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De la même autrice aux Éditions Jouvence :

La géobiologie par soi-même, c’est parti !

Également aux Éditions Jouvence :


La magie des synchronicités, Françoise Dorn
Méditation et pleine conscience : 7 étapes pour pratiquer, Christian Miquel
10 étapes clés sur le chemin du bonheur, Carl de Miranda
Le pouvoir du symbole, Mireille Rosselet-Capt
Manuel d’autohypnose, Patricia Emmerling
À la recherche du féminin perdu, Julie Cabot Nadal

Catalogue gratuit sur simple demande

Éditions Jouvence
Route de Florissant 97 — 1206
Genève — Suisse
Site Internet : www.editions-jouvence.com
E-mail : info@editions-jouvence.com

© Éditions Jouvence, 2020


© Édition numérique Jouvence, 2020
ISBN : 978-2-88905-828-0

Suivi éditorial : Stéphane Séréduik


Couverture : Virginie Cauchy
Maquette intérieure : Morgane Postaire
Images intérieures : © Éditions Jouvence
sauf AdobeStock ; couverture : © JenkoAtaman, p. 11 : © martialred, p. 59 : ©
, p. 127 : © BenStudioPRO.

Tous droits de traduction, reproduction et adaptation réservés pour tous pays.


LÉGENDE DES ENCARTS

Bon à savoir Attention Zoom

À retenir / Rappel Anecdote Conseil

Dans la pratique
AVERTISSEMENT

C e livre est une invitation à prendre conscience des ondes qui


nous entourent et qui peuvent s’avérer potentiellement nocives,
à connaître leurs in uences et à apprendre à diminuer notre propre
exposition et celle de notre entourage.
Après un état des lieux concernant les nocivités qui nous
impactent au quotidien, il devient primordial, pour ne pas dire vital,
de redécouvrir et d’appliquer la sagesse des Anciens concernant
leurs connaissances du sous-sol et de ses in uences sur la santé.
La Terre est quadrillée de réseaux telluriques, de croisements,
mais également d’autres manifestations qui, à ce jour, ne peuvent
pas être détectées par des appareils. Néanmoins, pour les localiser,
nous allons procéder comme l’ont toujours fait les sourciers de tout
temps et partout sur Terre : grâce à la radiesthésie, qui est une
détection sensible.
Il est important d’insister sur le fait qu’« être sourcier » est un vrai
métier, nécessitant de nombreuses années de pratique et
d’expérience. Ce livre vous propose une approche de la géobiologie
par la découverte, pour que vous puissiez être plus autonome a n
de localiser les éventuelles nuisances et nocivités, sans faire de vous
un sourcier professionnel.
En tentant de vulgariser des données complexes, cet ouvrage veut
rendre plus aisée la compréhension sans pour autant être un livre
scienti que. Attention : les pratiques et conseils proposés dans cet
ouvrage ne doivent pas se substituer à un avis ou à un traitement
médical.
Un manuel pratique de la même auteure est paru sous le titre La
géobiologie par soi-même, c’est parti !1.
INTRODUCTION

L a Terre émet des ondes, naturelles, parfois nocives pour


l’humain. Et l’humain crée des ondes, arti cielles, souvent
nocives pour lui-même ! Toutes ces ondes sont « invisibles », mais
leurs impacts sur notre qualité de vie et notre santé sont, eux, bien
réels. Vu l’augmentation des interactions en tous genres, la
connaissance de l’in uence d’un lieu est primordiale pour notre
bien-être.
Ainsi, qui choisirait, par exemple, de rester assis sur une chaise en
feu ? A priori, personne…
Et pourtant, beaucoup vivent cette situation, souvent de façon
involontaire, par méconnaissance – lorsqu’il s’agit d’ondes
telluriques – ou consciemment (ou pas) lorsqu’il est question
d’ondes électromagnétiques.
Au quotidien, nous entrons en interaction avec une quantité
insoupçonnée d’ondes, souvent nocives, et notre corps se fragilise.
Surviennent alors les douleurs inexpliquées, un sommeil perturbé,
une fatigue chronique…
S’il est di cile de combattre les ondes qui génèrent ces maux, il
est en revanche possible de s’en protéger ou, en tout cas, de
diminuer son exposition. Bien des mal-être trouvent souvent leur
solution dans de simples actions, faciles à mettre en œuvre.
Mais pour se protéger e cacement des ondes nocives, il faut
d’abord les repérer ! Et pour cela, il faut les connaître. Ceux qui
sentent que le monde est en train de changer à la vitesse grand V en
glissant vers une surconnectivité, une déconnexion du naturel, du
bien-être, au détriment de l’essentiel, vont certainement trouver des
clés ci-après.
Dans cet ouvrage, vous découvrirez l’importance du lieu sur les
êtres vivants et apprendrez à connaître, repérer et di érencier :
• les ondes telluriques (réseaux, failles…) ;
• les ondes électromagnétiques basses et hautes fréquences
(électricité, wi , téléphonie…) ;
• les ondes subtiles (mémoires des lieux, parasites énergétiques…).
Et, surtout, vous saurez comment vous en protéger !
Pour augmenter sa qualité de vie, il su t souvent de quelques
ajustements… géobiologiques !
L’INFLUENCE DU LIEU SUR LES ÊTRES VIVANTS

Vous avez dit « géobio » ?

L’étymologie du mot « géobiologie » repose sur l’association de


trois racines grecques : gèo (« la Terre »), bios (« la vie ») et logos
(« la parole », « le discours »).
La géobiologie est donc avant tout l’étude des in uences émises
par la Terre, mais également de leurs conséquences sur
l’environnement, sur le Vivant (qui comprend les végétaux, les
animaux et les humains). Son but est de préserver la santé en tenant
compte des in uences des ondes suivantes, qui seront détaillées par
la suite :
• les ondes telluriques et cosmiques ;
• les ondes électromagnétiques ;
• les ondes « énergétiques », chargées de mémoires.

Un environnement profondément modifié

En quelques siècles, et avec une accélération foudroyante durant


ces dernières décennies, notre environnement a été profondément
transformé, avec des changements importants impactant notre mode
de vie. De nos jours, notre organisme subit ainsi davantage
d’agressions et, de surcroît, de di érents types.

Le même organisme dans un environnement profondément modi é


Parallèlement au développement de la science et des technologies,
les connaissances d’un savoir ancien concernant le choix du lieu de
vie ont continué à être transmises : comment dé nir une zone saine
pour l’implantation d’un bâtiment ? Aujourd’hui, il serait bienvenu –
voire indispensable – d’appliquer ces connaissances à la base, lors de
nouvelles constructions. Tout le monde y gagnerait.
Le propos n’est bien évidemment pas de remettre le progrès
technologique en question, mais de tenir compte des incidences
et des dangers qui lui sont inhérents.
Nos aïeux n’étaient soumis qu’à une petite partie des pollutions
environnementales que nous subissons de nos jours. Ils n’avaient par
exemple pas d’autre choix que de manger des aliments bios et
« vivants ». En e et, le non-bio, la nourriture industrielle, les
pesticides, les OGM, les additifs alimentaires, les exhausteurs de
goût… n’existaient pas ! L’air ne contenait pas toutes les micro et
nanoparticules dont il est saturé aujourd’hui, et l’eau n’était pas
aussi chargée en résidus médicamenteux ou hormonaux, en
pesticides, en métaux lourds…
Nos ancêtres vivaient majoritairement en extérieur, en lien avec la
nature. L’électricité n’existait pas ou n’en était qu’à ses
balbutiements et, surtout, aucune technologie n’employait de
fréquences micro-ondes arti cielles.
Ils n’étaient pas non plus exposés (ou de façon si élevée que
nous) :
• aux pollutions électromagnétiques (électricité, ondes
hyperfréquences, téléphonie…) ;
• à la pollution sonore ;
• aux pollutions de l’air dues à l’industrie, à la circulation terrestre
ou aérienne… ;
• aux pollutions de la nourriture (pesticides, OGM, additifs et
polluants divers) ;
• aux pollutions de l’eau de boisson ;
• à la pollution des produits d’usage courant (cosmétiques,
produits ménagers…) en nanoparticules, perturbateurs
endocriniens, PEG, PPG et autres toxiques divers.

La sagesse ancienne

Au ve siècle av. J.-C. déjà, Hippocrate, père de la médecine


moderne, donnait une place importante à l’alimentation. Mais dans
son Traité des airs, des eaux et des lieux2, il accordait une place tout
aussi importante à l’in uence du lieu sur la santé des êtres vivants
et sur leur guérison : « Celui qui veut se perfectionner dans l’art de
guérir considérera comment l’endroit est disposé et s’informera du sous-
sol… »
La sagesse ancienne considérait donc déjà la nature du sous-sol
comme faisant partie intégrante des principes de santé, mais
également comme condition préalable pour la guérison.
Ainsi, les Anciens tenaient compte de ces in uences dans leurs
constructions, car ils en connaissaient l’importance ; les édi ces
d’envergure ont d’ailleurs été bâtis sur ces principes !
C’est ce qu’avaient compris les peuples premiers, dits
« primitifs » : proches de leurs ressentis et en contact avec la Terre
et la nature, ils avaient ce « sens tellurique instinctif », indispensable
à leur survie.

Les animaux savent…

Tout comme les humains, la plupart des animaux et des plantes


dépérissent sur les points dits « géopathogènes » (qui peuvent
induire des pathologies). Mais les animaux, généralement plus
instinctifs que nous, ne se placent pas d’eux-mêmes sur ces zones
néfastes pour leur santé. Ce n’est qu’au contact de l’homme que
certains d’entre eux tombent dans la « non-santé », notamment parce
que c’est l’humain qui dé nit leur emplacement de repos ou de
sommeil : la couche du chien, la cage des petits animaux de
compagnie, le box du cheval ou la ruche des abeilles.
Ces endroits sont, la plupart du temps, attribués de façon
arbitraire, sans tenir compte des in uences du sous-sol, et choisis
uniquement d’après des critères de commodité. Des apiculteurs se
sont par exemple rendu compte que, selon l’emplacement de la
ruche, les abeilles produisaient plus ou moins de miel : placées de
manière continue sur un point géopathogène, les abeilles s’épuisent
vite et la ruche dépérit.
Ainsi, certaines pathologies peuvent survenir suite au choix d’un
emplacement tellurique inadéquat pour l’animal. Elles sont en lien
direct avec ces ondes nocives qui agressent leur corps. Il n’en
serait pas ainsi si c’était l’animal qui pouvait choisir !
Pour la santé de tous vos animaux, testez d’abord
l’emplacement avant de leur attribuer et véri ez qu’il se trouve
bien en zone neutre.

Tonnerre, le cheval de saut coincé dans son box


Je reçus un jour une demande d’étude en géobiologie pour
Tonnerre, un cheval de saut qui, depuis son transfert d’écurie, se
tenait plaqué contre une des parois de son box (pourtant
spacieux), mangeait peu et avait un air abattu. Par ailleurs, son
attitude générale et ses performances aux entraînements
n’étaient guère encourageantes, alors que les dates de concours
approchaient à grands pas.
Testé grâce aux baguettes parallèles, le box de Tonnerre a révélé
une circulation d’eau qui le traversait en diagonale, doublée d’un
croisement de réseau Hartmann.
Si le cheval, animal sensible à son environnement, se serrait tout
contre le mur, c’était vraisemblablement pour rester dans la mince
zone neutre, le long de la paroi. Plusieurs autres box étaient libres
et l’un d’entre eux, situé essentiellement en zone neutre, lui fut
attribué.
Le lendemain de son « déménagement », Tonnerre se remit à
manger avec appétit et, dès la semaine suivante, la propriétaire
avait, selon ses dires, « retrouvé son cheval » : la vitalité de ce
dernier ainsi que ses prestations aux entraînements s’étaient
notoirement améliorées et cela se confirma au fil des jours
suivants.

Les effets sur les végétaux


La plupart des plantes ne poussent pas correctement à l’aplomb
d’une faille géologique ou de nocivités telluriques. Un arbre
(fruitier, ornemental ou une plante, même en appartement) mal
situé ne sera jamais verdoyant ni vraiment prospère et productif de
manière naturelle.
Ainsi, les arbres, qui ne peuvent évidemment pas se déplacer, se
soustraient comme ils le peuvent à la nocivité qui agresse leur
organisme, par exemple, ils se divisent, développent des
excroissances ou poussent complètement penchés.

Les e ets des nocivités sur les arbres

QUELLES SONT LES ZONES À RISQUES ?

La zone géopathogène

Le mot « géopathogène » vient de trois racines grecques : gèo (« la


Terre »), pathos (« la sou rance ») et gennân (« engendrer »,
« générer »). Une zone géopathogène désigne donc un endroit où des
ondes nocives pour les êtres vivants rayonnent depuis la Terre. Ces
ondes sont susceptibles d’induire di érents types de pathologies.
Une zone géopathogène constitue une source silencieuse et
invisible, mais agissante ! Son impact perturbe le système
endocrinien, la glande thyroïde, les glandes surrénales, le thymus et
les glandes génitales. Le déséquilibre s’installe alors, péjorant la
santé et la vitalité du corps physique.
Des liens étroits entre le risque de développer une maladie et la
nature du sous-sol ont pu être mis en évidence. Cette dernière
constitue un important facteur déclencheur de symptômes
légers ou de pathologies sévères, et ce d’autant plus que
l’exposition a lieu sur une période de temps importante
(pendant des mois, voire plusieurs années).
Ces emplacements chargés en ondes telluriques nocives sont,
malheureusement pour la majorité d’entre nous, invisibles.
C’est comme si, dans une salle d’attente où il y a plusieurs chaises
libres, une personne choisissait de s’asseoir justement sur celle qui
est en train de brûler… alors que les autres sont exemptes de tout
danger. Instinctivement, et surtout par bon sens, personne n’irait
s’asseoir sur la chaise qui ambe ! Et pourtant, dans la réalité, c’est
ce qui se produit quotidiennement. De nombreuses personnes
dorment même sur ces zones dangereuses sans en avoir conscience.
S’il existait des lunettes spéciales qui nous permettaient de voir les
points géopathogènes, personne ne se placerait au-dessus ! Les
animaux, eux, même sans lunettes, savent repérer de tels endroits et
les évitent. Nous verrons un peu plus loin comment faire pour les
localiser et les éviter, nous aussi !

Les ondes telluriques

Ces ondes sont dites « telluriques » car elles proviennent de la


Terre. Partant du sous-sol, parfois même de ses tréfonds, elles
s’élèvent verticalement vers le ciel, ou parfois en diagonale. Elles
peuvent être de di érentes natures selon leur origine : faille,
circulation d’eau souterraine, réseau, cheminée cosmo-tellurique,
etc.
Stationner durablement à l’aplomb ou sur le trajet de ces
ondes est nocif pour l’humain, tout comme pour la plupart des
êtres vivants (animaux, plantes, arbres, insectes, etc.). Or, notre
mode de vie, plus sédentaire qu’autrefois, nous amène justement à
rester bien plus longtemps aux mêmes endroits, qu’il s’agisse de
notre habitat ou de notre lieu de travail. Ainsi, un lit, un canapé ou
un bureau mal placés impliqueront des heures de nuisances et de
rayonnements qui agresseront notre corps tout au long d’une
journée, d’une nuit, d’une année, voire toute une vie…
Par ailleurs, toutes les nocivités telluriques sont fortement
ampli ées par les structures métalliques de nos constructions ou de
nos meubles, mais aussi par les champs électromagnétiques
arti ciels (abrégé « CEM ») générés par nos appareils électriques
(notamment ceux qui sont connectés sans l), de plus en plus
nombreux.

Quels phénomènes telluriques génèrent des ondes


nocives ?

Voici un récapitulatif des principales sources de nocivités


telluriques.
• Les croisements des réseaux qui quadrillent la Terre
(Hartmann, Curry, etc.) : à l’intersection de ces réseaux, les
zones sont troublées et perturbent le bon fonctionnement des êtres
vivants se trouvant à leur verticale.
• Les failles, cavités, discontinuités ou glissements de terrain :
ces phénomènes génèrent des champs géomagnétiques non
homogènes à la surface de la Terre, ainsi qu’une libération plus ou
moins importante de rayonnements gamma, qui sont de type
ionisant. Les failles constituent des zones très pathogènes.
• Les circulations d’eau souterraines : l’écoulement de l’eau
crée une friction contre les parois et génère une di érence de
potentiel électrique. Ce dernier « stresse » les cellules des êtres
vivants qui se trouvent à son aplomb, à la surface de la Terre.
• Les failles dites « humides » : parfois, une eau souterraine
circule à l’intérieur de la faille ou de la cavité. La nocivité est
alors grandement ampli ée par celle du courant d’eau.
Voici quelques troubles qui peuvent apparaître et/ou être
entretenus sur les zones perturbées :
• sommeil di cile ou non réparateur (insomnies, réveils
nocturnes) ;
• palpitations, arythmies et oppressions cardiaques ;
• fatigue chronique ;
• migraines ;
• infertilité, voire stérilité ;
• instabilité émotionnelle, irritabilité, nervosité.
La plupart du temps, en cas de malaise, d’inconfort ou de maladie,
nous sommes très loin de nous imaginer que nos symptômes
peuvent persister et même s’aggraver à cause de phénomènes qui
agissent sur nous à notre insu.
Et pourtant, en passant environ un tiers de notre vie à dormir – et
souvent, de nombreuses années au même endroit –, notre corps, à
l’aplomb de nocivités, est ainsi soumis à une exposition de longue
durée et répétitive.
Durant le sommeil, les défenses de notre corps sont
diminuées d’environ deux tiers, ce qui rend ce dernier d’autant
plus vulnérable. De plus, en position couchée, la surface de contact
du corps avec une potentielle nocivité est augmentée par rapport
aux positions debout ou assise. Le corps est donc doublement à la
merci des nocivités telluriques en position couchée et en état de
sommeil. D’où l’importance de bien choisir l’emplacement de son lit.

Les réseaux

La Terre est quadrillée par une multitude de réseaux qui sont


comme des murs invisibles, s’élevant généralement à la verticale. Ici
seront abordés uniquement les réseaux Hartmann et Curry, bien
qu’il en existe une multitude d’autres, selon ces mêmes
con gurations. Leur classi cation se fait en deux catégories :
• les réseaux orthogonaux dont les axes sont nord-sud (N-S) et est-
ouest (E-O) ;
• les réseaux diagonaux NE-SO et NO-SE.
Ces réseaux naturels peuvent apparaître selon de nouvelles
con gurations ou en conséquence des in uences qu’ils subissent.
C’est notamment le cas lors de la mise en fonction d’un nouveau
réseau électrique.
Selon certains géobiologues, les réseaux seraient polarisés et
constitués d’une alternance de bandes positives et négatives à
l’intérieur de leur quadrillage, ces dernières étant plus nocives pour
le Vivant.

Une perturbation répétée, occasionnée par un point


géopathogène, même faible, fragilise le corps. Veillez donc, au
quotidien, à vous soustraire à la majorité des expositions.

La régularité des bandes, quel que soit le réseau, indique la


qualité biotique d’un terrain.

Le réseau Hartmann

Le « Grand Réseau Global », découvert par le Dr Hartmann, est dit


« universel » car il se trouve partout sur Terre.
Il quadrille la planète avec un espacement des bandes N-S
d’environ 2 mètres, et de 2,5 mètres entre les bandes E-O.
L’épaisseur des bandes varie selon les endroits mais, en zone neutre,
elle est d’environ 21 cm. Le quadrillage, régulier, s’élève à la
verticale.
Entre les bandes, les zones sont considérées comme neutres. Par
contre, sur les croisements de bandes, les zones sont perturbées et
nocives. Ces « nœuds Hartmann » sont des points géopathogènes.
Tous les 10 mètres environ, des bandes plus larges, nommées
« lignes doubles », apparaissent. Elles ont une largeur double, soit
environ 42 cm, et leurs croisements sont encore plus actifs (et donc
encore plus nocifs).

Le réseau Hartmann

Le réseau Curry

Le réseau Curry, ou « Réseau Diagonal », découvert par le Dr


Curry, est aussi dit « universel » car on le retrouve un peu partout
sur Terre. Ce réseau quadrille la planète en suivant les axes NE-SO
et NO-SE. Ses bandes ont une épaisseur de 40 cm et sont espacées en
moyenne de 4 mètres, dans les deux orientations.
Comme pour le réseau Hartmann, les zones entre les bandes sont
considérées comme neutres. Par contre, sur les croisements de
bandes, les zones sont perturbées et donc géopathogènes. Elles
engendreraient une surmultiplication des cellules.
Le réseau Curry comporte également des bandes doublement plus
épaisses. Elles peuvent même, par endroits, atteindre une largeur
allant jusqu’à 120 cm ! La nocivité est alors d’autant plus importante
et étendue.
De plus, comme le réseau Curry a tendance à s’élargir fortement
durant la nuit, il peut engendrer des troubles de sommeil.
Le réseau Curry

Le point étoile

Le point étoile est la superposition de croisements de deux


réseaux di érents. Il est généralement formé par une zone de
croisement du réseau Hartmann et une zone de croisement du
réseau Curry.
C’est donc une zone particulièrement active et agressive, qui
perturbe fortement le fonctionnement des cellules, des organes et
des glandes endocrines. Elle a ecte négativement tout organisme
vivant dans son environnement immédiat.
Le point étoile fait partie de ces zones à éviter absolument. Il est
recommandé de ne pas s’y exposer, ni longtemps, ni souvent !
Le point étoile

Le réseau horizontal

Généralement, les détections sont axées sur les réseaux et autres


nocivités à localiser à la verticale, autrement dit, sur des ondes qui
s’élèvent de la Terre vers le ciel. Cependant, il existe également des
réseaux horizontaux. Ceux-ci viennent s’enchevêtrer avec les bandes
de réseaux verticaux, formant ainsi la composante de la troisième
dimension. L’épaisseur des bandes horizontales est d’environ 21 cm
et elles sont espacées de 2,20 m à 3 m.
Si un croisement est détecté à la verticale et qu’il est en plus
coupé par un réseau horizontal, cela donne un croisement d’au
minimum trois bandes de réseaux (mais souvent davantage) à un
même endroit.
Les hauteurs à tester en priorité sont évidemment toutes celles
auxquelles des personnes ou des animaux risquent d’être exposés :
matelas, cou ns, chaises, canapés, cages, couches, etc.

Le réseau horizontal
Le plus simple, lors d’une recherche de zones géopathogènes,
est de procéder à la localisation de TOUTES les nocivités aux
endroits où le temps passé assis ou allongé est important (lit,
bureau, canapé, etc.) et d’échapper à leur influence en se
déplaçant de façon latérale.

Les failles géologiques

Une faille est une fracture géologique, également appelée


« discontinuité de terrain ». Elle peut apparaître lorsque des
matériaux de natures di érentes sont en contact et qu’il se crée une
ssure, à cause d’un glissement ou du déplacement d’une ou des
deux parties, créant une discontinuité au niveau des strates. Les
failles constituent les points géopathogènes les plus dangereux
pour la santé.

Illustrations de di érents types de failles


Cuve vide non ventilée (produit un e et de faille)
Le phénomène de discontinuité de terrain produit un déséquilibre
du champ magnétique terrestre. Un rayonnement gamma plus
important est libéré à cause de la faille. Étant ionisant, il est donc
su samment puissant pour transformer les atomes en ions et
éventuellement rendre la matière instable, avec pour e et une
multiplication des radicaux libres chez l’être vivant qui se trouve sur
son passage. Le rayonnement gamma étant de type radioactif, il
arrache des électrons à toute matière qu’il traverse et peut donc
aussi perturber les appareils électroniques.
La plupart du temps, la faille n’est que rarement visible à la
surface du sol, mais sa présence peut parfois être trahie par des
ssures sur un mur, sur un carrelage, ou par un matériau craquelé.
Généralement, même après réparation, la ssure réapparaît tôt ou
tard, puisque le rayonnement gamma à l’origine du phénomène
continue à être actif.
Il est également à noter que les in uences des failles et leurs e ets
nocifs sont considérablement ampli és par les CEM (les champs
électromagnétiques) générés par les appareils techniques et
technologiques.
Tout comme c’est le cas pour les autres nocivités, une faille
détectée au rez-de-chaussée est toujours active dans les étages
supérieurs ! Donc habiter au dixième étage d’un immeuble n’y
changerait rien.

L’écorce terrestre étant en mouvement, de nouvelles failles


peuvent apparaître à des endroits où il n’y en avait pas
auparavant, comme c’est aussi le cas pour les réseaux.
L’apparition de nouvelles failles est également accélérée de
manière sensible aux abords des zones de forage.

L’importance de l’emplacement du lit


La maman de Johan, un enfant de 10 ans, m’a contactée
spécialement pour son fils, à qui les médecins ont diagnostiqué
une leucémie. Il était en train de subir une série de traitements en
chimiothérapie.
L’analyse de l’appartement a relevé que le lit de Johan était
entièrement traversé par une faille de la largeur du lit. De plus,
des croisements de réseaux ainsi qu’un champ
électromagnétique basses fréquences le long des deux parois qui
longeaient le lit étaient présents.
Johan dormait dans cette chambre depuis sa naissance, soit 10
ans !
La faille était également présente ailleurs dans l’appartement,
mais problématique uniquement dans la chambre de Johan. En
effet, elle passait aussi dans la chambre des parents, mais sur
l’extrême bord, puis terminait dans le couloir et le dressing. La
troisième chambre, celle de la sœur, n’était pas du tout affectée
par cette faille.
Des ajustements et corrections en géobiologie ont été apportés.
Un bioswitch, ou « interrupteur automatique de champs » (IAC), a
été mis en place dans les chambres à coucher, avec des conseils
concernant l’installation d’un mode de connexion filaire (par câble,
sans wifi) pour les ordinateurs et tablettes afin de diminuer au
maximum les nuisances électromagnétiques hyperfréquences
dues aux objets connectés dans l’appartement tout entier.
Après ces ajustements, Johan est entré dans une très bonne
phase de récupération !

Les circulations d’eau souterraines

Sous la surface terrestre se trouvent des eaux souterraines, en


contact direct avec le sol ou le sous-sol. Certaines de ces eaux
circulent et s’écoulent : la friction de l’eau contre les parois crée une
di érence de potentiel électrique à la verticale de la rive. Ce
phénomène génère un stress pour les cellules de l’organisme vivant
qui se tient à sa verticale.
Divers troubles engendrés par ce phénomène ont été constatés :
incontinence, ralentissement ou réduction de la croissance chez
l’enfant, l’animal ou le végétal, di cultés de concentration,
apparition de mal-être et de maladies plus lourdes.
La structure moléculaire de l’eau agit non seulement comme un
transmetteur, mais également comme un récepteur d’informations
chimiques, énergétiques et vibratoires. Et comme notre corps est
composé à plus de 70 % d’eau, imaginez toutes les implications et
interactions qui ont lieu par résonnance (avec l’eau à l’extérieur et
celle à l’intérieur de notre corps) !
Ainsi, il est judicieux d’éviter de se trouver à l’aplomb d’un
écoulement d’eaux usées, d’une fosse septique ou d’une eau ayant
transité par une décharge ou un ancien cimetière : tous véhiculent,
en plus de la nocivité engendrée par l’écoulement de l’eau, des
informations négatives impactant le Vivant. C’est le
phénomène de la « mémoire de l’eau ».

Comme pour toutes les autres nocivités d’origine tellurique


naturelle, déplacez-vous latéralement pour sortir de son champ
d’influence.

Les cheminées cosmo-telluriques

Parsemées sur Terre, les cheminées cosmo-telluriques (abrégé


« CCT ») sont des sortes de colonnes par lesquelles l’énergie monte
et descend. Ce phénomène peut être comparé à une respiration. La
phase tellurique (celle qui provient de la Terre) est généralement
d’une durée supérieure à la phase cosmique (celle qui provient du
ciel).
Chaque CCT a son propre rythme de respiration. Son diamètre
peut varier entre une dizaine de centimètres et plusieurs mètres, et
toutes les CCT semblent avoir un e et nocif sur le Vivant. Et
comme, en plus, l’énergie aux abords des CCT est toujours en
mouvement, il est préférable de ne pas dormir dans leur champ
d’action.

Le radon

Le radon est un gaz naturel radioactif, inodore, incolore et sans


aucun goût, qui émane des roches du sous-sol à travers des
discontinuités et des failles géologiques. Il peut s’échapper,
remontant à la surface jusqu’à pénétrer à l’intérieur des maisons ou
des bâtiments et s’y accumuler, sans que personne ne s’en rende
compte. Un défaut de ventilation peut être la cause de son
accumulation dans les locaux.
La pénétration du radon dépend des caractéristiques propres de
l’habitat, de la nature du sous-sol, des conditions climatiques et des
habitudes de vie des habitants. De plus, comme le radon se dissout
facilement dans l’eau, il peut contaminer les eaux souterraines par
contact.

L’in ltration du radon dans la maison


Le radon constitue la troisième source de pollution après la
pollution automobile et celle du tabac. Près de 10 % des cancers
pulmonaires lui sont imputés en France, plus de 15 % aux États-Unis
et quelque 500 nouveaux cas de cancer du poumon dus au radon
sont recensés chaque année en Belgique. Ce pays a d’ailleurs décidé
d’abaisser les seuils autorisés (mesurés en becquerels) en passant de
400 Bq/m3 à 300 Bq/m3 ; ce sont donc désormais pratiquement
80 % des habitations qui sont concernées.
• Véri ez à l’aide de cartographies du radon (répertoriées par pays
et disponibles sur Internet) si votre lieu d’habitation se trouve en
zone sensible.
• Vous pouvez aisément procéder à des relevés de radon par
l’intermédiaire de dosimètres fournis par un laboratoire ad hoc.
Placés pendant un certain nombre de semaines dans les pièces à
évaluer, les dosimètres seront ensuite renvoyés au laboratoire qui
vous les a fournis, pour analyse.
Voici les correspondances entre les valeurs relevées et les mesures
de précaution.
• Moins de 100 Bq/m3 : risques pour la santé peu élevés. On
préconise une aération quotidienne de tout le logement pendant
au moins dix minutes.
• De 100 à 200 Bq/m3 : valeurs légèrement trop élevées pour les
enfants, les femmes enceintes et les fumeurs. Il convient
d’augmenter considérablement l’aération, au risque que la
concentration devienne dangereuse.
• De 400 à 1 000 Bq/m3 : risque réel pour la santé. Il faut prendre
très rapidement des mesures d’étanchéité.
Le seuil de concentration du radon xé par l’OMS pour les
particuliers est de 100 Bq/m3. Les seuils réglementaires concernent
les lieux publics, pour lesquels la valeur limite uctue entre 400
Bq/m3 et 1 000 Bq/m3.
En France, bien que plusieurs départements aient un fort risque de
dépassement de cette valeur limite en raison de leur emplacement
géographique, il n’existe cependant pas encore de réglementation à
ce sujet.

La superposition des nocivités

La superposition des nocivités, quelle que soit leur profondeur ou


leur nature, engendre une démultiplication des nuisances. Ce n’est
pas seulement une addition de nocivités qui en résulte, mais une
courbe exponentielle d’e ets biologiques préjudiciables pour le
bien-être et la santé.
Si un croisement de réseau se superpose à une circulation d’eau
souterraine, il s’en trouve d’autant plus renforcé et possédera une
in uence encore plus néfaste sur la santé des êtres se trouvant à son
aplomb. De plus, l’eau propage et di use les informations du réseau.
Une circulation d’eau souterraine croisant une faille ou la
présence d’eau dans une faille (dite « faille humide ») sont des
phénomènes couramment rencontrés. De plus, si l’eau circulant dans
le sous-sol est polluée, la nuisance engendrée à la surface sera
ampli ée du fait de l’information négative véhiculée sous forme de
mémoire par l’eau.
Si une faille humide croise un nœud Hartmann ou une CCT,
et ce, même à des profondeurs di érentes, les e ets de ces
nocivités se multiplieront et leurs activités agressives
respectives seront ampli ées.
Si vous résidez dans une région où il y a une présence de radon,
recherchez également les failles géologiques. Le radon s’y in ltre
facilement : tous deux sont invisibles et inodores, mais extrêmement
nocifs !
Si une émanation de radon croise une circulation d’eau, l’eau,
comme nous l’avons vu, en sera chargée et contaminée.
L’in uence des nocivités extérieures sur la vie à l’intérieur

Un couple au bord de la séparation


Un couple habitait une petite maison avec ses deux gentils
chiens : Nomax et Maxwi.
Les chiens dormaient ensemble dans la bibliothèque, où chacun
avait un grand panier et de l’espace pour bouger. Mais, chaque
nuit, plusieurs fois et à tour de rôle, ils grattaient la porte ou
gémissaient, et ce, suffisamment longtemps pour pousser l’un des
deux maîtres à se lever… et à les gronder.
Ce couple aimait ses chiens, mais les deux partenaires étaient
exténués de devoir se lever chaque nuit à cause d’eux. L’idée de
devoir s’en séparer revenait régulièrement sur le tapis, sans pour
autant réussir à passer à l’acte. Plusieurs solutions avaient déjà
été tentées : visite chez le vétérinaire, complémentation avec des
plantes, médecines douces pour apaiser, travail en
communication animale intuitive et aussi intervention d’un
dresseur comportementaliste. Rien n’y faisait. Finalement, une
dernière issue fut envisagée : la géobiologie. Après la recherche
des différentes nocivités, il s’est avéré que la pièce où dormaient
les chiens était traversée par une faille humide (passant sous
chacun des paniers où étaient censés dormir les chiens). Il y avait
également un croisement de réseau sur l’un des paniers et une
CCT à côté de l’autre.
Après les nettoyages d’usage et les ajustements telluriques, les
chiens semblaient même contents de retrouver leurs paniers
respectifs et d’aller se reposer. Depuis l’intervention, tout le
monde dort d’un sommeil profond et réparateur, sans être
réveillé… et la relation du couple s’est notoirement améliorée !

Comme vous pouvez vous en rendre compte, il existe une


multitude de nocivités. Nous sommes tous concernés et, de nos
jours, plus personne ne peut prétendre vivre dans un endroit où il
n’y a aucune nocivité tellurique. Elles sont même bien souvent
superposées ! Et c’est sans compter les interactions avec les champs
électromagnétiques, que nous découvrirons dans la deuxième partie.

COMMENT DÉTECTER LES NOCIVITÉS ?

La radiesthésie et ses outils

Aucun appareil de mesure scienti que able n’a encore été


inventé pour détecter les nocivités telluriques. La radiesthésie est
donc, à ce jour, la principale méthode de recherche employée en
géobiologie pour détecter et localiser les zones géopathogènes. De
plus, la radiesthésie permet les mesures du taux vibratoire (TV) et
celles du potentiel de vitalité (PV), qui seront détaillées juste après.
Comme la plupart des animaux, le corps et le cerveau de l’être
humain contiennent une quantité importante de magnétite, un métal
sensible aux champs magnétiques et qui réagit beaucoup plus
fortement que tout autre matériau biologique. C’est grâce à ces
cristaux de magnétite que notre corps, se comportant comme une
véritable antenne, est justement capable de détecter les anomalies
du sous-sol. À l’aplomb de la nocivité, il réagit par des
microvibrations musculaires, généralement imperceptibles.
A n de les ampli er pour les rendre visibles, il est habituel de
s’aider d’outils de détection, comme les baguettes parallèles. Il en
existe de nombreux autres et, selon son a nité, chacun sera
spontanément attiré par un outil plutôt qu’un autre. Les baguettes
parallèles coudées constituent cependant l’outil de détection le plus
universel et le plus facile d’emploi.

Les baguettes parallèles


Elles permettent la détection de tout ce qui concerne le tellurisme
(réseaux telluriques, failles, circulations d’eau), mais également la
localisation d’un point spéci que ou d’un objet, et peuvent
également être employées pour l’évaluation de l’amplitude du
champ vital d’une personne.
Quand il s’agira de recherches plus précises, sur carte ou cadran
par exemple, il sera alors préférable d’employer le pendule. Pour des
questions pratiques et de facilité d’emploi, seules les utilisations des
baguettes parallèles et du pendule seront abordées ci-après.

Vibrations et vitalité

La radiesthésie est la méthode de détection employée en


géobiologie pour les mesures du taux vibratoire (TV) et du potentiel
de vitalité (PV), pour lesquelles le pendule sera utilisé.
Si vous souhaitez davantage d’explications et d’exercices
pratiques, vous pouvez vous référer à l’ouvrage La géobiologie par
soi-même, c’est parti !3.

Le taux vibratoire (TV)

Dans les années 1930, Alfred Bovis a e ectué de nombreuses


recherches et s’est rendu compte que tous les objets, les lieux ou les
êtres vivants étaient pourvus d’un degré de vibrations qui leur était
propre, selon leur état et à l’instant T. Dans cette optique, il mit au
point son fameux « biomètre de Bovis » a n de mesurer ces
di érentes radiations. Cette évaluation porte le nom de « mesure du
taux vibratoire ».
Elle comporte la valeur plancher de 6 500 UB (unités Bovis),
référence correspondant au taux vibratoire de la Terre à cette
époque. Ainsi, un être ou un objet vibrant à cette fréquence était
alors considéré comme neutre.
Malgré le fait que cette valeur de référence ait évolué depuis lors,
la valeur plancher a été conservée et reste utilisée comme étalon de
base.
Prenons pour exemple le taux vibratoire d’un arbre et
interprétons-le.
• Valeur supérieure à 6 500 UB : l’arbre vibre plus haut que la
moyenne, il est donc en très bonne santé et pousse certainement
sur un endroit exempt de nocivités telluriques.
• Valeur inférieure à 6 500 UB : l’arbre n’est pas au mieux de son
état car il lui manque des éléments (zone neutre, nutriments,
exposition, etc.).
• Valeur proche de zéro : indique un état mourant (à zéro, c’est la
mort physique).
Les échanges d’énergies sont continuels et présents partout dans
l’univers, donc aussi dans notre environnement proche…
Malheureusement, un environnement « standard » se situe
généralement bien en dessous des 6 500 UB, valeur minimum
requise.
Chez un être vivant, une mesure du TV inférieure à la norme
relève la plupart du temps d’une hygiène de vie peu saine :
• consommation fréquente d’alcool, de cigarettes, de médicaments
ou de drogues ;
• alimentation industrielle, aliments transformés, « morts », ayant
subi des traitements chimiques, des ionisations ;
• ingestion répétée de toxiques, de pesticides ;
• hydratation insu sante ou avec une eau chargée en métaux
lourds, en chlore, en pesticides, en résidus médicamenteux,
hormonaux… ou une eau trop minéralisée, ou provenant de
bouteilles en PET, avec BPA ou d’autres substances se dégradant
dans l’eau ;
• durée d’activité physique insu sante ;
• durée insu sante et/ou qualité de sommeil médiocre ;
• utilisation de produits usuels contenant plus ou moins de
toxiques (produits ménagers, de bricolage, cosmétiques, etc.) ;
• hébergement de parasites énergétiques, pensées récurrentes ou
négatives, stress, etc.
Pour rester en bonne santé, il est important, à défaut de
l’augmenter, de pouvoir au moins conserver une valeur de
vibrations haute, au minimum égale à 6 500 UB, voire plus.
Mais réussir à maintenir ce taux vibratoire n’est pas chose aisée dans
notre environnement quotidien, où tout concourt à le faire
descendre.
Cependant, et en connaissance de cause, nous avons le choix de
décider de quelles personnes, lieux et objets nous nous entourons !

La majorité des produits cosmétiques, même ceux qui sont bios,


n’atteignent pas le taux vibratoire minimal requis pour maintenir le
nôtre ! Comme la peau constitue notre plus grand organe
d’absorption, elle ne restera en santé que si elle est nourrie et
hydratée de manière optimale, avec des produits adaptés,
naturels, sains et vivants, et possédant un taux de vibrations
élevé !
Soyons donc attentifs à tous ces produits dont nous enduisons
notre peau ! Qu’ils soient, sinon comestibles, du moins exempts
d’ingrédients nocifs car, par diffusion, ils affecteront également
nos corps énergétiques !
Si le produit testé possède un TV supérieur à 6 500 UB, il sera
donc favorable à la santé et au maintien de notre propre TV ; s’il
possède un TV inférieur à 6 500 UB, sa valeur de vibrations ne
sera pas suffisante pour maintenir notre santé et notre équilibre
vibratoire… Le corps devra alors faire un effort de réajustement et
se servir ailleurs pour combler cette quantité énergétique
manquante.

Il faut savoir que les vibrations d’un objet peuvent être stimulées
grâce à la dynamisation. La mesure du TV ne re ète alors plus l’état
« naturel » du sujet testé. Dès lors, il devient intéressant de
compléter la mesure avec le potentiel de vitalité (PV).

Le potentiel de vitalité (PV)

Le potentiel de vitalité apporte de nouvelles informations quant à


la qualité de l’élément testé. C’est donc un complément à la mesure
du taux vibratoire. Comme pour cette dernière, la mesure du
potentiel de vitalité s’e ectue à l’aide du pendule et d’un cadran
universel gradué.
Ainsi, une salade dont le TV de référence est de 6 200 UB (donc
relativement acceptable) peut, malgré cela, a cher un pourcentage
de vitalité de seulement 35 %. Cette salade aura probablement été
dynamisée (vu son TV satisfaisant), mais sa nature biologique, peu
compatible avec le Vivant, se traduit par un potentiel de vitalité
faible, qui pourrait trahir son mode de culture, par exemple avec
l’apport d’engrais chimiques, l’utilisation de pesticides, une eau ou
une terre polluée, etc.
En e et, le processus de dynamisation ne fait pas de distinction
entre les di érents ingrédients. Ainsi, les éventuels pesticides,
produits chimiques, métaux lourds… seront eux aussi
dynamisés !

Beaucoup pensent qu’il suffit de dynamiser un aliment (grâce à un


outil ou un dispositif quelconque, plus ou moins fiable) pour
transformer miraculeusement un aliment de qualité médiocre en
un produit d’excellente qualité. Ce n’est malheureusement pas
ainsi que cela fonctionne. Un aliment de mauvaise qualité le
restera malgré le processus de dynamisation.

Effectuez vos premières mesures

Les recherches sur cadran ont notamment pour but de mesurer les
taux vibratoires, les potentiels de vitalité, mais peuvent également
être utilisées pour de nombreuses autres recherches. Elles
nécessitent surtout un état d’esprit approprié.

Ne pas vouloir, ne rien espérer

Avant toute chose, il est important de se placer dans des


conditions propices à la réussite. La recherche de données ables
implique d’être prêt à recevoir n’importe quelle réponse, sans
chercher à l’orienter (consciemment ou non) dans un sens ou dans
un autre.
Ainsi, l’opérateur ne cherche pas à satisfaire sa volonté ou à
valider ses espoirs : c’est la partie la plus di cile, mais c’est aussi le
prérequis indispensable à toute démarche sérieuse en radiesthésie.
Il est important d’être capable de se détacher de tout cela
a n d’obtenir des réponses ables, c’est ce qui est
communément appelé le « lâcher-prise ».

La convention mentale

La convention mentale est une sorte d’accord passé avec soi-même


quant à l’interprétation du résultat. Sa bonne mise en place est la
base qui va permettre de traduire, par des réponses appropriées, les
micromouvements du corps qui, rappelons-le, est une grande
antenne. Ces mouvements seront ensuite ampli és grâce à
l’utilisation des outils de détection sensible.
Avant chaque mise en pratique, il est important de concentrer ses
ressentis vers l’information recherchée a n d’obtenir une réponse
able, en accord avec la convention établie.

La mesure du taux vibratoire

Pour plus de facilité et de précision dans la mesure, vous pouvez


dessiner ou imprimer un cadran de plus grande taille. Cela vous
permettra de déterminer la valeur vers laquelle le pendule pointera
avec davantage de précision.
L’échelle de mesure du taux vibratoire
Convention mentale : « Je cherche le taux vibratoire de…
(nommez l’objet). »
Prenez l’objet dans une main et le pendule dans l’autre. Si l’objet
est trop volumineux ou trop lourd pour être porté, posez simplement
votre main dessus.

La prise en main du pendule


1. Installez-vous confortablement, si possible les deux pieds au
sol, au calme, sans risque d’être dérangé. Pensez également à vous
délester de votre téléphone portable ou de tout appareil électrique
ou électronique (qui pourrait perturber la mesure).
2. Positionnez le pendule au-dessus du cadran de mesure du TV,
au niveau du cercle central.
3. Lorsque le pendule est immobile, donnez-lui une petite
impulsion en direction de la valeur 0 a n qu’il se balance ensuite
naturellement le long de l’axe horizontal du cadran.
4. Pensez à l’objet de votre recherche et prononcez votre
demande : « Je cherche le taux vibratoire de… »
5. Laissez le pendule se balancer. Votre main doit rester souple et
immobile. Vous ne cherchez pas à trouver la valeur qui vous
« arrange », ou qui correspond à vos attentes ou désirs : vous
cherchez la valeur juste, « vraie », en dehors de toute
considération personnelle.
6. Le pendule va continuer sa course naturellement. Bientôt, vous
allez vous apercevoir que sa trajectoire dévie de l’axe horizontal
pour pointer vers d’autres valeurs. Il va passer de 0 à 500 UB, puis
1 000, 2 000, etc.
7. Restez concentré sur votre demande.
8. Le pendule va nalement cesser sa montée pour pointer vers
une valeur en particulier. Relevez-la : il s’agit (très
vraisemblablement) de la réponse à votre demande, matérialisée
par la valeur du taux vibratoire que vous recherchiez.
Au début, vous aurez peut-être un peu de mal à vous focaliser sur
votre recherche, car des pensées parasites pourront surgir. C’est
normal. Il est rare de tout réussir du premier coup ! Pour autant, ne
vous découragez pas : n’oubliez pas que votre corps est
naturellement pourvu de cette capacité de détection que vous
cherchez à développer, alors continuez l’entraînement et vous verrez
que, petit à petit, vos ressentis vont s’a ner, votre esprit va devenir
plus calme, plus clair et moins impatient.

La mesure du potentiel de vitalité

La manière de procéder est identique à celle de la recherche du


taux vibratoire, sauf que vous utiliserez un autre cadran, dit
« universel ».
La mesure du PV permet notamment de connaître :
• le pourcentage de vitalité de l’élément testé ;
• le pourcentage auquel l’élément testé peut être amélioré ;
• le pourcentage de compatibilité entre cet élément et un autre, ou
soi-même.
L’échelle de mesure du potentiel de vitalité
Il est possible de tester un aliment, un complément alimentaire,
une posologie, une personne, un lieu de vie, une décision, une
situation, etc.
Prenons l’exemple du PV d’une salade.
• Valeur comprise entre 85 et 100 % : c’est une salade qui possède
une bonne vitalité et qui est pratiquement au maximum de son
potentiel.
• Valeur comprise entre 45 et 85 % : c’est une salade de qualité
très moyenne, qui manque notoirement de « vie ».
• Valeur inférieure à 45 % : c’est une salade qui est mourante,
presque « morte ». C’est souvent le cas quand la salade a été
récoltée il y a plusieurs jours et qu’elle est en train de commencer
à étrir.

La prise en main des baguettes parallèles et l’état


d’esprit

Comme nous l’avons vu, de nombreuses nocivités peuvent être


présentes autour de nous, et plus particulièrement au sein même de
notre domicile ou sur notre lieu de travail. Dans ces cas-là, nous
utiliserons de préférence les baguettes parallèles, qui sont plus
adaptées pour localiser les points pathogènes.
En position debout, tenez une baguette dans chaque main, par le
milieu du manche, de manière souple et sans crisper vos mains, vos
bras le long du corps, les avant-bras échis à angle droit par rapport
au corps.

La prise en main des baguettes


Vos mains sont écartées de la largeur de votre torse pour laisser
libre cours aux baguettes si elles doivent se rapprocher l’une de
l’autre, se croiser ou s’écarter.
Inclinez-les légèrement vers le bas tout en les gardant parallèles
pendant qu’elles sont en position d’attente.

En réponse à une intention de recherche, les baguettes se


ferment en se croisant, par exemple en présence d’une circulation
d’eau souterraine, d’un réseau ou du point recherché. Si vos
baguettes ne possèdent pas de poignées isolées qui pivotent sur
elles-mêmes, il est important de ne pas les serrer trop fortement
dans les paumes, sous peine qu’elles ne puissent plus tourner.

Dans un premier temps, entraînez-vous à marcher en maintenant


les baguettes en position parallèle, sans intention de recherche.
1. Déplacez-vous lentement, puis augmentez l’allure, faites des
changements de direction, arrêtez-vous puis reprenez.
2. Les baguettes doivent toujours rester parallèles et garder la
même inclinaison, quels que soient la position ou les mouvements
de votre corps ; elles ne doivent ni bouger seules, ni tourner, ni se
croiser.
3. Entraînez-vous ! C’est la partie la plus di cile, mais persévérez
a n de pouvoir passer à l’exercice suivant.
Réussi ? Maintenant que le plus dur est fait, nous allons aborder
la détection à proprement parler.
A n de réussir ses recherches, il est nécessaire de tenir les
baguettes de manière très souple. De la même façon, le mental doit
se trouver sur un mode « souple » ; le lâcher-prise est de mise et
constitue une condition préalable à la réussite de votre recherche :
ne rien vouloir et ne rien espérer pour ne pas in uencer le résultat,
tout en restant concentré sur le but de la recherche !

Localiser les nocivités telluriques

Lorsque le corps humain se trouve à l’aplomb d’une anomalie


dans le sous-sol, il entre en résonnance avec cette dernière et réagit
avec des microvibrations rarement perceptibles à l’œil nu. C’est
grâce aux outils de détection que ces microtressaillements vont être
ampli és et que l’anomalie sera détectée.

La recherche d’une circulation d’eau

Pour les recherches en extérieur ou sur des surfaces importantes,


comme nous l’avons déjà vu, les baguettes sont généralement
privilégiées.
Au début, entraînez-vous sur des sites où vous pouvez véri er
visuellement vos recherches. Par exemple, vous pourriez commencer
par détecter la présence d’eau aux abords d’une rivière ou en
passant au-dessus d’un pont. Ces exercices vous permettront de vous
familiariser avec vos ressentis.
Détection d’une circulation d’eau souterraine à l’aide des baguettes
parallèles
Cette fois encore, il est important de ne rien induire : vous savez
qu’il y a de l’eau qui coule sous le pont sur lequel vous marchez !
Votre intention doit être de repérer le passage de l’eau. C’est donc
bien votre corps qui doit traduire cette détection, et non votre
mental.
Mettez-vous en condition, concentrez-vous sur votre recherche (et
rien que votre recherche) en répétant votre convention mentale
avant de vous lancer.
Convention mentale : « Les baguettes se ferment à l’aplomb de la
circulation d’eau. »
Avancez lentement et de manière perpendiculaire au cours d’eau.
• Si les baguettes se croisent alors que vous vous trouvez
justement à l’aplomb du cours d’eau : bravo, vous avez réussi à le
localiser ! Faites cependant encore plusieurs essais a n d’ancrer
cette sensation dans votre corps.
• Si les baguettes restent parallèles, même au-dessus du cours
d’eau, alors vous n’êtes peut-être pas su samment concentré.
Concentrez-vous davantage sur votre recherche et recommencez
la détection. Forcez les baguettes à se croiser et à imprimer cette
réaction au-dessus du cours d’eau et ce, à plusieurs reprises.
Une fois que cette sensation a été expérimentée, vous pourrez
entreprendre de faire votre recherche dans un lieu où la circulation
d’eau n’est pas visible, idéalement, dans un endroit où quelqu’un de
votre entourage connaît l’emplacement d’un puits ou d’une
circulation d’eau souterraine non visible, pour valider vos nouvelles
sensations.

Pour réussir sa première recherche…


• Se faire confiance !
• Se trouver dans un bon état d’esprit.
• Être en bonne forme physique et reposé (interrompre la
recherche en cas de fatigue).
• Se concentrer uniquement sur la chose recherchée ou sur la
demande formulée.
• Être bien au clair avec sa convention mentale.
• Laisser le téléphone portable à distance ou éteint.
• S’entraîner, dans un premier temps, à des recherches avec
des réponses vérifiables, pour gagner en confiance : courant
d’eau visible, objet caché par une tierce personne, recherches
sur cadrans…

Déterminer la largeur de la circulation d’eau

Vous pouvez a ner votre recherche en déterminant la largeur de


la circulation d’eau. Pour cela, vous pouvez formuler votre demande
ainsi : « Je cherche la première rive de la circulation d’eau. »
Utilisez des objets que vous poserez au sol a n de matérialiser la
première, puis la seconde rive que vous repérerez. La localisation
des deux rives vous donne la largeur de la circulation d’eau à cet
endroit précis.
Parfois, il se peut que vous vous trouviez en présence d’un
croisement de cours d’eau. Il faudra alors bien préciser que votre
recherche porte toujours sur la même circulation, par exemple : « Je
cherche la deuxième rive de cette même circulation d’eau
souterraine. »

Localiser une faille

En ce qui concerne la faille, il est généralement admis que les


baguettes s’ouvrent plutôt qu’elles ne se ferment sur cette nocivité
précise.
Convention mentale : « Les baguettes s’ouvrent à l’aplomb d’une
faille. »
Cependant, vous pouvez opter pour que leur réponse se manifeste
comme pour les recherches usuelles, c’est-à-dire par la fermeture des
baguettes sur la faille. Dans ce cas-là, modi ez la convention
mentale ci-avant.
Lors d’une recherche de failles ou de cavités, il est conseillé de
tenir les baguettes à hauteur des poumons. En e et, ils forment eux
aussi une cavité, ce qui va permettre d’ampli er les ressentis par
e et de résonnance.
Convention mentale : « Les baguettes se ferment à l’aplomb de la
faille. »
Commencez par l’entrée en longeant les parois. Vous terminerez
en suivant les diagonales qui traversent la pièce. Mettez-vous en
position, baguettes parallèles, et énoncez votre demande : « Je
recherche une faille. »
Déplacez-vous tranquillement, baguettes parallèles, et restez
concentré sur votre demande. Si les baguettes s’ouvrent, c’est
certainement que vous avez localisé une faille ou une cavité ; si elles
restent parallèles, cela signi e soit que cette nocivité n’est pas
présente dans cette pièce, soit que votre concentration n’est pas
su sante !
Lorsque vous situez une faille (ou autre chose), pensez à déposer
un repère au sol a n de mieux visualiser son emplacement.
Continuez votre investigation jusqu’à ce que sa localisation soit
clairement dé nie.

Localiser les réseaux Hartmann et Curry

Localiser le réseau Hartmann

Pour l’exercice suivant, utilisez une boussole a n de vous orienter


et de repérer le nord.
Les bandes de ce réseau sont orientées sur les axes nord-sud et est-
ouest. Vous allez donc quadriller la pièce sur l’axe N-S pour trouver
une bande sur l’axe E-O.
Convention mentale : « Les baguettes se ferment à l’aplomb du
réseau Hartmann. »
En position d’attente, les baguettes bien parallèles et légèrement
penchées vers le bas, mettez-vous en condition, bien concentré, et
formulez votre demande : « Je cherche le réseau Hartmann. »
Déplacez-vous lentement en direction du sud, en gardant votre
demande à l’esprit.
Vous recherchez une bande de réseau Hartmann d’orientation E-
O, donc perpendiculaire à votre sens de déplacement (qui est N-S).
N’oubliez pas que les bandes du réseau Hartmann sont séparées par
une distance d’environ deux mètres dans cette orientation. Aussi, si
vous marchez au-delà de cette distance sans rien repérer, c’est
sûrement que vous avez manqué la bande. Recommencez en
essayant de vous concentrer davantage. Délestez-vous de tout ce
qui pourrait perturber vos ressentis.
Si les baguettes se croisent, c’est que vous venez probablement de
passer sur une bande de réseau E-O (pensez bien à repérer
l’endroit). Continuez votre recherche jusqu’au mur situé au sud.
Ensuite, positionnez-vous de l’autre côté de la pièce et recommencez
l’exercice. Marquez l’emplacement de ce que vous repérez.
Si vous n’avez rien repéré (par exemple si la pièce où vous vous
trouvez fait moins de 2 mètres de long dans l’axe N-S), prenez-en
note et passez à la suite.
Maintenant, vous allez rechercher des bandes de l’axe N-S du
réseau Hartmann. Il faudra donc vous déplacer d’est en ouest (ou
d’ouest en est).
Vous pouvez les matérialiser directement sur le sol avec du ruban
adhésif de couleur, un mètre à ruban, des pastilles, etc. Ce qui est
important à localiser ici, ce sont les intersections des bandes. Elles
indiquent les nœuds Hartmann, qui sont des points pathogènes.
Évitez d’y stationner ou d’y placer votre lit ou votre bureau.

Localiser le réseau Curry

Comme nous l’avons vu (p. 23), les bandes de ce réseau sont


orientées du nord-ouest vers le sud-est (NO-SE) et du nord-est vers
le sud-ouest (NE-SO).
Convention mentale : « Les baguettes se ferment à l’aplomb du
réseau Curry. »
Prenez votre boussole pour dé nir les orientations des réseaux
NO-SE et NE-SO par rapport à votre position dans la pièce, puis
faites votre recherche de la même manière que pour le réseau
Hartmann, mais dans les orientations du réseau Curry. Mettez-vous
en condition, soyez concentré et énoncez votre demande : « Je
cherche le réseau Curry. »
Déplacez-vous sur l’axe NO-SE pour trouver les bandes de l’axe
NE-SO, et inversement. Si vous en trouvez, vous constaterez peut-
être que certaines d’entre elles se croisent : une zone géopathogène
à éviter se trouve à cet endroit.
Autre situation possible, bien que plus rare : le point étoile. Si
vous en repérez un, redoublez de précautions quant à
l’aménagement de votre lieu de vie.

Localiser le réseau Hartmann double

C’est grâce à son épaisseur de bande qu’il pourra être repéré. Les
réseaux Hartmann doubles se retrouvent généralement tous les 10 à
15 mètres. Si vous souhaitez faire une expérience de détection,
choisissez donc plutôt un terrain extérieur dégagé.
Convention mentale : « Les baguettes se ferment à l’aplomb d’un
réseau Hartmann. Les baguettes s’ouvrent en l’absence du réseau
Hartmann. »
Marchez dans l’axe N-S. Votre recherche va porter sur des bandes
se situant perpendiculairement à votre sens de marche, c’est-à-dire
dans le sens E-O. Les baguettes fermées sur 40 cm ou plus vous
indiqueront la largeur de la bande ; vous pourrez aisément contrôler
s’il s’agit bien d’un réseau Hartmann double.
Recherchez ensuite une bande de l’axe E-O et déterminez
l’intersection avec l’axe N-S que vous avez déjà trouvé. Vous aurez
alors localisé un croisement du réseau Hartmann double.
Bien qu’il y ait relativement moins de chances de trouver un
croisement de réseau Hartmann double dans une petite pièce, vous
pourrez néanmoins procéder à sa recherche dans la chambre à
coucher, de la même façon qu’en extérieur.
Votre convention mentale bien en tête (« Les baguettes se croisent
à l’aplomb du réseau Hartmann double »), demandez la direction
pour localiser la zone de 40 x 40 cm (au minimum) et suivez vos
baguettes. Elles devraient alors se fermer à l’aplomb de cette zone
de croisement des bandes du réseau Hartmann double.
Localiser le réseau horizontal

Jusqu’à présent, les recherches portaient sur des bandes qui


s’élevaient du sol en direction du ciel, sur un axe vertical. Il existe
cependant aussi des réseaux sur un plan horizontal, généralement
associés aux bandes du réseau Hartmann. Elles sont cette fois-ci
espacées de 2,30 à 3 mètres, sur un plan vertical.
Lorsqu’un plan vertical coupe un plan horizontal, la manifestation
du croisement se fait alors en trois dimensions. Ainsi, le réseau
horizontal peut se trouver à quelques centimètres du sol, au milieu
de la pièce, ou encore près du plafond dans les étages supérieurs,
selon la hauteur des pièces et l’écartement des bandes.
Il est important de contrôler ce plan horizontal, surtout au niveau
du matelas, là où se trouve le dormeur !
Convention mentale : « Je cherche un réseau horizontal. Lorsque
les baguettes passent dans un réseau horizontal, elles se croisent. »
1. Accroupissez-vous pour pouvoir toucher le sol avec vos
baguettes et tenez-les parallèles et horizontales.
2. Redressez-vous lentement, en remontant (vos baguettes sont
toujours parallèles).
3. Dans la zone où elles se croisent se trouve le réseau horizontal.
Véri ez régulièrement que tous les lits de votre habitat se
trouvent en zone neutre, également sur ce plan-là ! Contrôlez
également l’emplacement de la couche de vos animaux.

Comment éviter de s’exposer aux nocivités ?

Pour le pratiquant novice, l’important est dans un premier temps


de localiser la nocivité. Dans un second temps, il est souhaitable de
s’extraire du rayonnement tellurique nocif, surtout pour la nuit,
durant le sommeil, en se déplaçant latéralement par rapport à
l’émission verticale. Souvent, quelques dizaines de centimètres
seront su santes !
Dans le cas du réseau horizontal, il est souhaitable que le dormeur
ne se trouve pas à la hauteur de la bande. Si c’est le cas, un
bricoleur peut soit réduire un peu la hauteur des pieds du lit ou les
rehausser. Sinon, il existe aussi des cales (appelées « pieds
d’éléphant ») qui, installées sous les pieds du lit, peuvent déjà le
rehausser d’une quinzaine de centimètres.

Selon les con gurations, certains géobiologues ont la capacité


de travailler sur l’information, d’autres sur un aspect plus global
du lieu, d’autres encore travaillent avec l’aide de dispositifs,
évitant ainsi le déplacement du mobilier.

Il existe aussi toute une série de dispositifs, vendus en tant que


« neutralisateurs de nocivités » telluriques et/ou anti-ondes
électromagnétiques, qui sont souvent aussi chers qu’inefficaces !
Prudence ! Afin de ne pas vous exposer inutilement en pensant
être protégé.

Une zone neutre au niveau tellurique constitue déjà en soi une


zone favorable au bien-être et à la santé. Plusieurs de ces zones se
trouvent dans nos logements, mais pas forcément là où nous avions
l’intention de placer notre lit !
UN UNIVERS INVISIBLE… MAIS ACTIF

Les ondes

Par dé nition, une onde est une vibration qui se propage dans un
milieu donné. Il en existe deux types :
• celles dites « mécaniques », qui se déplacent dans la matière (air,
sol, eau, etc.) et qui peuvent donc être des ondes sonores, des
ondes de choc (comme lors d’un tremblement de Terre), etc. ;
• celles dites « électromagnétiques », qui n’ont pas besoin d’un
support physique pour leur déplacement car elles peuvent se
déplacer dans le vide et transporter de l’information, même à
travers la matière.
Une onde électromagnétique est un transfert d’énergie comportant
à la fois un champ électrique (CE) et un champ magnétique (CM)
oscillant à la même fréquence. Le CE et le CM constituent un
ensemble appelé « champ électromagnétique » (CEM). Une onde
électromagnétique est une vibration du champ du même nom (CEM).
Quelques exemples :
• la lumière visible ;
• les rayons X ;
• les ondes hertziennes.
Une onde électromagnétique est caractérisée par :
• sa longueur d’onde (qui est la distance qui sépare les deux points
correspondants d’oscillations qui se suivent) ;
• sa fréquence (qui est le nombre d’oscillations au cours d’une
seconde en un point donné) ;
• sa période (qui est la durée nécessaire pour décrire un motif de
cette tension, par exemple, pour un courant alternatif de 50 Hz, il
y a 50 périodes par seconde).
La fréquence et la longueur d’onde sont inversement
proportionnelles : plus la fréquence est élevée, plus la longueur
d’onde est courte, et inversement.
La toxicité et les e ets sont di érents selon le type d’ondes et leur
« modulation » : c’est le processus qui transforme le signal de sa
forme d’origine en une forme adaptée au canal de transmission.

Les champs électromagnétiques (CEM)

Bien que non perceptibles pour la plupart des gens, les champs
électromagnétiques sont, de nos jours, présents partout dans
l’environnement. Toute installation électrique sous tension crée dans
son voisinage un champ électromagnétique, composé d’un champ
électrique et d’un champ magnétique, non ionisant. « Non ionisant »
veut dire que l’énergie transportée n’est pas su sante pour
provoquer une ionisation d’atomes ou de molécules en rompant les
liaisons (moléculaires) et en créant des radicaux libres (stress
oxydatif).
À l’inverse, les rayons X et gamma, par exemple, sont, eux,
ionisants, car ils « arrachent » des électrons à la matière.
Les CEM sont couramment répartis dans trois catégories.
• Les champs extrêmement basses fréquences, abrégé EBF (ou
extremely low frequency, ELF en anglais) dont fait partie l’électricité
(entre 50 Hz et 60 Hz). En e et, toute installation consommant du
courant électrique est source de champs EBF (circuit électrique,
lignes à haute tension, transformateurs, etc.). Ainsi, sous tension,
tout l conducteur produit un champ électrique dans son
voisinage, dont l’intensité se mesure en volts par mètre (V/m).
• Les champs magnétiques basses fréquences (de 50 Hz à 10
kHz) est provoqué par le déplacement de charges électriques ou
d’un courant électrique ; il n’apparaît que lorsque le courant
électrique circule dans un appareil électrique. Son intensité se
mesure en ampères par mètre (A/m), on parle aussi d’induction
magnétique, qui se mesure en microteslas (µT). Cependant,
certains matériaux (notamment ceux destinés à fabriquer des
aimants) émettent dans leur environnement une induction
magnétique sans qu’il y ait présence d’un courant.
• Les champs d’hyperfréquences (ou extremely high frequency,
EHF), aussi appelés « micro-ondes » (le chau age par micro-ondes
s’obtient par l’émission d’un champ électromagnétique d’une
fréquence de 2,45 GHz). C’est également cette catégorie d’ondes
qui est utilisée pour les télécommunications : émissions de
radiodi usion, de télédi usion, téléphonie mobile, transmissions
par satellites, radars, etc.

L’être humain est électromagnétique

Le champ magnétique terrestre et les champs électromagnétiques


naturels produits par le Soleil et les étoiles constituent un
rayonnement très très faible. De fait, ils sont perceptibles au niveau
du ressenti individuel et possèdent une intensité très très inférieure à
celle des sources arti cielles produites par l’homme, même les plus
faibles.
Les cellules de tout être vivant génèrent également des courants
électriques et magnétiques. Nous sommes donc, nous aussi, des êtres
électriques et magnétiques interagissant avec notre environnement.
Notre cœur génère le plus fort champ électromagnétique dans le
corps, beaucoup plus intense que celui émis par notre cerveau.
Les « capteurs » de notre corps fonctionnent sur un mode
électrique : ils envoient des signaux au système nerveux et donc
aussi au cerveau, qui est ainsi capable de traiter des milliards
d’informations par seconde.

Il existe donc une multitude de phénomènes électriques qui


assurent les fonctions de commande ou de régulation des cellules et
des tissus, au niveau physiologique. Les cellules étant polarisées et
leur activité régie par la variation de leur potentiel membranaire, il
est donc fort probable qu’une induction de courant par des champs
extérieurs puisse avoir une action, notamment sur les systèmes de
transmission des informations.
Certains signaux physiologiques sont produits au contact des CEM
et déclenchent, par exemple, des actions et des sécrétions qui
n’auraient pas dû avoir lieu. Ces « interférences » peuvent générer
divers troubles chez certaines personnes, alors qu’environ 35 % de la
population ne les ressent pas (encore). C’est ce qui est couramment
appelé la « susceptibilité personnelle ».
Le problème, avec les ondes arti cielles, c’est que leurs fréquences
et leurs amplitudes sont très proches de celles de nos cellules. Notre
organisme tend à traiter ces informations extérieures comme si
elles étaient endogènes.
Notre corps électromagnétique, soumis aux CEM arti ciels
environnants, peut devenir électromagnétiquement « perturbé »,
in uencé, voire tomber en panne, comme cela arrive parfois aux
appareils électriques soumis aux champs des autres.
Les CEM sont également susceptibles de perturber le
fonctionnement des dispositifs médicaux actifs, implantés ou non,
tels les stimulateurs cardiaques, les pompes à insuline, etc. !

Les incidences des CEM sur l’homme

En médecine, certaines fréquences spéci ques de CEM peuvent


être employées pour les soins, mais attention : à d’autres fréquences,
les CEM peuvent être nocifs, voire mortels.
Les CEM n’ont-ils pas été employés pendant la Guerre froide (entre
1953 et 1976) pour irradier les ambassades, avec pour résultat la
moitié des employés ayant développé des cancers avérés4 ?
De nos jours, il est de plus en plus di cile de se soustraire aux
in uences des CEM arti ciels et de trouver un endroit neutre, aussi
appelé « zone blanche », alors que les nuisances telluriques et
électromagnétiques entament notre « capital-ondes ».

Nouvelles technologies, nouveaux risques

Depuis quelques années, on assiste à l’apparition de nombreuses


maladies émergentes comme la bromyalgie, la sensibilité chimique
multiple (SCM), l’électro-hypersensibilité (EHS) ou le syndrome de
fatigue chronique, toutes liées de près à l’exposition aux CEM.
Les CEM arti ciels créés par l’homme entrent en interaction avec
les processus électriques naturels et biochimiques qui se déroulent
dans notre corps et engendrent toutes sortes de perturbations. Ils
interfèrent avec les mécanismes internes du corps et des
cellules. Ils induiraient une réorientation des molécules de type
magnétique, comme pour la magnétite, qui est aussi présente dans le
cerveau.
En état de veille, il a été évalué qu’une exposition à des nocivités
électromagnétiques pourrait mobiliser jusqu’à 30 % de l’énergie
totale nécessaire au fonctionnement normal du métabolisme. Cette
énergie est détournée pour s’adapter à l’environnement ; c’est
donc 30 % de l’énergie qui n’est plus disponible pour d’autres
tâches.

Devoir sans cesse s’adapter à ces expositions consomme une part


importante de notre énergie et de nos forces en produisant un stress.
Ce dernier crée des radicaux libres et, avec eux, les dommages dus à
l’oxydation et les atteintes à l’ADN. Les défenses immunitaires
baissent et la récupération également… et un cercle vicieux
s’enclenche.
Outre l’e et thermique (sur lequel tous les spécialistes et
scienti ques sont d’accord) qui consiste en une absorption de
l’énergie par élévation de la température des tissus, il existe
également une multitude d’e ets non thermiques qui peuvent
engendrer di érents types de symptômes chez des personnes
sensibles.
L’exposition aux rayonnements étant cumulative, certains d’entre
nous seraient déjà en train de dépasser les valeurs limites de
résistance de leur corps. L’entrée dans la pathologie de l’électro-
hypersensibilité peut n’apparaître qu’après plusieurs années, voire
dizaines d’années, mais elle peut également s’avérer immédiate,
selon les cas.

Les ondes hyperfréquences, les micro-ondes, sont principalement


réfléchies par des objets métalliques, selon le même angle que
l’angle des ondes incidentes.
Dès lors, si vous avez une box Internet ou tout autre objet
connecté en wifi dans la pièce, faites attention à l’emplacement de
vos miroirs, mais également aux rails métalliques, aux vitrages
thermiques, aux films conducteurs (tels que les isolants en
aluminium), etc.
Autrement dit, évitez de les placer l’un en face de l’autre !

Une nouvelle forme de pollution

Lors d’exposition à plusieurs facteurs nocifs, les dommages


peuvent s’accumuler, interagir en synergie, causant des e ets
délétères plus importants.
L’OFEV suisse (O ce fédéral de l’environnement) le con rme
d’ailleurs très justement dans la brochure de juin 2015 sur
l’« électrosmog5 » dans l’environnement : « Il a été démontré qu’un
rayonnement non ionisant de forte intensité est nocif pour la santé.
Toutefois, des e ets biologiques peuvent se manifester même lors
d’expositions à des niveaux très inférieurs aux valeurs limites
recommandées au plan international. La science ne pouvant pour l’instant
pas évaluer de manière précise la nocivité de ces e ets, le meilleur remède
est encore d’appliquer le principe de précaution. »
Concernant les e ets en dessous des valeurs seuils : « Des
expériences portant sur l’homme et sur l’animal ont, entre autres, mis en
évidence des modi cations du comportement et de la capacité
d’apprentissage (mémorisation) ainsi que des e ets sur le système
hormonal. La sécrétion de la mélatonine, une hormone épiphysaire, est
notamment diminuée. La mélatonine règle le rythme biologique jour-nuit,
circadien, stimule le système immunitaire et inhibe la croissance tumorale.
Une diminution du taux de mélatonine est associée à des troubles du
sommeil, à de la fatigue ou à une humeur dépressive. Autres e ets des
CEM BF de faible intensité observés lors des recherches : des
modi cations de la croissance, du métabolisme cellulaire et du matériel
génétique cellulaire. »
Les CEM agiraient sur les organismes vivants comme des agents
polluants environnementaux (pesticides, métaux lourds, produits
chimiques, etc.). Ils ont la même capacité à générer des radicaux
libres, à produire des protéines de stress et à endommager
l’ADN.

Et les oiseaux migrateurs ?


Les champs géomagnétiques étant maintenant perturbés par des
anomalies et des hyperfréquences artificielles, le sens de
l’orientation de certains oiseaux migrateurs pourrait également être
perturbé. Leur survie est-elle menacée ?

Des études scientifiques mettent en évidence les effets


des CEM

Une multitude d’études scienti ques sérieuses existent et sont à


disposition du public sur Internet. Voici quelques références :
• lignes directrices 2016 de l’EUROPAEM pour la prévention, le
diagnostic et le traitement des sujets atteints de problèmes de
santé et de maladies en lien avec les champs électromagnétiques6 ;
• « La pollution électromagnétique7 », rédigé par le Dr P.
Choucroun, du Centre des pathologies environnementales et
professionnelles ;
• les travaux et études du professeur émérite de biochimie et
sciences médicales de base à Washington, Martin L. Pall8 ;
• les conclusions du rapport BioInitiative 20129 ;
• les valeurs indicatives en baubiologie, SBM-201510 ;
• les travaux du Pr Dominique Belpomme sur l’électrosensibilité.
Di érentes associations spécialisées dans le domaine mettent
également des publications, des analyses et des synthèses à
disposition sur Internet : Robin des toits11, PRIARTEM12, etc.
Des e ets biologiques apparaissent déjà à de très faibles niveaux
d’exposition aux CEM, alors que les normes de protection du public
sont de 1 000 à 10 000 fois supérieures aux niveaux rapportés
comme provoquant des e ets biologiques.
Près de 1 800 études scienti ques ont analysé et répertorié une
liste non exhaustive d’e ets non thermiques par exposition aux CEM.
• E ets génétiques : anomalies de la transcription de gènes,
dommages sur l’ADN (simple ou double brins), capacité de
réparation de l’ADN altérée dans les cellules souches humaines,
dommages génétiques sur le sperme humain et animal.
• E ets cardiaques et sur les fonctionnements physiologiques :
diminution de la neutralisation des radicaux libres, dommage
oxydatif cellulaire, diminution de la mélatonine impliquant des
modi cations de l’EEG, irrégularité du rythme cardiaque,
déséquilibre du système immunitaire, perturbations métaboliques,
perturbation de l’homéostasie, a aiblissement de la résistance à la
maladie, neurotoxicité chez l’humain et l’animal, troubles de la
fonction reproductive, réduction du développement ovarien, taille
et mort prématurée des follicules chez les adolescentes et les
jeunes femmes, retards et anomalies dans le développement du
cerveau et de la boîte crânienne de la progéniture d’animaux
exposés aux CEM pendant la gestation.
• E ets sur le comportement : troubles de l’a ectivité, problèmes
de comportement chez les enfants et les adolescents, troubles du
comportement social chez l’adulte, problèmes neurologiques et
psychiques, dépression, hyperactivité.
• E ets sur la physiologie et le fonctionnement du corps :
maux de tête, vertiges, di cultés de concentration, épuisement,
problèmes d’apprentissage, troubles de la mémoire, contractures
musculaires involontaires, perturbations du sommeil (troubles,
insomnies), troubles de l’acuité visuelle.
• E ets divers : leucémie chez les enfants et les travailleurs de
l’électricité, fausses-couches, tumeurs cérébrales, divers cancers et
mélanomes, maladie d’Alzheimer, cancer du sein.
Les CEM font partie des facteurs de stress environnementaux et
sont suspectés de renforcer et d’accentuer l’augmentation du taux de
désordres mentaux, de burn-out, de troubles de dé cit de l’attention
chez les enfants, d’allergies en tous genres, d’asthme, mais aussi celui
de la prescription de médicaments psychotropes. Toutes ces
pathologies, en hausse, sont justement étroitement corrélées
avec l’accroissement phénoménal des technologies mobiles et
sans l.
Le rapport BioInitiative rapportait déjà en 2012 les preuves des
e ets sur :
• l’expression des gènes et des protéines d’ADN ;
• l’immunité ;
• les problèmes neurologiques et de comportements ;
• l’autisme ;
• la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique ;
• les tumeurs au cerveau et les neurinomes de l’acoustique ;
• la leucémie infantile ;
• les problèmes cardiaques, les arythmies ;
• la maladie d’Alzheimer ;
• le cancer du sein ;
• les problèmes d’infertilité ;
• les anomalies chez le fœtus et les désordres néo-natals.
Le rapport relève également l’inadéquation des valeurs seuils
actuelles avec le principe de précaution ; principe qui devrait être
appliqué, mais qui ne l’est pas encore.
Plusieurs autres organismes signalent et constatent les e ets des
CEM sur les personnes et revendiquent l’application du principe de
précaution. En 2012 déjà, l’Académie américaine de médecine
environnementale postulait que l’exposition aux CEM « peut être une
cause sous-jacente du processus de maladie des patients ».
La majorité des compagnies d’assurances sont bien conscientes de
ce problème, et c’est pour cela qu’elles excluent de leurs garanties
toute forme de maladie pouvant être directement liée à une
exposition aux champs électromagnétiques.

Les sources qui génèrent des CEM

Les champs électromagnétiques sont partout ! Ci-après, une petite


liste (non exhaustive) de sources générant des CEM dans notre vie
quotidienne :
• les points d’accès wi (publics et privés) ;
• les tablettes ;
• les imprimantes ;
• les ordinateurs portables ;
• les téléphones sans l, DECT ;
• les téléphones portables (GSM) ;
• les dispositifs antivols et les systèmes de sécurité (comme les
puces RFID) ;
• les antennes relais (téléphonie mobile et faisceaux hertziens) ;
• les compteurs communicants (Linky) ou de télérelève (Gazpar,
eau…) ;
• les objets connectés (Google Home, Amazon Echo et tous les
systèmes permettant de piloter des systèmes domotiques à
distance) ;
• les fours micro-ondes ;
• les plaques de cuisson à induction ;
• les antennes radar ;
• les stations météo avec un capteur extérieur sans l ;
• les voitures connectées (GPS, Bluetooth, etc.).
Les sources électriques de basses fréquences émettent également
des rayonnements, via des ls électriques dans les murs ou du fait
d’appareils branchés sur le secteur électrique mais ne possédant pas
de prise de terre :
• les lampes ;
• les sèche-cheveux, lisseurs, épilateurs électriques, tondeuses à
cheveux, rasoirs électriques, etc. ;
• la plupart des appareils ménagers (robots, mixeurs, batteurs,
etc.) ;
• les appareils électroniques ;
• les ampoules uocompactes dites « basse consommation » ;
• les lits et fauteuils électriques ;
• les couvertures chau antes ;
• les chau ages d’appoint et les sou eries.

Assurez-vous qu’aucun câble électrique n’est en contact avec les


rails métalliques lors du montage des cloisons de plaques de
plâtre de votre habitation, sous peine que les CEM ne se
propagent le long des rails et sur toute la cloison ! Précaution
supplémentaire : mettez les rails à la terre.
Il en va de même pour toutes les structures en métal, par exemple
les rails se trouvant à la base des constructions de toits en
« fermettes ». Il est indiqué de les relier entre eux et de les mettre
à la terre, d’autant plus que, la plupart du temps, les circuits
électriques et les « pieuvres » sont posés à même les panneaux
de bois aggloméré, qui servent de plancher dans les combles.
Sans la mise à la terre de ces matériaux, les CEM seront
intensifiés et rayonneront dans les plafonds des pièces du rez-de-
chaussée !

Les lignes à haute tension émettent aussi de forts champs


électromagnétiques qui sont, de surcroît, ampli és par temps
humide. Lorsqu’elles sont visibles, leur rayonnement paraît être une
évidence ; une fois enterrées, la composante électrique est
e ectivement mise à la terre, mais elles continuent à rayonner la
composante magnétique. Donc attention ! Ce n’est pas parce que
les lignes sont enterrées qu’il n’y a plus aucun rayonnement !
Une accumulation de nocivités
Anita, une jeune étudiante, avait des maux de tête handicapants
pratiquement tous les jours. Malgré le temps considérable passé à
dormir (10 heures), elle avait beaucoup de mal à se concentrer
durant la journée et souffrait le soir, durant ses heures d’études,
d’une fatigue extrême. Elle peinait à avoir les idées claires et à se
sentir reposée et en forme le matin. On lui suggéra de faire
analyser sa chambre à coucher pour savoir ce qu’il en était.
Outre la faille qui traversait son lit ainsi que son bureau et les
croisements de différents réseaux, Anita possédait une mezzanine
en métal en dessous de laquelle se trouvait son bureau. Sur la
structure métallique étaient posés des panneaux de bois
aggloméré servant de plancher. Là se trouvaient un chat sur un
matelas, une lampe de chevet ainsi qu’un petit poste de télévision,
tous deux branchés sur secteur.
Les nocivités telluriques harmonisées, il restait à neutraliser les
champs générés par la structure métallique, en contact avec les
panneaux de bois sur lesquels reposaient les appareils électriques
branchés sur secteur et qui rayonnaient à des valeurs élevées.
Ces champs étaient conduits par le bois et le métal, et l’ensemble
de la structure rayonnait donc au-dessus de la tête d’Anita
lorsqu’elle essayait de se concentrer pour étudier. Après avoir
débranché les appareils électriques, l’intensité des CEM a
considérablement diminué. Il a encore fallu relier la structure à la
terre.
Résultat : dès la première nuit suivant l’intervention, Anita a dormi
de façon efficace, se sentant plus reposée et dynamique durant la
journée ; le soir, elle a pu travailler plus longtemps en étant
créative et efficace. Le fait de pouvoir récupérer correctement
durant la nuit, dans un lit exempt de nocivités (tant telluriques
qu’électromagnétiques) a suffi à résoudre également les maux de
tête quotidiens de la jeune femme.
LES ONDES ET LEURS INTERACTIONS

Les micro-ondes (MO)

Les fréquences micro-ondes appartiennent au domaine des


hyperfréquences employées par la technologie sans l.
Dans un four micro-ondes, les molécules d’eau contenues dans les
aliments vont entrer en résonnance avec ce champ. Une modi cation
de la formule sanguine a été observée chez des personnes volontaires
ayant consommé de la nourriture chau ée au four MO. Cette
modi cation s’apparente à l’aspect observé durant les phases
précancéreuses.

Même neuf, le four MO a une fâcheuse tendance à laisser des


ondes s’échapper ! Évitez donc de vous placer en face de la porte
pendant que vous regardez votre nourriture chauffer, afin
d’échapper aux ondes MO qui s’en dégagent !
Veillez également à ce que votre enfant ne se trouve pas en face,
car sa tête serait juste à la hauteur du rayonnement de ces ondes.

Le premier e et est celui de l’échau ement, puis vient celui de la


modi cation de l’état chimique, jusqu’à endommager l’ADN. La
puissance du four est quand même de 1 000 watts ! De plus, les
ondes MO entrent en résonnance avec les structures moléculaires
véhiculées par l’information de l’eau. L’agencement des molécules
d’eau en est altéré.
Ce ne sont pas uniquement les molécules extérieures qui sont
détériorées, mais également celles à l’intérieur de notre corps !
Nous, humains, sommes composés d’environ 65 % d’eau, et les bébés
de 78 % !
La fréquence de l’onde d’un four MO est de 2,45 GHz. Sa longueur
d’onde est de 12,2 cm et peut, par exemple, entrer en résonnance
avec les branches de lunettes en métal, avec éventuellement une
possibilité de réémission passive de ces ondes.

Quels effets sur le cerveau ?

Après des dizaines d’années d’études, plusieurs instituts russes ont


établi leurs normes de sécurité en prenant également en compte les
e ets non thermiques des radiofréquences. Leurs seuils de sécurité
sont donc considérablement plus bas (avec une protection accrue de
leur population) que ceux en vigueur en Europe.
Les radiofréquences pulsées (wi , 2G, 4G, 5G, Bluetooth…)
contiennent des hautes et très basses fréquences modulées qui
viennent interagir avec les ondes cérébrales. Ces rayonnements
irréguliers sont très di ciles à supporter pour des organismes
vivants. Essayer de s’y adapter en permanence et à chaque
instant demande beaucoup d’énergie. De plus, leur répartition
dans le corps est imprévisible.

La zone d’in uence d’un objet connecté en Bluetooth est


généralement de 3 à 5 mètres, parfois jusqu’à 8 mètres ; évitez
donc particulièrement l’utilisation d’oreillettes fonctionnant en
Bluetooth !

De par leur caractère irrégulier comportant une composante BF en


plus de la HF, elles sont plus actives et ont plus d’e ets et d’impacts
biologiques néfastes que les ondes continues ou faiblement pulsées
(par exemple la 3G), et c’est là tout le problème des technologies
modernes numériques sans l.
Les e ets pourraient être dus à une interaction entre les e ets
engendrés par les CEM et la surface de la membrane cellulaire. Le
stress oxydant ainsi créé impliquerait une perturbation de
l’homéostasie du calcium. En e et, l’ion calcique est impliqué dans
de très nombreux processus physiologiques, qui régulent :
• le fer ;
• les contractions musculaires ;
• le métabolisme ;
• les sécrétions ;
• la fertilité et la fécondité ;
• l’apprentissage et la mémorisation ;
• la di érenciation cellulaire ;
• la croissance cellulaire ;
• la transcription des gènes ;
• l’apoptose (le processus de mort des cellules dangereuses est
empêché par les rayonnements électromagnétiques ; les cellules
malignes se multiplient).
D’autre part, les CEM semblent également augmenter la
perméabilité de la barrière hémato-encéphalique (BHE). La
perméabilité de la BHE devrait normalement être faible pour ne pas
laisser passer des molécules hydrophiles ou chargées, car elles sont
toutes préjudiciables pour le cerveau.
La présence de magnétite dans le cerveau et le corps humain
constituerait probablement un cofacteur important, responsable de la
vulnérabilité de nos cellules à l’exposition des CEM.

Une zone du corps qui a précédemment été exposée aux ondes


devient plus sensible face à une prochaine exposition ! C’est ainsi
que s’accumulent les doses reçues. Il est donc primordial de
pouvoir se « décharger » avant la dose suivante. L’exposition peut
également entraîner, à terme, des sensibilités dans des tissus aux
alentours, et notamment au niveau cardiaque, provoquant une
sensibilité par tachycardie, par exemple.

Le wifi

Un réseau wi permet de relier par ondes radio plusieurs appareils


(ordinateur, routeur, smartphone, modem Internet, etc.) au sein d’un
réseau informatique a n de permettre la transmission de données
entre eux (communication sans l).
Le wi fonctionne en 2,4 GHz ou en 5 GHz, sur une pulsation de
10 Hz, en très basses fréquences. Cette pulsation entre en
interférence avec les ondes cérébrales en phase de récupération
(pendant le sommeil profond, les ondes cérébrales doivent pouvoir
descendre dans des fréquences égales ou inférieures à 4 Hz).
Le wi est présent pratiquement partout, y compris dans les
avions, les trains, les métros et les bus. Les rayonnements passent
di cilement de l’extérieur à l’intérieur, et vice versa.
C’est pourquoi, a n d’améliorer le signal, de plus en plus
d’antennes sont installées, contribuant encore une fois à la
densi cation de l’électrosmog ambiant, déjà bien présent. Les
volumes métalliques (locaux de travail, les bus, les trains, les avions,
etc.) plus ou moins clos font rebondir ces ondes et augmentent
d’autant l’exposition de tous ceux qui se trouvent à l’intérieur avec,
en plus, des répéteurs d’antennes-relais installés à l’intérieur des
véhicules ou des locaux pour fournir un accès wi .
De nombreux cas de personnes exposées sur leur lieu de travail
vont probablement se présenter à l’avenir (chau eurs de bus, de
trains, d’avions, certains vendeurs ou employés, etc.).
Lorsque le réseau wifi est activé en mode privé chez un particulier,
la plupart du temps, ce même réseau est activé par défaut dans
les configurations en tant que wifi public. Désactiver le premier
(privé) ne désactive pas automatiquement le second (public). C’est
ainsi que, pensant avoir éteint notre wifi (privé), nous sommes
toujours exposés à un rayonnement émanant de notre box, mais
qui n’est pas le nôtre ! Prenez donc un moment pour vérifier les
paramètres de votre appareil.

Les personnes pour qui fréquenter les lieux publics, vivre en


appartement au cœur d’une ville, travailler dans des bureaux ou
voyager dans les transports en commun devient de plus en plus
di cile voient leur nombre augmenter. L’impact économique (arrêts
de travail, maladies, mal-être…) est déjà non négligeable
actuellement.

Pour diminuer le nombre de wifi connectés pendant la nuit,


proposez à vos voisins (au moyen d’une lettre informative que
vous afficherez à l’entrée de votre immeuble, par exemple)
d’éteindre le leur durant les heures de sommeil ! La plupart des
gens ne sont pas encore sensibilisés et n’ont donc pas ce réflexe.
Les différents réseaux wifi ne font pas que s’additionner, ils se
multiplient. Si la liste des appareils connectés diminue, c’est
toujours cela de gagné sur la qualité du sommeil de chacun !

Les fournisseurs proposent couramment des o res pour intensi er


le wi , notamment en conseillant un répéteur qui étendra le réseau
dans tous les recoins de votre logement. Les pièces qui sont trop
éloignées pour capter le signal de la base seront desservies au moyen
de votre circuit électrique avec un système de « courant porteur en
ligne » (comme détaillé ci-après), ce qui ne constitue pas une
solution sanitaire satisfaisante à long terme.

La plupart des voitures récentes possèdent un wifi intégré, en plus


des connexions Bluetooth et GPS.
L’installation wifi est souvent invisible et fonctionne grâce à une
antenne téléphonique et à une carte SIM insérée dans le système
électronique du véhicule ; elles récupèrent les signaux mobiles
(3G, 4G…) et les diffusent dans l’habitacle sous la forme de wifi.
Veillez donc à déconnecter ces fonctions lorsque vous n’en avez
pas besoin (et, idéalement, toujours) ; cela diminuera les effets de
réflexion-rebond à l’intérieur de l’habitacle et, ainsi, votre
exposition.

Le courant porteur en ligne (CPL)

Par dé nition, le courant porteur en ligne permet de construire un


réseau informatique sur le réseau électrique d’une habitation ou d’un
bureau, voire d’un quartier. Cependant, le réseau électrique n’est pas
adapté au transport des hautes fréquences qu’émet le CPL. Ce signal
de hautes fréquences se superpose au courant électrique alternatif de
50 Hz dans le circuit électrique. Les hyperfréquences se propagent
et se di usent donc dans tout le bâtiment par le biais du circuit
électrique, non blindé, créant une pollution électromagnétique
supplémentaire.
Cette même technologie est utilisée pour les compteurs dits
« intelligents » comme Linky, Gazpar, etc.
Les box Internet de certains fournisseurs ne fonctionnent qu’avec
un branchement connecté par CPL !

Les nouveaux CPL haut débit utilisent, en plus de la phase et du


neutre, le l de terre pour transférer les données, générant ainsi des
rayonnements sur tout le circuit de terre de l’installation, « polluant »
la planète au passage et créant des courants souterrains vagabonds.

Le téléphone DECT

Le téléphone DECT traditionnel (digital enhanced cordless


telecommunications, littéralement, « télécommunication numérique
sans l améliorée ») constitue l’une des premières sources de
pollution en hautes fréquences des habitations, des bureaux et des
écoles, car la base du téléphone émet en permanence des
hyperfréquences.
Par ailleurs, lors de vos appels téléphoniques avec un téléphone
xe, si votre box Internet ne possède pas de l de terre, branchez-la
avec un câble de mise à la terre et une prise USB (vendus dans les
boutiques spécialisées ou à fabriquer soi-même), cela évitera la
propagation des champs électriques provenant de la box jusqu’à
votre combiné.

Si vous souhaitez continuer à employer un téléphone DECT,


achetez un modèle de type « full eco », « maxi eco » ou « eco
DECT » Sinon, optez pour un téléphone laire, sans risque pour
la santé !

Le téléphone mobile
L’indice de débit d’absorption spéci que (DAS) est une valeur qui
indique la quantité d’énergie électromagnétique absorbée par le
corps lors de l’utilisation d’un appareil sans l, mais également au
niveau de la tête, qui se trouve être la partie du corps la plus exposée
lors d’un appel téléphonique.
Un tissu riche en eau absorbe davantage d’énergie
électromagnétique, et le cerveau est justement composé de plus de
80 % d’eau. L’absorption est donc très importante dans cette
zone.

En éloignant le téléphone portable de quelques centimètres de la


tête, lors d’une communication, la puissance de rayonnement est
divisée par un facteur 10 ! Évitez donc les expositions rapprochées
et au contact avec votre téléphone portable.

Selon l’ICNIRP (International Commission on Non-Ionizing


Radiation Protection, ou « Commission de protection contre les
rayonnements non ionisants »), la valeur DAS ne devrait pas dépasser
0,8 W/kg pour l’exposition du public sur le corps tout entier et pour
une durée n’excédant pas 6 minutes ! Il est évidemment très
compliqué de se rendre compte de ce que cela signi e dans la vraie
vie… et de l’appliquer à la lettre.
Comme il est di cile d’évaluer le taux d’absorption spéci que
correspondant à une exposition de rayonnement in vivo, les valeurs
des mesures e ectuées sur des mannequins en gel sont très
approximatives. Elles ne fournissent qu’une indication concernant les
e ets dus à l’échau ement, mais aucune concernant la pénétration
des MO à intensités très faibles.
De plus, comme la distribution des ondes n’est pas uniforme,
l’indice DAS est donc à prendre avec des pincettes ; il n’en reste pas
moins un indice de comparaison entre les di érents modèles. Si vous
le pouvez, choisissez un appareil avec un indice DAS le plus bas
possible.
De toutes les fréquences de la téléphonie, la 3G est la moins
dommageable pour le Vivant, car ses ondes ne sont pas de type
pulsé. Con gurez votre téléphone et optez pour le réseau 3G
uniquement !

En seulement une dizaine d’années (2008-2018), la pollution


électromagnétique non ionisante due à la téléphonie mobile a
été multipliée par 1 000 !

Si vous n’êtes pas en train d’utiliser votre téléphone portable,


mettez-le en mode « avion » ou, au moins, désactivez l’échange de
données Internet et les modes wi , Bluetooth et la géolocalisation.
Vos voisins immédiats, qu’ils soient piétons, voyageurs, enfants,
personnes âgées, sensibles aux ondes, EHS (ou en passe de le
devenir), vous en seront reconnaissants !
En comparaison, il n’y a pas si longtemps, la fumée de cigarette
était partout dans les lieux publics : salles de spectacle, restaurants,
transports en commun… et les non-fumeurs étaient exposés
passivement à la fumée. Aujourd’hui, une telle situation paraîtrait
irréelle, et pourtant, c’est exactement le même scénario qui se joue
au niveau des ondes ! Les non-utilisateurs sont exposés malgré eux à
la pollution passive qui est présente partout. De plus, tout le monde
ne fume pas… Par contre, tout le monde (ou presque) a un téléphone
mobile !
Afin d’éviter de s’exposer inutilement lors de la réception des
messages, quand vous réactivez le mode « échange de
données » ou le wifi, déposez votre téléphone portable de
préférence dans un endroit où il n’y a pas de denrées sensibles et
éloignez-vous le temps de la réception de toutes les notifications !
Une fois les messages réceptionnés, réactivez le mode « avion »
avant de répondre, puis procédez de la même façon lorsque vous
souhaitez envoyer quelque chose.

Petit rappel des recommandations d’usage

• Portez le téléphone portable éloigné de votre corps, et non dans


la poche.
• Mettez-le en mode « avion », avec les fonctions wi , Bluetooth et
la géolocalisation désactivées le plus souvent possible, et
systématiquement pour dormir !
• Prenez l’habitude de recharger la batterie durant la journée, dans
un endroit non sensible (là où il n’y a pas de denrées alimentaires,
de compléments, de produits vibratoires comme les élixirs, de
l’homéopathie, etc.).
• Lors d’un appel sortant, attendez la deuxième sonnerie avant
d’approcher le combiné de votre tête.
• Évitez les oreillettes Bluetooth, qui fonctionnent sur le principe
de la technologie des micro-ondes en 2,4 GHz.
• Pour les communications téléphoniques, utilisez des oreillettes
« anti-ondes » dotées de la technologie du « tube d’air », dans
lequel les ondes ne passeront plus. Votre tête sera d’autant plus
éloignée des ondes émises par le téléphone.
• Évitez les applications utilisant la géolocalisation et celles
générant des connexions Internet.
• En voiture, évitez l’usage du Bluetooth. Supprimez les appareils
synchronisés avec le véhicule et dont vous ne vous servez plus, au
risque qu’ils soient sans arrêt recherchés.
Certaines applications sur Internet n’ont pas toutes les
fonctionnalités actives si vous les consultez sur un ordinateur.
Elles contraignent l’utilisateur à se connecter en mode « échange
de données » ou en wifi sur son portable s’il veut, par exemple,
insérer des photos. Attention, donc, au temps passé sur ces
applications par contact direct !
Lors de l’achat d’un nouveau smartphone, si vous souhaitez
continuer à employer les oreillettes à tubes d’air ou à fil, assurez-
vous qu’il possède bien une prise jack pour la connexion ! En effet,
de nombreux appareils récents en sont dépourvus.

L’ordinateur portable

Comme tout objet électronique, il est important de faire les


véri cations d’usage a n de ne pas être exposé de façon
inconsidérée, surtout si de nombreuses heures sont passées à son
contact.
• Si votre ordinateur portable est branché sur secteur, véri ez qu’il
possède une prise de terre, et pas uniquement deux broches.
• Branchez-le en mode laire avec un câble ethernet (de préférence
blindé).
• Gardez la souris et éventuellement un clavier supplémentaire
déportés, en mode laire également. Cela évitera que les
rayonnements ne viennent directement perturber les méridiens au
bout de vos doigts, au contact de l’ordinateur.

Luisette était traductrice et travaillait chez elle la plupart du temps,


sur un ordinateur relié à un système à pédale qui facilitait le
défilement des textes pour la traduction des enregistrements audio
que son employeur lui envoyait.
Luisette commença à ressentir une douleur à l’avant de son pied
droit ; une douleur qui ne cessait pas et qui continuait même à
s’intensifier, si bien qu’une consultation médicale fut nécessaire.
Comme les douleurs devenaient de plus en plus invalidantes au fil
des mois, plusieurs examens médicaux approfondis, dont une
IRM, furent prescrits ; ils ne décelèrent rien d’anormal. Les
médecins conclurent à une inflammation de fatigue et mirent la
patiente au repos, avec usage de béquilles.
Après quelques semaines de ce repos forcé, sans utilisation de la
pédale de son ordinateur, Luisette commença à sentir petit à petit
une amélioration de l’état de son pied. Pour autant, elle ne fit pas
le lien de cause à effet.
Ce n’est que durant l’étude en géobiologie que fut mis en lumière
un champ extrêmement élevé en ondes électromagnétiques (plus
de 110 V/m) rayonnant depuis la pédale. Luisette, constatant elle-
même ces valeurs très élevées, fit alors le rapprochement avec le
déclenchement de ses douleurs au pied.
Par une exposition répétée et prolongée, le rayonnement
électromagnétique avait fini par créer une inflammation entraînant
des douleurs intenses et localisées au point de contact à l’avant du
pied.
Une neutralisation de la pédale fut mise en place : son
débranchement immédiat, puis une mise à la terre fut suggérée.
Résultat : après quelques semaines, le pied de Luisette avait
complètement désenflé et les douleurs avaient disparu, malgré le
fait qu’elle se remit à utiliser la pédale pour son travail. Un cas
identique a été rencontré chez une couturière professionnelle,
utilisant elle aussi un système à pédale non relié à la terre.

Les ondes et le sommeil

Pour permettre au corps de fonctionner de façon e cace, des


périodes de récupération lui sont essentielles. Cependant, si le corps
continue à être soumis à des ondes, il ne se trouvera pas en condition
pour une récupération complète.
La fréquence des ondes du cerveau en état de sommeil profond
(qui est aussi le sommeil récupérateur) varie entre 0.5 et 4 Hz. La
fréquence du wi est de 10 Hz. Elle entre en interaction avec la
fréquence des ondes du cerveau, entravant ce dernier dans sa phase
de récupération.
En comparaison, l’e et des fréquences wi sur les ondes cérébrales
pendant la phase de sommeil profond reviendrait à essayer de
méditer tout en écoutant du hard rock ou des rythmes très rapides ;
le rythme du cœur aura tendance à se synchroniser sur le tempo
endiablé, et l’abaissement de la fréquence cardiaque sera donc
di cile. Il en va de même pour un cerveau soumis aux fréquences du
wi .
Pour permettre un sommeil récupérateur, il est donc important que
la chambre soit exempte de CEM a n que le corps n’ait pas à subir
d’agressions extérieures contre lesquelles il devrait lutter.
L’exposition nocturne aux CEM devrait donc être proche de
zéro !
Une des conditions pour un bon sommeil est que, durant la phase
de régénération, le champ magnétique sur la surface du lit ait une
intensité et une polarité uniformes.
Pour cela, il faut soigneusement éviter :
• les matelas posés par terre car, en position couchée, le corps est
plus proche des armatures métalliques de la dalle, qui peuvent
éventuellement émettre des CEM accumulés ;
• la proximité des radiateurs, d’objets, de meubles ou de porte-
habits métalliques ;
• de dormir au-dessus d’une cuve à fuel, d’une voiture, etc. ;
• les matelas à ressorts.
Les champs magnétiques deviennent perturbés et chaotiques en
présence d’aimants ou de ressorts. L’utilisation prolongée de ces
derniers n’est pas souhaitable ; veillez donc tout particulièrement à
ce que votre literie (couvertures, oreillers, matelas, etc.) en soit
exempte !

Lorsque la surcharge est si importante que le corps ne parvient


plus à traiter toutes les informations et à lutter contre les agressions
environnementales, il n’a d’autre choix que de « disjoncter » en
attirant l’attention sur son état par di érents symptômes et
dysfonctionnements.
Ces manifestations sont des signaux d’alarme à prendre au
sérieux. Ils peuvent en e et constituer le point de départ d’une
pathologie en sourdine, c’est pourquoi il est important de ne pas
tenter uniquement de les faire taire ou de les masquer avec des
substances médicamenteuses, des aides pour dormir ou des
somnifères.

Le « earthing » consiste en une « mise à la terre » du corps


humain afin de lui rendre sa capacité à capter les ions négatifs
essentiels à sa santé et à rétablir son état électrique naturel. Une
gamme d’articles existe, allant du tapis au drap de lit. Ils peuvent
être branchés soit dans une prise murale (avec une prise terre
fonctionnelle !), soit directement dans la terre, en extérieur, à l’aide
d’un piquet prévu à cet effet.

Les ondes et les enfants


Les embryons, fœtus, nouveaux-nés, jeunes enfants et adolescents
sont particulièrement fragiles en raison de leur petite masse
volumique, de l’immaturité de leurs organes et de leur
développement physique rapide. Ces trois paramètres les rendent
d’autant plus vulnérables aux radiations, ainsi qu’aux substances
carcinogènes.
Selon le stade de développement du fœtus ou du nouveau-né, les
expositions aiguës aux CEM peuvent avoir des conséquences
particulièrement néfastes, créant des dommages sur sa santé future.
Elles peuvent cependant apparaître et se développer des
dizaines d’années plus tard.

Comme les enfants sont particulièrement vulnérables aux CEM,


évitez absolument de les laisser jouer avec les téléphones
portables, ou pire, de leur en offrir un ! Pour rappel, le cerveau
d’un enfant absorbe, selon son âge, entre 1.6 et 3.1 fois plus de
rayonnements électromagnétiques que celui d’un adulte.
Le cerveau de l’enfant comporte une densité osseuse et une
quantité de liquide bien moindre que celui de l’adulte. Ces
caractéristiques permettent l’absorption de plus grandes quantités
d’ondes et, de surcroît, plus profondément dans le cerveau !

Pénétration des ondes dans le cerveau selon l’âge


L’augmentation du risque de leucémie chez l’enfant serait liée à
l’exposition à des CEM. D’ailleurs, en dehors du rayonnement
ionisant, le lien de cause à e et n’a pu être établi de manière aussi
claire avec aucun autre facteur environnemental.
C’est pourquoi, pour ne pas surexposer inutilement les enfants, la
décision de ne pas construire de lignes à haute tension à proximité
des écoles a été prise (et également de ne pas construire d’école dans
leur voisinage immédiat). Apparemment, en France, 40 000 enfants
de moins de 15 ans seraient surexposés à leur domicile, et 8 000
dans les écoles, selon une étude13 de l’ANSES.
Selon l’ancienne collaboratrice de l’OMS Olga Sheean, certains
enfants cessent de manifester les symptômes d’autisme et de TDAH
(trouble du dé cit d’attention avec ou sans hyperactivité) lorsqu’ils
ne sont plus exposés aux rayonnements des CEM.

Limitons autant que possible l’exposition des plus vulnérables en


protégeant leur capital-ondes : femmes enceintes, fœtus,
nouveaux-nés, enfants, adolescents et électrosensibles !
Évitons les expositions qui sont évitables, notamment pour les
bébés et les petits enfants : couveuses (avec des seuils EBF très
élevés induisant des altérations du rythme cardiaque), téléphones
portables, wifi, baby-phones, DECT, ordinateurs portables sur les
genoux, tablettes, etc.

Les ondes à l’école

A n d’o rir un environnement propice à l’apprentissage et à


l’enseignement, les écoles et institutions scolaires devraient
généraliser les connexions laires a n d’éviter l’emploi du wi et des
autres technologies sans l, en application du principe de précaution.
Elles éviteraient ainsi les possibles risques sanitaires à long terme, au
moins au sein de leurs établissements.
Les établissements spécialisés (ceux pour personnes sou rant
d’autisme, notamment) devraient exclure toutes les communications
sans l, ainsi que les objets connectés. Les étudiants qui le désirent
devraient également pouvoir accéder à un espace de travail connecté
par câble ethernet.
Les enseignants pourraient et devraient montrer l’exemple en
veillant à ce que, dans les salles de cours, tous les portables soient
éteints, et pas uniquement en mode « silencieux » ou « avion ». En
e et, selon les modèles, l’appareil peut continuer à générer des ondes
si le wi , le Bluetooth ou la localisation GPS sont activés, et cela,
même en mode « avion ».
Des séances de sensibilisation à l’emploi des ondes pourraient être
mises en place dans toutes les classes.
En plus d’encourager des comportements de nature addictive aux
objets connectés chez les jeunes, outre les e ets délétères des CEM
liés à leur utilisation des écrans, s’ajoutent ceux liés à l’exposition des
yeux à la lumière bleue, détériorant la qualité de leur vue… tout
comme celle de grandir et de se développer harmonieusement.

Les ondes à la maison

Le courant électrique à 50 Hz est présent dans les habitations, et la


plupart des installations ont été faites avec des câbles électriques non
blindés. Si ces ls entrent en contact avec des matériaux conducteurs
de champs électromagnétiques comme le bois ou le métal, il en
résultera alors une propagation de nuisances.
Assurez-vous qu’aucun câble d’alimentation électrique n’est en
contact ou à proximité de votre lit, surtout si ce dernier est en bois
ou en métal !
Précaution supplémentaire : mettez toutes les grandes surfaces
métalliques à la terre : rails, hotte d’aspiration, chauffe-eau, etc.

Diminuons donc de façon signi cative la pollution par ondes


électromagnétiques à l’intérieur de nos habitats, car c’est là que nous
pouvons agir le plus simplement et le plus rapidement !
Protégeons également nos animaux en évitant de les exposer
inutilement.

Certaines imprimantes continuent d’émettre en wifi, même


lorsqu’elles sont en veille ou en mode « wifi éteint ». Et une lampe
de chevet, pourtant éteinte, peut rayonner un champ électrique
jusqu’à 60-70 V/m ! Et vous y serez exposé durant toutes vos
nuits !

VOUS AVEZ DIT « ÉLECTROSENSIBLE » ?

Qu’est-ce que l’électro-hypersensibilité (EHS) et


comment l’éviter ?

Les maladies chroniques en tous genres sont en augmentation,


ainsi que celles associées à des troubles ou des symptômes encore
« non spéci ques », comme c’est le cas pour l’EHS. Elle fait donc
partie des pathologies émergentes.
Électro-hypersensible se dit aussi d’une personne ayant développé
un syndrome d’intolérance aux ondes électromagnétiques, avec un
ensemble de dysfonctionnements et, fréquemment, des douleurs
intenses. Le système nerveux central, le système endocrinien et le
système immunitaire sont successivement attaqués.
L’électro-hypersensibilité serait déclenchée par une exposition trop
importante aux ondes, surtout les micro-ondes et les hyperfréquences
pulsées de type téléphonie mobile, wi , Bluetooth, etc.
Un EHS est donc un individu devenu sensible, même à des niveaux
extrêmement faibles d’exposition aux ondes ; sa vie devient alors
réellement compliquée vu l’environnement de CEM dans lequel nous
baignons presque partout. Ainsi, selon la gravité de son état, il lui
sera di cile voire impossible de fréquenter les lieux et
transports publics et sera par là même frappé d’exclusion
sociale.

Après un temps de latence plus ou moins long (quelques jours,


mois, plusieurs années voire dizaine d’années), l’électro-
hypersensibilité peut apparaître du jour au lendemain, et parfois
de façon très grave, sans que la personne n’ait identi é de signes
avant-coureurs.

L’électro-hypersensibilité se caractérise par des symptômes peu


spéci ques comme :
• des rougeurs, des picotements et des sensations de brûlure ;
• de la fatigue, de la lassitude ;
• une exténuation chronique ;
• des di cultés de concentration ;
• une perte des facultés intellectuelles ;
• des étourdissements, des nausées ;
• des palpitations cardiaques ;
• des troubles digestifs ;
• un état dépressif permanent, parfois accompagné de tendances
suicidaires ;
• d’autres symptômes non expliqués par un examen clinique et
attribués à l’exposition aux champs électromagnétiques.
C’est pourquoi il est di cile d’établir des grilles de lecture et de
passer en revue tous les symptômes tant ils sont nombreux et variés ;
di cile, donc, d’en déduire une « pathologie EHS ». Chaque
personne peut réagir di éremment à une bande de fréquence
donnée. Autrement dit, tous les EHS ne sont pas électro-
hypersensibles dans les mêmes fréquences d’ondes, ni ne réagissent
avec les mêmes symptômes.
De plus, la résistance au stress oxydatif di ère selon les individus.
C’est la raison qui pourrait expliquer la di érence de sensibilité d’un
individu à un autre, mais aussi ce si large panel de symptômes.
Les symptômes peuvent apparaître avec le temps, dans des
conditions variées.
• Les troubles liés à une exposition brève, de moyenne intensité,
disparaissent en général lorsque cesse le rayonnement ; ils
n’entraînent pas de désordres irréversibles, mais uniquement des
gênes passagères.
• Il en va tout autrement pour les troubles liés à des expositions de
forte intensité ou répétées, à des puissances faibles mais
prolongées : on parle alors d’e et chronique. Les troubles
deviennent généralement perceptibles après un temps de latence
plus ou moins long, pouvant aller, comme décrit précédemment,
de quelques mois à plusieurs décennies. Ces troubles sont
généralement irréversibles sans traitement adéquat.
• Une exposition passagère de forte intensité peut produire les
mêmes e ets qu’une exposition faible mais régulière, donc
chronique.
Les effets des ondes sont cumulatifs et dépendent des doses
reçues, de l’intensité, de la fréquence et du type de modulation. Ils
apparaissent dans la durée. Souvent, le symptôme disparaît
complètement lorsque la source est supprimée, mais ce n’est pas
le cas lorsque l’exposition est chronique et qu’elle dure depuis des
années.

La plupart des personnes EHS vivent un véritable parcours du


combattant avant d’être reconnues comme telles. Elles connaissent
souvent les écueils de beaucoup de faux diagnostics. En e et, pour
l’instant, encore trop peu de médecins sont sensibilisés, savent
investiguer et prendre en charge cette pathologie émergente.
Pour le moment, la majorité des gens ne ressent pas les
rayonnements et ne voit donc aucun problème quant à l’utilisation
des appareils sans l. Cependant, une exposition chronique qui
dure depuis des années peut causer des dommages importants à
l’organisme. Mieux vaut donc prévenir que guérir !
Comment ? En éteignant la source du rayonnement, ce qui permet
de supprimer la pollution électromagnétique associée. C’est la
meilleure solution. Lorsque c’est possible :
• désactivez le wi , s’il s’agit d’ondes HF ;
• débranchez l’appareil du secteur ou disjonctez le plomb concerné,
directement sur le tableau électrique, s’il s’agit d’ondes BF.
Le principe des 10 hygiènes (résumé à la p. 167) est à appliquer
par tous, sans aucune modération ! Ce principe résume les facteurs
essentiels qui permettent d’augmenter la résistance du corps, de
renforcer son système immunitaire et d’être plus à même de gérer les
uctuations (modi cations/changements) en tous genres.
En plus des recommandations ci-dessus, il est important de tenir
compte des interactions possibles pouvant in uencer et/ou entretenir
l’EHS :
• une hypersensibilité chimique multiple (intolérance aux produits
parfumés, aux pesticides, aux plastiques, aux tissus synthétiques, à
la fumée, au pétrole et à ses dérivés, aux émanations de peinture,
etc.) ;
• l’in uence des métaux lourds dans le corps ;
• les mémoires traumatiques, les chocs émotionnels ;
• l’in uence des parasites énergétiques et autres miasmes ;
• l’in uence du lieu (tellurisme et mémoires).
Un travail de lâcher-prise et d’acceptation par rapport à la
situation, avec un appui thérapeutique si nécessaire, peut s’avérer
très béné que.

La check-list des nuisances CEM à supprimer soi-même

Plusieurs rayonnements sont facilement identi ables et peuvent


être aisément supprimés grâce, par exemple, au testeur de prise de
terre.
• Véri ez que toutes vos prises électriques possèdent la terre.
• Faites contrôler la valeur de votre prise de terre, qui devrait être
la plus basse possible et avoisiner les 10 Ohms, valeur à laquelle
les courants de fuite ou de défaut à la terre seront convenablement
évacués. De plus, les champs des appareils reliés à la terre seront
fortement réduits.
• Véri ez le sens d’insertion de la che plate des appareils qui
n’ont pas de prise de terre (2 broches), surtout dans le cas de
lampes de chevet branchées à côté du lit (pour rappel : une lampe,
même éteinte mais branchée sur secteur, peut rayonner jusqu’à 60-
70 V/m !) ; employez pour cela un tournevis testeur en contrôle le
long du câble : s’il s’allume ou émet un signal sonore, c’est qu’il a
détecté des CEM d’une valeur élevée.
C’est également le cas pour la plupart des petits appareils
ménagers et de soins qui ne possèdent pas de prise de terre.
• Dans la salle de bains : sèche-cheveux, lisseur, épilateur, rasoir
électrique, tondeuse à cheveux, chau age d’appoint et sou erie.
• Dans la cuisine : robots, mixeur, batteur.
• Dans le salon : télévision, écran cathodique (heureusement, il est
en voie de disparition), box Internet, modem, CPL haut débit,
décodeur, chargeurs de toutes sortes d’appareils, lampes, appareils
fonctionnant avec CPL, compteurs dits « intelligents » (en plus
d’autres nocivités, ils augmentent le courant électrique sale et
fonctionnent sur le principe du CPL).
• Dans la chambre à coucher : lampes de chevet, couvertures
chau antes, lit électrique, ampoules uocompactes dites « basse
consommation », téléphone portable (peut néanmoins être
employé comme réveil s’il est en mode « avion », éloigné du lit,
avec les fonctions Bluetooth, wi et la localisation déconnectées).
Ne laissez aucun appareil électrique en charge sur votre table de
nuit. Véri ez le sens de branchement de votre lampe de chevet
(tournevis testeur) ou débranchez-la ! Éteignez le wi , au moins
pour la nuit ! Connectez-vous à Internet en mode laire à l’aide
d’un câble ethernet blindé RJ45, la connexion sera plus rapide et
plus sécurisée !

La puissance du wifi décroît plus rapidement dans les premiers


mètres de rayonnements depuis l’emplacement de la source (box).

Évitez :
• la proximité de votre tête avec les prises électriques murales,
mais aussi avec la paroi, qui éventuellement pourrait rayonner des
CEM ; décoller votre lit du mur de quelques dizaines de
centimètres est une solution provisoire e cace, sinon, faites poser
un « biorupteur » (aussi appelé « bioswitch », ou IAC : interrupteur
automatique de champ) par un électricien ;
• les guirlandes LED sur la tête de lit ;
• la proximité d’un radiateur électrique (classe 2) sans
raccordement à la terre, ou celle d’un modèle de type sou erie à
air chaud ;
• l’ordinateur ou la tablette allumés, branchés sur secteur, en mode
veille ;
• une box sans prise de terre ;
• les montres (ou tout autre objet connecté) en état de
fonctionnement ;
• la télésurveillance de la maison enclenchée en mode « total », y
compris dans les chambres à coucher, surtout la nuit.
Optez pour un système « earthing » (aussi appelé « grounding » ou
« connexion à la terre »). Pensez à assainir votre chambre à coucher
au niveau des CEM… Pas la peine que les champs
électromagnétiques environnants transitent par votre corps avant
d’être mis à la terre par la connectique du drap earthing !

Une attention toute particulière devrait être portée aux appareils


électriques posés sur la table de chevet qui, généralement, est
constituée de bois ou de métal, deux matériaux conducteurs des
CEM.
Pour ceux qui souhaiteraient aller plus loin dans l’assainissement,
il existe des moyens tels que des revêtements, des peintures ou
même des tissus qui, reliés à la terre, constituent une solution
intéressante pour bloquer les rayonnements électriques BF et
certains types d’hyperfréquences. Ils restent cependant inefficaces
pour bloquer efficacement les champs magnétiques BF.

La 5G

Qu’est-ce que c’est ?

Par dé nition, la 5G est la cinquième génération de la technologie


de communication sans l, après la 4G, la 3G et la 2G. Elle devrait
améliorer la vitesse et la couverture de la 4G et fonctionnera avec un
signal de 5 GHz. Elle devrait permettre d’atteindre des vitesses
jusqu’à 1 Gb/s de débit en réception et jusqu’à 300 Mb/s en
émission, dans des conditions optimales : à côté d’une antenne, avec
la bande passante libre.
La technologie 5G va venir se superposer au « cocktail » d’ondes
déjà existant (2G, 3G, 4G, wi , radio, etc.), avec un débit, une
puissance et une largeur de bande augmentés. De nouvelles bandes
de fréquences vont être attribuées à cette technologie, allant de 3.4
GHz jusqu’à 22 GHz, puis l’ouverture des bandes se fera
probablement jusqu’à 300 GHz.
Les futures antennes de la 5G devraient permettre de centrer le
rayonnement sur un utilisateur, à des niveaux qui seraient dix fois
supérieurs aux niveaux actuellement autorisés pour la téléphonie en
Suisse, par exemple. Pour ce faire, le nombre d’antennes-relais
devra être pratiquement doublé. Rien qu’en Suisse, quelque 15
000 nouvelles antennes devront être installées.
Cette technologie permettra d’e ectuer un balayage électronique
actif grâce à des faisceaux d’ondes électromagnétiques orientables et
focalisés, depuis les antennes au sol et depuis des satellites, dans
l’espace. La loi sur le rayonnement devra être revue à la hausse, car
la puissance des émissions de rayonnement devra être augmentée
pour permettre l’exploitation de la 5G.
De nombreuses applications sont vantées comme étant possibles
grâce à l’activation de la 5G (réalité augmentée, voitures autonomes,
villes connectées, etc.), mais très peu d’études réalistes existent à ce
sujet.

Avec l’augmentation de la puissance et la densi cation des


antennes-relais, les personnes aux alentours seront également
touchées, à leur insu, par cette technologie de faisceaux dirigés.

Les conditions pour sa mise en place


Pour le déploiement de la 5G, près de 20 000 nouveaux satellites
vont devoir être lancés dans l’espace et des millions de nouvelles
stations de base d’émission seront installées sur Terre. D’après les
estimations, près de 200 milliards d’objets émetteurs
constitueront l’Internet des objets du monde de demain.
Comme il faut un grand nombre d’antennes à proximité des
utilisateurs (la portée de la 5G est moindre que celle de la 3G ou de
la 4G), l’installation des antennes s’e ectuera dans le mobilier urbain
(arrêts de bus, réverbères, bâtiments, vitres de fenêtres, etc.), tous les
100 à 200 mètres.

La 5G, la science, la vie privée et les moratoires

Les ondes de la 5G sont des ondes pulsées, beaucoup plus


agressives pour le Vivant, car elles entrent en résonnance avec la
fréquence des cellules vivantes ; celles des humains, des animaux et
des végétaux.
D’après les spécialistes, la caractéristique de la 5G est l’absorption
de l’énergie, qui se fait essentiellement au niveau de la peau (organe
très conducteur de ces fréquences) et des yeux. Une technologie
similaire est utilisée par l’armée, notamment pour disperser les
foules…

Ce n’est pas parce qu’une technologie est nouvelle qu’elle est


intrinsèquement bonne ! Ces technologies n’ont pas reçu
d’évaluation scientifique sur le long terme et leurs effets
représentent une inconnue que personne ne maîtrise à l’heure
actuelle. Elle constitue donc un nouvel agent toxique dont la
dangerosité potentielle est méconnue.

De nouvelles normes de sécurité devraient normalement être


fondées sur plusieurs paramètres distincts concernant :
• les niveaux de puissances ;
• les fréquences ;
• les largeurs de bandes ;
• la forme de l’onde, sa modulation, etc. ;
• l’exposition cumulative, ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle.
Malgré cela, le Conseil de l’Union européenne veut, pour 2020,
qu’une grande ville par pays soit connectée à la 5G et, d’ici 2025,
que toutes les grandes villes le soient, ainsi que les principaux axes
de communication.
Aux États-Unis, la résistance s’est organisée dans une dizaine de
villes. À Bruxelles, la municipalité a stoppé le projet pilote, tout
comme le canton de Vaud, en Suisse. Tous craignent pour la santé et
demandent, avant son déploiement, d’attendre les résultats des
études concernant les impacts sur le Vivant.

Dans les faits, et pour mémoire, 170 scienti ques provenant de


37 pays di érents avaient signé, en mai 2015 déjà, un appel
demandant à l’ONU un moratoire sur la 5G.

Le problème majeur est que tout le monde sera exposé


simultanément et continuellement, sans interruption. L’exposition
involontaire de chacun sera massivement augmentée et les
rayonnements des CEM impossibles à éviter.
Dans la pratique se posera le problème de l’exposition de
l’entourage des personnes connectées la nuit, notamment les joueurs
en ligne (qui vont « focaliser » sur eux les ux d’ondes qui,
rappelons-le, seront orientables en fonction de la demande). Leurs
voisins seront directement a ectés par ces rayonnements pendant
leur sommeil, à leur insu, impactant leur qualité de sommeil et leur
capacité de récupération ; outre le fait de brouiller le cerveau et
d’engourdir les sens.
Rappelons que le lieu de sommeil et de repos devrait être en
zone neutre du point de vue tellurique, mais également
électromagnétique !
Avec l’intelligence arti cielle et la surveillance numérique à
grande échelle, la vie sera de moins en moins « privée » à cause de la
collecte des données et de leur utilisation à des ns ciblées.
Le citoyen est aussi en droit de se demander comment vont être
sécurisées les connexions de ces centaines de millions d’objets
(environ 1 million par km2), alors qu’à l’heure actuelle sévissent déjà
les piratages informatiques, les usurpations d’identité et les vols de
données… Qu’en sera-t-il alors lorsque les connexions seront
démultipliées de façon exponentielle ?

Société et développement durable, compatibles avec la


5G ?

La plupart des compagnies d’assurances excluent déjà de leurs


contrats les maladies liées aux ondes électromagnétiques. Après
l’activation de la 5G, incombera-t-il aux États et aux organismes
sociaux d’assumer les conséquences sanitaires qui risquent d’en
découler ?
À l’heure actuelle, où on assiste à l’émergence de prises de
conscience et d’actions multiples allant dans le sens d’un
développement durable, de la sauvegarde de la Terre, des espèces,
etc., le déploiement de cette technologie entourant toute la Terre est-
il compatible avec le Vivant ?
Le volume de données analysées par des algorithmes de plus en
plus complexes ainsi que le ux des rayonnements seront tous deux
augmentés de façon exponentielle. Les émissions de tous ces satellites
supplémentaires qui graviteront autour de la Terre ne risquent-elles
pas de contribuer à l’altération de l’environnement
électromagnétique de la planète, accentuant encore la menace déjà
sérieuse qui pèse sur toute forme de vie ?
Aujourd’hui, environ 25 % des rayonnements sont émis par des
stations de base de la 2G, pour seulement 0.4 % du tra c ! Au lieu de
superposer les technologies les unes sur les autres, il serait judicieux
de les remplacer totalement, par exemple en désactivant et en
démontant les stations de base de la 2G.
Les ondes FM n’avaient pas ce problème de compatibilité avec le
Vivant, que possèdent les ondes DAB+ ou RNT actuelles, issues de la
radio numérique.

Développement durable et incohérences sociétales

Les stations de base de la 5G consommeront trois fois plus


d’énergie que celles de la 4G. Il faudra donc produire
considérablement plus d’énergie, alors que l’heure est plutôt aux
économies.
À l’heure où l’engouement pour la mobilisation et les actions
concrètes en faveur du climat et du développement durable se
développe un peu partout, il est urgent de prendre conscience de
l’impact et des conséquences des rayonnements électromagnétiques
arti ciels qui vont conditionner notre environnement, nos enfants,
nos végétaux et donc notre nourriture, nos animaux, nos insectes,
notre planète…
La plus grosse partie des pollutions à e et de serre est émise par
l’industrie. Dans l’objectif de diminuer ces émissions nocives, les
citoyens sont fortement incités à privilégier les transports publics
pour leurs déplacements. Mais en adhérant à ce choix, les voyageurs
sont, de fait, soumis à de fortes et régulières expositions aux CEM (la
plupart des voyageurs sont en connexion 4G ou wi sur leur portable
ou leur ordinateur, dans un endroit restreint, généralement en métal
et souvent avec des répéteurs wi en sus). Le prix à payer pour
réduire les émissions à e et de serre est-il celui de la santé
individuelle ?
Le citoyen devrait pouvoir avoir le choix entre être connecté (et
subir les CEM) ou ne pas l’être. Dans une ligne de cohérence, les
citoyens ne devraient pas avoir à choisir entre la santé personnelle et
celle de l’environnement, car toutes deux devraient aller de pair !

Pour échapper à l’influence des CEM ou à toute autre nocivité


d’origine électromagnétique artificielle, il faut se déplacer le plus
loin possible de la source d’émission. Un éloignement est
généralement suffisant pour faire décroître les effets dus au
rayonnement.

Les CEM en interaction avec les nocivités telluriques

Voici un exemple de l’in uence des CEM sur des bandes de réseaux
Hartmann (pour rappel, il existe des bandes positives en alternance
avec des bandes négatives).
Si un téléphone portable, baby-phone, téléphone DECT… est activé
(en mode wi , Bluetooth, etc.) et placé sur une bande négative du
réseau Hartmann, le champ de torsion gauche (négatif) résultant de
l’appareil sera grandement ampli é par la bande négative et
deviendra alors très négatif pour le Vivant.
Si ce même appareil est placé cette fois-ci sur une ligne positive du
réseau Hartmann, le champ qui en résultera sera quand même de
torsion gauche, c’est-à-dire négatif, malgré la ligne positive du
réseau. L’action de l’appareil est donc plus « forte » que celle du
champ naturel du réseau et le champ de torsion gauche (négatif)
l’emportera sur le champ de torsion droit (positif).
Cela donne une idée assez claire de l’in uence qu’ont nos appareils
électriques connectés sur les manifestations telluriques et de la façon
dont ils rendent négatives des bandes naturelles qui étaient positives
à l’origine ! Le caractère négatif des autres géopathogènes
telluriques est également accentué et souvent di usé, s’ils sont
soumis à des CEM. Ils se transforment alors en émetteurs passifs,
négatifs eux aussi.
Ainsi, le champ de torsion gauche (négatif) émis par une antenne-
relais, une éolienne ou une ligne à haute tension sera di usé, parfois
sur plusieurs kilomètres, si elles ont été implantées sans tenir compte
du sous-sol (comme c’est généralement le cas), par exemple sur une
faille.

Robby, le bébé qui ne grandissait pas


Lors d’une consultation pour son bébé de 22 mois qui souffrait
d’insomnies, une jeune femme était préoccupée par son retard
considérable de croissance ; retard accumulé depuis huit mois,
période qui correspondait au déménagement de la famille dans un
nouveau logement.
L’unique solution proposée par le pédiatre était la mise sous
hormones de croissance du petit Robby. N’arrivant pas à se
résoudre à cette solution, la jeune mère chercha une alternative
auprès des médecines parallèles. C’est ainsi que sa kinésiologue,
ayant constaté qu’il y avait un problème dans l’habitat, me
l’adressa.
Lors de la visite à son domicile, je constatai que le couffin du bébé
se trouvait à l’aplomb d’un croisement de réseau Hartmann, d’une
circulation d’eau souterraine et que, en plus, le bébé subissait un
rayonnement important d’ondes hyperfréquences provenant de
plusieurs antennes GSM implantées sur le château d’eau se
trouvant en diagonale du berceau, ainsi que d’un répéteur de wifi
installé sur une structure métallique de la chambre voisine.
Après que le couffin a été déplacé dans un endroit tellurique
neutre, hors zone d’influence des antennes, et suite aux
nettoyages énergétiques d’usage, au passage de toutes les
connexions Internet en mode filaire et grâce aux indications pour la
suppression des rayonnements issus des appareils environnants
et sur une façon plus « saine » d’utiliser les téléphones portables,
le petit Robby se remit à dormir dès la première nuit suivant
l’intervention.
Trois semaines plus tard, il avait déjà grandi de 3 cm et, à la fin de
l’année, il avait rattrapé sa courbe de croissance !

Comme détaillé précédemment, les nocivités telluriques, à elles


seules, contribuent souvent à déclencher des mal-être importants,
quand elles n’accentuent pas carrément l’apparition de maladies plus
graves ou ne les entretiennent. En ajoutant l’in uence des CEM, les
e ets engendrés sont ampli és de manière exponentielle par des
nocivités de natures di érentes. Ceci donne un aperçu du cocktail
pour le moins explosif auquel nous sommes de plus en plus souvent
confrontés.
Pourtant, nombre de ces mal-être ou maladies dont on ne connaît
pas l’origine pourraient être nettement diminués, voire
complètement supprimés si le simple principe de précaution de la
zone neutre tellurique et électromagnétique était appliqué dans
toutes les chambres à coucher !

Harris, le cochon d’Inde sauvé in extremis


Une dame d’une cinquantaine d’années, Élise, m’a contactée à
cause de sa grande fatigue, son manque de motivation, ses
douleurs et maux diffus. Sa fille d’une vingtaine d’années souffrait
de symptômes similaires. Elle avait un cochon d’Inde, Harris, très
mal en point depuis plusieurs jours, qui ne bougeait pratiquement
plus et avait cessé de s’alimenter. La visite de l’avant-veille chez le
vétérinaire n’avait rien révélé d’anormal, et l’animal avait même
repris un peu vie durant cet intermède. Arrivée sur place, je
remarquai tout de suite la série d’appareils (box, téléphone DECT,
chaîne hi-fi), tous posés sur la même étagère jouxtant la cage et
branchés sur une multiprise juste en dessous. Quand je caressai
Harris, il n’eut aucune réaction et resta étalé à plat, la tête sous un
tissu lui servant d’abri ; il respirait difficilement.
Le canapé où Élise passait plusieurs heures par jour pour se
reposer de sa journée de travail se trouvait juste devant ladite
étagère, avec tous les appareils électriques branchés.
Je proposai de déplacer immédiatement Harris et sa cage sur un
emplacement électromagnétiquement et telluriquement neutre.
Suite aux prospections d’usage, au nettoyage des mémoires du
lieu et aux relevés telluriques, il s’est avéré que la cage de Harris
était, en plus, située sur une faille géologique, nocivité délétère par
elle-même mais qui, dans ce cas, était amplifiée par les CEM.
Continuant les détections, je me tournai du côté du nouvel
emplacement de la cage, et quelle ne fut pas ma surprise de
constater que Harris était sur pattes, en train de manger son foin.
Les graines avaient déjà toutes été englouties ! Élise et sa fille
n’en revenaient pas ; elles en étaient toutes deux abasourdies,
mais tellement contentes… Quelle incroyable surprise !
Lorsque je caressai de nouveau Harris, il se mit à faire de petits
couinements, que je pris pour des manifestations de satisfaction. Il
était « revenu à la vie », une fois soustrait aux ondes qui
l’assaillaient !
Outre plusieurs suggestions de modification du système électrique
et des habitudes dans l’emploi de certains appareils, il ne fut pas
difficile de convaincre Élise de créer une zone neutre, dédiée au
repos, étant donné l’effet spectaculaire et immédiat qu’elle avait
constaté sur son cochon d’Inde.
J’ai vivement remercié Harris pour sa participation et son aide
précieuse !

Dans le chapitre suivant seront traitées les fonctions et


l’importance du sommeil pour la santé, mais aussi comment la
géobiologie peut contribuer à les améliorer.
RETROUVEZ UN SOMMEIL RÉPARATEUR

Les phases du sommeil

Selon la dé nition usuelle, le sommeil est l’état physiologique


périodique de l’organisme pendant lequel la vigilance est suspendue,
la réactivité aux stimulations amoindrie et l’activité de certaines
fonctions ralentie. Le sommeil est composé d’une succession de
quatre à six cycles, qui durent environ 90 minutes chacun. Il se
divise en quatre phases :
• l’endormissement ;
• le sommeil lent léger ;
• le sommeil lent profond ;
• le sommeil paradoxal, caractérisé par les rêves.
Le sommeil profond est le plus réparateur pour l’organisme. C’est
pendant cette phase qu’ont lieu la réparation, la régénération des
tissus, la construction des os et des muscles, le renforcement du
système immunitaire, mais également la consolidation des
apprentissages dans la mémoire. Le sommeil est une fonction à part
entière à laquelle, au cours d’une vie, nous consacrons en moyenne
plus de 25 ans ! Il est vital pour préserver notre santé.

Un manque de sommeil ou un sommeil de mauvaise qualité a


immanquablement un impact important sur la santé, l’efficacité, la
mémoire, la concentration, la performance, l’énergie, la vitalité et la
qualité de vie en général.

De nombreuses études décrivent l’impact négatif à long terme de la


mauvaise qualité et du manque de sommeil sur l’état général de la
santé :
• dégradation de la qualité de vie ;
• insomnies aggravant les symptômes de maladies somatiques ou
psychiatriques associées ;
• intensi cation des douleurs chroniques, de l’hypertension, de la
dépression, etc.

Que se passe-t-il pendant le sommeil ?

Au début de la phase de sommeil lent et profond, la récupération


est à son apogée et l’organisme tout entier est au repos. Cette période
représente environ 20 à 25 % du temps de sommeil total. Pendant le
sommeil, l’organisme économise 30 % d’énergie (par rapport à l’état
de veille), qu’il peut utiliser pour faire grandir les organes, les
réparer, etc.
Dans cette phase, les ondes du cerveau sont amples et lentes ;
l’activité cérébrale est réduite au minimum. Celle des fonctions
vitales et des mécanismes de défense l’est également. Une diminution
des rythmes cardiaque et respiratoire est observée, ainsi qu’un
abaissement de la température corporelle.
Le sommeil profond favorise la sécrétion hormonale en général et,
chez l’enfant, celle de l’hormone de croissance. Son rôle est de
renforcer les défenses immunitaires et de favoriser l’ancrage des
informations dans la mémoire. Il est généralement di cile de
réveiller le dormeur durant cette phase si importante, plongé qu’il est
dans son sommeil et coupé du monde extérieur.
De nombreux processus physiologiques, de réparation, de
restauration, de tri et de remise à niveau ont lieu pendant le
sommeil, par exemple :
• la croissance ;
• la maturation cérébrale ;
• le développement des capacités cognitives et leur préservation ;
• la régulation de la température corporelle ;
• l’ajustement de nombreuses sécrétions hormonales ;
• la production de nouvelles cellules, remplaçant celles qui sont
mortes ;
• l’ancrage dans la mémoire des notions apprises ;
• la consolidation des facultés de mémorisation ;
• la gestion de l’énergie ;
• l’apparition de processus de réparation ;
• la protection de notre cerveau contre le stress oxydatif (détaillé p.
154).

Les radicaux libres produits par l’oxydation causent des


dommages aux cellules et à l’ADN et représentent un facteur très
important dans le processus de vieillissement.

Les hormones et le sommeil

Le rôle de la mélatonine

La mélatonine est une hormone produite par la glande pinéale


(l’épiphyse). Sa fonction principale est de donner des repères
temporels à notre organisme et de rythmer le cycle physiologique sur
une régulation circadienne (laquelle regroupe les processus
physiologiques cycliques sur une durée de 24 heures) dont
dépendent de nombreuses fonctions biologiques du corps : la
régulation de la température interne, de la pression artérielle, de la
sécrétion de certaines hormones, des rythmes métaboliques ou des
prises alimentaires. Elle in uence le diabète, le cholestérol, stimule
le système immunitaire et a un rôle antioxydant.
Cette hormone a pour but de préparer l’organisme au repos, c’est
en cela qu’elle est si essentielle à la régulation (circadienne) du
rythme biologique de notre sommeil. En e et, dès que la luminosité
baisse, la sécrétion de mélatonine augmente et le corps passe en
mode « sommeil ». Pour une personne qui présente une régulation
circadienne « normale », le taux de mélatonine va considérablement
augmenter vers 21 heures (soit environ 1 à 2 heures avant l’heure
habituelle de l’endormissement) et le pic de libération de mélatonine
sera atteint entre 2 heures et 4 heures du matin. La sécrétion va
ensuite diminuer et la mélatonine ne sera plus présente durant la
journée.
Il est très important de noter que la sécrétion de la mélatonine
peut être bloquée ou interrompue par une exposition à la lumière en
n de soirée ou par la présence de lumière dans la chambre pendant
la nuit. Sa sécrétion est également altérée lorsque la personne
est exposée aux ondes telluriques nocives ainsi qu’aux CEM
arti ciels.

Une sécrétion optimale de mélatonine

Le plus important consiste à conserver un rythme de sommeil


régulier, en préservant l’alternance correcte entre la luminosité et
l’obscurité dans son environnement. Dans l’idéal, il faudrait donc
diminuer l’exposition à la lumière durant la soirée, notamment celle
des écrans, qui dispensent une lumière bleue qui excite et interfère
avec le rythme circadien. Elle est synonyme de luminosité intense et
donc de « jour » ; c’est ainsi qu’elle déclenche des mécanismes de
l’éveil, incompatibles avec le sommeil et l’endormissement. Le
sommeil en est altéré non seulement en qualité, mais également en
quantité.
Pour remédier à cet inconvénient, il existe divers dispositifs,
applications ou lunettes qui ltrent la lumière bleue. Il est cependant
tout aussi important de s’exposer à la lumière naturelle durant la
journée, spécialement pendant la matinée (par exemple, maintenir
ou prendre l’habitude d’ouvrir les volets ou les stores et de sortir à la
lumière du jour).
La mélatonine peut également être administrée sous forme
médicamenteuse dans certains cas. Elle sert principalement à lutter
contre les insomnies ou à aider les personnes venant d’e ectuer un
long voyage en avion à s’adapter au décalage horaire. Elle est
également utilisée pour aider les patients atteints de la maladie
d’Alzheimer à trouver le sommeil plus vite et à dormir plus
longtemps.
La production de mélatonine peut être ralentie, voire
complètement supprimée par la lumière.

Dérèglement de la sécrétion de mélatonine

En cas de dérèglement de la sécrétion de mélatonine, des troubles


du sommeil peuvent apparaître et peuvent être dus à :
• l’utilisation des écrans pendant la soirée ;
• l’absence d’une stimulation lumineuse correcte pendant la
journée et l’exposition à la lumière insu sante durant la matinée ;
• la di culté à distinguer les di érents degrés de luminosité à
cause d’une baisse de la vue ;
• les voyages à travers di érents fuseaux horaires (jet lag) ;
• les horaires de travail irréguliers.

Le sommeil et le surpoids

Un lien entre une durée de sommeil insu sante (induisant une


dette de sommeil) et la prise de poids a été établi. Des chercheurs ont
même démontré que le fait de dormir peu et de suivre un régime
amaigrissant augmenterait la sécrétion de la ghréline, renforçant son
action stimulante sur la prise alimentaire et, par voie de
conséquence, le fait de manger plus que nécessaire et de stocker
l’énergie excédentaire sous forme de graisse !
En e et, la qualité du sommeil est associée à la régulation
hormonale, parce que beaucoup d’hormones sont produites pendant
le sommeil. C’est également le cas pour les hormones ghréline et
leptine, qui doivent être en équilibre pour maintenir un poids de
forme optimum. La ghréline stimule l’appétit et est aussi appelée
« hormone de la faim » ; la leptine, quant à elle, induit la sensation
de satiété.
Si le sommeil est de mauvaise qualité ou d’une durée insu sante,
la production d’hormones en sera a ectée et l’équilibre rompu : la
sensation de faim se fera sentir tout au long de la journée. Plus la
fatigue sera présente, plus la propension à la compensation
alimentaire risque d’être importante.

L’endormissement

Le deuxième principe impliqué dans la fonction du sommeil est


induit par l’adénosine qui, accumulée pendant environ 16 heures,
provoque le sommeil. Sa concentration augmente naturellement
durant la journée et diminue pendant la nuit.
L’endormissement sera possible lorsque l’horloge biologique aura
amené cette con guration hormonale favorable au sommeil et qu’un
temps su sant entre le réveil et l’endormissement se sera écoulé,
créant une « pression de sommeil ».
Cependant, certaines substances telles que la caféine (café) ou la
théophylline (thé) empêchent justement sa xation sur certains
neurones du cerveau, et entretiennent donc l’e et stimulant,
compliquant ou di érant l’endormissement.

Les somnifères

Les substances médicamenteuses comme les somnifères agissent


sur la qualité de sommeil. Elles modi ent le fonctionnement des
systèmes physiologiques, avec un e et sédatif et anxiolytique plus ou
moins fort. Certains types de somnifères provoquent une
accoutumance, des dépendances physique et psychique, d’autres
perdent leur e cacité s’ils sont utilisés de façon trop régulière ou
comportent des e ets secondaires (somnolence, diminution des
performances, pertes de mémoire, troubles neurologiques) et
favorisent les accidents et les chutes.
Ces produits ne favorisent pas le sommeil lent et profond,
celui qui est réparateur et qui permet au corps de récupérer
vraiment.
De plus, les risques d’interactions avec d’autres médicaments sont
grandement augmentés, notamment chez les personnes âgées (leur
qualité de sommeil étant déjà altérée en raison de l’âge). C’est
pourquoi la Haute Autorité de la santé ne préconise qu’un recours
ponctuel aux somnifères, et uniquement lorsque l’insomnie est sévère
et a ecte la qualité de vie.

L’importance du sous-sol pour un sommeil de qualité

Un sommeil de qualité est donc vital pour notre bon


fonctionnement physiologique, mental, psychique, physique et même
spirituel. Il constitue une fonction à part entière, qui a besoin de
facteurs spéci ques pour pouvoir assumer pleinement ses divers rôles
de réparation, de régénération et de récupération.
Les ondes telluriques nocives entament notre « capital-ondes
telluriques » et ne permettent pas les conditions optimales pour un
sommeil de qualité. Avant de devoir supporter toute une série de
symptômes plus ou moins invalidants, il vaut mieux ne pas dépasser
son seuil de tolérance personnel, alors évitons de dormir à leur
aplomb !
Un sommeil e cace est directement en lien avec l’état du lieu,
tant au niveau des ondes telluriques qu’au niveau de l’« ambiance »,
de l’état énergétique global de l’endroit, de ses mémoires, et aussi,
comme nous le verrons plus loin, au niveau des CEM.

Le sommeil et les nocivités des CEM

On peut dormir mais ne pas se reposer ni récupérer correctement.


Durant le sommeil, le corps devrait normalement passer du temps
à se réparer, à trier et à détruire les cellules malignes, à réparer
l’ADN, à fabriquer correctement de nouvelles cellules sans se tromper
dans la retranscription des gènes. La mémoire à long terme et la
consolidation du stockage d’informations ont également lieu durant
le sommeil.

Le corps, pendant le sommeil, ne devrait pas lutter contre des


agressions, quelles qu’elles soient !

Plus un organisme est fatigué, exténué, moins il est e cace et plus


le risque de faire des erreurs croît. C’est ce qui se passe si un corps se
trouve à la verticale de nocivités telluriques dont les rayonnements
l’agressent durant les heures de sommeil, toutes les nuits, donc
pendant un tiers de sa vie !
Pendant le sommeil, le corps a besoin de calme et doit donc être
soumis au minimum d’interactions extérieures possible, et à dix fois
moins d’ondes que pendant la journée, lorsqu’il est en état de veille.
De plus, le corps est beaucoup plus sensible aux CEM en état de
sommeil qu’en période de veille, c’est pourquoi les valeurs limites en
zone de repos sont beaucoup plus basses que celles des lieux de vie.
Pour un sommeil récupérateur et de qualité sur le long terme, il est
important que l’endroit de repos soit situé dans une zone neutre à
tous les niveaux d’ondes :
• telluriques naturelles (croisement de réseaux, faille, circulation
d’eau, CCT, etc.) ;
• électromagnétiques arti cielles (électricité, appareils électriques
et électroniques, téléphones portables, wi , objets connectés,
etc.) ;
• de mémoire du lieu, des murs et des parasites énergétiques.
Si le corps est agressé par di érents types de nocivités pendant le
sommeil, il va « courir au plus pressé », à sa survie dans l’instant, en
employant son énergie à lutter contre ces nocivités au lieu de faire le
travail pour lequel la période et la fonction du sommeil devraient
être employées.
Le sommeil sera de médiocre qualité, avec des microréveils, des
insomnies, induisant des risques de troubles de l’humeur, de
somnolence durant la journée, que certains tentent de compenser par
du café ou des excitants divers. Il est ainsi fréquent d’assister à
l’apparition de maux divers allants des mal-être plus ou moins bénins
jusqu’à des pathologies plus lourdes.
De fait, nous sommes tous (et de plus en plus souvent) en dette de
sommeil : adultes, adolescents et même les enfants ! Il est donc
d’autant plus important de conserver au moins la qualité de
sommeil !
« Bien dormir » est donc un pari gagnant sur le court et sur le long
terme !

Vous dormez plutôt mal, vous êtes fatigué et avez de la peine à


récupérer ? D’autres solutions que les remèdes pharmaceutiques
existent !
Avant de sauter sur la pharmacopée pour vous inciter à dormir,
vérifiez ou faites vérifier votre chambre à coucher avec un soin
particulier, sous et autour de votre lit, sur les plans telluriques et
électromagnétiques. Vous pourriez être surpris par le nombre de
nocivités près de votre lit qui pourraient participer à détériorer votre
sommeil !
Sous somnifères, vous allez peut-être dormir, mais avec un
sommeil moins récupérateur et, en plus, votre corps ne sera pas
en mesure d’effectuer son travail de réparation et de régénération
de manière efficace, engagé qu’il sera à lutter contre les nocivités
ambiantes.
Quelques sources de nocivités dans la chambre à coucher
Quelques sources de nocivités dans la chambre à coucher

Les ondes cérébrales, le sommeil et le wifi

Notre cerveau émet en permanence des impulsions sous forme


d’ondes électromagnétiques dont l’unité est le hertz (Hz) et pouvant
être mesurées grâce à un électro-encéphalogramme.
Une stimulation extérieure incite généralement le corps à s’adapter
au nouveau rythme imposé. Par exemple : si une personne est en état
de relaxation, son cœur et ses ondes cérébrales fonctionnent sur un
rythme ralenti. Si, tout à coup, une musique d’un rythme très rapide
est di usée, les battements du cœur vont s’accélérer d’eux-mêmes
pour, en quelque sorte, se « synchroniser » sur le rythme extérieur
(en l’occurrence, la musique) alors que la personne est toujours au
repos, sans avoir bougé.
Un phénomène identique se produit lorsqu’une personne est dans
sa phase de sommeil lent et profond, avec des ondes cérébrales à 3-4
Hz, donc en phase de réparation, et que le wi 10 Hz est tout à coup
allumé. Les ondes cérébrales du dormeur vont tendre à se
synchroniser sur la fréquence des 10 Hz du wi et faire émerger
la personne de sa phase de récupération.

Réveil assuré chaque nuit pour tout le monde !


Suite à son emménagement dans un appartement neuf, respectant
les récentes normes énergétiques, un couple avec son enfant de 6
ans m’a contactée. En effet, cela faisait 6 mois que l’enfant se
réveillait toutes les nuits entre 3 heures et 4 heures, puis à 5
heures du matin de manière définitive, indistinctement les jours de
semaine, les week-ends ou pendant les vacances. Ses parents,
tous deux dans la vie active, étaient épuisés par cette dette de
sommeil accumulée au fil des mois.
L’analyse de l’appartement a révélé que le circuit électrique était
effectivement très bien installé, respectant des valeurs limites très
basses. Il n’y avait pratiquement aucun rayonnement 50 Hz
basses fréquences dans les parois et il était très faible autour des
prises électriques murales. De ce point de vue là, cet immeuble
avait été bien conçu.
Cependant, lors de la construction, on n’avait pas tenu compte de
l’influence du sous-sol : des failles avec circulations d’eau
souterraines ont été localisées dans les chambres à coucher, et
notamment sous le lit du petit garçon.
Cette circulation d’eau était superposée à un croisement de réseau
double et à un réseau horizontal à la hauteur du matelas.
Après quelques ajustements, le lit du petit était hors de tout type
de nocivités, tout comme celui des parents.
Le lendemain, la maman était tellement contente d’avoir pu dormir
jusqu’à 9 heures sans être réveillée qu’elle m’a immédiatement
partagé la nouvelle : tout le monde a enfin pu dormir, ce qui n’était
pas arrivé depuis leur emménagement ! Par la suite, les parents
ont pu apprécier leur sommeil récupérateur et solder leur dette de
sommeil accumulée et la fatigue associée.

Les protections « anti-ondes telluriques » n’ayant pas encore été


inventées, le meilleur moyen d’éviter leurs rayonnements consiste à
ne pas se placer à leur aplomb ! Voici, en résumé, la liste des
nuisances à éviter dans une chambre à coucher.
Les nocivités telluriques :
• faille sèche, cavité, sous-terrain, galerie ;
• faille humide ;
• circulation d’eau souterraine ;
• nœud Hartmann ;
• nœud Curry ;
• réseau horizontal ;
• cheminée cosmo-tellurique ;
• superposition de nocivités de natures di érentes ;
• fosse d’aisances, fosse septique ;
• stationnement de voitures, garage, chaudière, citerne et autres
grandes masses métalliques ;
• aimants, ressorts (couette, oreiller, matelas, cadre de lit, etc.) ;
• matelas posé par terre (à proximité des armatures métalliques de
la dalle).
Nuisances électromagnétiques à supprimer :
• prises électriques proches de la tête ;
• appareils branchés sans prise de terre (lampe de chevet) ;
• tous les appareils en charge autour du lit ;
• téléphone portable allumé ou en charge ;
• téléphone DECT ;
• radiateur électrique ou sou erie (sans prise de terre) ;
• couverture électrique chau ante ;
• lit électrique ;
• décodeur, télévision avec modem-relais ;
• wi allumé pendant la nuit ;
• radio-réveils électriques et simulateurs d’aube électriques ou
connectés ;
• tout appareil connecté (montre, vêtement, lampe, etc.).

Ce n’est pas parce qu’une partie du lit est placée sur une nocivité
que celle-ci se retrouve sur la totalité du lit ! Parfois, seulement un
des dormeurs est touché, parfois les deux, mais de façon
différente et avec une intensité et un impact variables !
LES PARASITES ÉNERGÉTIQUES

Les corps énergétiques

Depuis des milliers d’années, les principes de circulation d’énergie


dans les centres énergétiques de notre corps (méridiens et chakras)
sont connus et utilisés.
Autour du corps physique se trouvent les corps énergétiques, aussi
appelés « corps subtils ». Ce sont des sortes de bulles d’énergie qui
entourent et servent de protection à notre corps physique. Les corps
énergétiques, avec leurs sous-couches appelées « biochamps » (ou
« champs vitaux »), les chakras et les méridiens, forment ce qu’on
appelle l’« aura ». C’est grâce à tout cet ensemble que notre corps
peut recevoir et émettre de l’énergie en continu.

Leurs fonctions au quotidien

L’environnement dans lequel nous vivons a une grande in uence


et un rôle primordial dans notre santé et notre bien-être. Les
médecins s’accordent d’ailleurs à dire que l’in uence de
l’environnement sur notre organisme est bien plus importante que
ce qui avait été supposé jusqu’à présent. Les preuves qu’apporte
l’épigénétique dans ce domaine renversent les idées communément
reçues.
L’épigénétique est une discipline de la biologie qui étudie les
mécanismes qui modi ent les gènes de manière réversible, lors des
divisions cellulaires, mais sans modi cation d’ADN. Ces
modi cations se gre ent sur l’information contenue dans la
séquence d’ADN et modulent l’expression des gènes. La « littérature
épigénétique » est d’ailleurs très abondante dans le domaine de
l’oncologie.
Comme ces mutations sont réversibles, il est donc important d’être
conscient que nous pouvons agir sur nos gènes par l’intermédiaire
de notre environnement. En rendant ce dernier davantage
« biocompatible », donc moins « mutagène », nous agissons sur la
qualité de nos gènes, sur la qualité de mutation de nos cellules ainsi
que sur notre système immunitaire en général.
Chacun de nous est porteur de cellules cancéreuses, au hasard des
mutations subies lors des multiplications. Certaines naissent déjà
non fonctionnelles, mais d’autres acquièrent des propriétés
dangereuses sous l’e et de l’environnement, par exemple :
• suite à une exposition à des substances toxiques ;
• suite à une exposition aux ondes (telluriques,
électromagnétiques, irradiations nucléaires, etc.).
Chaque cellule est cependant dotée d’un système permettant sa
mort par « suicide » (appelé « apoptose »), qu’elle peut employer si
elle s’autodiagnostique comme inadéquate ou potentiellement
dangereuse pour le reste de l’organisme. Mais si elle commence à
se multiplier de façon anarchique, ayant acquis la capacité (par
mutation) de ne pas enclencher l’apoptose ou en échappant à
un système immunitaire ine cace, alors elle peut former des
tumeurs et des cancers.
Cependant, et heureusement, les corps énergétiques sont là pour
jouer un rôle tampon entre notre corps physique et les agressions ou
les pollutions extérieures ; ce sont des sortes d’interfaces. Lorsqu’ils
sont « alignés », bien en place et en santé, ils confèrent une
protection e cace au corps physique.

Tout a une influence sur nous ; ne dit-on pas que « tout est lié » ?
En effet, tout ce qui nous entoure, que ce soit les pensées que
nous générons, les sentiments ou les émotions que nous
ressentons, les aliments que nous ingérons, les lieux ou les
personnes que nous fréquentons, les formes et les couleurs que
nous percevons, les mots ou les musiques que nous entendons,
les situations et expériences que nous vivons, jusqu’aux
matériaux et produits que nous employons ou aux phases
lunaires auxquelles nous sommes soumis, aux énergies
telluriques, cosmiques ou électromagnétiques qui nous entourent,
TOUT a une influence sur nos corps énergétiques.

Leurs dysfonctionnements

Si une faille apparaît dans un des corps énergétiques, qu’elle n’est


pas colmatée à temps et que l’agression persiste, le déséquilibre va
se propager dans les autres corps énergétiques et nir par atteindre
le corps physique. En s’y installant de manière plus ou moins
durable, il peut créer divers symptômes : généralement un peu
vagues au début et di ciles à cerner, ils peuvent cependant devenir
plus agressifs et persistants par la suite.
Un choc émotionnel, par exemple, ou une station prolongée et
répétée sur une nocivité peuvent rendre les corps subtils
perméables, décentrés, amincis et donc peu e caces. Ils ne sont plus
à même d’assurer totalement leur fonction de protection. Le corps
devient alors plus vulnérable et le système immunitaire moins
e cace. Il succombe ainsi plus facilement à des
dysfonctionnements et à des maladies.
De plus, les taux vibratoires et les potentiels de vitalité chutent
souvent de façon assez drastique : ils ouvrent alors une brèche pour
des événements ou des gens vibrant à des fréquences basses,
identiques à celles auxquelles vibrent les maladies.

Prendre soin de ses corps énergétiques

Dans bien des cas, nous ne nous apercevons pas des signaux
précurseurs, tout absorbés que nous sommes par la vie matérielle.
En amont, il est très probable que nous ayons délaissé l’hygiène de
nos corps énergétiques. Dans ces conditions, le déséquilibre a pu
gagner du terrain, se propager de corps subtil en corps subtil jusqu’à
a ecter le corps physique.

Devoir à chaque instant se réajuster pour maintenir ou


récupérer une protection e cace demande un travail important
et fatigant au corps.

Une personne en pleine santé, possédant des corps énergétiques


fonctionnels, aura davantage la capacité de résister à des agressions
extérieures, de quelque nature qu’elles soient. Elle s’adaptera plus
aisément à des situations déstabilisantes (ou à des agressions
extérieures), car elle aura un potentiel de défense plus large et plus
e cace qu’une personne a aiblie sur ses plans énergétiques.
A n que l’organisme ait cette ressource, il est important qu’il
possède su samment de « stock énergétique », de réserves dans
lesquelles il pourra puiser pour maintenir son équilibre. Ces plus-
values énergétiques se trouvent dans tout ce qui « pulse » plus haut
que la moyenne, apportant vitalité, joie, bien-être, amour ; faisant
vibrer le cœur, l’âme et l’esprit.

Il est primordial et urgent d’adopter une bonne hygiène de vie, et


donc de renforcer nos corps subtils grâce à différentes pratiques :
l’attention du moment présent, le ressourcement dans la nature,
la relaxation, le yoga, sans négliger les domaines physique,
émotionnel et spirituel !
Veillez à employer avec parcimonie les produits et les aliments
qui rétrécissent le champ vital et font chuter le taux de vitalité.

Les parasites énergétiques (PE)

Les échanges entre les différentes densités

Des échanges constants ont lieu entre les di érents plans


invisibles (à nos yeux) et notre dimension. Dans le corps astral
s’inscrivent les émotions et les désirs, qui se répercutent
ensuite dans le corps physique.
Indépendamment de toute orientation religieuse et sans vouloir
a oler ni dramatiser, il est cependant nécessaire de prendre
conscience de l’existence des PE et autres entités susceptibles d’avoir
une in uence dans notre réalité, et aussi de se rendre compte des
attitudes ou des comportements que nous générons – susceptibles de
les attirer –, et de ceux qui nous permettent de les tenir à l’écart.
Pour des raisons de simpli cation, il ne sera pas abordé ici en
détail les di érents types de parasites énergétiques (entités, « âmes »
errantes, défunts, égrégores [sortes d’agrégats de pensées
collectives], formes-pensées, larves, empreintes, autres formes de
conscience et manifestations invisibles), ni le fonctionnement
spéci que de chacun, étant entendu qu’il en existe un nombre
important et de types di érents. Néanmoins, les lignes générales
sont applicables à tous.

Certains PE pourraient être comparés à des sortes de virus qui,


sans avoir consciemment l’intention de nuire, déploient leur
programme lorsque l’immunité baisse.

Les PE ont une vibration très basse, ayant perdu leur énergie très
souvent par ignorance et restant en quelque sorte « bloqués » dans
notre plan. Ils essaient généralement de se raccrocher à la
matière ou aux lieux qu’ils connaissent. Mais comme ils n’ont pas
su samment d’énergie pour s’autoalimenter, ils recherchent des
proies pour se nourrir de leur énergie, choisissant de préférence des
personnes possédant les mêmes comportements ou addictions que
les leurs.
Certains PE s’accrocheront plus facilement sur le corps éthérique
(le plus proche du corps physique), d’autres plus volontiers sur le
corps émotionnel (à environ 50 cm du corps physique) et d’autres
plutôt sur le corps mental (plus éloigné).
Les PE peuvent aggraver des troubles de la santé déjà existants ou
alors en initier d’autres. Ils sont également souvent à l’origine de
troubles de la personnalité. C’est la raison pour laquelle la limite
entre une a ection psychiatrique et l’in uence des PE est parfois
très mince. Occasionnellement, ces con gurations s’interpénètrent et
entretiennent un cercle vicieux : si des PE s’installent durablement
sur les corps énergétiques, des symptômes physiques risquent
d’apparaître à plus ou moins long terme.
Les animaux également peuvent être parasités par des PE et
avoir des comportements étranges, qui ne leur ressemblent pas.
Ces phénomènes peuvent avoir lieu – de la même façon qu’ils ont
lieu pour les humains – après un choc, un traumatisme, une
opération, etc.

Les substances psychoactives, les drogues

Selon la dé nition, une substance est dite « psychoactive »


lorsqu’elle altère les processus mentaux, notamment les fonctions
cognitives, l’a ect, les comportements, les humeurs, les perceptions
et les activités mentales.
L’appellation « drogue » dé nit toute substance qui modi e la
manière de percevoir les choses, de ressentir les émotions, de penser
et de se comporter. Les dangers liés à l’usage varient selon les
substances, les individus, les modes de consommation, les quantités,
etc.
Parmi les substances psychoactives les plus répandues se trouvent
par exemple :
• le tabac ;
• l’alcool ;
• les opiacés (cocaïne, héroïne, codéine, etc.) ;
• certaines substances médicamenteuses (somnifères,
antidépresseurs, etc.) ;
• certaines plantes (ayahuasca, champignons hallucinogènes,
peyotl, cannabis, etc.).
Les e ets sont également di érents selon les substances :
• les drogues de la catégorie « dépresseurs du système nerveux »
agissent sur le cerveau en ralentissant certaines fonctions,
notamment la fonction respiratoire ainsi que les ressentis de
sensations ;
• les drogues dites « stimulantes » accroissent les sensations, le
rythme cardiaque et l’éveil ;
• les drogues « hallucinogènes » modi ent les perceptions
visuelles, auditives et corporelles ;
• les drogues « stimulantes-hallucinogènes » activent les sensations
et produisent des distorsions des perceptions.
Certaines drogues peuvent avoirs plusieurs e ets de catégories
di érentes.
Il n’existe pas de « drogue douce » en énergétique, toutes
provoquent des perturbations vibratoires dans le corps
physique : les TV et PV sont notoirement abaissés. L’e et des
drogues va jusqu’à endommager sérieusement les corps
énergétiques, autrement dit, les gardiens censés protéger notre corps
physique !
Certains humains n’arrivent pas à fonctionner et à gérer le monde
actuel, qu’ils trouvent stressant, agressif et anxiogène. Aussi
préfèrent-ils s’en évader par le biais de comportements addictifs. Ce
faisant, ils attirent à eux et sur eux des PE qui vont contribuer à les
maintenir dans leurs addictions. D’où la relative di culté à s’en
sortir une fois le cercle vicieux enclenché.
Cependant, les individus qui cessent leurs comportements
addictifs continuent la plupart du temps à porter sur eux des PE qui
perdurent. Ce phénomène peut, en partie, expliquer les cas de
rechute, poussés qu’ils sont par le besoin des PE de se nourrir.
Après un soin thérapeutique, il est important que l’individu
« libéré » prenne conscience du pourquoi et du comment de la
situation passée. Il lui sera vivement conseillé de travailler sur lui-
même et sur ces tenants et aboutissants a n de ne pas les
reproduire, si réellement il souhaite s’en défaire.
En e et, le départ des PE aura laissé des fentes dans ses corps
énergétiques et s’il ne comble et ne restaure pas rapidement ses
failles psychiques et énergétiques, d’autres PE risquent de venir se
loger dans la « niche » laissée vide.

Les symptômes

Voici quelques symptômes qui peuvent, parfois, être révélateurs


de la présence de PE :
• grande fatigue, épuisement (les PE pompent et aspirent de
l’énergie, ce qui explique que la personne atteinte se sente
« vidée », sujette à une grande fatigue, souvent chronique,
pouvant mener à l’anémie) ;
• troubles du sommeil (le cerveau continue à tourner en rond sans
pouvoir s’arrêter) ;
• nausées ;
• oppression au niveau du plexus solaire, tachycardies ;
• maux de tête ;
• maux d’oreilles (acouphènes, bourdonnements, baisse de
l’audition, vertiges) ;
• sueurs ;
• troubles de la mémoire ;
• maux dentaires ;
• maux de ventre ;
• peur de s’endormir (chez les jeunes enfants) ou réveils nocturnes
dus à des cauchemars ;
• découragement, sentiment de déprime ;
• saignements de nez fréquents et récurrents.

Le parasitage

Le phénomène de résonance

Le phénomène de résonance se situe en amont du parasitage. En


e et, la plupart du temps, c’est parce que les personnes entrent en
résonance avec l’énergie des PE qu’elles les attirent. Et comme les
PE n’ont pas su samment d’énergie propre pour s’autoalimenter, ils
restent sur l’individu et se nourrissent de son énergie par le biais de
ses colères, de ses peurs, de ses ressentiments, de ses malveillances,
de ses comportements addictifs ou de la fréquentation de lieux ou de
personnes « vibrant bas ».
Le parasitage peut également se produire dans la vie courante
suite à un choc émotionnel. Dans ce cas, il y a une chute importante
du taux vibratoire et du potentiel de vitalité. La personne vibre alors
dans les mêmes fréquences énergétiques basses que les PE, qui
peuvent ainsi aisément entrer en résonnance avec elle et se loger
dans ses failles.

Nos corps énergétiques ont une fonction de protection, mais


s’ils comportent des ssures, des failles ou des trous, des PE
peuvent s’y loger.

La chute de ces taux peut avoir lieu dans di érents cas de gure,
mais surtout dans les situations impliquant une perte de contrôle, un
décentrage, un manque de protection et de vigilance des corps
énergétiques, comme c’est le cas dans :
• les comportements addictifs, avec ingestion, absorption ou
injection de substances psychoactives ;
• les comportements déviants (pervers, sexuels, violents, abus de
pouvoir, etc.) ;
• les chocs émotionnels, les événements traumatisants, ainsi que
les traumas personnels mal gérés ;
• les hauts niveaux de stress continuel ;
• les maladies graves ;
• les maladies psychiatriques ;
• les défauts d’ancrage ;
• les problématiques existentielles, comme un refus d’incarnation
(ce qui peut inconsciemment permettre à d’autres énergies
d’« habiter » la personne) ;
• la délégation de son propre pouvoir à quelqu’un d’autre (une
autorité, un groupe, une idéologie, une substance, etc.) ;
• la prise de certaines substances médicamenteuses ;
• une hygiène de vie globale laissant à désirer (accumulation de
toxines, consommation de toxiques, etc.).
Certains individus possèdent un TV bas sans qu’il y ait forcément
un processus de parasitage, mais parce qu’ils s’alimentent d’énergies
vibrant à des niveaux faibles ; situation engendrée par un parcours
de vie di cile et mal géré, un pro l émotionnel « paramétré » par
une éducation dure, injuste ; par de l’anxiété, un état d’être négatif,
pessimiste, dévalorisant, dénigrant, de la colère en soi, des élans de
vengeance, de la méchanceté, de la cruauté, etc. Ces émotions et
états attirent les plans vibrant « bas ».
Si un objet est testé au niveau du taux vibratoire et du potentiel
de vitalité et qu’il apparaît très négatif, alors il y a de fortes chances
pour qu’il soit relié à un égrégore, qui est une sorte de groupe de
mémoires rassemblées vibrant ou véhiculant des informations
identiques comme des sou rances ou des peurs.

Dans certains cas, le parasitage survient pendant la nuit et les


PE peuvent être captés durant le sommeil. Le rêveur peut
ramener ce genre d’énergie à son réveil depuis des plans bas.

Il se peut que cet égrégore de mémoires entre en résonance avec


l’état émotionnel de la personne et interagisse au niveau de ses
peurs, de sa colère, de sa violence ou de son état dépressif,
contribuant à lui faire garder des TV et PV très bas. Le champ vital
de la personne est alors rétréci et o re une bien moindre
protection face aux agressions extérieures que représentent les
PE.

Les gens parasités sont plus vulnérables et, de ce fait, deviennent


aussi beaucoup plus sensibles aux nocivités environnementales
de type tellurique ou électromagnétique. Et leurs malaises sont
notoirement amplifiés !
Inversement, certaines personnes hypersensibles, avec un
manque d’immunité et de structure énergétiques, peuvent être
plus facilement parasitées.

Les humains potentiellement plus « à risque » d’être parasités


possèdent un TV relativement bas. Ils sont davantage gouvernés par
leurs pulsions et agissent de manière automatique, à la légère.

Les comportements à risque élevé de « parasitage »

Les drogues, les vices, l’abus d’alcool, certains types de


médicaments chimiques ou de comportements déviants décalent
complètement l’axe de l’individu et celui-ci perd la maîtrise de soi ;
phénomène qui diminue grandement l’e cacité de protection de ses
corps énergétiques, durant de courts moments ou de façon plus
continue. La conscience étant en quelque sorte déconnectée, le corps
sera comme sans défense, sans pouvoir trier ce qui lui arrive, sans
ltre ni protection, ouvert à tout ce qui passe. L’inhibition envolée,
le parasitage n’en sera que plus aisé.
C’est à ce moment-là que les PE sont attirés et viennent se nourrir.
Comme ils sont friands de cette nourriture abondante et gratuite à
leur disposition (qu’ils sont incapables de créer par eux-mêmes), ils
ont tout intérêt à ce que la source ne se tarisse pas. C’est ainsi qu’ils
maintiennent leur « proie » sous leur emprise, en l’incitant à des
comportements addictifs, déviants, ou à tous ceux qui font vibrer à
des fréquences basses.
Une fois parasité, l’être humain ne se rendra pas forcément
compte de son état, ni ne fera de façon évidente de lien entre ses
addictions et son état de mal-être lorsqu’il n’est pas sous l’emprise
de substances. Il va associer son mal-être au manque et
continuer à consommer drogues, alcool, etc., pour se
« déconnecter » de la réalité où il se sent mal. Cela lui donne
l’illusion, pour un moment, une période, d’être libéré de son mal-
être. Cependant, en poursuivant ainsi dans ses addictions, il ne fait
qu’alimenter le cercle vicieux induit et renforcé par les PE, les
régalant à son insu !
D’autres perturbations peuvent être associées et être en lien direct
avec ces états de parasitage, comme c’est souvent le cas dans la loi
des séries, où divers incidents se succèdent dans un court intervalle
(pertes d’objets, vols, accidents, dommages, pannes, maladies, etc.).
Tous ces comportements augmentent la probabilité de véhiculer
un voire plusieurs hôtes indésirables accrochés aux corps
énergétiques et se nourrissant de l’énergie de l’individu en question.

Se libérer des PE

Si, dans les cas d’exposition aux ondes telluriques ou


électromagnétiques, il su t de se décaler latéralement ou de
s’éloigner de la source pour voir diminuer ou s’arrêter complètement
les symptômes dus aux rayonnements, il est en revanche di cile de
se défaire des PE et de leurs impacts.
S’éloigner de la source ou modi er ses comportements ne
sera pas su sant pour faire partir les parasites indésirables. En
e et, les PE ne s’en vont pas tout seuls, ni facilement et
généralement pas sans l’intervention d’une aide extérieure : un
thérapeute énergéticien compétent, un kinésiologue, un
géobiologue, et l’application du principe des 10 hygiènes !

La mémoire des lieux, des murs et autres manifestations

Dans l’état actuel des connaissances de la science, ces


phénomènes n’ont pas encore été prouvés, mais il n’en demeure pas
moins que certains lieux, chargés en vécus et en histoires, sont sujets
à des manifestations étranges.
Le potentiel de vitalité des endroits où ont lieu ces manifestations
est très faible, et le taux vibratoire très bas. Des courants d’air froid,
des picotements, des sentiments d’oppression ou de mal-être
peuvent y être ressentis.
Tous les lieux possèdent des vécus successifs, enregistrés dans la
matière sous forme d’information énergétique gardée en mémoire.
Ce phénomène est appelé « mémoire du lieu » (« mémoire des
murs » s’il s’agit d’une construction). Les murs font o ce
d’accumulateurs des ondes de l’ambiance. Tout ce qui a été vécu
sur le terrain et dans le bâtiment laisse une trace et imprègne
la matière (objets, vêtements, murs, etc.). C’est pourquoi, dans le
cas d’une construction, d’un immeuble ou d’une maison, la mémoire
des murs vient s’ajouter à la mémoire du lieu préexistante.
La mémoire d’un lieu est comme une éponge qui s’imprègne des
situations et des vécus. Elle est enregistrée et peut être restituée sous
forme d’ondes qui, elles aussi, auront une in uence sur les
habitants. Ceux-ci pourront ressentir des vertiges, des nausées, un
sommeil agité ou très perturbé, voire des atteintes éventuelles à leur
santé.
Voici comment le décrit si bien Jacques la Maya : « Toute
distorsion forte de l’espace mental ou émotionnel est a ectée de
rémanence. Elle perdure longtemps. Un élément issu de centaines de
victimes […] va perdurer pour former une sphère vivante à sa manière ;
c’est si l’on veut, un cimetière psychique. Il en sera de même dans ces
lieux de misère que sont les prisons, les abattoirs, les camps de
concentration…14 »
Cette explication vient donc corroborer l’a rmation selon
laquelle aucun terrain, même s’il est pour le moment vierge de toute
construction, n’est pour autant exempt de toute mémoire des vécus
passés !

Quelques objets à charge généralement négative sont à éviter :


• les animaux empaillés ;
• les fleurs séchées ;
• les objets reliés à des égrégores négatifs ;
• les bijoux transmis de génération en génération (qui peuvent
s’avérer très chargés).

Comme les mémoires accumulées par le lieu sont généralement


négatives, elles entraînent une chute du taux vibratoire, ainsi que du
potentiel de vitalité. Les personnes qui vivent dans ces lieux
chargés sont donc constamment soumises à des pertes
énergétiques importantes. Il est donc bienvenu de procéder à un
relevé du taux vibratoire du lieu ainsi qu’à celui du potentiel de
vitalité pour avoir une vue d’ensemble de la situation énergétique
globale.
Par e et de résonance, ces lieux attirent des PE ou des personnes
qui vibrent à des fréquences similaires. De plus, ils instaurent un
état de mal-être et une atmosphère pesante, tirant encore plus vers
le bas les occupants qui ont choisi d’y habiter.
Ainsi, on assiste régulièrement aux résurgences de ces mémoires,
que le lieu ou les murs, tels des ltres saturés, non nettoyés,
remettent en circulation. Les impuretés qui auraient dû être
éliminées peuvent alors s’accrocher aux corps subtils des êtres
vivants…
C’est particulièrement vrai pour les constructions e ectuées sur
les terrains d’anciens cimetières, d’anciens abattoirs, de lieux de
batailles, etc. Tels de petits vampires-parasites, ces émergences se
nourrissent de l’énergie vitale de leurs hôtes. De plus, il arrive
souvent que l’enveloppe électromagnétique énergétique de certains
défunts continue à errer dans les lieux qui leur étaient familiers.
À l’inverse, il existe également d’autres endroits de par le monde
réputés pour être des hauts lieux énergétiques et qui ont été érigés
sur des emplacements spéci ques (Stonehenge, le Mont-Saint-
Michel, les pyramides d’Égypte…). Ils vibrent haut, voire très haut,
et ont la capacité de ressourcer.
Certains hauts lieux ont été déplacés et ont de ce fait perdu leur
force et leur pouvoir. Des constructions de bâtiments ont parfois pris
la place d’anciens hauts lieux énergétiques détruits, balayés ou
recouverts. Un immeuble construit sur l’ancien emplacement a pour
conséquence de ne pas être adapté à une vie humaine « normale »,
celle de tous les jours ; la concentration des énergies est trop élevée.

Pas seule ?
Dès son emménagement dans un ancien appartement rénové,
Isabelle était réveillée quasiment toutes les nuits par des
craquements et des bruits de pas se déplaçant le long du couloir.
Les premiers jours, elle avait tenté de ne pas y prêter attention et
de dormir avec des bouchons d’oreilles. Mais les bruits se faisant
plus forts et insistants, elle chercha une explication rationnelle à
ces manifestations. En vain, car personne d’autre n’habitait dans
son appartement ; les bruits de pas provenaient du couloir, à
l’entrée du salon, et non de l’escalier de l’immeuble, qui était situé
du côté opposé. Par ailleurs, toutes les parties communes de
l’immeuble, escalier compris, étaient en béton, un matériau qui ne
peut pas générer de « craquements ».
Isabelle demanda alors à plusieurs autres locataires si leur
plancher craquait, mais les réponses furent négatives. Et c’est
lors de ces échanges qu’elle apprit qu’il y avait eu des violences
perpétrées et subies, ainsi que plusieurs accidents dans cet
appartement.
Après quasiment une année de somnolences et de sommeil
fortement perturbé, Isabelle se mit en quête d’un nouvel
appartement. Dans l’attente d’une réponse à sa postulation pour
un nouveau logement, elle invita deux amis à dormir chez elle.
Les craquements de pas finirent par réveiller tous les occupants,
même ceux qui dormaient le plus profondément. L’analyse de la
situation révéla que les potentiels vibratoires et de vitalité étaient
anormalement bas dans cet appartement. Après plusieurs
nettoyages des mémoires du lieu et des murs effectués le jour
même, en même temps que la neutralisation d’autres nocivités
telluriques présentes dans la chambre à coucher et directement
sous son lit, Isabelle put enfin, et dès la première nuit, retrouver
un sommeil profond et réparateur, sans plus être réveillée par des
bruits nocturnes.
Elle n’eut plus besoin non plus de chercher un autre
appartement…

Se libérer et éviter le parasitage

En pratique, comment augmenter son potentiel vibratoire ?


En adoptant une bonne hygiène :
• de vie (alimentation, exercice physique, repos mental,
intellectuel, émotionnel, relationnel, etc.) ;
• émotionnelle (avec des émotions stables), en évitant de surréagir
(évacuer, transmuter les émotions négatives de peur, de colère,
etc.) et en pratiquant la bienveillance, la gratitude, la joie et
l’amour ;
• tellurique (éviter de stationner longtemps sur les nocivités) ;
• électromagnétique (éviter les surexpositions, l’addiction au
portable ou à d’autres technologies).
En entretenant ses corps énergétiques :
• grâce aux pratiques de pleine conscience, du moment présent, de
la méditation ou de l’introspection, du qi gong, etc. ;
• en restant centré et aligné, en lien avec la nature et la Terre ;
• en développant une intelligence émotionnelle et relationnelle ;
• en insu ant des échanges équilibrés avec autrui ;
• en adoptant une sexualité épanouie, doublée d’une élévation
énergétique et spirituelle grâce à di érentes pratiques ;
• en augmentant l’énergie et en la faisant circuler selon la « roue
microcosmique » du Tao ou d’autres techniques énergétiques
tendant à une élévation spirituelle ;
• en pratiquant des activités qui mettent en joie (la joie, l’amour
augmentent naturellement le TV et PV).
Soyez vigilant quant aux personnes que vous fréquentez, à
celles que vous faites entrer dans votre vie, chez vous… et de
surcroît dans votre lit !
En résumé : adoptez le « Principe des 10 hygiènes », détaillé à la
n de l’ouvrage.

LE MONDE DE DEMAIN

Les objets connectés et la consommation énergétique

Le but, entre autres, du développement de ces nouvelles


technologies (dont fait partie la 5G), c’est l’« Internet of Things »
(IOT), ou le monde des objets connectés entre eux par micro-ondes
(montres, vêtements, maisons, alarmes, télésurveillances, robots-
tondeuses, Google Home, Amazon Echo, villes entières…).
En 2013 déjà, Internet et les objets connectés représentaient une
consommation d’énergie équivalente à celle du Canada et de la
Finlande réunis ! Et de nos jours, le « cloud » serait le troisième plus
gros consommateur de ressources énergétiques, après la Chine et les
États-Unis, soit l’équivalent de 100 réacteurs nucléaires. Et cette
consommation double tous les quatre ans ! Elle est due au
fonctionnement du système en lui-même et des di érents centres de
données, mais aussi à la demande grandissante des utilisateurs ;
c’est ainsi qu’Internet est en passe de devenir la première source
mondiale de pollution.
Comme nous l’avons déjà vu, la technologie 5G entraînera la
production et l’installation de dizaines de millions de nouvelles
antennes et de centaines de milliards d’appareils compatibles.
Les stations de base de la 5G consommeront trois fois plus
d’énergie que celles de la 4G, il faudra donc produire
considérablement plus d’énergie, alors que les temps sont plutôt aux
économies d’énergie. D’autant plus que, pour la plupart, ces objets
connectés n’existent pas encore et vont devoir être produits avec les
ressources et les énergies de notre planète, qui s’épuisent !

Les objets connectés et les « terres rares »

Concernés par le problème du réchau ement climatique, les pays


développés ont voulu substituer les énergies à base de carbone par
des énergies présentées comme « renouvelables » et « propres ». Or,
ces énergies de substitution (cellules photovoltaïques, éoliennes,
batteries électriques, etc.) utilisent beaucoup de métaux rares,
appelés « terres rares ».
Selon la dé nition courante, les terres rares sont formées par dix-
sept métaux ayant des propriétés voisines. Malgré ce que suggère
leur appellation, ces métaux sont assez répandus dans la croûte
terrestre, à peu près autant que les métaux usuels.
Ces matières minérales possèdent des propriétés exceptionnelles
et sont utilisées dans la fabrication de produits de haute technologie
comme les batteries de voitures électriques et hybrides, les LED, les
puces de smartphones, les écrans d’ordinateurs portables, les radars,
les sonars, etc.
Le numérique est également présenté comme une technologie
intègre du point de vue énergétique. Cependant, depuis le début du
développement du numérique, il y a une vingtaine d’années, la
consommation d’énergie est en hausse constante. La transition
énergétique et les technologies numériques sont annoncées comme
« LES » solutions aux problèmes environnementaux, en présentant
les « énergies vertes » comme celles permettant de continuer à
consommer comme nous le faisons, notamment en réduisant
l’impact destructeur sur l’environnement, mais… en omettant de
signaler leur face cachée : l’extraction des métaux rares et son coût
environnemental et énergétique extrêmement lourd.
Compte tenu de notre consommation de technologies pour les
trente prochaines années, l’humanité aura consommé davantage de
métaux que tous ceux qui ont été extraits depuis que l’humain
existe, soit environ 70 000 ans.

Les métaux rares sont employés comme des ressources


stratégiques dans la révolution énergétique et numérique.

De nombreux solvants chimiques sont utilisés pour leur extraction


et rejetés dans la nature, s’accumulant et créant ainsi des lacs
toxiques pollués aux métaux lourds. C’est un coût environnemental
très élevé à payer, et c’est pour cette raison que de nombreux pays
ont fermé leurs exploitations.
La tendance, depuis quelques décennies, est de nous vendre des
technologies « vertes ». Mais lorsque l’on sait que ces technologies
ont pour matières premières les métaux rares (aussi appelés « the
next oil » ou « le prochain pétrole »), force est de constater que ces
énergies renouvelables n’existent pas sans les extractions « sales » de
métaux rares.
Comme ces extractions sont très polluantes et ont un tribut
environnemental très lourd, elles sont donc délocalisées vers des
pays à main-d’œuvre bon marché, essentiellement vers la Chine.
De nos jours, seul 1 % des métaux rares est recyclé. À l’avenir,
cependant, il faudrait concevoir des technologies qui permettront de
les recycler et, en même temps, lutter contre l’obsolescence
programmée de centaines de milliards d’objets (qui ne fait que
pousser à une consommation e rénée).

Les objets connectés et la vie privée

Les objets connectés fournissent des renseignements sur notre


façon de vivre, nos habitudes de consommation, notre mode de
vie… aux industriels et aux gouvernements. Cela représente une
masse énorme de données à traiter. Outre le coût énergétique
immense, le coût économique le sera certainement aussi, sous forme
de pertes d’emplois humains.
La 5G devrait favoriser le « cloud computing », l’interdépendance
des objets communicants et l’émergence de réseaux dits
« intelligents » ; le tout dans un environnement domotisé, une « ville
connectée », dotée d’un contrôle et d’une surveillance numériques
accrus, avec le système big data permettant un référencement quasi
illimité des données…

Quel monde sommes-nous en train de créer ?

Aujourd’hui, et c’est un fait, le nombre de personnes développant


des maladies dites « de société » ne cesse d’augmenter. À l’heure où
les assureurs ne prennent pas en charge les risques liés aux
rayonnements électromagnétiques, où certaines compagnies
d’assurances maladie font de la publicité pour l’achat d’objets
connectés (oreillettes Bluetooth par exemple) et où les montants
mensuels de leurs primes ne cessent d’augmenter, on peut
légitimement se demander quelle direction est en train de prendre la
société.
• Quel monde sommes-nous en train de créer ?
• Quel prix sommes-nous prêts à payer pour ces technologies ? Au
détriment de quoi ?
• Combien de baisses ou de pertes de capacités humaines sommes-
nous prêts à accepter ?
• Sommes-nous prêts à accepter la fragilisation de nos capacités,
ne serait-ce que sur le moyen terme ?
• Quel environnement, quelle nature, quelle nourriture pour
demain ?
De nos jours, nos sociétés fonctionnent sur le « PLUS ». Avoir
toujours plus : plus d’échanges de données, plus de ux, plus vite,
plus d’objets connectés, plus de pollutions, plus d’ondes, plus…
plus… Ne pourrait-on pas se contenter de « mieux » ?
La bonne nouvelle est que :
• chacun a le droit de reprendre le pouvoir sur sa vie et de faire en
sorte d’amoindrir ou de diminuer les in uences néfastes que son
environnement immédiat pourrait avoir sur sa vie et sa qualité ;
• chacun a le pouvoir de choisir (de faire ou de ne pas faire) ;
• chacun, à son niveau, a le choix de mettre en place ou non des
actions concrètes pour soutenir sa vie en particulier, et la Vie en
général !

Low-tech, high-tech : hyperconnectés ou déconnectés


de la vie ?
Nous interagissons dans un monde dit « connecté », oubliant que
notre véhicule ici-bas est un corps physique, avec des besoins
physiologiques naturels. Ainsi, la plupart d’entre nous sommes
coupés de nos ressentis, de nous-mêmes, de notre être intérieur, des
interactions réelles avec les autres et « déconnectés » de la nature et
de ses e ets béné ques, du lien qui nous unit à la Terre Mère, et de
la sagesse des Anciens.
À l’heure où l’épigénétique a démontré que la santé humaine est
étroitement liée à l’environnement, allons-nous, malgré nous,
devenir les cobayes de l’expérimentation d’une multipollution CEM
avec des intensités et des longueurs d’onde jamais atteintes… et
peut-être aussi disparaître, comme les civilisations qui nous ont
précédés ?

Aujourd’hui, pour de nombreux nouveaux objets, nous n’avons


pas le choix d’être connectés de façon sécurisée ; nous n’avons
que le choix entre « connectés » ou… « rien ».

ADAPTABILITÉ ET PRÉVENTION

Le corps et sa capacité adaptative

Selon la dé nition usuelle, l’adaptation est la mise en place d’un


ensemble d’ajustements fonctionnels permettant l’interaction
harmonieuse d’un organisme ou d’un individu avec de nouvelles
conditions d’environnement, en particulier des circonstances
éprouvantes. L’adaptation est donc la capacité d’un organisme à
survivre dans un environnement qui ne possède pas exactement les
conditions idéales pour la vie.
Le corps physique est naturellement pourvu de facultés
d’adaptation. Certaines personnes en possèdent plus que d’autres de
manière naturelle, mais chacun a la possibilité d’améliorer celles
qu’il détient déjà ; la faculté adaptative étant en grande partie
in uencée par l’hygiène de vie.
De la même manière que dans la pratique d’un sport (où il est
possible d’augmenter ses performances grâce à un entraînement
approprié), il est possible de repousser ses limites adaptatives par un
entraînement (exposition au chaud, au froid, jeûne, etc.) et une
conscience appliquée dans ses habitudes de vie.
Il est essentiel pour cela de :
• donner au corps les moyens de faire cet entraînement dans de
bonnes conditions (lui octroyer un repos complet, su sant et de
qualité a n qu’il soit régénéré, prêt à fonctionner de manière
optimum et à fournir les e orts demandés pendant
l’entraînement, tout autant que dans la vie quotidienne) ;
• éviter de le sursolliciter (hors entraînements) en l’exposant à un,
voire plusieurs agents stressants de manière continue (nocivités
telluriques, CEM, agents chimiques, irradiation, etc.) ;
• garder un équilibre de vie car, dès qu’il y a excès, sous n’importe
quelle forme, l’énergie vitale est a ectée ; l’important étant de se
préserver dans la durée.
Les douleurs ou autres symptômes représentent des sonnettes
d’alarme, qui se manifestent lorsque le corps est en « suradaptation
chronique ». Dans ce cas, il est déjà en train de puiser dans ses
ressources propres ; il s’épuise en fonctionnant au-delà de sa
plage adaptative.
A n de garder ou de rendre sa capacité d’adaptation au corps,
prenons en main nos habitudes et agissons sur notre environnement
immédiat (en le modi ant, au besoin), sur notre hygiène de vie
(alimentation, quantité d’exercice physique, respiration et
oxygénation, sommeil, émotions, environnement proche, surtout
celui de notre chambre à coucher).
Le stress oxydatif

Le stress oxydatif, qu’est-ce que c’est ?

Le stress oxydatif (SO) est une oxydation des di érents


constituants de l’organisme. Les « radicaux libres » sont responsables
du SO et dénaturent les protéines, les lipides, les sucres, l’ADN, mais
aussi les cellules et leurs membranes. Ils peuvent également
entraîner des mutations de ces mêmes cellules.
L’agression des constituants de la cellule peut se produire par
pénétration de polluants inhalés, ingérés ou rayonnés, comme c’est
donc le cas des ondes telluriques et électromagnétiques. Le SO peut
également être déclenché par un défaut du système de protection.
Le SO est un facteur important d’in ammation et de mutagenèse ;
il activerait également des molécules favorisant le cancer.
Responsable du vieillissement, il jouerait aussi un rôle important
dans la maladie d’Alzheimer, les maladies cardio-vasculaires en
général, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), l’arthrite
rhumatoïde ou les cataractes.

Diminuer le stress oxydatif

Pour augmenter sa qualité de vie et la qualité de sa santé (ou


simplement pour éviter de basculer dans le syndrome de la
sensibilité électromagnétique), plusieurs mesures conjointes sont
recommandées pour optimiser le bon fonctionnement du corps et le
protéger du stress oxydatif.
Les principes de base énoncés ci-dessous aident à prévenir les
dommages, à favoriser la bonne santé et la guérison (ils sont
résumés à la page 167).
• Diminuer son exposition aux ondes telluriques nocives : une fois
la nocivité localisée, se déplacer latéralement, en zone neutre.
• Diminuer son exposition aux CEM : s’éloigner de la source
d’émission BF. Adopter les modes de connexion laire. Utilisation
consciente et réduite des objets connectés.
• Diminuer son exposition aux polluants environnementaux :
ingestion et contact (produits chimiques, organiques et
inorganiques).
• Réduction, voire suppression des additifs alimentaires.
• Réduction voire suppression des toxiques contenus dans les
produits cosmétiques, au sens large (gels douche, shampoings,
crèmes, lotions, parfums, gels, maquillage, démaquillants, vernis,
colorations, etc.) et dans les produits ménagers ou de bricolage
(colles, etc.).
• S’assurer de la biocompatibilité des matériaux dentaires
(amalgames avec métaux lourds et résines dentaires contenant du
BPA).
• Augmenter de façon signi cative la proportion d’antioxydants
dans les assiettes (naturellement présents dans les fruits, les baies,
les légumes, les légumineuses, les œufs… et qui aident à la
protection cellulaire), avec un apport su sant en oligo-éléments
(fer, cuivre, zinc, iode, etc.) en vitamines (A, C, E, B, etc.), en
acides aminés essentiels, etc.
• S’occuper de son système digestif : être attentif à son
alimentation (éviter les produits transformés, industriels, etc.),
traiter l’intestin perméable, détoxiquer le corps, réduire
l’in ammation (chronique) en stoppant la cascade (réduire les
expositions aux CEM qui l’entretiennent).
Et, toujours, les préconisations d’usage :
• consommer une eau peu minéralisée, non gazeuse (entre 1,5 et 2
l/jour) ;
• s’exposer de façon contrôlée à la lumière et au soleil (production
de vitamine D et de bonne humeur) ;
• marcher pieds nus sur la terre (champs électromagnétiques
naturels bienfaisants) ;
• s’oxygéner par des exercices de respiration complète ;
• e ectuer des exercices physiques modérés mais quotidiens ;
• augmenter le taux de mélatonine ;
• se protéger contre la lumière bleue des écrans et de certaines
ampoules LED ;
• privilégier des vêtements en bres naturelles ;
• éviter ou supprimer l’usage de substances addictives (drogues,
alcool, tabac, café, thé, sucre, etc.) ;
• veiller à la qualité et à la quantité de son sommeil ;
• prendre soin de soi (temps de repos, émotions, etc.) ;
• augmenter ses capacités d’adaptation.

Comme personne n’est à l’abri du risque d’une augmentation des


polluants environnementaux en général et des CEM en particulier,
il est essentiel d’agir, chacun à notre niveau, pour diminuer
l’exposition à tous les polluants sur lesquels nous avons le
contrôle !

Diminuer sa vulnérabilité aux CEM

Les symptômes peuvent être considérablement réduits ou même


parfois disparaître si la chance est donnée au corps de pouvoir
récupérer en se soustrayant aux CEM. Dans le même temps, il faudra
prendre en compte les autres facteurs environnementaux, tout
comme la qualité du sous-sol et de ses éventuelles nocivités
telluriques.
Comme nous l’avons déjà vu, les nocivités du sous-sol ampli ent
de façon exponentielle les e ets des CEM arti ciels. Ces derniers
rendent négatifs des réseaux telluriques qui, à l’origine, étaient
positifs ; ce phénomène a pour conséquence d’a ecter physiquement
les cellules de tous les êtres vivants, mais aussi de décaler leur axe
vital et, à terme, d’encourager l’apparition de désordres et de
symptômes divers. Tout concourt donc à ce que l’environnement
soit de moins en moins hospitalier.

Tout ce qui va dans le sens du maintien de la vie et de


l’équilibre contribuera à une plus grande adaptabilité de
l’individu et renforcera ses capacités de résistance face aux
e ets des CEM.

Il convient d’adopter une hygiène de vie la plus saine possible, sur


de nombreux plans, a n de donner les moyens à notre corps de
pouvoir trouver un équilibre et de continuer à fonctionner de la
façon la plus optimale possible : le corps est intelligent, il sait
comment se réparer… Il faut juste lui en donner les moyens !

Tenir compte du sous-sol restreindrait la propagation de


nocivités et diminuerait les e ets négatifs sur le Vivant.

Les recommandations en vigueur

Les recommandations sur l’emploi conscient et la diminution de


l’exposition relèvent des connaissances actuelles en ce qui concerne
le risque sur la santé. Les compétences pour améliorer l’accès au
diagnostic mais également aux solutions pour restaurer la santé des
personnes électro-hypersensibles en sont encore à leurs
balbutiements.
Les personnes malades ne devraient pas être exposées aux
ondes. De plus, la plupart des traitements médicaux pris par des
malades exposés aux CEM perdent de leur e cacité.
Une attention toute particulière à un environnement « neutre »
devrait être portée dans les lieux où la population est a aiblie ou
vulnérable :
• les hôpitaux, maternités, écoles, maisons de retraire, etc. ;
• les lieux publics (bibliothèques, restaurants, salles de
conférences, etc.) ;
• les transports en commun (bus, tram, métro, train, bateau).
Les conditions de travail se détériorent dans la plupart des
professions. En raison de cette continuelle concentration d’ondes
durant la journée, une grande majorité des métiers actuels est
exposée, de façon plus ou moins « passive », aux rayonnements CEM
ambiants : employés de bureaux, de magasins, de supermarchés,
chau eurs, etc.
En plus des caméras de surveillance et des alarmes, les
innombrables réseaux wi à l’intérieur d’une même structure
métallique (magasin, bureau…) font que les ondes rebondissent,
ampli ant ainsi la problématique de la surexposition.
La plupart des clients font généralement leurs courses, portable
allumé, en mode échange de données, si ce n’est wi allumé (alors
que le leur est hors de portée), la géolocalisation voire le Bluetooth
enclenché…
Par manque d’information, nombreuses sont les personnes qui ne
se doutent pas de la pollution qu’elles sont en train de subir, ni de
celle qu’elles génèrent. Elles n’ont pas conscience des risques
inhérents à cette situation. Une information pour les adultes
pourrait également être mise en place.
Dans les nouvelles constructions, surtout dans celles dites « éco »,
devraient d’o ce être prévues au niveau de la conception des
connexions Internet uniquement par réseau laire pour tous, via la
bre optique.

Lorsque nous n’avons pas besoin de l’eau du robinet, nous le


fermons ; pourquoi en est-il autrement avec les di érentes
fonctions de nos téléphones mobiles ?

Dans tout bâtiment, magasin et transport public, il serait judicieux


qu’il y ait une partie réservée aux gens indisposés par les ondes. Il
est toujours plus facile d’aménager ces « zones blanches », de
prévoir ces espaces protégés à l’avance que de devoir faire marche
arrière ensuite. Anciennement, il y avait des zones « non-fumeur »,
pourquoi pas aujourd’hui des zones « non-connecté » ou « connecté
laire » ?

Les moyens de protection contre les CEM

Le meilleur moyen de protection consiste en l’éloignement par


rapport à la source émettrice, dans les con gurations où la source
est sous notre contrôle. Si ce n’est pas le cas, il existe toute une
panoplie de dispositifs qui bloquent littéralement les ondes en les
empêchant de traverser une séparation.
C’est dans l’optique de contrecarrer les désagréments dus aux
rayonnements CEM que les tissus, les peintures, les ltres et rideaux
« anti-ondes » ont été créés. Il est cependant important de cibler
précisément le type de fréquences pour obtenir la protection
adéquate.
Tous les systèmes de blindage n’ont pas des performances
uniformes et n’agissent pas sur les mêmes fréquences, donc pas sur
les mêmes types d’ondes, par exemple :
• si c’est un courant BF dans un mur qui rayonne, vous pourrez
utiliser des dispositifs anti-BF ;
• si, par contre, c’est une antenne-relais qui vous importune, alors
il vous faudra utiliser des dispositifs prévus pour renvoyer les
ondes MO, hyperfréquences.
Voici une liste non exhaustive des dispositifs existants.
Pour le courant BF, 50 Hz, l’électricité :
• le biorupteur ou IAC (interrupteur automatique de champ)
installé sur le tableau électrique par un électricien permet de
couper l’arrivée du courant dans une ou plusieurs pièces ;
• la peinture graphite, de couleur noire, servant à peindre les
surfaces qui rayonnent et à les relier obligatoirement à la terre
(pour des raisons esthétiques, par-dessus cette peinture graphite
peuvent être passées plusieurs couches d’une autre couleur) ;
• des tissus, d’aspect métallisé, possédant des propriétés similaires
à la peinture graphite mais dont la mise en œuvre est di érente
(ils peuvent servir à blinder une petite surface de mur ou une
prise électrique qui rayonne, mais doivent également
obligatoirement être reliés à une prise de terre).
Pour les MO, hyperfréquences :
• des écrans pour les fenêtres (sorte de papier transparent se
collant sur la fenêtre) ;
• des rideaux anti-ondes ;
• des toiles et divers tissus de protection ;
• des ltres pour atténuer « l’électricité sale » générant des
pollutions supplémentaires sur le réseau électrique (notamment
les CPL et leurs harmoniques de hautes fréquences, les compteurs
communicants, etc.) ;
• un système de blindage complet d’une pièce entière, comprenant
les murs, le sol, les fenêtres et le plafond.
L’exposition nocturne devrait être très proche de zéro (ondes de
toutes les bandes de fréquences). Ciblez vos priorités : quelles
sources souhaitez-vous annuler ? Des solutions existent ! N’hésitez
pas à demander conseil à un géobiologue compétent, à un bio-
électricien ou à un conseiller professionnel en hygiène
électromagnétique, qui pourra vous renseigner e cacement sur les
matériaux les plus adéquats pour vous en matière de protection à
votre domicile.
Sachez que ces alternatives existent et sont modulables selon le
degré d’atteinte de la personne ou selon le degré de protection
qu’elle recherche, d’après les niveaux de CEM mesurés.
Les exemples de mise en place de dispositifs divers ci-après ne
possèdent pas tous les mêmes atouts, ni ne protègent de manière
identique :
• vêtement anti-ondes ;
• mise sous biorupteur (IAC) des zones de repos ;
• blindage des ls électriques ;
• blindage des fenêtres ;
• rideaux anti-ondes ;
• lit à baldaquin (dont les tentures sont anti-ondes) ;
• blindage entier d’une chambre ;
• blindage de l’habitat en entier.

Des métiers holistiques d’avenir

Métiers du passé, métiers pour notre avenir… et notre santé


future !
Aujourd’hui, les facteurs environnementaux sont multiples, avec
des interactions de plus en plus complexes et que personne ne sait
maîtriser.
Comme cela a été démontré par l’épigénétique, l’environnement
joue un rôle primordial dans notre état de santé. Il est donc très
important de considérer tous ces facteurs à leur juste titre et de
laisser ouvertes les pistes qui pourraient faire penser qu’ils
pourraient, à eux seuls, constituer la source du problème de mal-être
ou de santé des patients.
L’objectif est d’aider à vivre en conscience et à diminuer
l’exposition aux facteurs environnementaux nocifs, qu’ils soient
d’origine naturelle ou arti cielle !
Aujourd’hui, encore trop peu de métiers de la santé (médecins,
thérapeutes, etc.) ou de métiers de la construction et du bâtiment
(architectes, constructeurs, etc.) prennent en compte ces in uences
telluriques et électromagnétiques dommageables pour la santé et
font en sorte de les éviter.

Médecins et thérapeutes

De nombreuses pathologies pourraient diminuer voire être évitées


si l’in uence de l’environnement était prise en compte et ajoutée
aux autres cofacteurs de la santé que sont ceux de l’hygiène de vie.
De plus en plus de médecins posent des questions plus larges à
leurs patients, par exemple :
• Quelle est votre alimentation ?
• Quel est votre état émotionnel ?
• Quel est votre niveau de stress ?
Mais très peu posent des questions concernant l’environnement
électromagnétique et tellurique du patient ou son utilisation des
technologies. Dans une recherche de pathologie, aborder le domaine
de l’hygiène de vie en incluant l’hygiène tellurique et
électromagnétique devrait être de mise dans les consultations a n
de cerner au mieux le problème du patient.
• Comment est l’endroit où vous dormez (eau souterraine, failles,
etc.) ?
• Quelles sont vos habitudes de sommeil ?
• Quelles sont vos habitudes électroniques (appareils
électroniques, wi , etc.) ?
• Quels sont les appareils branchés à côté de votre lit (lampe,
radio-réveil, téléphone portable, objets connectés, etc.) ?
Il faudrait au moins que le médecin ou le thérapeute soit
sensibilisé à ces problématiques et puisse transmettre ces
informations au patient pour que celui-ci ait des pistes
d’investigation dans ces domaines également.
Les facteurs environnementaux sont de plus en plus nombreux. Ils
transforment nos vies et agissent sur la génétique même de nos
cellules et le fonctionnement physiologique de notre corps,
dans son ensemble. Inclure ces paramètres, c’est certainement
pouvoir aider un plus grand nombre de patients !
Compte tenu de tout ce qui a été vu précédemment, Mesdames et
Messieurs les médecins, thérapeutes, personnel médical, pensez à
prendre en compte l’environnement dans lequel vit et dort votre
patient !

Architectes

Dans l’optique d’économiser de l’énergie, il est certes très


intéressant de pouvoir construire avec des labels o rant haute
qualité et confort en matière d’utilisation de l’énergie, avec un bilan
énergétique bas (pompe à chaleur, autoproduction d’électricité,
renouvellement contrôlé de l’air, protection thermique estivale,
concept d’étanchéité obligatoire, etc.) avec, en complément, le label
« éco » pour les aspects liés à la santé et à l’écologie de la
construction : cela s’inscrit dans la mouvance du développement
durable.
Cependant, pour penser promouvoir des habitats « sains » à
presque tous points de vue, il manque le travail sur le lieu,
notamment au niveau :
• des nocivités telluriques qui se trouvent partout sur la Terre ;
• de l’installation électrique et de l’utilisation sécurisée des objets
électroniques ;
• des connexions Internet en mode laire incluses dans les
constructions, dans une démarche « santé », sans wi ;
• de l’orientation des volumes créés ainsi que des circulations des
énergies ;
• des mémoires énergétiques des anciennes constructions aussi
bien que de celles des terrains vierges de bâtiment.
Pour l’instant, ces facteurs agissant sur l’habitat ne sont pas
encore pris en compte, mais peut-être que cela donnera des
impulsions nouvelles et des métiers nouveaux ?

Un nouveau paradigme ?

Sur le plan purement physique, l’être humain, conscient de ses


facultés d’adaptation, mais également des dangers présents dans son
environnement, devra trouver les moyens de pouvoir s’adapter et
d’adapter son mode de vie dans le monde moderne, notamment par
une diminution de ses expositions aux nocivités telluriques,
électromagnétiques et énergétiques. Mais en sera-t-il de même
pour la faune et la ore ?
Il ne sera capable de préserver son bien-être qu’en ménageant son
corps des trop importantes contraintes, et également en prenant soin
de l’entraîner à la résistance par l’augmentation de ses plages
adaptatives.
Parallèlement, l’être humain nouveau devra certainement se
tourner vers son intériorité pour trouver en lui les clés de la
reconnexion avec le Tout et avec la Nature. Ces liens primordiaux,
vitaux et essentiels à la vie, pourraient l’aider à traverser les
méandres futurs avec davantage de facilité. Informant et protégeant
ses cellules des émanations nocives pour l’individu ordinaire, il
pourra peut-être prétendre à continuer d’exister dans cette nouvelle
ère, sans s’y perdre…
Pour conserver la qualité de vie à laquelle il tient, l’être humain
va certainement être appelé à dépasser sa condition actuelle pour
accéder à d’autres champs de cohérence. Ce sera l’application d’un
nouveau paradigme, intégré sur des niveaux spirituels et de
conscience plus élevés…
Augmentez la plage adaptative de votre corps a n qu’il ait la
capacité su sante pour faire face aux nocivités environnementales
de toutes sortes et pour continuer à fonctionner correctement.
Voici, pour cela, le principe des 10 hygiènes, à appliquer sans
modération !

LE PRINCIPE DES 10 HYGIÈNES

Hygiène tellurique

• Dormez et travaillez dans des zones les plus neutres possible, en


lien avec les énergies naturelles de la Terre.
• Évitez de vous placer sur les failles, les circulations d’eau, les
cheminées cosmo-telluriques et les croisements de réseaux.
• Connectez-vous à la terre, pieds nus souvent dans l’herbe, et
pendant votre sommeil également, avec le earthing.

Hygiène électromagnétique

• Installez un circuit laire pour vous connecter à Internet et


coupez le wi , au moins pendant la nuit.
• Dormez et travaillez dans des endroits les plus neutres possible
sur le plan électrique (évitez de dormir avec une montre ou des
objets connectés par exemple).
• Ne laissez pas d’appareil en charge sur votre table de nuit, ni de
téléphone portable allumé.
• Véri ez le sens de branchement des lampes et autres appareils
sans prise de terre, au besoin, faites installer un biorupteur,
bioswitch ou IAC.
• Utilisez un téléphone DECT « Full Eco », ou un téléphone laire.
Hygiène des corps énergétiques et du champ vital

• Favorisez le repos, le sommeil, le ressourcement, la récupération,


la relaxation, le retour à soi, les activités qui apportent de la joie
(sons, chants, couleurs, créativité, etc.).
• Favorisez le contact avec les animaux, avec les élémentaux, les
êtres de la nature, la Lune.
• Apprivoisez le Soleil, votre fabrique naturelle de vitamine D.
• Évitez les endroits chargés, les personnes toxiques et les
parasites énergétiques.
• Évitez la consommation de substances addictives (drogues,
alcool, tabac, médicaments, café, sucre, etc.).

Hygiène du corps physique

• Employez des produits doux, biocompatibles, respectueux de la


peau et de l’environnement.
• Prenez soin de votre hygiène buccale ( l dentaire, rinçages,
etc.).
• Adonnez-vous à une activité physique modérée et régulière.
• Prenez soin d’acquérir des postures et des positions qui
ménagent votre dos et votre périnée.
• Adoptez les incontournables : kinésiologie, décodage biologique,
massages thérapeutiques, vertébro-thérapie, ostéo-éthiopathie,
acupuncture, cohérence cardiaque, oxygénation active, bains
dérivatifs, irrigation nasale, Tao, qi gong, yoga, danses, postures
de longues durées adaptées et adéquates, etc.
• Prenez l’habitude de terminer votre douche par de l’eau froide.
• Prenez de temps à autre des bains d’eau froide (nager dans un
lac par exemple).
• Aménagez des temps de repos et de sommeil su sants.
• Diminuez le stress avec une bonne organisation.

Hygiène alimentaire
• Privilégiez une alimentation saine et vivante, biologique, crue ou
cuite à basse température.
• Privilégiez les aliments riches en antioxydants, en polyphénols et
en vitamines.
• Augmentez la proportion d’antioxydants naturels. Faites-vous
des jus de légumes, de baies et d’orties.
• Favorisez l’élimination (bains dérivatifs, massages, exercices,
saunas, thérapie par le froid, etc.).
• Évitez les produits acidi ants faisant stocker les toxines sous
forme de graisses (les sucres, notamment ra nés) et les glucides
en général, qui sont aussi des sucres (pâtes, pain, riz, etc.).
• Évitez les aliments transformés, industriels, sans vitalité, et les
produits laitiers, le gluten, selon l’état de vos intestins.
• Accordez des temps de pause réguliers à votre organisme dans
l’apport de nourriture : jeûnes intermittents, cures-détox, jeûnes,
etc.
• Savez-vous que ce que vous mangez in uence le comportement
et les pensées ?

Hygiène cosmétique

• Utilisez des produits cosmétiques bios, possédant un taux


vibratoire élevé et un haut potentiel de vitalité.
• Confectionnez-les vous-même, en conscience, pour élever leur
TV et leur PV.
• Évitez les produits ménagers chimiques.

Hygiènes émotionnelle et relationnelle

• Recensez, triez, traitez et libérez vos émotions.


• Octroyez-vous du temps pour vous, pour prendre du recul, pour
prendre soin de la relation avec vous-même, en silence et sans
distraction.
• Transmutez les émotions di ciles.
• Libérez-vous des croyances : elles se transforment en habitudes
et nissent par diriger votre vie.
• Gérez les niveaux de stress : évitez le petit vélo dans la tête.
• Aidez-vous avec un travail de développement personnel,
di érentes techniques thérapeutiques et une bonne organisation.
• Revisitez les accords toltèques.
• Favorisez le bien-être et la détente.
• Entretenez des liens relationnels épanouissants avec autrui.
• Appliquez le respect, la propreté, la civilité.
• Pensez aux autres (wi , ondes de téléphone, bruit, nuisances,
etc.).

Hygiène de l’eau

• Buvez une eau « vivante », ltrée avec une valeur de ppm (partie
par million) basse pour éviter les résidus médicamenteux et
hormonaux, les pesticides, les métaux lourds et autres pouvant s’y
trouver.
• Consommez une eau si possible « dynamisée ».
• Hydratez-vous su samment (1,5 à 2 litres par jour).
• Évitez l’eau stockée en bouteille plastique PET, l’eau très
minéralisée ou celle contenant du CO2.

Hygiène intestinale

• Entretenez votre deuxième cerveau (vos intestins !) pour garder


un système digestif sain.
• Privilégiez une alimentation hypotoxique, non ra née, non
industrielle et la moins transformée possible, donc vivante ; faite
maison, avec une importante partie de denrées crues (légumes,
fruits, oléagineux, graines en tout genre, etc.).
• Faites des nettoyages au moyen de l’hydrothérapie du côlon, de
petites cures-détox, voire de périodes de jeûne ou de jeûne
intermittent, de massages du ventre Chi Nei Tsang.

Hygiène de l’air à l’intérieur de l’habitat


• Attention aux entrées potentielles de radon dans votre intérieur !
• Attention aux matériaux, aux meubles agglomérés et à leurs
émanations de composés organiques volatiles !
• Attention aux émanations des produits d’entretien et de
nettoyage, mais aussi aux peintures, solvants, désodorisants,
assainisseurs d’air, insecticides, fongicides, parfums, di useurs,
cheminées à foyer ouvert, colles, vernis (y compris à ongles), etc.

Bonus : faites de la place et rangez !

• Triez, donnez, recyclez ou jetez tout ce dont vous n’avez plus


besoin, vous ferez certainement le bonheur de quelqu’un !
Désencombrez-vous !
• Rangez ce que vous souhaitez garder, votre intérieur sera
stimulé et l’énergie pourra y circuler plus librement. Votre
quotidien en sera facilité et la vue des pièces en ordre mettra du
baume à votre âme. Votre maison aussi vous en sera
reconnaissante !
POUR ALLER PLUS LOIN

S i votre curiosité a été piquée en lisant cet ouvrage et que vous


souhaitez consolider vos acquis, a ner vos perceptions et vos
ressentis, ou tout simplement débuter ou renforcer votre pratique,
vous pouvez agrémenter votre lecture par un court stage de mise en
application.
Ce stage se déroule sur un ou deux jours et est principalement axé
sur l’expérimentation et la pratique. Il a été conçu pour développer
et consolider vos capacités sensorielles, augmenter votre con ance
en vous, tout en étant soutenu par une dynamique de groupe.
Pour plus d’informations : www.devaeva.ch/stages.

Eva Dolezel
NOTES

1. Dolezel Eva, La géobiologie par soi-même, c’est parti !, Éditions


Jouvence, 2019.
2. Hippocrate, Airs, eaux, lieux, Éditions Rivages, 1996.
3. Dolezel Eva, La géobiologie par soi-même, c’est parti !, op. cit.
4. Voir Smith Cyril, L’homme électromagnétique, Éditions Marco
Pietteur, 1999.
5. On appelle « électrosmog » l’ensemble des champs
électromagnétiques (champs électriques et champs magnétiques)
d’origine humaine dans lequel nous baignons constamment.
6. www.alerte.ch/images/stories/documents/publications/
EUROPAEM_Directives_2016.pdf
7. www.docteurpascaleminiou.com/medias/ les/6-pollution-em-
nal.pdf
8. www.asef-asso.fr/wp-content/uploads/2018/11/Traduction-du-
texte-de-Martin-Pall_2018_04.pdf
9. www.priartem.fr/Conclusions-du-rapport.html
10. baubiologie.fr/IMG/pdf/valeurs_sbm-2015_fr.pdf
11. www.robindestoits.org
12. www.priartem.fr
13. www.anses.fr/fr/content/e ets-sanitaires-liés-à-l’exposition-
aux-champs-électromagnétiques-basses-fréquences
14. La Maya Jacques, La médecine de l’habitat, Éditions Dangles,
1999.

www.editions-jouvence.com
SOMMAIRE

Avertissement
Introduction

Partie 1 : Les ondes telluriques


L’in uence du lieu sur les êtres vivants
Vous avez dit « géobio » ?
Un environnement profondément modi é
La sagesse ancienne
Les animaux savent
Les e ets sur les végétaux
Quelles sont les zones à risques ?
La zone géopathogène
Les ondes telluriques
Quels phénomènes telluriques génèrent des ondes nocives ?
Les réseaux
Les failles géologiques
Les circulations d’eau souterraines
Les cheminées cosmo-telluriques
Le radon
La superposition des nocivités
Comment détecter les nocivités ?
La radiesthésie et ses outils
Vibrations et vitalité
E ectuez vos premières mesures
La prise en main des baguettes parallèles et l’état d’esprit
Localiser les nocivités telluriques
Localiser les réseaux Hartmann et Curry
Localiser le réseau Hartmann double
Localiser le réseau horizontal
Comment éviter de s’exposer aux nocivités ?

Partie 2 : Focus sur les ondes électromagnétiques


Un univers invisible… mais actif
Les ondes
Les champs électromagnétiques (CEM)
L’être humain est électromagnétique
Les incidences des CEM sur l’homme
Des études scienti ques mettent en évidence les e ets des CEM
Les sources qui génèrent des CEM
Les ondes et leurs interactions
Les micro-ondes (MO)
Quels e ets sur le cerveau ?
Vous avez dit « électrosensible » ?
Qu’est-ce que l’électro-hypersensibilité (EHS) et comment
l’éviter ?
La check-list des nuisances CEM à supprimer soi-même
La 5G
Les CEM en interaction avec les nocivités telluriques
Retrouvez un sommeil réparateur
Les phases du sommeil
Que se passe-t-il pendant le sommeil ?
Les hormones et le sommeil
L’importance du sous-sol pour un sommeil de qualité
Le sommeil et les nocivités des CEM
Les ondes cérébrales, le sommeil et le wi
Partie 3 : L’être humain et les mondes invisibles
Les parasites énergétiques
Les corps énergétiques
Les parasites énergétiques (PE)
Le parasitage
La mémoire des lieux, des murs et autres manifestations
Se libérer et éviter le parasitage
Le monde de demain
Les objets connectés et la consommation énergétique
Les objets connectés et les « terres rares »
Les objets connectés et la vie privée
Quel monde sommes-nous en train de créer ?
Low-tech, high-tech : hyperconnectés ou déconnectés de la vie ?
Adaptabilité et prévention
Le corps et sa capacité adaptative
Le stress oxydatif
Diminuer sa vulnérabilité aux CEM
Les moyens de protection contre les CEM
Des métiers holistiques d’avenir
Un nouveau paradigme ?
Le principe des 10 hygiènes
Hygiène tellurique
Hygiène électromagnétique
Hygiène des corps énergétiques et du champ vital
Hygiène du corps physique
Hygiène alimentaire
Hygiène cosmétique
Hygiènes émotionnelle et relationnelle
Hygiène de l’eau
Hygiène intestinale
Hygiène de l’air à l’intérieur de l’habitat
Bonus : faites de la place et rangez !

Pour aller plus loin


Notes

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