Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Éditions Jouvence
Route de Florissant 97 — 1206
Genève — Suisse
Site Internet : www.editions-jouvence.com
E-mail : info@editions-jouvence.com
Dans la pratique
AVERTISSEMENT
La sagesse ancienne
La zone géopathogène
Les réseaux
Le réseau Hartmann
Le réseau Hartmann
Le réseau Curry
Le point étoile
Le réseau horizontal
Le réseau horizontal
Le plus simple, lors d’une recherche de zones géopathogènes,
est de procéder à la localisation de TOUTES les nocivités aux
endroits où le temps passé assis ou allongé est important (lit,
bureau, canapé, etc.) et d’échapper à leur influence en se
déplaçant de façon latérale.
Le radon
Vibrations et vitalité
Il faut savoir que les vibrations d’un objet peuvent être stimulées
grâce à la dynamisation. La mesure du TV ne re ète alors plus l’état
« naturel » du sujet testé. Dès lors, il devient intéressant de
compléter la mesure avec le potentiel de vitalité (PV).
Les recherches sur cadran ont notamment pour but de mesurer les
taux vibratoires, les potentiels de vitalité, mais peuvent également
être utilisées pour de nombreuses autres recherches. Elles
nécessitent surtout un état d’esprit approprié.
La convention mentale
C’est grâce à son épaisseur de bande qu’il pourra être repéré. Les
réseaux Hartmann doubles se retrouvent généralement tous les 10 à
15 mètres. Si vous souhaitez faire une expérience de détection,
choisissez donc plutôt un terrain extérieur dégagé.
Convention mentale : « Les baguettes se ferment à l’aplomb d’un
réseau Hartmann. Les baguettes s’ouvrent en l’absence du réseau
Hartmann. »
Marchez dans l’axe N-S. Votre recherche va porter sur des bandes
se situant perpendiculairement à votre sens de marche, c’est-à-dire
dans le sens E-O. Les baguettes fermées sur 40 cm ou plus vous
indiqueront la largeur de la bande ; vous pourrez aisément contrôler
s’il s’agit bien d’un réseau Hartmann double.
Recherchez ensuite une bande de l’axe E-O et déterminez
l’intersection avec l’axe N-S que vous avez déjà trouvé. Vous aurez
alors localisé un croisement du réseau Hartmann double.
Bien qu’il y ait relativement moins de chances de trouver un
croisement de réseau Hartmann double dans une petite pièce, vous
pourrez néanmoins procéder à sa recherche dans la chambre à
coucher, de la même façon qu’en extérieur.
Votre convention mentale bien en tête (« Les baguettes se croisent
à l’aplomb du réseau Hartmann double »), demandez la direction
pour localiser la zone de 40 x 40 cm (au minimum) et suivez vos
baguettes. Elles devraient alors se fermer à l’aplomb de cette zone
de croisement des bandes du réseau Hartmann double.
Localiser le réseau horizontal
Les ondes
Par dé nition, une onde est une vibration qui se propage dans un
milieu donné. Il en existe deux types :
• celles dites « mécaniques », qui se déplacent dans la matière (air,
sol, eau, etc.) et qui peuvent donc être des ondes sonores, des
ondes de choc (comme lors d’un tremblement de Terre), etc. ;
• celles dites « électromagnétiques », qui n’ont pas besoin d’un
support physique pour leur déplacement car elles peuvent se
déplacer dans le vide et transporter de l’information, même à
travers la matière.
Une onde électromagnétique est un transfert d’énergie comportant
à la fois un champ électrique (CE) et un champ magnétique (CM)
oscillant à la même fréquence. Le CE et le CM constituent un
ensemble appelé « champ électromagnétique » (CEM). Une onde
électromagnétique est une vibration du champ du même nom (CEM).
Quelques exemples :
• la lumière visible ;
• les rayons X ;
• les ondes hertziennes.
Une onde électromagnétique est caractérisée par :
• sa longueur d’onde (qui est la distance qui sépare les deux points
correspondants d’oscillations qui se suivent) ;
• sa fréquence (qui est le nombre d’oscillations au cours d’une
seconde en un point donné) ;
• sa période (qui est la durée nécessaire pour décrire un motif de
cette tension, par exemple, pour un courant alternatif de 50 Hz, il
y a 50 périodes par seconde).
La fréquence et la longueur d’onde sont inversement
proportionnelles : plus la fréquence est élevée, plus la longueur
d’onde est courte, et inversement.
La toxicité et les e ets sont di érents selon le type d’ondes et leur
« modulation » : c’est le processus qui transforme le signal de sa
forme d’origine en une forme adaptée au canal de transmission.
Bien que non perceptibles pour la plupart des gens, les champs
électromagnétiques sont, de nos jours, présents partout dans
l’environnement. Toute installation électrique sous tension crée dans
son voisinage un champ électromagnétique, composé d’un champ
électrique et d’un champ magnétique, non ionisant. « Non ionisant »
veut dire que l’énergie transportée n’est pas su sante pour
provoquer une ionisation d’atomes ou de molécules en rompant les
liaisons (moléculaires) et en créant des radicaux libres (stress
oxydatif).
À l’inverse, les rayons X et gamma, par exemple, sont, eux,
ionisants, car ils « arrachent » des électrons à la matière.
Les CEM sont couramment répartis dans trois catégories.
• Les champs extrêmement basses fréquences, abrégé EBF (ou
extremely low frequency, ELF en anglais) dont fait partie l’électricité
(entre 50 Hz et 60 Hz). En e et, toute installation consommant du
courant électrique est source de champs EBF (circuit électrique,
lignes à haute tension, transformateurs, etc.). Ainsi, sous tension,
tout l conducteur produit un champ électrique dans son
voisinage, dont l’intensité se mesure en volts par mètre (V/m).
• Les champs magnétiques basses fréquences (de 50 Hz à 10
kHz) est provoqué par le déplacement de charges électriques ou
d’un courant électrique ; il n’apparaît que lorsque le courant
électrique circule dans un appareil électrique. Son intensité se
mesure en ampères par mètre (A/m), on parle aussi d’induction
magnétique, qui se mesure en microteslas (µT). Cependant,
certains matériaux (notamment ceux destinés à fabriquer des
aimants) émettent dans leur environnement une induction
magnétique sans qu’il y ait présence d’un courant.
• Les champs d’hyperfréquences (ou extremely high frequency,
EHF), aussi appelés « micro-ondes » (le chau age par micro-ondes
s’obtient par l’émission d’un champ électromagnétique d’une
fréquence de 2,45 GHz). C’est également cette catégorie d’ondes
qui est utilisée pour les télécommunications : émissions de
radiodi usion, de télédi usion, téléphonie mobile, transmissions
par satellites, radars, etc.
Le wifi
Le téléphone DECT
Le téléphone mobile
L’indice de débit d’absorption spéci que (DAS) est une valeur qui
indique la quantité d’énergie électromagnétique absorbée par le
corps lors de l’utilisation d’un appareil sans l, mais également au
niveau de la tête, qui se trouve être la partie du corps la plus exposée
lors d’un appel téléphonique.
Un tissu riche en eau absorbe davantage d’énergie
électromagnétique, et le cerveau est justement composé de plus de
80 % d’eau. L’absorption est donc très importante dans cette
zone.
L’ordinateur portable
Évitez :
• la proximité de votre tête avec les prises électriques murales,
mais aussi avec la paroi, qui éventuellement pourrait rayonner des
CEM ; décoller votre lit du mur de quelques dizaines de
centimètres est une solution provisoire e cace, sinon, faites poser
un « biorupteur » (aussi appelé « bioswitch », ou IAC : interrupteur
automatique de champ) par un électricien ;
• les guirlandes LED sur la tête de lit ;
• la proximité d’un radiateur électrique (classe 2) sans
raccordement à la terre, ou celle d’un modèle de type sou erie à
air chaud ;
• l’ordinateur ou la tablette allumés, branchés sur secteur, en mode
veille ;
• une box sans prise de terre ;
• les montres (ou tout autre objet connecté) en état de
fonctionnement ;
• la télésurveillance de la maison enclenchée en mode « total », y
compris dans les chambres à coucher, surtout la nuit.
Optez pour un système « earthing » (aussi appelé « grounding » ou
« connexion à la terre »). Pensez à assainir votre chambre à coucher
au niveau des CEM… Pas la peine que les champs
électromagnétiques environnants transitent par votre corps avant
d’être mis à la terre par la connectique du drap earthing !
La 5G
Voici un exemple de l’in uence des CEM sur des bandes de réseaux
Hartmann (pour rappel, il existe des bandes positives en alternance
avec des bandes négatives).
Si un téléphone portable, baby-phone, téléphone DECT… est activé
(en mode wi , Bluetooth, etc.) et placé sur une bande négative du
réseau Hartmann, le champ de torsion gauche (négatif) résultant de
l’appareil sera grandement ampli é par la bande négative et
deviendra alors très négatif pour le Vivant.
Si ce même appareil est placé cette fois-ci sur une ligne positive du
réseau Hartmann, le champ qui en résultera sera quand même de
torsion gauche, c’est-à-dire négatif, malgré la ligne positive du
réseau. L’action de l’appareil est donc plus « forte » que celle du
champ naturel du réseau et le champ de torsion gauche (négatif)
l’emportera sur le champ de torsion droit (positif).
Cela donne une idée assez claire de l’in uence qu’ont nos appareils
électriques connectés sur les manifestations telluriques et de la façon
dont ils rendent négatives des bandes naturelles qui étaient positives
à l’origine ! Le caractère négatif des autres géopathogènes
telluriques est également accentué et souvent di usé, s’ils sont
soumis à des CEM. Ils se transforment alors en émetteurs passifs,
négatifs eux aussi.
Ainsi, le champ de torsion gauche (négatif) émis par une antenne-
relais, une éolienne ou une ligne à haute tension sera di usé, parfois
sur plusieurs kilomètres, si elles ont été implantées sans tenir compte
du sous-sol (comme c’est généralement le cas), par exemple sur une
faille.
Le rôle de la mélatonine
Le sommeil et le surpoids
L’endormissement
Les somnifères
Ce n’est pas parce qu’une partie du lit est placée sur une nocivité
que celle-ci se retrouve sur la totalité du lit ! Parfois, seulement un
des dormeurs est touché, parfois les deux, mais de façon
différente et avec une intensité et un impact variables !
LES PARASITES ÉNERGÉTIQUES
Tout a une influence sur nous ; ne dit-on pas que « tout est lié » ?
En effet, tout ce qui nous entoure, que ce soit les pensées que
nous générons, les sentiments ou les émotions que nous
ressentons, les aliments que nous ingérons, les lieux ou les
personnes que nous fréquentons, les formes et les couleurs que
nous percevons, les mots ou les musiques que nous entendons,
les situations et expériences que nous vivons, jusqu’aux
matériaux et produits que nous employons ou aux phases
lunaires auxquelles nous sommes soumis, aux énergies
telluriques, cosmiques ou électromagnétiques qui nous entourent,
TOUT a une influence sur nos corps énergétiques.
Leurs dysfonctionnements
Dans bien des cas, nous ne nous apercevons pas des signaux
précurseurs, tout absorbés que nous sommes par la vie matérielle.
En amont, il est très probable que nous ayons délaissé l’hygiène de
nos corps énergétiques. Dans ces conditions, le déséquilibre a pu
gagner du terrain, se propager de corps subtil en corps subtil jusqu’à
a ecter le corps physique.
Les PE ont une vibration très basse, ayant perdu leur énergie très
souvent par ignorance et restant en quelque sorte « bloqués » dans
notre plan. Ils essaient généralement de se raccrocher à la
matière ou aux lieux qu’ils connaissent. Mais comme ils n’ont pas
su samment d’énergie pour s’autoalimenter, ils recherchent des
proies pour se nourrir de leur énergie, choisissant de préférence des
personnes possédant les mêmes comportements ou addictions que
les leurs.
Certains PE s’accrocheront plus facilement sur le corps éthérique
(le plus proche du corps physique), d’autres plus volontiers sur le
corps émotionnel (à environ 50 cm du corps physique) et d’autres
plutôt sur le corps mental (plus éloigné).
Les PE peuvent aggraver des troubles de la santé déjà existants ou
alors en initier d’autres. Ils sont également souvent à l’origine de
troubles de la personnalité. C’est la raison pour laquelle la limite
entre une a ection psychiatrique et l’in uence des PE est parfois
très mince. Occasionnellement, ces con gurations s’interpénètrent et
entretiennent un cercle vicieux : si des PE s’installent durablement
sur les corps énergétiques, des symptômes physiques risquent
d’apparaître à plus ou moins long terme.
Les animaux également peuvent être parasités par des PE et
avoir des comportements étranges, qui ne leur ressemblent pas.
Ces phénomènes peuvent avoir lieu – de la même façon qu’ils ont
lieu pour les humains – après un choc, un traumatisme, une
opération, etc.
Les symptômes
Le parasitage
Le phénomène de résonance
La chute de ces taux peut avoir lieu dans di érents cas de gure,
mais surtout dans les situations impliquant une perte de contrôle, un
décentrage, un manque de protection et de vigilance des corps
énergétiques, comme c’est le cas dans :
• les comportements addictifs, avec ingestion, absorption ou
injection de substances psychoactives ;
• les comportements déviants (pervers, sexuels, violents, abus de
pouvoir, etc.) ;
• les chocs émotionnels, les événements traumatisants, ainsi que
les traumas personnels mal gérés ;
• les hauts niveaux de stress continuel ;
• les maladies graves ;
• les maladies psychiatriques ;
• les défauts d’ancrage ;
• les problématiques existentielles, comme un refus d’incarnation
(ce qui peut inconsciemment permettre à d’autres énergies
d’« habiter » la personne) ;
• la délégation de son propre pouvoir à quelqu’un d’autre (une
autorité, un groupe, une idéologie, une substance, etc.) ;
• la prise de certaines substances médicamenteuses ;
• une hygiène de vie globale laissant à désirer (accumulation de
toxines, consommation de toxiques, etc.).
Certains individus possèdent un TV bas sans qu’il y ait forcément
un processus de parasitage, mais parce qu’ils s’alimentent d’énergies
vibrant à des niveaux faibles ; situation engendrée par un parcours
de vie di cile et mal géré, un pro l émotionnel « paramétré » par
une éducation dure, injuste ; par de l’anxiété, un état d’être négatif,
pessimiste, dévalorisant, dénigrant, de la colère en soi, des élans de
vengeance, de la méchanceté, de la cruauté, etc. Ces émotions et
états attirent les plans vibrant « bas ».
Si un objet est testé au niveau du taux vibratoire et du potentiel
de vitalité et qu’il apparaît très négatif, alors il y a de fortes chances
pour qu’il soit relié à un égrégore, qui est une sorte de groupe de
mémoires rassemblées vibrant ou véhiculant des informations
identiques comme des sou rances ou des peurs.
Se libérer des PE
Pas seule ?
Dès son emménagement dans un ancien appartement rénové,
Isabelle était réveillée quasiment toutes les nuits par des
craquements et des bruits de pas se déplaçant le long du couloir.
Les premiers jours, elle avait tenté de ne pas y prêter attention et
de dormir avec des bouchons d’oreilles. Mais les bruits se faisant
plus forts et insistants, elle chercha une explication rationnelle à
ces manifestations. En vain, car personne d’autre n’habitait dans
son appartement ; les bruits de pas provenaient du couloir, à
l’entrée du salon, et non de l’escalier de l’immeuble, qui était situé
du côté opposé. Par ailleurs, toutes les parties communes de
l’immeuble, escalier compris, étaient en béton, un matériau qui ne
peut pas générer de « craquements ».
Isabelle demanda alors à plusieurs autres locataires si leur
plancher craquait, mais les réponses furent négatives. Et c’est
lors de ces échanges qu’elle apprit qu’il y avait eu des violences
perpétrées et subies, ainsi que plusieurs accidents dans cet
appartement.
Après quasiment une année de somnolences et de sommeil
fortement perturbé, Isabelle se mit en quête d’un nouvel
appartement. Dans l’attente d’une réponse à sa postulation pour
un nouveau logement, elle invita deux amis à dormir chez elle.
Les craquements de pas finirent par réveiller tous les occupants,
même ceux qui dormaient le plus profondément. L’analyse de la
situation révéla que les potentiels vibratoires et de vitalité étaient
anormalement bas dans cet appartement. Après plusieurs
nettoyages des mémoires du lieu et des murs effectués le jour
même, en même temps que la neutralisation d’autres nocivités
telluriques présentes dans la chambre à coucher et directement
sous son lit, Isabelle put enfin, et dès la première nuit, retrouver
un sommeil profond et réparateur, sans plus être réveillée par des
bruits nocturnes.
Elle n’eut plus besoin non plus de chercher un autre
appartement…
LE MONDE DE DEMAIN
ADAPTABILITÉ ET PRÉVENTION
Médecins et thérapeutes
Architectes
Un nouveau paradigme ?
Hygiène tellurique
Hygiène électromagnétique
Hygiène alimentaire
• Privilégiez une alimentation saine et vivante, biologique, crue ou
cuite à basse température.
• Privilégiez les aliments riches en antioxydants, en polyphénols et
en vitamines.
• Augmentez la proportion d’antioxydants naturels. Faites-vous
des jus de légumes, de baies et d’orties.
• Favorisez l’élimination (bains dérivatifs, massages, exercices,
saunas, thérapie par le froid, etc.).
• Évitez les produits acidi ants faisant stocker les toxines sous
forme de graisses (les sucres, notamment ra nés) et les glucides
en général, qui sont aussi des sucres (pâtes, pain, riz, etc.).
• Évitez les aliments transformés, industriels, sans vitalité, et les
produits laitiers, le gluten, selon l’état de vos intestins.
• Accordez des temps de pause réguliers à votre organisme dans
l’apport de nourriture : jeûnes intermittents, cures-détox, jeûnes,
etc.
• Savez-vous que ce que vous mangez in uence le comportement
et les pensées ?
Hygiène cosmétique
Hygiène de l’eau
• Buvez une eau « vivante », ltrée avec une valeur de ppm (partie
par million) basse pour éviter les résidus médicamenteux et
hormonaux, les pesticides, les métaux lourds et autres pouvant s’y
trouver.
• Consommez une eau si possible « dynamisée ».
• Hydratez-vous su samment (1,5 à 2 litres par jour).
• Évitez l’eau stockée en bouteille plastique PET, l’eau très
minéralisée ou celle contenant du CO2.
Hygiène intestinale
Eva Dolezel
NOTES
www.editions-jouvence.com
SOMMAIRE
Avertissement
Introduction