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Avertissement
Qui est Daniel Kieffer ?
Introduction
Chapitre 13. Les maladies des disciples sur une voie spirituelle
Chapitre 14. Les maladies des maîtres
La maîtrise
Le sacrifice : faire du sacré
Des véhicules imparfaits
Une heure connue
Un jeu
Glossaire
Notes
Du même auteur
AVERTISSEMENT
Lesouvrage
textes, méthodes, techniques, tests ou conseils présentés dans cet
ne peuvent en aucune façon se substituer à un diagnostic
médical, qui demeure la démarche indispensable pour identifier une
maladie.
Cet ouvrage invite très fermement les lecteurs à ne jamais se soustraire
à un traitement médical conventionnel et à ne jamais abandonner un
traitement en cours sans l’avis éclairé de leur médecin référent ou de leur
spécialiste.
Notre objectif est de faire mieux connaître un certain nombre
d’approches appartenant à la tradition occidentale mais aussi orientale et
largement intégrées en naturopathie sur le plan international.
L’objectif est aussi d’inviter des unités de recherche à s’investir plus
avant dans la compréhension et la validation scientifiques des approches
cliniques liées à la compréhension des causes des maladies dites
psychosomatiques, validations cliniques hélas bien trop rarement encadrées
à notre connaissance, en France.
La naturopathie n’étant ni une médecine alternative ni une médecine
parallèle, elle se positionne clairement dans une stratégie systémique et
intégrationniste de la santé.
Dans un système de santé optimal, chaque praticien doit en effet pouvoir
intervenir en des temps différents de l’histoire de la personne : en
l’occurrence, le naturopathe agira tantôt dans le champ de la prévention
primaire active (c’est-à-dire en amont de la maladie, dans le cadre précis
de l’éducation à la santé globale), tantôt comme acteur complémentaire
des soins médicaux classiques (l’allopathie) ou de soins des médecines dites
douces (homéopathie, phytothérapie…), tantôt comme accompagnateur
des processus de régénérescence (dans le cadre des dysfonctions ou
troubles dits fonctionnels). Dans les trois cas, il sera l’éducateur de santé
globale incontournable, et l’hygiène de vie de la personne sera pour lui
prioritaire.
Les naturopathes aspirent et œuvrent aujourd’hui plus que jamais à la
réalisation d’une authentique médecine intégrative, où chaque praticien
trouve sa juste place dans le respect mutuel des différences et des
compétences, comme c’est déjà le cas dans de très nombreux pays du
monde 1.
QUI EST DANIEL KIEFFER ?
Ilholistique®
est le fondateur du Collège européen de naturopathie traditionnelle
(CENATHO) et le créateur de cet enseignement original
(1978). Ce collège forme également depuis 1990, outre des naturopathes
professionnels, des praticiens certifiés en sophrologie intégrative et en
massage bien-être, et des conseillers en boutiques de bio-nutrition. Une
formation grand public s’est ouverte en 2019 ainsi que des Master Class où
Daniel Kieffer peut délivrer à ses anciens élèves le meilleur de son
expérience de thérapeute.
Universitaire de 1968 à 1978 à la faculté de Paris-VIII (études
diplomantes de psychologie, sciences de l’éducation, lettres étrangères,
botanique et hypnose clinique), il a fait sur lui-même l’expérience de très
nombreuses médecines dites douces ou naturelles et a complété son
cursus en naturopathie auprès de plusieurs formateurs entre 1972 et 1990,
notamment en psychothérapie transpersonnelle*, sophrologie, différentes
formes de yoga et de méditation, qi gong, phyto-aromathérapie,
musicothérapie, iridologie, massages, ostéopathie naturopathique, thérapies
énergétiques… Ceci en France mais aussi en Allemagne (Heilpraktiker de
la Faschule Saarbrüken), en Italie (LUINA) et au Québec (EESNQ), ainsi
qu’à l’occasion de très nombreux voyages d’étude où il a rencontré de
nombreux maîtres. C’est de cette synthèse intégrative que se développera le
concept de naturopathie holistique qui lui est cher.
Pendant longtemps chargé de formation à la Croix-Rouge française, à
l’École européenne d’ostéopathie de Maidstone (Grande-Bretagne) et à
l’Institut supérieur de psychologie de Paris-VII, il est aussi souvent
intervenu comme consultant au Collège ostéopathique de France, à
l’Institut de biokinergie, à l’école ISMET de Barcelone et à l’École
d’enseignement supérieur de naturopathie du Québec.
Il est l’un des membres cofondateurs de la FENAHMAN (devenue
aujourd’hui la « Féna », fédération nationale représentative de la profession
puis des écoles auprès des patients et des pouvoirs publics depuis 1985), et
l’un des experts fédéraux nommés auprès de l’Intergroupe Santé du
Parlement européen pour la naturopathie. Audité par le Sénat en 2013
comme expert pour la naturopathie, il est régulièrement invité à participer
aux débats parlementaires sur la santé publique.
Il coordonne à ce jour la commission pédagogique nationale au sein de
La Féna et en est le vice-président. Il est aussi engagé dans le Comité
pédagogique et sémantique de la prestigieuse World Naturopathic
Federation dans la perspective de dialoguer avec l’OMS pour une
meilleure reconnaissance internationale de la profession.
Il préside l’Union européenne de naturopathie et est membre
d’honneur du Registre des praticiens de santé naturopathes de France
(OMNES).
Il a animé depuis 1976 des milliers de conférences, des ateliers et des
stages, afin de populariser le plus largement possible le concept de
médecine intégrative et surtout l’enseignement de santé naturelle corps-
âme-esprit auquel il consacre sa vie.
INTRODUCTION
Sans trop prendre de risques historiques, il est permis de croire que les
humains se sont très tôt interrogés face à la souffrance de leur corps,
leurs maladies et celles de leurs proches. Surtout en des époques et des
sociétés où l’espérance de vie était bien plus courte qu’aujourd’hui, ce
questionnement était parfaitement légitime et, si les religions ont pu
prétendre apaiser quelque peu les premiers croyants, elles ne satisfaisaient
probablement pas tous les malades et les personnes en deuil… Une rapide
réflexion permet de dégager les idées principales portées en différentes
époques et différents lieux du globe.
C’est une vision archaïque s’enracinant dans l’Ancien Testament ici très
claire : « […] Dieu qui tolère la faute, la transgression et le péché mais qui
ne laisse pourtant rien d’impuni, et qui châtie les fautes des pères sur les
enfants et leurs petits-enfants, jusqu’à la troisième et la quatrième
génération » trouve-t-on en Exode 20 :5,6 et Ex. 34. Ce passage fait le lien
avec les amères paroles populaires comme « les parents boivent et les
enfants trinquent », « les parents ont mangé les raisins verts et les enfants
ont eu les dents agacées » (proverbe juif), mais aussi la sagesse de
Françoise Dolto, qui enseigne que « les enfants sont les symptômes de leurs
parents ». La nouvelle psycho-généalogie vient aujourd’hui encore mieux
éclairer ces lourds héritages.
L’IGNORANCE
LE MANQUE DE CHANCE
Cette option se retrouve chez celles et ceux qui perçoivent l’existence sur
un mode porté par une bonne ou une mauvaise étoile. Être là au mauvais
moment et au mauvais endroit pour « attraper » telle maladie… « Pas de
chance ! » Malgré cela, certains y perçoivent le résultat d’un
comportement : « La chance ne sourit qu’aux esprits bien préparés »
(Louis Pasteur).
LA DESTINÉE
LA FATALITÉ
LE HASARD
Très partagée, l’idée que la maladie est liée au hasard tend à totalement
déresponsabiliser le malade. On « attrape » une maladie par hasard, comme
on fait une rencontre fortuite… Pour le penseur oriental, la volonté et la
conscience font échapper au champ du hasard : « La vie de l’Homme
dépend de sa volonté ; sans elle, elle serait abandonnée au hasard »,
enseignait Confucius.
UN AGENT EXTÉRIEUR
LES CARENCES
LES SOMATISATIONS
L’ÉPIGÉNÉTIQUE
Cette jeune science très pertinente apporte aux naturopathes une somme
colossale de preuves que l’environnement, au sens large du mot, impacte la
génétique bien plus que l’on ne le pensait jadis. Loin d’avoir tout pouvoir
décisionnaire, nos gènes sont activés ou non selon notre mode de vie, et
l’on reconnaît aujourd’hui clairement l’incidence majeure de l’alimentation,
comme celle des pollutions, de la psychologie, du climat, des activités
physiques ou même des nuisances électromagnétiques.
« Comme des gerbes de blé, il vous emporte. Il vous bat pour vous
mettre à nu. Il vous tamise pour vous libérer de votre bale. Il vous
broie jusqu’à la blancheur. Il vous pétrit jusqu’à ce que vous soyez
souples ; et alors il vous livre à son feu, pour que vous puissiez
devenir le pain sacré du festin de Dieu. » (Le Prophète, « De
l’amour »).
Unecorporel
courte réflexion sur l’intégration plus ou moins réussie du schéma
peut éclairer plusieurs aspects des somatisations qui nous
préoccupent. Le corps peut en effet être vécu notamment comme :
– identité, la personne étant alors dépendante de son état corporel : « je
suis ce corps, j’en jouis ou j’en souffre » ;
– héritage génétique, faisant peser le poids de la lignée : « j’ai le corps
de tel parent », « je suis malade, comme il l’était » ;
– ce que je montre à autrui : « voyez ma santé » ou « voyez ma
souffrance ! » « Pauvre de moi ! » ;
– ce qui me protège : « si fragile, je me cache sous mes kilos » ;
– le sac de peau que j’habite : « je suis résigné en cette enveloppe
souffrante » ;
– interface relationnelle : « maquillage, vêtements à la mode,
tatouages ou piercings, coiffure… me rendent séduisant, efficace,
reconnu » ;
– véhicule : « je me conçois comme une âme incarnant ce corps ».
D 1
ans un précédent ouvrage , il a été montré que l’intelligence humaine
ne se limite en aucune façon à son raisonnement intellectuel, mais que dix
cerveaux s’associent pour accompagner le meilleur de ce qui fut l’humain,
de ce qu’il est et de ce qu’il devient. Il apparaît alors pertinent, dans le cadre
de cette lecture multifocale, d’imaginer combien notre quête de sens (qu’en
est-il des causes de telle maladie ?) doit prendre en compte ces dix secteurs.
En effet, d’une bonne analyse de leurs différents langages ou réactions
pourra dépendre une juste compréhension de l’origine d’un trouble. Ces dix
instances sont les suivantes :
1. le cerveau archaïque ou reptilien : le plus ancien et profond, garant
des instincts et des réflexes ancestraux de survie ;
2. le cerveau limbique : plus jeune et en étage moyen, gestionnaire des
émotions et des mémoires ;
3. le néocortex : à peine fonctionnel à la naissance, couche externe du
cerveau, il est l’instance pensante, réflexive et indissociable de
l’apprentissage ;
4. les aires associatives préfrontales (ou occulo-frontales) : capables
de génie, de création et de résilience optimale (synthèse des trois
précédents) ;
5. l’hémisphère gauche : plutôt masculin, rationnel et analytique ;
6. l’hémisphère droit : plutôt féminin, imaginatif et synthétique ;
7. le cerveau abdominal, ou entérique : maître de nos immunités
mais aussi émetteur d’informations hormonales à destination du
cerveau ;
8. le cerveau du cœur : complexe et découvert depuis peu mais perçu
comme le patron d’une large part de notre comportement ;
9. l’intelligence biologique cellulaire : l’homéostasie, le médecin
intérieur cher à Hippocrate ;
10. l’intelligence de l’Ame : instance spirituelle ou transpersonnelle qui
seule se souvient de notre source et inspire nos transcendances et
notre devenir…
LA SOMATOPSYCHIQUE
Les drogues
La dysbiose* intestinale
Les carences
Le jeûne
Un sérieux débat oppose les partisans des deux camps depuis bien des
années : la consommation de viandes, outre ses bienfaits ou les critiques
que l’on peut lui reprocher sur le plan de la santé du corps, affecte-t-elle
l’équilibre psychologique, le caractère, le comportement ? Il ne m’est pas
possible de développer cette diatribe en si peu d’espace, mais il est certain
que bien des auteurs ont pris le soin de publier sur la question 16 et de
prendre position, parfois radicalement. Il ressort d’un maximum
d’observations et de témoignages qu’une corrélation est fréquente entre
l’abandon de la viande et une attitude plus sereine, posée, paisible. À
l’opposé, un grand carnivore fera preuve de plus de combativité, voire
d’agressivité, de passion comportementale peut-être.
Des toxines animales, notamment les catécholamines ou hormones de
stress liées à l’abattage des bêtes, peuvent être évoquées, mais aussi les
amines secondaires ou dérivées des protéines concentrées des viandes se
retrouvant dans les putréfactions du côlon gauche. Leurs noms sont souvent
évocateurs : « cadavérine » et « putrescine », par exemple, sans parler de
l’« histamine », plus connue et impliquée dans l’allergie… Certains
argumentent sur un mode plus subtil en parlant de l’astralisation du
consommateur. Ce mot, souvent utilisé en ésotérisme* occidental ou
oriental, signifie l’intégration délétère d’un champ énergétique porteur
d’émotions, de désirs et de passions, et spécifique aux animaux à sang
chaud. Certes, pour un boxeur professionnel, abandonner la viande serait
purement inimaginable 17, mais est-ce un hasard si tous les enseignements
liés au yoga, à la méditation et plus globalement à la spiritualité orientent
vers le végétarisme ? À tester sur quelques mois avec l’aide d’un
naturopathe pour bien équilibrer les indispensables apports protéiques…
Le sucre
Les vaccins
La positivation de l’air
LA PSYCHOSOMATIQUE
L’EFFET PLACEBO
Les placebos 28
Les nocebos
LA « CASCADE QUANTIQUE* »
Il est donc cohérent, à présent, de proposer une vision où chaque plan est
relié à un autre par des flèches à double sens : dans le même temps, il
devient acceptable de concilier psychosomatique et somatopsychique, ce
qui demeure l’une des clés de l’approche du professionnel en naturopathie
holistique. Pour simplifier à l’extrême, on aura ainsi deux possibilités et
deux champs de responsabilité (ascendante du corps vers le psychisme ou
descendante du psychisme vers le corps) :
LA DOUBLE LECTURE DES RELATIONS ENTRE LE CORPS ET LA PSYCHÉ
Ce(sémiologie
qui nous est montré est de l’ordre du signe, objectif le plus souvent
ou séméiologie), globalement porteur de sens non
controversé (sémantique), pour tout un chacun. Ces signes permettent
d’organiser notre langage écrit (lettres, mots, ponctuation…) ou notre
langage parlé (les mots), sans oublier le langage non verbal ou corporel
(gestes, mimiques, attitudes du corps, regard…).
Il est plus rare que nous prenions le temps de réfléchir aux symboles
dans la vie quotidienne, car ils sont tellement intégrés dans la sphère de
notre communication visuelle qu’ils passent inaperçus. Pour autant, les
symboles sont porteurs de sens plus abstrait, de certaines valeurs que
connaissent bien les professionnels de la publicité ou les nouveaux
influenceurs… Les symboles appartiennent à l’inconscient collectif sans
pour autant être partagés par l’ensemble de l’humanité. Ils sont le plus
souvent associés à un groupe, à une nation, à une époque. Pour exemple, un
drapeau porte le symbole d’une nation, de son identité, mais reconnaissons
que, si le drapeau bleu-blanc-rouge a pu émouvoir aux larmes nos grands-
parents en temps de guerre ou d’occupation, il n’est plus porteur d’autant
d’émotions chez la plupart des Français. De temps en temps, on note
comme une réactivation de la valeur d’un drapeau, comme ce fut le cas à la
suite des tragiques évènements parisiens liés au Bataclan ou à Charlie
Hebdo… D’autres drapeaux, peu ou pas connus, n’évoquent rien à la
majorité des gens. Pour autre exemple, si la colombe est un symbole faisant
rapidement penser à la paix, elle sera liée au mariage pour un Japonais tout
autant qu’au Saint-Esprit pour un chrétien protestant…
Il faudra se pencher sur les archétypes pour parler de valeurs
universellement reconnues, partagées au plus profond de l’inconscient
collectif. Souvent, il est permis d’hésiter entre symbole et archétype car,
effectivement, des croyances régionales ou nationales ont pu se cristalliser
autour des premiers lors d’évènements particuliers. C’est l’impact des
médias notamment, qui associent telle valeur à tel symbole pour un usage
commercial : le logo des chaussures Nike*, même reconnu par une
immense partie de la population mondiale, n’en devient pas un archétype
pour autant ! À la lumière des enseignements de Carl Gustav Jung,
largement orientés vers la reconnaissance et l’usage psychothérapeutique
des archétypes, on peut donner les exemples suivants :
– les formes géométriques (cercle, carré, triangle, sphère…) ;
– les nombres (c’est l’essence de la numérologie, dont les valeurs sont
étonnamment communes entre Pythagore, les kabbalistes hébraïques
et la tradition chinoise) ;
– les astres et les luminaires (Soleil, Lune), les planètes (Mars, Vénus,
Mercure…) et les constellations (Bélier, Taureau, Gémeaux…) ;
– les éléments naturels (terre, eau, air, feu) et leurs très nombreuses
déclinaisons naturelles (montagne, lac, vent, flamme…) ;
– les acteurs des contes et légendes du monde entier (comme le Père
ou la Mère, le Roi, la Reine, le Bourreau, l’Hermite, le Chevalier, la
Princesse, le Dragon…), leurs accessoires associés (couronne, armure,
épée, bouclier…). Par extension, on pourra considérer que les notes de
musique, les couleurs et les parfums sont autant d’archétypes
potentiels. On notera que, si le chevalier s’inscrit plus particulièrement
dans notre histoire médiévale ou arthurienne, on retrouve son parfait
homologue archétypal en Orient sous la forme du samouraï. Tous
deux sont porteurs des valeurs du dévouement à la cause spirituelle, à
la défense de la veuve et de l’orphelin… Universalité du concept
oblige.
WILHELM REICH
Bien entendu, cette énergie vitale n’est pas sans rappeler le prâna et sa
circulation dans les canaux nommés nâdis (médecine ayurvédique), ou le Qi
et sa circulation dans les méridiens d’acupuncture (médecine chinoise).
Selon Reich, l’intelligence spécifique de l’orgone ne peut l’orienter dans
une fausse direction.
Les pulsions et besoins humains génèrent une somme importante
de désirs, d’élan propices à telle ou telle satisfaction.
Il oppose des concepts comme « cela ne se fait pas », « cela n’est pas
bien », « tu ne dois pas », « il est interdit de », et bien d’autres subtilités qui
tendent à limiter ou à étouffer les énergies pulsionnelles. Au pire, des
comportements familiaux peuvent s’opposer plus subtilement aux désirs sur
le mode des chantages affectifs ou des rackets : « tu me feras mourir avec
tes caprices », « si tu n’es pas sage… » ou « vraiment, là, tu me
déçois… ! ». Certes, nombre de pulsions de mort sont judicieusement
neutralisées chez l’enfant grâce à ces stratagèmes d’origine parentale, et
c’est heureux lorsque de graves menaces à l’intégrité humaine ou sociale
sont en jeu (comportements agressifs violents, déviances narcissiques
irresponsables, colères démesurées assorties de menaces à autrui par
exemple…).
Selon une logique bien précise, tel ou tel territoire corporel sera
affecté plus que les autres.
Celle-ci est tout d’abord très limitée et peut même passer longtemps
inaperçue (on s’habitue et banalise telle fatigue, telle frilosité, telle perte de
souplesse articulaire, telle tension musculaire ou telle limitation du
souffle…). Toutefois, si le conflit perdure, les nœuds vont hélas générer des
troubles fonctionnels (maladies chroniques), puis lésionnels (graves) dans
leurs secteurs de prédilection.
Et le parasympathique ?
À RETENIR
CHRISTOPHE DEJOURS
OLIVIER SOULIER
À RETENIR
Si une part de vérité est à supposer, issue de l’étonnante saga du Dr Hamer, c’est
probablement à l’aide des neurosciences et d’études statistiques très solidement
menées que l’on pourrait obtenir des validations bien étayées. Mais aucun service de
recherche ne semble disposé (ou autorisé) à investiguer en ce sens en Europe à
notre connaissance. Il reste très certainement une part de bon sens à retenir dans les
interprétations que fit Hamer pour chaque type de cancer en lien avec un type de
conflit bien précis. Intelligemment intégré dans une approche complémentaire de la
médecine et très prudemment appliqué au sein d’une relation d’aide autant ouverte
que respectueuse de la personne et des soins allopathiques, ce bon sens mérite de
18
ne pas être radicalement rejeté. Souhaitons que les successeurs du Dr Hamer
appliquent leur credo en ce sens sans jamais sombrer dans les dangers de
l’intégrisme ou de la pensée unique. Nous verrons plus bas que l’usage de la
« langue des oiseaux », si chère aux praticiens devenus hamériens, nécessite, elle
aussi, un grand discernement et beaucoup de prudence…
L’INTÉRÊT ET LE DANGER DE LA LANGUE DES
OISEAUX
À RETENIR
Si une bonne part d’humour est toujours bienvenue sur le chemin de la connaissance
de soi et des autres, on glisse vers de grands dangers lorsque, au cœur de la
relation d’aide, le thérapeute systématise et affirme trop. Or, systématiser une
réponse ou une croyance, c’est se fermer à toute réflexion ultérieure, à toute remise
en cause, c’est se limiter à un champ étroit, celui des adeptes de la pensée unique et
de la psychorigidité. Affirmer une conclusion, un décodage de maladie ou de
symptôme en l’occurrence, c’est risquer de manipuler le patient (ou le client) et
abuser de son pouvoir, de son autorité.
Si les exemples qui suivent n’étaient pas issus de mon expérience
clinique en cabinet, nous pourrions en rire plutôt que d’en pleurer.
– Telle femme à qui l’on vient de diagnostiquer un cancer du sein reçoit
en plein visage le décodage sauvage du Dr X., pourtant réputé et
auteur d’ouvrages spécialisés : « Tumeur mammaire ? Travaillez sur tu
meurs, ma mère. Voilà, madame, c’est votre clé de guérison assurée. »
De grâce, demeurons très prudents sur les passerelles un peu faciles
entre « sein », « ceint », « sain » et « Saint » !
– Telle autre malade explique douloureusement l’adultère dont elle a été
victime quelques mois avant l’apparition de son cancer du vagin. Elle
lâche ses émotions en formulant « Il m’a trompée, alors j’ai paniqué,
et c’était fini ! », que le Dr Y., autre illustre référent du décodage
biologique, reprend sous la formule lapidaire : « Vous dites j’ai pas
niqué ? Mais c’est tout simple : voilà comment vous avez censuré
votre sexualité, madame ! Prenez-en bien conscience et votre guérison
va suivre sans tarder. »
Attention
Le souci majeur, pour faire écho à la plupart des auteurs cités plus haut,
est que nous ne sommes pas libres de notre pensée, mais littéralement
« pensés » par notre contexte parental, puis culturel. Tout processus de
psychothérapie ou d’analyse doit s’engager vers cette mise à nu des
croyances héritées en notre enfance, puis issues de la parole de nos
éducateurs ou référents (à l’école, au collège et au lycée, à l’université…
mais aussi via l’église, les syndicats et les médias…). Il ne s’agit pas de tout
rejeter en bloc (processus pouvant devenir dangereux, surtout dans le cadre
de manœuvres de lavage de cerveau et de manipulation mentale !) mais de
prendre le temps de lister un maximum des petites phrases entendues
dans notre passé et devenues nos croyances. On parle de faire la chasse
aux injonctions parentales (entre autres origines) puis de choisir, en pleine
conscience, discernement et libre arbitre, ce qui nous convient ou pas. Il est
si facile de faire glisser un dossier inutile vers la « poubelle » de nos
téléphones et écrans d’ordinateur… mais tellement plus difficile de faire un
grand ménage en notre tête ! Faute de « poubelle » proprement dite, on peut
symboliser l’abandon des mots et croyances en question en les écrivant sur
un papier que l’on brûlera, jettera dans les toilettes, enterrera ou, plus
simplement, que l’on « rendra » symboliquement à papa, à maman ou à
monsieur le curé… sans pour autant venir les agresser.
Nous invitons tout le monde à préparer le ou les secteurs dans lesquels on
cherchera les fameuses « paroles héritées », afin de ne pas se lancer dans
trop de directions en même temps. Nous proposons de commencer par les
domaines évoquant les hommes, les femmes, le sexe ou l’argent, selon ses
priorités du moment. Ensuite, nous pouvons poursuivre, pourquoi pas, avec
la politique, le corps, la santé et la maladie, la réussite, la prospérité, la
mort, le bien et le mal ou le bon Dieu.
Le chantier est certes de taille mais s’appliquer à cette tâche, en tenant
par exemple son journal intime ou en explorant ces domaines avec un
aidant (confident, thérapeute…), sera toujours source de croissance, de
libération et de progrès.
Techniquement parlant, penser positivement s’articule autour de plusieurs
outils psychologiques assez simples et pour lesquels les auteurs référents
ont construit leur propre originalité : nombre de répétitions de la phrase
positive, moments optimaux dans la journée, formulation commençant par
« je », absence de négation sémantique ou grammaticale, place de
l’émotion-visualisation associée, etc. Dans cette aventure, nos pensées
deviennent des « graines fertiles semées dans les profondeurs de notre
subconscient 20 » ou sont « tels nos enfants sortis de la maison, et allant
briser les vitres des voisins ou les aider à traverser la rue 21 », et nous
apprenons à en devenir plus responsables…
En tant qu’outil de psychothérapie brève, la pensée positive ne doit
toutefois jamais devenir une obsession de plus. Elle ne doit pas non plus se
substituer à une analyse plus « découvrante », c’est-à-dire à l’exploration
des causes plutôt que des symptômes. Enfin, nous la conseillons
comme une clé particulièrement bienvenue en certaines occasions, dont
la traversée des crises de vie que sont les licenciements ou échecs
professionnels, les divorces, les diagnostics de maladie lourde, les passages
d’épreuves ou d’examens, par exemple. Se nourrir de pensées positives peut
alors devenir une aide précieuse, en complément de bien d’autres outils de
relation d’aide et sur quelques semaines, jamais plus.
Mais qu’en est-il ici du sens de la maladie ? C’est dans la lignée
résolument positive que des chefs de file comme Louise Hay ont pu publier
des invitations à la réflexion sur le sens des pathologies. La démarche est
respectable et bien souvent en cohérence avec les nombreux référentiels
auxquels nous sommes attachés en ce petit livre. Elle semble aussi très
pédagogique car, plutôt que de lister les causes des affections, on trouvera
plutôt sous la plume de Louise Hay 22 des réponses positives adaptées
auxdites pathologies. En voici quelques exemples offerts à notre méditation.
La tripartition de la matière
LE RÉFÉRENTIEL TRANSGÉNÉRATIONNEL
LE RÉFÉRENTIEL AYURVÉDIQUE
Il n’est pas question de présenter ici la teneur intégrale de l’une des plus
vieilles médecines holistiques du monde. De nombreux ouvrages pourront
éclairer les plus curieux (voir bibliographie). Attachons-nous simplement à
poser les clés utiles à la démarche de ce livre : comment le corps et ses
souffrances ont-ils du sens en médecine indienne traditionnelle ?
Le corps et le système des chakras sont étudiés sous l’angle d’une unité
somato-énergétique proche de la vision tibétaine. L’essence de l’humain
demeure son Soi, ou essence impersonnelle attachée à la figure cosmique de
Brahmā. Selon les différentes philosophies indiennes, Brahmā est à la fois
immanent (à rechercher au plus profond de soi) et transcendant (vers lequel
il convient de s’élever). Le processus de l’incarnation suppose
« l’habillage » de cette essence par différents corps ou koshas, des
enveloppes, à la manière des poupées matriochkas russes. On est très
proche ici de la conception retenue en naturopathie holistique et ses
différents plans.
Attention
La santé dépend du bon écoulement de la vie sur tous les plans de l’être, du flux
harmonieux des énergies liées aux centres, distribuées ensuite dans le corps vital
(énergétique, éthérique), aux fluides (sang, lymphe), puis aux tissus. La maladie n’est
donc pas liée à un problème qualitatif de l’énergie, mais de sa dynamique (sans
barrages). En ce sens, on réfléchira au fait que le plus bel idéal, s’il est frustré,
générera autant de troubles dans la conscience et dans le corps qu’une frustration
s’opposant à un désir de bas étage…
Yang Yin
Yang Yin
Yang Yin
Catabolisme Anabolisme
Énergie défensive Énergie nourricière
Hyperactivité fonctionnelle Hypo-activité fonctionnelle
Peau et poils Tendons et os
Plénitude Vide
Qi (énergie) Sang
Transformation de l’énergie Parachèvement de la forme corporelle
Vaisseaux secondaires Méridiens
Fonction des organes Structure des organes
Les « entrailles » creuses Les « organes » pleins
Vésicule biliaire Foie
Intestin grêle Cœur
Estomac Rate-pancréas
Gros intestin Poumons
Vessie Reins
Yang Yin
Douleur Gonflement
Douleur aiguë Douleur chronique
Douleur diurne Douleur nocturne
Hyperesthésie Hypoesthésie
Hyperthermie Hypothermie
Inflammation Tumeur
Sclérose Cancer
Insomnie Hypersomnie
Maladies aiguës Maladies chroniques
Maladies d’origine externe Maladies d’origine interne
Fièvre Apyrétique
Peau sèche Peau humide Œdèmes
Membres chauds Membres froids
Peau rouge Peau pâle
Recherche les boissons froides Recherche les boissons chaudes
Respiration forte Respiration faible
Voix forte Voix faible
Appétit Inappétence
A souvent chaud A souvent froid
Se couvre peu Se couvre beaucoup
Urines foncées Urines claires
Constipation Diarrhées
Langue rouge Langue pâle
Pouls fort Pouls faible
Peau chaude Peau froide
Améliorée par le mouvement Amélioré par le repos
Contracture Paralysie
Tachycardie Bradycardie
Yang Yin
Bréviligne Longiligne
Minceur, taille moyenne à modeste Dilatation, grande taille
Poids de forme Surpoids ou obésité
Ouvertures de la face modestes Grandes ouvertures de la face
Poignée de main tonique, chaude et sèche Poignée de main atone, froide et humide
Pilosité abondante Peu ou pas de pilosité
Voix forte Voix faible
Tonus, vitalité Atonie, asthénie
Bonne libido Peu de libido
Yang Yin
Plan psycho-émotionnel
Avec les contrariétés et les frustrations
se génère la colère.
Secteur de l’agressivité, du courroux,
des colères rageuses, immodérées,
excessives
ou haineuses, mais aussi de l’impatience,
du ressentiment, de la rancune, de
certaines
violences, de la tendance paranoïaque,
l’indignation…
Peu conciliatrice, la personne est sujette
aux troubles nerveux.
Névroses, schizophrénie paranoïde,
Histrionisme…
Péremptoire, la personne s’exprime par les
cris.
Cette loge régit les artères et les vaisseaux, les pouls, le goût et la langue,
le teint (du visage), l’éclat du regard, la sueur, le shen (= amour-sagesse),
l’amour inconditionnel, c’est-à-dire sans attachement ni attente de retour, la
gaîté, le conscient, l’esprit (spirituel, vertical). Apogée des énergies
engendrées par le foie (mère du cœur), il est lié à la vigueur et au
dynamisme lié au sang circulant parfaitement dans le corps.
Le cœur s’exprime par la langue (donc la parole juste, car née de
l’intention du cœur). Il exprime la joie, l’amour-sagesse, la sensibilité
supérieure, le pardon, la conscience royale, la noblesse des sentiments. Son
énergie (le shen) génère une pensée vive, synthétique, intuitive, équilibrée,
fertile… C’est la pensée initiale à l’origine de la parole (idées, aspirations),
la sphère des différentes formes de spiritualité, du sourire, des rires naturels
mais sans excès, de la générosité bienveillante, un bonheur spontané,
joyeux et paisible.
Elle régit la chair, le conjonctif, les fascias, le tact, la bouche (et ses
muqueuses) et les lèvres, la salive, les mucus et les glaires. Elle contrôle
l’humidité dans le corps, la partie ganglionnaire du système immunitaire,
les seins et les ovaires. Elle gère les idées, « tact et mesure » du mental
(raison, pensée, compréhension et parole, si possible issues de la lumière du
cœur…), la pensée ou conscience (intention s’impliquant dans tout
mouvement), le chant et la réflexion, la mémoire et la concentration,
l’idéation optimale. Elle procure le calme serein du mental (bonne digestion
des soucis), de bonnes fonctions mémorielles, idéatives et cognitives, une
réflexion fluide, éclairée (par le cœur), sereine (liée aux bons souvenirs),
harmonieuse (car liée à une bonne méditation). Elle gère l’éloquence,
parfois la folie des grandeurs.
Attention : la rate, ou la loge rate-pancréas, est à la fois liée au sang
(anémie, stases, menstruations.), à la régulation du glucose (glycémie,
diabète…) et à la régulation du Qi (sorte d’homéostasie énergétique dans
les méridiens).
Cette loge régit les poumons, la peau, les muqueuses et les phanères,
l’odorat, le nez, les narines, les poils, les crachats et mucus, l’inconscient, le
souffle vital (le Qi respiratoire, prânique pour l’Inde, éthérique pour la
médecine anthroposophique*, pneumatique des Grecs). Après le grand yang
estival, c’est le decrescendo et la montée du yin automnal, qui culminera en
hiver. Le poumon exprime et traite les instincts et l’intelligence cellulaire,
les pulsions de vie, la force vitale respiratoire, la vie végétative
(automatique), les impulsions et les réflexes (dont boire, manger et dormir,
mais aussi le réflexe de défense devant les agressions), l’estime de soi, la
fierté courageuse, la rigueur, le « flair », la circonspection, l’introversion, la
réserve. Le métal est ici protecteur, tel notre bouclier. Il exprime aussi
l’altruisme, siège d’une certaine compassion (plus émotionnelle ou
instinctive que spirituelle), ce qui amène à réfléchir à « j’inspire = je
prends », mais « j’expire = je donne ».
Il est important d’éliminer ses déchets intestinaux tout autant que ses
émotions et traumatismes, surtout liés à des pertes matérielles.
Pour la médecine chinoise, la vessie est le rein « émonctoriel », donc les fonctions
et voies urinaires proprement dites. Elle est « l’entraille » ou « atelier » du rein auquel
elle est couplée.
Ajoutons un regard global sur les émotions liées aux cinq loges
chinoises, afin de mieux percevoir les expressions psychologiques des
organes correspondants (en gras, les émotions positives ; en maigre, les
émotions négatives).
« La vertu, c’est le maintien de l’harmonie parfaite. »
Zhuang Zi
Dépression
À RETENIR
Le référentiel chinois semble très complexe mais peut nous éclairer pour donner du
sens aux organes et fonctions, surtout lorsqu’ils sont en hyper ou en hypo-activité.
Au-delà d’un certain bon sens à l’orientale, on y retrouve un maximum de valeurs
archétypales, ce qui est très rassurant pour valider tout le signifié qui demeure
caché sous le signifiant, qu’il soit organique ou énergétique. Avec les clés de la
médecine ayurvédique (système des chakras surtout), de la kabbale et de
l’astrologie, voilà une valeur très fiable selon nous pour décoder les messages du
corps…
Le référentiel psychologique
Il correspond aux enseignements traditionnels intégrés par les
professionnels de la psychanalyse et de la psychothérapie. Il s’aligne
parfaitement sur le précédent modèle (ciel antérieur) et pose à droite le
père, l’animus, le lumineux, le temps, le masculin et l’avenir, et à
gauche la mère,
l’anima, l’obscur, l’espace, le féminin et le passé. On retrouve
régulièrement ces clés en graphologie, par exemple, mais aussi en
morphologie ou lors de l’interprétation de divers tests psychologiques de
personnalité.
Pour le Dr Hamer, notre latéralité détermine si une maladie, comme le
cancer, se développe du côté droit ou gauche du corps. Voici la règle : une
personne droitière répond à un conflit avec sa mère ou son enfant dans le
côté gauche du corps mais, si le conflit a rapport à un « partenaire », par
exemple le père, un frère ou une sœur, un membre de la famille élargie, un
ami ou un collègue, etc., c’est le côté droit qui répond. Pour les gauchers,
c’est le contraire qui se produit. Il y a toujours une relation croisée entre le
cerveau et le corps, parce que chaque hémisphère du cerveau (excluant le
tronc cérébral) contrôle le côté opposé du corps 43.
Ainsi, les magnétiseurs utilisent-ils plus volontiers leur main droite pour
émettre de l’énergie thérapeutique. Dans notre société majoritairement
droitière, nous nous saluons aussi de la main droite (émissive d’un
message). L’Église chrétienne enseigne également à recevoir l’hostie dans
la main gauche (réceptive) lors de la communion. Mais, lors de la
consécration de l’hostie, notons que le prêtre pose ses deux mains sur le
calice ou le ciboire, signe que l’œuvre spirituelle dépasse toute dualité et
tout magnétisme humain.
Le référentiel kabbalistique
Le référentiel astrologique
Synthèse
Nous devrons réfléchir pour intégrer les archétypes liés aux organes ou aux parties
du corps étudiés, voire aux pathologies associées, afin de discriminer leur mode
d’influence ou de corrélation avec une situation présente. S’ils sont les reflets du ciel
antérieur, de l’univers prénatal ou primal, le masculin sera à gauche, comme la mère,
l’anima… Inversement, si les archétypes activent un processus chez l’adulte et sans
liens apparents avec l’univers prénatal ou primal, le masculin sera à droite, comme le
père ou l’animus… C’est le plus possible sur ce mode intégratif que nous
proposerons une lecture plus détaillée dans le chapitre 11, « Un voyage des pieds à
la tête ».
Rythmique Situé entre les deux pôles opposés du bas (métabolique) et du haut
(neuropsychique), ce pôle s’exprime essentiellement par ce qui bat la
mesure de l’Homme : cœur et poumons. Il symbolise l’horizontalité
des relations humaines, alors que le métabolique signe la verticalité
basse (enracinement en terre, prise de yin), et que le neuropsychique
signe la verticalité haute (élévation de la conscience, liberté,
créativité, intuition, spiritualité…).
L’EXEMPLE DE LA FIÈVRE
C’est l’une des expressions les plus justes pour bien comprendre la
démarche maïeutique du thérapeute : appâter le poisson tout en lui laissant
la possibilité d’y mordre, ou pas.
PRIORITÉ À LA BIOLOGIE
Iléventuelles
s’agit de cheminer dans le corps humain, ses organes, fonctions et
maladies, tout en proposant des éclairages, des pistes de
réflexion, des hypothèses de travail. À la lumière des grands référentiels
présentés plus haut, répétons qu’il ne s’agit jamais d’affirmer une vérité ou
de réduire la pensée à une unique lecture, mais bien de pénétrer
humblement les merveilles et les mystères de la vie incarnée. Que l’on
considère un instant la biologie, l’anatomie ou la physiologie humaine,
comme les expressions de ce qui a pris forme, ou que l’on s’en tienne à
chercher l’essence du visible, dans le champ de la psychologie, de
l’énergétique ou de la spiritualité, on fera preuve d’assez d’ouverture pour
fouler notre voie holistique en quête de sens.
Attention
Il est essentiel de dédramatiser bien des troubles bénins de santé, qu’ils soient
occasionnels ou simplement de courte durée. Une enquête sur le sens caché des
maladies ne se justifie que dans le cas d’affections lourdes, graves ou lésionnelles,
aiguës ou chroniques, ou dans le cas d’accumulation ou de répétitions de
troubles dans le même secteur corporel ou fonctionnel. On ne sort pas sa calculette
pour additionner trois nombres à deux chiffres, pas plus que l’on n’envisage une
psychanalyse pour explorer une simple déprime passagère. Il serait fort préjudiciable de
développer un « réflexe du décodage » à propos des petits maux corporels les plus
fréquents. Hélas, on devine que bien des profils obsessionnels, anxieux, angoissés ou
hypocondriaques ne résisteront pas à la tentation ! Sous le prétexte de croyances telles
que « rien n’arrive par hasard » ou que « tout est psy », on risque hélas un glissement
comportemental névrotique qui ne présagera rien de bon. Nous connaissons le même
type de dérive psychologique pour celles et ceux qui interprètent tout ce qui leur arrive,
dans le domaine de la maladie ou de la méforme, en accusant toujours une imperfection
alimentaire ou une nuisance électromagnétique…
Pour chaque partie du corps envisagée plus loin, de longues phrases sont le plus
souvent inutiles et ne peuvent qu’alourdir la lecture. Il s’agira plutôt d’une succession de
propositions sur lesquelles réfléchir. Nous souhaitons ces dernières le plus simples et
claires possible, résolument ouvertes et jamais dogmatiques.
Alors bon voyage, mais surtout, lumineux discernement en chemin !
LES PIEDS
– Les pieds plats dès la naissance offrent peu ou pas de pistes sérieuses
(penser rachitisme peut-être). Ma voûte plantaire est-elle la
préfiguration de ma voûte crânienne, elle-même aspirant à la voûte
céleste ? Chez l’adulte, on peut penser aussi à l’obésité, à
l’ostéoporose…
– Pied bot : méditation souhaitable sur l’origine karmique de la
déformation.
– Hallux valgus : outre le port maladroit ou excessif de chaussures à
hauts talons, il faut savoir que cette déformation suit le méridien
chinois de la rate mis en tension. Plutôt féminine, elle est très souvent
liée à un mental agité, voire obsessionnel, et à un possible conflit à la
mère…
– Voir la partie sur les latéralités (p. 120) pour mieux éclairer ce qui peut
affecter pied droit ou pied gauche.
LES CHEVILLES
LES JAMBES
Les fractures
Toute fracture (surtout des membres inférieurs) offre une réelle occasion
de se reposer un bon mois (et donc de réfléchir à sa vie, de changer de
rythme, de revoir son orientation). Plus profondément, toute fracture peut
renvoyer à une entrave à la liberté de mouvement. « Manque d’estime de
moi-même ? Manque de reconnaissance ? Je suis affecté dans les
profondeurs de ma structure, dans mes ressources et valeurs profondes. »
Les crampes
Les varices
Les œdèmes
LES GENOUX
LES CUISSES
– Les cuisses représentent grosso modo les os que sont les deux fémurs
et deux groupes musculaires importants, antérieurs avec les
quadriceps et postérieurs avec les ischiojambiers.
– Constellation associée : le Sagittaire
– Maître : Jupiter
Jupiter est la plus grosse planète du système solaire. Comme telle, elle
symbolise l’expansion, la générosité, voire la pléthore.
La cuisse évoque le mythe grec où Jupiter (Zeus) sauve son enfant
Dionysos du ventre de Sémélé qui avait littéralement pris feu à la vue du
corps dénudé du dieu. Alors ce dernier mit en quelque sorte Dionysos en
couveuse dans sa propre cuisse jusqu’à sa naissance, qui survint trois mois
plus tard.
L’expression populaire « sorti de la cuisse de Jupiter » est devenue
péjorative et désigne aujourd’hui quelqu’un de fat, orgueilleux et
prétentieux.
Pour un vin, « avoir de la cuisse », c’est posséder de la consistance (de la
mâche, de la matière en bouche, de la viscosité) et une certaine nervosité ou
vivacité ; le tout le rend plaisant et généreux.
On dit d’une femme désirable que c’est une « belle en cuisse ». Même si
l’expression est quelque peu tombée en désuétude, la cuisse ou les cuisses
évoquent une part d’érotisme, de promesses sensuelles (« voir sous les
jupes des filles », chante Alain Souchon…). Ce qui se trouve
anatomiquement parlant « entre les cuisses » s’avère une façon pudique de
parler du sexe.
La cuisse est associée à une masse musculaire très puissante, que
cultivent largement les haltérophiles mais aussi tous les pratiquants des arts
martiaux. Un proverbe chinois confirme que « le bras n’a pas la force de la
cuisse ».
Ce qui peut affecter cette partie du corps est de l’ordre des fractures du
fémur, de la cellulite et de rares tumeurs musculaires.
Louise Hay y voit une colère datant de l’enfance, souvent contre le père.
Les fractures
La cellulite
– Cette sphère couvre, pour les deux sexes, les fonctions de reproduction
et les activités génitales.
– Constellation associée : le Scorpion
– Maîtres : Pluton et, secondairement, Mars
La stérilité
L’impuissance
Les cancers
LE PÉRINÉE
Cette partie terminale du côlon (ou gros intestin) fait partie, avec le
périnée et les organes sexuels externes, des zones facilement associées à
l’impur, au malséant, au licencieux… Triste destinée pour ces organes mal-
aimés, « mal habités », dit-on aussi en psychologie. Les troubles rencontrés
sont courants :
– hémorroïdes externes et internes ;
– anite (inflammation anale), rectite (inflammation du rectum),
rectocolite hémorragique ;
– sigmoïdite, polypes et cancers du sigmoïde.
La maladie de Crohn
Difficile enquête où je vais devoir me confronter à une « lutte intestine »,
celle qui oppose mon intégrité psychobiologique (on nomme cette identité
le Soi biologique en médecine) et mes propres cellules intestinales,
paradoxalement mal décodées comme du non-soi ! Toutes les maladies
auto-immunes invitent à ce questionnement : « Pourquoi lutté-je contre
moi-même ? Pourquoi cette confusion entre les indésirables (normalement,
le non-soi) et mon corps, mon organisme ? Dévalorisation profonde ?
Culpabilité bien cachée ? »
Souvent, on découvre un conflit à l’autorité parentale, un chantage
affectif maternel, un racket altérant la liberté personnelle… Mais, si le
décodage s’avère relativement aisé lorsqu’il implique les parents et leurs
préjugés, c’est plus compliqué quand il s’agit d’une lignée (processus
transgénérationnel), et l’aide d’un professionnel s’impose.
L’appendicite
L’INTESTIN GRÊLE
Il gère l’équilibre entre le pur et l’impur (le tri), ce que je rejette et ce que
je garde (assimilation).
L’entérite infectieuse, souvent complice de débâcles stomacales, devient
alors gastro-entérite ; sa forme estivale est la turista…
Des spasmes et des alternances du transit peuvent se partager entre le
gros intestin et le grêle.
La maladie de Crohn se développe beaucoup en nos sociétés stressées et
industrialisées. À dominante inflammatoire et dégénérative, le syndrome
possède une part génétique, peut-être un facteur viral, et une constante
dysbiose.
LE DUODÉNUM
L’ESTOMAC
– Le sac en forme de haricot qui reçoit les aliments et qui va les digérer
mécaniquement (malaxage) et biochimiquement (sucs gastriques et
acide chlorhydrique).
– Constellation associée : le Cancer
– Maître : la Lune
– En médecine chinoise, l’estomac est l’atelier (yang) de la rate (yin) :
ce couple gère le feu digestif essentiel à la santé.
L’ŒSOPHAGE
LE FOIE
LE PANCRÉAS
LA RATE
LA COLONNE VERTÉBRALE
Crâne = le Golgotha
Occiput : porte du Ciel
5 lombaires
Archétypes* : le pentagramme, les 5 éléments chinois, l’Homme de Vitruve, les 5
vertus christiques…
Le crâne et l’occiput
Les sept cervicales, quant à elles, sont une ultime échelle liant l’humain
au divin, le laïc au sacré, le profane (littéralement « devant le temple ») au
temple proprement dit. Comme l’échelle de Jacob 7, elles sont ascendantes
mais aussi descendantes, tel un pont liant l’unité spirituelle (crâne) à l’unité
de la communauté (les douze dorsales ou thoraciques). On songera à la
richesse du chiffre 7 tellement archétypal, et toujours porteur d’une part de
magie spirituelle, d’un lien du visible à l’invisible, du grossier au précieux :
les sept couleurs de l’arc-en-ciel, les sept notes de musique, les sept jours de
la semaine, la septième année dite sabbatique, les sept branches du
chandelier hébraïque, ou ménorah, les sept chakras majeurs, les sept sceaux
et les sept Églises de l’Apocalypse de Jean, les sept chevaliers affrontant
Galaad pour défendre les sept pucelles dans la légende arthurienne du
Graal… Ces vertèbres et leurs soucis expriment fréquemment notre
direction de vie, nos choix et regards importants portés sur le monde. Arche
d’alliance entre le moi et le Soi peut-être, mais fonctionnelle ou pas ?
Elles sont en lien avec les côtes pour former la cage thoracique, lieu qui
préserve les organes du pôle rythmique que sont le cœur et les poumons.
Au-dessus d’elles sont les vertèbres liées aux organes du pôle
neuropsychique (encéphale, ouvertures de la face) et, au-dessous, celles
liées au pôle métabolique (digestion, assimilation, élimination et
reproduction). Selon Rudolf Steiner, de l’harmonie de ces trois pôles
dépend la santé. Dans cette perspective originale connue de la médecine
anthroposophique*, les dorsales peuvent souffrir des multiples tensions et
conflits opposant le pôle supérieur (le mental, la pensée, la raison et les
interdits) et l’inférieur (le ventre et l’univers des désirs et des passions) :
c’est une approche qui pourra éclairer des troubles comme l’asthme ou les
cardiopathies et leur large dimension émotionnelle et relationnelle.
Le symbolisme du nombre 12 reflète une unité sociale, un groupe
fonctionnel, un système communautaire. Il est à la fois profondément
humain et profondément cosmique. On y retrouve les douze heures du jour
ou de la nuit et les douze mois de l’année pour l’unité du temps terrestre, les
douze constellations pour l’unité zodiacale, mais aussi bien les douze tribus
d’Israël, les douze ouvertures du corps féminin, les douze disciples du
Christ, les douze étoiles qui couronnent la Femme de l’Apocalypse de Jean
ou même les douze phalanges qui sont opposables au pouce dans la main
humaine…
Le sacrum
Le coccyx
La scoliose
La scoliose peut faire réfléchir au conflit, souvent présent dans l’enfance,
entre l’attachement à notre horizontalité (passivité, animalité, victimisation,
sommeil…) et la verticalité (se redresser vers le ciel, gérer sa dignité, son
adulte en devenir, son lien responsable avec le Soi, ou plus simplement avec
l’autorité paternelle). Se relâcher, c’est abandonner le corps à la pesanteur,
limiter ses efforts, s’avachir sur son bureau… En forme de « s » dans son
aboutissement pathologique complet, la scoliose peut s’avérer grave à cause
des organes thoraciques et abdominaux qui souffrent de compressions : on
parle de gibbosité en songeant au bossu de Notre-Dame de Paris… Certes,
on peut impliquer dans le processus à l’origine des scolioses des carences
nutritionnelles (protéines, calcium, silicium, vitamines D et K2…), tout
autant que de mauvaises postures ou un manque de gainage musculaire,
mais ce serait négliger le contexte familial dans lequel le phénomène se
développe. Certaines situations précoces et graves peuvent aussi évoquer
une origine karmique à la maladie…
Une colonne vertébrale droite reflète une démarche où l’incarnation
résiste aux penchants droits ou gauches (mental/émotions, père/mère…).
Elle est celle d’un adulte prêt à l’ascension courageuse de son arbre de vie
et en son juste milieu 8.
La cyphose
La lordose
La lordose, ou cambrure excessive des reins, montre une antéversion du
bassin, ce qui positionne le sexe vers l’arrière (tel le chien qui met sa queue
entre ses pattes en cas de soumission ou de peur). Le ventre et son gainage
musculaire se relâchent. Les spasmes chroniques du très puissant muscle
respiratoire qu’est le diaphragme sont fréquemment à l’origine du processus
(on parle alors de « lordose diaphragmatique »), particulièrement
psychosomatique. En effet, un plexus solaire chargé d’angoisses et de
tensions maintient le diaphragme en position haute (d’expiration), ce qui
tire les lombaires vers l’avant et creuse les reins. Les piliers postérieurs du
diaphragme descendent alors jusqu’à la deuxième, troisième et parfois
même quatrième vertèbre lombaire, tels les haubans d’un mât de navire
bien souvent malmenés. En compensation s’installent en quelques mois ou
années la cyphose, puis la lordose cervicale (ou ensellure).
Seule une approche somato-émotionnelle travaillera la cause première
des cyphoses, bien mieux que tous les exercices de kinésithérapie ou les
corsets thérapeutiques 9… Les injonctions parentales si souvent répétées
comme « tiens-toi droit ! » ou « redresse-toi ! » ne peuvent être entendues
par l’intelligence corporelle, et les psychanalystes confirmeront combien le
« ça » est puissant pour organiser les troubles psychosomatiques ! Faute de
mieux, il est sage de dire plutôt, aux enfants et aux adolescents concernés,
de « tirer le fil » du crâne et de « pousser la terre en marchant » : comme
une marionnette, il s’agit de se sentir doucement tiré par le sommet arrière
du crâne, ce qui fait un peu rentrer le menton, tout en se lâchant vraiment
dans les épaules. Les pratiquants du zazen (méditation assise propre au
bouddhisme zen) font l’expérience quotidienne de cet alignement tranquille,
où tout le bas du corps est lié à la terre, telle une imposante mais paisible
montagne, et où seul le fil en question porte à la verticalité…
L’arthrite
L’arthrose
L’arthrose est bien plus froide, sèche, scléreuse et dégénérative (et parfois
même d’origine auto-immune). Comme telle, elle signe un processus plus
ancien et devenu chronique mais, pour autant, resté sans solution.
La coxarthrose
La tuberculose osseuse
La spondylarthrite ankylosante
Le rachitisme et l’ostéomalacie
Les hanches répondent au besoin descendant (yin de yang vers yin de yin)
de lier le tronc aux membres inférieurs (pour l’assise ou pour la marche) et,
inversement, pour ce qui est des informations inconscientes, au besoin
montant de la terre et des membres inférieurs vers le tronc. Elle révèle la
force ou la faiblesse de nos appuis, de nos liens à la terre et à l’incarnation,
plus souvent dans la sphère du relationnel et de la sexualité.
L’oreille entend de la même façon « hanche » et « anche », amusant
rappel à la mythologie, où l’on a pu utiliser le fémur comme instrument de
musique.
Attention, les coxalgies ne sont pas des douleurs du coccyx, comme le
mot pourrait le laisser supposer, mais des affections souvent tuberculeuses
de la hanche.
LES REINS 13
À hauteur anatomique des reins (les deux premières lombaires), une ligne
de force prend naissance (le Tan Dien postérieur en Extrême-Orient) qui
fleurit sous le nombril sous la forme du hara (Dantian ou Tan dien
postérieur). Proche de l’omphalos grec (littéralement, « nombril »), le hara
puise en quelque sorte sa puissance (le Qi) dans les reins. Mais, dans cette
perspective énergétique et résolument archétypale, il s’agit plus des glandes
surrénales que des reins proprement dits…
Les pathologies rencontrées sont les inflammations et infections rénales
(de type néphrites et pyélonéphrites), les insuffisances rénales pouvant
mener à la dialyse, le diabète insipide, les calculs et les cancers des reins.
Les pyélonéphrites
Idem, mais souvent plus graves, donc plus anciennes et/ou profondément
ancrées dans le subconscient.
Les tumeurs
Les tumeurs cancéreuses signent une fois encore le plus haut degré de
gravité dans la somatisation. L’expérience clinique nous rend ici très
prudents car on ne peut qu’inviter à des réflexions ouvertes tellement les
profils sont parfois différents : syndrome du combattant épuisé par des
années de lutte (en famille, dans l’entreprise…) ? Incapacité majeure à
rendre la justice en sa vie ? Deuil de ses potentiels vénusiens, c’est-à-dire
porteurs de créativité artistique, d’esthétisme ? Dans ce dernier cas, on note
assez souvent des troubles affectant l’axe reins/thyroïde…
Les Chinois y voient le siège du Ché, énergie (Qi) dite ancestrale, siège
de la puissance positive de notre lignée et de nos capacités personnelles
adaptatives. Le rein gauche est particulièrement concerné (un peu plus haut,
il est plus yang), alors que le droit est plus en lien avec la fonction
émonctorielle urinaire. Prendre soin de ses reins, c’est rendre hommage aux
ancêtres, accueillir la combativité, l’entreprise, la réalisation et le courage
au quotidien. Certes, lorsque le discernement vient à manquer (personnes
trop téméraires) ou que le contexte démultiplie les sources de stress, les
processus adaptatifs sont dépassés et cèdent la place aux grandes peurs.
Sans compliquer l’explication énergétique, notons que la vessie est l’organe
dit « atelier », le yin du rein qui est l’organe « trésor ». Sans trésor en
profondeur (filon d’or ou de diamant), à quoi bon s’activer en surface de la
mine ?
Les clés favorables au rein chinois (les surrénales) sont le port de couleur
noire ou bleu sombre, les aliments plutôt salés, la nuit, le froid, la saison
hivernale, la position allongée…
Quant aux troubles des glandes surrénales, il s’agit surtout des
insuffisances (hypocorticisme simple et maladie d’Addison), le syndrome
de Cushing (hyperactivité) et diverses tumeurs (dont l’adénome* de
Conn).
La maladie d’Addison
La maladie d’Addison se nommait jadis « maladie bronzée » à cause du
teint qu’elle donne à la peau. L’insuffisance auto-immune des surrénales
génère un tableau clinique grave où domine l’asthénie, l’anorexie, la
dépression, la frilosité, l’hypoglycémie et l’hypotension artérielle… Le
questionnement est le même que précédemment mais bien plus exigeant,
radical et incisif. L’accompagnement d’aidants empathiques et
professionnels est ici indispensable car l’énergie nécessaire à l’auto-analyse
manque cruellement.
Le syndrome de Cushing
Les cancers surrénaliens, ici encore, mettent en relief une atteinte très
profonde de l’organe concerné.
LES POUMONS
Les bronchites
De quelle nature est mon chagrin (je dois tout d’abord le contacter,
l’identifier bien entendu) ? Ma peine ? Mon(mes) deuil(s)
difficile(s) à traverser ? De quel(s) objet(s) d’amour suis-je privé,
séparé, distancié ? A qui (et/ou à quoi) me suis-je tant attaché et
qui est détruit, menacé, perdu, décédé ?
L’asthme d’effort
L’asthme allergique
La tuberculose pulmonaire
Il est tentant de décliner ici les mêmes questions que pour la tuberculose,
et c’est en effet une entreprise qui s’avère souvent fertile en libérations
émotionnelles et en indispensables pacifications avec soi ou les autres.
Toutefois, une autre lecture émerge lorsque l’on fouille l’histoire de ce
cancer proprement dit : la peur de mourir. Souvent, on parle de métastases
pulmonaires secondaires à un ou d’autres cancers ; or, l’impact du
diagnostic est terriblement difficile à accueillir. Il engendre de grandes
peurs qui se manifestent par des tumeurs (dites taches rondes pulmonaires).
Les rhumes, ou rhinites, sont aussi courants que rapidement guéris, avec
ou sans médicaments, on le sait. Ils ne sont pas non plus réservés à l’hiver,
et l’on peut impliquer la présence de très nombreux virus, d’allergènes
(pour les rhinites dites saisonnières ou allergiques), de facteurs irritants
(polluants environnementaux ou professionnels, tabac…) ou pas.
Les rhinopharyngites
Les angines
Les cavumites
LE CŒUR
Toutes les traditions lui associent la vie, l’ancrage d’un principe vital
magique ou spirituel, ou en font le siège de l’Ame. L’ésotérisme oriental
nomme sutratama le fil énergétique très subtil qui vient de l’Ame
(spirituelle) et maintient le véhicule corporel en vie tant que c’est
nécessaire. À la mort, décidée par l’Ame, le fil est coupé et, même si l’on
parvient à maintenir médicalement en vie des personnes dans le coma,
aucun retour ne sera possible.
Comme le ventre est le siège de l’enfant intérieur et de ses émotions, le
cœur (la poitrine) est celui de l’adulte et de ses affects, celui du moi
social, de la reconnaissance et de la gratification. La poitrine est le lieu
où l’on fixe les médailles, celui où les primates se frappent ostensiblement
pour affirmer leur présence et leur pouvoir dans le groupe…
Le cœur est protégé par son enveloppe, le péricarde, et possède sa propre
vascularisation : les coronaires en particulier. Il se caractérise aussi par une
exceptionnelle autonomie énergétique (tissu nodal, nœuds et faisceau de
His), son innervation intrinsèque, et par un rayonnement
électromagnétique (perceptible à plusieurs mètres du corps et cinq mille
fois plus puissant que l’encéphale) tout aussi remarquable. Même si ce
système est modulé par des voies extrinsèques (ortho et parasympathiques),
les battements automatiques cardiaques conservent encore leur part de
mystère en physiologie humaine…
Depuis quelques années, on découvre des fonctions endocriniennes et
magnétiques au cœur : avec ses quarante mille neurones spécifiques, il
envoie au cerveau plus d’informations qu’il n’en reçoit ! Son champ
électromagnétique véhicule très probablement de ce fait des émotions, tel
un autre cerveau… De toute évidence, on mesure aujourd’hui l’importance
du cœur sur un mode plus intégratif, et c’est très bien.
L’Inde associe au cœur le quatrième chakra, dit Anāhata (« le
Victorieux », « le précieux son non frappé »). Ce haut lieu éthérique siège
au centre de l’axe énergétique avec trois chakras au-dessus de lui et trois
au-dessous. Son symbole est l’étoile à six branches, ou sceau de Salomon,
l’archétype de Vishnou (deuxième divinité de la trinité indienne), de la
naissance du Christ et de l’amour cosmique (et également personnel) au
sein de la « crèche du cœur », ainsi que de la rose « qui fleurit au centre de
la croix »…
On retrouve le chiffre 6 en son analogie avec le Soleil, Tipheret en
kabbale, situé au centre de l’arbre de vie sephirothique (la sixième sphère
rayonnant beauté et harmonie) : songeons que la nidation (rencontre ovule-
spermatozoïde devenant fonctionnelle) se fait au sixième jour, que l’enfant
sera construit au sixième mois, et que l’Homme fut créé le sixième jour
biblique…
La médecine chinoise en fait un organe « Trésor » (yin, profond) le
partenaire de l’intestin grêle, son « atelier ». Elle l’associe à l’été, à la
couleur rouge, à l’élément feu, aux saveurs grillées, fumées ou
empyreumatiques*. Important : le cœur est dans cette connaissance
traditionnelle le siège de l’Âme (le Shen), théâtre de l’amour-sagesse, de la
joie, du pardon et de la compassion. Il n’est pas directement concerné par
les pathologies cardiaques, le muscle cardiaque et la circulation, qui sont
sous la dépendance d’un système nommé « ministre du cœur » (et
maladroitement traduit souvent par « maître du cœur »). C’est très
précisément le contraire et, si ce système peut en effet s’associer au
péricarde et à la vasodilatation (on dit « ministre du cœur et sexualité »), le
cœur demeure « l’empereur » pour les Asiatiques, « le précieux », « le
vertical »…
La Bible utilise une petite dizaine de fois le mot « cœur » au sens
organique, pour plus de mille au sens symbolique ou métaphorique. Dans
l’islam, il est le « trône de Dieu ». Pour les chrétiens, il contient ou
préfigure le Royaume…
Bien des pages pourraient compléter la découverte du cœur et de ses
mille et une connotations poétiques, philosophiques, romantiques,
énergétiques ou symboliques.
Quant aux pathologies, elles sont grosso modo chroniques et assez
bénignes, comme les troubles du rythme, les altérations de la tension
artérielle ou les souffles, mais aussi bien plus graves comme les
endocardites, péricardites, coronarites et thromboses génératrices des
infarctus du myocarde…
La tachycardie
Les arythmies
Une certaine anarchie dérègle mon cœur : « Vers quoi cela peut-il mener
ma réflexion ? » « L’arché », c’est l’ordre, « l’an-archie », son déni ou son
contraire. « Quelle rébellion s’est donc emparée de mon cœur ? Cœur
rebelle contre quoi, contre qui ? Pourquoi ne pas me réconcilier avec le
rythme harmonieux de la vie que connaît mon Âme ? Me laisser bercer au
rythme harmonieux de la vie ? »
Les hypotensions
Ils peuvent être souvent innés et quelquefois acquis chez l’adulte. Les
premiers se normalisent spontanément ; les seconds peuvent orienter vers
une insuffisance cardiaque plus sérieuse. Dans les deux cas, pensons en
termes de fragilité et d’appel à l’intention des proches.
Les péricardites
L’infarctus
LA CIRCULATION ARTÉRIELLE
Elle peut être affectée par des troubles de l’hypertension (vus plus
avant) mais aussi par des affections telles que l’artérite, des caillots (ou
emboles, ou thrombus), un anévrisme, de l’athérosclérose ou
artériosclérose, ces dernières s’associant à des troubles métaboliques, à
l’oxydation et à l’avancée en âge. Le sang artériel était dit « sang rouge »
jadis…
LA CIRCULATION VEINEUSE
– Elle correspond au sang revenant de tous nos tissus vers les poumons
puis le cœur. Ce sang, dit jadis « bleu », est riche en déchets du
métabolisme, en CO2 notamment.
– Des liens sont possibles avec les constellations du Verseau et d’Uranus
(jambes, mollet), de la Vierge et de Mercure (flux, purification,
triage), voire du Sagittaire et de Jupiter (expansion, transcendance du
bas du corps comme chez le Centaure…).
– En médecine ayurvédique, on constate un excès de l’énergie Kapha
(terre + eau, lourdeur, stases, lenteur), en correspondance avec le yin
chinois.
LA THYROÏDE
L’hypo-fonctionnement
Les mêmes réflexions, mais avec une dimension d’alarme bien plus
importante. Conflit de ne pouvoir agir assez vite, avoir les mains liées alors
qu’il faut aller vite. On pensera, par exemple, au glissement psychologique
de la déprime à la démission, puis au sabotage dépressif…
De l’épaule au bout des doigts, ils sont nos alliés dans l’action (le faire),
mais aussi la défense ou la protection (le combat, les coups), le commerce
(faire commerce, échanger, monnayer), la communication sociale (faire des
signes, se serrer la main…), sans oublier la tendresse (les étreintes)…
Membres corrélés au signe des Gémeaux (jadis les jumeaux Castor et
Pollux), leur maître Mercure/Hermès fut à la fois messager des dieux,
détenteur de connaissances secrètes (l’hermétisme) et patron des
commerçants, des menteurs et des voleurs…
L’épaule est faite des ailes, ou omoplates, de la clavicule, ou clé, mais
aussi de l’humérus, os propre du bras, signifiant « humide » ou « humus »,
comme prêt à fertiliser nos actions ou nos bras tendus pour recevoir l’autre,
montrer le chemin… On pourrait dire que l’épaule est comme un soleil d’où
jaillit le rayon du membre supérieur : seule articulation pouvant s’ouvrir à
360°, comme la course du soleil en trois cent soixante-cinq jours… Et le
radius lui-même, qui prolonge l’humérus, signifie littéralement « rayon ».
Le dieu égyptien Amon-Râ était représenté souvent par un soleil dont les
rayons étaient des mains… et les peintures du bouddha Avalokitésvara,
associé au Grand véhicule, le montrent avec mille bras exprimant sa
compassion.
Les affections fréquentes regrouperont les fractures et blessures, les
troubles inflammatoires (arthrite, tennis-elbow) ou dégénératifs (arthrose),
les paralysies et amputations…
Les inflammations
Les arthroses plus ou moins invalidantes sont une étape plus avancée,
froide et scléreuse (dite « saturnienne »), qui tend à limiter la mobilité ou à
en préparer le deuil.
LA NUQUE, LE COU
LES MAINS
Les inflammations
Comme pour les autres articulations du corps, les inflammations
(arthrites) peuvent évoquer un excès de feu (yang), d’action immodérée
et/ou de colère. Elles invitent à ralentir, à suivre la loi des alternances
travail/repos.
Les arthroses
On peut les confondre tant elles affectent toutes deux la mobilité des
doigts et peuvent les déformer. Toutefois, le syndrome du canal carpien
touche les nerfs moteurs fléchisseurs des doigts, nerfs trop serrés dans leur
gaine pour des raisons mécaniques, traumatiques, kystiques… Cette
affection se développe volontiers avec le diabète, l’hypothyroïdie,
l’insuffisance rénale ou la polyarthrite rhumatoïde, vue plus haut. Presque
tous les doigts, dont le pouce, perdent peu à peu leur sensibilité et leur
mobilité…
Quelque chose se rétracte en moi, se rétrécit, se sclérose peu à peu et
affecte mes actions. Puis-je l’identifier ? Un processus émotionnel est-il
figé, prostré, inhibé au point de ressembler à un froid sec inhibiteur en mon
corps ? Mes nerfs ne commandent plus correctement mes mains ; or mon
système nerveux reflète ma psyché, et notamment mes pensées, mon
mental : mes pensées deviendraient-elles froides et sèches ? À méditer !
En cas de maladie de Dupuytren, on évoque une possible hérédité
(mais l’on sait que l’épigénétique active, ou non, nos gènes.), ainsi qu’un
terrain perturbé par l’alcool, le diabète ou des pneumopathies…
Comme pour le syndrome du canal carpien, mes doigts se rétractent ; au
point de ressembler à des griffes peut-être ? Sinon, suffisamment pour me
faire réfléchir à ce que je ne peux pas lâcher ? À quoi ou à qui m’agrippé-je
désespérément ?
Si un seul doigt se déforme, il n’est pas interdit de réfléchir aux énergies
qui l’habitent (en médecine chinoise), voire aux archétypes astrologiques.
En yoga, la science des Mudras, ou gestes sacrés, n’ignore pas ces
correspondances…
Ils poussent au moins trois fois moins vite que ceux des mains mais sont
en lien symbolique identique avec « nos griffes » passées. On pourra
développer globalement les mêmes questionnements à leur sujet, sachant
que d’autres méridiens chinois y sont liés (voir ci-dessous).
Les ongles incarnés se rencontrent assez souvent chez des personnes dont
les blessures passées sont graves, mais pour autant pour ainsi dire oubliées.
Je retourne une somme de violence (mes griffes) contre moi et cela
déstabilise mon aplomb.
Nombre de personnes ayant subi des violences ou abus sexuels dans leur
passé se rongent les ongles et développent des ongles incarnés, voire des
panaris associés… Je médite et cherche de l’aide auprès d’un professionnel
psychothérapeute (et d’un podologue !)
Les panaris
– Le pouce est lié aux appuis de tout l’édifice corporel, aux traces que je
peux laisser sur le sol, dans le monde. Son lien avec la rate et le foie
suppose de fréquents conflits entre la tête (le mental, la raison) et le
cœur (les désirs et émotions) ; voir la partie sur le pied pour les hallux
valgus (p. 157).
– Le deuxième orteil est celui qui oriente très exactement la direction
de la marche. Lié à l’estomac, il peut nous rappeler ce qui est
éprouvant à digérer en chemin…
– Le troisième orteil n’est pas directement lié à un méridien chinois
mais on lui attribue un possible questionnement vis-à-vis de l’avenir et
des doutes qui y sont liés.
– Le quatrième orteil rappelle telle difficulté de choix ou de conflits
d’injustice, de bile à cracher… comme le méridien de la vésicule
biliaire qui lui est attaché.
– Le cinquième orteil, enfin, en lien avec la vessie, peut chuchoter un
souci d’élimination difficile (souvent de telle relation toxique plutôt
que d’urine !) mais il peut aussi confirmer une période d’insécurité
inconfortable.
LE CRÂNE
Globalement
Ai-je bien la tête sur les épaules ? Quel mauvais usage de ma tête puis-je
faire ? En cas de soucis, suis-je trop ou pas assez fonceur, meneur,
enthousiaste, pressé, fougueux, tête la première ?
Les migraines
Les encéphalites
Les fractures
Les dépressions
La maladie d’Alzheimer
LES DENTS
LES YEUX
La myopie
L’astigmatisme
Je vois plutôt flou, j’ai du mal à bien aligner des lignes parallèles,
mes images du monde ne sont pas fixes… et je suis souvent myope
ou hypermétrope de surcroît. Déformer le réel présente-t-il des
intérêts secondaires pour moi ? Des bénéfices cachés ?
La presbytie
Le nystagmus
L’hippus
Les strabismes
Les orgelets
La cataracte
Le glaucome
Qu’en est-il de cette pression qui menace mes yeux, ma vision, mon
nerf optique ? Qu’est-ce qui ne se détend pas bien, qui résiste à la
relaxation de mes yeux ? Un souvenir visuel ? Une peur de voir
quoi ou qui ? Un certain « principe de réalité » est-il devenu
tellement insupportable en ma vie ?
LES OREILLES
LE NEZ
Se casser le nez
J’attaque mon flair, mon olfaction et ça ne sent pas bon dans ma
vie en ce moment ? Aurais-je quelqu’un dans le nez ? (Pourquoi ne
pas explorer les autres expressions ci-dessus ?)
L’anosmie
L’ozène
Les polyposes
Les polyposes peuvent orienter vers la personne (ou ce) qui m’encombre,
ce par quoi (ou qui) je me laisse envahir, voire squatter, et qui limite mon
souffle, ma prise d’air et de vie, m’empêche de respirer et de me sentir libre
et en paix…
Les sinusites
Lunaire Solaire
Féminin Masculin
Yin Yang
Anima Animus
Les aphtes
La glossite
L’halitose
Quand elle dure plus que les quelques heures suivant la consommation
d’aliments forts (ail, oignon, fromage fort…), elle correspond à un désordre
du microbiote ; les fermentations et putréfactions intestinales remontent en
effet par voie sanguine et surtout lymphatique vers les poumons, et leurs
molécules sont expirées. L’hygiène dentaire est aussi à remettre en cause
assez souvent.
Le bec-de-lièvre
Les candidoses
L’herpès
L’herpès des lèvres, d’origine virale, peut être associé ou non à son
expression génitale. Ces « boutons de fièvre », comme on les nomme
encore souvent, sont très contagieux. Le stress, le soleil et certains
médicaments peuvent favoriser sa réactivation.
Les cancers
LES CHEVEUX
L’alopécie
Perdre ses cheveux est naturel (40 à 60 par jour selon les terrains, les
ethnies et les saisons) mais l’alopécie menaçant de calvitie demeure un
souci pour bien des hommes et surtout des femmes.
Les pellicules
La teigne
La trichotillomanie
La manie de s’arracher les cheveux, ou trichotillomanie, est assez
fréquente chez les adolescentes anxieuses ou glissant vers un profil
névrotique préoccupant.
LE MENTON
Attention
Pour être solidement validés, ces indices de morphologie mériteraient clairement des
études sur des cohortes importantes, car les présents commentaires ne reflètent ici que
de simples tendances rapportées par la tradition, dont les croyances populaires, la
physiognomonie et l’astrologie…
LA PEAU
Les desquamations
Les dermatoses sèches, type eczéma sec, sont courantes et souvent liées à
l’expression de mon conflit de contact (trop ou pas assez) ; mon conflit est
proportionnel à l’étendue de ma dermatose, mais aussi, s’il est associé à un
prurit, à des grattements jusqu’au sang. Sa localisation peut m’aider à
mieux comprendre. Souvent aussi : ma mère m’aime-t-elle encore ? Je
crains la séparation…
Les dermatoses bulleuses évoquent grosso modo les mêmes conflits que
les dermatoses suintantes, mais avec une fréquente composante virale (mes
défenses sont affaiblies).
L’exemple de la dyshidrose oriente vers ce qui me sort des mains et des
doigts (colère, stress, dégoût, honte).
Le zona est une résurgence du virus de la varicelle mais, avec elle, il
s’agit d’une réactivation d’une émotion mal gérée dans l’enfance. Il n’est
vraiment pas toujours aisé de le décoder.
Les allergies
L’hyperséborrhée
L’hyperséborrhée, qui fait luire le visage (nez et front, surtout) et graisse
les cheveux, exprime presque toujours une dyslipidémie avec un excès de
cholestérol sanguin. Gare aux désordres nutritionnels et aux insuffisances
hépatobiliaires, soit, mais aussi : Pourquoi tant de cholestérol ? N’est-ce pas
le précurseur de mes hormones sexuelles ? Un débordement cutané de
libido ? D’appel à devenir père ou mère ? De crainte de ne plus l’être ?
Les mycoses
Je montre combien une part de moi est telle une cave infestée de
champignons, combien je manque d’air, de lumière, de soleil… et
combien je peux me laisser squatter par l’indésirable (quoi ou
qui ?).
Les acnés
Le vitiligo
La thyroxine
La progestérone
Les œstrogènes
La testostérone
La cortisone (cortisol)
L’adrénaline
La mélatonine
La DHEA
Suis-je préoccupé par mon avancée en âge ? Quel est mon rapport
au temps ? Dit-on de moi que je vieillis bien ou pas ? Puis-je me
projeter dans l’avenir en santé et vitalité ? Suis-je déprimé, ma
libido en berne, manquant de combativité et de réactivité ? Si oui,
j’explore les pourquoi et pas seulement les comment… !
Le glucagon/insuline
La prégnénolone
La prolactine
L’ocytocine
Attention
Voici en peu de mots ce qui est conseillé par les maîtres à leurs disciples
en difficulté de santé.
– Seuls les initiés ayant intégré la troisième initiation sont à l’abri de
la maladie. Or, le chemin est long, sachant que chaque étape signe la
parfaite maîtrise d’un plan, donc d’un véhicule : physique, émotionnel
puis mental, respectivement pour les initiations 1, 2 et 3…
– Demeurer le plus possible dans l’impersonnalité. Ce bon conseil fait
penser au bon sens de l’un des fameux accords toltèques* : « N’en
faites jamais une affaire personnelle ! » Encore et toujours : « Ego, es-
tu là ? »
– Se focaliser courageusement du centre solaire (cerveau
neurovégétatif et grande centrale des émotions) au centre frontal
(sixième chakra). Cette « focalisation », assidûment associée à la
méditation et au placement de la conscience entre les deux sourcils,
éveille peu à peu le « centre du veilleur », le « témoin » qui observe, la
pensée claire et libre, mais « non affectée ». Avec le temps, la
focalisation (telle une discipline) fera que l’on sera « polarisé » sur le
centre mental, et non plus sur le centre émotionnel (plexus solaire).
Un très profond et indispensable changement de point de vue qu’il
ne faut surtout pas confondre avec de l’indifférence.
– Compenser une fatigue souvent constatée (un disciple est engagé dans
bien des actions et, si son temps est compté, ses loisirs sont souvent
négligés) par des temps d’ensoleillement matinal (sans coups de soleil
pour autant), une saine alimentation végétarienne, du sommeil ajusté
aux besoins et un discernement préservant du surmenage.
– Comprendre que tout karma négatif peut être neutralisé par une
quadruple consécration active :
1. une volonté acceptante (sachant cultiver le contentement) ;
2. un amour coopératif (en lien avec son groupe spirituel) ;
3. une franche reconnaissance de ses responsabilités (et non pas de
sa culpabilité !) ;
4. des activités conjointes impersonnelles, donc altruistes et pour le
seul bien de l’humanité.
– Se préserver de tout fanatisme.
– Négliger les panacées ; penser à des soins « intégratifs »
pluridisciplinaires et jamais exclusivement limités au tout « naturel »
dans les cas graves.
LA MAÎTRISE
UN JEU
Ondul’acorps
vu tout au long de ce modeste essai, il n’est pas une seule lecture
et de la maladie ; pas plus de pensée unique que de dictionnaire
des maladies assurant un décodage infaillible. Chez l’enfant, il est facile de
constater un appel au savoir, à la compréhension de toute chose, et le
questionnement des parents se satisfait largement d’une réponse, même
étroite. La quête de sens de l’adulte s’avère bien plus exigeante et, à
mesure que le champ de ses expériences s’ouvre à divers possibles, il peut
intégrer de nouveaux paradigmes. Il peut même parfois, si les sciences
quantiques ne l’effraient pas trop, entrevoir des paradoxes où plusieurs
vérités se superposent : menacés par le jeu aléatoire des électrons, et comme
« le chat de Schrödinger* est alors mort et vivant », nous pouvons décoder
plusieurs réalités, tels plusieurs univers parallèles coexistants…
Au cours de notre voyage dans le corps et ses troubles, le bon sens nous
a semblé une piste privilégiée, tout particulièrement lorsqu’il a permis de
laisser s’exprimer notre cerveau le plus archaïque (l’intelligence reptilienne
en chacun) : du sens paraît alors émerger au cœur de notre biologie et de
nos instincts de survie ou d’adaptation ; telle est la logique du symptôme.
La réflexion fut une aide également, guidant une pensée en quête de
cette lumière qui fait dire « je vois », ou « c’est clair » ! Les strates du
savoir demeurant innombrables, nous avons résolument opté pour des
référentiels archétypaux plutôt que des courants de pensée issus des modes
ou des imaginations audacieuses et, jamais, ils ne furent contrecarrés par la
raison ou la recherche dite scientifique.
Enfin, c’est vers les ressources infinies de l’intuition que nous
souhaitons orienter le lecteur comme les thérapeutes, cette petite voix qui
trace la voie la plus juste, à l’écoute de l’Âme. Jamais elle ne s’opposera à
l’instinct, car le message descendant du Soi ne peut diverger de celui qui
monte de nos cellules. Tous deux se rejoignent dans le cœur, symbolisé par
le sceau de Salomon : le triangle descendant fusionne alors avec le triangle
ascendant et tous deux rayonnent pour un accomplissement aussi joyeux
que paisible et thérapeutique.
CONCLUSION POUR UNE APPROCHE
RÉSOLUMENT INTÉGRATIVE : RESPECT,
HUMILITÉ ET RELATION D’AIDE HOLISTIQUE
S’illigne
est possible de concevoir l’évolution humaine non pas comme une
simplement verticale mais comme un vortex, une spirale
ascendante, il devient possible d’entrevoir une part du mystère de la
maladie vécue sur différents plans de la conscience. De l’implacable et froid
destin, on passe aux grâces de la Providence. Mieux, de la position de
malade victime, on s’élève vers celle de rédempteur, où telle affection prend
un tout autre sens initiatique ou salvateur pour ses proches, voire pour tout
le genre humain…
Les astrologues sérieusement formés connaissent ces subtilités qui font
qu’une même carte du ciel n’est pas interprétable de la même manière chez
plusieurs personnes de niveau spirituel différent. Chez certaines, tel aspect
dit négatif des astres (on parle d’« opposition », de « carré », de planète
« mal aspectée » ou « altérée » dans telle « maison ») sera signe de vrais
soucis, d’épreuves incontournables dans la vie. Chez certaines, ces aspects
seront autant d’occasions de grandir en conscience, de s’améliorer,
d’évoluer. Chez d’autres, enfin, ces aspects seront tout à fait transcendés,
pour n’en garder que la trame symbolique permettant de puiser le meilleur
de ce que le ciel (le Soleil, les astres, les constellations, la source) peut
offrir sur le chemin pédagogique des maîtres, sous forme de potentiels de
sagesse ou de compassion à incarner…
A
Achille (troubles du tendon d’) 159
Acidose 194, 201, 281
Acné 201, 269, 271
Acouphène 115, 245, 256-257
Addison (maladie d’) 76, 207-208
Allergies cutanées 201, 271
Alopécie 76, 265-266
Alzheimer (maladie d’) 242, 247
Âme (bleus de l’) 243
Aménorrhées 111, 167
Anémie 76, 85, 111, 182, 201
Angine 76, 201, 212, 217-218, 223, 229, 317
Anite 171
Apathie 48, 107
Aphonie 229
Aphte 110, 262
Appendicite 174, 201
Artérite 160-161, 224
Arthrite 76, 85, 145, 162, 185, 192, 201, 231, 235, 281
Arthrite des mains 235
Arthrose 145, 162, 185, 193, 197, 232, 235-236, 257
Arthrose des mains 231, 235
Arythmie 145, 221
Asthme 47, 64, 77, 113, 145-146, 188, 200-201, 211, 214-215
Astigmatisme 252
B
Basedow (maladie de) 227
Bec-de-lièvre 262-263
Blennorragie 169
Bronchiolite 213
C
Calculs rénaux 115, 205-206
Canal carpien (affections du) 76, 235-237
Cancer 45, 50, 64, 68, 73, 75-79, 81, 101, 122, 132, 145-146, 149-150, 165,
169, 171-172, 177-178, 181, 198, 205, 216, 262, 265, 270, 278-279, 287,
324
Cancer de la bouche 265
Cancer des surrénales 75-76, 209
Cancer du cerveau 245
Cancer du poumon 145, 211, 216
Candidose buccale 262, 264, 267
Cardiovasculaires (troubles) 96, 145, 324
Carences 23, 40, 45, 90, 144, 151, 166, 191, 270, 272-273
Cataracte 252, 254
Cavumite 217-218
Cellulite 76, 164
Céphalée, ou mal de tête 64, 132, 200-201, 242-243
Choléra 278
Cirrhose 76, 179
Condylome 165, 270
Constipation 48, 85, 101, 114, 173, 201, 228
Coronarite (et maladies coronariennes) 221, 223
Coxalgie 185, 194-195, 202
Coxarthrose 193
Crampes 107, 160-161, 179, 201
Crohn (maladie de) 171, 173-175
Cushing (syndrome de) 76, 208
Cyphose 76, 96, 185, 191-192, 196
Cystite 49, 115, 203
D
Dents (mal de) 71
Dépression 39-41, 47, 95, 109, 113, 115, 117-118, 167, 171, 208, 211, 215,
246
Dermatoses 269-270
Dermatoses bulleuses 270
Desquamations 266, 269
Déviation de la cloison nasale 258
Diabète 77, 111, 167, 181, 201, 205, 237, 281
Diarrhée 22, 101, 114, 173
Disciples spirituels (maladies des) 283
Discopathies 185, 194
DMLA 252-253
Doigt déformé 237
Douleur vertébrale (mal de dos) 185, 194
Dupuytren (maladie de) 235-237
Dysbiose intestinale 38-39, 110, 175, 262
Dyshidrose 270
Dysménorrhées 167
E
Ejaculation prématurée 165, 168
Encéphalite 95, 242, 244
Endocardite 145, 221, 223
Endocrine (trouble des) 273
Entorse 159, 195
Énurésie 48
Épaules (douleurs des) 231
Excroissances et tumeurs cutanées 270
Extinction de voix 48
F
Fibrome 76, 145, 169
Fièvre 101, 103, 147-149, 218, 264, 281
Fracture 160, 164, 197, 231, 244, 282
Fracture du crâne 242, 244
Fracture du nez 258
G
Gastrite, ulcère de l’estomac (et/ou du duodénum) 177, 201
Gastro-entérite 175-176
Glaucome 252, 254
Glossite 262
Gougerot-Sjögren (maladie de) 107, 252-253
Grippe 201, 211, 244
H
Halitose 262, 263
Hallux valgus 111, 157-158, 240
Hashimoto (maladie d’) 227
Hémorragie 171
Hémorroïdes 71, 171, 201
Hépatite 76, 179
Herpès 76, 165, 244, 262, 264
Hormones (trouble des) 47
Hyperémotivité 281
Hyper et hypothyroï’die 75, 95, 237
Hypermétropie 252
Hyperperméabilité intestinale 175
Hyperséborrhée 271
Hypertension artérielle 64, 103, 109, 145, 208-209, 256
Hypoglycémie 45, 77, 181, 208
Hypotension artérielle 208
I
Impuissance 19, 48, 115, 117, 165, 167-168, 282
Infarctus 145, 221, 223-224, 287
Infections génitales 165
Inflammation de l’épaule 231
Inflammations 95, 96, 101, 115, 145, 171, 174, 176-179, 195, 205-206, 212,
223, 232, 235, 241, 244, 252, 262, 279
Insomnie 47, 48, 101, 108, 113, 200
Insuffisance biliaire 179
Insuffisance pancréatique 181, 262
Insuffisance rénale 115, 237
Insuffisance surrénalienne 208
J
Jambe lourde 161, 225
Jambes sans repos (syndrome des) 160-161
K
Karmiques (maladies) 24, 139, 288
L
Laryngite 229, 282
Lordose 76, 185, 191-192
Lymphe (trouble de la circulation lymphatique) 22, 86, 98, 161, 226
M
Maîtres spirituels (maladie des) 287
Maladie hivernale 211
Mal de Pott 185, 195
Méningiome 244
Méningite 95, 242, 244
Ménopause 85, 197
Menton (formes du) 267-268
Migraine 64, 107-108, 132, 242-243
Mollets (affections des) 160-161
Molluscum 270
Mucocèle 263
Mucus (excès de) 212, 218
Muguet 262, 264
Mycose 132, 169, 267, 271
Mycose cutanée 271
Myopie 252
N
Néphrite 205-206
Neurinome 75, 245
Nuque (douleur de la) 234
Nystagmus 252-253
O
Œdème 73-74, 95, 101, 103, 115, 160-161, 205
Ongle incarné 239
Ongles (trouble des) 107, 179, 240
Oreilles (forme des) 255-256
Oreilles (trouble des) 75, 201, 245, 257
Orgelet 252, 254
Orteils (trouble des) 239
Os de verre (maladie des) 197
Ostéogenèse imparfaite 197
Ostéomalacie 186, 196
Ostéoporose 76, 158, 186, 196-198, 208
Otite 71, 75, 132, 256
Otospongiose 256-257
Ozène 258-259
P
Paget (maladie de) 198
Panaris 239-240
Pancréatite 182
Panne sexuelle 48, 168
Paragangliome 245
Paralysie 62, 101, 132, 231, 233
Parasitose intestinale, ou helminthose 39, 115
Parkinson (maladie de) 40, 242, 246
Pellicules 265-266
Péricardite 145, 221, 223
Peste bubonique 278
Phlébite 208, 225
Pied bot 157-158
Pieds plats 158
Pinéalome 245
Plaquettes (manque de) 182
Pneumonie et pneumopathie 211, 213, 237, 287
Polyarthrite rhumatoïde 235-237
Polypose du nez 259
Presbytie 252
Psoriasis 76, 266, 272
Pyélonéphrite 205
R
Rachitisme 158, 186, 196
Rectite 171
Rectocolite hémorragique (RCH) 171
Rhinopharyngite 211, 217
Rhumatisme 200-201, 236
Rhume 76, 145, 201, 211, 217, 258-259
Rush cutané 271
S
Salive (manque de) 262
Scheuermann (maladie de) 185, 196
Sclérose en plaques (SEP) 40, 85, 145, 242, 246
Sclérose latérale amyotrophique 145, 246
Scoliose 76, 185, 191, 196
Sialocèle 263
SIDA 169, 278
Sigmoïdite 171
Sinusite 200-201, 212, 259
Souffle au cœur 222
Spondylarthrite ankylosante 196
Sténose lombaire 186, 197-198, 203
Stérilité 165, 167, 201
Strabisme 252, 254
Surdité précoce 256-257
Syphilis 165, 169, 278
T
Tachycardie 101, 109, 221
Teigne 265, 267
Tennis-elbow 231-232
Thrombopénie 182
Thyroïdite infectieuse ou iatrogène 132, 227
Torticolis 201, 233
Trauma ostéopathique 41
Trichotillomanie 265, 267
Tuberculose 145, 216, 279
Tuberculose osseuse 185, 195
Tuberculose pulmonaire 211, 215
Tumeur de Conn 208-209
Tumeur de l’hypophyse 208, 244
Tumeur du crâne 95, 245
Tumeur du rachis 198
Tumeur musculaire 164-165
Tumeur œsophagienne 178
U
Ulcère variqueux 225
Urétrite 203
Urticaire 76, 271
V
Vaccins (troubles liés aux) 45
Varice œsophagienne 178
Varices 160-161, 201, 225
Verrue 76, 145, 165, 270
Vitiligo 76, 272
X
Xérostomie 262
Y
Yeux secs (syndrome des) 179, 252-253
Z
Zona 201, 270
SOURCES ET RÉFÉRENCES NON
EXHAUSTIVES
RÉFÉRENTIEL PSYCHOLOGIQUE/PSYCHANALYTIQUE
RÉFÉRENTIEL AYURVÉDIQUE
RÉFÉRENTIEL ASTROLOGIQUE
BAILEY Alice Ann, Traité sur les sept rayons, vol. 3 : astrologie ésotérique,
Lucis, 1988.
CHERMET-CARROIS Sylvie, L’Astrologie médicale, Guy Trédaniel, 1998.
DE SURANY Marguerite, Pour une médecine de l’âme, Guy Trédaniel, 1987.
FONTAINE Janine, Médecine astrologique des trois corps, 3 tomes, Rocher,
2003.
HADÈS, Manuel complet d’astrologie médicale, 4 tomes, Bussière, 1985.
HEINDEL Max, Le Message des astres, Ensro, 2006.
MARIÉ Éric, Astrologie et Médecine ésotérique, Paracelse, 1987.
MARIÉ Éric, Traité fondamental d’astrologie médicale, 2 tomes, Paracelse,
1984.
MICHAUD Jacques, Traité de médecine astrologique, Schamans, 1984.
MICHAUD Jacques, Médecine et Astrologie, Présence, 1990.
MICHAUD Jacques, Médecines ésotériques, médecine de demain, J’ai Lu,
2006.
RÉFÉRENTIEL KABBALISTIQUE
RÉFÉRENTIEL ANTHROPOSOPHIQUE
RÉFÉRENTIEL ALCHIMIQUE/SPAGIRIQUE
SYMBOLIQUE GÉNÉRALE
Avertissement
Introduction
1. À titre d’exemple, voir les revues professionnelles comme IMCJ pour les
États-Unis (www.imjournal.com) ou Hippocrate pour la France
(www.hippocrate-larevue.com).
2. Voir les nombreuses publications de l’OMS dans le cadre des plans santé
www.euro.who.int/en/publications/search/a-z-list-of-all-publications.
Chapitre 1
1. In Le Rapport annuel publié mardi 2 avril 2019 par le Réseau
d’information sur la sécurité alimentaire (FSIN). L’insécurité alimentaire
aiguë est définie par le FSIN comme un déficit de consommation de
denrées entraînant une malnutrition aiguë et nécessitant une action urgente.
2. DUFRAISSE Pierre, Hormèse, Exuvie, 2022.
3. GIMENEZ Maxime, La Guérison spirituelle, Cerf, 2003.
4. BACH Edward (Dr), La Guérison par les fleurs, Courrier du livre, 1994.
Chapitre 2
1. L’expression fut utilisée par Karl Marx sur un mode politique réducteur,
mais aussi par le sociologue et anthropologue Marcel Mauss, par exemple.
Chapitre 3
1. Les médecins.
2. Il est reconnu qu’une erreur de diagnostic ou un retard de diagnostic ne
constituent pas en soi des fautes de nature à engager la responsabilité du
médecin, dès lors qu’elles ne résultent pas d’une méconnaissance des
données acquises de la science au moment où il agit, c’est-à-dire dès lors
que le médecin a mis en œuvre tous les moyens en sa possession pour
parvenir au diagnostic, conformément à l’article R 4127-33 du code de la
santé publique.
3. Médecines traditionnelles et couverture des soins de santé, Organisation
mondiale de la santé, Genève, 1983.
Chapitre 5
1. KIEFFER Daniel, Les Dix Cerveaux de la naturopathie, coll. « Les
essentiels Daniel Kieffer », Jouvence, 2019.
Chapitre 6
1. VINCENT Jean-Didier, Biologie des passions, Odile Jacob, 2009.
2. KIEFFER Daniel, Le Bon Vin et la Santé, Jouvence, coll. « Clin d’œil »,
1995.
3. La liste comprend par exemple scatol, indol, phénol, mercaptans,
hydrogène sulfuré, ptomaïnes, leucomaïnes, etc. Banalisées en biologie
humaine lors des analyses de selles, ces substances sont pourtant connues
pour leur toxicité par les biologistes et biochimistes.
4. KIEFFER Daniel, Les Associations alimentaires, Jouvence, coll. « Clin
d’œil », 1995.
5. Henri Baruch, Traité de psychiatrie : séméiologie-psychopathologie,
thérapeutique, étiologie, 2 vol., éd. Masson, 1959.
6. La gnotoxénie est le contrôle expérimental du microbiote. Il s’agissait de
Sacquet, Ducluzeau et Raibaud. Exemples de publications pour les
professionnels compétents : E. Sacquet, « Rôle de la flore microbienne du
tractus digestif chez le non-ruminant omnivore », Annales de biologie
animale, biochimie, biophysique, 1979, 19 (3B), p. 915-927 ; R. Ducluzeau,
P. Raibaud, « Intérêt des systèmes gnotoxéniques pour l’étude des relations
hôte-flore microbienne du tube digestif », Reproduction nutrition
développement, 1980, 20 (5B), p. 1667-1678.
7. https://cleverhthemag.com/2015/06/01/the-bowel-nosodes-of-bach-
paterson/
8. KIEFFER Daniel, Régénérescence intestinale, Jouvence, 2013.
9. Les vers intestinaux ne sont plus aujourd’hui forcément ceux bien connus
des générations passées, car ils mutent (nouvelles souches de douve et
d’amibes), migrent vers des organes distants (klebsielles dans les kystes des
seins) ou invitent de nouveaux partenaires pour coloniser le microbiote. Cf.
Travaux parisiens du Dr André Burckel dès les années 1990.
10. PFEIFFER Carl C. et GONTIER Pierre, Équilibre psychobiologique et
oligoaliments, Debars, 1998.
11. Travaux peu connus du Pr Christian Assoun :
http://www.glycanspacexr-agency.com/docs/Presentation-Professor-
Assoun.pdf ; www.glycangroup.com.
12. La théorie scientifique de René Quinton repose sur un principe
universel, qui est l’essence même de sa thérapie de base : reconstruire la
cellule endommagée grâce à l’eau de mer.
13. KIEFFER Daniel, Les Eaux de détox, Jouvence, 2020.
14. HUOT Alain, Le Jeûne : une voie royale pour la santé du corps et de
l’esprit, Dangles, 2019.
15. PASSEBECQ André, Psychothérapies par les méthodes naturelles,
Dangles, 1999.
16. LAPPÉ Frances Moor, Sans viande et sans regrets, Robert Davies, 2002 ;
RICARD Matthieu, Plaidoyer pour les animaux, Allary, 2014 ; HUEMER
Michael, Dialogue entre un carnivore et un végétarien, Albin Michel, 2021.
17. KLAY Cassius, alias Mohamed Ali, fut probablement le seul grand
boxeur végétarien. Tenait-il sa force exceptionnelle de sa mystique
particulièrement vivante ?
18. BRENNER David J., HALL Eric J., « Computed tomography-an increasing
source of radiation exposure ». The New England Journal of medicine,
2007 ; « Grossesse et exposition aux rayonnements ionisants »,
IRSN/DCOM, 2021 :
https://www.irsn.fr/FR/professionnels_sante/radiopro_patients/Documents/I
RSN_Fiche-Grossesse-rayonnements-ionisants-092021.pdf.
19. Voir, par exemple, IMBERT Alexandre, « Le sucre et la malbouffe nous
rendent fous », Alternative santé, no 11, 2014.
20. Phénomène encore controversé. Cf. LOMBARD Pierre, « Le sucre est-il
une drogue », www.lanutrition.fr ; et ALLOUCHE Reginald (Dr),
« L’addiction au sucre », www.drallouche.fr.
21. Le diabète de type II est dit aussi « gras » ou « sucré » et se traite bien
avec un régime et de l’exercice physique (90 % des diabètes). Le type I est
dit insulinodépendant et nécessite des injections d’insuline : c’est une
maladie grave et auto-immune.
22. Cf. GUILLON Laurence, « Quel est l’impact du sucre sur notre
organisme ? », www.laurenceguillon-naturo.com.
23. ALIS (www.alis-france.com), par exemple, ou la Ligue nationale pour
la liberté des vaccinations (www.infovaccin.fr).
24. Cf. l’excellent film de Lina B. Moreco, Silence, on vaccine, 2009.
25. Voir ALIS ou la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations.
26. MÉTADIER Jacques, Les oxions, Christian Godefroy, 1983.
27. KIEFFER Daniel, Ménopause et Andropause, Jouvence, 2015.
28. « L’effet placebo est-il vraiment efficace ? », Fondation pour la
recherche médicale, www.frm.org ; GOSLIN David, « L’effet placebo : les
travaux de F. Benedetti, implications pour la relation patient-acteur de
santé », Sciences pharmaceutiques. 2016 ; POULAIN Philippe (Dr), « Doit-on
et peut-on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur ? »,
www.chu-toulouse.fr/IMG/pdf/poulain.pdf
29. SIEGEL Bernie S., L’Amour, la Médecine et les Miracles, J’ai Lu, 2004. ;
VOLF Nadia, Le Miracle de la guérison, Marabout, 2019.
Chapitre 7
1. MENNIG Miguel, Dictionnaire des symboles, Eyrolles, 2005. À comparer
par exemple avec : CHEVALIER Jean et GHEERBRANT Alain, Dictionnaire des
symboles, Robert Laffont, 2019 ; MOREL Corinne, Dictionnaire des
symboles, des mythes et des croyances, Archipel, 2018 ; dom Pierre Miquel
et sœur Paula Picard, Dictionnaire des symboles mystiques, Léopard d’or,
1997 ; NORMAND Henry, Dictionnaire des symboles universels, Dervy,
2005-2017 ; PONT-HUNERT Catherine, Dictionnaire des symboles, des rites
et des croyances, Jean-Claude Lattès, 1995.
Chapitre 8
1. GRODDECK Georg, Le Livre du ça, Gallimard, 1923.
2. GRODDECK Georg, L’Être humain comme symbole, traduit de l’allemand
et préfacé par Roger Lewinter, Ivrea, 1991. GRODDECK Georg, Conférences
psychanalytiques à l’usage des malades, traduit de l’allemand par Roger
Lewinter, 3 vol., Ivrea, 1978.
3. ALEXANDER Franz, FERENCZI Sándor, GACHELIN Gabriel, GREEN André,
SZWEC Gérard, MARTY Pierre, DE M’UZAN Michel, DAVID Christian,
SMADJA Claude, VALABREGA Jean-Paul.
4. MARTY Pierre, DE M’UZAN Michel, DAVID Christian, L’Investigation
psychosomatique, PUF, 2015.
5. KIEFFER Daniel, Satisfaire ses besoins, se libérer de ses frustrations,
Jouvence, 2020.
6. RANK Otto, La Volonté du bonheur, Stock, 1972.
7. ADLER Alfred, Le Sens de la vie, Payot, 2017.
8. Propre à contracter les vaisseaux sanguins, à en rétrécir la lumière (lumen
ou diamètre).
9. Comme Niels Bohr, Werner Eisenberg, Max Planck, Erwin Schrödinger,
Louis de Broglie, Ylia Prigogine… Pour en savoir plus, voir ORTOLI Sven et
PHARABOD Jean-Pierre, Le Cantique des quantiques, coll. « Essais », La
Découverte, 2007 ; ou KLEIN Étienne, Petit Voyage dans le monde des
quanta, coll. « Champs », Flammarion, 2016.
10. MARLIEN Éric, Le Système nerveux autonome : de la théorie polyvagale
au développement psychosomatique, Sully, 2018.
11. Voir KIEFFER Daniel, Les Dix Cerveaux de la naturopathie, Jouvence,
2019.
12. La bioénergie désigne aussi les formes d’énergie stockées par la
biomasse. Tant qu’elle n’est pas surexploitée, elle est considérée comme
« renouvelable ».
13. Voir bibliographie p. 307.
14. Histoires de vie : messages du corps, Sens et symbole, 2007 ; La
digestion : les clés du poids, les formes, les dépendances, Sens et symbole,
2011.
15. Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives
sectaires.
16. https://germanische-heilkunde-dr-hamer.com/germanische/germanische-
heilkunde Notons que, selon les sources, le Dr Hamer aurait étudié entre
200 et 15 000 dossiers médicaux entre 1980 et 1983, où il publie. Lors de
ses procès, il fut aussi le seul à pouvoir « lire » correctement les scanners
cérébraux et d’y localiser des « foyers de Hamer ». Les années passant, il
devient de plus en plus improbable de prétendre déterminer une vérité
historique en cette affaire compliquée…
17. https://learninggnm.com/SBS/documents/sbs_overview.html
18. Voir pour information les ouvrages de Christian Flèche, Jean-Jacques
Crèvecœur, Claude Sabbah, Gérard Athias, Patrick Obissier, Salomon
Sallam…
19. Patrick Burensteinas, Jacques Grimas et Michel Deseille
particulièrement.
20. MURPHY Joseph, La puissance de votre subconscient, Éditions de
l’Homme, 2013.
21. AÏVANHOV Omraam Mikhaël, Puissances de la pensée, Prosveta, 2000.
22. HAY Louise, Transformez votre vie, Vivez Soleil, 1994.
23. MARIÉ Éric, « La médecine hermétique de Paracelse », dans Le Chant
de la licorne, no 16, 1986.
24. ANCELIN-SCHUTZENBERGER Anne, Psychogénéalogie : guérir les
blessures familiales et se retrouver à soi, Payot, 2015 ; Aïe, mes aïeux !,
Desclée de Brouwer, 2015.
25. CHASSÉRIAU Nathalie, Psychogénéalogie au quotidien, Hachette, 2019.
26. Eduard et Judith Van den Bogaert, Psychogénéalogie : manuel
d’autodécryptage de votre arbre-minute, Grancher, 2018.
27. ALLAIS Juliette, Se libérer et guérir des blessures familiales, J’ai Lu,
2018.
28. DE ROUX Isabelle, La Psychogénéalogie : comprendre son histoire
familiale, s’en affranchir et gagner en liberté, Eyrolles, 2019.
29. VAN EERSEL Patrice et MAILLARD Catherine, J’ai mal à mes ancêtres,
Albin Michel, 2012.
30. Dont DAILLIE Laurent, La Logique du symptôme, vol 1 : décodage des
stress biologiques et généalogiques, Bérangel, 2006 ; La logique du
symptôme, vol 2 : la bio-logique du surmoi, Bérangel, 2014.
31. Voir cet ouvrage publié à l’intention du grand public comme des
professionnels de la relation d’aide : KIEFFER Daniel, Pardonner et se
pardonner, Jouvence, 2019.
32. KIEFFER Daniel, Les Chakras : centres subtils et santé énergétique, coll.
« Clin d’œil », Jouvence, 2009 ; et surtout Satisfaire ses besoins, se libérer
des frustrations : l’approche des sept chakras, Coll. « Les essentiels Daniel
Kieffer », Jouvence, 2020.
33. L’analogie entre les chakras et les lotus autorise à parler de
« fleurissement » et de « racines ».
34. Anahata ou chakra du « son non frappé » évoque un Koan zen, c’est-à-
dire une phrase qui choque l’intellect pour mieux lâcher prise à l’évidence
intuitive : tel un gong non frappé, le cœur possède tous les potentiels du
chant, de la joie et de l’amour inconditionnels. On traduit aussi Anahata par
« l’invaincu », évoquant le pouvoir suprême de l’amour vrai, celui du
« cœur aimant » du chevalier, du samouraï ou du roi rayonnant de
magnanimité, par exemple.
35. Les Écritures peuvent parfois se révéler profondément thérapeutiques et
audacieuses pour nous réconcilier avec nos ressources et corriger les
manques d’estime de soi : « J’ai dit : Vous êtes des dieux ! » (Psaume 82-6)
et « En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en Moi fera aussi les
œuvres que je fais et il en fera de plus grandes parce que je m’en vais au
Père » (Jean XIV, 12,13).
36. KIEFFER Daniel, Les Dix Cerveaux de la naturopathie, Jouvence, 2019.
37. KIEFFER Daniel, Bilans énergétiques : pouls chinois et santé globale,
Grancher, 2015.
38. La voie du Tao, un autre chemin de l’être, Réunion des musées
nationaux, 2010.
39. Voir ODOUL Michel, Dis-moi où tu as mal, Dervy, 1994, p. 99.
40. KIEFFER Daniel, op. cit.
41. Les yeux reflètent la santé du foie, la langue reflète la santé du cœur, le
nez reflète la santé des poumons, la bouche reflète la santé de la rate, les
oreilles reflètent la santé des reins.
42. Un approfondissement très détaillé est donné sur
https://sionneau.com/medecine-chinoise/articles-medecine-chinoise-
acupuncture/ciel-anterieur-xiantian-et-ciel-posterieur-hou-tian-partie-3.
43. MARKOLIN Caroline, « La thérapie de la médecine nouvelle
germanique »,
https://learninggnm.com/SBS/documents/GNM_Therapy_Fr.pdf.
44. Pour aller plus loin, voir KIEFFER Daniel, Pardonner et se pardonner,
Jouvence, 2019.
45. « Toi mon vin, mon ivresse, / Mon jardin, mon printemps, / Mon
sommeil, mon repos / Sans toi, rien ne va plus. » Rûmî, Amour, ta blessure
dans mes veines.
46. Cette phrase renvoie à Jean 8 :23.
47. Une lecture complémentaire détermine globalement l’univers du caché,
du non-conscient ou de l’obscur sous la ligne horizontale de l’ascendant (au
sud de la ligne d’horizon du thème), alors qu’au nord on étudie plutôt les
élans de vie, les aspirations ou les buts karmiques (liés au milieu de ciel) ou
zénith du thème.
48. LOWEN Alexander, La Spiritualité du corps, Dangles, 1993.
49. LOWEN Alexander, La Joie retrouvée, Dangles, 1995.
50. Cf. JUNG Carl-Gustav, Le Livre rouge, Les Arènes, 2012.
51. MELANSON Steve, Jung et la Mystique, Sully, 2009.
Chapitre 9
1. Ce processus est longuement développé dans le livre suivant : KIEFFER
Daniel, Pardonner et se pardonner, Jouvence, 2019.
Chapitre 10
1. Voir KIEFFER Daniel, Acidose et Mucose toxiques, Jouvence, 2019.
2. Voir KIEFFER Daniel, Tout savoir sur la respiration, Jouvence, 2019.
3. WATSON Lyall, Histoire naturelle du surnaturel, Albin Michel, 1974.
4. POPP Fritz A., Biologie de la lumière, Marco Pietteur, 1999.
5. SCHMIT-BERBAUM Marie-Laure, Le Sens des maladies infantiles, une
école de l’incarnation, autoédition, 2006.
6. « Chaleur contre cancer », La Recherche, no 291, 1996.
Voir les sites Internet : www.traitement-du-cancer.fr et
https://www.cancer.gov/about-cancer/treatment/types/hyperthermia
et cette thèse de médecine : « Contribution à l’étude des propriétés
thermiques de matériaux composites à base de nanoparticules métalliques et
de tissus biologiques », soutenue le 4 Juillet 2011, Université Abou Bekr
Belkaid Tlemcen, Algérie.
7. Pour le grand public : KIEFFER Daniel, Réaliser son autobilan de vitalité,
Jouvence, 2020. Plus professionnel : KIEFFER Daniel, Guide personnel des
bilans de santé, Grancher, 1998.
Chapitre 11
1. Images reprises et commentées dans KIEFFER Daniel, Tout savoir sur la
respiration, Jouvence, 2019.
2. Voir KIEFFER Daniel, Les Dix Cerveaux de la naturopathie, Jouvence,
2019.
3. Voir CHANG Jolan, Le Tao de l’art d’aimer, Calmann-Lévy, 1977 ; CHIA
Mantak et WEI W. U., Réflexologie sexuelle : le tao de l’amour et de la
sexualité, Guy Trédaniel, 2018 ; AÏVANHOV Omraam Mickaël, L’Amour et
la Sexualité, 2 tomes, Prosveta, 1980.
4. KIEFFER Daniel, Satisfaire ses besoins, se libérer de ses frustrations,
Jouvence, 2020.
5. KIEFFER Daniel, op. cit.
6. Spécialistes de la mobilité des fascias, ou enveloppes qui entourent les
organes, le péritoine, les aponévroses des os, et même les tendons,
ligaments et muscles.
7. Dans le Livre de la Genèse, on lit que Jacob fait un songe où des anges
voyagent sur une échelle qui relie le ciel et la terre. Il y perçoit un signe de
l’Alliance et nomme le lieu Béthel, ou « maison de Dieu ».
8. Arnold Roland est un ostéopathe éclairé et auteur d’un excellent ouvrage
à ce sujet : Le Temple de l’âme : la parole divine du corps humain, Dangles,
1998.
9. KIEFFER Daniel, Tout savoir sur la respiration, Jouvence, 2019.
10. www.ast35-fiche-pratique-port-charge-14-10.pdf
11. Par exemple, « Postures et pressions exercées sur les disques
intervertébraux » (athomic-wellness.com).
12. KIEFFER Daniel, Ménopause, andropause, Jouvence, 2015.
13. Pour compléter cette partie, voir celle qui parle des vertèbres lombaires
(p. 188).
14. KIEFFER Daniel, Acidose et Mucose toxiques : pour en finir avec les
inflammations, douleurs et surcharges, coll. « Les essentiels Daniel
Kieffer », Jouvence, 2019.
15. KIEFFER Daniel, op. cit.
16. Exode 32-9.
17. KIEFFER Daniel, Réaliser son auto-bilan de vitalité, Jouvence, 2020.
18. Voir SOULIER Olivier (Dr), Histoires de vie : messages du corps, Sens et
Symboles, 2017, p. 108.
19. VEREECK Estelle, Le Dictionnaire du langage de vos dents, Luigi
Castelli, 2004 ; odenth.com
20. DE SOUZENELLE Annick, Le Symbolisme du corps humain, Dangles,
1984, p. 367-368.
21. DU CHAZAUD Jean, Ces glandes qui nous gouvernent, Équilibre, 1990 ;
Le Secret dévoilé du corps et de l’esprit, Pierre Téqui, 2000.
22. GAUTIER Jean, L’Enfant, ce glandulaire inconnu, CEVIC, 1981.
23. DUPONT Paul, Les Glandes endocrines et notre santé, Diffusion
rosicrucienne, 1997.
24. FOSS HEINDEL Augusta, Les Glandes endocrines et leur mystère, The
Rosicrucian Fellowship, 1998.
Chapitre 12
1. Voir BACH Edward (Dr), op. cit. Cet ouvrage offre l’essentiel de la pensée
originale de l’auteur, si souvent déformée dans les centaines de livres écrits
à sa suite.
2. La peste bubonique est la forme la plus fréquente de peste. Au
XIVe siècle, une pandémie de peste bubonique, appelée peste noire, a
traversé l’Europe.
Conclusion
1. Voir cet essai psycho-spirituel sur l’épidémie Covid-19 : KIEFFER Daniel,
Joyeux confinement, joyeuse métamorphose !, www.objectif-notre-
sante.org.
DU MÊME AUTEUR
www.editions-jouvence.com