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Résumé de arria marcella

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pour la première fois avec le sous-titre “Souvenir de Pompéi”. Découvrons ensemble cette nouvelle à la fois fantastique et romantique. Résumé détaillé d’Arria Marcella de Théophile Gautier Un amour rétrospectif Trois jeunes amis, Fabio, Max et Octavien, font un séjour en Italie. L’histoire s’ouvre lorsqu’ils visitent le musée Studj à Naples qui réunit
différents objets que l’on a retrouvés lors des fouilles de Pompéi et d’Herculanum. Octavien est alors attiré par le moulage d’une femme, trouvé dans la maison d’Arrius Diomèdes, qui a été ensevelie sous les cendres. Perdu dans ses songes, il ne voit pas arriver ses deux amis qui se mettent à se moquer gentiment de lui. Ils prennent le chemin de fer
pour se rendre à Pompéi. Pendant qu’ils découvrent la ville avec un guide, Max et Fabio prennent la visite à la légère contrairement à Octavien qui semble être plus touché par ceux qui sont morts il y a plus de deux mille ans. Au cours de leur visite, le guide les emmène voir la maison d’Arrius Diomèdes, l’une des habitations les plus grandes de la
ville.
Après avoir inspecté les étages supérieurs ainsi que les jardins, le cicérone les emmène aux parties inférieures où ils découvrent l’endroit exact où on a découvert dix-sept squelettes dont l’empreinte de la dame qu’a vu Octavien à Naples. Celle-ci avait des “anneaux d’or, et les lambeaux de sa fine tunique adhéraient encore aux cendres tassées qui ont
gardé sa trace.”.
En voyant le lieu, Octavien se contient pour ne pas montrer l’émotion que cela suscite en lui. Il est attristé de la mort de cette femme comme s’il s’agissait d’une amie ou de sa maîtresse. Il laisse tomber une larme pour cette dame qu’il aime d’un” amour rétrospectif”. À chacun son style de femme Fabio montre son agacement et témoigne son envie
d’aller se restaurer, suivi par Max. Vis à vis de cette conversation gastronomique, Octavien est sourd. Il regrette de ne pas avoir été là pour cette femme afin de la secourir et de mériter son amour. Les trois amis se dirigent vers le chemin de l’hôtellerie. En arrivant, Fabio prévient leurs hôtes qu’ils se fichent d’une belle décoration. Ils souhaitent
simplement savoir quel bon vin ils ont à leur proposer. Le “palforio” leur montre plusieurs vins dont le vin de Falerne.
Les trois convives optent pour cette bouteille. Puis après un repas bien alcoolisé, les trois amis commencent à échanger leur goût en matière de femme. Fabio n’aime que les femmes, à la fois jeune et belle, et ce, peu importe leur rang ou leurs titres. Max, quant à lui, préfère les entreprises difficiles. Il apprécie que les femmes lui résistent. Quand il
réussit enfin à avoir ce qu’il veut, il s’en lasse et il se met à chasser une nouvelle proie. Octavien n’est pas séduit par la réalité. Il est beaucoup plus poétique qu’amoureux, “comme Faust, il avait Hélène”. Il aurait aimé que ces femmes illustres, dont il a composé un sérail idéal, puissent être encore présentes aujourd’hui. Fabio comprend encore mieux
l’excitation de son ami devant cette empreinte à la vitrine des Studj. Max et Fabio regagnent leur chambre pour aller dormir tandis qu’Octavien sort prendre l’air, obsédé par cette femme vue au musée Studj de Naples. Le voyageur du temps Au fur et à mesure qu’il s’engouffre dans l’obscurité, Octavien croit percevoir des ombres et entendre des
voix. S’il pense dans un premier temps qu’il s’agit de ses amis, il se rend vite compte qu’une maison est en très bon état alors qu’il l’a vu quelques heures plus tôt en mauvais état. De plus, le soleil commence à se lever alors qu’il est minuit sur sa montre. Il voit un homme aux cheveux courts et à la barbe rasé sortir d’une maison voisine vêtu d’une
tunique et d’un manteau grisâtre. Il entend les bruits de roues d’un char antique, il voit circuler des paysans campaniens. Tous ont l’air de le regarder d’un air étrange. Il se demande s’il n’est pas en train de rêver. En regardant une inscription sur une muraille, il se rend compte qu’il a remonté le temps jusqu’en l’an 79 de notre ère, soit au
commencement du règne de Titus. Il est heureux, car il sait que cette fameuse femme qu’il a vue au musée Studj est encore vivante. Rufus Holconius En se baladant dans les rues, il tombe sur un jeune homme de son âge qui se présente à lui en latin, malgré son étrange accoutrement. Octavien se sent heureux de pouvoir mettre à profit cette langue
morte qu’il a pu apprendre.
En entendant son accent parisien, le jeune homme propose de converser en grec. Octavien lui explique qu’il vient de Gaules. Le jeune homme se présente sous le nom de Rufus Holconius.
Ce dernier est étonné par l’étrange costume porté par Octavien qu’il n’a jamais vu lorsqu’il est allé en Gaules.
Octavien préfère ne pas lui révéler qu’il vient d’un autre temps. Rufus amène Octavien voir une comédie au théâtre, celle de Casina. Au cours de la représentation, Octavien se rend compte qu’une des comédiennes est la femme qu’il a vue au musée, cette dame qu’il désirait tant voir et dont il est tombé amoureux. Cette dernière ne cesse de le
regarder. Après la représentation, Tyché Novoleja, l’esclave d’Arria Marcella fille d’Arrius Diomèdes, demande à Octavien de la suivre, car sa maîtresse est amoureuse de lui et souhaite le voir. La rencontre Tyché emmène Octavien vers la maison de sa maîtresse et il y voit Arria Marcella, la femme qu’il a vue au musée, allongée sur une banquette.
Elle l’invite à prendre part au dîner.

Elle lui explique que l’amour qu’il a éprouvé pour elle en regardant son empreinte au musée lui a permis de reprendre vie, car jamais personne ne l’a jamais aimé de cette façon. Octavien est persuadé que c’est elle qu’il a attendu toute sa vie considérant qu’il n’aimera “jamais que hors du temps et de l’espace.”. Les deux amants commencent à
s’embrasser lorsqu’Arrius Diomèdes, le père d’Arria, entre dans la pièce. Il se dispute avec elle considérant que sa vie s’est déjà passée et qu’elle doit arrêter d’empiéter sur la vie des vivants. Voyant que sa fille ne souhaite nullement abandonner Octavien, il se met à prononcer une formule d’exorcisme qui réduit sa fille en ne laissant que des
ossements calcinés ainsi que des bijoux. Octavien s’évanouit dans une maison en ruine et le vieillard disparaît. Retour au XIXe siècle Max et Fabio se réveillent. Voyant qu’Octavien ne répond pas lorsqu’ils l’appellent, ils se dirigent vers sa chambre et constatent que le lit n’a pas été défait. Ils décident de partir à sa recherche, aidés du cicérone. Ils
finissent par le retrouver à demi écroulé dans une maison.

Lorsqu’il revient à lui, il leur explique qu’il a été pris d’une syncope en ayant voulu observer Pompéi au clair de lune. Les trois amis retournent à Naples. Max et Fabio décident d’entraîner leur ami dans un ballet pour voir une danseuse en vogue, Amalia Ferraris. Au cours de la représentation, Octavien est dans ses songes, il ne cesse de penser à Arria
Marcella. Il décida de retourner secrètement à Pompéi, mais il ne retrouva ni Rufus, ni Tyché et encore moins Arria. Il finit par épouser une jeune et charmante anglaise qui, bien qu’amoureuse, se doutait qu’il fût amoureux d’une autre femme. Toutefois, comment pouvait-elle savoir que son mari portait un amour pour une femme morte, il y a plus de
deux mille ans ? Présentation des personnages Les personnages du XIXe siècle Octavien est un jeune homme très cultivé. Il a appris le latin à l’Université et est très heureux de pouvoir l’utiliser. Il est séduit par les femmes les plus célèbres et les plus belles du passé telles qu’Hélène de Troie, Cléopatre ou encore Arria Marcella, cette femme qu’il voit
au musée Studj.

Il est persuadé que la femme dont il est amoureux n’appartient pas à son époque.
Lorsqu’il rencontre Arria Marcella, il le sait dès le premier regard : c’est elle ! Mais leur idylle ne sera que de courte durée. Il finit par épouser une jeune et belle Anglaise. Fabio est l’un des meilleurs amis d’Octavien. Il apprécie les femmes qui sont belles et jeunes peu importe qu’elle soit servante ou duchesse. Très jovial, il n’hésite pas à faire des
blagues ou à montrer son intérêt pour celle qu’il convoite comme lorsqu’ils arrivent à l’hôtel de Pompéi :”Envoyez-nous plutôt la liste de vos vins par cette belle brune, aux yeux de velours, que j’ai aperçue dans l’escalier.” Max est aussi jovial et plaisantin que Fabio, c’est également le meilleur ami d’Octavien. C’est un chasseur de femme qui aime que
les conquêtes lui résistent. Lorsqu’il a séduit une femme, il s’en lasse et il passe à la prochaine. Le cicérone est le guide qui les accompagne durant la visite de Pompéi. Les personnages de l’an 79 Rufus Holconus est un beau jeune homme qui a sensiblement le même âge qu’Octavien. Quand ce dernier le rencontre, il est habillé d’une tunique de
couleur safran drapé d’un manteau de laine blanche. C’est grâce à lui qu’Octavien rencontre Arria Marcella. Arria Marcella est une femme ayant des cheveux “ondés et crespelés” de couleur aussi noir que la nuit. Le teint mat, elle dispose de yeux à la fois noir et doux. Cette comédienne est la fille d’Arrius Diomèdes. Elle croit aux anciens dieux et si
elle apparaît devant Octavien, c’est grâce à l’amour qu’il éprouve pour elle. Son père la fait disparaître en prononçant une formule d’exorcisme. Arrius Diomèdes est un homme fortuné. Ce vieillard est las des agissements de sa fille. Apparemment, ce n’est pas la première fois qu’elle empiète sur la vie des vivants et il décide de mettre fin à ses
agissements une bonne fois pour toutes. Il l’a réduit en cendres avant de disparaître à son tour. Analyse de l’oeuvre Une oeuvre romantique et fantastique À mi-chemin entre le romantique et le fantastique, cette nouvelle de Théophile Gautier traite d’un jeune homme, Octavien, qui fuit la réalité de son monde lorsqu’il découvre l’empreinte d’une
femme au musée Studj. Dans Arria Marcella, l’amour est plus fort que tout, au point de dépasser le temps et l’espace, l’œuvre se concentre essentiellement sur les sentiments ressentis par Octavien en voyant Arria Marcella. Le fantastique souligne cet amour en dehors du temps en laissant place à la magie. En effet, comme le dit très bien Arria
Marcella :”lorsque tu t’es arrêté au Studj à contempler le morceau de boue durcie qui conserve ma forme […] et que ta pensée s’est élancée ardemment vers moi, mon âme l’a senti dans ce monde où je flotte invisible pour les yeux grossiers : la croyance fait le dieu, et l’amour fait la femme. On n’est véritablement morte que quand on est plus aimée,
ton désir m’a rendu la vie, la puissante évocation de ton cœur a supprimé les distances qui nous séparaient.”. Ainsi, Arria Marcella est revenue à la vie grâce à l’amour d’Octavien. Le fantastique de cette nouvelle est donc étroitement lié au romantique de cette histoire. Deux époques, deux mondes séparés Lorsqu’Octavien est propulsé deux mille ans
en arrière, il se rend vite compte que les passants le regardent étrangement : “Le bouvier aperçut Octavien et parut surpris”, “la vue d’Octavien, coiffé de l’affreux chapeau moderne, sanglé dans une mesquine redingote noire, les jambes emprisonnées dans un pantalon, les pieds pincés dans des bottes luisantes, parut surprendre le jeune Pompéien.”.
Face à ces hommes vêtus de toges et de tuniques, Octavien dépareille clairement, et ce, même s’il est à la mode au XIXe siècle. D’ailleurs, s’il pense à vouloir faire comprendre au jeune Pompéien que la mode a bien changé entre leur époque et son époque, il se ravise. Sous les traits d’Arria Marcella, Théophile Gautier cherche à illustrer cette époque
où l’amour et la sensualité fusionnent sans culpabilité. Arria Marcella incarne une civilisation à la fois perverse et innocente où les “anciens dieux” acceptaient l’art et le plaisir comparé à cette nouvelle religion du XIXe siècle, le christianisme où la morale est implacable. De la même façon que le paganisme a été annihilé par la foi chrétienne, le
bonheur païen illustré par Arria Marcella est foudroyé par le christianisme. D’ailleurs, nous voyons clairement cette opposition lorsque la fille et le père conversent ensemble. Arria Marcella demande à son père de ne pas l’accabler “au nom d’une religion morose” qui n’a jamais été la sienne. Elle ne croit qu’aux anciens dieux ceux qui “aimaient la vie,
la jeunesse, la beauté, le plaisir”. Son père lui répond : “Tais-toi, impie, ne me parle pas de tes dieux qui sont des démons. Laisse aller cet homme enchaîné par tes impures séductions ; ne l’attire plus hors du cercle de sa vie que Dieu a mesurée ; retourne dans les limbes du paganisme avec tes amants asiatiques, romains ou grecs.” Télécharger cette
fiche de lecture en PDF Fabio, Max et Octavien, trois jeunes hommes cultivés et insouciants, de ceux que l’on commence à nommer des touristes en ce XIXe siècle, parcourent gaiement l’Italie.
Pour l’heure, c’est le Sud du pays qu’ils visitent, la région de Naples plus précisément. Le lecteur les découvre arpentant les couloirs du musée des Studj, où sont conservés maints vestiges de Pompéi et d’Herculanum, deux villes victimes de l’éruption du Vésuve en 79 de notre ère. Les jeunes gens vont de vitrine en vitrine sans trop s’attarder, à
l’exception d’Octavien qui tombe en arrêt devant un morceau de cendre noire qui révèle en creux l’empreinte d’un sein de femme au galbe parfait. Il tombe en contemplation devant ce fragment de beauté, qui a été trouvé dans la villa d’Arrius Diomèdes à Pompéi. Ses deux compagnons le tirent de sa rêverie et tous trois prennent le train à destination
de Pompéi dont ils comptent visiter les ruines. Une fois arrivés à la ville morte, ils louent les services d’un guide qui leur fait parcourir les rues de la ville antique figée, dans son dernier instant, par la cendre du volcan. Le guide récite u 956 mots | 4 pages Publiée pour la première fois en 1852 et sous-titrée "Souvenir de Pompéi", "Arria Marcella" est
une nouvelle fantastique dont l'histoire se déroule en Campanie, dans la ville de Pompéi. Trois amis sont en vacances en Italie et lors d'une visite au musée de Naples, suivie de celle de la citéde Pompéi, Octavien tombe amoureux d'une jeune femme en voyant sa silhouette, particulièrement le galbe de son sein, prisonnière à jamais de la cendre. Car
oui, cette femme est morte depuis très longtemps, elle a péri dans l'éruption du Vésuve de 79 après Jésus Christ. Après un dîner bien arrosé, Octavien retourne en fraude sur le site pour y passer la nuit, c'est alors qu'il traverse le temps pour se retrouver en 79 après JC, quelques temps avant l'éruption. Théophile Gautier a choisi d'ancrer sa nouvelle
fantastique dans le réel, le vérifiable.….

523 mots | 3 pages Lecture analytique: Arria Marcella Enjeu du texte: Assurer le passage de la réalité au fantastique (surnaturel) lors de la visite d'Octavien dans Pompéi qui renait. I La résurrection de la ville de Pompéi Comment la ville se métamorphose t-elle ? Octavien se promène à Pompéi la nuit et se rend à l'entrée de la ville morte. A partir de
ce moment on observe des éléments fantastiques.…. 349 mots | 2 pages Cette atmosphère est fantastique car il dit, voir sur le bord de la passerelle, des langues de feu et du sang. . Le tableau exprime une hésitation fantastique car on ne sait pas de quoi le personnage a peur. . Ce tableau exprime plusieurs sentiments comme l’angoisse, la peur,
l’étrangeté, ainsi que d’autres sentiments de confusions.…. 787 mots | 4 pages La nouvelle fantastique : un genre et un registre qui attirent. Le genre de la nouvelle attire le lecteur, car en raison de sa brièveté il sait qu’il pourra la lire d’une traite et parce qu’il s’attend à être surpris par une chute imprévisible. Dans une œuvre fantastique, il y a
irruption du surnaturel ou de l’irrationnel dans un récit qui imite la réalité. Ce registre provoque la peur, l’angoisse, du lecteur, qui hésite entre une explication rationnelle ou irrationnelle.…. 1669 mots | 7 pages Trois jeunes gens visitent les ruines de Pompéi. L'un d'eux, Octavien, aperçoit la silhouette d'une jeune femme à jamais prisonnière de la
cendre. Le soir, après un dîner bien arrosé, Octavien se promène seul dans la ville. Il se rend compte qu'il ne se promène pas dans une ville morte, mais jeune, sur laquelle ne sont pas passées les cendres et la lave brûlante du Vésuve.…. 538 mots | 3 pages Il reporte les faits tout simplement. Comme exemple d'auteur de nouvelles réalistes : Guy de
Maupassant. -La nouvelle fantastique mêle le réel et le surnaturel. Le point de départ de la nouvelle fantastique est réaliste, puis interviennent des éléments surnaturels qui ont été annoncés par divers indices. Certains lieux( paysage lugubre, lieu isolé)…. 1030 mots | 5 pages Certains prétendent que le fantastique s'inscrirait dans un rapport de
contiguïté avec le genre merveilleux mais il s'en distingue largement par au moins deux choses: FANTASTIQUE MERVEILLEUX Le fantastique a pour cadre le monde réel. Et même absolument réel. Nous entendons par cela que planter un décor qui n'a rien d'étrange permet un effet encore plus saisissant. La deuxième et énorme différence entre les
deux genres se situe au niveau du déroulement final des récits. La fin d'un récit fantastique est bien souvent épouvantable.…. 797 mots | 4 pages Le registre fantastique fait basculer le lecteur dans un univers étrange qui n’obéit pas aux lois logiques du quotidien.
Le registre fantastique exprime les inquiétudes et les terreurs que partagent les personnages qui y vivent. Parfois, dans l’univers quotidien, un ou plusieurs faits ne peuvent s’expliquer par les lois du monde familier. Une sorte de malaise ou de questionnement habite le lecteur à savoir si ces faits sont de l’ordre du réel ou de l’ordre du surnaturel.….
1007 mots | 5 pages De ce faite il décrit le père comme une personne de jovial et sa femme comme une personne calme et insouciantes. Il dit aussi que leur fils est aux armés. Il parle aussi de la composition de la famille avec le père, la mère, les deux filles et la vieille servante. Les histoires qui s'appuie sur le fantastique peuvent donc avoir comme
objectif de nous ancrer dans le réel avant les événements inquiétants.…. 801 mots | 4 pages Le Fantastique : Le récit fantastique se caractérise d'abord par l'irruption de l'insolite, de l'inexplicable dans e quotidien. Il fait ressortir les aspects étranges, inquiétants de la réalité ou de phénomènes ressentis comme des manifestations du surnaturel sans
qu'il sois permis au lecteur de démêler le possible de l'impossible, le réel et l'irréel , le rationnel et l'irrationnel. En se propageant à mesure que le récit avance, l'évènement fantastique mine la réalité et fait naître la peur.…. 583 mots | 3 pages Les comparaisons sont suggérées par les apparences du personnage de la tapisserie. L’autre procédé
d’écriture est l’emploi des verbes ou des expressions évoquant une transformation : bien pis, devenait, ressortait plus étrangement.4. Le fantastique est explicité par l’expression « chambre à revenants », on s’attend donc à voir surgir des fantômes. Le manoir est toujours plongé dans la pénombre, il n’est éclairé que par le feu de cheminée ou par une
petite lampe et les portraits sont assombris par la fumée (« enfumés ») ou de nature foncée (verdure sombre). Il n’y a aucun bruit à part celui du vent.…. 820 mots | 4 pages Le fantastique se distingue du merveilleux par l’hésitation qu’il produit entre le surnaturel et le naturel, le possible ou l’impossible et parfois même entre la logique et l’illogique.
Le merveilleux, au contraire fait appel au surnaturel dans lequel, une fois acceptés les présupposés d’un monde magique, les choses se déroulent de manière presque normale et familière. Le fantastique peut être utilisé au sein de divers genre : policier, science-fiction et merveilleux lui-même. Dans ce cas précis, nous nous concentrerons sur le genre
policier. Pour réussir à obtenir ce mélange du genre fantastique et du policer Arthur Conan Doyle a utilisé le champ lexical du fantastique.….
882 mots | 4 pages Le fantastique est très souvent lié à une atmosphère particulière, une sorte de crispation due à la rencontre de l’impossible. La peur est souvent présente, que ce soit chez le héros ou dans une volonté de l’auteur de provoquer l’angoisse chez le lecteur ; néanmoins ce n’est pas une condition sine qua non du fantastique. Par
extension, le fantastique définit également un genre cinématographique dont la signification est sensiblement la même (Cf. article cinéma fantastique). Genres apparentés et sous-genres…. 529 mots | 3 pages Les frontières entre la raison et la folie, la vie et la mort se brouillent. Les apparitions (fantômes, revenants, ou encoredouble du personnage)
se retrouvent souvent dans les textes fantastiques. De même, on constate que l'inanimé peut y prendre vie (objets ou morts-vivants qui s'animent comme dans le texte 5). Le lecteur peut se demander s'il s'agit d'hallucinations, thème suggéré dans le texte 3 avec le miroir qui semble contenir l'image de la personne disparue. Certains objets ou…. 260
mots | 2 pages Le fantastique est très souvent lié à une atmosphère particulière, une sorte de crispation due à la rencontre de l’impossible. La peur est souvent présente, que ce soit chez le héros ou dans une volonté de l’auteur de provoquer l’angoisse chez le lecteur ; néanmoins ce n’est pas une condition sine qua non du fantastique. Par extension, le
fantastique définit également un genre cinématographique dont la signification est sensiblement la même (Cf. article cinéma…. Arria Marcella Publication Auteur Théophile Gautier Langue Français Parution France, 1852dans la Revue de Paris Intrigue Genre genre fantastique Personnages OctavienArria MarcellaMaxFabioRufus HolconiusArrius
Diomède modifier Arria Marcella est une nouvelle fantastique de Théophile Gautier publiée pour la première fois le 1er mars 1852 et sous-titrée Souvenir de Pompéi dans la Revue de Paris[1]. Puis, dans Le pays, 24-28 août 1852.
Gautier l'a recueilli dans Un trio de romans, Victor Lecou, 1852, et dans Romans et contes, Charpentier, 1863. Résumé Trois jeunes gens, trois amis, Max, Fabio et Octavien, visitent les ruines de Pompéi au XIXe siècle. L'un d'eux, Octavien (le plus jeune des trois), lors d'une visite au Musée archéologique national de Naples, aperçoit la silhouette du
sein d'une jeune femme à jamais prisonnière de la cendre. Le soir, après un dîner bien arrosé, Octavien retourna seul dans la ville antique. Il se rend compte qu'il se promène dans la Pompéi antique, sur laquelle ne sont passées les cendres et la lave du Vésuve.
La ville vit et les habitants, dont l'accueillant Rufus Holconius, se rendent tous au théâtre. Et si la jeune femme qu'il avait vue dans le musée, prisonnière de la cendre, était encore en vie... La nouvelle évoque les contes d'Hoffmann, écrivain pour lequel Théophile Gautier ne cache pas son admiration. Elle a pu inspirer la nouvelle Gradiva de Wilhelm
Jensen, récit fantastique dont l'action se déroule également à Pompéi, et dont le narrateur raconte ses rêves inspirés par cette ville autrefois ensevelie sous les cendres. Cadre spatio-temporel L'histoire de Gautier se déroule dans la ville de Pompéi au XIXe siècle. La ville antique est donnée à voir au lecteur grâce à nombre de détails réalistes. L'auteur
s'applique à enrichir ses descriptions du lieu de détails réels, trouvant actuellement leur place à Pompéi afin d'ancrer le lecteur dans la réalité et mieux introduire les événements fantastiques à suivre. Ainsi, sont donnés le nom des maisons « la maison du taureau de bronze », « la maison du Faune », une mosaïque encore présente à Pompéi est décrite
« un molosse de Laconie, exécuté à l'encaustique et accompagné de l'inscription sacramentelle : Cave canem ». De plus, l'action se déroulera dans la Villa de Diomède, visible à Pompéi Regio IV, emplacement 18.
Relations avec l'au-delà[2] La politesse comme mode d'introduction au fantastique. Octavien rencontre un premier personnage, Rufus Holconius qui l'accueille avec bienveillance dans sa demeure et se propose de lui servir de guide dans ses déambulations futures dans les rues de Pompéi. Cette rencontre uchronique permet d'ancrer le personnage
d'Octavien dans l'au-delà et créer un commerce avec celui-ci.
Ainsi, cette introduction polie laissera place à d'autres scènes de la vie quotidienne (une comédie jouée au théâtre), d'autres personnages (un domestique allant faire ses courses) qui ne sembleront pas morts de façon « substantielle » mais victimes d'un « dérangement du temps ». Ainsi, c'est finalement l'au-delà qui se montre poli avec le personnage
réel et qui l'invite à entrer dans son monde. Toutes les rencontres ne se font pas de la même manière, une fois cette introduction polie faite, le personnage féminin d'Arria Marcella est beaucoup plus direct. Ainsi, lorsqu'après la représentation théâtrale, la servante commise aux plaisirs de sa maitresse demande à Octavien de la suivre « ma maitresse
vous aime, suivez-moi », Octavien, épris de la jeune femme, ne peut que la suivre jusqu'à la chambre à coucher de cette maitresse qui, sans un mot, lui fait signe « de s'asseoir à côté d'elle sur le biclinium » pour finalement annoncer le thème de la mort et de l'amour, présents dans cette nouvelle, par cette phrase : « On n'est véritablement morte que
quand on n'est plus aimée ». Publications Liste non exhaustive. Théophile Gautier, « Contes et récits fantastiques », éd.
Le Livre de poche, n°6895, pages 329 à 371. Notes et références ↑ Pierre Laubriet, Arria Marcella - Notice de Pierre Laubriet in Théophile Gautier Romans, contes et nouvelles, tome II, bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 2002, pp. 1276-1280 (ISBN 2-07-010672-1). ↑ Serge Zenkine, « Être poli avec l'au-delà », Romantisme, vol. 27, no 96,​ 1997,
p. 59–69 (DOI 10.3406/roman.1997.3207, lire en ligne, consulté le 7 mai 2019). Voir aussi Articles connexes Littérature fantastique Pompéi Liens externes Ressources relatives à la littérature : NooSFere (en) Internet Speculative Fiction Database Sur les autres projets Wikimedia : Arria Marcella, sur Wikisource Arria Marcella, Souvenir de Pompei,
nouvelle (1852). Arria Marcella, version audio Portail de la littérature française Portail de la fantasy et du fantastique Portail de la France au XIXe siècle Ce document provient de « .

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