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Groupe : Environnement
0. Introduction
Aujourd’hui, plus de 15% de la surface terrestre bénéficie d’une forme de
protection formelle, ces territoires sont appelés aires protégées (AP). Le premier parc
formellement reconnu, dans l’acceptation moderne du terme, fut celui du Yellowstone, en
Amérique du Nord en 1872 (Mooc, 2019).
0.2. Les aires protegées peuvent-elles faire face aux défis actuels de
conservation
Alors que le nombre d’aires protégées ne cesse de croître, la biodiversité, elle
continue à disparaître.
Parmi les raisons invoquées pour expliquer cette situation, on relève d’abord le
manque d’efficacité de certaines aires protégées, qui, parce qu’elles n’ont pas bien été mises
en place, parce qu’elles manquent de moyens, ou encore parce qu’elles sont mal gérées,
n’atteignent pas leurs objectifs de conservation.
2
D’autres sont même purement virtuelles, ne représentant plus qu’un trait sur une
carte (« paper parks»).
Une autre raison couramment invoquée, porte sur le système d’aires protégées
globalement, et non plus sur les sites. Souvent incomplets (c’est-à-dire qu’ils n’englobent pas
tous les lieux où pourtant de forts enjeux de biodiversité existent), ils sont aussi en général
peu représentatifs et mal connectés.
– Recherche : Elles offrent aussi des territoires relativement préservés pour conduire les
actions de recherche nécessaires à une meilleure compréhension du monde qui nous entoure.
– Ressources naturelles : Elles procurent des biens et des services comme des produits issus
de la forêt aux habitants se trouvant dans et autour des aires protégées, mais aussi ceux à
distance car elles ont un rôle dans l’épuration de l’eau qui les traverse, dans le maintien d’un
air dénué des pollutions humaines, etc.
– Barrière contre le changement climatique : Elles sont aussi des éléments d’atténuation des
changements climatiques et des laboratoires à ciel ouvert de l’évolution de la nature. Il y a
beaucoup à y apprendre sur la capacité des écosystèmes à s’adapter (résilience).
– Conservation de valeurs culturelles : Les aires protégées conservent aussi des sites de valeur
culturelle ou spirituelle – de plus en plus. Culture et nature s’entremêlent pour former la
valeur globale du territoire.
0.4. Problématique
Notre problématique s’articule autour des questions suivantes :
0.6. Objectifs.
L'objectif global assigné à cette étude est d’évaluer la gestion des aires protégées de la
république démocratique du Congo sont gérées.
a. Intérêt scientifique
Les résultats du travail vont constituer une base des données pour ceux qui voudront
travailler dans ce domaine de la gestion des aires protégées.
B. Intérêt socio-environnemental
C. Intérêt personnel
Ce sujet a été intéressant pour nous, parce que faisant allusion à nos ambitions de
devenir environnementaliste, car La gestion des aires protéger constitue un problème plus ou
moins importante .Nous envisageons trouver une panacée efficace qui aidera les générations
futures.
0.8. Méthodologie
La méthodologie utilisée dans cette étude est celle d’enquête par questionnaire. Le
questionnaire a été élaboré en fonction des données que nous avions voulues avoir comme
résultats. La recherche bibliographique nous a été d’une grande utilité afin d’affermir nos
connaissances sur la thématique choisie et nous a permis de situer avec précision le parc de
la vallée de la N’sele dans le temps et dans l’espace depuis sa création jusqu’à ce jour.
CHAPIII.RESULTATS ET DISCUTION.
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– « Reconnu » Une aire protégée doit être reconnue à un certain niveau – local, national ou
international.
Cela ne veut cependant pas dire qu’il faut obligatoirement qu’il existe un texte, un décret ou
un arrêté par exemple. Une aire protégée peut ainsi tout à fait être reconnue par une autorité
traditionnelle (comme certaines aires communautaires ou encore des sites sacrés) ou par une
entité privée comme une ONG par exemple.
– « Géré » Cela veut dire que des décisions sont prises pour ce territoire et donc que cela ne
peut être un simple trait sur une carte, tels les fameux paper parks. Cependant, cela n’implique
pas forcément des interventions, la décision de gestion pouvant par exemple consister à laisser
l’écosystème sans aucune intervention humaine.
terme. Un zoo, par exemple, protège bien les animaux, mais hors de leur milieu, ce n’est donc
pas une aire protégée.
Autre exemple, un terrain militaire mis en défens pendant des années deviendra
riche en différentes espèces de faune et de flore, mais il reste un terrain militaire qui peut du
jour au lendemain être à nouveau utilisé comme tel.
Ce n’est donc pas non plus une aire protégée. En conclusion, une aire protégée est
un territoire avec certains attributs caractéristiques et dont l’objectif premier est la
conservation de la nature. Les territoires ne correspondant pas strictement à tous ces attributs
ne sont pas considérés comme des AP.
Mais les AP ne couvrent qu’à peine plus de 15% de la planète, d’autres zones
contribuent aussi, fort heureusement, à préserver la nature. Il est très important de bien
comprendre chaque terme et ce qu’il représente. Quelques-uns sont particulièrement
importants : définit, reconnu, géré et conservation de la nature.
– « Définit » Une aire protégée, c’est un territoire que l’on peut identifier, dont on sait où il
commence et où il finit. Cela veut donc dire que l’on peut identifier ses limites, mais cela ne
requiert pas forcément un marquage, une signalisation ou une clôture
Parfois d’ailleurs, il peut être difficile de suivre les limites d’un parc, en
particulier lorsqu’elles sont associées à des éléments naturels comme une rivière ou une forêt
qui peuvent évoluer avec le temps. Le Parc national de l’Ankarana, à Madagascar, une des
200 000 aires protégées existant à ce jour
Aires protégées qui sont mises en réserve pour protéger la biodiversité et les
caractéristiques géologiques/géomorphologiques, où les visites, l’utilisation et les impacts
humains sont strictement contrôlés et limités pour garantir la protection des valeurs de
conservation.
Objectif: conserver les écosystèmes exceptionnels au niveau régional, national ou mondial, les
espèces et/ou les caractéristiques de la géo diversité : ces caractères distinctifs auront été
formés principalement par des forces non humaines et seraient dégradés par tout impact
humain sauf très léger.
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Vastes aires intactes ou légèrement modifies qui ont conservé leur caractère
naturel, sans habitations humaines permanentes ou significatives, qui sont protégées aux fis de
préserver leur état naturel.
Objectif : protéger à long terme l’intégrité écologique d’aires naturelles qui n’ont pas été
modifiés par des activités humaines importantes, dépourvues d’infrastructures modernes, et
où les forces et les processus naturels prédominent, pour que les générations actuelles et
futures aient la possibilité de Connaître de tels espaces.
Vastes aires naturelles ou quasi naturelles mises en réserve pour protéger des
processus écologiques, ainsi que les espèces et les caractéristiques des écosystèmes de la
région, qui fournissent des opportunités de visites de nature spirituelle, scientifique, éducative
et récréative, dans le respect de l’environnement et de la culture des communautés locales.
Territoires mis en réserve pour protéger un monument naturel spécifique, qui peut
être un élément topographique, une montagne ou une caverne sous-marine, une caractéristique
géologique telle qu’une grotte ou même un élément vivant comme un îlot boisé ancien.
Ce sont généralement des aires protégées assez petites et elles ont souvent
beaucoup d’importance pour les visiteurs.
Objectif : protéger des éléments naturels exceptionnels spécifiques ainsi que la biodiversité et
les habitats associés.
Elles visent à protéger des espèces ou des habitats particuliers, et leur gestion
reflète cette priorité. De nombreuses aires protégées de la catégorie IV ont besoin
d’interventions régulières et actives pour répondre aux exigences d’espèces particulières ou
pour maintenir des habitats, mais cela n’est pas une exigence de la catégorie.
Objectif : protéger d’importants paysages terrestres ou marins, la nature qui y est associée,
ainsi que d’autres valeurs créées par les interactions avec les pratiques de gestion
traditionnelles.
Objectif : protéger des écosystèmes naturels et utiliser les ressources naturelles de façon
durable, lorsque conservation et utilisation durable peuvent être mutuellement bénéfiques.
– Gouvernance partagée : les aires protégées sous l’autorité de plusieurs parties prenantes.
– Gouvernance privée : les aires protégées sous l’autorité du secteur privé (généralement les
propriétaires des terres ou des ressources naturelles concernées).
– Gouvernance communautaire : les aires protégées sous l’autorité des peuples autochtones ou
des communautés locales sédentaires et/ou mobiles avec des droits coutumiers et/ou légaux.
cas, le gouvernement conserve le contrôle d’une aire protégée, il décide des objectifs de
gestion de l’aire mais en délègue la planification et/ou les tâches quotidiennes à une
organisation paraétatique, à une ONG, à un opérateur privé ou à une communauté.
Dans tous ces cas, l’autorité sur la gestion de l’aire protégée et de ses ressources
revient aux propriétaires/ privés qui déterminent l’objectif de la conservation, développent des
plans de gestion et restent maîtres des décisions, pour autant qu’elles respectent la législation
concernée. Cette forme de gouvernance est actuellement en progression en Afrique, mais elle
nécessite un cadre réglementaire incitatif pour jouer pleinement son rôle et permettre
l’extension significative du réseau des aires protégées dans un pays.
– les aires et territoires des populations autochtones établis et gérés par ces populations ;
Ces sous-ensembles, qui peuvent ne pas être nettement distincts, s’appliquent tant
à des populations qu’à des communautés sédentaires et nomades. L’UICN définit ce type de
gouvernance comme : « Des aires protégées où l’autorité et la responsabilité de la gestion sont
confiés aux peuples autochtones et/ou aux communautés locales sous diverses formes
d’institutions ou de réglementations coutumières ou juridiques, formelles ou informelles. »
hybrides, en ce sens qu’ils associent de toute façon différents acteurs, sans pour autant aller
jusqu’au partage des décisions et des processus, des politiques et auprès des bailleurs
internationaux.
– Créer des AMP en haute mer. Cibler des écosystèmes, qui ne sont pour le moment que très
peu mis en protection.
– Financement. Trouver les moyens nécessaires pour mettre en œuvre des plans de gestion.
I.7 Tourisme dans les zones protégées impacts du tourisme sur les aires
protégées.
– Impacts positifs : le tourisme peut apporter des financements pour l’aire protégée et les
communautés, concourir à sensibiliser les visiteurs et les populations, et maintenir le paysage.
– Impacts négatifs : en termes de pollution, de dégradation, le tourisme peut faire appel à des
besoins en ressources importants, en eau, en nourriture, en espace.
– Le tourisme de haut à très haut de gamme : recherché pour générer des fonds. Les impacts
environnementaux sont mitigés, et les bénéfices sont souvent renvoyés vers l’étranger.
– Le tourisme écologique et/ou responsable : il peut créer des emplois pour les communautés.
L’impact sur le milieu est faible, et des bénéfices directs et indirects pour les communautés
sont générés. Ce tourisme peut être très fluctuant, et il faut un partenaire technique solide.
– Le tourisme communautaire : des emplois directs sont créés, l’impact sur le milieu est
faible, et des bénéfices directs et immédiats vont aux populations. Il s’agit souvent de
tourisme de petite échelle, avec un besoin fort d’accompagner les communautés.
– Le tourisme scientifique : il est peu développé dans les aires protégées, mais peut être très
rentable. Il nécessite des investissements importants.
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– Un rôle financier ; capter une partie des revenus du tourisme pour l’aire protégée.
– droits d’entrée dans les aires protégées, dont les montants sont très variables ;
– redevances sur les concessions hôtelières, et les activités annexes et sources de revenus pour
les communautés ;
Avec une entrée principale (Gâte One) dont (4°23'46.83"S et 15°40'16.28"E) il est limité par
ces différents points dont :
Ouvert au public le 02 Juin 2018, le Parc de la vallée de la N'sele fut créé en 1998
avec la vision de créer une Ferme. C’est en 2013 que l'idée de la création de la Réserve
Naturelle est venue. Dès lors, le propriétaire à amorcer le processus d'acquisition des terres
supplémentaires et établir contact avec :
Asphaltage et Signalisation ;
➢ En 2016 : Évaluation du site par Super Gammes Dealers sur les points
II.5.1. Le climat
Sur l’année, la température moyenne à Kinshasa est de 23°C et les précipitations annuelles
sont en moyennes de 1273,9 mm.
II.5.2. Hydrographie
Comme le nom l’indique le relief du PVNS est dominé par une vallée bornée des
multiples collines et montagnes. Le parc de la vallée de la N’sele présente les mêmes
caractéristiques reconnues au sol de la ville de Kinshasa. D’après SYS (1961), les sols de la
ville de Kinshasa sont classés de la manière suivante : ordre kaolisols, sous ordre hydro-
xérokalosols et grand groupe arénoferrals.
II.5.4. Végétation
II.5.5. Faune
❖ Pachydermes
● Elephantidae : Eléphants ;
● Rhinocerotidae : Rhinocéros ;
● Hipppopotamidae : Hippopotames ;
❖ Oiseaux
Gallinacae : Dindon ;
Retenons que certaines espèces citées ci-haut ne sont pas encore officialiser,
c’est-à-dire elles ne sont pas mises à la disposition de tout le monde surtout pour les visiteurs,
et d’autres espèces sont en cours d’identification.
Les populations riveraines du parc y pratiquent le braconnage. Donc elles tuent les
animaux pour leur survie. Le système d’abattage d’arbres pour servir à la production du
charbon de bois et de bois de chauffe demeure toujours comme une forte menace de ladite
population au sein du PVNS.
Cette figure montre les 4 aires protégées qui sont sous la gestion de L’IEBDCO en RDC.
II.8. ORGANIGRAMME
COORDONATEUR DE L’IEBDCO
CONSERVATEUR
PRINCIPAL
22
Stage ;
Fréquences Pourcentage
Oui 24 80.0
Valide Non 6 20.0
Total 30 100.0
Il ressort de ce tableau que 90% de nos enquêtés affirment qu’il y a des charbonniers, suivi de
10% de nos enquêtés refusent cette l’hypothèse.
Chômage 8 26.0
Manque d’information sur le parc 5 26.7
Revendication de la gestion non participative 8 16.6
Valide Revendication des terres 0 0
Pauvreté 9 30.0
Total 30 100.0
Il convient de signaler du tableau 7 que 30% des personnes affirment qu’il y a la présence des
braconniers et charbonniers au sein du parc, suivi de 26.7% de manque d’information, soit
26% manque d’information au sein du parc, et16.6% de nos enquêtés revendiquent la non
implication, et 16.6% et 0% revendiquent des terres.
Fréquences Pourcentage
Création d’emplois 18 60.0
Construction d’école 8 26.6
Electrification 0 0
Valide Construction des hôpitaux 0 0
Construction des routes 4 13.3
Total 30 100.0
Les résultats de ce tableau laissent constater que 60% de nos enquêtés bénéficient d’emplois
au sein du parc, suivi de 26,6 de nos enquêtés affirment avoir bénéficié des dons de
construction des écoles, routes et hôpitaux, soit 13,3% bénéficient l’électrification.
Les valeurs reprises de ce tableau laissent constater que 60% de nos répondants
affirment qu’il y a l’existence des conflits entre population et gestionnaires, suivi de 40% de
nos enquêtés ne savent pas.
Fréquences Pourcentage
Oui 6 20.0
Valide Non 24 80.0
Total 30 100.0
Il ressort de ces résultats que 80% de nos enquêtés affirment qu’ils ne sont pas impliqués dans
la gestion du parc de la vallée de la N’sele, suivi de 20% de nos enquêtés sont impliqués dans
la gestion.
Il sied de signaler que les résultats de ce tableau montrent que 76,6% de nos enquêtés ne
bénéficient pas des recettes générées tirées de ce site, suivi de 23% disent qu’ils bénéficient
des recettes tirées de ce site.
Au égard de ce qui précède, les Nations-Unies, via le Programme des Nations Unies
pour l'Environnement (PNUE, voir protocole de Kyoto et même le sommet de la Haye),
pensent que la lutte contre le réchauffement et le changement climatique repose sur les
plantations d'arbres qui seront destiné à fixer le dioxyde de carbone. Les forêts constituent les
27
puits de carbone destinés à compenser les émissions de dioxyde de carbone qui proviennent
des différentes activités anthropiques.
Ainsi donc, les solutions de rechange pour pallier aux pressions anthropique sont :
la population locale ;
D’ordonnancement.
III.2.1.Approche biologique
Outre ce qui précède, le critère des espèces végétales constitue l'une des cuirasses
stratégiques, non seulement dans le but de promouvoir la gestion durable des ressources
naturelles d'une aire protégée, mais également pour l'épuration de l'air atmosphérique ainsi
qu'à la lutte contre le réchauffement climatique. Parmi les essences sélectionnées, nous
avons : (Ntambwe, K., 2003).
a) Acacia auriculiformis
c) Cassia siamea
III.3.Discussion
La discussion se fait avec ce sujet de mémoire ’’Problématique de gestion d'une aire
protégée face aux pressions permanentes de la population riveraine cas du domaine de
29
chasse et réserve de Bombo Lumene en RDC’. En effet, dans ce travail on nous montre
comment est-ce que la population autochtone ne bénéficie pas énormément des avantage de la
gestion du domaine de chasse et réserve de Bombo Lumene ce qui posent beaucoup des
problèmes à cette population, à l’instar, notre travail s’intitulé ’’La gestion des aires
protégées en RDC : cas du parc de la vallée de la N’sele’’ qui consiste à savoir comment
est-ce que la gestion du parc se présente .
III.4.Suggestion
A cet effet, en vue de schématiser et de suggérer quelque problèmes sur la gestion des
aires protégées en RDC cas du parc de la vallée de la N’sele , le tableau ci-dessous reflète
mieux en résumé ce dont notre sujet a traité :
-Dégradation du
sol.
Buene -Braconnage -Inefficacité des -Diminution de la -Favoriser une gestion
opérations de lutte faune. participative
-Carbonisation anti -braconnage.
-Déforestation - Sensibilisation et
-Violation des -Insuffisance Eco- vulgarisation des
gardes
limites limites du domaine.
-Collaboration avec la
Justice
Kingakati Violation des -Légèreté de -Disparition de -Application de la gestion
limites l'ICCN. l'habitat faunique policière.
-Collaboration avec la
Justice
32
CONCLUSION
Au terme de la présente étude qui a porté sur la gestion des aires protégées en
RDC : cas du parc de la vallée de la N’sele, montre de quelle manière cette aire protégée est
gérée.
BIBLIOGRAPHIE
A. Ouvrages
B. REVUES ET PUBLICATIONS
ANNEXE
36
Annexe 5. Observation des Zèbres au Annexe 3. Observation des hippopotames Annexe 4. Observatio
parc de la vallée de la N’sele Annexe 5. Fiche d’enquête
dans la mangeoire
Kinshasa, le ……/ ……. /2022
QUESTIONNAIRE
D’ENQUETE
Fiche N° …………………….
Ce questionnaire correspond à des questions fermées et ouvertes ; pour les questions fermées,
mettez une croix (crocher) dans la case qui correspond à la réponse de votre choix. Pour des
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questions ouvertes, vous aurez à compléter les pointillées par une réponse qui vous convient
de manière concrète.
a) 0 à 5 ans
b) 5 à 10 ans
c) 10 à 15 ans
le parc ?
a) Oui
b) Non
a) Oui
b) Non
a) Oui
b) Non
a) Oui
b) Non
a) Oui
b) Non
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7) Quelle est la raison de la présence des braconniers et des charbonniers dans le parc ?
a) chômage
e) Pauvreté
a) création d’emplois
b) construction d’école
c) l’électricité
e) Autres à préciser
R/ ……………………
9) existe-t-il des conflits entre la population local et les gestionnaire du parc de la vallée de la
N’sele ? :
a) Oui
b) Non
e) Autres à préciser
39
R/ ……………………
11) D’où provient les espèces la majorité des animaux soit dans le parc ;
b) Parcs nationaux
e) Autres à préciser
R/ ……………………
R)
R)
14) Etes-vous informez sur les impacts positif et négatif que votre site peut causer ?
R)
15) Y- a-t-il eu des études d’impact environnemental par les professionnels avant la création
des activités touristiques (avion, piscine, tyrolienne, lodges) dans le parc ?
a) oui
b) Non
a) Oui
b) Non
……………………………………………………………………………………
a) Oui b) Non
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………………………………………………………...…………………………………
a) Oui ou b) Non
…………………………………………………………………………………………
a) Agriculture
b) Elevage
c) Pêche
d) Carbonisation
e) Chasse
f) Autre à préciser
5) Quels sont les différents produits tirez-vous du sanctuaire en dehors des gibiers et
produits agricoles ?
a) Chenilles
b) Les champignons
c) La braise (carbonisation)
d) Autre à préciser
a) Oui b) Non
Si non, pourquoi ?
d) Autre à préciser
a) Pas de collaboration
d) Autre à préciser
a) Oui b) Non
a) Pauvreté
b) Famine
c) Conflits fonciers
e) Commerce de viande
f) Autre à préciser
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EPIGRAPHE...........................................................................................................................................i
DEDICACE............................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS.............................................................................................................................iii
Résumé..................................................................................................................................................iv
Abstract..................................................................................................................................................v
0. Introduction........................................................................................................................................1
0.2. Les aires protegées peuvent-elles faire face aux défis actuels de conservation.....................1
0.4. Problématique............................................................................................................................3
0.6. Objectifs.....................................................................................................................................3
43
0.8. Méthodologie..............................................................................................................................4
1.7 Tourisme dans les zones protégées impacts du tourisme sur les aires protégées.................12
II.5.1. Le climat...........................................................................................................................16
II.5.2. Hydrographie...................................................................................................................16
II.5.4. Végétation........................................................................................................................18
II.5.5. Faune................................................................................................................................18
II.8. ORGANIGRAMME..............................................................................................................21
III.2.1.Approche biologique.......................................................................................................26
III.3.Discussion....................................................................................................................................28
III.4.Suggestion....................................................................................................................................29
CONCLUSION....................................................................................................................................31
BIBLIOGRAPHIE...............................................................................................................................33
ANNEXE.............................................................................................................................................34