Le débat nous permet de mettre en pratique notre esprit

critique. Nous ne pouvons pas être d'accord avec tout ce qui se

passe dans le monde, il y a des choses que nous aimons et des
choses que nous refusons. Donc avec le débat nous pouvons
connaître les idées des autres, donc nous ne gardons pas
seulement une idée, parfois nous pouvons changer notre opinion
parce que nous avons ignoré d'autres facteurs, parfois nous
renforçons notre idée.
El debate sirve para poner en practica nuestro pensamiento
crítico, no podemos estar de acuerdo con todo lo que pasar en
este mundo, hay cosas que nos gustan, hay cosas que no.

Bonjour et heureuse de vous retrouver Hola y encantado de verles en el

sur le plateau du Luxembourg
sustainability forum, dont l'édition cette
année vous l'avez noté, mais
particulièrement dédié aux questions de
la biodiversité. Alors c'est une rencontre
très particulière que nous les allons faire
désormais, celle de Marie, Monique,
Robin. Ce nom vous est probablement
familier puisque c'est celui d'une
journaliste d'investigation, d'une
réalisatrice et d'une autrice qui est
connue pour ne reculer devant aucun
obstacle. Ça méthode d'ailleurs lui a valu
le prix prestigieux Albert-Londres. On
retiendra bien évidemment le monde
selon Monsanto, mais aujourd'hui, le
sujet qu'il occupe tout particulièrement,
et celui de la biodiversité et celui des
liens qui unissent la biodiversité et la
santé humaine. Dans son livre la fabrique
des pandémies, paru cette année aux
éditions la découverte, elle signe un
constat sans appel, si rien n'est fait pour
enrayer la destruction des écosystèmes,
escenario del foro luxemburgués de la
sostenibilidad, cuya edición de este año,
como han podido comprobar, está
especialmente dedicada a las cuestiones
de biodiversidad. Así pues, a partir de
ahora vamos a tener un encuentro muy
especial, el de Marie, Monique y Robin.
Este nombre probablemente les resulte
familiar, ya que es el de una periodista
de investigación, directora y escritora
conocida por no retroceder ante ningún
obstáculo. Así es como ganó el
prestigioso Premio Albert-Londres. El
mundo según Monsanto es, por
supuesto, memorable, pero hoy el tema
que le preocupa especialmente es la
biodiversidad y los vínculos entre ésta y
la salud humana. En su libro La fabrique
des pandémies, publicado este año por
La Découverte, hace una afirmación
inequívoca: si no se hace nada para
detener la destrucción de los
ecosistemas, viviremos pandemias aún
mayores. Como de costumbre, Marie-
nous connaîtrons des pandémies de plus
grande ampleur encore. Comme à
l'accoutumée, Marie-Monique Robin se
consacre désormais à la réalisation de
son film documentaire car elle entend
convaincre par l'image et ce
documentaire je suis heureuse de vous
l'annoncer, vous aurez la chance de le
voir dès le printemps prochain en avant-
première au grand-duché, et c'est une
exclusivité. Mais d'ici là, entre 2
tournages, elle a accepté de répondre à
nos questions. C'était vendredi dernier à
Paris. Nous l'écoutons.
Marie-Monique Robin, Bonjour, Bonjour.
Alors c'est un ouvrage totalement
détonnant et extrêmement documenté
que vous signez ici avec la fabrique des
pandémies avec vous, nous partons à la
rencontre de de scientifiques de de haut
vol aux 4 coins du monde. Et finalement,
il converge tout. C'est à dire tout d'abord
que nous entrons dans une ère de de
pandémie, hein d'épidémie, de pandémie
même. Donc c'est affolant. Et puis
Deuxièmement que finalement on ne
peut pas réfléchir la santé humaine sans
une compréhension des écosystèmes.
Alors vous venez de des États-Unis, vous
repartez pour l'Éthiopie, vous allez à la
rencontre de ces scientifiques. C'est un
petit peu comme pour le monde selon
Monsanto, c'est-à-dire que vous allez
rassembler les lanceurs d'alerte pour
finalement porter haut et fort leur
propos. C'est ça votre signature ?
Oui, en tout cas, ce qui, ce qui est sûr,
c'est que j'ai interviewé 62 scientifiques
qui viennent des 5 continents, qui sont
Monique Robin se dedica ahora a la
realización de su película documental,
porque pretende convencer a través de
las imágenes, y me complace
anunciarles que tendrán la oportunidad
de verla la próxima primavera en un
preestreno en el Gran Ducado, y es una
exclusiva. Pero hasta entonces, entre
dos rodajes, aceptó responder a
nuestras preguntas. Fue el pasado
viernes en París. La escuchamos.
Marie-Monique Robin, Hola, Hola. Es un
libro totalmente explosivo y muy bien
documentado que ha escrito aquí con la
fábrica de pandemias. Con usted, vamos
a conocer a científicos de alto vuelo en
los cuatro rincones del mundo. Y
finalmente, converge todo. En primer
lugar, estamos entrando en una era de
pandemias, epidemias, incluso
pandemias. Así que es aterrador. Y en
segundo lugar, no podemos pensar en la
salud humana sin comprender los
ecosistemas. Así que vienes de Estados
Unidos, vuelves a Etiopía, conoces a
estos científicos. Es un poco como el
mundo según Monsanto, es decir, usted
reúne a los denunciantes para que por
fin expongan su punto de vista alto y
claro. ¿Es esa su firma?
Sí, en cualquier caso, lo cierto es que
entrevisté a 62 científicos de los 5
continentes, que son virólogos,
virologues, infectiologues,
anthropologue, médecin vétérinaire.
Enfin, et puis biologiste, parasitologue et
qui ont tous en commun, effectivement,
qui se revendiquent d'une discipline
qu'on appelle en anglais, la dise, écologie,
l'écologie de la santé. C'est à dire que qui
serait une espèce de discipline chapeau,
vous voyez où chacun garde son
excellence, mais en commun les, les
savoirs pour affronter ces grands défis qui
caractérisent notre époque, hein, c'est à
la fois le dérèglement climatique, parce
que c'est important ça, un impact sur la
santé, évidemment, la destruction de la
biodiversité qui est directement liée. Ce
qu'ils appellent ces terres de d'épidémie
de pandémie, hein. Et puis aussi,
évidemment, la question de la pauvreté,
des inégalités, parce que tout ça c'est lié
hein ? Donc effectivement lanceur
d'alerte on peut le dire parce que ça fait
une vingtaine d'années qu'ils disent à peu
près la même chose. Ils étaient très très
contents que je les rassemble tout. Leurs
études ? Mais ils sont pas forcément
rencontrés et ils disent attention, si nous
continuons, continuons de détruire la
biodiversité, notamment dans les zones
tropicales où il enfin, il reste les derniers
hotspots de diversité animale, végétale et
bien nous allons au-devant de de graves
problèmes sanitaires bien plus graves que
finalement cette pandémie. Qu'avant
cette pandémie, il y en a eu, il y a eu
d'autres épidémies, n'est-ce pas ce qu'on
appelle des zoonoses ? Hein, donc des
maladies qui sont transmises des
animaux aux humains. La liste est très
infectólogos, antropólogos, veterinarios.
Son virólogos, especialistas en
enfermedades infecciosas,
antropólogos, veterinarios, biólogos y
parasitólogos, y todos ellos tienen algo
en común: afirman formar parte de una
disciplina conocida como dise, ecología,
ecología de la salud. Es decir que sería
una especie de disciplina paraguas, ya
ves, donde cada uno mantiene su
excelencia, pero en común el
conocimiento para hacer frente a estos
grandes desafíos que caracterizan a
nuestro tiempo, eh, es tanto la
perturbación del clima, porque eso es
importante, un impacto en la salud,
obviamente, la destrucción de la
biodiversidad que está directamente
relacionado. Lo que se llama estas
tierras de epidemias y pandemias. Y
luego también, obviamente, la cuestión
de la pobreza, de las desigualdades,
porque todo eso está vinculado, ¿no?
Así que podemos decir que somos
realmente denunciantes, porque llevan
veinte años diciendo más o menos lo
mismo. Se alegraron mucho de que los
reuniera a todos. ¿Sus estudios? Pero no
se han reunido necesariamente y dicen
cuidado, si continuamos, continuamos
destruyendo la biodiversidad,
especialmente en las zonas tropicales
donde todavía existen los últimos focos
de diversidad animal y vegetal, vamos a
enfrentarnos a graves problemas de
salud, mucho más graves que esta
pandemia. Antes de esta pandemia,
hubo, hubo otras epidemias, ¿no se
llaman zoonosis? Es decir,
longue. Par exemple, Ebola en Afrique, le
SIDA parce qu'on oublie que le sida était
une maladie infectieuse émergente et
zoonotique, n'est-ce pas ? Mais aussi le
mers, le premier SARS musical, le
chikungunya, le nipa. Enfin, la liste est
très, très longue en fait et en l'o MS dit
que jusqu'au milieu des années 1970 il y
avait une nouvelle maladie infectieuse
qui émergeait tous les 15 ans et
aujourd'hui on est plutôt de un à 5 ans
par an.
Donc il y avait urgence à effectivement
faire ce travail et vous le dites dans le
dans le livre certains vous en dit, on vous
attendait, on attendait quelqu'un fasse ce
travail.
Parce que c'est très méconnu. En fait, ce
lien entre la biodiversité et la santé plus
précisément, comment la destruction de
la biodiversité peut être à l'origine donc
de maladies son étiques et d'épidémie.
Bon faut comprendre que les agents
pathogènes ne sont pas distribués par
hasard sur cette planète, y en a beaucoup
là où il y a beaucoup d'animaux sauvages
et donc c'est dans les zones tropicales.
Sauf que quand on est dans des zones
tropicales, moi j'étais récemment de
l'Amazonie. Par exemple en Guyane
française. J'étais avec un scientifique qui
est dans le livre d'œuf gozlan à l'institut
de recherche qui s'appelle l'i D et il disait,
il y a par exemple 630 espèces de
moustiques là autour de nous, mais on va
pas s'appliquer parce qu'en fait, sur les
630 il y en a que 2 qui sont dangereuses
enfermedades que se transmiten de los
animales a los humanos. La lista es muy
larga. Por ejemplo, el ébola en África, el
sida, porque olvidamos que el sida era
una enfermedad infecciosa emergente y
zoonótica, ¿no? Pero también los mares,
el primer SARS musical, el chikungunya,
el nipa. Bueno, la lista es muy, muy larga
de hecho y en la EM dice que hasta
mediados de los años 70 había una
nueva enfermedad infecciosa
emergente cada 15 años y hoy en día es
más bien de uno a cinco años al año.
Así que había una necesidad urgente de
hacer este trabajo y usted dice en el
libro que algunos de nosotros le
estábamos esperando, estábamos
esperando que alguien hiciera este
trabajo.
Porque es muy poco conocido. De
hecho, este vínculo entre biodiversidad
y salud, más concretamente, cómo la
destrucción de la biodiversidad puede
ser la causa de enfermedades y
epidemias. Bueno, hay que entender
que los patógenos no se distribuyen por
casualidad en este planeta, hay muchos
donde hay muchos animales salvajes y
así es en las zonas tropicales. Excepto
que cuando estamos en zonas
tropicales, hace poco estuve en el
Amazonas. Por ejemplo, en la Guayana
Francesa. Yo estaba con un científico
que está en el libro de huevos Gozlan en
el instituto de investigación llamado i D
y dijo, hay por ejemplo 630 especies de
mosquitos que nos rodean, pero no
vamos a aplicarnos porque de hecho, de
los 630 sólo hay 2 que son peligrosos
pour les humains et qui sont rapidités à
appliquer les humains, celui qui donne
des anophèles, le paludisme ou le
fameux moustique tigre qui peut donner
la fièvre jaune Zika, et en fait cette
grande diversité de moustiques fait que
en fait on réduit les risques, c'est ce
qu'on appelle en fait l'effet de dilution et
c'est assez contre intuitif en fait, parce
que d'un côté on dit là où il y a une
grande biodiversité, y a plus d'agents
pathogènes potentiellement dangereux
pour les humains. Mais c'est précisément
cette diversité qui réduit le risque. Alors
ça, ce paradigme de l'effet d'illusion a été
mis au jour par 2 scientifiques américains
que je viens de rencontrer la semaine
dernière à New York pour la première
fois,…
la maladie de Lyme…
sur la maladie de Lyme, où il montre
comment quand on, on morcelle Lise.
Une forêt américaine, vous voyez on
parce qu'on fait des routes ? Enfin, on
voit bien d'ailleurs en formation, des
fragmentation de la du territoire, donc ce
n'est petites parcelles de forêt, bien en
fait, on va favoriser la prolifération d'un
rongeur qui est le porteur de la bactérie,
qui peut affecter le tique et ensuite les
humains. Aux États-Unis, c'est la souris
n’a pas de blanche. Et quand on fait des
voilà, on fragmente cette forêt, les
premiers à disparaître, ce sont les
prédateurs qui pouvaient contrôler la
population des rongeurs. Et puis ensuite
tous les autres mammifères vont y
compris des rongeurs qu'on appelle
spécialistes, qui sont liés à des niches
para los seres humanos y que son
rápidos para aplicar a los seres
humanos, el que da anofeles, la malaria
o el famoso mosquito tigre que puede
dar la fiebre amarilla Zika, y de hecho
esta gran diversidad de mosquitos
reduce los riesgos, es lo que llamamos
el efecto de dilución y es bastante
contraintuitivo de hecho, porque por un
lado decimos que donde hay una gran
biodiversidad, hay más patógenos
potencialmente peligrosos para los
humanos. Pero es precisamente esta
diversidad la que reduce el riesgo. Así
que este paradigma del efecto ilusión
fue sacado a la luz por dos científicos
estadounidenses a los que acabo de
conocer la semana pasada en Nueva
York por primera vez...
La enfermedad de Lyme...
sobre la enfermedad de Lyme, donde
muestra cómo cuando usted, usted
rompe Lise. Un bosque americano, ¿ves
porque hacemos carreteras? Quiero
decir, usted puede ver la fragmentación
del territorio, por lo que no es pequeños
trozos de bosque, bueno, de hecho,
vamos a fomentar la proliferación de un
roedor que es el portador de la bacteria,
que puede afectar a la garrapata y luego
los seres humanos. En Estados Unidos,
los ratones no tienen el pelo blanco. Y
cuando hacemos esto, fragmentamos
este bosque, los primeros en
desaparecer son los depredadores que
podrían controlar la población de
roedores. Y luego desaparecerán todos
los demás mamíferos, incluidos los
roedores que llamamos especialistas,
écologiques, vont disparaître et donc on
va favoriser. La prolifération des soutiens
pas blanches et donc augmenter le risque
infectieux. En fait la diversité, la
biodiversité dilue le risque infecté. C'est
vrai, ça a été démontré scientifiquement
pour plein de maladies en vectorielles,
comme le paludisme par exemple, ou la
maladie de la, mais aussi les maladies non
vectorielles. Donc on comprend
comment. Notre intrusion à nous, les
humains, dans ces espaces de forêts
tropicales, parce qu'on fait des routes,
des mines, de la monoculture…
San revenir sur les facteurs qu’est ce qui
fait qu'un territoire devient favorable à
l'émergence des maladies infectieuses ?
Voilà ce qu'ils appellent les territoires
d'émergence. Ce n’est pas parce que
voilà, on va exploiter les mines en pleine
forêt tropicale C'est d'ailleurs très
certainement l'une des raisons
d'apparition du virus du sida, ce qu’en
découvrant dormir, il serait apparu en fait
au milieu du dix-neuvième siècle. Mais on
la colonisation européenne dans les
forêts africaines qui ensuite a agi à bas
bruit jusqu'à pouvoir s'adapter
suffisamment pour devenir un risque
pandémique on a connu donc ça peut
être parce qu'on peut du soja
transgénique qui va ensuite nourrir les
élevages intensifs du Luxembourg ou de
France. C'est ça qui se passe, ou de l'huile
de palme pour mettre dans les réservoirs
ou importer par exemple, du bœuf
brésilien comme c'est prévu avec l'accord
que están ligados a nichos ecológicos, y
así los favoreceremos. La proliferación
de soportes no blancos y por lo tanto
aumentar el riesgo de infección. De
hecho la diversidad, la biodiversidad
diluye el riesgo de infección. Esto se ha
demostrado científicamente para
muchas enfermedades transmitidas por
vectores, como la malaria, por ejemplo,
o la enfermedad del Nilo Occidental,
pero también para enfermedades no
transmitidas por vectores. Así que
entendemos cómo. Nuestra intrusión,
como humanos, en estas zonas de selva
tropical, porque construimos carreteras,
minas, monocultivos...
¿Qué factores hacen que un territorio
sea favorable a la aparición de
enfermedades infecciosas?
Es lo que llaman los territorios de
aparición. No es porque vayan a
explotar una mina en medio de la selva,
que es sin duda una de las razones por
las que apareció el virus del sida, que, si
se duermen, habría aparecido a
mediados del siglo XIX. Pero la
colonización europea de las selvas
africanas, que luego actuó
silenciosamente hasta que pudo
adaptarse lo suficiente como para
convertirse en un riesgo pandémico, lo
hemos sabido, así que podría ser porque
podemos producir soja transgénica que
luego alimentará las explotaciones de
ganadería intensiva de Luxemburgo o
Francia. Eso es lo que está pasando, o
aceite de palma para poner en los
tanques o para importar, por ejemplo,
carne de vacuno brasileña, como está
de libre-échange entre guillemets avec
les pays d'Amérique latine, ça contribue à
la déforestation en Amazonie et donc au
réchauffement climatique, et aussi
évidemment à la destruction de la
biodiversité et donc à l'augmentation du
risque d'infection, parce que voyez tout
est lié. C'est ce que disent ces
scientifiques, c'est qu'on ne peut plus
continuer à dissocier la santé des
écosystèmes, la santé des animaux
sauvages et domestiques et la santé des
humains. Si on continue à fonctionner
comme ça, on va au-devant de graves
problèmes sanitaires dont cette
pandémie ne serait que vous voyez un
épisode avec potentiellement des virus
bien plus dangereux parce que moi j'étais
au Gabon récemment Ébola, c'est un
virus qui prend une chauve-souris qui
transite par les primates et ensuite de
contaminer les humains. Notamment par
la consommation de viande de brousse
est bien et voilà 70 à 90% des gens qui
contaminent, vous rendez compte, c'est
70 fois plus que la COVID.
Donc on n’a même pas fini avec Ebola.
C'est on a pas fini avec Ebola et d'ailleurs
c'est intéressant parce que les études
montrent que les foyers épidémiques
d'Ebola qui est apparu officiellement en
1976 ont lieu 2 ans après une activité
déforestation, c'est très intéressant.
C'est aussi l'usage de de la cartographie
par les scientifiques dans votre
previsto con el acuerdo de libre
comercio con los países
latinoamericanos, que contribuye a la
deforestación de la Amazonia y, por
tanto, al calentamiento global, y
también, obviamente, a la destrucción
de la biodiversidad y, por tanto, al
aumento del riesgo de infección, porque
ya ven que todo está relacionado. Lo
que dicen estos científicos es que no
podemos seguir disociando la salud de
los ecosistemas, la salud de los animales
salvajes y domésticos y la salud de los
seres humanos. Si seguimos actuando
así, nos encaminamos a graves
problemas sanitarios, de los que esta
pandemia sólo sería un episodio con
virus potencialmente mucho más
peligrosos, porque hace poco estuve en
Gabón. El ébola es un virus que se
contagia a través de un murciélago que
transita por los primates y luego infecta
a los humanos. En particular a través del
consumo de carne de animales silvestres
es bueno y aquí son 70 a 90% de las
personas que contaminan, te das
cuenta, es 70 veces más que COVID.
Así que ni siquiera hemos acabado con
el ébola.
No hemos terminado con el Ébola, y es
interesante porque los estudios
muestran que los brotes de Ébola, que
aparecieron oficialmente en 1976, se
produjeron dos años después de la
actividad de deforestación, lo que es
muy interesante.
Este es también el uso de la cartografía
por los científicos en su daño. De hecho,
dommage. Effectivement, cette étude qui
montre que finalement, suite à la
déforestation dans les 2 ans, on peut
s'attendre à l'émergence de virus. Ouais.
C'est particulièrement…
C'est très bien documenté.
Mais c’est quand même une preuve
incroyable du lien.
este estudio que muestra que,
finalmente, después de la deforestación
dentro de 2 años, podemos esperar la
aparición de virus. Sí. Es particularmente
...
Está muy bien documentado.
Pero sigue siendo una prueba increíble
del vínculo.

en fait tout à fait. Et Serge Morand donc, qui est un chercheur du

CNRS et et qui est basé en Thaïlande, a fait une étude très
intéressante en Asie et dans la zone pacifique. Il a pris pour les
50 dernières années la carte justement des foyers infectieux.
Très nombreux hein. Le premier SARS enfin voilà ensuite la carte
des activités de déforestation et la carte des espèces menacées
d'extinction. Et en fait, ces 3 cartes se superposent. Voyez très
clairement, donc c'est ça si vous ajoutez à ça la globalisation
parce que je donne souvent l'exemple du virus nipah. C'est
intéressant de s'arrêter là-dessus parce qu'on voit bien
l'enchaînement en fait, parce que c'est multifactoriel, bon, à
chaque fois, c'est quand même d'origine anthropique. Toujours,
c'est la signature de notre période. On va dire anthropocène,
mais alors ça serait intéressant de reprendre effectivement
justement les les causes, l'enchaînement en fait des causalités
pour le virus ? Alors, j'ai aussi pas paraît en 1997. Euh, l'origine,
c'est que la déforestation sur l'île de Bornéo, on rase une forêt
primaire pour l'huile de palme pour mettre, voilà des
monocultures de palmier à huile, les chauves souris qui vivent
dans cette forêt primaire. Moi, je suis tombée amoureuse et
chauve souris hein, parce que franchement, c'est des animaux
extraordinaires. C'est ce qu'on dit. Voilà alors en fait, c'est les
seuls mammifères volants. Alors pour pouvoir faire cette
prouesse, elles ont développé un métabolisme absolument
extraordinaire avec en maintenant une température élevée.
Enfin bref, qui leur permet d'être des porteurs sapins. En fait, et
donc des réservoirs comme on dit de plein de virus, hein. Sauf
que quand on on détruit leur habitat, qu'elles sont. Les
scientifiques ont mesuré les hormones du stress dans leurs
urines. Excréments quand on les perturbe et quand elles
excrètent évidemment Ben elles, elles peuvent inonder de leurs
virus justement. Bah, les animaux sauvages qui sont là. Enfin,
tant mon histoire. Dans cette histoire, elle sera pas de sur les
côtes de Malaisie, ce sont des souris. Frugivore. Et donc il se
trouve qu'on a fait des monocultures de manguier au-dessus.
tenez-vous bien de grandes fermes porcines industrielles à ciel
ouvert, donc elles mangent les mangues. Ce qui crève la dalle. Il y
a des mangues contaminées qui tombent et là apparaît un
nouveau virus qu'on va appeler nipah est le nom d'une localité
qui va contaminer les cochons et ensuite les ouvriers agricoles
des fermes porcines. Parce qu'en. Nous partageons 95% de nos
jeunes avec eux si vous voulez humaniser un virus qui provient
d'une chauve-souris. Parce qu'il faut toujours un un animal
intermédiaire entre la chauve-souris et le rongeur, ou le primate,
le virus qui vient de ces réservoirs, et puis l'humain, l'homme et
et si c'est le cochon, c'est bingo, ça passe direct et là c'est ce qui
s'est passé. Les les cochons sont morts parce que c'est c'est, ce
n'est pas très dangereux hein. Ensuite les. La Malaisie est un pays
musulman qui ne mange pas de cochon, donc ces cochons là, tu
destinés à l'exportation vers Singapour et hop le virus. Il a pris le
bateau en l'occurrence et puis ensuite les cochons étaient
exportés vers la Chine. Et là voilà comment vous avez tous les
facteurs récurrents dans l'émergence de ces nombreuses
maladies infectieuses au cours des 40 dernières années.
Déforestation, l'élevage industriel qui joue souvent le rôle
d'amplificateur. D'ailleurs, hein, on retrouve dans d'autres
maladies. Et puis la globalisation, les échanges, voilà ça c'est le
combo. C'est vraiment, c'est les 3 facteurs principaux,
l'urbanisation aussi parce que vous allez peut-être sourire, mais
c'est un petit peu comme l'élevage intensif. Vous avez de
grandes en prostrations humaines en plus avec des gens qui
vivent dans des conditions infra humaines justement bah c'est
des vrais. Voilà, c'est comme une bombe biologique quoi donc ?
Ce qui se passe avec quelque chose se passe avec les humains. La
grande concentration en fait, il y a un énorme échange et ça
permet au virus et s'adapter. Vous voyez jusqu'à ce qu'il attrape
et il est-il développe une forme qui fait qu'il est effectivement
épidémique. Alors on voit bien dans cet exemple effectivement
donc les animaux. Réservoir. Les animaux domestiques qui font
un pont en fait entre le avoir une sauvage, on va dire et la santé
humaine donc concernant le le. Finalement, ce cet enchaînement
là, il est pas encore clair, non ? Alors je dirais même, parce que
moi mon livre sort en poche bientôt donc je dois faire une
postface et j'ai repassé un mois dans les études et tout à à
mettre. Enfin, voilà à mettre au jour mes connaissances. On n'a
pas retrouvé la différence du premier. Qui est aussi un
coronavirus de chauve souris. On avait retrouvé la nouvelle
intermédiaire, c'était la Civette Palmer masquée. On avait
retrouvé les mêmes coronavirus dans cet animal là, on a pas
retrouvé l'animal interdit donc il y a de plus en plus de
présomptions très très fortes. Je vais être prudente, mais je me
fonce sur. Je peux pas tout les expliquer. Que ce virus de chauve-
souris, et qui était manipulé dans le laboratoire de Wuhan et se
soit échappé. C'est de plus en plus crédible, crédible et j'ai plein
d'informations qui vous convient vraiment dans ce sens, ça
change rien de ce que je vous dis parce qu'en fait les laboratoires
fait Catherine du propos principal. Voilà pourquoi y a un
laboratoire P 4 à One PS 4, c'est de haute sécurité ou un
laboratoire P 4 comme j'ai vu au Gabon. Parce que, Eh bien, on
force, nous, les humains, nous forçons les des virus à sortir du
bois par les nos activités anthropiques et donc après on va se
dire ce qu'on appelle la biosécurité, n'est ce pas ? On va, Eh bien,
suivre ces ces sur souris, séquencer leur virus dans l'idée de
peut-être. Trouver un vaccin avant que le virus sorte, alors ça,
c'est très controversé comme pratique. C'est par les scientifiques
de mon livre qui disent, ce n'est pas en faisant ça qu'on va se
mettre à l'abri des prochaines pandémies, parce que c'est bien
beau de Séquencer les verreuses. En plus on les manipule. C'est
vraiment dangereux en plus hein. Ce qu'il faut faire, c'est surtout
en finir avec les causes qui sont à l'origine. Destruction de la
biodiversité et donc du dérèglement climatique et donc. C'est ça
qui est intéressant pour des hommes et des femmes politiques,
c'est qu'il faut qu'on comprenne. Tout est lié et que si on prend
les bonnes mesures. Eh bien, on peut s'attaquer à ces 3
problèmes majeurs tout de même de ce qui caractérise
effectivement, comme vous l'avez dit, l'anthropocène, l'ère
géologique dans laquelle nous sommes entrés en raison de
l'activité humaine, hein, et on peut, c'est du Win win-win, on dit
en anglais, Mais c'est vrai, c'est gagnant gagnant gagnant quoi. Et
moi souvent j'arrête pas de manger, mais qu'est-ce qu'on attend
pour le faire quoi ce serait. Et surtout pour nous l'humanité,
parce que la pour nous, hein, pour nous, pour l'humanité, parce
que on pourrait régler en trouver toute une solution à ces 3
problèmes majeurs. Et donc ça, c'est l'approche que vous
décrivez comme l'approche One else dans votre ouvrage ? Oui,
alors One else c'est une santé unique, ça veut dire en français et
portée par les organisations tunisiennes à l'origine sont des
vétérinaires et des médecins qui se disent c'est complètement
ridicule. De travailler séparément derrière tout ça, il y a l'idée
quand même, s'il faut reconnaître. Ce qu'on appelle la logique
des silos, chacun dans son dans sa case, hein, alors en sciences,
les virologues de s'intéresse au virus. On a besoin d'excellents
virologues, mais ce qu'il faudrait aussi, c'est que ils essaient de
travailler ensemble avec des parasites, avec des épilogues, y
compris les anthropologues, pour trouver des solutions
communes à à ces à ces problèmes majeurs que nous
rencontrons. Mais c'est vrai aussi pour les gouvernements. Qui
travaillent chacun, vous voyez le ministère de l'Agriculture dans
son coin ? Rien à voir avec le ministère de la santé, le ministère
de l'Environnement, donc Agnès, c'est ça au départ, mais y a
aussi un nouveau concept qui qui vient d'apparaître enfin, qui a
été porté par le magazine britannique de l'Insep, que je trouve
plus complet encore que, hein, c'est planète Aries, la santé
planétaire. Un impératif pour la santé planétaire et ce ce concept
de planétarium, qui est aussi porté par la Fondation Rockefeller,
en fait est plus large encore que c'est que c'est pas que la
médecine est terminée à la médecine humaine, c'est aussi
inclure dans dans cette grande problématique, dans cette grande
fresque, n'est-ce pas Ben le dérèglement climatique. La question
de la pauvreté parce que si vous voulez parler d'un très
important, évidemment, on peut pas, on peut pas. Moi j'étais au
Gabon récemment, on peut pas dire au aux villageois gabonais
qui vivent en pleine forêt tropicale et qui n'ont pas d'agriculture,
pas d'élevage, parce que vraiment c'est très difficile à arrêter de
manger de la viande de bœuf ou de chasser. Ben sinon y a rien à
bouffer quoi. Donc faut parler des clairement donc on a besoin
d'un d'un on peut pas protéger efficacement la biodiversité si on
ne tient pas compte de la question de la pauvreté, c'est
absolument capital. Donc vous voyez et planétarium, ça tient
compte de tout ça et y compris l'organisation enfin et donc ils
font évidemment des préconisations. Il va Organisation
internationale pour trouver des solutions. Ouais tout à fait et
effectivement, ça va jusqu'à repenser finalement le modèle
économique aussi en internalisant en fait les externalités
négatives, donc tout à fait alors ça ? Parce que quand on dit on
peut pas séparer la santé des écosystèmes, santé des animaux,
santé des humains, ça veut dire que, par exemple, on peut pas
contrôler une multinationale ou une compagnie, continuer à
avoir ont des forêts pour faire à moyen terme ou à très court
terme. C'est intéressant parce qu'on va mettre de la
monoculture de palmiers à huile qui vont être ensuite va être
ensuite exportées vers l'Europe. Hé bien, moyen et long terme,
ça n'a impact extrêmement important pour les ressources en
eau, pour le pour le climat, pour la santé et. Et donc vous voyez
quand on dit reconnecter, c'est ça aussi, vous avez tout à fait
raison, c'est à dire qu'on ne peut plus dissocier. Vous voyez ? Bah
l'impact qu'on aura dans à moyen et long terme de de l'activité.
L'idée, c'est de développer une vision holistique globale de
l'économie, qui reconnecte aussi tout ça, vous voyez tout à fait,
alors on en ce moment, on est quand même dans une période de
nombreuses conférences sur la, la biodiversité. Vous portez un
regard plutôt plein d'espoir sur alors ce qu'on appelle l'après
COVID. Je pense que après avoir lu votre livre la, la formulation
ne doit pas être la bonne mais effectivement. Vous voyez plutôt
un un retour à au monde d'avant, ou alors vous avez espoir qui
est prise de conscience. Bon, moi j'ai souvent qu'il est trop tard
pour être pour être pessimiste. Ce qui est sûr, c'est que moi, ça
fait des années que je travaille sur ces questions-là, on est dans
une urgence vraiment absolue. Le climat, on l'a vu récemment,
inclure le dernier rapport du GIEC n'est pas pour la biodiversité,
c'est c'est terrifiant. Rapport de l'i PV et terrifiant 1000000
d'espèces menacées. D'identifier, je veux dire, il faut qu'on qu'on
prenne quand même que nous sommes des mammifères
vertébrés. D'accord ? Et si les vertébrés les continuent à
disparaître à un rythme aussi important, pour ne parler que
d'eux, nous ne pourrons pas échapper à cette extinction. Enfin,
c'est ça qu'il faut quand même qu'on se mette dans la 2e
extinction. Il n'y a pas de raison que nous, on échappera. Pourra
pas vivre dans un monde où il n'y a plus de biodiversité et moi ce
que j'ai compris en parlant avec tous ces scientifiques, c'est que
la biodiversité est une cause majeure, au même titre que le
climat. D'ailleurs, les 2 sont liés, n'est-ce pas ? Et que on doit
considérer comme la biodiversité, la biodiversité comme notre
maison commune, dans une expression qu'a utilisé le pape
François, que je reprends parce que je trouve assez joli. Si on
casse la maison, Ben on pourra plus vite quoi ? Tout simplement
et et donc elle est absolument indispensable. Alors on peut
continuer à la détruire, mais c'est pas bon pour le business parce
que si vous voulez parler de business à terme, bah c'est un effet
boomerang évidemment quoi, et on va payer un prix très fort qui
va se traduire par derrière mon climatique qui va se traduire par
des problèmes d'alimentation. Infectieux, de plus en plus
nombreux parce que c'est ça qui ça, qui prédisent quand même,
hein, si on ne change pas de cap. Je suis d'ailleurs sur les
maladies chroniques, hein. Vous en avez pas ? Ah oui, ça c'est
vachement intéressant quand même. La grande découverte,
ouais, la grande découverte comment on détruit la biodiversité
chez nous du coup en m'étonnant on est pas assez d'arbres,
enfin des enfants qui qui ? Dans des environnements
extrêmement aseptisés, finalement, ont un microbiote fur
intestinal très pauvre, un système immunitaire très fragile qui les
expose à des excès inflammatoires comme l'asthme, des
allergies, des intolérances alimentaires et donc. Ce sont tous
tous ce que je décrire, ce sont les les facteurs de comorbidité de
la, de la COVID et et vraiment ça ça m'a, c'est absolument, enfin
c'est c'est, c'est bluffant parce que ça crée vraiment une
cohérence quoi. On comprend ce qui est en train de se passer,
quoi, et comment les maladies chroniques, qui sont dues aussi à
la destruction de la biodiversité chez nous, avec le problème de
l'obésité. Nous rend aussi beaucoup plus vulnérables à ces virus
nouveaux qui sont aussi dus à la destruction de la biodiversité
dans les zones tropicales. Et là, vous voyez un tableau qui se
dessine, où on se dit bah voilà, on a compris les causes, comment
ça se passe maintenant ? Agissons des des clés de
compréhension, agissons vite et effectivement. Euh, la COVID. Je
vous remercie. Marie-Monique Robin, je c'est un éclairage tout à
fait passionnant. Je rappelle que vous avez contribué au dernier
au dernier numéro du système, médite imag, donc édité par IMS
Luxembourg avec une tribune tout à fait passionnante. Alors, je
suis très impatiente de découvrir votre prochain. Sur le sujet, je
pense que il aidera à beaucoup prendre conscience et puis aussi
à ce changement de logiciel, hein, que vous appelez de de vos
vœux. Ouais ça vraiment. Je tiens à signaler à souligner ça. Et
puis aussi, je crois que vous vous attendez encore quelques
financements sur ce. Oui, c'est mon 15% du budget, ce que j'ai
mis la barre haut, je veux bien filmé, donc j'ai 2 camarades. Alain
tronet ça parce que si on veut bien filmer ses forêts tropicales
avec les scientifiques, voilà donc il y a une opération de
financement participatif, on va si on on site mdeuxrfilm.com c'est
facile, vous verrez, y a 2 options enfin et. La comédienne G
Binoche est associée au film Elle est elle, elle vient partout avec
moi parce qu'elle découvrir. Et puis c'est une jolie passeuse dans
tous les sens du terme. Voilà donc vous pouvez soutenir ce film.
Voilà en tout cas, je tente des vid, on risque d'avoir un. Bien, on
va, on va sauter la partie purement publicitaire que vous pouvez
trouver si vous Regardez le lien que je vous ai marqué 2 fois,
qu'est-ce que vous avez compris ? Je vous ai mis des petites
aides, des petites aides pour que vous puissiez comprendre. La
fin est très intéressante parce qu'on est tous. Ça concerné par le
problème affaiblissement des défenses des défenses
immunologiques chez les gens du à donc au au développement
de de ces maladies chroniques dans le diabète, le surpoids, la
prise de poids et toutes ces choses qui sont liées à la. À la vie
sédentaire et tout ce miraculeux, toute cette contribution de
tous ces facteurs pour pour produire le le monde dans lequel
nous vivons ? Et si ces problèmes continuent à ne pas être réglés
ou à considérer comme. Inexistant comme comme le
réchauffement global a été considéré comme inexistant il y a
quelques années par le vice-président des États-Unis, la
disparition la 6e extinction. De la vie sur la planète ou chaque
espèce animale et végétale a un rôle bien précis à jouer. Et où le
non-respect d'une quelconque espèce animale ou végétale. Et on
retrouve exactement le phénomène aussi au niveau des cultures.
Mais on pouvait pas parler de tout. La le fait d'abandonner les les
différentes cultures en en croyant que il y a des langues qui sont
plus importantes et qui sont à prendre en priorité. Au au dépôt
des langues, des langues des différents pays. C'est pour ça que
l'Unesco propose 111 programme en 10 points pour aider les les
populations de jeunes de bien choisir la langue étrangère qui
veulent apprendre et que ce soit des langues de préférence du
pays dont dont ils sont originaires. Donc il y a aucune raison de
préférer apprendre le chinois. Le ship pivot ou ou le le le cache
quoi ou l'imagina hein ? Donc ce sont des choses extrêmement
importantes. C'est ce qui a fait aussi faire une vidéo par Claude
Lévi-Strauss à la fin de sa vie quand il avait 100 ans. Et oui s'est
exprimé, elle fut un homme de 100 ans. Il parle d'une façon
impeccable et bien dans un Français bien supérieur à celui de
bien des, de, de jeunes beaucoup plus des des hommes,
beaucoup plus jeunes, en disant que c'est, c'est complètement
absurde et que notre. Notre monde, notre société en détruisant
systématiquement les espèces végétales et animales par milliers,
sans même se douter que le monde a eu besoin de toutes ces
espèces végétales et animales, il le dit EN 2 Min, conduit à une
sorte de régime d'empoisonnement. Interne qui condamne la
civilisation dans son ensemble et il conclut en disant. En parlant
du monde globalisé, c'est un monde que je n'aime pas. Donc
c'est absolument sans zappage au signal que c'est un des plus
grands cerveaux des de. Il y a pas très très longtemps,
comparativement parlant à l'âge de 102 ans et sa glace, le sang,
parce que on continue à ignorer l'avertissement des plus grands
esprits. On préfère s'abriter en se cherchant des excuses, en se
cherchant des faux prétextes. Hubert Yves aussi est un
scientifique qui s'est exprimé sur le sujet qui est un astrologue,
qui, quelqu'un qui astrophysicien, Hubert Reeves, qui est
canadien. Regardez, s'il vous plaît tout ce qu'il dit à propos de la
6e extinction. Qui est saisissant. Enfin, tous les très grands arbres
et tous les mammifères de de de plus de 3 kilos sont condamnés
dans les situations actuelles, à disparaître plus ou moins long
terme. Nous sommes tous quand même, nous faisons plus tous à
plus de 3 kilos. Je. Je vous assure que le problème c'est pas que
le monde assure sa sa vie grâce à des machines ou à des robots.
Ça risque de paraître extrêmement désuet si le facteur vit est mis
de côté, il faut réellement résoudre des problèmes liés à la vie.
Ce que vous avez compris à ce que vous venez d'entendre. Et
puis rien ne vous empêchera de le réécouter si vous voulez ce. Je
pense que vous faites un petit peu de de français en nombre
présentiel et vous aurez une très bonne compréhension de ce
document. Qu'est-ce que vous avez compris et qu'est-ce que
vous n'avez pas très bien compris ? Allez-y. Je vais arrêter là la
projection puis le reste, vous le verrez mieux en en groupe. Allez-
y. Vous voulez que oui, j'ai enregistré dans un groupe. Ce que
vous voulez Ben le le, la vidéo qu'on a vu, on en dit quelques
mots, et si vous pensez que le sujet vaut la peine d'être d'être
retenu cette année impressionnant. 1313. Par exemple, je me
rappelle de Alexandre Legrand, oui et oui, il a et lutté contre les
les, les, les, les pères et les indians. Et il a trouvé les les forêts ?
Non, il ont des ont des des terroristes qui sur la sur sa mort et la
maladie non de la de la forêt non. Nouvelle montre aussi, il
montre aussi, excusez-moi de vous couper, mais c'est la peur
panique des grands dirigeants de ce monde devant les maladies
infectieuses aussi bien du président Trump que du président
Poutine qui aime lendelede virus. Et ils ont raison de trembler
parce que c'est c'est le virus qui finit par vaincre tout le monde,
continuer sa vie. Il est-il y a doux, inspectent. Ah ouais donc côté
c'est la. Si c'est possible de dire de l'élaborer. Parce que. C'est le
fait de décimer les forêts et le, c'est, c'est un peu facile de dire la
destruction parce que les il y a des des devises qui ont. Qui ont
besoin de de de détruire la forêt rembourses non oui, non. C'est
nécessaire et utiliser réellement le c'est bien sûr, mais pas
n'importe quelle peindre. Renault, pas de n'importe quel oui
mais oui, mais pas de n'importe quelle manière parce qu'en
détruisant le bois et en détruisant la, la biodiversité. En ruine, les
on ruine le le système de de tout d'abord c'est c'est mal mais et il
est voudrait le l'argent non il a on me sont des et c'est comme les
familles. Si on prend un autre exemple, les familles de pêcheurs
péruviens qui, pour nourrir leur famille, utilisaient la pêche à la
dynamite. Et détruisez les les massifs coralliens et détruisait et
détruisait l'habitat des des espèces marines qu'il condamnait à
chercher à immigrer plus loin. Mais c'est quand même la
destruction de la planète, tout ça pour préserver la la, la
momentanément l'espèce humaine, mais l'espèce humaine, elle,
va s'éteindre, s'étendre, s'éteindre de toutes les manières. Si on
continue à détruire sauvagement les grandes forêts sous
prétexte et sont grandes. C'est, il faut pas continuer de faire ça
parce que c'est beaucoup trop dangereux. Il y a plus d'un
1000000 d'espèces aujourd'hui. Végétal et animal qui sont
directement menacés par par par la la, la politique de
destruction opérée par alors sur la. La 2e chose, c'est les les. Il y a
un livre et les livres rouges, non ? Rouge, les Ah je pensais que
vous parliez du livre de marketing, non non. Les livrets rouges
des d'espèces en. Oh oui, Oh oui, oui oui, oui, il est intéressant,
c'est dans c'est sûr. J'ai transport la disparition de hotspot.
Même les espèces que nous, que nous sommes comme
emblématiques, non comme l'éléphante les oui. Oui, les Lions,
oui, oui, il a le nombre d'éléphants à louer, notre temps de
l'ivoire, bien sûr. Bien sûr, les Lions aussi sont indispensables.
C'est incroyable, non ? Il comme il, je ne suis pas optimiste et
parce que la, c'est l'homme qui a des organisé tout ça. Mais
qu'est-ce que qu'est-ce que c'est ? L'homme ? Non, c'est
l'homme, l'homme européen, c'est l'homme de l'Afrique. Les
restes sont différents. La réalité des l'homme n'est pas en tout
cas, l'homme n'est pas un martien, donc. On la l'histoire de
chaque personne est différente, non ? Absolument et. Un aperçu
de de la nourriture et et. Hé la, la vie des aliments, non ? En
même temps, en même temps, on peut pas se permettre
n'importe quoi dans le dans le contexte actuel, il faut respecter
l'équilibre naturel. Si, parce que nous aussi, nous y sommes
soumis, quels sont les autres ? Merci infiniment salutaire de
cette réaction. Les autres essayaient de de vous montrer donc
qui elle est. La Suite à cela, rébellion. 16. Allez, montrez vous et
on discute encore un petit peu à partir et direz-vous, s'il vous
plaît, de ce que je vous ai mis en marge qui doit vous aider
normalement qui devait vous permettre de suivre plus
facilement cette longue vidéo. Quelles sont les autres choses qui
vous ont frappé dans ce que vous avez entendu ? Carlos, vous
pourriez nous dire quelque chose ? Vous souhaiteriez nous dire
des choses ? Et oui, oui Monsieur et. Du pense que. Madame,
oui. Il il. Il a une pointe de vue. Presque systématique, oui, dans
c'est-à-dire systématique dans le sens de que de que la cure du
versité, c'est sur le macro système oui et qui les serrements, hein
? Monde dans ces macros systèmes. Hé. Pas très bien oui et pas.
Et il a. Il a dit de me rappelle, il a dit que c'est la biodiversité et
disparaître. Nous et nous allons dire ça paraît aussi. Tout à fait
tout à fait, elle n'est pas, elle n'est pas seule à le penser. Vous
comprenez bien que son témoignage est intéressant dans la
mesure où elle dit, ce n'est pas mon témoignage, c'est le
témoignage des scientifiques à qui j'ai donné la parole et et et
professeur et. Madame Roanne aussi, il est-il la ? Il mentionne la.
Et une autre point de vue, on est pas scientifique mais et
théologique, c'est la, c'est la et la. La maison de commande de
pas, oui, oui. Pour pour la Joliesse et la justesse de l'expression.
Bon elle a elle n'implique absolument pas la religion dans tout ça
mais quand, quand il a parlé de notre maison, que. La planète,
ça, ça suppose qu'il faut la respecter. On peut pas dire qu'on
aime la planète ou qu'on est pour la planète. Si on détruit la vie
qui est sur la planète. Donc il faut savoir à quoi nous nous
engageons en utilisant certains certains concepts. C'est vrai que
c'est notre notre maison commune. On en a pas d'autre pour le
moment. Même si l'on masque est allé coloniser mars, il est le
seul et puis fait une aventure dans laquelle on peut pas engager
le reste de l'humanité. Imaginez l'argent que ça coûterait de
déplacer tout le monde sur Mars, ce serait totalement
inenvisageable. le PIB de tous les pays du monde à l'heure
actuelle, qui est colossale. Ne ne ne serait pas suffisant et les
riches ne consentiront jamais. À se priver de cette prérogative
parce que ça leur donne le pouvoir. Qui préfère réserver le
pouvoir pour eux. Laisser se débrouiller l'humanité qu'ils ont
conduit eux-mêmes au bord du gouffre. Si on est au bord du
gouffre à l'heure actuelle, c'est pas uniquement c'est pas Les
Misérables qui ont conduit le monde au bord du gouffre. C'est le
plus riche. C'est quand même pas normal que les 80%. Des des
ressources en argent de cette planète soit aux mains d'un pour
100 seulement de la population. Ce qu'on fait avec les 99 autres
pour 100, le Dalaï Lama aussi s'est prononcé là-dessus, donc on
peut pas l'accuser de tirer du côté de la religion. Il a dit que c'est,
c'est le rôle des des plus riches de comprendre qu'ils sont bénis
de Dieu. Mais les les Tibétains ne croient pas à l'existence de
Dieu. C'est. On voit les choses différemment et et donc ils sont
déjà bénis. C'est pas lui qui peut bénir les plus riches, mais ils
sont responsables aussi du reste de ceux qui n'ont pas la, la
richesse, et ils doivent se charger de réduire, comme ils disaient,
de Gap l'abîme qui existe entre les plus riches. Et les plus
pauvres, c'est leur mission au plus riche. J'ai pas l'impression que
beaucoup de personnes riches aujourd'hui se rendent vraiment
compte de tout ce que ça implique au niveau du service qu'ils
doivent. À à l'humanité. Il s'agit pas de dire l'intelligence
artificielle va tous vous détruire. Si ce sont eux qui l'ont mise au
point, il faut-il faut assumer ce qu'on a fait et ce qu'on a négligé
de faire, c'est pas les pauvres qui sont responsables de la
situation. Donc, quand vous dites aux gens, il faut vous priver de
manger, ils vont dire, d'accord, mais pourquoi je dois me priver
de manger si vous ne vous faites pas le moindre effort pour pour
vous priver de manger, plus riches sont sans cesse en train de
pousser les plus pauvres à faire des des sacrifices auxquels ils
n'ont jamais consenti. On vit vraiment dans un monde et on voit
que toutes les idéologies sont, sont pas mortes, loin de là. Toutes
les idéologies sont en place. Communisme est toujours là, le
capitalisme. Y compris le capitalisme sauvage de l'exploitation,
coûte que coûte des autres et toujours là, quelle que soit les
propos qui sont tenus. Et là on est devant une situation
extrêmement préoccupante. Quels sont alors quand elle dit non,
il est trop tard pour être pessimiste ? On est dans une urgence
absolue, sinon c'est l'extinction de. Tout le monde machine c'est
hiver. Hubert Yves dit exactement la même chose. Il y a plusieurs
fois que tout devis s'est éteinte sur cette planète. Pour divers
diverses raisons, il y en a eu 5 extinctions complètes et nous
sommes à l'aube de la 6e. C'est, c'est vraiment une situation
préoccupante. On a peut-être Carlos en plein en pleine, en plein
effort. Je voudrais ajouter quelque chose, Carlos. Et mais c'est je
suis pessimiste aussi, ouais. On va pas se suicider hein. Il faut
aborder courageusement les différentes, au moins prendre
conscience. Je crois que ça peut être le rôle du cours de Français
de prendre conscience de tout ça. Puis ça, vous ça vous aide à à
progresser en français. Moi aussi, on est tous pessimistes, mais
c'est un luxe qu'on ne peut même pas se. C'est se permettre
parce que, comme elle dit, il est trop tard pour être pessimiste.
Agir, faire ce que nous pouvons faire, prendre toutes les, c'est
c'est, c'est urgent, sans quoi nous allons disparaître en tant qu
espèce, avec tout ce que tout ce que le miracle, ce miracle
qu'elle a dit sur la planète Terre, le miracle. Nous sommes en
train de de de tous le détruire. Et on est en train de provoquer
Dieu en disant, mais qu'il en crée un autre pour montrer que il
est là un petit peu comme les quand le Christ a été crucifié, les
les pharisiens qui disaient Ah, ils se disaient le fils de Dieu, bah
aide toi toi même, aide toi à descendre de cette croix et nous
croirons en toi. C'est exactement la même situation. Il y a une
espèce de de blasphème collectif face à Dieu, l'air de dire s'il
existe qu'il se montre, mais je veux dire, juste avant de la
demander, de disparaître et de nous laisser régler nos problèmes
nous-mêmes et tout seul. Donc qu'est ce que vous voulez ? Dieu
veut pas s'imposer. Dieu n'est pas de s'imposer ou de se
manifester en dépit de la volonté humaine, c'est à l'homme de
savoir ce qu'il veut. Et se mettre lui-même devant ses propres
responsabilités puisqu'il prétend pouvoir être autonome. Hé
régler ce problème quel qu'il soit, indépendamment de toute de
toute instance comme disait les anarchistes au dix-neuvième
siècle. Non, ni Dieu ni maître. H. Et avril le Soros ouvrir les yeux
sur ce que nous sommes en train de faire de notre monde. Dans
l'optique chrétienne, nom a été créée pour être le lieutenant de
Dieu. Euh le celui qui est le porte-parole de la sagesse divine et
qui aide. À résoudre le problème va à créer à l'infini des
problèmes insolubles. Qu'est-ce que vous en pensez de tout ça ?
Allez y réagissez et c'est un crayon de son nom et moi je respecte
toutes les opinions. L'athéisme le bienvenu, s'il est sincère. Je
n'aime pas les hypocrites, les gens qui disent une chose et qui
font exactement le contraire. Il faut être à la hauteur de. De la
situation telle que nous l'avons engendré. telle qu'elle est
présente sous nos sous nos yeux quelles sont les autres choses
mais demoiselles avec ouest de l'anse ayez la la gentillesse la
correction sinon je vous marque absente à tous à tous.

https://www.youtube.com/watch?v=rkv4EAL4fLM
MARIO BARBOV
21:43
desease ecology l'écologie de la santé
détruire la biodiversité
hot spots
zoonose maladie transmise des animaux aux humains
MARIO BARBOV
21:45
1 à 5 émergences tous les ans
zones tropicales beaucoup de foyers de maladies
l'effet dilution
MARIO BARBOV
21:46
la variété de moustiques réduit le risque de contracter la fièvre jaune
la biodiversité réduit le risque infectueux
MARIO BARBOV
21:48
prolifération de mines à l'origine du virus du sida
tout est lié
MARIO BARBOV
21:49
On n'a pas fini avec Ebola
70 fois plus mortel que le covid
MARIO BARBOV
21:52
Nipa 1997 Bornéo on rase une forêt primaire chauves-souris sot des réservoirs de plein de virus
Elles se rabattes sur les fermes de Malaisie Contamination des cochons (fermes porcines) et par
eux de l'homme
Singapour puis la Chine
globalisation les échanges
MARIO BARBOV
21:56
Il faut en finir avec les causes à l'origine de la destruction de la biodiversité
One health
logique des silos rester prisonnier de sa discipline
MARIO BARBOV
21:57
Planetary health
régler les problèmes liés à l'extrême pauvreté
MARIO BARBOV
21:58
repenser le modèle économique
MARIO BARBOV
22:00
https://meet.google.com/oyv-wspe-uzt
il est trop tard pour être pessimiste. On est dans une urgence absolue.
MARIO BARBOV
22:01
On ne pourra pas vivre dans un monde où il n'y a plus de biodiversité
MARIO BARBOV
22:02
les maladies chroniques sont liées aussi à la destruction de la biodiversit
é
MARIO BARBOV
22:08
Hubert Reeves

La COVID-19 es una enfermedad Le COVID-19 est une maladie

zoonotique. Les zoonoses sont des
zoonótica. Las zoonosis son maladies ou des infections qui sont
enfermedades o infecciones que se
transmiten desde animales a
humanos. Este tipo de
enfermedades son las que
aumentan el riesgo de emerger con
la pérdida de biodiversidad. El
principio básico que actúa en estas
enfermedades es el contacto entre
una persona y un animal infectado
que transmite el patógeno. Por
tanto, lo lógico sería pensar que a
más biodiversidad más animales, y
a más animales más probabilidad
de contagiarse. Sin embargo, ocurre
justamente lo contrario a lo que
podríamos intuir.
Una alta biodiversidad reduce la
posibilidad de zoonosis debido al
efecto de dilución.
Es importante destacar que la
pérdida de la biodiversidad no es el
único factor que aumenta el riesgo
de zoonosis. Hay otras actividades
humanas que directa o
indirectamente aumentan este
riesgo, como la agricultura y
ganadería intensiva, el tráfico de
especies, la fragmentación de
hábitats y nuestro estilo de vida.
Precísamente, los estudios indican que el SARS-CoV 2 saltó a los
humanos debido al tráfico especies. Pero en definitiva, no
olvidemos el principio básico de la emergencia de zoonosis: todo
se resume a un aumento en el contacto con especies salvajes.
transmises des animaux à l'homme. Les
maladies de ce type sont des maladies
dont le risque d'apparition augmente
avec la perte de la biodiversité. Le
principe de base de ces maladies est le
contact entre une personne et un
animal infecté qui transmet l'agent
pathogène. Il serait donc logique de
penser que plus il y a de biodiversité,
plus il y a d'animaux, et que plus il y a
d'animaux, plus la probabilité
d'infection est grande. Cependant, c'est
le contraire qui se produit.
Une biodiversité élevée réduit la
probabilité de zoonoses en raison de
l'effet de dilution.
Il est important de noter que la perte
de biodiversité n'est pas le seul facteur
qui augmente le risque de zoonoses.
D'autres activités humaines
augmentent directement ou
indirectement ce risque, comme
l'agriculture et l'élevage intensifs, le
trafic d'espèces, la fragmentation des
habitats et notre mode de vie.
Translated with DeepL