fois à la
couche réseau.
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condition.
Si une trame est retransmise plusieurs fois, le récepteur
l’accepte plusieurs fois pour la délivrer plusieurs fois à la
couche réseau.
Pour éviter un tel scenario, les trames sont numérotées afin
que le récepteur distingue entre les trames retransmises et les
trames originales. departement.png
Contrôle de flux
Lorsque l’émetteur envoie plus de trames que le récepteur ne

peut en recevoir, la couche liaison doit résoudre ce problème.
Il existe deux méthodes pour y remédier :
Contrôle de flux avec retour d’informations(Feed-back based
flow control), pour contraindre l’émetteur à ne pas envoyer
plus de trames que le récepteur ne peur en accepter.
Le récepteur peut envoyer un message comme :"Tu peux
m’envoyer maintenant n trames, et arrête tes envois jusqu’à
ce que je te le demande de nouveau"
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Codes détecteus d’erreurs
Un code robuste de détection d’erreurs et le plus utilisé est le

CRC(Cyclic Redundancy Check)
Ce code est également appelé code polynomial
Dans ce genre de codes, les chaînes de bits sont considérés
comme les coefficients d’un polynôme
Un bloc de n bits est vu comme un plynome comprenant n
termes de x n−1 à x 0
un tel polynôme est de degrés n − 1
Le bit de poids fort et le coefficient de x n−1 et ainsi de suite
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Codes détecteurs d’erreurs
Exemple
la chaine 110001 sera représentée par le polynome x 5 + x 4 + 1
Pour utiliser un code polynomial, Le récepteur et l’émetteur se

mettent d’accord sur un polynôme générateur G(x )
Le générateur doit avoir le bit de poids fort et le bit de poids
faible à 1
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Pour calculer le CRC d’une trame de m bits correspondant au

polynome M(x ), il faut que la trame soit plus longue que le
polynôme générateur
Le principe est de concaténer un CRC à la fin de la trame de
sorte que la trame résultante soit divisble par G(x )
Quant le récepteur recoit une trame, il la divise par G(x ), si le
reste de la division n’est pas nul alors il y a erreur de
transmission.
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1 Soit r le degrés de G(x ), ajouter r bits à 0 après le bit de

poids faible de la trame, la trame résultante contient ainsi
m + r bits elle correspond au polynome x r M(x )
2 Effectuer la division du polynome x r M(x ) par G(x )
3 Soustraire le reste de la division de la chaine de bits
correspondant au polynome x r M(x ).
4 Le résultat de cette opération et la trame envoyée au
destinataire. Appelons T (x ) le polynôme correspondant
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Exemple 1 :Supposons que nous voulons envoyer la trame
1101011111 avec un générateur de code 10011
1 1 0 1 0 1 1 1 1 1 0 0 0 0
1 0 0 1 1
0 1 0 0 1 1
1 0 0 1 1
0 0 0 0
0 1 1 1 1 0
1 0 0 1 1
0 1 1 0 1 0
1 0 0 1 1
0 1 0 0 1 0
1 0 0 1 1
0 0 0 0 1 0
1 1 0 1 0 1 1 1 1 1 0 0 1 0
T(x) =
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1 1 0 1 0 1 1 1 1 1 0 0 1 0
1 0 0 1 1
0 1 0 0 1 1
1 0 0 1 1
0 0 0 0 0 1 1 1 1 0
1 0 0 1 1
0 1 1 0 1 0
1 0 0 1 1
0 1 0 0 1 1
1 0 0 1 1
0 0 0 0 0 0
T(x) transmis est correcte
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Exemple 2 :Trame : 1010010111 Code : 10111 Quelle est la trame

envoyée. Expliquer comment au niveau du récepteur, on pourra
savoir que la trame est reçu correctement.
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Notions élémentaires
Portée/Rayon
Etendue ou un paquet est reçu avec succès s’il n’ y a pas
d’interférences. Cette étendue dépend de la puisssance de
transmission et de l’atténuation du signal.
Emetteur
Figure – Portée departement.png

Rayon de détection
Etendue ou le signal de l’émetteur peut être détectée avec un
signal pas siffamment puissant pour le décoder.
Emetteur
Figure – Détection de porteuse

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Les interférences
Les interférences dans les communications radio peuvent être
causées par des transmissions simultanées par deux ou plusieurs
sources partageant la même bande de fréquence.
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Les interférences
Les interférences dans les communications radio peuvent être
causées par des transmissions simultanées par deux ou plusieurs
sources partageant la même bande de fréquence.
Atténuation rapide du signal

Le signal est rapidement atténué en fonction de la distance, ce qui
rend impossible la détection d’une collision pour un nœud émetteur
au moment ou il transmet
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Figure – Atténuation rapide di signal
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Couche MAC
Couche MAC
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Couche MAC
Couche MAC
La couche MAC de 802.11 peut utiliser deux modes de

fonctionnement :
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Couche MAC
Couche MAC

fonctionnement :
Distributed Coordination Function DCF

est un mode qui peut être utilisé par tous les mobiles, et qui permet
un accès équitable au canal radio sans aucune centralisation de la
gestion de l’accès (mode totalement distribué). Ce mode peut
aussi bien être utilisé en mode ad hoc qu’en mode infrastructure.
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Couche MAC
Couche MAC

fonctionnement :
Distributed Coordination Function DCF

est un mode qui peut être utilisé par tous les mobiles, et qui permet
un accès équitable au canal radio sans aucune centralisation de la
gestion de l’accès (mode totalement distribué). Ce mode peut
aussi bien être utilisé en mode ad hoc qu’en mode infrastructure.
Point Coordination Function

est un mode dans lequel les stations de base ont la charge de la
gestion de l’accès au canal dans leur zone de couverture pour les
mobiles qui leur sont rattachés.
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Couche MAC
Couche MAC
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Couche MAC
Couche MAC
Dans les réseaux ad hoc multi-sauts, il n’y a pas de stations de

base fixes et c’est donc le mode DCF qui sera employé.
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Couche MAC
Couche MAC

Carrier Sense Multiple Access / Collision Avoidance (CSMA/CA)

La première caractéristique de la couche MAC de 802.11 est donc
d’utiliser des acquittements pour détecter ces collisions et
permettre la retransmission des paquets qui ont été perdus
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Couche MAC
Couche MAC


La première caractéristique de la couche MAC de 802.11 est donc
d’utiliser des acquittements pour détecter ces collisions et
permettre la retransmission des paquets qui ont été perdus

en l’absence d’acquittement, l’émetteur sait qu’il doit
retransmettre.
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Couche MAC
Couche MAC
L’idée retenue pour 802.11 est donc :
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Couche MAC
Couche MAC

Lorsque le canal devient libre, avant toute chose, il faut qu’il
le reste pour une période DIFS
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Couche MAC
Couche MAC

Après le DIFS, si le canal est resté libre durant toute cette
période, alors les mobiles qui veulent émettre choisissent un
backoff aléatoire exprimé en un nombre de time slots d’une
durée fixe de 20 micro secondes
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Couche MAC
Couche MAC

Le backoff est choisi au hasard dans un intervalle appelé
Contention Window (CW) émission
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Couche MAC
Couche MAC

Le backoff est choisi au hasard dans un intervalle appelé
Contention Window (CW) émission
Celui qui a choisi le plus petit backoff va commencer à
émettre, et les autres vont alors se rendre compte qu’il y a à
nouveau de l’activité sur le canal et vont attendre.
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Couche MAC
Couche MAC
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Couche MAC
Couche MAC
Prenons l’exemple ou de stations source 1 et source 2 choisissent

respectivement 3 et 5.
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Couche MAC
Couche MAC
Prenons l’exemple ou de stations source 1 et source 2 choisissent

respectivement 3 et 5.
le SIFS doit être plus court que DIFS departement.png

Couche MAC
Le mécanisme du backoff
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Couche MAC
Mais à chaque collision consécutive, la taille de la fenêtre va

doubler afin de diminuer les chances que de telles collisions se
répètent.
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Couche MAC

répètent.
D’ou algorithme du BEB(Binary Expomential Backoff)
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Couche MAC

répètent.
D’ou algorithme du BEB(Binary Expomential Backoff)
Aussi, si une collision se produit quand même (détectée grâce
à l’absence d’acquittement), un nouveau backoff va être tiré
au hasard.
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Le mécanisme RTS/CTS
Ce mécanisme propose l’utilisation des paquets de contrôle

appelés Request To Send (RTS) et Clear To Send (CTS)
Un mobile qui veut émettre ne va plus directement envoyer
son gros paquet de données, mais plutôt un petit paquet RTS
pour lequel les risques de collision sont plus faibles.
A ce paquet RTS, le destinataire va répondre par un petit
paquet CTS qu’il diffuse à tout son voisinage
Au niveau des mobiles, la réservation du canal est
implémentée grâce au Network Allocation Vector (NAV).
Dans chaque nœud, le NAV indique pour combien de temps le
canal est utilisé par un autre nœud
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Les paquets RTS et CTS contiennent des informations qui

permettent de réserver le canal pour la durée de transmission
des données qui vont suivre
Un mobile qui reçoit un CTS alors qu’il n’a pas envoyé (ni
même détecté de RTS) sait que quelqu’un d’autre va émettre
et doit donc attendre.
Le mobile qui a envoyé le RTS sait, quand il reçoit le CTS
correspondant, que le canal a été réservé pour lui et qu’il peut
émettre.
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Station cachée
La station A transmet à la station B. La station C veut
transmettre à la station B. Comme le signal de n’arrive pas à la
station C car cette dernière n’est pas dans la portée de A donc la
station C commence à émettre ce qui conduit à une interférence au
niveau de la station B
Figure – Station cachée

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Station exposée
La station B est en train de transmettre à la station A. La station
C veut transmettre à la station D, elle écoute le canal elle détecte
de l’activité elle s’abstient. Pourtant si elle transmet il n’y aura pas
d’interférence car la station C est un émetteur.
Figure – Station exposée
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Couche réseau
Les services fournis à la couche transport sont de deux types :

L’un représenté par la communauté de l’internet qui part du
principe qu’un réseau manque intrinsèquement de fiabilité
quelle que soit sa conception et donc les hôtes doivent assurer
eux-mêmes le contrôle d’erreurs et la régulation des flux.
l’autre par les opérateurs de télécommunications. Pour eux la
qualité de service est primordiale et que sans connexion elle
serait difficile à atteindre surtout pour des trafic à temps réel.
Donc un réseau doit fournir un service fiable en mode
connecté
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Couche réseau
Sans connexion
Les paquets sont introduits dans le réseau individuellement
Ils sont routés indépendamment les uns des autres
Dans ce type de services, les paquets sont appelés
datagrammes(Par analogies aux télégrammes)
On parle de réseaux de datagrammes
Avec connexion
Dans le mode connecté, un chemin entre le routeur source et
le routeur de destination doit être établi au préalable
Cette connexion porte le nom du circuit virtuel(Par analogie
au circuits physiques des réseaux téléphoniques)
On parle de réseaux de circuits virtuels departement.png
Couche réseau
Service sans connexion
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Couche réseau
Service sans connexion
Chaque routeur contient une table interne de routage qui

indiquent les lignes sur lesquelles les paquets doivent être
acheminés pour une destination donnée
Une table de routage contient des entrées (adresses de
destinations) et les lignes qu’il faut choisir pour les atteindre
L’algorithme qui gère les tables et prend des décisions
s’appelle algorithme de routage.
Le protocole IP (Internet Protocol) qui est à la base d’internet
est un exemple de service réseau sans connexion.
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Couche réseau
Service avec connexion
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Couche réseau
Service avec connexion
Chaque table de routage contient une entrée et une sortie.

l’entrée de chaque table contient la provenance et le circuit du
paquet
La sortie contient ou la prochaine destination et le numéro du
circuit virtuel
Pour éviter les conflits, les routeurs peuvent changer les
identifiants des circuits virtuels
Ce qui est appelé commutation par étiquette (label switching)
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Couche réseau I
Réseaux de datagrammes versus réseaux de circuits virtuels
Phase d’ablissement Nécessaire pour les réseaux de circuits virtuels

mais pas pour ceux de datagrammes.
Adressage Chaque paquet contient les adresses complètes de la
source et de la destination pour les réseaux
datagrammes alors que chaque connexion requiert
des informations d’identifications de circuit dans la
table de routage dans les réseaux de circuits virtuels
Routage Chaque paquet est routé indépendamment pour les
datagrammes alors que la route est choisie pendant
l’établissement du circuit virtuel pour les réseaux de
circuits virtuels.
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Couche réseau II
Réseaux de datagrammes versus réseaux de circuits virtuels
Impact d’une panne de routeur Aucun pour les réseaux de

datagrammes sauf les paquets perdus pendant
l’incident alors que pour les réseaux de circuits
virtuels, tous les circuits passant par un tel routeur
sont supprimés
Qualité de service Difficile dans les réseaux de datagrammes et
facile dans les réseaux de circuits virtuels
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Algorithme du plus court chemin
Chaque réseau est représenté par un graphe tel que les noeuds
représentent les routeurs et les segments les lignes de
communication.
L’algorithme utilise comme donnée le graphe pour trouver le
chemin le plus court entre deux routeurs du réseau.
En général, on associe aux segments un certain ensemble de
paramètres tels que : la distance géographique, la bande
passante, du coût des communications, des délais etc...
L’algorithme calcule le chemin le plus court selon l’un de ces
critères ou une combinaison de critères.
Chaque nœud est étiqueté (valeur entre parenthèse) avec sa
distance par rapport à un nœud source
departement.png
Pour expliquer le fonctionnement de l’algorithme d’étiquetage,

considérons la figure suivante :
Nous voulons trouver le plus court chemin de A à D. Les poids departement.png

Algorithmes de routage I
1 Tout d’abord le noeud A est marqué comme permanent, ce

qui est signalé par un cercle plein.
2 Chaque nœud qui est adjacent à A est analysé puis étiqueté
provisoirement avec sa distance par rapport à lui
3 Lorsque l’étiquette d’un noeud est modifiée on inscrit
également le nœud à partir duquel le calcul est réalisé afin de
pouvoir reconstruire le parcours final.
4 Une fois tous les nœuds adjacents à A sont traités, toutes les
étiquettes provisoires sont examinées, l’étiquette portant la
valeur la plus basse devient permanente et son nœud devient
le nouveau nœud actif.
departement.png
Algorithmes de routage II
5 Nous partons maintenant du nouveau nœud actif soit B. Si la

somme de la valeur de l’étiquette de B et de la distance qui le
sépare du nœud considéré est inférieure à la valeur de
l’étiquette de ce noeud, nous avons un chemin plus court est
l’étiquette de ce noeud est modifiée.
6 Une fois les nœuds adjacents à B sont examinés, le noeud
ayant la plus petite étiquette devient permanent. Et ainsi de
suite
departement.png
Reprenons l’exemple précédent
departement.png
Routage par innondation
Un algorithme distribué
Chaque paquet entrant est envoyé sur chaque sortie à
l’exception de celle par laquelle il est arrivé
Une possibilité dé limiter le nombre de paquets dupliqués est
d’inclure un compteur de sauts dans l’entête de chaque
paquet, dont la valeur est décrémentée à chaque saut
le paquet est éliminée lorsque la valeur est nulle
le cas idéal, le compteur doit être initialisé avec la valeur du
nombre de sauts entre la source et la destination
Sinon,il est initialisé avec la valeur du cas le plus
défavorable(le plus grand diamètre du réseau).
La meilleure facon d’eviter ces duplications est l’utilisation
d’un numéro de séquence. departement.png
Chaque table maintient sa propre table de routage lui

indiquant la meilleure distance vers chaque destination et lien
à utiliser dans ce cas.
Les informations reçues des routeurs voisins lui permettent de
mettre à jour régulièrement sa table de routage
Cette technique est également appelée algorithme de routage
de Bellman Ford.
Chaque routeur maintient une table de routage indexée
contenant une entrée par routeur.
Chaque entrée est composée de deux parties :La ligne de
sortie vers la destination et la distance ou le temps estimé vers
cette dernière.
departement.png
Le routeur est supposé connaître les distance vers chacun des

routeurs adjacents
Si la métrique est le nombre de saut la distance est 1.
Si la métrique est le délai de propagation, le routeur peut la
mesurer en envoyant des paquets ECHO que le destinataire
retourne avec des informations de temps.
departement.png
Exemple de Routage à vecteur de distance
departement.png
Solution Exemple de Routage à vecteur de distance
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Routage à état de lien
Chaque routeur doit réaliser les actions suivantes :

Définition des coûts de lien
Distribution des paquets d’état de lien
Calcul de nouvelles routes
departement.png
Lorsqu’un routeur démarre, il commence par connaître les

identités de ses voisins
Pour cela, il envoie un paquet de contrôle HELLO sur chacune
de ses sorties
Tous les routeurs recevant ce paquet HELLO doivent répondre
pour se présenter
departement.png
Définition des coûts des liens
Chaque lien possède une métrique de distance ou de coût

pour trouver le chemin le plus court.
Pour prendre en charge le délai des liens, un routeur envoie
sur une ligne un paquet ECHO spécial
le routeur situé à l’autre bout, renverra immédiatement ce
paquet.
En mesurant le temps du trajet aller-retour divisé par deux,
chaque routeur a une estimation raisonnable de délai.
departement.png
Le routeur construit un paquet contenant toutes les données à

transmettre :
1 L’identité de l’émetteur
2 un numéro de séquence
3 un age
4 une liste des voisins
5 le cout pour attendre chaque voisin
departement.png
departement.png
Exercie 1
Déduire la table de routage de J, la table a trois colonnes. La
destination, la distance vers la destination et le prochain routeur.
departement.png
Exercie 2
Chercher le plus courts chemin de A à H.
departement.png

Reseau

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Modèle de référence OSI Couche liaison de données MAC IEEE 802.

Département d’informatique, université de Béjaia

Un seul ordinateur (une seule entité) peut-il constituer un réseau ?

Considérons le réseau de la figure suivantes :

Deux questions se posent :

Questions : Comment les données sont acheminées de l’ordinateur

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Considérons la figure suivante dans laquelle la station A sollicite

Considérons la figure suivante dans laquelle la station A sollicite

Enfin terminons avec la question suivante :

Enfin terminons avec la question suivante :

Couche physqie Permet la transmission des éléments binaires

Couche transport Elle s’appuie sur la couche réseau pour assurer

Fonctions de la couche liaison de données

Fonctions de la couche liaison de données

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1 Offrir une interface de services à la couche réseau

Fonctions de la couche liaison de données

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1 Service sans connexion et sans accusé de réception

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1 La machine source envoie des trames à une machine

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1 La machine source envoie des trames à une machine

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1 La machine source envoie des trames à une machine

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1 La machine source envoie des trames à une machine

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1 plus fiable que le service précédent

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