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Chapitre 1 : Vue d'ensemble du système immunitaire

1. Quelle est la meilleure définition de ^immunité^ ?

A. L'état d'une exposition répétée à un agent pathogène


B. L'état de résistance à la réinfection par un agent pathogène
C. Lorsqu'un individu n'a jamais été exposé à un agent pathogène
D. Lorsque le système immunitaire est activé
E. Lorsque les barrières physiques ne suffisent pas à prévenir l'infection

Réponse : B
La section : Une perspective historique
Difficulté : 1
Indice : les vaccins peuvent induire une immunité.

2. Qu'arrive-t-il à un agent pathogène lorsqu'il est atténué ?

A. Il devient plus dangereux pour l'hôte.


B. Il se réduit.
C. Il a affaibli sa virulence.
D. Au vieillit.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : C
La section : Une perspective historique
Difficulté : 2
Indice : les virus atténués sont utilisés comme vaccins.
3. Lequel des exemples suivants est le MEILLEUR exemple d'immunité collective ?
A. Un enfant infecté par la rougeole voyage de l'Allemagne vers les États-Unis.
Plusieurs bébés contractent la maladie, mais l'épidémie est largement contenue grâce aux
vaccinations.
B. Certaines populations de bovins sont moins sensibles à l'infection par l'encéphalite
en raison de leur constitution génétique.
C. Une fois qu'un certain nombre de personnes ont été infectées par un nouvel agent
pathogène humain, il est peu probable que d'autres le soient.
D. Les oies et les poulets sont infectés par des souches différentes de grippe parce
qu'ils expriment des récepteurs différents à la surface de leurs cellules.
E. Lorsque l'infection se propage dans une population, certains individus génèrent des
réponses immunitaires plus fortes que d'autres.
Réponse : A
La section : Une perspective historique
Difficulté : 2
Indice : le troupeau protège l'individu.
4. Parmi les maladies suivantes, quelle est celle pour laquelle il n'existe pas
actuellement de vaccin efficace ?
A. Varicelle
B. Polio
C. VIH
D. Petite vérole
E. Dipthérie
Réponse : C
La section : Une perspective historique
Difficulté : 1
Indice : la plupart des vaccins protègent presque tout le monde contre l'infection.
5. Les effecteurs du système immunitaire humoral sont connus sous le nom de :
anticorps, immunoglobuline, complément.
A. Les cellules B.
B. Toutes les réponses ci-dessus
C.
D. Réponse : E
E. La section : Une perspective historique
Difficulté : 1
Indice : la réponse immunitaire adaptative comporte une composante cellulaire et une
composante humorale.
A. Parmi les types de cellules suivants, lesquels sont des lymphocytes ?
A. Macrophages
B. Les mastocytes
C. Neutrophiles
D. Erythrocytes
E. Cellules T
Réponse : E
La section : Une perspective historique
Difficulté : 1
Indice : les lymphocytes sont impliqués dans l'immunité adaptative.
B. Lequel des énoncés suivants est VRAI en ce qui concerne les antigènes ?
A. Ils sont toujours dérivés d'agents pathogènes.
C. Ils sont toujours des protéines.
D. Ils sont reconnues par les cellules T ou Cellules B.
E. Ils doit être d'origine microbienne.
F. Ils provoquent généralement des lésions cellulaires.
Réponse : C
La section : Une perspective historique
Difficulté : 1
Indice : il existe de nombreux types d'antigènes.
8. Deux grandes théories ont été proposées pour expliquer le développement des
anticorps spécifiques à l'antigène : la théorie de l'instruction et la théorie de la sélection.
Quelles sont les différences entre les deux ? Lequel s'est finalement avéré CORRECT ?
Réponse : La théorie sélective affirme que, lorsqu'un récepteur d'antigène se lie à un
antigène, la cellule est activée (ou la cellule est sélectionnée pour proliférer et sécréter
davantage de copies du récepteur). La théorie de l'instruction dit que le récepteur antigène
se moule à l'antigène. La théorie sélective s'est avérée correcte.
La section : Une perspective historique
Difficulté : 3
Indice : la réponse immunitaire adaptative comporte une composante cellulaire et une
composante humorale.
9. Lequel des éléments suivants est un champignon pathogène ?
A. Vibrio cholerae
B. Leishmania major
C. Poliovirus
D. Candida albicans
E. Bordetella pertussis
Réponse : D
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 1
Indice : les levures sont des champignons.
10. Parmi les types de cellules suivants, lequel est le plus souvent associé à la
reconnaissance des antigènes présents à l'intérieur des cellules ?
A. Macrophages
B. Cellules B
C. Cellules Th
D. CTL
E. Anticorps
Réponse : D
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 1
Indice : les virus se trouvent à l'intérieur des cellules.
11. Parmi les classes suivantes de récepteurs de surface cellulaire, lesquelles sont
directement codées dans la lignée germinale ?
A. TCR
B. BCR
C. PRR
D. Anticorps
E. Tousde ci-dessus
Réponse : C
Difficulté : 1
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Indice : certains récepteurs sont générés au hasard plutôt que codés dans la lignée
germinale.
12. Quel est le mécanisme central qui permet d'établir la tolérance à l'égard de soi ?
A. Les cellules T et les cellules B autoréactives sont éliminées au cours du
développement.
B. Les individus dont le système immunitaire réagit aux antigènes du soi ne survivent
pas et ne se reproduisent pas.
C. Les cellules immunitaires qui réagissent aux antigènes du soi sont désactivées
lorsqu'elles reconnaissent les tissus du soi.
D. Certaines cytokines immunosuppressives sont maintenues dans les tissus pour
atténuer les réponses immunitaires auto-réactives.
E. Les tissus périphériques possèdent des mécanismes pour tuer les cellules T ou B
qui y répondent.
Réponse : A
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 1
Indice : la tolérance centrale se développe au fur et à mesure de la maturation des cellules.
13. Complétez le tableau suivant en comparant et en opposant les réponses
immunitaires innées et adaptatives.
Immunité innée Immunité adaptative
Quelles sont les cellules qui assurent la médiation ?
Que reconnaissent-ils ?
Comment les récepteurs sont-ils codés ?
Pourquoi ne peuvent-ils pas contrôler seuls toutes les infections ?
Que font-ils en réponse à l'antigène ?
Réponse :
Immunité innée Immunité adaptative
Quelles sont les cellules qui assurent la médiation ? Macrophages, cellules NK, neutrophiles,
mastocytes et osinophiles Cellules T et cellules B
Que reconnaissent-ils ? Modèles d'agents pathogènes Épitopes spécifiques
Comment les récepteurs sont-ils codés ? Lignée germinale Segments de gènes réarrangés
Pourquoi ne peuvent-ils pas contrôler seuls toutes les infections ? Les agents pathogènes
développent des mécanismes d'évasion Trop long à développer
Que font-ils en réponse à l'antigène ? Engloutir et détruire, induire une inflammation Produire
des anticorps, tuer les cellules infectées
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 3
Indice : revoir le tableau 1-4.
14. Quelles sont les caractéristiques de l'inflammation ? Décrire les caractéristiques
physiques d'une personne en proie à une réaction inflammatoire.
Réponse : Rougeur, gonflement, chaleur, douleur. Une personne souffrant d'inflammation
peut présenter un gonflement localisé, des rougeurs ou des démangeaisons, ou, si
l'inflammation est plus grave, se sentir mal en raison d'une baisse de la tension artérielle.
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 2
Conseil : De nombreuses personnes souffrent d'une inflammation en réponse à une piqûre
d'insecte.
15. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux les chimiokines ?
A. Récepteurs membranaires qui détectent la présence de messagers solubles dans
l'environnement
B. Protéines solubles qui recrutent des cellules spécifiques dans une zone donnée
C. Messagers chimiques qui induisent la différenciation cellulaire
D. Facteurs de transcription qui induisent l'expression de gènes impliqués dans
l'adhésion à la cellule
E. Molécules d'adhésion qui se fixent à l'intérieur des vaisseaux sanguins
Réponse : B
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 2
Indice : les chimiokines sont un type particulier de cytokine.
16. Laquelle des affirmations suivantes différencie le mieux les réponses immunitaires
innées et adaptatives ?
A. Les réponses innées sont plus fortes pendant la réponse primaire et moins
importantes pendant la réponse secondaire, tandis que les réponses adaptatives sont moins
robustes pendant les réponses primaires et plus fortes pendant les réponses secondaires.
B. Les réponses innées sont plus faibles pendant la réponse primaire et plus robustes
pendant la réponse secondaire, tandis que les réponses adaptatives sont plus fortes pendant
la réponse primaire et plus faibles pendant la réponse secondaire.
C. Les réponses innées sont plus lentes et plus faibles que les réponses adaptatives.
D. Les réponses adaptatives sont plus lentes et plus faibles que les réponses innées.
E. Les réponses adaptatives sont nécessaires pour que les réponses immunitaires
soient efficaces, alors que dans le cas de l'immunodéficience, les réponses adaptatives ne
sont pas nécessaires.
Il n'est pas nécessaire de fournir des réponses détaillées.
Réponse : A
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 2
Indice : les réponses innées et adaptatives sont étroitement liées.
17. Vrai ou faux ? Les réponses immunitaires innées et adaptatives fonctionnent en
grande partie indépendamment l'une de l'autre.
Réponse : Faux
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 2
Indice : Comment les réponses adaptatives sont-elles initiées ?
18. Comment les cellules mémoires se développent-elles ?
A. En cas de réinfection, les centres de mémoire du cerveau envoient des signaux à la
flèche osseuse pour induire la différenciation des lymphocytes T et des lymphocytes B.
B. Les cellules T et B de la réponse primaire persistent et se réactivent.
C. Les cellules innées sont entraînées à activer de nouvelles cellules T et B plus
rapidement en cas d'infection secondaire.
D. Les cellules T et les cellules B de l'infection primaire mutent lentement leurs
récepteurs au fil du temps, se préparant ainsi à la réponse secondaire.
E. Les cellules innées modifient leurs récepteurs de surface pour se préparer à la
réinfection.
Réponse : B
Section : Concepts importants pour comprendre la réponse immunitaire des mammifères
Difficulté : 2
Indice : les cellules mémoires sont dérivées des cellules effectrices.
19. Lequel des exemples suivants est le MEILLEUR exemple de réaction
d'hypersensibilité ?
A. Les cellules T réagissent vigoureusement au virus de la grippe
B. Les cellules B ne réagissent pas au VIH, ce qui lui permet de se répliquer de
manière incontrôlée.
l
C. Inflammation des voies respiratoires en réponse au pollen
D. Anémie due à une carence en fer
E. Les cellules T attaquent la gaine de myéline des nerfs, ce qui entraîne une
paralysie.
Réponse : C
Section : Le bon, le mauvais et le laid du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Les réactions d'hypersensibilité se produisent en réponse à des antigènes courants
et bénins.
20. L'hypothèse de l'hygiène suppose qu'il existe un lien entre les conditions mentales
ambiantes et certaines réponses immunitaires inappropriées. Si vous étiez un partisan de
l'hypothèse de l'hygiène, quelles recommandations feriez-vous pour que les gens soient en
meilleure santé ?
Réponse : Exposer les enfants à des antigènes plus courants présents dans la saleté et à
l'extérieur. Réduire l'utilisation des antimicrobiens.
Section : Le bon, le mauvais et le laid du système immunitaire
Difficulté : 3
Indice : Cette hypothèse suggère que les conditions d'hygiène ont entraîné un déséquilibre
des réponses immunitaires en faveur des maladies infectieuses. l'allergie.
21. La maladie du VIH est un/une :
A. maladie auto-immune.
B. maladie d'hypersensibilité.
C. immunodéficience.
D. maladie génétique.
E. réaction allergique.
Réponse : C
Section : Le bon, le mauvais et le laid du système immunitaire
Difficulté : 1
Indice : les personnes atteintes du VIH tombent plus souvent malades que d'habitude.
22. Prévoir les conséquences d'une immunodépression sur le développement d'un
cancer.
A. Les personnes immunodéprimées sont moins exposées au risque de cancer, car les
cytokines produites par le système immunitaire induisent le cancer.
B. Les personnes immunodéprimées sont moins exposées au risque de cancer car
elles sont plus susceptibles de contracter des maladies infectieuses.
C. Les personnes immunodéprimées sont plus exposées au risque de cancer car le
système immunitaire reconnaît et détruit les cellules cancéreuses.
D. Les personnes immunodéprimées sont plus exposées au risque de cancer parce
qu'elles sont plus exposées aux microbes qui endommagent les tissus de l'hôte.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : C
Section : Le bon, le mauvais et le laid du système immunitaire
Difficulté : 3
Indice : les cellules T peuvent reconnaître les protéines modifiées de l'hôte.
23. Que se passe-t-il lorsqu'une personne reçoit une greffe de tissu d'un individu non
apparenté ?
A. Les hôte^s lymphocytes pénètrent dans les tissus et sont supprimées.
B. Les hôte^s lymphocytes pénètrent dans les tissus et s'activer.
C. Les hôte^s lymphocytes qui réagissent à la greffe de tissu sont supprimésdans le
t
hyménée.
D. Les lymphocytes du donneur suppriment les lymphocytes de l'hôte, ce qui permet la
survie du greffon.
E. Les lymphocytes du donneur détruisent le système immunitaire de l'hôte.
Réponse : B
Section : Le bon, le mauvais et le laid du système immunitaire
Difficulté : 3
Indice : Les personnes recevant une greffe sont souvent soumises à des médicaments
immunosuppresseurs.
24. Lequel des éléments suivants est VRAI ?
A. Vaccins causel'autisme.
B. Vaccins causel'obésité.
C. Vaccins causele cancer.
D. Vaccins causele diabète.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : E
La section : Une perspective historique
Difficulté : 1
Indice : l'article du Lancet a été rétracté.
25. Les conditions dans lesquelles le système immunitaire attaque les auto-antigènes
sont connues sous le nom de
A. l'auto-immunité.
B. déficit immunitaire, hypersensibilité, neuroplasie.
C. Aucune de ces réponses
D.
E. Réponse : A
Section : Le bon, le mauvais et le laid du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : les personnes atteintes du VIH tombent plus souvent malades que d'habitude.
Chapitre 2 Cellules, organes et microenvironnements du système immunitaire

1. Toutes les cellules sanguines d'un adulte peuvent être rattachées à quel compartiment de
l'organisme ?
A. Thymus
B. Moelle osseuse
C. Ganglion lymphatique
D. Plaque de Peyer
E. Aucune desci-dessus
Réponse : B
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 1
Indice : Lequel de ces éléments est un réservoir de cellules souches ?
2. Une personne pluripotente tige cellule peut faire quoi parmi les choses
suivantes ?
A. Différencier en un fini nombre de types de cellules différents
B. Différencier en tout type de cellule que l'on trouve dans l'adulte
C. Diviser une infinité nombre de fois
D. Toutes les réponses ci-dessus
E. Aucune de ces réponses
Réponse : A
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : une cellule souche pluripotente n'est pas toujours une cellule totipotente.
3. Laquelle des cellules suivantes est la cellule souche pluripotente qui donne
naissance à toutes les cellules sanguines ?
A. No table of contents entries found.
B. Aucune de ces réponses
Réponse : D
Section : Les cellules du système immunitaire Difficulté : 3
Indice : L'un des types de cellules cités donne naissance aux trois autres, qui, à leur tour,
sont à l'origine de l'hétérogénéité cellulaire dans le sang.
4. De Parmi les cellules souches suivantes, lesquelles sont dérivées des cellules
NK ?

A. CLP
B. CMP
C. CEP
D. Les deux A et B
E. Aucundelesci-dessus
Réponse : A
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
5. De qui deles cellules souches suivantes sont-elles dérivées des DC ?
B. No table of contents entries found.
C. Aucunde ce qui précède
Réponse : D
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
A. De qui deles cellules souches suivantes sont-elles dérivées des plaquettes ?
B. No table of contents entries found.
C. Aucunde ce qui précède
Réponse : C
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
B. De qui deles cellules souches suivantes sont-elles dérivées des éosinophiles ?
C. No table of contents entries found.
D. Aucunde ce qui précède
Réponse : B
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
8. De qui deLes cellules souches suivantes sont des cellules T auxiliaires (TH) ?
B. No table of contents entries found.
C. Aucunde ce qui précède
Réponse : A
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
9. De laquelle des cellules souches suivantes les monocytes dérivent-
ils ?
A. CLP
B. CMP
C. CEP
D. A et B
E. Aucune de ces réponses
Répons B
e:
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
10. De qui deles cellules souches suivantes sont-elles dérivées des GR ?
A. No table of contents entries found.
B. Aucunde ce qui précède
Réponse : C
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Conseil : sachez quelles cellules souches donnent naissance à quels effecteurs ; les DC sont
difficiles à cerner.
11. Quel niveau d'expression génétique est régulé par des facteurs tels que Notch1, GA
TA-2 et Bmi-1 ?
A. Réplication
B. Transcription
C. Traitement de l'ARN
D. Traduction
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : De nombreux programmes de différenciation cellulaire dans le système immunitaire
sont régulés par des régulateurs principaux qui interviennent tôt dans l'expression des
gènes.
12. Quelle lignée de cellules immunitaires constitue la première ligne de défense contre
une infection ?

A. Lymphoïde
B. Erythroïde
C. Myéloïde
D. Toutes les
E. réponses ci-dessus
Réponse : C
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 1
Indice : Les granulocytes sont d'importants premiers intervenants ; à partir de quel type de
progéniteur se développent-ils ?
13. Lequel des éléments suivants n'est PAS issu de la progéniture lymphoïde commune
?
A. Cellules T
B. Cellules NK
C. Cellules B
D. Eosinophiles
E. Tous les ci-dessus descendent d'un progéniteur lymphoïde commun.

Réponse : D
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 1
Indice : l'un des choix proposés provient du CMP.
14. Lequel des granulocytes suivants contient de l'histamine dans ses granules ?
A. Neutrophiles
B. Eosinophiles
C. Basophiles
D. B et C
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : C
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : un seul des types énumérés ci-dessus contient de l'histamine dans ses granules.
15. Lequel des énoncés suivants n'est PAS vrai en ce qui concerne les monocytes ?
A. Ils représentent entre 5 et 10 % des leucocytes circulants.
B. Ils ont la capacité de se différencier en macrophages ou en cellules dendritiques.
ls.
C. Ils peuvent être subdivisés en monocytes inflammatoires et en monocytes
patrouilleurs.
D. Ils peuvent donner naissance à des plaquettes.
E. Toutes les réponses ci-dessus sont vraies.
Réponse : D
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : L'une des affirmations est fausse ; quels types de cellules descendent des
monocytes ?
16. Lequel des types de cellules suivants est responsable de la sécrétion des
immunoglobulines ?

A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TFH
E. Cellule
Réponse : E
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Quels types de lymphocytes sont responsables de la régulation des réactions
immunitaires ; lesquels sont spécialisés dans la production d'anticorps spécifiques à
l'antigène ?

17. Parmi les types de cellules suivants, lequel est responsable de la régulation de la
réponse contre les pathogènes intracellulaires ?

A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TFH
E. Plasmacellule
Réponse : A
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Quels types de lymphocytes sont responsables de la régulation des réactions
immunitaires ; lesquels sont spécialisés dans la production d'anticorps spécifiques à
l'antigène ?

18. Lequel des types de cellules suivants est responsable de l'activation des cellules B
dans les centres germinaux ?

A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TFH
E. Cellule
Réponse : D
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Quels types de lymphocytes sont responsables de la régulation des réactions
immunitaires ; lesquels sont spécialisés dans la production d'anticorps spécifiques à
l'antigène ?

19. Lequel des types de cellules suivants est responsable de la régulation de la réponse
contre les agents pathogènes principalement extracellulaires ?

A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TFH
E. Cellule
Réponse : B
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Quels types de lymphocytes sont responsables de la régulation des réactions
immunitaires ; lesquels sont spécialisés dans la production d'anticorps spécifiques à
l'antigène ?

20. Lequel des types cellulaires suivants sécrète l'IL-17 et peut jouer un rôle dans les
réponses antifongiques ?

A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TFH
E. Cellule
Réponse : C
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Quels types de lymphocytes sont responsables de la régulation des réactions
immunitaires ; lesquels sont spécialisés dans la production d'anticorps spécifiques à
l'antigène ?
21. Laquelle des populations de lymphocytes T effecteurs suivantes est produite par
l'activation d'un lymphocyte T naïf par un antigène présenté dans le CMH de classe I ?
C. TH2
D. TH17
E. Aucunde ce qui précède

Réponse : A
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Lequel des choix provient d'une cellule T naïve CD8+ ?
22. Lequel des types de lymphocytes T effecteurs suivants est capable de déclencher
une réponse immunitaire à un antigène reconnu par son récepteur de cellules T (RCT) ?
A. TH1
B. Treg
C. TH2
D. TH17
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Les cellules du système immunitaire
Difficulté : 2
Indice : Quelles sont les cellules énumérées qui stimulent des éléments spécifiques de la
réponse immunitaire ?
23. Lesquels des descendants suivants du CLP interviennent dans la réponse immunitaire
innée ?
A. Cellules T
B. Cellules NK
C. Cellules B
D. Cellules plasmatiques
E. Tous les ci-dessus
Réponse : B
Section : Les cellules du système immunitaire Difficulté : 1
Indice : Quel type de cellule ne régule pas les réponses immunitaires et ne sécrète pas
d'anticorps ?
Lequel des éléments suivants n'est PAS considéré comme un tissu lymphoïde
24.
primaire ?
A. Ganglion lymphatique drainant
B. Thymus
C. Plaque de Peyer
D. Les choix A et C ne sont pas des tissus lymphoïdes primaires.
E. Aucun des éléments ci-dessus n'est un tissu lymphoïde primaire.
Répon : D
se
Section : Organes lymphoïdes primaires^Les cellules immunitaires s'y développent
Difficulté : 2
Indice : En quoi les tissus lymphoïdes primaires et secondaires diffèrent-ils sur le plan
fonctionnel ; quelles sont les hap pens dans chacun des tissus cités ?
25. Chez les mammifères, le développement des lymphocytes T se produit dans les
régions suivantes ____________________________________________tandis que les
cellules B
Le développement se produit principalement dans les _____.
A. thymus ; bourse de Fabricius
B. os moelle ; ganglions lymphatiques mésentériques
C. os moelle ; thymus
D. thymus ; os moelle
E. Aucun de ce qui précède
Réponse : D
Section : Organes lymphoïdes primaires^Les cellules immunitaires s'y développent
Difficulté : 2
Indice : les cellules B (et leurs récepteurs spécifiques à l'antigène) se développent dans des
sites différents chez les mammifères et chez les oiseaux.
26. Au cours de leur développement, les thymocytes sont classés en fonction de l'état
de leurs récepteurs de cellules T et de ce qui suit ?
A. La classe de CMH qu'ils expriment à leur surface
B. L'état des chaînes lourdes et légères des immunoglobulines à leur surface
C. la présence des protéines CD4 et CD8 à leur surface
D. L'expression du facteur de transcription FoxP3
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Organes lymphoïdes primaires^Les cellules immunitaires s'y développent
Difficulté : 2
Indice : Lequel des facteurs mentionnés ci-dessus, présents à la surface des cellules T, est
essentiel à la fonction des cellules T ?
27. À leur entrée dans le thymus, les thymocytes sont classés en double _____________
avant de sortir en tant que cellules T naïves simple-positives, elles passent par une période
au cours de laquelle elles sont doubles-positives, c'est-à-dire qu'elles ne sont plus des
cellules T naïves. ________________________________________________________.
A. positif ; négatif
B. négatif ; positif
C. Les deux sont vrais.
D. Ni l'un ni l'autre n'est vrai.
E. L'état d'expression des corécepteurs ne change pas dans le thymus.
Réponse : B
Section : Organes lymphoïdes primaires^Les cellules immunitaires s'y développent
Difficulté : 2
Indice : l'expression des gènes des corécepteurs change au cours du développement des
thymocytes.
28. Lequel des types de muscles suivants est responsable de la propulsion de la
lymphe dans le système lymphatique ?
A. Cardiaque
B. Squelette
C. Lisse
D. Tant B que C
E. Aucune desci-dessus
Réponse : D
Section : Organes lymphoïdes secondaires^Où la réponse immunitaire est initiée Difficulté :
2
Indice : La lymphe n'est pas propulsée dans le corps de la même manière que le sang.
29. Les lymphocytes naïfs pénètrent dans les tissus lymphoïdes secondaires par
laquelle des structures suivantes ?
A. Afférentlymphatiques
B. Efférentlymphatiques
C. Véhicules électriques hybrides
D. Marginale sinus
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Organes lymphoïdes secondaires^Lieu de déclenchement de la réponse
immunitaire
Difficulté : 2
Indice : les lymphocytes entrent par une voie différente de celle des antigènes.
30. Lequel des éléments suivants ne semble pas utiliser le système FRCC en tant
principalqu'outil
moyendedegestion de l'information
circulation ?
dans les ganglions
lymphatiques
A. ?
Cellules B
B. Cellules T
C. Antigène libre ayant pénétré par une voie lymphatique afférente Cytokines et
D. chimiokines
E. Aucun des éléments ci-dessus n'utilise le système FRCC.
Réponse : A
Section : Organes lymphoïdes secondaires^Lieu de déclenchement de la réponse
immunitaire
Difficulté : 3
Indice : Comment le système FRCC aide-t-il les molécules et les cellules à se déplacer dans
la lymphe ?

Chapitre 3 Récepteurs et signalisation : Récepteurs des cellules B et T

1. Lequel des types de liaisons suivants est le MOINS probable dans une interaction
récepteur-ligand ?
A. Ionique lien
B. Liaison covalente
C. Liaison hydrogène
D. Interaction hydrophobe
E. Ioniquelien
Réponse : B
Section : Interactions récepteur-ligand
Difficulté : 2
Conseil : la plupart des interactions entre les récepteurs et les ligands peuvent être
perturbées par des concentrations élevées en sel.
2. Ka, la constante d'association, est une mesure deLequel des éléments suivants ?
A. Les concentration du ligand non lié
B. Les concentration du récepteur non lié
C. Les affinité du récepteur pour le ligand
D. Les la taille du récepteur par rapport à la ligand
E. Les nombre de ligands pour chaque récepteur
Réponse : C
Section : Interactions récepteur-ligand
Difficulté : 2
Indice : il s'agit du rapport entre la constante de vitesse d'association et la constante de
vitesse de dissociation.
3. Les récepteurs multivalents ont tendance à se lier plus fortement à leurs ligands.
que les récepteurs dotés d'un seul site de liaison. Quel est le terme utilisé pour décrire ce
phénomène ?
A. Avidity
B. Valence
C. Affinité
D. Magnétisme
E. Aucune de ces réponses
Réponse : A
Section : Interactions récepteur-ligand
Difficulté : 2
Conseil : l'affinité est prise en compte dans le calcul de l'avidité.
4. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux la façon dont les cytokines sont
libérées par les cellules T activées ?
A. Les cytokines sont libérées à proximité des récepteurs des cellules T. en grappe.
B. Les cellules T libèrent des cytokinessur le côté de la cellule opposé au MTOC en
o
La réponse de l'organisme est distribuée plus efficacement dans la cellule.
C. Les cellules T libèrent des cytokines uniformément autour de la cellule.
D. Les cytokines sont libérées dans de courtes rafales à
partir d'éléments préformés vésicules pleines de
cytokines.
E. Les cytokines sont libérées dans n'importe quelle direction du MTOC lors de la
ligature du TCR.
Réponse : A
Section : Interactions récepteur-ligand
Difficulté : 1
Indice : Le MTOC oriente l'appareil sécrétoire vers les récepteurs des cellules T.
5. Les récepteurs qui se dimérisent lors de la fixation du ligand contiennent souvent
des i
dans leurs domaines cytoplasmiques.
A. tyrosine kinases
B. régions hydrophobes
C. protéases
D. régions de liaison aux métaux
E. grands plis d'immunoglobuline
Réponse : A
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 1
Conseil : la signalisation commence souvent par l'ajout d'un phosphate.
6. Des parties des domaines cytoplasmiques de nombreux récepteurs immunitaires
sont des cibles pour la phosphorylation. Ces domaines sont connus sous le nom de :
A. Domaines Grb.
B. ITAM.
C. fermeture à glissière en leucine motifs.
D. Domaines SOS.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 1
Indice : l'activation induit la phosphorylation.
7. Les radeaux lipidiques sont des régions très ordonnées de la membrane cellulaire
qui sont enr
dans l'espace :
A. les graisses insaturées.
B. le cholestérol.
C. protéines métaboliques.
D. clathrine.
E. tubuline.
Réponse : B
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 1
Indice : les radeaux lipidiques sont plus rigides que les autres régions de la membrane.
8. Lesquels des éléments suivants sont des moyens bien établis par lesquels la
phosphorylation de la tyrosine affecte directement les voies de signalisation ?

A. Induction de l'activité kinase


B. Recrutement d'enzymes par les domaines
C. SH2
D. Ouverture des canaux calciques
E. b et c
Réponse : D
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 1
Indice : Un second messager soluble se lie aux canaux calciques du réticulum
endoplasmique.
9. Lequel des éléments suivants est la relation CORRECTE ?
A. PIP2 = PIP3 ^ DAG
B. PIP2 = IP3 + DAG
C. PLC PIP2+ PIP3
D. DAG PIP2+ PIP3
E. PIP3 = IP3 + PIP2
Réponse : B
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 2
Indice : le PLC- ?? clive le PIP2, ce qui entraîne des signaux en aval.
10. Quel facteur de transcription est transloqué dans le noyau à la suite de l'activation
de la calmoduline ?

A. NF-?
B. NFA
C. STA
D. STA
E. STA
Réponse : B
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 2
Indice : la calcineurine agit sur ce facteur de transcription.
11. Protéines G :
A. lient le GTP.
B. déphosphrylate ITAMs.
C. sont des facteurs de transcription.
D. moduler à la baisse les réponses immunitaires.
E. sont des molécules d'adhésion.
Réponse : A
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 2
Indice : les protéines G sont souvent associées à la membrane.

12. Lequel des éléments suivants est responsable de l'expression de l'IL-2 dans
les cellules T ?
A. NF-?B
B. NFAT
C. AP1
D. A et B
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Stratégies communes utilisées dans de nombreuses voies de signalisation
Difficulté : 2
Conseil : le promoteur de l'IL-2 possède de nombreux sites de liaison de facteurs de
transcription.
13. Les domaines de l'immunoglobuline sont constitués de :
A. série de ? hélices liées entre elles par des interactions hydrophobes dans leurs
chaînes latérales.
B. ? hélices alternant avec des feuillets ?-parallèles.
C. Feuilles antiparallèles plissées et stabilisées par des interactions hydrophobes.
D. compactes, parallèles ? feuilles formant une structure en tonneau.
E. ? hélices maintenues ensemble par des répétitions de leucine.
Réponse : C
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 2
Conseil : le promoteur de l'IL-2 possède de nombreux sites de liaison de facteurs de
transcription.
14. Sur le gel ci-dessous, quelles bandes devraient fixer l'antigène ?

A. A
B. B
C. C
D. D
E. A, B et C
Réponse : E
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 3
Indice : le domaine Fab fixe l'antigène.
15. Les anticorps sont constitués de :

A. deux chaînes lourdes identiques et deux chaînes légères identiques.

B. une ? chaîne, uneune chaîne ?, une chaîne ? et une chaîne ? ? chaîne.


C. deux ? chaînes,an ? et une chaîne ?
D. deux ? chaînes,an ? et une chaîne ?
E. soit une chaîne ?ou une ??chaîne, une ? chaîne et une chaîne ?
Réponse : A
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 2
Indice : les anticorps ont la forme d'un Y.
16. Parmi les isotypes d'anticorps suivants, lequel est le plus grand ?
A. IgM
B. IgG
C. IgA
D. IgE
E. IgD
Réponse : A
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 2
Indice : certains isotypes sont des multimères.
17. L'idiotype d'un anticorps renvoie à :
A. le type de région Fc qu'il contient.
B. la séquence de son CDR.
C. La forme allélique de Ii.
D. qu'il s'agisse d'une membrane lié ou sécrétée.
E. que des molécules accessoires s'y associent.
Réponse : B
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 2
Indice : l'idiotype d'un anticorps détermine l'antigène qu'il lie.
18. Les chaînes d'hydrates de carbone attachées aux domaines CH2 des IgA, IgD et
IgG sont
a cru à :
A. permettre un contact plus étroit entre les chaînes partenaires.
B. confèrent une stabilité à la molécule, ce qui se traduit par une température de
erature.
C. empêcher la dégradation de la protéase.
D. fournissent un espace pour la fixation de la protéine du complément augmentent
E. l'affinité de la fixation pour l'antigène.

Réponse : D
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 2
Indice : d'autres molécules immunitaires interagissent avec le domaine CH2.
19. Le fait qu'une immunoglobuline soit sécrétée ou liée à la membrane est directement
déterminé par :
A. la séquence de l'ADN dans le locus de l'Ig.
B. épissage de l'ARNm.
C. les type de cellule B qui le produit.
D. ADN réarrangement.
E. GPI les ancres.
Réponse : B
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 3
Indice : ce mécanisme est différent de celui qui détermine la fixation de l'antigène.
20. Les récepteurs qui se lient aux régions constantes des anticorps sont connus sous
le nom de :
A. Récepteurs des cellules B.
B. Récepteurs des cellules T.
C. les récepteurs idiotypiques.
D. les récepteurs de type Toll.
E. Récepteurs Fc.
Réponse : E
Section : La structure des anticorps
Difficulté : 2
Indice : Quelle partie d'un anticorps contient la région constante ?
21. De grandes quantités d'anticorps monoclonaux dans le sérum d'un individu mig
ht être un indicateur de :
A. l'infection.
B. Déficit en lymphocytes T.
C. maladie auto-immune.
D. myélome.
E. le stress.
Réponse : D
Section : Transduction du signal dans les cellules B
Difficulté : 3
Indice : Comment obtient-on des anticorps monoclonaux ?
22. Lequel des éléments suivants serait le MEILLEUR pour l'épuisement d'une classe
entière d'anticorps ?
A. Anti-idiotype anticorps
B. Anti-isotypeanticorps
C. Anti-CD19
D. Anti-CD4
E. Anti-CD8
Réponse : B
Section : Transduction du signal dans les cellules B
Difficulté : 2
Indice : Comment obtient-on des anticorps monoclonaux ?
23. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux pourquoi il est difficile pour les
immunoglobulines de surface de transmettre un signal dans la cellule après la fixation de
l'antigène ?
A. Il faut deux fois plus d'antigène pour stimuler les cellules, car chaque anticorps
possède deux sites de liaison à l'antigène.
B. Le domaine cytoplasmique de l'Ig de surface ne comporte que trois acides aminés.
C. Ig ? est rapidement déphosphorylé.
D. Il s'agit d'un système inflexiblemolécule.
E. Tous de ci-dessus.
Réponse : B
Section : Transduction du signal dans les cellules B
Difficulté : 3
Indice : Qu'est-ce qui transmet le signal dans la cellule ?
24. Les régions des TCR et des BCR qui sont particulièrement variables dans leurs
séquences d'acides aminés sont connues :
A. la liaison à l'antigène.
B. coller aux protéines dénaturées.
C. enjambant la membrane plasmique.
D. la liaison aux protéines adaptatrices.
E. en devenant phosphorylé.
Réponse : A
Section : Transduction du signal dans les cellules B
Difficulté : 3
Indice : Que se passe-t-il lorsque les séquences d'acides aminés changent dans une
protéine ?
25. Lequel des éléments suivants contient le PLUS grand nombre d'ITAM ?
A. No table of contents entries found.
B. TCR ?
C. TCR ?
Réponse : C
Section : Récepteurs et signalisation des cellules T
Difficulté : 3
Indice : il s'agit de la chaîne ayant le domaine cytoplasmique le plus long.
26. CD4 se lie à :
A. TCR ?
B. TCR ?
C. CMH de
D. CMH de
E. CD8
Réponse : D
Section : Récepteurs et signalisation des cellules T
Difficulté : 3
Indice : elle n'est exprimée que sur les APC professionnelles.
27. La composante spécifique à l'antigène du récepteur des cellules B est :
A. ITAM.
B. CD19.
C. Ig?/ ???
D. CD21.
E. Lyn.
Réponse : C
Section : Transduction du signal dans les cellules B
Difficulté : 3
Indice : il n'est pas impliqué dans la signalisation.
Chapitre 4 Récepteurs et signalisation : Cytokines et chimiokines

1. A(n) __________est une molécule utilisée par les cellules immunitaires pour communiquer.
A. chimioattractant
B. chimiokine
C. cytokine interleukine
D. Toutes les réponses ci-dessus
E.
Réponse : E
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : Les cellules immunitaires utilisent plusieurs types de cellules pour communiquer,
s'activer et se réguler les unes les autres.
2. Lequel des éléments suivants n'est PAS une propriété des cytokines ?
A. Induire l'apoptose (la mort programmée) mort cellulaire)
B. Induire la motilité cellulaire
C. Molécule de signalisation liée à la membrane
D. Molécule de signalisation soluble
E. Augmentation de la transcription
Réponse : B
Section : Introduction
Difficulté : 2
Indice : les cytokines régulent l'activation et la régulation des cellules.
3. sont responsables du recrutement des cellules immunitaires à un endroit
spécifique.
n à l'intérieur du corps, d'un organe ou d'un tissu.
A. Chimiokines
B. Immunoglobulines
C. Protéines G
D. Récepteurs
E. Aucun desci-dessus
Réponse : A
Section : Introduction
Difficulté : 2
Indice : les chimiokines sont un type de chimioattractant spécifique au système immunitaire.
4. L'activité de la plupart des cytokines est décrite de la manière suivante :
A. autocrine.
B. paracrine.
C. endocrinienne.
D. Tant A que B
E. Tant B que C
Réponse : D
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : En règle générale, les cytokines se stimulent elles-mêmes ou stimulent les cellules
voisines.
5. Faire la différence entre endocrine, paracrine et autocrine. Donnez un exemple de
cytokine qui démontre une telle activité. (Des cytokines différentes peuvent être énumérées
pour chaque terme).
Réponse : Voir le tableau ci-dessous.

Autocrine Paracrine Endocrine


Définition Le signal stimule la cellule qui l'a émis (autostimulation).
n) Le signal stimule la cellule voisine Le signal stimule la cellule dans
r organe ; passent dans la circulation sanguine avant de uneseautre
lier
au récepteur
Exemple IL-2 (différenciation des lymphocytes T en lymphocytes T mémoires et lymphocytes
T cytotoxiques [CTL])
IL-2 (stimule la prolifération des cellules B, par exemple dans les organes
immunitaires secondaires : ganglions lymphatiques, rate) IL-2 (provoque l'activation des
cellules NK qui peuvent être présentes à proximité ou à distance)
Section : Introduction
Difficulté : 3
Indice : Les cytokines ont pour fonction de stimuler le soi, les cellules voisines et les cellules
éloignées.
6. Qu'est-ce qui détermine si une cellule particulière sera affectée par une cytokine ?
A. Une concentration locale élevée de la molécule de cytokine
B. Localisation de la cellule libérant la cytokine
C. Présence ou absence d'un récepteur de cytokine
D. Deux cytokines différentes liant la cellule réceptrice
E. A et C
Réponse : C
Section : Propriétés générales des cytokines et des chimiokines
Difficulté : 1
Indice : tous les signaux chimiques doivent être détectés par une molécule réceptrice.
7. L'IL-2 agit sur plusieurs types de cellules et régule ainsi de multiples processus
immunitaires.
s. L'IL-2 est réputé être :
A. antagoniste.
B. inductible par la cascade.
C. pléiotrope.
D. redondant.
E. synergique.
Réponse : C
Section : Propriétés générales des cytokines et des chimiokines
Difficulté : 1
Conseil : les cytokines qui ont une seule cible sont monotropes, tandis que les cytokines qui
ont plusieurs cibles sont pléiotropes.
8. Vous êtes un nouveau membre d'un laboratoire de recherche universitaire. Votre
recherche porte sur les effets d'une nouvelle cytokine, le TNF-mu (TNF-µ). Au cours de votre
recherche, vous découvrez que le TNF-µ induit la maturation des monocytes, inhibe le
développement des éosinophiles et amorce une cascade de signalisation qui favorise la
libération d'histamine. Quel terme décrit le mieux l'action du TNF-µ sur les éosinophiles ?
A. Antagoniste
B. Inductible en cascade
C. Pléiotropique
D. Redondant
E. Synergique
Réponse : A
Section : Propriétés générales des cytokines et des chimiokines
Difficulté : 3
Indice : l'inhibition est une forme d'antagonisme.
9. La prolifération des cellules B est déclenchée par l'IL-2, l'IL-4 et l'IL-5. Chacune de
ces cytokines est sécrétée par les cellules TH activées, ce qui explique leur action :

A. antagoniste.
B. inductible par la cascade.
C. pléiotrope.
D. redondant.
E. synergique.
Réponse : D
Section : Propriétés générales des cytokines et des chimiokines
Difficulté : 1
Indice : Signaux multiples pour leLe même événement est définie comme
une maladie immunologiquela redondance.
10. Lequel des éléments suivantsest un exemple d'antagonisme ?
A. L'IL-2 stimule les cellules B prolifération afin que les anticorps soient produit.
B. L'IL-4 incite les cellules B à différencier dans le plasma et la mémoiredes
cellules.
C. L'IL-4 et l'IL-5 provoquent un changement de classe des immunoglobulines
sécrétées par les cellules plasmatiques.
D. L'IFN- ? empêche le changement de classe dans les plasmocytes en se liant à l'IL-
4.
E. L'IL-12 stimule l'activation des cellules TH.
Réponse : D
Section : Propriétés générales des cytokines et des chimiokines
Difficulté : 2
Indice : l'antagonisme bloque un récepteur ou inhibe une voie de signalisation.
11. Les chimiokines présentent souvent une redondance dans leur signalisation.
Pourquoi la redondance peut-elle être bénéfique dans les organismes multicellulaires pour
déclencher certaines réactions immunitaires ?
A. La réponse immunitaire peut être régulée à la hausse ou à la baisse en fonction du
nombre de chimiokines libérées.
B. La réception de signaux multiples permet une double vérification avant le
déclenchement d'une réponse immunitaire.
C. Certains signaux ciblent plusieurs cellules et ne sont pas spécifiques.
D. Les cellules inactivées ne lient pas les signaux des chimiokines.
E. A, B et C
Réponse : E
Section : Propriétés générales des cytokines et des chimiokines
Difficulté : 3
Conseil : la redondance répète un signal chimique spécifique en utilisant plus d'une voie de
signalisation.
12. Les cytokines sont regroupées en familles fonctionnelles. Combien de familles de cy
tokines ont été identifiées à ce jour ?
A. No table of contents entries found.
B. Plus de 100
Réponse : B
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 1
Indice : il existe six familles de récepteurs de cytokines.
13. Quelle famille de cytokines est responsable de la promotion de l'inflammation ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 1
E. Famille du facteur de nécrose tumorale
Réponse : D
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 1
Indice : les interleukines sont impliquées dans l'inflammation.
14. IRAK est une kinase activée par les récepteurs de cytokines qui se lie à MyD88 et
TRAF6.
Le complexe IRAK-TRAF6 active la protéine TAK1 qui activera soit la cascade de la
kinase MA P, soit la voie NF- ? Quelle famille de récepteurs de cytokines peut activer
l'IRAK ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 1
E. Famille de l'interleukine 17
Réponse : D
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 3
Indice : les interleukines sont fréquemment utilisées dans les voies de signalisation.
15. L'IL-2, le GM-CSF, l'érythropoïétine, la prolactine et l'IL-12 sont des représentants
de l'IL-2.
de quelle famille de cytokines ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 1
E. Famille de l'interleukine 17
Réponse : B
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 2
Indice : le GM-CSF et l'érythropoïétine stimulent le développement des cellules sanguines.
16. Quelle famille de cytokines a été découverte en premier ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 1
E. Famille du facteur de nécrose tumorale
Réponse : C
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 1
Indice : histoire de l'interféron.
17. Les membres de l'interféron de type I et de type III sont responsables du contrôle :
A. la réplication virale dans les cellules hôtes.
B. Destruction par la CT des cellules hôtes infectées par un virus.
C. la prolifération des cellules hôtes infectées par le virus.
D. l'apoptose des cellules hôtes infectées par un virus.
E. A et C
Réponse : E
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 2
Indice : Les interférons sont utilisés pour réguler les infections virales.
18. Quelle famille de récepteurs de cytokines utilise la famille de tyrosine kinase activée
par Janus (JAK) ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 17
E. Famille du facteur de nécrose tumorale
Réponse : C
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 2
Indice : les kinases JAK sont souvent des sites d'entrée des virus dans les cellules.
19. Quelle famille de cytokines régule le développement, la prolifération ou la mort des
cellules cibles ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 1
E. Famille du facteur de nécrose tumorale
Réponse : E
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 1
Indice : le TNF peut déclencher l'apoptose.
20. Cette famille de cytokines est la plus récemment découverte et contient des
cytokines qui contribuent à la fois à l'immunité innée et à l'immunité adaptative.
A. Famille des chimiokines
B. Famille des interférons
C. Famille de l'interleukine 1
D. Famille de l'interleukine 17
E. Famille du facteur de nécrose tumorale
Réponse : D
Section : Six familles de cytokines et de molécules réceptrices associées
Difficulté : 1
Indice : les interleukines constituent une division relativement nouvelle au sein des cytokines.
21. sont des protéines qui inhibent l'activité de diverses cytokines.
A. ß-bloquants
B. Antagonistes des cytokines
C. Récepteurs de cytokines
D. Protéines G
E. JAK kinases
Réponse : B
Section : Antagonistes des cytokines
Difficulté : 1
Indice : les antagonistes bloquent les voies de signalisation ou les molécules réceptrices.
22. Le virus d'Epstein-Barr produit un homologue de l'IL-10. Quelle est la fonction de
l'homologue de l'IL-10 ?
A. L'homologue de l'IL-10 se lie aux récepteurs cellulaires pour empêcher d'autres
virus d'infecter la cellule hôte.
B. L'homologue de l'IL-10 se lie au récepteur cellulaire pour empêcher les cytokines de
déclencher une réponse inflammatoire.
C. L'homologue de l'IL-10 se lie à toutes les cytokines solubles dans le plasma pour
empêcher une réponse immunitaire.
D. L'homologue de l'IL-10 se lie aux récepteurs cellulaires pour déclencher une
réponse inflammatoire précoce.
E. L'homologue de l'IL-10 ne sert à rien.
Réponse : B
Section : Antagonistes des cytokines
Conseil : les récepteurs de cytokines et les voies de signalisation représentent un site
commun d'entrée du virus dans une cellule hôte.
Difficulté : 2
23. Le virus de la variole, l'agent responsable de la variole, produit des récepteurs
solubles du TNF. Quel est l'avantage de la production d'un récepteur TNF pour éviter la
réponse immunitaire ?
A. Le TNF représente une famille de cytokines solubles. En produisant des récepteurs
solubles qui se lient aux cytokines, la réponse des effecteurs de cytokines est éliminée et
seule une réponse immunitaire limitée se produit.
B. Les récepteurs du TNF se lient aux cellules du système immunitaire et empêchent
la libération de cytokines.
C. Les récepteurs du TNF bloquent la transcription dans les cellules infectées, ce qui
empêche la fabrication de nouvelles particules virales.
D. Les récepteurs du TNF se lient aux cellules TC, empêchant la lyse des cellules
infectées.
E. Les récepteurs du TNF permettent à une cellule infectée d'être infectée par plus
d'une cellule.
virion variolique (particule virale).
Réponse : A
Section : Antagonistes des cytokines
Difficulté : 2
Indice : les cytokines se lient à leurs récepteurs ou à des molécules qui imitent leurs
récepteurs.
24. Le choc septique est causé par :
A. facteur de coagulation.
B. cytokines produites par les cellules mourantes.
C. les infections fongiques.
D. les bactéries gram-positives.
E. le lipide A (une endotoxine).
Réponse : E
Section : Maladies liées aux cytokines
Difficulté : 2
Indice : le lipide A est une endotoxine qui peut provoquer une réponse immunitaire massive
qui submerge généralement le système immunitaire.
25. Une tempête de cytokines, ou hypercytokinémie, est un état dans lequel des
cytokines sont libérées et déclenchent la libération d'autres cytokines pour développer une
boucle de rétroaction positive. On pense que la pandémie de grippe de 1917-1918 a
provoqué une tempête de cytokines chez ses victimes. Lequel des mécanismes suivants
serait le MEILLEUR pour arrêter la boucle de rétroaction positive créée par une tempête de
cytokines ?
A. Utilisation d'antagonistes solubles pour lier les cytokines solubles
B. Utilisation d'antagonistes solubles pour lier les récepteurs membranaires des
cytokines
C. Infecter le patient avec d'autres virus connus pour cibler et tuer les cellules
immunitaires.
D. Traiter le patient avec des médicaments qui tuent toutes les cellules immunitaires
E. Rien ne peut être fait pour le patient.
Réponse : B
Section : Maladies liées aux cytokines
Difficulté : 3
Conseil : pour arrêter une boucle de rétroaction positive, il faut bloquer les signaux en les
retirant. Parce que le blocage est plus facile dans la plupart des cas que l'élimination d'une
molécule de signalisation, les antagonistes sont une option populaire dans le traitement des
boucles de rétroaction positive.
26. Plusieurs médicaments ont été mis au point au cours de la dernière décennie, qui
ciblent des cytokines spécifiques (par exemple, le TNF-a). Quels sont les effets néfastes du
blocage des cytokines sur la santé ?
A. La réponse immunitaire ne sera pas aussi robuste parce que certaines voies ont été
bloquées.
B. L'hyperstimulation du système immunitaire peut entraîner une tempête de cytokines
(hypercytokinémie).
C. Des quantités excessives d'énergie seront nécessaires pour maintenir la réponse
immunitaire lorsque tant de cytokines sont présentes, de sorte que le patient aura besoin de
plus d'une heure de sommeil.
D. Les points A et B sont des préoccupations potentielles.
E. Les points B et C sont des préoccupations potentielles.
Réponse : D
Section : Thérapies à base de cytokines
Difficulté : 2
Indice : les cytokines dirigent tous les mouvements de la réponse immunitaire, de l'activation
cellulaire à la prolifération et à la régulation.
27. Toutes les situations suivantes peuvent se produire lors de l'utilisation d'une faible
dose de cytokine pour traiter une infection virale SAUF :
A. anémie.
B. un temps de récupération plus rapide.
C. l'hyperstimulation de lasystème immunitaire.
D. risque accru de fièvre.
E. Aucun résultat ne sera obtenu.
Réponse : E
Section : Maladies liées aux cytokines
Difficulté : 1
Conseil : les cytokines produisent toujours un effet si leur récepteur est présent.
28. Toutes les raisons suivantes contribuent à la faible utilisation actuelle de la
cytokinésithérapie en médecine SAUF :
A. Les cytokines ont une demi-vie courte, généralement inférieure à 10 minutes.
B. Les cytokines peuvent être liées par des récepteurs solubles et ne jamais atteindre
leur cible.
cellule.
C. Les injections de cytokines provoquent souvent une réaction allergique car les
lapins sont de parfaites usines à cytokines.
D. Les cytokines peuvent entraîner une réponse immunitaire inattendue ou trop
puissante.
.
E. Les cytokines doivent être administrées plusieurs fois selon un calendrier précis.
Réponse : C
Section : Thérapies à base de cytokines
Difficulté : 2
Indice : les cytokines sont des molécules de signalisation hautement régulées qui agissent
généralement sur les cellules propres ou voisines.
29. L'immunothérapie de la PR (polyarthrite rhumatoïde), de la maladie de Crohn et de
la sclérose en plaques repose sur quelle famille de cytokines ?
A. Famille des chimiokines
B. Famille des hématopoïétines
C. Famille des interférons
D. Famille de l'interleukine 1
E. Famille du facteur de nécrose tumorale
Réponse : C
Section : Thérapies à base de cytokines
Difficulté : 2
Indice : La thérapie par interféron est une technologie actuelle et en développement pour
traiter plusieurs maladies auto-immunes.
Chapitre 5 Immunité innée

1. Lequel des éléments suivants n'est PAS entièrement une réponse du système
immunitaire inné ?

A. Phagocytose par les macrophages


B. Protection de la peau contre les infections
C. pH bas dans l'estomac
D. Activation du complément par les anticorps
E. Lyse des cellules microbiennes par la défensine
Réponse : D
Section : Introduction
Difficulté : 2
Indice : Qu'est-ce qui produit les anticorps ?
2. Lesquelles de ces caractéristiques sont adaptatives ?
A. La réponse prend plusieurs jours à se développer
B. Réagit plus rapidement en cas d'exposition secondaire à des agents pathogènes
C. Les récepteurs des agents pathogènes sont extrêmement variés
D. Reconnaître les grandes classes d'agents pathogènes
E. A, B et C
Réponse : E
Section : Introduction
Difficulté : 1
Conseil : consultez le tableau 5-1.

3. Lesquelles de ces caractéristiques sont innées ?


A. Présente dans toutes les plantes et tous les animaux multicellulaires
B. Les récepteurs sont codés dans la lignée germinale
C. Reconnaître les grandes classes d'agents pathogènes
D. Réagit plus rapidement en cas d'exposition secondaire à des agents pathogènes
E. A, B et C
Réponse : E
Section : Introduction
Difficulté : 1
Conseil : consultez le tableau 5-1.
4. Un mélange de S. aureus et de la bactérie entérique E. coli a été placé sur la peau
du bout des doigts d'un volontaire. Le volontaire a immédiatement posé le bout d'un de ses
doigts inoculés sur la plaque de gélose nutritive n° 1, puis a attendu 30 minutes et a posé un
autre doigt inoculé sur la plaque de gélose nutritive n° 2. Après incubation des plaques
pendant la nuit, quel type de croissance devrait-on observer sur les plaques ?

A. Les coli et S. aureus se sont développés sur les deux


B. Plaque a cultivé les deux, tandis que la plaque n° 2 n'a
C. Plaque a cultivé les deux, tandis que la plaque n° 2 n'a
D. Plaque n'a cultivé que S. aureus, tandis que la plaque n° 2
E. Plaque n'a cultivé que E. coli, tandis que la plaque n° 2 a
Réponse : B
Section : Barrières anatomiques à l'infection
Difficulté : 3
Indice : la peau contient de la psoriasine, une protéine antibactérienne.
5. Où avez-vous le MOINS de chances de trouver des niveaux significatifs de
défensines ?
A. Le poumon
B. L'intestin
C. Le foie
D. La peau
E. La vessie
Réponse : C
Section : Barrières anatomiques à l'infection
Difficulté : 2
Indice : Les défensines se trouvent à l'endroit où les agents pathogènes entrent en contact
avec l'hôte pour la première fois.
6. Lequel des éléments suivants est la relation CORRECTE ? _____________sur
____________reconnaître ________________sur ___________________.
A. PRRs ; macrophages ; PAMPs ; pathogènes
B. PRRs ; pathogènes ; PAMPs ; macrophages
C. PAMPs ; macrophages ; PRRs ; pathogènes
D. PAMPs ; neutrophiles ; PRR ; pathogènes
E. PRRs ; macrophages ; PAMPs ; neutrophiles
Réponse : A
Section : Phagocytose
Difficulté : 2
Indice : les PRR se trouvent sur les cellules présentatrices d'antigènes.
7. Pourquoi de nombreuses opsonines sont-elles multimériques ?
A. Parce qu'elles sont toutes dérivées de la même proto-opsonine
B. Parce qu'ils se lient à des structures répétitives à la surface des agents pathogènes
C. Pour qu'ils puissent être régulés de manière allostérique
D. Parce qu'ils doivent réticuler les récepteurs des phagocytes pour que la
phagocytose se produise.
E. Parce qu'une sous-unité lie l'agent pathogène et que l'autre a une activité
enzymatique
Réponse : B
Section : Phagocytose
Difficulté : 2
Indice : les récepteurs multimériques possèdent plusieurs sites de liaison identiques.

8. Lesquels des éléments suivants sont associés à des cellules endommagées ou


mortes ?

A. Acide
B. lysophosphatidique
C. Hydrates de carbone
D. altérés Faible CD47
E. Annexine I à la surface
Réponse : E
Section : Phagocytose
Difficulté : 2
Indice : les membranes cellulaires changent radicalement pendant l'apoptose.
9. Lequel des éléments suivants résulterait, selon vous, d'une mutation de TL R-4 qui
empêche la liaison avec le LPS ?
A. Sensibilité accrue aux infections par des bactéries gram-positives
B. Diminution de la susceptibilité à la septicémie choc
C. Absence de développement à partir de un embryon
D. Des liens plus étroits entre bactéries et macrophages
E. Augmentation de la phagocytose
Réponse : B
Section : Réponses cellulaires innées induites
Difficulté : 3
Indice : de nombreux symptômes d'inflammation sont déclenchés par les LPS.
10. Associez les récepteurs de type péage suivants à leurs ligands.
TLR Ligands
TLR3 Flagelline
TLR4 Zymosan
TLR5 ARNdb
TLR6 Dinucléotides CpG non méthylés
TLR9 LPS
A. TLR3/LPS ; TLR4/Dinucléotides non méthylés CpG ; TLR5/dsRNA ; TLR6/Zymosan
; TLR9/Flagelline
B. TLR3/dsRNA ; TLR4/LPS ; TLR5/Flagelline ; TLR6/Zymosan ; TLR9/Dinucléotides d
non-méthylés CpG
C. TLR3/dsRNA ; TLR4/LPS ; TLR5/dinucléotides non méthylés CpG ; TLR6/Flagelli
n ; TLR9/Zymosan
D. TLR3/Dinucléotides non méthylés CpG ; TLR4/Zymosan ; TLR5/Flagelline ; TLR6/
LPS ; TLR9/dsRNA
E. TLR3/Zymosan ; TLR4/LPS ; TLR5/Flagelline ; TLR6/dsRNA ; TLR9/Dinucléotides d
non-méthylés CpG
Réponse : B
Section : Réponses cellulaires innées induites
Difficulté : 1
Conseil : consultez le tableau 5-4.
11. Lequel des éléments suivants n'est PAS habituellement induit en réponse au signal
TLR ?

A. TNF- ?
B. No table of contents entries found.
Réponse : E
Section : Réponses cellulaires innées induites
Difficile : 2
Indice : la signalisation TLR conduit souvent à l'inflammation.
12. Où trouveriez-vous le plus probablement un TLR qui reconnaît l'ARN ?

A. Sur les surface cellulaire


B. En les endosome/lysosome
C. En les noyau
D. En les mitochondries
E. En les réticulum
Répons B endoplasmique
e:
Section : Réponses cellulaires innées induites
Difficulté : 2
Indice : les récepteurs d'ARN se trouvent souvent là où les virus se déguisent et se
désassemblent.
13. Lequel des Les protéines adaptatrices suivantes activent la voie NF-?B ?
A. MonD88
B. IKK ?
C. Calmoduline
D. Récepteur IL-2
E. SOS
Réponse : A
Section : Réponses cellulaires innées induites
Difficulté : 1
Indice : la clé de cette question est le mot "adaptateur".
14. Quelle cytokine est connue pour ses propriétés antivirales ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : C
Section : Réponses cellulaires innées induites
Difficulté : 1
Indice : Le nom de cette cytokine reflète sa fonction.
15. Quel est le mot latin pour douleur ?
a. Rubor
b. Calor
c. Dolor
d. Tumeur
e. Accio
Réponse : C
Section : Réponses inflammatoires
Difficulté : 1
Indice : De nombreux mots latins ont des dérivés similaires en anglais, à l'exception du mot
"pain".
16. La protéine C-réactive est un/une :
A. chimiokine.
B. cytokine.
C. protéine de réponse à la phase aiguë.
D. tensioactif.
E. molécule d'adhésion cellulaire.
Réponse : C
Section : Réponses inflammatoires
Difficulté : 1
Indice : la protéine C-réactive est produite par le foie.
17. Comment les cellules tueuses naturelles tuent-elles leurs cibles ?
A. Par les lyser
B. Par l'induction d'une inflammation
C. Par induire l'apoptose
D. Par les faire sortir de la circulation sanguine et les faire piéger par le foie
E. En les enrobant d'opsonines
Réponse : C
Section : Cellules tueuses naturelles
Difficulté : 2
Indice : les cellules NK tuent par un mécanisme similaire à celui des CTL.
18. Quels types de cellules sont de bonnes cibles pour les cellules tueuses naturelles et
pourquoi ?
A. Cellules bactériennes parce qu'elles contiennent du LPS
B. Cellules Gram positives parce qu'elles contiennent de l'ATL
C. Les cellules présentatrices d'antigènes parce qu'elles ont des niveaux élevés de
molécules de costimulation.
D. Cellules endothéliales dans les tissus enflammés parce qu'elles ont des niveaux
élevés de molécules d'adhésion
E. Cellules infectées par un virus parce qu'elles ont de faibles niveaux de CMH de
classe I
Réponse : E
Section : Cellules tueuses naturelles
Difficulté : 3
Indice : De nombreux virus tentent d'échapper aux réponses immunitaires en bloquant la
présentation de l'antigène.
19. Prédire l'issue clinique d'un défaut génétique dans IRAK4, une protéine nécessaire
à la voie MyD88.
A. Augmenté les taux de cancer
B. Augmenté les taux de maladies auto-immunes
C. Diminué tonus musculaire
D. Augmenté les taux d'infection bactérienne
E. Augmenté Signalisation TLR
Réponse : D
Section : Focus clinique
Difficulté : 3
Conseil : MyD88 est un adaptateur pour presque tous les TLR.
20. L'activation des cellules dendritiques par TLR4 ou TLR5 entraîne la production d'un
nombre important de cellules dendritiques.

n de ________qui induit la différenciation des cellules T CD4 en cellules T _______

A. IL-12 ; TH1
B. IL-12 ; TH2
C. IL-10 ; TH1
D. IL-10 ; TH2
E. IL-4 ; TH1

Réponse : A
Section : Interactions entre les systèmes immunitaires innés et adaptatifs
Difficulté : 1
Indice : les réponses TH1 sont plus protectrices contre les bactéries gram-négatives.
21. Présence de cellules dendritiques ______antigènes sur le CMH de classe I par
l'intermédiaire d'un
processus connu sous le nom de présentation croisée.
A. endogène
B. exogène
C. bactérienne
D. viral
E. complexe
Réponse : B
Section : Interactions entre les systèmes immunitaires innés et adaptatifs
Difficulté : 2
Indice : la présentation croisée est différente du parcours habituel.
22. L'activation des cellules B par le TLR plutôt que par l'aide des cellules T entraînerait
une réponse anticorps globale :
A. plus spécifiques.
B. plus longue durée.
C. plus polyclonal.
D. réduite.
E. plus de protection.
Réponse : C
Section : Interactions entre les systèmes immunitaires innés et adaptatifs
Difficulté : Compréhension/application
Conseil : pour qu'un lymphocyte T aide un lymphocyte B, il reconnaît généralement le même
ant igène.
23. Quel type de vaccin nécessite le PLUS souvent un adjuvant ?
A. Bactéries éliminées
B. Virus atténué
C. Virus inactivé
D. Protéine purifiée
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : D
Section : Interactions entre les systèmes immunitaires innés et adaptatifs
Difficulté : 3
Conseil : les adjuvants sont nécessaires lorsque le vaccin lui-même ne contient pas
suffisamment de PAMP.

24. À quel moment de l'évolution l'immunité adaptative s'est-elle développée ?

Réponse : A peu près au même moment où les poissons ont développé des mâchoires.
Section : Ubiquité de l'immunité innée
Difficulté : 3
Indice : les organismes dotés d'un système immunitaire adaptatif possèdent des
anticorps.
25. Parmi les défenses suivantes, laquelle est la plus susceptible de protéger une
pathogène plante d'une
microbien
A.? Anticorps
B. CTL
C. Phagocytes
D. Espèces réactives de l'oxygène
E. CD4
Réponse : D
Section : Ubiquité de l'immunité innée
Difficulté : 2
Indice : les plantes n'ont pas d'immunité adaptative.
26. Imaginez que vous marchez pieds nus dans un pâturage lorsque votre pied est
transpercé par une écharde sale. Décrivez les changements physiologiques et
moléculaires qui se produisent dans votre pied au cours des prochaines heures.
Réponse : Plusieurs réponses correctes potentielles. Les phagocytes de la zone
répondent aux PAMP et aux cellules endommagées en sécrétant des cytokines telles que
l'IL-1, l'IL-6 et le TNF-a. Il en résulte un gonflement et une rougeur de la zone, car les
chimiokines sont libérées et d'autres leucocytes quittent la circulation sanguine et
pénètrent dans les tissus.
Section : Chapitre entier
Difficulté : 3
Indice : Comment les phagocytes réagissent-ils aux PAMPs ?
Chapitre 6 Le système complémentaire 1. Laquelle des voies de fixation du complément
suivantes peut être initiée par une C3 convertase soluble ?
A. Alternative
B. Classique
C. Lectine
D. Toutes les réponses ci-dessus
E. Aucune desci-dessus
Réponse : A
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : deux des trois voies exigent qu'une protéine reconnaisse un antigène spécifique
ou un autre complexe moléculaire à la surface du pathogène pour former la conve rtase
C3.
2. Lequel des éléments suivants assure l'activité de la sérine protéase dans la voie
classique d'activation du complément ?

A. MASP-2
B. C1r
C. C1s
D. B et C
E. Aucun des éléments ci-dessus n'agit dans la voie classique.

Réponse : D
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 3
Indice : La sérine protéase qui agit sur le l finit Les composants de la voie classique qui
par se déposer dans la surface qui consiste en sont des agents pathogènes doivent être
un clivage protéolytique. activés,
3. Lequel des éléments suivants est l'anaphylatoxine la plus puissante produite au
cours de la cascade du complément ?
A. No table of contents entries found.
B. Ba
Réponse : C
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 2
Conseil : les anaphylatoxines produites lors de l'activation du complément ne sont pas
insérées à la surface du pathogène.

4. Avec lequel des éléments suivants la structure de la MBL est-elle


la plus proche ?
A. C3b
B. C1q
C. Bb
D. C5b
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 3
Indice : Deux des voies d'activation du complément sont initiées par la liaison de
protéines aux agents pathogènes qui, malgré leurs différences de structure primaire,
présentent des similitudes remarquables dans leur structure d'ordre supérieur.
5. Lequel des éléments suivants fait référence au complexe qui assure l'activité
enzymatique de la C3 convertase de la voie alternative ?
A. C3¯b¯B¯b¯
B. C3bBb
C. C4b2a
D. C4?b2?a
E. Aucune de ces réponses
Réponse : A
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 2
Indice : comment différencier les lexèmes actifs enzymatiques des lexèmes inactifs ?
6. Lequel des énoncés suivants est VRAI à propos de la convertase C5 ?
A. La convertase C5 peut être constituée de composants membranaires C3b2Bb.
B. La C5 convertase clive la C5 en C5a et C5b, la chaîne b étant attachée à la C5a.
la surface du pathogène et la chaîne a se dissocie pour servir de puissant facteur
chimiotactique pro-inflammatoire.
C. La C5 convertase joue un rôle important dans la production du MAC.
D. Toutes les réponses ci-dessus
E. Aucune de ces réponses

Réponse : D
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 3
Indice : en quoi consiste la C5 et que fait-elle ?
7. Lequel des éléments suivants explique LE MIEUX le moment où la voie
classique de fixation du complément intervient, par rapport aux autres voies de fixation du
complément, contre un agent pathogène chez une personne qui n'a jamais été exposée à
cet agent pathogène ?
A. Aucune cible pour C1qrs n'existe à la surface du pathogène dans les premiers
stades de la réponse à celui-ci.
B. L'environnement chimique de la surface du pathogène favorise l'activation
spontanée du C3 soluble dès l'exposition au pathogène.
C. Le C1qrs reconnaît immédiatement les antigènes glucidiques à la surface du
pathogène, ce qui permet la formation rapide de la C4b2a C3 convertase.
D. Le pathogène exprime à sa surface un ou plusieurs facteurs qui agissent comme
des régulateurs négatifs de la formation de la C3 convertase.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : A
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 3
Indice : Quelle(s) protéine(s) du complément reconnaît(ent) quels antigènes pour initier la
formation de la conv ertase C3 ?
8. Lequel des éléments suivants se lie au C3b lié à la surface lors de la formation
de la C3 convertase alternative ?

A. Facteur Bb
B. Facteur B
C. C2a
D. C4b
E. Facteur D
Répons B
e:
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 2
Indice : Quand le clivage du facteur qui se lie à C3 se produit-il par rapport à la liaison de
ce facteur à C3b ?
9. Lequel des éléments suivants peut être directement activé sous forme de
protéine soluble dans le microenvironnement entourant une cellule pathogène ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : B
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Quels sont les facteurs de complément impliqués dans les différentes voies
d'activation et comment chacun d'entre eux intervient-il ?

10. Lequel des éléments suivants agit comme une protéase nécessaire à la
génération de l'ADN alternatif ? C3 convertase ?
A. No table of contents entries found.

D. Facteur
E. D C4
Réponse : D
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Quels sont les facteurs de complément impliqués dans les différentes voies
d'activation et comment chacun d'entre eux intervient-il ?
11. Lequel des facteurs suivants est le premier facteur du complément à être activé,
entraînant l'insertion d'une de ses sous-unités à la surface du pathogène dans deux des
trois voies de fixation du complément ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : E
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Quels sont les facteurs de complément impliqués dans les différentes voies
d'activation et comment chacun d'entre eux intervient-il ?
12. Lequel des éléments suivants, lorsqu'il est lui-même activé, agit comme une
protéase qui transforme le C3 soluble en C3a et C3b dans la voie alternative ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : C
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Quels sont les facteurs de complément impliqués dans les différentes voies
d'activation et comment chacun d'entre eux intervient-il ?
13. Lequel des éléments suivants, lorsqu'il est activé, utilise son composant ^a^ au
lieu du composant ^b^ dans la formation de la C3 convertase ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : A
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Quels sont les facteurs de complément impliqués dans les différentes voies
d'activation et comment chacun d'entre eux intervient-il ?
14. Qui Parmi les isotypes d'immunoglobulines suivants, lequel est le plus
efficace pour
initiant une cascade de fixation du complément ?
A. IgG
B. IgE
C. IgM
D. IgD
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Lequel des isotypes cités dans les choix de réponses présente le plus grand
nombre de sites de fixation pour C1q ?
15. L'ajout de l'un des composants suivants à une C3 convertase conduit à
à la formation de la C5 convertase ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : A
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : une copie supplémentaire de l'un des composants membranaires de la C3
convertase est nécessaire pour générer la C5 convertase.
16. Quelle forme d'IgM est la plus facilement reconnue par le C1q ?
A. IgM monomérique
B. Pentamère planaire IgM
C. IgM pentamérique en forme d'agrafe
D. Tous ces éléments sont reconnus de la même manière.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 1
Indice : Quelle forme permet au C1q d'accéder plus facilement à ses sites de liaison sur
l'IgHµ ?
17. Lequel des éléments suivants agit comme un régulateur positif de la fixation du
complément par la stabilisation du C3bBb ?
A. DAF (CD55)
B. Properdin
C. Facteur H
D. Facteur I
E. MCP (CD46)
Réponse : B
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 2
Conseil : faites la différence entre la régulation positive et négative de la fixation du
complément et comprenez les mécanismes par lesquels chacune de ces régulations
s'opère.
18. Lequel des éléments suivants agit comme une sérine protéase qui, avec des
cofacteurs, laisse C3b et C4b ?
A. DAF (CD55)
B. Properdine
C. Facteur H
D. Facteur I
E. MCP (CD46)
Réponse : D
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 2
Conseil : faites la différence entre la régulation positive et négative de la fixation du
complément et comprenez les mécanismes par lesquels chacune de ces régulations
s'opère.
19. Lequel des éléments suivants facilite la dissociation des C3 convertases C4b2a
et C3 bBb ?
A. DAF (CD55)
B. Properdin
C. Facteur H
D. Facteur I
E. MCP (CD46)
Réponse : A
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 2
Conseil : faites la différence entre la régulation positive et négative de la fixation du
complément et comprenez les mécanismes par lesquels chacune de ces régulations
s'opère.
20. Lequel des éléments suivants est capable de déclencher la voie alternative de fixation
du complément en se liant directement à la surface de certains types de cellules ?

A. DAF (CD55)
B. Properdine
C. Facteur H
D. Facteur I
E. MCP (CD46)
Réponse : B
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 2
Conseil : faites la différence entre la régulation positive et négative de la fixation du
complément et comprenez les mécanismes par lesquels chacune de ces régulations
s'opère.
21. Le MAC consiste en un complexe multimérique de laquelle des protéines suivantes
forme, par son association, un pore à la surface de la cellule attaquée ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : D
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 2
Indice : Laquelle s'étend sur la surface de la cellule au lieu d'être simplement insérée
dans la face extracellulaire de celle-ci ?
22. Comment la liaison des microbes oponisés par le complément à CR1 facilite-t-
elle l'élimination du microbe de l'hôte ?

A. Promotion de la phagocytose des microbes opsonisés par les leucocytes

B. Sécrétion de cytokines pro-inflammatoires


C. Médiation de la phagocytose par les cellules B d'un pathogène oponisé par C3b
D. Tous ces éléments sont le résultat de la liaison de CR1 avec le complément-
opsonize.
d microbes.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : D
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 3
Conseil : CR1 facilite le dédouanement de multiples façons.
23. Lequel des énoncés suivants est VRAI en ce qui concerne la liaison de la
protéine C5b à la surface du pathogène ?
A. La C5b se lie à la surface de l'agent pathogène de la même manière que la C4b
et la C3b.
B. La C5b nécessite la liaison de C6 pour la stabiliser avant qu'elle ne se dissocie.
C. La C5b, lorsqu'elle est complexée à C6 et C7, est capable de former le MAC sur
n'importe quelle membrane cellulaire, pathogène ou hôte.
D. B et C
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : D
Section : Les principales voies d'activation du complément
Difficulté : 3
Indice : La façon dont la C5b se lie est importante, non seulement pour sa fonction
normale, mais aussi pour la fonction anormale potentielle qui lui est associée.
24. Lequel des éléments suivants n'est PAS un effet de la fixation des recteurs C3a
et C5a sur les leucocytes ?
A. Augmentation de la perméabilité vasculaire par l'induction de la sécrétion de
TNF-a et d'IL-6
B. Induction de la dégranulation par les granulocytes
C. Augmentation de la contraction des muscles lisses pour faciliter l'acheminement
des cellules et des molécules immunitaires vers le site de l'infection.
D. Tous ces effets sont dus à la liaison des C3a et C5a à leurs récepteurs.
E. Aucune de ces réponses n'est un effet de la liaison des C3a et C5a à leurs
récepteurs.
Réponse : D
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 3
Indice : les anaphylatoxines présentent plus d'une activité unique lors de leur liaison.
25. Lequel des éléments suivants régule la fonction du complément en inhibant
directement la formation du MAC ?
A. Protectine (CD59)
B. Facteur I
C. DAF (CD55)
D. C1INH
E. FacteurH
Réponse : A
Section : Les diverses fonctions du complément
Difficulté : 2
Conseil : tous les facteurs de régulation du complément n'agissent pas aux mêmes
étapes de la fixation du complément ; certains agissent au début du processus, d'autres
plus tard.
Chapitre 7 L'organisation et l'expression des
Gènes des récepteurs lymphocytaires
1. Lequel des énoncés suivants résume le mieux les résultats des expériences de
Hozumi et Tonegawa ?
A. Toutes les chaînes légères susceptibles d'être formées, en termes de spécificité des
récepteurs, sont codées par un gène distinct dans le génome humain.
B. Les chaînes légères sont produites par réarrangement somatique de l'ADN germinal
dans les cellules B.
C. Les différentes régions variables de la chaîne légère sont produites par épissage
alternatif du pré-ARNm qui a été transcrit à partir d'une séquence d'ADN fixe et immuable.
D. Différentes chaînes légères, chacune avec une spécificité unique, sont produites par
l'activité de facteurs de transcription alternatifs qui régulent la production d'anticorps au niveau
de l'initiation de la transcription.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : L'énigme de la structure du gène de l'immunoglobuline
Difficulté : 1
Indice : le mécanisme de formation des régions variables nécessitait de poser une question
qui allait à l'encontre du courant de pensée de l'époque.
2. Lequel des segments de gènes suivants ne se trouve PAS dans les loci IgL de la
souris ?
B. No table of contents entries found.
C. Tous ces éléments se retrouvent dans les loci IgL de la souris.
Réponse : C
Section : Organisation multigénique des gènes d'Ig
Difficulté : 1
Indice : l'un des segments variables du gène est manquant dans les loci IgL.
3. En quel point des segments variables le complexe RAG-1/2 introduit-il une rupture
simple brin dans l'ADN lors du réarrangement somatique ?

A. Entre les et l'heptamère conservé


B. Entre les l'heptamère conservé et l'espaceur de 12 pb
C. Entre les espacement de 23 pb et le nonamère
D. Entre les nonamère et espaceur de 12 pb
E. Aucun les ci-dessus
Répons desA
e:
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : Un seul point de clivage permet d'obtenir les deux types de joints produits au cours
du processus de réarrangement.
4. Qu'est-ce qui introduit une épingle à cheveux transitoire qui relie les deux brins dans
les régions codantes V( D)J ?
A. TdT
B. Artémis
C. RAG-1/2
D. XRCC4 avecADN ligase IV
E. Ku 70 et Ku 80

Réponse
:C
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
5. Qu'est-ce qui lie l'ADN coupé et le retient dans le complexe protéine-ADN ?
A. TdT
B. Artémis
C. RAG-1/2
D. XRCC4 avecADN ligase IV
E. Ku 70 et Ku 80
Réponse : E
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
A. Qu'est-ce qui clive l'épingle à cheveux interbrins dans les régions codantes V(D)J ?
A. TdT
B. Artémis
C. RAG-1/2
D. XRCC4 avecADN ligase IV
E. Ku 70 et Ku 80
Réponse : B
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
B. Qu'est-ce qui introduit une rupture simple brin entre la séquence codante V(D)J et le
ptamère RSS ?
A. TdT
C. Artémis
D. RAG-1/2
E. XRCC4 avecADN ligase IV
F. Ku 70 et Ku 80
Réponse : C
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
8. Qu'est-ce qui introduit des nucléotides de manière indépendante du modèle dans
l'espace libre 3 ? OH créé lors du clivage de l'épingle à cheveux interbrins ?
A. TdT
B. Artémis
C. RAG-1/2
D. XRCC4 avecADN ligase IV
E. Ku 70 et Ku 80
Réponse : A
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
9. Qu'est-ce qui ferme les dernières entailles dans le squelette sucre-phosphate pour
générer des joints de codage et de signal ?
A. TdT
B. Artémis
C. RAG-1/2
D. XRCC4 avecADNligase IV
E. Ku 70 et Ku 80
Réponse : D
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
10. Qu'est-ce qui reconnaît le nonamère RSS pour amorcer le réarrangement des
récepteurs des lymphocytes ?
A. TdT
B. Artémis
C. RAG-1/2
D. XRCC4 avecADNligase IV
E. Ku 70 et Ku 80
Réponse : C
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : comprendre quels sont les acteurs qui interviennent à quel moment au cours de la
réarrangement.
11. Lequel des éléments suivants N'EST PAS un moyen de générer de la diversité dans
les régions variables des gènes des récepteurs des cellules T ?
A. Clivage à la jonction RSS codant-heptamère par RAG-1/2
B. Hypermutation somatique après activation
C. Clivage en épingle à cheveux par Artemis pour générer des nucléotides P
D. Ajout de nucléotides N par TdT
E. Tous ces éléments génèrent une diversité dans les régions variables des gènes des
récepteurs T-cel l.
Réponse : B
Section : Gènes et expression des récepteurs des cellules T
Difficulté : 2
Indice : la maturation du récepteur du lymphocyte T ne se produit pas après l'activation,
comme c'est le cas pour le récepteur du lymphocyte B.
12. Combien de réarrangements Dß-Jß sont possibles dans un thymocyte humain
normal ?
A. No table of contents entries found.
B. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Gènes et expression des récepteurs des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Lequel des segments est le segment limitant ? Combien de copies sont présentes sur
le locus ? Quel est l'état de ploïdie d'un thymocyte normal ?
Examinez la figure suivante, qui représente des régions de l'ADNdb, pour les questions 13^17
:
13. Les éléments indiqués se trouvent dans un gène IgL. Lequel des éléments étiquetés
sert d'espaceur ?

A. VL
B. 7 pb
C. 12 pb
D. 9 pb
E. Aucune de ces
Réponse : C
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 1
Indice : Quel composant n'est pas une cible pour la liaison ou la coupure par RAG-1/2 ?
14. Où RAG-1/2 coupe-t-il l'ADNdb représenté sur la figure ?
A. Entre VL et les 7 bp régions
B. Entre les 7 pb et 12 pbrégions
C. Entre les 12 pb et 9 pbrégions
D. Dans la région de 12 pb
E. RAG-1/2 ne coupe pas l'ADNdb
Réponse : A
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Indice : Quelle est la manière la plus probable de couper l'ADN de manière à générer un
cadre de lecture ouvert contigu qui spécifiera une région variable d'IgL ?
15. Dans quelles cellules les loci IgL sont-ils réarrangés par
RAG-1/2 ?
A.
B.
C. Développement des cellules T Développement des cellules
D. B Développement des neutrophiles Développement des
E. monocytes Aucune de ces réponses

Réponse : B
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 1
Conseil : Même si RAG-1/2 fonctionne dans plusieurs types de cellules, le réarrangement des
loci IgL ne se produit que dans un seul type de cellule immunitaire.
16. Quelle doit être la longueur de l'entretoise RSS pour relier l'élément V ci-dessus à
son ap
l'élément D approprié ?
A. 7 pb
B. 23 pb
C. 9 pb
D. 12 pb
E. Aucune de ces
Réponse : E
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 3
Indice : Quels sont les gènes des récepteurs lymphocytaires qui possèdent des éléments D ?
17. À quel processus fondamental le réarrangement du locus ci-dessus est-il étroitement
lié ?
A. Réplication
B. Transcription
C. Traduction
D. Traitement du pré-ARNm
E. Aucune de ces réponses ; le réarrangement est indépendant d'autres processus
génétiques
es.

Réponse : B
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 1
Conseil : le gène doit être exprimé pour permettre le réarrangement.
18. Parmi les éléments suivants, lequel est capable de subir des réarrangements successifs ?
pour empêcher la formation de récepteurs lymphocytaires autoréactifs ?
A. IgL ?
B. TCRa
C. IgHµ
D. Les deuxA et B
E. Tous leslesci-dessus
Réponse : D
Section : L'énigme de la structure du gène de l'immunoglobuline
Difficulté : 2
Indice : un type de chaîne pour chaque récepteur lymphocytaire ne subit pas de
réarrangements successifs une fois qu'il est formé.
19. Laquelle des chaînes d'IgH suivantes n'est PAS produite à la suite d'une RSC ?
B. No table of contents entries found.
C. Aucun des éléments ci-dessus n'est le résultat de la RSE.
Réponse : A
Section : Expression des récepteurs des cellules B
Difficulté : 2
Indice : Un type de chaîne lourde n'est pas produit par la RSE.
20. Laquelle des régions variables suivantes du gène du TCR possède un segment
^D^ ?
B. No table of contents entries found.
C. Tousde lesci-dessus
Réponse : D
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 3
Conseil : différents sous-ensembles de cellules T ont des TCR composés de différentes sous-
unités ; cependant, la formation du TCR dans les différents sous-ensembles suit des
tendances similaires.
21. Lequel des éléments suivants explique l'exclusion allélique dans le réarrangement au
sein du locus IgH ?
A. Le réarrangement ne se produit que sur un seul homologue à la fois, et une fois
qu'un homologue s'est réarrangé avec succès, l'autre est méthylé pour produire de
l'hétérochromatine.
B. Le réarrangement est régulé par VpreB et ?5, qui ne sont elles-mêmes exercées qu'à
des moments spécifiques du réarrangement de l'IgH.
C. Les deux homologues se réarrangent simultanément, subissant de multiples
réarrangements V-J jusqu'à ce qu'un réarrangement productif se produise.
D. Tous ces éléments favorisent l'exclusion allélique dans l'IgH.
E. L'exclusion allélique ne se produit pas dans l'IgH.
Réponse : A
Section : Expression des récepteurs des cellules B
Difficulté : 3
Conseil : Bien que le mécanisme de régulation reste flou, il est clair que l'exclusion des allèles
se produit à l'intérieur du locus IgH et qu'une approche progressive bien définie est utilisée par
les cellules B en développement.
22. Lequel des éléments suivants est utilisé pour générer de la diversité dans le
répertoire d'anticorps ?
A. Présence de plusieurs segments de gènes variables pouvant être assemblés en de
multiples combinaisons différentes
B. Ajout de nucléotides N qui ne sont pas codés dans la lignée germinale
C. Coupe par l'exonucléase des nucléotides excédentaires aux jonctions des segments
variables
D. Capacité d'apparier une chaîne lourde unique avec différentes chaînes légères, afin
d'éviter la production d'anticorps autoréactifs.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Conseil : il existe de multiples façons de contribuer à la diversification du répertoire des
anticorps.
23. Parmi les composants suivants, quels sont ceux qui sont essentiels au
réarrangement des loci IgH et IgL et qui ne sont pas utilisés dans le réarrangement des loci
TCR ?
A. RAG-1/2
B. Artémis
C. TdT
D. Séquences RSS avec espacements de 12 pb et 23 pb
E. Tous les éléments ci-dessus sont essentiels au réarrangement des loci du TCR.
Réponse : E
Section : Gènes et expression des récepteurs des cellules T
Difficulté : 1
Conseil : le processus de réarrangement entre les segments V(D)J dans les gènes du TCR
est presque identique à celui des gènes des Ig.
24. Lequel des éléments suivants explique le passage de l'IgM liée à la membrane à
l'IgM sécrétée lors de l'activation d'un lymphocyte B ?
A. RSE
B. Maturation des affinités
C. Épissage alternatif du pré-ARNm
D. Modification supplémentaire de l'ADN nucléaire via RAG-1/2
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Expression des récepteurs des cellules B
Difficulté : 2
Indice : la transition est techniquement réversible ; lequel des choix ci-dessus est réversible ?
25. Une déficience en RAG-1 et/ou RAG-2 peut affecter le développement correct de
quel type de cellules parmi les suivants, entraînant une diminution du nombre de cellules
circulantes de ces types ?
A. Cellules B
B. Cellules T
C. Cellules NK
D. Tant A que B
E. Tous lesci-dessus
Réponse : D
Section : Le mécanisme de la recombinaison V(D)J
Difficulté : 2
Indice : L'un des types de cellules énumérés présente des niveaux normaux chez les patients
déficients en RAG-1/2.
Chapitre 8 Le complexe majeur d'histocompatibilité et l'environnement
Présentation de l'antigène

1. Molécules du CMH :
A. sont sécrétés par les cellules T, se lient à l'antigène et le neutralisent dans
B. le sérum
sont des molécules liées à la membrane que l'on trouve exclusivement sur
C. lier les motifs répétitifs trouvés sur les agents pathogènes.
D. sont reconnues par les cellules T.
E. sont conservés entre les individus.
Réponse : D
Section : Structure et fonction des molécules du CMH
Difficulté : 1
Indice : les molécules du CMH présentent des peptides étrangers.
2. Associez les caractéristiques structurelles suivantes à la classe I (I), à la classe II (II)
ou aux deux (I et II) du CMH.
a. Contient de la ?2-microglobuline ________
Réponse : I
b. Contient deux domaines transmembranaires ________
Réponse : II
c. Fixe les peptides de 8 à 10 acides aminés ________
Réponse : I
d. Contient deux chaînes lourdes ________
Réponse : II
e. A des extrémités fermées sur le sillon de liaison du peptide ___
Réponse : I
Section : Structure et fonction des molécules du CMH
Difficulté : 1
Conseil : revoir la Fig. 8-1.
3. Une mutation dans quelle partie d'une protéine virale pourrait permettre au virus
d'échapper à la réponse immunitaire adaptative parce qu'il se lie au CMH ?

A. Un résidu de contact TCR


B. Résidu dans le domaine transmembranaire d'une protéine d'enveloppe
C. Un résidu dans le domaine de liaison à l'ADN
D. Un résidu d'ancre
E. Un acide aminé à la surface du virus

Réponse : D
Section : Structure et fonction des molécules du CMH
Difficulté : 1

Indice : les peptides se lient au CMH en insérant des chaînes latérales dans des poches du
sillon de liaison des peptides.
4. Les polymorphismes du CMH ont tendance à se regrouper :

A. dans le sillon de liaison du peptide.


B. dans le domaine transmembranaire.
C. dans les résidus de contact avec le
D. dans la région cadre.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : A
Section : Structure et fonction des molécules du CMH
Difficulté : 1
Indice : les molécules du CMH présentent des peptides étrangers.
5. Combien de protéines classiques de classe I du CMH différentes chaque cellule
nucléée d'un être humain hétérozygote au locus du CMH exprime-t-elle ?
A. Aucun. Uniquement APC express classe I.
B. Un
C. Deux
D. Trois
E. Six
Réponse : E
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 1
Indice : le CMH de classe I est exprimé de façon codominante.
6. Parmi les éléments suivants, quelle est la source la plus probable d'un peptide lié à
une molécule du CMH de classe I ?
a. L'appareil de Golgi
b. En dehors de la cellule
c. L'endosome/lysosome
d. Le cytoplasme
e. Le chloroplaste
Réponse : D
Section : La voie endogène
Difficulté : 1
Indice : les peptides de classe I sont transportés dans le RE, où ils se lient à la classe I.
7. Le fœtus en développement est notamment protégé des attaques du système
immunitaire maternel :
A. l'expression des molécules paternelles du CMH
B. l'expression des molécules paternelles du CMH
C. sur des molécules de classe I non classiques.
D. l'expression de molécules de classe II non
E. l'expression des molécules du CMH de classe III.
Réponse : C
Section : Organisation générale et hérédité du CMH Difficulté : 1
Indice : HLA-G est exprimé sur les cellules fœtales.
8. Lequel des éléments suivants n'est PAS un gène du CMH de la souris ?
A. No table of contents entries found.
Réponse : C
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 1
Indice : La région du CMH de la souris est appelée H-2.
9. La diversité des liaisons peptidiques est augmentée par :
A. plusieurs allèles du CMH dans la population.
B. plusieurs gènes homologues du CMH dans le génome.
C. A et B
D. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 2
Indice : Combien de molécules de CMH différentes sont exprimées dans une population ?
10. Vos chances d'avoir le même haplotype du CMH que votre frère ou votre sœur sont
les suivantes :
A. No table of contents entries found.
Réponse : C
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 2
Indice : CMH de est exprimée de manière codominante.
classe I
11. L'homme Le locus du CMH est l'une des régions les plus polymorphes du
. Qu'est-ce que génome signifie ?
cette
A. Il possède le plus grand nombre de gènes différents.
B. Il existe de nombreux allèles différents de ces gènes.
C. La variabilité des séquences est faible dans cette région.
D. Cette région comporte de nombreux introns.
E. Cette région est régulée par de nombreux mécanismes différents.
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 2
Indice : les polymorphismes sont des variantes génétiques qui entraînent des différences
phénotypiques.
12. La diversité du CMH affecte en fin de compte la :
A. une variété de peptides qui se lient au CMH.
B. variété de BCR qui sont exprimés sur les cellules B matures.
Réponse
:B
C. taux d'hypermutation somatique.
D. le nombre de cellules présentatrices d'antigènes.
E. domaine transmembranaire.
Réponse : A
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 1
Indice : la diversité du CMH se situe principalement dans le sillon de liaison des peptides.
13. Lequel des énoncés suivants représente le mieux la relation entre les u nits
polypeptidiques dans le CMH de classe II ?
A. ? et ? chaînes de tout gène peut être associé à chacun autres.
B. Seulement ? et ? chaînes de la même gène peut paire avec chaque
autres.
C. Seulement ? et ? chaînes du même allèle peut paire avec chaque
autres.
D. ? les chaînes peuvent à associer à d'autres ? chaînes, mais ? ne
peuvent être jumelées qu'avec des chaînes ?
chaînes.
E. Les chaînes ? et ? s'apparient jusqu'à ce que le complexe soit exporté à la surface
de la cellule et puisse lier la microglobuline ?-2.
Réponse : B
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 2
Indice : il existe quatre molécules de classe II différentes pour chaque gène qui peuvent être
produites chez un hétérozygote.
14. Les diables de Tasmanie constituent une population largement consanguine avec
peu de diversité dans le CMH. Lequel des résultats suivants est susceptible de se produire ?
A. Ils compenseraient la faible diversité du CMH par une forte diversité du TCR.
B. Ils compenseraient la faible diversité dans le CMH par une forte diversité dans le
BCR.
C. Ils s'appuieraient uniquement sur des réponses immunitaires innées.
D. Le risque d'infection serait plus élevé.
E. Toutes les réponses ci-dessus

Réponse : D
Section : Organisation générale et transmission du CMH
Difficulté : 2
Indice : une faible diversité du CMH se traduirait par une population immunodéficiente.

15. Parmi les types de cellules suivants, lequel est le MOINS susceptible d'exprimer le
CMH c
lass II ?
A. Cellules B
B. Cellules T
C. Cellules dendritiques
D. Cellules épithéliales
E. thymiques
Section : Rôle du CMH et profils d'expression
Difficulté : 1
Indice : la classe II est exprimée sur les cellules présentatrices d'antigènes.
16. Parmi les types de cellules suivants, lequel est le plus susceptible d'exprimer le CMH
cl ass I ?

Réponse
:B
A. Cellules B
B. Cellules T
C. Dendritique cellules
D. Cellules épithéliales pulmonaires
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Rôle du CMH et profils d'expression
Difficulté : 1
Indice : la classe I est exprimée sur toutes les cellules nucléées.
17. Comparer et opposer le modèle des trous dans le répertoire et le modèle de sélection
des déterminants de la réactivité immunitaire.
Réponse : Dans le modèle de sélection des déterminants, les différences de réactivité sont
expliquées par la capacité ou l'incapacité du CMH à lier le peptide. Dans le modèle des trous
dans le répertoire, les différences de réactivité s'expliquent par la présence ou l'absence de
cellules T spécifiques. Les cellules T qui répondent à certains peptides peuvent être
supprimées au cours de la sélection sur certains fonds de CMH.
Section : Rôle du CMH et profils d'expression
Difficulté : 3
Indice : des haplotypes différents ont une réactivité différente à des antigènes simples.
18. Lequel des exemples suivants est le MEILLEUR exemple de restriction des cellules T
par le CMH ?
A. ACellule T clone est supprimée lorsqu'elle se lie à trop étroitement au CMH de
l'individu.
B. ACellule T clone réagit plus vigoureusement à un auto-peptide que aétranger
peptide.
C. ACellule T clone reconnaît les CMH étrangers.
D. ACellule T clone ne reconnaît les peptides étrangers que lorsqu'ils sont présentés
par soi M
HC.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : D
Section : Rôle du CMH et profils d'expression
Difficulté : 3
Conseil : l'immunisation passive avec des cellules T n'est pas efficace.
19. Dans laquelle des conditions suivantes l'activation des lymphocytes T est-elle le MOINS
susceptible de se produire ?
A. Les macrophages sont incubés avec l'antigène, puis fixés avec du paraformaldéhyde,
puis incubés avec des cellules T spécifiques de l'antigène.
B. Les macrophages sont fixés avec du paraformaldéhyde, puis incubés avec de
l'antigène, puis incubés avec des cellules T spécifiques de l'antigène.
C. Les macrophages sont fixés avec du paraformaldéhyde, puis incubés avec de
l'antigène digéré, puis incubés avec des cellules T spécifiques de l'antigène.
D. Les macrophages sont incubés avec l'antigène digéré, puis fixés avec du parafor
maldéhyde, et enfin incubés avec des cellules T spécifiques de l'antigène.
E. Les macrophages sont incubés avec l'antigène, puis avec des cellules T spécifiques
de l'antigène.
Réponse : B
Section : Rôle du CMH et profils d'expression
Difficulté : 3
Indice : les cellules T reconnaissent les antigènes qui ont été traités avant d'être présentés.
20. Placez la filière de transformation de classe I dans le bon ordre :

Réponse
:B
a. Peptides exportés du RE par la TAP > les peptides sont digérés par la prot
easome > les peptides sont chargés sur la classe I > la classe I est exportée vers la cellule
surf ace
b. Les protéines sont digérées par le protéasome > les peptides sont importés dans le
RE par TAP > les peptides sont chargés sur le CMH de classe I > la classe I est exportée vers
la surface du c ell.
c. Le CMH de classe I passe de la surface cellulaire au lysosome par endocytose > les
peptides liés à la classe I sont remplacés par des peptides antigéniques dans le lysosome > la
classe I retourne à la surface cellulaire
d. Les protéines sont dégradées par la TAP > les peptides sont importés dans le
lysosome par le protéasome > les complexes peptide-MHC de classe I sont exportés vers la
surface de la cellule
e. Le CMH de classe I est transporté vers le RE par la TAP > les protéines du RE sont
dégradées en peptides par le protéasome > les peptides lient le CMH de classe I dans le RE
et le complexe est exporté vers la surface de la cellule
Réponse : B
Section : La voie endogène
Difficulté : 2
Indice : les peptides de classe I proviennent du cytoplasme.
21. Chez les personnes infectées par le cytomégalovirus humain, le CMH de classe I et
la ?2-microg lobuline sont produits, mais on trouve très peu de CMH de classe I mature à la
surface des cellules. Laquelle des molécules suivantes est inhibée par le cytomégalovirus
humain peut expliquer ce phénomène ?
A. TCR
B. RAG
C. CLIP
D. TAP
E. Ii
Réponse : D
Section : La voie endogène
Difficulté : 2
Indice : la classe I reste dans le RE s'il n'y a pas de peptides disponibles pour se lier à elle 22.
L'activation des cellules T peut être inhibée en traitant les cellules présentatrices d'antigènes
avec de la chloroquine. Quel est le mécanisme d'action de la chloroquine ?
A. Ilbloque la synthèse des protéines.
B. Il perturbe l'appareil de Golgi.
C. Il augmente le pH du lysosome.
D. Ilbloque la signalisation TLR.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : C
Section : La voie exogène
Difficulté : 1
Indice : la cloroquine empêche l'élimination du CLIP et son remplacement par un peptide
antigénique.

Réponse
:B
23. Quel est le rôle de la chaîne invariante (Ii) ?

A. Pour empêcher la liaison du peptide à la classe II aux urgences


B. Pour aider au pliage de la classe II ? et ? chaînes
C. Pour dirigent la classe II vers la zone d'endocytose. compartiment
D. Pourservent de substrat aux protéases dans le lysosome
E. Toutes les réponses ci-dessus

Réponse : E
Section : La voie exogène
Difficulté : 1
Conseil : les différentes régions de la chaîne invariante ont des fonctions différentes.

24. Une mutation qui rend la molécule DM du CMH de classe II non fonctionnelle serait
de l'Union européenne :
A. cellulesavec pas de cours II MHC.
B. cellulesavec pas de DO.
C. cellulesavec classe II MHCseulement lié avec CLIP.
D. cellulesavec classe II MHC lié avec a une variété d'auto-antigènes.
E. un déficit en cellules T CD8+.
Réponse : C
Section : La voie exogène
Difficulté : 2
Indice : la DM est une enzyme qui catalyse l'échange de CLIP contre un peptide
antigénique.
25. Lequel des exemples suivants est un exemple de présentation croisée ?
A. Un peptide endogène présenté sur le CMH de classe I
B. Un peptide exogène présenté sur le CMH de classe I
C. Un peptide endogène présenté sur le CMH de classe II
D. Un peptide exogène présenté sur le CMH de classe II
E. Un antigène de cellule B présenté à une cellule T
Réponse : B
Section : Présentation croisée d'antigènes exogènes
Difficulté : 2
Indice : il doit exister un mécanisme d'activation des cellules T CD4+ qui reconnaissent les
antigènes intracellulaires.

Chapitre 9 Développement des cellules T

1. Les progéniteurs lymphocytaires engagés proviennent de la :


A. thymus.
B. la moelle osseuse.
C. la rate.
D. ganglion lymphatique.
E. cerveau.
Réponse : B
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 1
Indice : toutes les cellules sanguines proviennent du même endroit anatomique.
2. Les cellules souches hématopoïétiques cultivées en présence de quel récepteur se
différencient en cellules T plutôt qu'en cellules B ?

A. CD4
B. CD8
C. Ligand de
D. B7-1
E. CD3
Réponse : C
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 1
Indice : Les marqueurs de différenciation des sous-ensembles de cellules T sont régulés à
la hausse dans le thymus.
3. Parmi les molécules suivantes, quelles sont celles que les cellules T doublement
négatives n'expriment pas ?
A. No table of contents entries found.
B. TAP
C. Tous delesci-dessus
Réponse : B
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 1
Indice : les cellules T en développement ont une machinerie de traitement de l'antigène
intacte.
4. Expliquer pourquoi les cellules T sont plus susceptibles de se transformer en
cellules ? T que les cellules ? ? Cellules T.
Réponse : Parce qu'une fois qu'une cellule a réussi à produire une chaîne ?, le préTCR est
exprimé. Pour qu'une cellule devienne ? ?, elle doit réussir à réarranger ? et ? avant ?, ce
qui est beaucoup moins probable.
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 3
Indice : il s'agit d'une recombinaison somatique.

5. La signalisation par l'intermédiaire du pré-TCR se produit à la suite de :

A. l'obligation de CMH de classe I


B. l'obligation de CMH de classe II
C. l'obligation de soit le CMH de classe I ou CMH de classe II
D. réussie l'assemblage du pré-TCR
E. expression de CD4

Réponse : D
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 1
Conseil : cette signalisation ne nécessite pas la fixation d'un ligand.

6. À quel stade du développement des cellules T le pré-TCR est-il exprimé ?


B. No table of contents entries found.
C. Aucunde ci-dessus

Réponse : A
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 1
Indice : le réarrangement des locus ne commence pas tant qu'un signal n'a pas été reçu de
la p re-TCR.
7. Signalisation par l'intermédiaire du pré-TCRrésultatsen :

A. maturation jusqu'au stade DN4.


B. suppression du réarrangement de la chaîne TCR.
C. arrêt de la prolifération.
D. Réarrangement de la chaîne TCR.
E. Toutes les réponses ci-dessus

Réponse : E
Section : Développement précoce des thymocytes
Difficulté : 2
Conseil : le développement ne progresse pas tant qu'il n'y a pas de signal à travers le pré-
TCR.

8. Qui L'un des éléments suivants représente le stade le plus précoce du


ent ? développement des cellules T
A. DP
B. DN
C. SP-
D. SP-
E. Mature Cellule T
Réponse : B

Section : Développement précoce des thymocytes


Difficulté : 1
Indice : les corécepteurs sont nécessaires à la sélection positive et négative.
9. Les cellules T sélectionnées sur un thymus d'haplotype b seraient capables de
répondre à des antigènes se présentant sur les cellules présentatrices d'antigènes
d'haplotypes suivants ?

A. a
B. b
C. a?b
D. B et C
E. A, B et C
Réponse : D
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 2
Indice : lors de la sélection positive, seules les cellules qui reçoivent un signal faible par
l'intermédiaire de leur TCR survivent.
10. L'injection à une souris transgénique TCR du peptide qu'elle reconnaît entraînerait
une augmentation de quel processus ?

A. Sélection positive
B. Sélection négative
C. Fixation du
D. complément
E. Phagocytose

Réponse : B
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 2
Indice : les cellules T qui reçoivent des signaux forts pendant le développement meurent.
11. Les souris MHCa irradiées et reconstituées avec de la moelle osseuse MHCa ? b
accepteraient des greffons provenant des donneurs suivants ?
A. CMHa
B. CMHb
C. No table of contents entries found.
Réponse : E
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 2
Indice : les macrophages sont les médiateurs de la sélection négative.

12. Dans la sélection négative, les cellules qui reçoivent des ____à travers t
leurs récepteurs d'antigènes meurent.

A. a faible
B. une forte
C. un intermédiaire
D. non
E. intermittent
Réponse : B
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 1
Conseil : la sélection négative supprime les cellules autoréactives.
13. Qu'advient-il des cellules autoréactives qui échappent au thymus ?
A. Ils attaquer les tissus de l'organisme.
B. Ils peut être rendu anergique.
C. Ils régulent négativement d'autres autoréactif des cellules.
D. Ils nécessitent une ligature du TCR et costimulation à être
activée.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Sortie du thymus et maturation finale
Difficulté : 2
Indice : tous les antigènes du soi ne sont pas exprimés dans le thymus.
14. Quels sont les deux principaux objectifs du développement des lymphocytes ?
Réponse : Les deux objectifs sont (1) de s'assurer que toutes les cellules T ont un TCR
fonctionnel et (2) que les cellules autoréactives sont supprimées (l'autotolérance est
assurée).
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 2
Indice : De quoi tous les lymphocytes T ont-ils besoin pour se développer et qu'est-ce qui
doit être supprimé ?
15. Comment les auto-antigènes qui sont spécifiques aux tissus éloignés du thymus
(comme l'insuline ou la kératine par exemple) arrivent-ils dans le thymus pour que les
cellules T en développement qui y réagissent puissent être supprimées ?
A. Les cellules dendritiques les récupèrent en périphérie et les transportent jusqu'au
thymus.
B. Les macrophages spécialisés du thymus filtrent la circulation sanguine et
présentent les antigènes qui s'y trouvent aux lymphocytes T en développement.
C. Facteur de transcription, AIRE est exprimé dans les cellules épithéliales
médullaires thymiques, ce qui permet à ces cellules d'exprimer des protéines normalement
présentes dans d'autres tissus.
D. Elles n'atteignent pas le thymus, toutes les cellules T spécifiques d'un tissu sont
supprimées en périphérie.
E. Il existe des protéines chaperonnes spéciales qui se lient aux protéines
périphériques et les transportent vers le thymus.
Réponse : C
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 2
Conseil : l'expression des antigènes n'est pas limitée aux tissus périphériques.
16. Les superantigènes diffèrent des antigènes peptidiques ordinaires parce qu'ils.. :
A. se lient en dehors du sillon de liaison du peptide.
B. activent une plus grande proportion de cellules T.
C. interagissent avec le domaine V ? du TCR.
D. peut entraîner un choc toxique.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Sélection positive et négative
Difficulté : 2
Indice : les superantigènes produits par certaines bactéries provoquent une activation
polyclonale des cellules T.
17. Comparer et opposer l'hypothèse de l'affinité et l'hypothèse des peptides modifiés
pour expliquer le paradoxe de la sélection thymique (pourquoi nous ne sélectionnons pas
négativement toutes les cellules que nous sélectionnons positivement).
Réponse : L'hypothèse de l'affinité stipule que la force de l'interaction TCR/MHC/peptide
détermine si un lymphocyte T est sélectionné positivement ou négativement. L'hypothèse
des peptides modifiés stipule que les cellules épithéliales thymiques expriment un ensemble
particulier de peptides qui assurent une sélection positive. Les deux hypothèses sont
soutenues et peuvent toutes deux contribuer au paradoxe de la sélection thymique.
Section : Sélection positive et négative Difficulté : 3
Indice : les cellules T peuvent distinguer les signaux de survie et les signaux de sélection
négative.
18. Quelle est actuellement la meilleure explication de ce qui détermine si une cellule
T se développe en cellule T CD8+ ou en cellule T CD4+ ?
A. L'association CD4/TCR supprime l'expression des CD8 et l'association CD8/TCR
supprime l'expression des CD4.
B. Les cellules T régulent aléatoirement à la baisse les CD4 ou les CD8, et seules les
cellules qui possèdent encore le CMH approprié recevront un signal suffisamment fort pour
survivre.
C. L'expression des CD4 ou des CD8 est déterminée par la force et la durée de
l'interaction TCR/MHC.
D. L'expression des CD4 ou des CD8 est prédestinée dans la moelle osseuse.
E. Seulement ? Les cellules T expriment le CD8.
Réponse : C
Section : Engagement de la lignée
Difficulté : 3
Indice : le modèle cinétique est celui qui bénéficie du plus grand soutien expérimental.
19. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux la relation entre les T REG naturels et les
TREG induits ?
A. Les TREG naturels se différencient en TREG induits en réponse à une stimulation
par le TCR.
B. Les TREG naturels sont dérivés des cellules T mémoire, et les TREG induits
diffèrent directement des thymocytes en développement.
C. Les TREG naturels se développent dans le thymus et les TREG induits se
développent dans la périphérie.
D. Les TREG naturels ont des TCR moins diversifiés que les TREG induits.
E. Aucune de ces réponses

Réponse : C
Section : Sortie du thymus et maturation finale
Difficulté : 2
Indice : Certaines cellules autoréactives du thymus acquièrent la capacité de supprimer
d'autres cellules autoréactives.
20. Quel facteur de transcription est caractéristique des cellules TREG ?
A. AP-1
B. NFAT
C. NF?B
D. OCT-1
E. FOXP3
Réponse : E
Section : Sortie du thymus et maturation finale
Difficulté : 1
Indice : ce facteur de transcription n'est pas caractéristique de l'activation des cellules T.
21. Il a été démontré que les TREG ont un effet protecteur contre les affections
suivantes ?
A. Maladie inflammatoire de l'intestin
B. Maladie du VIH
C. Infection grippale
D. SARM
E. Malaria
Réponse : A
Section : Sortie du thymus et maturation finale
Difficulté : 1
Indice : les TREG peuvent se développer à partir de cellules autoréactives.
22. Décrire les changements cellulaires qui se produisent au cours de l'apoptose.
Réponse : Le volume des cellules diminue, la membrane se décolore, la chromatine se
condense et l'ADN se dégrade en fragments.
Section : Apoptose
Difficulté : 3
Indice : L'apoptose est la mort cellulaire programmée.
23. Quelles sont les caractéristiques de l'apoptose ?
A. Saignement des membranes
B. Gonflement du cytoplasme
C. Augmentation du métabolisme
D. Libération du contenu cellulaire dans l'espace extracellulaire
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : A
Section : Apoptose
Difficulté : 2
Conseil : l'apoptose se produit naturellement et n'entraîne pas nécessairement une
inflammation.
24. La ligature des récepteurs de surface cellulaire suivants entraîne la mort de la
cellule ?
A. TCR
B. TLR
C. Fas
D. Caspase-
E. Bcl-2
Réponse : C
Section : Apoptose
Difficulté : 1
Conseil : notez que la question porte sur les récepteurs à la surface des cellules.
25. Dans certains cas de lymphome à cellules B, la translocation de bcl-2 dans le locus
Ig entraîne une surexpression de ce gène. Sachant ce que vous savez sur le lymphome et
le cancer, quelle est, selon vous, la fonction de bcl-2 ?
A. Il abaisse le seuil pourla sélection négative.
B. Il inhibe l'apoptose.
C. Il régule l'expression deIL-2.
D. Il est responsable de la différenciation TH2.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Apoptose
Difficulté : 3
Indice : les cellules de lymphome se répliquent de manière incontrôlée.
Chapitre 10 Développement des cellules B

1. Les lymphocytes B sont fabriqués dans le :


A. la circulation sanguine.
B. la moelle osseuse.
C. foie.
D. thymus.
E. totipotent cellule.
Réponse : B
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : localisation de la production de cellules B à partir d'une CSH.
2. Combien de temps dure la maturation des cellules B d'une CSH à une cellule B
mature ?
A. 1à 2 heures
B. 1à 2 jours
C. 1à 2 semai
D. 1à 2 mois
E. 1à 2 année
Réponse : C
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : les cellules B commencent à sécréter des anticorps quelques jours après l'infection.
3. Quel type de cellule se trouve à la fois dans les lignées des cellules B et des
cellules T ?
A. Progéniteurs lymphoïdes communs
B. Cellules pro-B-T communes
C. Cellule B immature
D. Progéniteur lymphoïde naïf
E. Cellule Pro-B-T
Réponse : A
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : les cellules B appartiennent à la lignée lymphoïde.
4. Ce type de cellule quittera la moelle osseuse et achèvera sa maturation dans la
rate.
A. Cellule progénitrice lymphoïde commune
B. hématopoïétiquecellule souche
C. immature Bcellule
D. cellule pro-B
E. cellule pro-T
Réponse : C
Section : Introduction
Difficulté : 1
Conseil : les cellules B verront des antigènes potentiels dans les centres germinaux des
organes lymphoïdes secondaires tels que la rate.
5. Tous les éléments suivants sont vrais en ce qui concerne le développement des
cellules B SAUF :
A. Les cellules B achèvent leur maturation dans la rate.
B. Les cellules B se développent principalement lorsqu'elles quittent la moelle
osseuse.
C. Les cellules B, comme les cellules T, sont limitées par la classe du CMH.
D. Les cellules B autoréactives peuvent être éliminées par apoptose.
E. Les cellules B auto-réactives peuvent être rendues non réactives (anergiques).
Réponse : C
Section : Introduction
Difficulté : 2
Indice : les cellules B ont l'IgD comme BCR.
6. L'hématopoïèse produit :
A. Cellules B uniquement.
B. Uniquement les globules rouges.
C. les cellules de la lignée myéloïde uniquement.
D. les cellules de la lignée lymphoïde et myéloïde.
E. les cellules de la lignée érythoride, lymphoïde et myéloïde.
Réponse : E
Section : Le siège de l'hématopoïèse
Difficulté : 2
Indice : Les cellules souches hématopoïétiques produisent toutes les cellules sanguines.
7. L'hématopoïèse commence vers le 7e jour après la fécondation chez la souris. Ce
qu'il faut faire
est le siège des cellules précurseurs à ce stade du développement fœtal ?
A. Moelle osseuse
8. Foie fœtal
9. Placenta
D. Organe primitif
E. Sac vitellin
Réponse : E
Section : Le siège de l'hématopoïèse
Difficulté : 2
Indice : Les embryons en développement ne produisent pas de moelle osseuse avant les
derniers stades du développement fœtal.
8. À quel endroit peut-on trouver des CSH fœtales au 8e jour dans le modèle de souris ?
A. AGM (aorte-gonade-mésonéphros)
B. Moelle osseuse
C. Foie fœtal
D. Placenta
E. Jaune d'œuf
Réponse : A
Section : Le siège de l'hématopoïèse
Difficulté : 2
Indice : L'AGM se transformera en moelle osseuse au cours des derniers stades de
développement du fœtus.
9. Dans quel(s) site(s) peut-on trouver des CSH matures au 11e jour dans le modèle
murin ?
A. AGA
B. Foie fœtal
C. Placenta
D. Jaune d'œuf
E. Tous lesci-dessus
Réponse : E
Section : Le siège de l'hématopoïèse
Difficulté : 2
Indice : la période de gestation des souris étant courte, le 11e jour représente la moitié du
développement du fœtus. À ce stade, on peut trouver des CSH matures dans tout l'embryon
en développement.
10. Quel type de cellule sera principalement produit par l'hématopoïèse dans le foie
fœtal des souris ?
A. Cellules de la lignée érythroïde
B. Cellules de la lignée lymphoïde
C. Cellules de la lignée myéloïde uniquement
D. Lignée lymphoïde et myéloïde cellules
E. Erythoride, lymphoïde et myéloïdecellules de la lignée
Réponse : A
Section : Le siège de l'hématopoïèse
Difficulté : 2
Indice : Le développement des globules rouges a lieu dans le foie.
11. La recombinaison VDJ se produit au cours de quelle phase du développement d'un
lymphocyte B ?
A. Cellule B activée
B. Cellule B mature
C. Cellule B naïve
D. Cellule Pro-B
E. Cellule B immature
Réponse : D
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 1
Indice : le réarrangement VDJ a lieu pendant le développement des cellules B dans la
moelle osseuse. Les recombinaisons infructueuses dans les jeunes cellules B entraînent
l'apoptose.
12. Quelles sont les deux fonctions des cellules stromales de la moelle osseuse en ce
qui concerne le développement des cellules B ?
A. Expression de cytokines et piégeage des cellules B en développement dans un
endroit spécifique
B. Recrute les macrophages pour phagocyter les cellules B qui se reconnaissent
elles-mêmes et diminue les CSH en l'absence d'infection active.
C. Sécrète des facteurs de libération qui dirigent les cellules B vers la rate et
expriment les cytokines nécessaires.
D. Piège les cellules B en développement dans un endroit spécifique et recrute des
globules rouges pour apporter de l'oxygène aux cellules B en développement.
E. Déclenche la production par les CSH d'un plus grand nombre de cellules pro-B et
sécrète des cytokines pour stimuler le développement des ostéoblastes.
Réponse : A
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : Les cellules stromales de la moelle osseuse fournissent l'environnement adéquat
pour le développement des cellules B.
13. Les personnes à l'âge de la retraite ou plus âgées présentent des réponses
immunitaires médiées par des anticorps plus faibles pour toutes les raisons suivantes SAUF
:
A. une probabilité accrue de troubles auto-immuns.
B. production limitée de CSH deles cellules pro-B.
C. faible réponse des anticorps à la vaccination.
D. la génération de cellules B à mémoire réduite.
E. un thymus plus petit.
Réponse : E
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : la production de cellules B et les points de contrôle qui garantissent que seules les
cellules B non auto-reconnues sont autorisées à vivre diminuent à mesure que l'individu
vieillit.
14. Quel type de réarrangement du gène de l'immunoglobuline se produit au cours du
développement du progéniteur des cellules B ?
A. Réarrangement DH-JH
B. Réarrangement DL-JL
C. Réarrangement des chaînes lourdes et légères
D. Réarrangement VH-DJH
E. Réarrangement VL-DJL
Réponse : C
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Conseil : les cellules B doivent avoir un BCR (IgD) fonctionnel avant de quitter la moelle
osseuse.
15. La cellule progénitrice lymphoïde commune donne naissance à toutes les lignées
lymphatiques suivantes SAUF :
A. les cellules dendritiques.
B. mégacaryocytes.
C. les cellules tueuses naturelles.

D. les cellules B pré-pro.


E. Progéniteur de cellules T.
Réponse : B
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : Les mégacaryocytes produisent les plaquettes (thrombocytes).
16. Parmi les affirmations suivantes concernant les CSH, laquelle/lesquelles est/sont
VRAIE(s) ?
I. Les CSH ne se renouvellent pas d'elles-mêmes.
II. Les CSH peuvent faire des copies d'elles-mêmes.
III. Les CSH donnent naissance à une lignée cellulaire.
IV. Les CSH sont multipotentes.
V. Les CSH expriment les marqueurs de surface Rag 1 et Rag 2.
A. Déclaration I uniquement
B. Déclarations I et IIIseulement
C. Déclarations II et III uniquement
D. Déclarations II et IVseulement
E. Déclarations III et Vseulement
Réponse : D
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : les cellules multipotentes se renouvellent d'elles-mêmes et donnent naissance à de
multiples lignées cellulaires.
17. Où les jeunes peuvent-ilsLes cellules progénitrices lymphoïdes (ELP) sont-elles
présentes chez l'homme ?
A. Flux sanguin
B. Moelle osseuse
C. Tissu lymphatique
D. Thymus
E. B et C
Réponse : B
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : les ELP sont de jeunes cellules progénitrices lymphoïdes communes qui donneront
naissance aux cellules NK, aux cellules B et aux cellules T.
18. À quel stade du développement un lymphocyte B commence-t-il à exprimer un
récepteur prélymphatique ?

A. Cellule B pré-pro
B. Cellule pro-B
C. Cellule pro-B
D. Cellule pré-B
E. Cellule B
Réponse : D
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Conseil : les pré-BCR sont exprimés immédiatement après le réarrangement VH-DJH.
19. À quel stade du développement un lymphocyte B subit-il un réarrangement D-JH ?
A. Cellule B pré-pro
B. Cellule pro-B précoce
C. Cellule pro-B tardive
D. Cellule pré-B tardive Cellule B immature
E.
Réponse : B
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Conseil : le premier point de contrôle de l'autoréactivité d'une cellule B est le réarrangement
VH-DJH.
20. À quel stade du développement une cellule B commence-t-elle à présenter un
récepteur IgM ?
A. Cellule B pré-pro
B. Cellule pro-B précoce
C. Cellule pro-B tardive
D. Cellule pré-B tardive
E. Cellule B immature
Réponse : E
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : l'IgM est la première Ig présente sur une cellule B en développement, et elle est
fonctionnelle juste avant le deuxième point de contrôle de l'autoréactivité au cours du
développement de la cellule B .
21. Le développement des cellules B a un point de contrôle pour déterminer si le
réarrangement V-DJ a produit une combinaison VH-DJH réussie qui ne reconnaît pas le soi.
Si aucune combinaison n'est réussie, la cellule B subit une apoptose.
À quel moment du développement des cellules B ce point de contrôle intervient-il ?
A. Cellule B pré-pro
B. Cellule B pro précoce
C. Cellule B pro tardive
D. Cellule B pré tardive
E. Cellule B immature
Réponse : C
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 2
Indice : le réarrangement VH-DJH se produit pendant la phase tardive des cellules pro-B.
22. Comment l'exclusion allélique empêche-t-elle les réarrangements multiples de la
chaîne lourde de se produire dans les cellules pré-B ?
A. RAG1 et RAG2 sont régulés à la baisse et l'activité TdT est perdue, de sorte
qu'aucun réarrangement supplémentaire de la chaîne lourde ne peut avoir lieu.
B. RAG1 est régulé à la hausse tandis que RAG2 et TdT sont régulés à la baisse
pour empêcher la recombinaison de la chaîne aviaire sur le deuxième ensemble de
chromosomes.
C. RAG1 et RAG2 induisent la réduction au silence des seconds allèles pour le
réarrangement VH-DJH.
D. La TdT initie le réarrangement de la chaîne légère.
E. Le TdT libère une cytokine qui déclenche l'apoptose de la cellule pré-B.
Réponse : A
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 3
Indice : RAG1, RAG2 et TdT sont des signaux qui permettent le réarrangement de la chaîne
lourde.
23. Les cellules B naïves matures expriment des niveaux élevés de à la surface de
leurs cellules.
A. IgA
B. IgD
C. IgE
D. IgG
E. IgM
Réponse : B
Section : Développement des cellules B dans la moelle osseuse
Difficulté : 1
Indice : L'IgD liée à la membrane sert de BCR.
24. Les cellules B matures B-2 ou folliculaires se trouvent le plus souvent dans le
cerveau :
A. la moelle osseuse.
B. ganglion lymphatique.
C. les zones marginales de la rate.
D. péritonéale.
E. les organes lymphoïdes secondaires.
Réponse : E
Section : Le développement des cellules B-1 et des cellules B de la zone marginale
Difficulté : 2
Indice : les cellules B-2 sont les cellules B conventionnelles que l'on trouve dans les centres
germinatifs de l'épithélium, de la plaque de Peyer, du MALT, de la peau, des amygdales et
des adénoïdes.
25. Les cellules B-1 matures présentent dans leur région V.
A. élevé
B. modéré (quelque peu restreint)
C. faible (restreint)
D. haut ou bas selon les cas sur actif infection
E. haut ou bas selon les cas surExpression du CD21
Réponse : C
Section : Le développement des cellules B-1 et des cellules B de la zone marginale
Difficulté : 1
Indice : les cellules B-1 résident dans les cavités péritonéales et pleurales et ciblent
généralement les antigènes glucidiques.
26. Les cellules B de la zone marginale expriment :
A. IgD.
B. IgG.
C. IgM.
D. IgE.
E. B et C
Réponse : E
Section : Le développement des cellules B-1 et des cellules B de la zone marginale
Difficulté : 1
Indice : Les cellules B de la zone marginale sont conçues pour reconnaître les antigènes
véhiculés par le sang et y répondre.
27. Quel type de cellule B mature est le plus susceptible de répondre à un antigène
protéique ?
A. B-1 B cellules
B. B-2 B cellules
C. Cellules B MZ
D. B-2 B et les cellules B MZ
E. Cellules B-1, cellules B-2 et cellules B MZ
Réponse : D
Section : Le développement des cellules B-1 et des cellules B de la zone marginale
Difficulté : 2
Conseil : les cellules B qui ciblent des antigènes protéiques ou peptidiques présentent une
plus grande diversité de régions variables que les cellules B qui ciblent des antigènes
glucidiques.
28. Ce qu'il faut faire est lel'emplacement initial deCellule B et
Développement des cellules T ?
A. No table of contents entries found.
B. Organes lymphoïdes secondaires pour les cellules B et thymus pour les cellules T
C. Thymus pour les cellules B et T
Réponse : B
Section : Comparaison du développement des cellules B et T
Difficulté : 1
Indice : les cellules B et les cellules T proviennent d'un progéniteur lymphoïde commun.
29. Quel type de cellule subit une sélection négative des cellules exprimant de manière
ectopique l'antigène du soidans les organes lymphoïdes primaires ?
A. Cellules B
B. Cellules B MZ
C. Cellules T
D. Les cellules B et les cellules T
E. Ni cellules B ni cellules T
Réponse : C
Section : Comparaison du développement des cellules B et T
Difficulté : 1
Indice : les cellules B qui lient les auto-antigènes sont sélectionnées pendant le
développement des cellules B, tandis que la sélection des cellules T a lieu dans le thymus.
30. Le réarrangement V-J se produit dans :
A. toutes les cellules B.
B. toutes les cellules T.
C. uniquement les cellules B-1.
D. uniquement des cellules B-2.
E. les cellules B et les cellules T.
Réponse : E
Section : Comparaison du développement des cellules B et T
Difficulté : 1
Indice : Le BCR et le TCR subissent un réarrangement V-J au cours du développement.
Chapitre 11 Activation, différenciation et mémoire des cellules T

1. Quel événement déclenche une réponse immunitaire adaptative ?


A. Le interaction d'une cellule Bavec une cellule TH
B. Le l'expression des cytokinesCD4 ou CD8
C. Les la production de CMH de classeMolécules I ou II
D. Les interaction d'une cellule T naïve avec une cellule présentatrice d'antigène
E. La phagocytose d'un agent pathogène par un macrophage

Réponse : D
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : activation des cellules T

2. Pour que les peptides pathogènes soient considérés comme étrangers, ils
Cellule doivent être affichés sur a dans le contexte de a/an :
T
A. Marqueur des cellules B.
B. Molécule de CD.
C. Molécule IgM.
D. Peptide du CMH.
E. molécule réceptrice de reconnaissance des formes.
Réponse : D
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : activation des cellules T

3. Les cellules T CD4+ reconnaissent :


A. Marqueurs CD8+.
B. IgM.
C. Peptides du CMH de classe I.
D. Peptides du CMH de classe II.
E. les peptides du CMH de classe I et de classe II.
Réponse : D
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : cellules TH

4. Les cellules T CD8+ exposées aux peptides du CMH de classe I sont :


A. les cellules T cytotoxiques.
B. les cellules T auxiliaires.
C. les cellules T cytotoxiques et les cellules T auxiliaires.
D. les cellules tueuses naturelles.
E. les cellules T dendritiques.
Réponse : A
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : cellules TC

5. Les cellules T CD4+ deviennent des cellules T auxiliaires en réponse à.. :


A. l'exposition à l'antigène.
B. exposition au peptide de classe II du CMH.
C. l'exposition à tout peptide du CMH.
D. exposition aux cellules B MZ.
E. l'exposition au TNF-a.
Réponse : B
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : activation des cellules TH

6. Les cellules T CD4+ et CD8+ naïves quittent le système immunitaire. et


B. foie
A. moelle
osseuse
C. ganglion lymphatique
D. rate
E. thymus
Réponse : E
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 1
Indice : Site de développement des cellules T
7. Une cellule T naïve se réfère à une cellule T qui :
A. n'exprime pas de CD4+ ou de CD8+.
B. n'a pas quitté la moelle osseuse.
C. n'a pas n'a pas encore rencontré d'antigène.
D. n'est pas mature.
E. réside dans le thymus.
Réponse : C
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 1
Indice : activation des cellules T
8. Les liens formés entre la cellule T et une cellule dendritique sont relativement
faibles. Lesquels des éléments suivants contribuent à renforcer cette association de sorte
qu'un lymphocyte T puisse voir quel antigène est présenté par une cellule dendritique ?
A. CD28/LFA-5
B. CD 28
C. ICAM-1/LFA-1
D. IL-2R
E. Molécules de reconnaissance des formes
Réponse : C
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 2
Indice : les corécepteurs des cellules T
9. Lequel des éléments suivants est nécessaire à l'activation des lymphocytes T ?
A. Spécifique à l'antigèneTCR liaison avec le peptide du CMH
B. No table of contents entries found.
Réponse : E
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 3
Indice : activation des cellules T et corécepteurs des cellules T
10. Les cellules TC et TH ont besoin de molécules coréceptrices pour que le TCR
puisse se lier de manière stable au peptide du CMH présentant l'antigène. Quelles sont les
molécules de corécepteurs communes aux cellules TC et TH et à leurs cellules
présentatrices d'antigènes respectives ?

A. CD2/LFA-3
B. CD28/B7
C. CD45R/CD22
D. LFA-1/ICAM-1
E. Tous sauf
Réponse :BE
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 2
Indice : les corécepteurs des cellules T
11. CTLA-4 est un récepteur de costimulation des cellules T qui appartient à la même
famille que le récepteur de costimulation CD28. Cependant, CTLA-4 est antagoniste de
CD28. Lequel des éléments suivants pourrait constituer un avantage fonctionnel de
l'expression de CTLA-4 au sein de la réponse immunitaire ?
A. CTLA-4 entre en compétition avec CD28 pour la liaison au ligand, de sorte que si
CD28 se lie à son ligand, la réponse sera amplifiée.
B. CTLA-4 est souvent administré à des personnes immunodéprimées pour
déclencher une réponse immunitaire.
C. CTLA-4 limite la réponse immunitaire des cellules TC et TH après l'élimination
d'une infection.
D. CTLA-4 limite l'activité des CT chez les individus sains pendant une infection virale.
E. CTLA-4 réduit le délai entre la présentation de l'antigène à une cellule TH et
l'activation de la cellule B.
Réponse : C
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 3
Indice : antagonisme des récepteurs
12. PD-1 est un signal de costimulation négatif exprimé par les cellules tumorales.
Quel serait l'avantage de l'expression de PD-1 dans une cellule tumorale évitant la
réponse immunitaire ?

A. Aucu Tume Les cellules sont reconnues comme des cellules propres et ne hea
lth menace.
B. Tume cellule peuvent éviter d'être tuées par les cellules TC activées.
C. Tume cellule peut éviter l'apoptose déclenchée par les cellules TH.
D. Tume cellule éviter la phagocytose par les cellules dendritiques.
E. Tume cellule sont stimulées pour se reproduire beaucoup plus rapidement tha
t n'expriment pas PD-1.
Réponse : B
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 3
Indice : Antagonistes des récepteurs et évasion tumorale des cellules T cytotoxiques
13. Les cellules T sont souvent responsables des dommages causés par les maladies
auto-immunes et le rejet des greffes. En tant qu'immunologiste, votre rêve est de découvrir
une méthode permettant de réduire la réponse des lymphocytes T aux antigènes du soi.
Laquelle des cibles suivantes serait la MEILLEURE pour votre recherche ?
A. Les cellules B activées parce qu'elles produire des récepteurs de cellules T
molécules
B. Apoptose médiée par des anticorps de la cellules dendritiques
C. antagonistes du CTLA-4 qui bloquent l'action du CTLA-4
D. Ligands qui bloquent la liaison d'un co-stimulateur molécule
E. Radiothérapie dirigée contre toutes les cellules T
Réponse : D
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 3
Indice : antagonistes des récepteurs
14. L'activation des cellules T nécessite l'exposition de l'antigène dans le contexte
d'une CPA et l'interaction entre les molécules co-stimulatrices de la CPA et de la cellule T.
Outre ces deux signaux, l'activité des cellules T est souvent influencée par les cytoki nes.
Lequel des exemples suivants montre comment les cytokines peuvent influencer l'activité
des cellules T en présence d'une présentation du CMH et d'une interaction avec des ligands
costimulants ?
A. Le CD28 entraîne la production de cellules NK mémoires.
B. Le CD8 déclenche l'apoptose des cellules T qui reconnaissent les auto-antigènes.
C. L'IL-2 déclenche la prolifération des cellules T.
D. Les opsonines recrutent des éosinophiles pour présenter des anticorps glucidiques
aux cellules T C naïves.
E. Le TNF-a augmente la production d'IgM par les cellules T activées.
Réponse : C
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 2
Indice : les cytokines dirigent les activités des cellules T.
15. Quel type de cellules professionnelles présentatrices d'antigènes un lymphocyte T
naïf est-il le plus susceptible de rencontrer ?
A. Cellule B
B. Cellule dendritique
C. Macrophage
D. Tant A que B
E. Tant B que C
Réponse : D
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 1
Indice : activation des cellules T
16. TSST-1 est une protéine produite par certaines espèces de bactéries qui agit
comme un superantigène. À quel ligand TSST-1 se lie-t-il ?
A. Récepteur des cellules T
B. CMH de classe I
C. CMH de classe II
D. Les deux récepteurs des cellules T et MHC classe I
E. Les deux récepteurs des cellules T et MHC classe II
Réponse : E
Section : Activation des cellules T et hypothèse des deux signaux
Difficulté : 2
Indice : les superantigènes provoquent de fortes réponses immunitaires, de sorte que
l'organisme est submergé.
17. En ce qui concerne l'activation des cellules T, les molécules effectrices
déclenchent toutes les fonctions suivantes SAUF :
A. l'entrée dans le cycle cellulaire.
B. cellule division à produire des cellules T supplémentaires.
C. la différenciation des cellules en divers types de cellules T.
D. cellule stimulation de B des cellules.
E. cellule la survie.
Difficulté : 2
Réponse : D
Section : Différenciation des
cellules T
Indice : fonctions des cellules T 18. Quel type de cellule T dirige et régule l'activité des
cellules B et les différents types de formation ?

A. Mémoire
B. NK
C. TC
D. TH1
E. TH2
Réponse : E
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Fonctions des cellules T activées

19. Quel type de cellule T helper régule les réactions allergiques et protège contre
ainst les agents pathogènes extracellulaires ?
A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TREG
E. TFH
Réponse : B
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 1
Indice : fonctions des cellules T auxiliaires 20. Quel type de cellule T helper inhibe
l'inflammation ?
A. TH1
B. TH2
C. TH17
D. TREG
E. TFH
Réponse : D
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 1
Indice : fonctions des cellules T auxiliaires 21. La régulation croisée de divers membres d'un
sous-ensemble de cellules T est fréquemment observée.
observée avec :
A. toutes les cellules TC.
B. toutes les cellules TH.
C. seulement le sous-
D. ensemble TC 1.
E. seulement le sous-
Réponse : B
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Réactivité croisée des cellules T

22. Tous les éléments suivants sont des fonctions des cellules TH1 SAUF :
A. contribue à l'auto-immunité.
B. renforce l'activité de l'APC.
C. renforce l'activité de la CT.
D. impliqués dans les réactions d'hypersensibilité de type retardé.
E. protège contre les agents pathogènes intracellulaires.
Réponse : A
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Fonctions des cellules TH
23. Les cellules TH17 sont impliquées dans toutes les activités suivantes SAUF :
A. l'auto-immunité.
B. hypersensibilité retardée.
C. la réponse inflammatoire.
D. protection contre les infections fongiques.
E. protection contre les infections bactériennes.
Réponse : B
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Fonctions des cellules TH
24. Les cellules T auxiliaires folliculaires sont une découverte récente dans la lignée
des cellules T auxiliaires. Quel est le rôle principal des cellules TFH ?
A. Favoriser le développement des cellules B dans les centres germinatifs
B. Réguler l'activité des cellules TREG
C. Stimuler la production de cellules dendritiques
D. Supprimer l'activation des cellules B après l'élimination de l'agent pathogène
E. Suppression des cellules TC après l'élimination d'une infection
Réponse : A
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 2
Indice : Fonctions des cellules TH
25. Les recherches actuelles suggèrent que les membres d'une sous-population de
cellules T auxiliaires peuvent être capables de modifier les cytokines qu'ils produisent
pour imiter ou devenir membres d'une autre sous-population de cellules T auxiliaires.
Quel(s) avantage(s) la possibilité de modifier les sous-populations de cellules T
auxiliaires aurait-elle dans une réponse immunitaire ?
A. Une réponse plus rapide et plus spécifique à une menace immunitaire
B. Capacité du système immunitaire à récupérer ses fonctions lors d'une maladie
auto-immune
sease
C. L'expression continue d'un sous-ensemble particulier de cellules TH après cette
ubset a fait
s l'objet d'une
D. A et B
E. B et C
Réponse : D
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 3
Indice : Fonctions des cellules TH

26. Mycobacterium leprae, l'agent causal de la lèpre chez l'homme, est un


pathogène in tracellulaire qui réside dans le phagosome des macrophages. La lèpre
se présente sous la forme de deux manifestations cliniques principales. La lèpre
tuberculoïde entraîne la formation de granulomes et une réponse immunitaire à médiation
cellulaire, tandis que la lèpre lépromateuse
osy entraîne la production de niveaux élevés d'IgG (hypergammaglobulinémie). Si le
TH2 est produit en grande quantité au cours d'une infection par M. leprae, quel type de
maladie en résulterait ?

A. Lèpre lépromateuse
B. Lèpre tuberculoïde
C. Lèpre lépromateuse ou lèpre tuberculoïde
D. Ni l'un ni l'autre ; la lèpre dépend de l'expression des cellules TREG
E. Impossible à déterminer ; les preuves cliniques sont insuffisantes pour soutenir
m l'une ou l'autre option.
oi
Réponse : A
Section : Différenciation des cellules T
Difficulté : 2
Indice : la production de cytokines par les cellules TH prédit le type de lèpre qui se
développe chez l'homme.
27. Parmi les éléments suivants, lequel est le plus susceptible de simuler une cellule T à
mémoire ?
A. Cellule B
B. Cellule dendritique
C. Mémoire cellule
D. Soit A ou B
E. Soit A, B ou C
Réponse : E
Section : Mémoire des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Développement des lymphocytes T à mémoire
28. Quelle est la fonction d'une cellule T à mémoire ?
A. Activer les cellules TC et TH pendant une infection primaire active
B. Éviter les troubles auto-immuns en produisant une mémoire pour les auto-
antigènes pendant le développement des cellules T.
C. Maintenir une réponse active des lymphocytes T (TC ou TH) après la fin d'une
infection
D. Fournir une réponse quasi immédiate en cas d'exposition ultérieure à un agent
pathogène spécifique
E. Supprimer l'activité de la CT après l'élimination d'un agent pathogène

Réponse : D
Section : Mémoire des cellules T
Difficulté : 2
Indice : Fonction des lymphocytes T de la mémoire

29. Quel type de cellule peut activer une cellule T à mémoire ?

A. Cellule B
B. Cellule
C. Macrophage
D. A et B
E. Toutes les
Réponse : E
Section : Mémoire des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Activation des cellules T mémoires
30. Les cellules T à mémoire, les cellules T effectrices et les cellules T naïves
partagent plusieurs caractéristiques. Laquelle des descriptions suivantes ne peut
être faite que pour les cellules de mémoire ?
A. MémoireTcellules sont activéspar n'importe quel APC.
B. MémoireTcellules ne se trouvent qu'à un seul endroit et fairepas circuler.
C. MémoireTcellules expriment le CD44,CD62L et CCR7.
D. MémoireTcellules reconnaître le CMHclasse I ou classe II
peptidesaffichant la fourmi
molécules d'igen.
E. Les cellules T à mémoire dépendent de signaux de co-stimulation provenant de
CD2/ LFA-3, CD45R / CD22, et LFA-1/ ICAM-2.
Réponse : A
Section : Mémoire des cellules T
Difficulté : 2
Indice : Activation des lymphocytes T à mémoire
Chapitre 12 Activation des cellules B, différenciation et
Génération de mémoire

1. En ce qui concerne le type de réponse des lymphocytes B, les antigènes


protéiques provoquent généralement laquelle des réponses suivantes ?

A. TI-1
B. TI-2
C. TD
D. A et B
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Introduction
Difficulté : 3
Indice : Les protéines doivent être converties en peptides et présentées aux cellules T ;
lequel des éléments suivants explique ce processus ?
2. Les cellules TH activées signalent aux cellules B d'entamer leur programme
d'activation par l'un des moyens suivants ?
A. CD40L sur le lymphocyte T à CD40 sur le lymphocyte T. Cellule B
B. CD40 sur le lymphocyte T à CD40L sur le lymphocyte T. Cellule B
C. FasL sur la cellule T à Fas sur la cellule B cellule
D. Fas sur la cellule T à FasL sur la cellule B cellule
E. Ligand Notch sur la cellule B à Notch-1 sur la cellule T
Réponse : A
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des types de signaux induit l'apoptose au lieu d'activer un programme de
différenciation.
3. Lequel des signaux chimiotactiques suivants permet aux lymphocytes B de
migrer vers les régions corticales du tissu lymphoïde secondaire ?

A. CCL19
B. CXCL13
C. CCL21
D. A et C
E. Aucune de ces
Réponse : B
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Les signaux chimiotactiques qui induisent l'extravasation à partir de la circulation
sont différents des signaux qui dirigent le trafic à l'intérieur du tissu lymphoïde secondaire.
4. Laquelle des cytokines suivantes constitue la cytokine de survie critique pour les
cellules B dans le cortex du tissu lymphoïde secondaire ?

A. BAFF
B. IL-7
C. IL-2
D. IL-6
E. Aucune de ces
Réponse : A
Section : Réponses des cellules B indépendantes des cellules T
Difficulté : 1
Indice : deux des cytokines sont essentielles à la survie et à l'activation des lymphocytes
T, tandis qu'une autre joue un rôle important dans la recombinaison des commutateurs de
classe.
5. Le premier isotype d'immunoglobuline produit au cours d'une réponse
immunitaire primaire contient laquelle des chaînes lourdes suivantes ?
A. No table of contents entries found.
B. Aucune de ces réponses
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 1
Indice : l'un des choix n'est pas un type de chaîne lourde, l'un est principalement lié aux
membranes plutôt que sécrété, et l'un n'est présent que dans les réponses secondaires
et au-delà.
6. Parmi les éléments suivants, lequel devrait fonctionner activement dans une
cellule B ayant migré vers un centre germinatif ?

A. RAG-1
B. Artémis
C. AID
D. Ku70
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Conseil : la réaction GC n'implique pas de réarrangement supplémentaire des loci IgH ou
IgL.

7. L'AID convertit la cytosine en laquelle des bases suivantes ?

A. Adénine
B. Thymine
C. Uracile
D. Guanine
E. Aucune de ces
Réponse : C
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Lequel des éléments suivants ne se trouve pas normalement dans l'ADN ?
8. Parmi les mécanismes suivants de mutagenèse par l'activité AID, lequel est
possible ?
A. La lésion n'est pas réparée avant la réplication, ce qui entraîne une transition
CG?TA.
B. Réparation de l'excision de la base, suivie d'un remplissage de l'espace créé par
l'ADN polymérase sujette aux erreurs.
C. Réparation des mésappariements, suivie d'un remplissage par l'ADN
polymérase, sujette aux erreurs, du g ap créé.
D. Les choix A et B sont tous deux possibles.
E. Tous ces éléments sont possibles.
Réponse : E
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Conseil : la mutagenèse induite par l'AID peut se produire de multiples façons.
9. La SHM et la CSR dépendent toutes deux de l'activité de laquelle des enzymes
suivantes ?
A. AID
B. RAG-1/2
C. Artémis
D. ADN uridineglycosylase
E. Tant A que Dsontnécessaires à la gestion durable des ressources humaines et
à la responsabilité sociale des entreprises.
Réponse : E
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : deux des choix fonctionnent avant la RSE et la MHS.
10. L'inactivation de l'un des gènes suivants entraîne l'incapacité de former des
centres germinaux ?
A. Blimp-1
B. IRF-4
C. Pax-5
D. Bcl-6
E. NF-?B
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des facteurs est particulièrement important pour maintenir les cellules B dans
un état qui leur permet de proliférer lors de l'activation, et pour les empêcher de devenir
des cellules plasmatiques.
11. Lequel des éléments suivants est considéré comme le ^régulateur principal^ de
la différenciation des plasmocytes terminaux ?
A. Blimp-1
B. IRF-4
C. Pax-5
D. Bcl-6
E. NF-?B

Réponse : A
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des facteurs est particulièrement important pour maintenir les cellules B dans
un état qui leur permet de proliférer lors de l'activation, et pour les empêcher de devenir
des cellules plasmatiques.
12. Lequel des éléments suivants réprime l'expression du facteur de transcription
identifié dans la question 11 ?

A. Blimp-1
B. IRF-4
C. Pax-5
D. Bcl-6
E. NF-?B
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des facteurs est particulièrement important pour maintenir les cellules B dans
un état qui leur permet de proliférer lors de l'activation, et pour les empêcher de devenir
des cellules plasmatiques.
13. Blimp-1 réprime l'expression de quel facteur de transcription parmi les suivants ?

A. Blimp-1
B. IRF-4
C. Pax-
D. 5
E. NF-?B
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des facteurs est particulièrement important pour maintenir les cellules B dans
un état qui leur permet de proliférer lors de l'activation, et pour les empêcher de devenir
des cellules plasmatiques.
14. Parmi les facteurs suivants, lequel est supposé induire l'expression de Blimp- 1 ?
A. Blimp-1
B. IRF-4
C. Pax-5
D. Bcl-6
E. NF-?B
Réponse : B
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des facteurs est particulièrement important pour maintenir les cellules B dans
un état qui leur permet de proliférer lors de l'activation, et pour les empêcher de devenir
des cellules plasmatiques.

15. Lequel des moyens suivants permet aux cellules B folliculaires d'acquérir l'antigène
qui pénètre dans un ganglion lymphatique par une voie lymphatique afférente ?
A. Capture directe de l'antigène entier qui pénètre directement dans le follicule par
pas sing entre les macrophages du sinus sous-capsulaire.
B. Transfert de l'antigène lié au complément des récepteurs de surface des
macrophages du sinus sous-capsu lar aux cellules B
C. Passage de l'antigène des macrophages du sinus sous-capsulaire aux cellules
den dritiques folliculaires et aux cellules B
D. Passage de l'antigène des DC qui résident à proximité des VHE vers les cellules
B
E. Tous ces éléments sont possibles.
Réponse : E
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Une cellule B est-elle limitée à un seul moyen d'acquisition de l'antigène ?
16. Lequel des événements suivants ne se produit PAS peu après l'oligomérisation
du BCR lors de la fixation de l'antigène ?
A. Déplacement du complexe BCR dans des zones de la membrane appelées
"radeaux lipidiques".
B. Positionnement de l'Iga et de l'Igß pour permettre la phosphorylation de leurs
moti fs ITAM
C. Positionnement du CD3 pour permettre la phosphorylation de ses motifs ITAM
D. Formation de puits recouverts de clathrine autour du complexe BCR
E. Toutes ces situations se produisent.
Réponse : C
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : l'un des choix implique un composant du récepteur des cellules T, par opposition
au BCR.
17. Lequel des éléments suivants est ou semble être contrôlé par Blimp-1 au cours
de la différenciation des plasmocytes ?
A. Sortie du cycle cellulaire
B. Passage de l'IgM membranaire à l'IgM sécrétée
C. Perte de la classe II du CMH à la surface des cellules
D. Toutes les réponses ci-dessus
E. Aucune de ces réponses
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : En tant que régulateur principal, Blimp-1 contrôle de multiples aspects de la
différenciation.
18. Quels sont les facteurs à la surface des cellules B et des cellules T qui, par leur
interaction, sont nécessaires pour permettre la formation des centres germinaux ?
A. CD40 et CD40L
B. Fas et FasL
C. CD28 et CD80/86
D. TCR et CMH de classe II
E. Aucune de ces réponses
Réponse : A
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Comprenez quelle partie de la réponse immunitaire chacun des ions d'interaction
suivants régule.
19. La zone du manteau folliculaire se compose principalement des éléments suivants ?
A. Cellules dendritiques folliculaires
B. Cellules B IgD+ naïves qui ne participent pas à la réponse contre l'antigène
C. Cellules TFH
D. Plasmacytoïdecellules dendritiques
E. Aucun desci-dessus
Réponse : B
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Deux des types de cellules énumérés ci-dessus se trouvent à l'intérieur d'une CG,
plutôt qu'autour de ses bords extérieurs.
20. Quelles sont les cellules que l'on trouve dans les zones claires de la CG et que l'on
ne trouve généralement PAS dans les zones sombres de la CG ?
A. Différenciation des cellules B
B. Cellules TFH
C. CDF
D. Les cellules B IgD+ naïves qui ne participent pas à la réponse à l'antigène.
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Quel type de cellule prédomine dans les zones sombres ?
21. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux la fonction du SHM ?
A. Diversité croissante des jonctions dans les régions V de l'IgH et de l'IgL
B. Augmentation de l'affinité des immunoglobulines pour leur antigène
C. Modification irréversible de l'isotype de l'immunoglobuline
D. Promotion de l'épissage alternatif d'une chaîne lourde d'immunoglobuline
transcripte
pt pour produire différents isotypes à la surface des cellules B
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 3
Indice : quelle est la place du SHM dans la liste des choix temporels ?
22. Dans quel compartiment de l'organisme les plasmocytes à longue durée de vie
peuvent-ils être retenus pendant toute la durée de vie de l'individu ?
A. Cordes médullaires du ganglion lymphatique
B. Centre germinal
C. Moelle osseuse
D. Pulpe rouge de la rate
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : le site de localisation des cellules plasmatiques de longue durée n'a été signalé
que récemment.
23. Les plasmocytes du centre post-germinal qui s'installent dans la moelle osseuse.
La rangée se trouve à proximité de quel autre type de cellules immunitaires qui
fournissent des facteurs de survie aux plasmocytes ?

A. Macrophages
B. PED
C. Monocytes
D. Eosinophiles
E. Toutes les
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 2
Indice : Un membre de la lignée granulocytaire est capable de produire des cytokines de
survie nécessaires au maintien des plasmocytes.
24. Quel isotype d'immunoglobuline NE PEUT PAS être produit par les cellules B à
mémoire ?
A. IgM
B. IgG1
C. IgA2
D. IgE
E. Tous ces éléments peuvent être produits par des cellules B à mémoire.
Réponse : A
Section : Réponses des cellules B dépendantes des T
Difficulté : 1
Indice : la RSC supprime de manière irréversible l'ADN germinal du locus IgH qui spécifie
les domaines C de l'I gH ; il s'agit du premier domaine C produit et donc supprimé lors de
la RSC.

25. Parmi les types d'antigènes suivants, lequel pourrait être qualifié d'antigène TI ?
A. Protéines solubles
B. Composants de la paroi cellulaire bactérienne
C. Polysaccharides capsulaires
D. B et C
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B indépendantes des cellules T
Difficulté : 1
Indice : Quels sont les antigènes qui permettent une costimulation du BCR avec les
récepteurs innés ou qui sont polyvalents dans la mesure où ils sont capables de réticuler
le BCR par eux-mêmes ?
26. Laquelle des affirmations suivantes est VRAIE à propos des cellules ?dT et des
cellules B-1 B ?
A. Tous deux peuvent s'auto-renouveler en périphérie et n'ont pas besoin d'être
reconstitués à partir des tissus lymphoïdes primaires.
B. Les deux ont des récepteurs lymphocytaires identiques l'un à l'autre.
C. Tous deux répondent à leurs antigènes par l'intermédiaire de récepteurs à haute
affinité.
D. A et D
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : A
Section : Réponses des cellules B indépendantes des cellules T
Difficulté : 3
Indice : les réponses de haute affinité ne sont généralement pas observées dans les
types de cellules suivants.
27. Laquelle des affirmations suivantes est VRAIE à propos des cellules B-1 et des
cellules MZB ?
A. Toutes deux se renouvellent d'elles-mêmes dans la périphérie et ne nécessitent
pas de remplacement par la moelle osseuse.
B. Les deuxpeut répondre à TI antigène.
C. Les deux ne subissent pas SHM.
D. Les deux A et B
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : D
Section : Réponses des cellules B indépendantes des cellules T
Difficulté : 3
Indice : l'un des types de cellules est capable de subir une MHS, bien que par le biais
d'interactions cellule-cellule apparemment différentes de celles observées dans les
populations de cellules B conventionnelles.
28. Qu'est-ce que la SHP-1 et l'IL-10 ont en commun en ce qui concerne la fonction des
cellules B ?
A. Les exercer un effet règlement de cellulesactivité
B. Les exerc régulation positive des Cellule activité
C. deux ent facteurs de survie B
Réponse : A
Section : Régulation négative des cellules B
D. Les deux induisent la prolifération des
E. Aucune
cellules B. de ces réponses
Difficulté : 2
Indice : tous les facteurs n'entraînent pas une augmentation de l'activité des cellules B.

Chapitre 13 Réponses des effecteurs :


Immunité à médiation cellulaire et anticorps 1. Quelle est la molécule effectrice de
l'immunité humorale ?
A. Anticorps
B. Cellules T cytotoxiques
C. Cellules dendritiques
D. Cellules T auxiliaires
E. Cellules plasmatiques
Réponse : A
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : l'immunité humorale repose sur des cellules B activées.
2. Le rôle de l'immunité à médiation cellulaire est :
A. àtrouver des cellules infectées par des intracellulaire pathogènes.
B. à trouver et éliminer des cellules infecté avec
les agents pathogènes intracellulaires.
C. pour présenter des antigènes aux cellules TH.
D. à produire des cellules B mémoires.
E. à sécréter des anticorps.
Réponse : B
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : l'immunité à médiation cellulaire utilise des cellules T.

3. L'immunité à médiation cellulaire comprend

A. anticorps.
B. les cellules plasmatiques.
C. Cellules TC.
D. Les cellules TH.
E. C et D

Réponse : E
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : l'immunité à médiation cellulaire utilise des cellules de la lignée T.

4. Les exemples de cellules effectrices cytotoxiques comprennent tous les


éléments suivants SAUF

A. basophiles.
B. éosinophiles.
C. macrophages.
D. les cellules NK.
E. Cellules TC.
Réponse : A
Section : Introduction
Difficulté : 2
Indice : Les cellules effectrices cytotoxiques sont responsables de la mort cellulaire de la
cellule cible.
5. Les cellules T NK (NKT) expriment :
A. No table of contents entries found.
B. A et B
Réponse : A
Section : Introduction
Difficulté : 1
Indice : TH CD expression
6. décrit l'action des anticorps, qui se lient à une molécule d'ADN.
et empêchent l'agent pathogène d'interagir avec les récepteurs cellulaires.
A. à médiation cellulaire dépendante des anticorps cytotoxicité
B. Présentation de l'antigène
C. Fixation du complément
D. Neutralisation
E. Opsonisation
Réponse : D
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 1
Indice : le blocage des récepteurs empêche un agent pathogène d'envahir une cellule
hôte.
7. décrit le recrutement de cellules phagocytaires par la partie Fab
d'un anticorps.
A. à médiation cellulaire dépendante des anticorps cytotoxicité
B. Présentation de l'antigène
C. Fixation du complément
D. Neutralisation
E. Opsonisation
Réponse : E
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 1
Indice : recrutement de phagocytes
8. Lyse d'un agent pathogène parMAC formation est un exemple
de :
A. à médiation cellulaire dépendante des anticorps cytotoxicité.
B. la présentation de l'antigène.
C. fixation du complément.
D. la neutralisation.
E. opsonisation.
Réponse : C
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 2
Indice : la formation de MAC est le résultat d'un complément.
9. Les cellules hôtes infectées par le virus sont marquées par des complexes
antigène-anticorps.
Ces complexes recrutent des cellules NK qui déclenchent l'apoptose dans les cellules
hôtes infectées. Il s'agit d'un exemple de :
A. à médiation cellulaire dépendante des anticorps cytotoxicité.
B. la présentation de l'antigène.
C. fixation du complément.
D. la neutralisation.
E. opsonisation.
Réponse : A
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 2
Indice : les anticorps sont utilisés pour provoquer la mort cellulaire.
10. Quelle classe d'anticorps est la PREMIÈRE à être produite au cours de la phase
primaire de la maladie d'Alzheimer ?
réponse immunitaire ?
A. IgA
B. IgD
C. IgE
D. IgG
E. IgM
Réponse : E
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 1
Indice : Le BCR précoce d'une cellule B immature
11. Quelle classe d'anticorps est capable de fixer le complément ?
A. IgA
B. IgD
C. IgE
D. IgG
E. IgM
Réponse : D
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 1
Indice : le récepteur Fc favorise la phagocytose.
12. L'IgA se trouve généralement sous la forme d'un dimère dans des quantités
élevées de sécrétions telles que le lait, les larmes et la salive. Quelle est la fonction
principale de l'IgA dans les sécrétions ?
A. Alerter les plasmocytes de la présence d'un pathogène envahissant
B. Neutraliser les toxines et les agents pathogènes
C. Sécréter des enzymes non spécifiques telles que le lysozyme
D. Stimuler la croissance des espèces normales du microbiote (flore normale)
E. Déclencher l'apoptose dans les cellules muqueuses infectées
Réponse : B
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 2
Indice : l'IgA représente une barrière précoce contre les agents pathogènes.
13. Les anticorps monoclonaux peuvent être utilisés pour traiter le cancer de toutes
les façons suivantes SAUF :
A. La liaison directe des anticorps monoclonaux peut déclencher l'apoptose ou une
cytotoxicité à médiation cellulaire dépendante de l'anticorps.
B. Les anticorps monoclonaux sont en concurrence avec les facteurs de croissance
pour fixer les récepteurs sur les cellules tumorales.
C. Les anticorps monoclonaux peuvent empêcher la formation de nouveaux
vaisseaux sanguins vers les tumeurs.
D. Les anticorps monoclonaux peuvent recruter des cellules TH dans une tumeur
en développement.
E. Les anticorps monoclonaux peuvent servir de vecteur pour cibler les cellules
tumorales en vue de les traiter.
xin.
Réponse : D
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 3
Indice : Les anticorps monoclonaux sont fabriqués contre un antigène spécifique.
14. Les molécules réceptrices Fc ont tendance à avoir des queues cytoplasmiques
courtes. Comment le th is influence-t-il les événements de signalisation au sein de la
cellule réceptrice Fc ?
A. Le récepteur Fc est adjacent à des messagers secondaires (par exemple, MAP
kinase) qui se déplacent dans le noyau pour affecter la transcription.
B. Le récepteur Fc dépend d'un corécepteur (par exemple, ITAM ou ITIM) qui
déclenche des événements de signalisation à l'intérieur de la cellule.
C. Les Fcrécepteur n'est pas directement impliqué dans un événement de
signalisation.
D. Les Fcrécepteur ne sert qu'à renforcer ou à atténuer un événement de
signalisation.
E. Les Fcrécepteur transloque dans le cytoplasme où il va se lier aux autres. à
des messagers secondaires.
Réponse : B
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 3
Indice : signalisation des récepteurs immunitaires
15. Quel récepteur Fc est responsable du déclenchement de la libération
d'histamine, de protéases et d'autres signaux inflammatoires par les IgE ?

A. Récepteur Fca
B. Récepteur Fce
C. Récepteur Fc ?
D. Récepteur Fc néonatal
E. Récepteur polymérique d'immunoglobuline (pIgR)
Réponse : B
Section : Fonctions effectrices médiées par les anticorps
Difficulté : 2
Conseil : les récepteurs d'Ig portent leur classe d'isotype dans leur nom de récepteur.
16. Effecteur à médiation cellulaire cellules inclure :
A. CTL et cellules NK-T.
B. Cellules plasmatiques et cellules dendritiques.
C. les cellules TC et les cellules NK.
D. les cellules TC, les cellules NK-T et les cellules NK des cellules.
E. Les cellules TC et les cellules TH mémoire.
Réponse : D
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 1
Indice : la réaction immunitaire à médiation cellulaire implique des cellules de la lignée T.
17. Le ligand de Fas (FASL) représente une voie de signalisation clé parmi les
cellules effectrices à médiation cellulaire. Quelle est la fonction de la voie de signalisation
Fas-FasL ?
A. L'activation de la voie de signalisation Fas-FasL déclenche l'apoptose.
B. Liaison de Fas à FasL induit la phagocytose par les cellules dendritiques.
des cellules.
C. Expression de Fas ne se produit que sur les cellules B naïves.
D. La liaison FAS-FASL recrute les cellules TH.
E. Le TNF-a est libéré par les cellules NK-T déclenchant l'histamine libération
en cas d'infection
les cellules cibles.
Réponse : A
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : la voie de signalisation Fas est présente dans les cellules TC.
18. À quel endroit les cellules TC naïves sont-elles activées pour devenir des CTL ?
A. Flux sanguin
B. Moelle osseuse
C. Centres germinatifs des ganglions lymphatiques
D. Rate
E. Thymus
Réponse : D
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : l'activation des CT se produit dans les tissus lymphoïdes secondaires.
19. Les CTL sont les médiateurs d'une réponse immunitaire puissante et mortelle
contre les cellules hôtes infectées. Laquelle des étapes suivantes n'est PAS impliquée
dans l'activation et la fonction des CTL ?
A. L'antigène présenté par le CMH de classe I est reconnu par les CTL.
B. La présentation de l'APC se produit à la fois dans les cellules TC et TH.
C. La voie de signalisation Fas-FasL est activée et déclenche l'apoptose.
D. L'histamine est libérée par des granules cytoplasmiques qui recrutent les
macrophages sur le site de l'infection.
E. La perforine et les granzymes sont libérés et déclenchent l'apoptose des cellules
infectées.
Réponse : D
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : voie de signalisation CTL pour l'apoptose
20. Les CTL précurseurs sont caractérisés par chacun des éléments suivants
SAUF :
A. ils ne pas diviser.
B. ils n'expriment pas élevéaffinité pour le CD25.
C. ils expriment des CD4.
D. ils absence de cytotoxicité activité.
E. ils produisent de faibles quantités d'IL-2.
Réponse : C
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : TH exprime CD4.
21. Laquelle des affirmations suivantes concernant les cellules T NK est VRAIE ?
A. Les cellules NK-T activées peuvent agir à la fois comme cellules TH et TC.
B. Le CD4 est exprimé par toutes les cellules NK-T.
C. Les cellules NK-T s'appuient sur l'expression de p53 pour provoquer l'apoptose
d'une cellule hôte infectée.
D. Les cellules NK-T expriment la plupart des caractéristiques de la lignée des
cellules T.
E. Le TCR des cellules NK-T reconnaît les antigènes présentés par les CMH de
classe I et II.
les molécules de classe II.
Réponse : A
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : Les cellules T NK se développent à partir de la lignée des cellules T mais sont
distinctes des cellules TC et TH.
22. Les récepteurs de cytotoxicité naturelle (RCN) appartiennent à la catégorie des
récepteurs de cytotoxicité naturelle. _______________________________de molécules
réceptrices.
A. chimiokine
B. cytokine de classe I
C. cytokine de classe II
D. Superfamille des Ig
E. TNF
Réponse : D
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 3
Indice : les NCR comprennent les récepteurs NKp30, NKp44 et NKp46.
23. L'octroi d'une licence à une cellule NK fait référence :
A. activation d'une cellule NK par un antigène peptidique affiché par le CMH de
classe II.
B. l'expression de l'IFN- ? et du TNF-a par les cellules NK.
C. la production de cellules mémoires.
D. en supprimant l'activité d'une cellule NK autoreconnaissante.
E. tester une cellule NK pour s'assurer qu'elle ne cible pas les cellules saines de
l'hôte.
Réponse : E
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : les cellules NK ciblent les cellules infectées et induisent l'apoptose.
24. Dans une expérience récente, des cellules NK ont été prélevées sur une souris
infectée par le MCMV et placées dans une souris saine. Lors de l'exposition au virus
MCMV, la souris saine a rapidement mis en place une réponse immunitaire. Comment
ces résultats BEST peuvent-ils être interprétés ?
A. Le virus MCMV n'a pas réussi à infecter la souris saine.
B. Les cellules NK font preuve de mémoire et sont rapidement capables de
reconnaître les cellules infectées par le MCMV chez la souris saine.
C. Les plasmocytes ont été transférés avec les cellules NK et produisent des
anticorps qui ciblent les particules du virus MCMV.
D. Les cellules TC ont été transférées en même temps que les cellules NK et ont
ciblé les particules du virus MCMV.
E. Les cellules TH ont été transférées dans la souris saine à la place des cellules
NK et ont stimulé les cellules B à s'activer.
Réponse : B
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 3
Indice : fonctions des cellules NK
25. Combien de sous-populations de cellules TC existe-t-il ?
A. Un : TC
B. Deux : TC1 et TC2
C. Trois : TC1, TC2, et TC3
D. Cinq : TCA, TCD, TCE, TCG et TCM
E. Elle varie en fonction du type d'infection détectée.
Réponse : B
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 1
Indice : les sous-populations TC sont similaires aux populations TH.
26. Tétramères de CMH :
A. constituent un nouveau moyen de détecter et de suivre des populations
spécifiques de lymphocytes T au sein d'un organisme.
B. n'existent que chez la souris, bien qu'un système parallèle chez l'homme fasse
actuellement l'objet de recherches.
C. décrivent les cellules TC hautement fonctionnelles trouvées dans la réponse
auto-immune.
D. représentent une nouvelle immunothérapie pour les patients atteints de la
maladie de Chron^s.
E. utilisent une coloration fluorescente pour se lier aux molécules de CMH de
classe I sur les cellules dendritiques.
ells.
Réponse : A
Section : Réponses effectrices à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : méthode utilisée pour suivre des cellules spécifiques de la CT
27. Au cours de la réaction lymphocytaire mixte (RML), les lymphocytes T sont
mélangés à des cellules allogènes de la rate. Les lymphocytes T subissent une
prolifération cellulaire importante et sont suivis à l'aide de thymine radiomarquée. À quoi
sert la thymine radiomarquée dans le suivi des lymphocytes T ?
A. La thymine radiomarquée sera incorporée dans toutes les immunoglobulines
produites par les lymphocytes T.
B. La thymine radiomarquée sera incorporée dans l'ADN des nouveaux
lymphocytes T.
C. La thymine radiomarquée sera incorporée dans les récepteurs CTL des cellules
TC1.
D. La thymine radiomarquée devient fluorescente lorsqu'elle est exposée à la
lumière UV et peut être utilisée pour identifier les cellules productrices de cytokines.
E. La thymine radiomarquée sera décomposée en indole lors de la production
d'ATP par les lymphocytes T.
Réponse : B
Section : Évaluation expérimentale de la cytotoxicité à médiation cellulaire
Difficulté : 3
Indice : la thymine fait partie de cette classe de molécules organiques.
28. Qu'est-ce qui est mesuré par le test de lympholyses à médiation cellulaire (LMC)
?
A. Cellulelyse des plasmocytes
B. Cellulelyse des cellules bactériennes cibles
C. Cellulelyse de la tumeur cibleou des cellules hôtes infectées par un virus
D. Celluleabsorption du 51Cr par les nouveaux Cellules TC
E. Celluleabsorption du 51Cr par les nouveaux Cellules NK-T
Réponse : C
Section : Évaluation expérimentale de la cytotoxicité à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : La fonction des cellules TC
29. Lors d'une greffe, certains lymphocytes peuvent être transférés avec l'organe ou
le tissu greffé. A moins que les lymphocytes transplantés ne proviennent d'une source
génétiquement identique au nouvel hôte (un cas très rare), une réaction se produira.
Quelle est cette réaction ?
A. Une réaction allergique au tissu ou à l'organe greffé se produira par
hypersensibilité de type IV.
B. Les lymphocytes présents dans le tissu ou l'organe greffé commencent à
attaquer le nouvel hôte.
C. Le tissu ou l'organe sera rejeté par les lymphocytes du nouvel hôte.
D. Il n'y a pas de réaction si les médicaments immunosuppresseurs sont utilisés de
manière appropriée.
E. Toutes les réactions ci-dessus sont possibles.
Réponse : B
Section : Évaluation expérimentale de la cytotoxicité à médiation cellulaire
Difficulté : 2
Indice : le tissu ou l'organe greffé contient des cellules immunitaires.
Chapitre 14 La réponse immunitaire dans l'espace et le temps

1. Après leur production, les lymphocytes naïfs voyagent brièvement dans le sang
jusqu'à la cellule :
A. la rate.
B. périphérique les ganglions lymphatiques.
C. associé aux muqueusesle tissu lymphoïde.
D. Tant A que B.
E. Tous les ci-dessus.

Réponse : E
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 1
Indice : Où les cellules naïves rencontreront-elles l'antigène ?
2. La circulation continue des lymphocytes est nécessaire pour les raisons
suivantes :
A. est généralement présent en grande quantité.
B. Les lymphocytes ont une faible chance de reconnaître un antigène particulier.
C. la probabilité qu'une cellule naïve rencontre son antigène cible est modérément
élevée.
D. il y a relativement peu de cellules présentatrices d'antigènes dans les ganglions
lymphatiques par rapport aux lymphocytes.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : B
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 2
Indice : la circulation augmente le contact entre la population de lymphocytes et les tigres.
3. Les lymphocytes quittent le sang et pénètrent dans le ganglion lymphatique en
extravasant au niveau des veinules de la partie supérieure de l'épithélium (HEV)
présentes dans le cortex du ganglion lymphatique. L'extravasation ne nécessite PAS les
éléments suivants ?

A. Le repérage
B. Adresses
C. Chimiokines
D. Cellules dentritiques
E. Tous ces éléments sont
Réponse : D
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 2
Indice : les chimiokines sont des molécules de signalisation qui dirigent le homing.

4. Après l'extravasation, les lymphocytes naïfs pénètrent dans le système


immunitaire. ________________________________________________pour rechercher
des substances anti
générique.
A. cortex thymique ganglion
B. lymphatique moelle
C. cortex ganglion
D. lymphatique veinule
E. endothéliale Aucune de

Réponse : C
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 2
Indice : La zone des cellules T est également appelée paracortex.

5. Réseaux réticulaires dans les ganglions lymphatiques :


A. sont constitués de fibroblastes.
B. guider les mouvements des cellules T.
C. guider les mouvements des cellules B.
D. régulent l'orientation des lymphocytes.
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 1
Conseil : les fibroblastes constituent la majeure partie du ganglion lymphatique mais ne
participent pas directement aux interactions entre les lymphocytes et les cellules
présentatrices d'antigènes.
6. Les cellules B naïves ne dépendent PAS des éléments suivants lorsqu'elles se
déplacent dans un ganglion lymphatique ?
A. Cellules dendritiques folliculaires
B. Fibres réticulaires fibroblastiques
C. Chimiokines CCL21 et CCL19
D. La chimiokine CXCL13
E. En fait, ils dépendent de tous ces éléments.
Réponse : C
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 3
Indice : CCL21 se trouve dans la zone des cellules T des ganglions lymphatiques.
7. Le récepteur S1P1 est régulé à la hausse par les cellules T naïves et les cellules
B après 12^18 heures.
s'ils ne rencontrent pas d'antigène dans le ganglion lymphatique. Il s'agit de tous les
éléments suivants SAUF :
A. les naïf cellules avoir n'a pas été activée.
B. les naïf cellules avoir n'a pas rencontré d'antigène.
C. les naïf cellulesvolontésortir du ganglion lymphatique.
D. un espace sera créé pour permettre à d'autres cellules d'entrer dans le ganglion
lymphatique.
E. les cellules naïves mourront par apoptose.
Réponse : E
Section : Comportement des cellules immunitaires avant l'introduction de l'antigène
Difficulté : 3
Conseil : la circulation dans les ganglions lymphatiques est conçue pour maximiser
l'interaction entre l'antigène et les cellules susceptibles de le reconnaître.

8. Reconnaissance 1 récepteur cellules immunitaires


des Coordonner
formes sur
des agents innées
A.
B. l'abattage
Alerte à pathogènes.
système d'une infection.
C. Reconnaître les pathogène
D. A et B.
E. Toutes les réponses
Réponse : D
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
innée
Difficulté : 1
Indice : les motifs moléculaires sont présents sur une grande variété de pathogènes.

9. Au début d'une les cellules présentatrices d'antigènes :


infection,
A. perdent de leur à la phagocytose.
B. efficacité
devenir plus efficace lors du traitement de l'antigène.
C. perdent de leur à la présentation croisée.
D. recruter de manière que les cellules immunitaires innées
E. restent sur le site de l'infection.
Réponse : B
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
innée
Difficulté : 2
Indice : La réponse immunitaire innée cible les agents pathogènes et active la réponse
immunitaire adaptative.
10. Laquelle des séquences suivantes est la séquence d'événements CORRECTE ?
A. Absorption de l'antigène > traitement de l'antigène > migration de l'APC vers les
ganglions lymphatiques > présentation de l'antigène
B. Migration des CPA vers les ganglions lymphatiques > absorption de l'antigène >
traitement de l'antigène > présentation de l'antigène
C. Migration des CPA vers les ganglions lymphatiques > présentation de l'antigène
> absorption de l'antigène > traitement de l'antigène
D. Absorption de l'antigène > traitement de l'antigène > présentation de l'antigène >
migration des CPA vers les ganglions lymphatiques
E. Migration des CPA vers les ganglions lymphatiques > absorption de l'antigène >
traitement de l'antigène > présentation de l'antigène
Réponse : A
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
innée
Difficulté : 1
Conseil : la séquence fonctionnelle doit commencer par l'absorption de l'antigène et se
terminer par la prés entation.
11. L'antigène est capté dans les tissus périphériques par les cellules présentatrices
d'antigènes :
A. traité pour présentation à Les cellules B.
B. traité pour présentation à Cellules T.
C. s'est déplacé sans traitement sur plusieurs heures à la les ganglions
lymphatiques.
D. pris en l'état pour aux cellules T.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : B
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
innée
Difficulté : 1
Indice : Comment l'antigène est-il reconnu par les cellules immunitaires adaptatives ?
12. Parmi les mécanismes suivants de déplacement de l'antigène non traité vers les
ganglions lymphatiques, lequel est CORRECT ?
A. Les antigènes solubles et de petite taille traversent les lymphatiques afférents
sous forme de particules opsonisées.
B. Les antigènes de petite taille et solubles passent directement dans la circulation
sanguine.
C. Les grosses particules et les agents pathogènes voyagent directement dans la
circulation sanguine.
D. Les agents pathogènes opsonisés passent directement dans la circulation
sanguine.
E. Les petites particules sont transportées par les macrophages.
Réponse : B
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
innée
Difficulté : 2
Conseil : les particules solubles n'ont pas besoin d'être transportées.
13. Lequel des éléments suivants est l'ordre de transfert approprié pour les ant
igènes opsonisés ?
A. Macrophages CD169+ > cellules dendritiques folliculaires > cellules B non
spécifiques de l'antigène
B. Cellules B non spécifiques de l'antigène > macrophages Cd169+ > cellules
dendritiques folliculaires
C. Macrophages CD169+ > cellules B non spécifiques de l'antigène > cellules
dendritiques folliculaires
D. Cellules B non spécifiques de l'antigène > cellules dendritiques folliculaires >
macro phages CD169
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : C
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
innée
Difficulté : 1
Indice : les cellules dendritiques folliculaires sont celles qui présentent l'antigène aux cellules
B.
14. L'utilisation de cellules déficientes en récepteurs du complément a montré que :
A. cellules B normales échantillon antigène sur les macrophages et la laisser
intacte.
B. cellules B normales échantillon antigène sur les macrophages et d'en
prendre une partie.
C. déficience en récepteurs du complément Les cellules B ne antigène de
l'échantillon sur le macrophage
es.
D. les cellules B déficientes en récepteurs du complément prélèvent l'antigène sur les
macrophages et en prennent une partie.
E. A et C.
Réponse : B
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire innée
Difficulté : 3
Conseil : Normalement, l'antigène opsonisé est transféré.
15. Au cours de l'activation, les cellules T des cellules :
A. interagir avec l'antigène présenterdes cellules.
B. réduire les mouvements.
C. commencer à se diviser .
D. se déplacer pour interagir avec Les cellules B.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 1
Indice : Qu'arrive-t-il à l'activation si l'une de ces étapes n'est pas respectée ?
16. Bien que notre compréhension de la cinétique de l'activation des lymphocytes T ait
évolué au fil du temps, nous pensons aujourd'hui que :
A. la disponibilité de l'antigène n'affecte pas les interactions entre les cellules T et les
APC.
B. la quantité d'antigène n'affecte pas les interactions entre les cellules T et les APC.
C. la prolifération optimale des cellules T auxiliaires ne nécessite qu'une exposition
relativement brève à l'A PC.
D. la prolifération optimale des cellules T auxiliaires nécessite plusieurs heures
d'exposition à l'APC.
E. l'activation des cellules dendritiques n'affecte pas l'activation des cellules T.
Réponse : D
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 2
Indice : Considérez les interactions nécessaires entre la cellule T et la cellule pré-sensible à
l'antigène.
17. Il a été démontré que les cellules B ont besoin de deux signaux pour être activées.
Sans l'aide de T-ce ll, ils ne s'activeront pas parce que.. :
A. T cellules fournir le signal 1 par l'intermédiaire du récepteur

Réponse
:D
de la cellule B.
B. T cellules fournir le signal 2 par l'intermédiaire du récepteur
de la cellule B.
C. T cellules activer les cellules B indirectement
en activant les dendritique c
ells.
D. Les cellules T activent les cellules B par le biais de la signalisation CD40.
E. En fait, elles seront toujours activées par les cellules dendritiques.
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 1
Conseil : le signal 1 est toujours l'antigène spécifique, qui reconnaît le récepteur.
18. Il a été démontré que plusieurs types de cellules T peuvent aider les cellules B
pendant l'activation. Laquelle des affirmations suivantes est VRAIE ?
A. Tous produisent la même chimiokine pour activer mais fournissent des si gnaux
CD40 différents.
B. Tous produisent la même chimiokine et le même signal CD40.
C. Tous assurent la signalisation du CD40 mais produisent des chimiokines différentes.
D. Tous assurent la signalisation du CD40 mais déclenchent des changements de
classe distincts.
E. C et D.
Réponse : E
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 2
Indice : Toutes les cellules T-helper fournissent le ligand CD-40.
19. L'activation des cellules B naïves est un processus en deux étapes, au cours duquel
:
A. L'antigène déclenche la production de CCR7 par les cellules B, ce qui les amène à
interagir avec les cellules T.
B. L'antigène déclenche la production de CCR7 par les cellules T, qui recrutent les
cellules B.
C. L'aide des cellules T stimule les cellules B à produire du CCR7, puis à se diviser.
D. Les macrophages déclenchent la production de CCR7 par les cellules B, ce qui les
amène à interagir avec les cellules B. Les cellules B sont donc plus susceptibles d'être
touchées par la maladie.
t avec les cellules T.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : A
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 1
Indice : CCR7 est un récepteur de chimiokine.
20. L'aide des cellules T aux cellules B sera altérée si les cellules T sont dépourvues de
CD28 parce que

A. CD28est nécessaire à activer la classe en activant l'AICD.


B. CD28est nécessaire à interagissent avec le CD40 sur le
Cellule B.
C. CD28est nécessaire à signal à travers les Cellule B
récepteur.

Réponse
:D
D. CD28est nécessaire à signal à travers les Cellule T
récepteur.
E. B et C.
Réponse : D
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 3
Indice : CD28 (et CTLA-4) interagit avec B-7 sur la cellule B.
21. La visualisation du trafic des cellules B entre les zones claires et sombres du centre
germinatif a montré qu'elles migrent beaucoup moins que ce qui avait été prédit. C'est ce
que démontre le présent document :
A. Le modèle traditionnel de la traite des êtres humains est inexact.
B. Le taux d'hypermutation et de sélection ne nécessite pas de déplacements
importants.
ent.
C. Les cellules B n'ont besoin que de brefs contacts avec les cellules T auxiliaires.
D. B et C.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Section : Comportement des cellules immunitaires au cours de la réponse immunitaire
adaptative
Difficulté : 3
Indice : Dans le centre germinatif, l'hypermutation et la sélection positive ont toutes deux lieu.
22. Une différence majeure entre les lymphocytes naïfs et les lymphocytes effecteurs
est que les lymphocytes effecteurs :

A. n'atteignent pas les ganglions


B. lymphatiques en suivant les pistes
C. ne nécessitent pas de co-
D. B et C.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Répons E
e:
Section : Comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques
Difficulté : 1
Conseil : les cellules effectrices sont, par définition, déjà stimulées.
23. Les cellules effectrices, afin d'éviter de retourner dans les ganglions lymphatiques :
A. augmenter les récepteurs de chimiokine pour leur permettre de se diriger vers le
site de l'infection.
B. down-regulate L-selectin, so they do not enter the high-endothelial venu les (HEVs).
C. La régulation des récepteurs des chimiokines est réduite, de sorte qu'ils ne
pénètrent pas dans la haute endothèque.
veinules (HEV).
D. Les A et B
E. Les B et C
Répons deux
D
e:
Section : Comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques
Difficulté : 2
Indice : la L-sélectine interagit avec les VHE menant aux ganglions lymphatiques.
24. Le suivi des réponses à un agent pathogène transgénique (toxoplasme) a montré
que.. :
A. Le comportement des cellules T a suivi les modèles prédits par les études
Réponse
:D
précédentes.
B. Le comportement des cellules dendritiques a suivi les modèles prédits par les
études précédentes.
C. modification de l'architecture des ganglions lymphatiques due à l'inflammation.
D. Les cellules T se sont divisées sur le site de l'infection.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : C
Section : Comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques
Difficulté : 2
Indice : les prévisions et la réalité ne correspondent pas tout à fait.
25. Des études sur le rejet des greffes utilisant des cellules marquées avec des
marqueurs fluorescents démontrent que.. :
A. toute infiltration d'une greffe de peau dépend de la non-concordance des CMH.
B. L'infiltration profonde d'une greffe de peau dépend de l'incompatibilité des CMH.
C. les cellules présentatrices d'antigène d'une greffe de peau migrent vers les
ganglions lymphatiques et y présentent l'antigène.
D. Les cellules présentatrices d'antigènes de l'hôte pénètrent dans le greffon cutané,
puis migrent vers les ganglions lymphatiques.
E. B et D.
Réponse : E
Section : Comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques
Difficulté : 2
Conseil : les CPA greffés migrent vers le ganglion lymphatique mais semblent disparaître
rapidement.
26. La Listeria est capable de persister dans une infection parce qu'elle.. :
A. évite d'être décomposé et présenté comme antigène.
B. se localise rapidement dans les ganglions lymphatiques et y persiste.
C. se reproduit à l'intérieur des macrophages.
D. est transmis par les cellules dendritiques aux monocytes.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : D
Section : Comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques
Difficulté : 2
Indice : Les agents pathogènes transmis par le sang, tels que Listeria, s'écoulent vers la
rate.
27. L'incapacité des cellules T cytotoxiques à éliminer les tumeurs peut être attribuée à :
A. défaillancede la présentation d'antigènes tumoraux.
B. défaillancede l'activation des cellules T spécifiques de la tumeur.
C. défaillancede le recrutement de cellules T dans la tumeur.
D. défaillancede les cellules T à produire des molécules effectrices cytotoxiques.
E. Tous les ci-dessus.
Réponse : A
Section : Comportement des cellules immunitaires dans les tissus périphériques
Difficulté : 1
Conseil : les cellules T activées peuvent être surveillées au niveau des sites tumoraux.
Chapitre 15 Allergies, hypersensibilités, et
Inflammation chronique

1. Des réactions d'hypersensibilité à la pénicilline ont été identifiées et correspondent aux


Réponse
:D
types de réactions ci-dessus.

A. TypeI hypersensibilité
B. Type II hypersensibilité
C. Type III hypersensibilité
D. Type Hypersensibilité IV
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
2. Les réactions d'hypersensibilité aux antigènes de la surface cellulaire par
l'intermédiaire des IgG ou des IgM sont classées comme suitQuel type ?
A. TypeI hypersensibilité
B. Type II hypersensibilité
C. Type III hypersensibilité
D. Type Hypersensibilité IV
E. Toutes les réponses ci-dessus

Réponse
:D
Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
3. Parmi les types de réactions d'hypersensibilité suivants, lequel est associé aux
IgE ?

A. Typ I hypersensibilité
B. Typ II hypersensibilité
C. Typ II I hypersensibilité
D. Typ IV hypersensibilité
E. Tou de ci-dessus
Réponse : A
Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
4. Parmi les types de réactions d'hypersensibilité suivants, lequel inclut la réaction
transfusionnelle ?

A. Typ I hypersensibilité
B. Typ II hypersensibilité
C. Typ II I hypersensibilité
D. Typ IV hypersensibilité
E. Tou de ci-dessus
Réponse : B
Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
5. Laquelle des réactions suivantes se caractérise par la dégranulation des
mastocytes ?

A. Hypersensibilité de type I Hypersensibilité de type II Hypersensibilité de type III


B. Hypersensibilité de type IV Toutes ces réponses
C.
D. Réponse : A
E. Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
6. La réaction d'Arthus est considérée comme un type d'hypersensibilité parmi les
suivants ?

A. Typ I hypersensibilité
B. Typ II hypersensibilité
C. Typ II I hypersensibilité
D. Typ IV hypersensibilité
E. Tou de ci-dessus
Réponse : D
Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
7. La formation de complexes immuns entre les anticorps et les antigènes solubles
est considérée comme un type de réaction d'hypersensibilité.

A. Hypersensibilité de type I Hypersensibilité de type II Hypersensibilité de type III


B. Hypersensibilité de type IV Toutes ces réponses
C.
D. Réponse : C
E. Section : Toutes les sections
Difficulté : 2
Conseil : Sachez comment se produit chaque type de réaction d'hypersensibilité.
8. Un individu normal ne devrait produire des IgE qu'en réponse aux types
d'antigènes suivants ?
A. Antigènes extracellulaires bactérienneantigènes
B. Antigènes des cellules intracellulaires bactérienne antigènes
C. Antigènes viraux
D. Antigènes parasitaires
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : D
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 1
Conseil : les IgE ne sont normalement produites que contre l'un des types d'antigènes
énumérés ci-dessus.
9. Lequel des récepteurs cellulaires suivants est le plus étroitement lié à l'activation
des réactions d'hypersensibilité de type I ?
A. FceRII
B. Fc?RIIB
C. FceRI
D. LFA-1
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 1
Indice : Parmi les récepteurs ci-dessus, quels sont ceux qui sont présents sur les cellules
à l'origine des réactions d'hypersensibilité de type I ?
10. Parmi les types de cellules suivants, lesquels sont impliqués dans les réactions
d'hypersensibilité de type I ?
A. Neutrophiles
B. Mastocytes/basophiles
C. Cellules T
D. Monocytes
E. Aucun desci-dessus
Réponse : B
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 1
Conseil : les réactions de type I ont été liées à des cellules apparentées qui peuvent être
circulantes ou résidentes dans les tissus.
11. Lequel des éléments suivants n'est PAS emballé dans les graisses des
basophiles et des mastocytes ?
nules
?
A. Prostaglandines
B. Histamine
C. Héparine
D. Tryptase
E. Tous ces éléments se trouvent dans les granulés.
Réponse : A
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 2
Indice : L'un de ces choix n'est pas préformé ; il n'est produit qu'après l'activation des
mastocytes et des basophiles.
12. Parmi les types de cellules suivants, lesquels sont les cibles des produits de la
dégranulation des mastocytes, ainsi que des médiateurs produits par les mastocytes à la
suite de la dégranulation ?
A. Muscle lisse
B. Tissu nerveux
C. Cellules hématopoïétiques
D. Cellules épithéliales
E. Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : E
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 2
Indice : Les médiateurs libérés par les mastocytes n'influencent-ils qu'un seul type de
cellule ?
13. Les effets de l'histamine dans les réactions allergiques sont principalement
attribuables à sa liaison avec le récepteur de l'histamine suivant ?

A. H1
B. H2
C. H3
D. H4
E. Aucune de ces
réponses
Réponse : A
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 2
Indice : Quels sont les récepteurs qui activent la réponse allergique, par opposition à
ceux qui inhibent la dégranulation des mastocytes ?
14. Lequel des effets suivants n'est PAS le résultat de la liaison de l'histamine au
récepteur H1 de l'histamine ?
A. Contraction des muscles lisses intestinaux
B. Suppression de la dégranulation des mastocytes
C. Augmentation de la perméabilité vasculaire
D. Augmentation de la sécrétion de mucus
E. Tous ces effets résultent de la liaison de l'histamine au H1.
Réponse : B
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 2
Indice : Lequel de ces éléments bloque la stimulation de la réponse allergique ?
15. Laquelle des cytokines suivantes n'est PAS généralement associée aux
réactions allergiques ?
A. TNF-a
B. GM-CSF
C. IL-4
D. TGF-ß
E. Tous ces éléments sont associés à des réactions allergiques.
Réponse : D
Section : L'allergie : Une réaction d'hypersensibilité de type I
Difficulté : 2
Indice : Parmi les cytokines citées, lesquelles ont un effet immunosuppresseur ?
16. Lequel des éléments suivants n'est PAS un moyen par lequel les réactions
d'hypersensibilité de type II se produisent ?
A. Liaison des IgE au FceRI sur les mastocytes
B. Liaison de l'IgM aux antigènes de la surface des cellules, entraînant la fixation du
complément sur la surface des cellules.
la surface cellulaire
C. Cellules cytotoxiques dotées de récepteurs Fc pour les anticorps liés à la surface
d'une cellule, entraînant une destruction cytotoxique.
D. Complexes anticorps-antigènes qui forment des opsonines, entraînant la
destruction des cellules par les phagocytes
E. Toutes ces situations sont associées à des réactions d'hypersensibilité de type
II.
Réponse : A
Section : Réactions d'hypersensibilité médiées par les anticorps (type II)
Difficulté : 2
Indice : l'un des choix n'est pas associé aux réactions de type II.
17. Parmi les antigènes suivants, lesquels sont antigéniquement identiques aux
antigènes présents à la surface des bactéries commensales, la réaction transfusionnelle
implique-t-elle ?
A. Récepteurs Fc à la surface des mastocytes
B. Récepteurs du complément à la surface des CPA
C. Glucides à la surface des érythrocytes
D. Récepteurs Fc à la surface des cellules cytotoxiques
E. Aucune de ces réponses
Réponse : C
Section : Réactions d'hypersensibilité médiées par les anticorps (type II)
Difficulté : 1
Indice : tous les antigènes de surface cellulaire reconnus par le système immunitaire ne
sont pas des protéines.
18. Lequel des énoncés suivants décrit le mieux les différences entre les réactions
d'hypersensibilité de type II et III ?
A. Reconnaissance directe des antigènes de la surface cellulaire par les anticorps
dans les réactions de type II et dépôt de complexes anticorps-antigènes mal dégagés
dans les réactions de type III
B. Reconnaissance directe des antigènes de la surface cellulaire par les anticorps
dans les réactions de type III contre dépôt de complexes anticorps-antigènes mal
dégagés dans les réactions de type II
C. Réticulation du FceRI par des agents pathogènes opsonisés par des IgE
D. Réticulation de Fc?RIIB par des agents pathogènes opsonisés à l'IgG
E. Aucune de ces réponses
Réponse : A
Section : Réactions d'hypersensibilité médiées par les anticorps (type II) et
hypersensibilité médiée par le complexe immunitaire (type III)
Difficulté : 3
Indice : l'un des choix implique une réaction d'hypersensibilité différente.
19. Lequel des éléments suivants N'EST PAS une explication de l'élimination inefficace
des complexes anticorps-antigènes pouvant conduire à des réactions d'hypersensibilité
de type III ?
A. Forte affinité pour les tissus contenant des antigènes particuliers
B. Antigènes susceptibles de former des réseaux lorsqu'ils sont liés à un anticorps
s
C. Antigènes hautement chargés
D. Système phagocytaire compromis
E. Tous ces éléments peuvent expliquer une élimination inefficace des complexes
anticorps-antigènes.
Réponse : E
Section : Hypersensibilité à médiation par le complexe immunitaire (type III)
Difficulté : 2
Indice : Il n'y a pas d'explication unique au développement des réactions
d'hypersensibilité de type III.
20. La réaction à la tuberculine est un exemple de quel type d'hypersensibilité ?
A. No table of contents entries found.
B. Aucune de ces réponses
Réponse : D
Section : Toutes les sections
Difficulté : 1
Indice : Que détecte la réaction à la tuberculine et comment ses effets sont-ils détectés ?
21. Lequel des types de cellules suivants n'est PAS typiquement associé aux
réactions d'hypersensibilité de type IV ?
A. Cellules B
B. TH1
C. TH17
D. Langerhanscellules
E. Aucune des les
ci-dessus sont typiquement associées à une hypersensibilité de type IV
réactions.
Réponse : A
Section : Hypersensibilité retardée (type IV) (DTH)
Difficulté : 2
Indice : Lequel de ces types de cellules, par ce qu'elles sécrètent dans tous les autres
types de réactions d'hypersensibilité, joue un rôle moindre dans les réactions de type IV ?
22. Lequel des éléments suivants est une cause potentielle d'inflammation chronique
?
A. Obésité
B. Infectieux agents
C. Lésions tissulaires
D. Intestinale les composants du microbiote commensal
E. Tous les ci-dessus
Réponse : E
Section : Inflammation chronique
Difficulté : 2
Indice : Existe-t-il une seule et unique cause d'inflammation chronique ?
23. Laquelle des cytokines suivantes n'est PAS généralement présente en concentrations
accrues chez les personnes souffrant d'inflammation chronique ?
A. No table of contents entries found.
B. Tous ces éléments sont généralement élevés en cas d'inflammation chronique.
Réponse : A
Section : Inflammation chronique
Difficulté : 1
Indice : Lequel de ces choix n'est pas pro-inflammatoire ?
24. Lequel des éléments suivants n'est PAS impliqué dans le développement des dia
bètes de type II ?
A. Anticorps contre les cellules des îlots pancréatiques
B. Signalisation de l'IL-6R
C. Inactivation des composants impliqués dans la signalisation du récepteur de
l'insuline ou par JNK
D. B et C ne sont pas impliqués dans le développement du diabète de type II.
E. Aucun des éléments ci-dessus n'est impliqué dans le développement du diabète
de type II.
Réponse : A
Section : Inflammation chronique
Difficulté : 3
Indice : En quoi le diabète de type II diffère-t-il du diabète de type I ?
25. La stimulation chronique de la fonction de régénération tissulaire de la réponse
inflammatoire implique principalement laquelle des cellules suivantes ?
A. Cellules T
B. Fibroblastes
C. Cellules B
D. Basophiles
E. Aucune de ces réponses
Réponse : B
Section : Inflammation chronique
Difficulté : 2
Indice : Laquelle de ces cellules est responsable de la production des composants qui
contribueront à la réparation des tissus ?
Chapitre 16 Tolérance, auto-immunité et transplantation

28. Tolérance centrale :


a) est la première étape des mécanismes de tolérance.
b) affecte à la fois les cellules T et les cellules B.
c) supprime les cellules qui sont autoréactive.
d) se produit dans l'os moelle et thymus.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 1
Indice : l'autoréactivité peut impliquer à la fois les cellules T et les cellules B.

Laquelle des affirmations suivantes ne décrit PAS correctement les


29. y ? tolérogènes ?
Il peut s'agir des mêmes molécules que les immunogènes.
Ils conduisent les cellules à ne plus réagir.
Ils font partie de la tolérance périphérique.
a) b) c) Ils n'affectent que les cellules B.
d) e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : D
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 2
Indice : les substances tolérantes sont équivalentes aux substances immunogènes, mais
dans un contexte différent.

30. La réponse tolérogène :


n'est pas spécifique à un antigène.
entraîne l'apoptose mais pas l'anergie.
entraîne l'absence de réponse des cellules.
a) b) c) dépend du contexte de présentation.
d) e) n'affecte que les cellules T.
Réponse : C
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 2
Indice : l'anergie et l'apoptose sont toutes deux des mécanismes de tolérance.

31. La tolérance est favorisée par toutes les circonstances suivantes SAUF :

des doses élevées d'antigène.


antigène persistant.
a) b) c) introduction orale de l'antigène. présence d'un adjuvant.
d) e) de faibles niveaux de costimulation.
Réponse : D
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 2
Indice : le vaccin antipoliomyélitique oral est d'une efficacité inhabituelle.

32. La tolérance est encouragée par :


induction d'une anergie.
l'induction de l'apoptose.
la régulation de l'activité des cellules.
a) b) c) A et B.
d) e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 1
Indice : L'autoréactivité est un problème potentiel si important que plusieurs systèmes
sont utilisés pour la contrôler.
33. L'apoptose est
a) similaire
: à la nécrose.
b) important dans la tolérance périphérique, mais pas dans la tolérance centrale.
c) important dans la tolérance centrale, mais pas dans la tolérance périphérique.
d) déprécié enSystèmes déficients en Fas.
e) Aucun des les ci-dessus.
Réponse : D
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 2
Indice : l'apoptose est largement utilisée.
34. Maintien des sites immunologiquement protégés, tels que l'œil :
a) permet la séquestration des antigènes.
b) réduit la tolérance centrale.
c) peut conduire à une autoréactivité secondaire à une lésion.
d) peut réduire la réactivité de fond.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 2
Conseil : le fait d'éloigner les antigènes du soi des cellules immunitaires réduit les
interactions, à la fois lors du développement de l'anneau et par la suite.
35. La tolérance centrale fait appel à tous les mécanismes suivants, sauf auquel
d'entre eux ?
a) Apoptose
b) Édition des récepteurs
c) Sélection positive
d) Sélection négative
e) Suppression clonale
Réponse : C
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 1
Conseil : l'élimination des cellules autoréactives est un mécanisme majeur.
36. Périphériquetolérance :
a) Est causée par une costimulation sans interaction peptide TcR-MHC+.
b) Est causée par l'interaction TcR-MHC+ peptide sans costimulation.
c) Conduit à l'anergie.
d) Tant A que C.
e) Tant B que C.
Réponse : E
Section : Établissement et maintien de la tolérance
Difficulté : 1
Indice : il est spécifique de l'antigène.
37. Maladies auto-immunes :
a) impliquent une défaillance de la tolérance centrale.
b) impliquent un échecdela tolérance périphérique.
c) conduire à la destruction des tissus.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Auto-immunité
Difficulté : 1
Indice : de multiples échecs doivent se produire pour que l'auto-immunité se développe.
38. La thyroïdite de Hashimoto cible la thyroïde et :
a) est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes. chez les femmes.
b) est d'apparition juvénile.
c) est principalement médiée par les lymphocytes T.
d) entraîne une hypothyroïdie.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : D
Section : Auto-immunité
Difficulté : 2
Indice : il réduit la fonction thyroïdienne.
39. Diabète insulinodépendant :
a) est généralement d'apparition juvénile.
b) est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.
c) interfère avec le métabolisme des graisses.
d) semble être déclenchée par des anticorps.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : A
Section : Auto-immunité
Difficulté : 1
Indice : il est également connu sous le nom de diabète juvénile.
40. La myasthénie grave est une maladie auto-immune qui :
a) est déclenchée par des anticorps.
b) cible la jonction neuromusculaire.
c) entraîne la destruction des musclesdes cellules.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Auto-immunité
Difficulté : 1
Indice : Les récepteurs de l'acétylcholine se trouvent sur les cellules musculaires.
41. Lupus érythémateux disséminé :
a) est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes.
b) est médiée par les anticorps.
c) cible plusieurs organes.
d) B et C.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Auto-immunité
Difficulté : 1
Indice : "systémique" signifie "répandu".
42. Sclérose en plaques :
a) ne semble pas avoir de composante environnementale.
b) semble avoir une composante génétique.
c) est plus fréquente en Europe qu'en Amérique du Nord.
d) semble être principalement médiée par des anticorps.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : B
Section : Auto-immunité
Difficulté : 1
Indice : si un membre de la fratrie est atteint, les autres ont plus de chances de l'être
aussi.
43. Polyarthrite rhumatoïde :
a) semble être médiée par les cellules T, les cellules T cytotoxiques étant
principalement responsables.
b) est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.
c) cible l'articulation gélules.
d) est caractérisé par début juvénile.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : C
Section : Auto-immunité
Difficulté : 1
Indice : l'étiologie comprend l'activation de la cascade du complément au niveau des
articulations.
44. Les personnes qui expriment le HLA-B27 sont 90 fois plus susceptibles de
développer la maladie auto-immune de la spondylarthrite ankylosante que les personnes
ayant un allèle HLA différent à ce locus. Cela permet de conclure que :
a) Le HLA-B27 est à l'origine de la spondylarthrite ankylosante.
b) des personnes porteuses du HLA-B27 développeront une spondylarthrite
ankylosante.
c) Les maladies auto-immunes doivent avoir des composantes génétiques.
d) Les patients atteints de spondylarthrite ankylosante expriment le HLA-B27.
e) Rien de tout cela n'est vrai.
Réponse : E
Section : Auto-immunité
Difficulté : 2
Indice : la probabilité n'est pas synonyme de causalité.
45. De nombreuses maladies auto-immunes sont traitées par des médicaments
immunosuppresseurs, qui entraînent d'autres problèmes. L'immunothérapie spécifique à
l'antigène serait bien meilleure car :
a) ils ne cibleraient que les cellules autoréactives.
b) ils serait ne pas induiregénéralsuppressionde lessystème immunitaire.
c) ils serait produire a général réduction en l'inflammation.
d) Les deuxA et B.
e) Tous les ci-dessus.
Réponse : D
Section : Auto-immunité
Difficulté : 3
Conseil : la clé d'une fonction immunitaire efficace est la capacité de monter des
réponses spécifiques.
46. Les autogreffes ne seront que rarement rejetées en raison de tous les facteurs,
sauf lequel parmi les suivants ?

a) Ils proviennent du même individu.


b)
Ils sont compatibles avec le CMH.
c) Ils ne déclenchent pas de réaction immunitaire.
d) Il s'agit de cellules Th17.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : D
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 1
Indice : ^Auto^ signifie self.
47. Les isogreffes ne sont PAS habituellement rejetées pour les raisons suivantes :
a) ils sont entre individus génétiquement identiques.
b) ils sont compatibles avec le CMH.
c) ils ne pas déclencherune réponse immunitaire.
d) ils sont syngéniques.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 1
Indice : ^Syngeneic^ signifie gènes partagés.
48. Rejet des allogreffes :
a) ne dépend pas de la non-concordance du CMH.
b) fait preuve d'un comportement immunologique la spécificité.
c) fait preuve d'un comportement immunologique mémoire.
d) A et B.
e) B et C.
Réponse : E
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 1
Conseil : le rejet dépend de la non-concordance des CMH.
49. Les cellules T étant essentielles dans le rejet des greffes, les souris nude,
dépourvues de thymus, ont été utilisées pour la recherche :
a) volonté rejeter les greffes mêmes que les souris de type
sauvage.
b) volontérejettent les greffons plus vigoureusement que les greffes de type
sauvage. souris.
c) volonté ne pas rejeter les greffons puisqu'ils n'ont pas de
cellules T.
d) volonté ne pas rejeter les greffons car ils n'ont pas de
cellules B.
e) volonté ne pas rejeter les greffons en raison de la
tolérance périphérique.
Réponse : C
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 2
Indice : En l'absence de thymus, le développement des lymphocytes T n'a pas lieu.
50. Les infiltrats des greffes de rein présentent des cellules T CD4+ et CD8+. Cela
suggère que pour réduire le rejet du greffon :
a) Les cellules T CD4+ doivent être décimées.
b) Les cellules T CD8+ doivent être éliminées.
c) Les cellules CD4+ et CD8+ doivent être éliminées.
d) Les cellules inflammatoires doivent être éliminées.
e) Aucun de ces traitements n'est viable.
Réponse : E
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 3
Indice : Quel effet la déplétion des lymphocytes T aura-t-elle sur la fonction immunitaire ?
51. Si la compatibilité avec le CMH est importante pour la transplantation, la
compatibilité avec le groupe sanguin ABO est également cruciale pour les raisons
suivantes :
a) Les antigènes ABO sontexprimée sur nerveux tissu.
b) Les antigènes ABO sontexprimée surmuscle des cellules.
c) provoquera une lyse rapide des cellules en désaccord avec l'ABO.
d) A et C.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : C
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 2
Indice : ABO s'exprime sur les tissus conjonctifs.
52. Les gènes du locus mineur d'histocompatibilité peuvent provoquer un rejet des
tissus :
a) seulement sihistocompatibilité majeure gènes
également causerejet.
b) mêmesi histocompatibilité majeure gènescorrespondre correctement.
c) plus rapidement que le rejet médié par le CMH.
d) au même rythme que le rejet du CMH.
e) Aucun de ci-dessus
Réponse : B
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 2
Indice : un majeur est un majeur et un mineur est un mineur.
53. Les allogreffes peuvent être acceptées sans l'utilisation de médicaments
immunosuppresseurs si :
a) ils sont dépourvus d'alloantigènes, tels que le cartilage.
b) sont greffées sur un site immunologiquement privilégié.
c) a été induite auparavant, comme dans le cas de jumeaux non identiques.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 1
Indice : l'absence d'antigènes entraîne une absence de réponse immunitaire.
54. Le rejet de greffe consiste en :
a) la sensibilisation, lorsque les cellules T sont stimulées, et l'effet, lorsqu'elles
attaquent le greffon.
b) la sensibilisation, lorsque les cellules B sont stimulées, et l'effet, lorsqu'elles
attaquent le greffon.
c) reconnaissance, lorsque les cellules T sont stimulées, et effecteur, lorsqu'elles
attaquent le greffon.
d) reconnaissance, lorsque les cellules B sont stimulées, et effecteur, lorsqu'elles
attaquent le greffon.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : A
Section : Immunologie de la transplantation
Difficulté : 1
Conseil : la sensibilisation des cellules T est essentielle.
Chapitre 17 Maladies infectieuses et vaccins 1. Les virus, comme beaucoup de bons
pathogènes, se sont adaptés pour survivre dans leurs hôtes. Lequel des scénarios
suivants serait le plus favorable à la transmission virale et à la survie à long terme de
l'espèce virale ?
A. Le virus X pénètre dans une cellule hôte, produit de nombreux virus
descendants (virions) et lyse la cellule hôte.
B. Le virus X pénètre dans la cellule hôte et fusionne l'ADN viral avec l'ADN de
l'hôte, de sorte que le virus est copié dans toutes les cellules hôtes descendantes.
C. Le virus X pénètre dans les cellules hôtes, fusionne l'ADN viral avec l'ADN de
l'hôte jusqu'à ce que la cellule hôte soit stressée, puis commence à produire de nombreux
virions qui finissent par chanter la cellule hôte.
D. Le virus X pénètre dans la cellule hôte et produit systématiquement des virions à
un faible niveau, de sorte que toutes les fonctions de la cellule hôte ne sont pas
perturbées.
E. Le virus X pénètre dans la cellule hôte, fabrique de nombreux virions
descendants et libère les virions par exocytose, de sorte que chaque virion est enveloppé
dans la membrane plasmique de la cellule hôte. La cellule hôte finira par mourir ou sera
ciblée par le système immunitaire pour l'apoptose.
Réponse : D
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 3
Conseil : les bons agents pathogènes produisent une descendance sans tuer les cellules
de leur hôte.
2. Lequel des éléments suivants est reconnu par le système immunitaire inné et
déclenche une réponse immunitaire qui produira des cytokines antivirales et des
molécules à effet déclencheur ?
A. Complément
B. IgA
C. IL-2
D. PAMPs
E. TNF-a
Réponse : D
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Conseil : le système immunitaire inné recherche des identifiants communs et non
spécifiques sur les virus.
3. L'un des mécanismes utilisés par les virus pour éviter la réponse immunitaire
consiste à se lier aux molécules effectrices de l'immunité. Toutes les méthodes suivantes
sont utilisées par les anticorps pour bloquer l'infection virale SAUF :
A. Les anticorps se lient aux particules virales et les enrobent, empêchant les
ligands viraux de se lier aux récepteurs cellulaires.
B. les anticorps déclenchent le complément, qui peut lyser les particules virales ou
recruter des opsonines.
C. stimulent l'activation des cellules T cytotoxiques.
D. les anticorps contribuent à la phagocytose.
E. Les anticorps rivalisent pour se lier aux ligands viraux.
Réponse : C
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Indice : les virus doivent se lier à un ligand avant de pouvoir pénétrer dans une cellule
hôte et commencer leur cycle de vie.
4. Le virus de la grippe est une préoccupation annuelle aux États-Unis et dans le
monde entier.
Chaque année, des millions de personnes sont vaccinées contre la grippe afin de se
protéger contre le virus de la grippe. Quels sont les deux ligands viraux contre lesquels le
vaccin antigrippal produit une immunité ?
A. Hémagglutinine et TNF-a
B. Hémagglutinine et N-acétyl glucosamine
C. N-acétyl glucosamine et Neuraminidase
D. N-acétyl glucosamine et transcriptase inverse
E. Neuraminidase et hémagglutinine
Réponse : E
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : les virus de la grippe sont nommés d'après leurs antigènes H et N.
5. Les virus tels que le virus d'Epstein-Barr, le cytomégalovirus et le VIH sont
capables de supprimer le système immunitaire :
A. en liant les anticorps mais en évitant une réponse immunitaire.
B. les lymphocytes infectants ou les cellules phagocytaires des cellules.
C. production de cytokines antagonistes.
D. enveloppant la descendance viraleparticules dans les la membrane
plasmique de la cellule hôte.
E. B et C.
Réponse : E
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Conseil : les virus peuvent échapper à la réponse immunitaire ou la diminuer en ciblant
les cellules immunitaires ou les cytokines de l'hôte.
6. Par quels mécanismes les bactéries pathogènes peuvent-elles échapper à la
réponse immunitaire de l'hôte ?
A. Éviter la phagocytose par la production d'une capsule
B. Fuite du phagolysosome à l'intérieur des cellules phagocytaires
C. Neutralisation des enzymes digestives présentes dans les cellules phagocytaires
D. A et B.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : les phagocytes capturent les agents pathogènes et les dégradent à l'aide
d'enzymes hydrolytiques.
7. Chacun des éléments suivants est une étape de l'infection bactérienne SAUF :
A. l'attachement à les cellules hôtes.
B. l'hôte se sent fatigué ou mal à l'aise.
C. l'invasion des tissus de l'hôte.
D. prolifération des bactériesdes cellules.
E. induite par les toxinesdommages à l'hôte des cellules.
Réponse : B
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : les agents pathogènes infectent, se reproduisent et passent à l'hôte suivant.
8. est connue sous le nom d'endotoxine.
A. C3a
B. Protéines capsulaires
C. Protéines flagellaires (antigène H)
D. Lipide A du LPS dans les cellules gram-négatives
E. Peptidoglycane dans les cellules gram-positives
Réponse : D
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : les endotoxines ne sont pas sécrétées.

9. Les anaphylatoxines stimulent une réponse inflammatoire localisée, qui


comprend la dégranulation des mastocytes, la vasodilatation et le recrutement de
lymphocytes et de cellules phagocytaires. Quel est le but de cette réponse immunitaire
localisée ?

A. Les mastocytes contiennent de l'histamine, qui déclenche une vasodilatation, ce


qui se traduit par une augmentation du nombre de patients.
L'augmentation de la circulation sanguine dans une zone infectée permet de recruter un
plus grand nombre de globules blancs.
B. Les protéines sériques contiennent des molécules immunitaires spécifiques et
pour fixernonet neutraliser
spécifiques.l'agent pathogène envahissant et ses
C. La vasodilatation augmente localement la température d'une zone infectée, de
sorte que
les protéines bactériennes sont
D. La vasodilatation augmente la sensibilité au niveau du site de l'infection et
L'hôte doit veiller à l'œdème.
provoque ne pas surutiliser ou taxer la zone infectée.
E. Toutes les
Réponseréponses
:E ci-
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Indice : les anaphylatoxines déclenchent une cascade immunitaire pour recruter d'autres
molécules immuno-effectives.
10. Lesquelles des substances suivantes sont des anaphylatoxines ?
A. C1 et MASP 1
B. No table of contents entries found.
Réponse : A
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Indice : les anaphylatoxines sont des produits clivés à partir d'importantes molécules
effectrices communes à chacune des trois voies du complément.
11. Les infections parasitaires comprennent
A. protozoaires.
B. les protozoaires et les helminthes.
C. les prions et les virus.
D. les prions, les virus et les bactéries.
E. protozoaires, helminthes, prions, virus et bactéries.
Réponse : B
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : les infections parasitaires impliquent des microbes de plus grande taille.
12. La maladie du sommeil et la maladie de Chagas sont causées par des membres
du genre Trypanosoma, des protozoaires qui résident dans la circulation sanguine.
Quelle est la principale façon dont les trypanosomes échappent à la réponse
immunitaire ?
A. Des cytokines antagonistes sont produites par le trypanosome.
B. Les changements périodiques de l'antigène de surface (VSG) des trypanosomes
garantissent qu'au moins quelques cellules survivront aux attaques médiées par les
anticorps.
C. Les trypanosomes sont des agents pathogènes pour l'homme et sont donc
immunisés contre les réactions immunitaires humaines.
D. Les trypanosomes envahissent le cerveau et les globules rouges, de sorte que
les cellules immunitaires comme les macrophages et les cellules dendritiques ne peuvent
pas phagocyter les trypanosomes.
E. Les vaccins sont facilement disponibles pour les personnes vivant dans des
zones infestées de trypanosomes.
Réponse : B
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Indice : les trypanosomes sont passés maîtres dans l'art de se cacher du système
immunitaire.
13. Comment les cellules de Plasmodium évitent-elles la clairance immunitaire ?
A. Des cytokines antagonistes sont produites par les cellules du Plasmodium.
B. Les changements périodiques de l'antigène de surface (VSG) du Plasmodium
garantissent qu'au moins quelques cellules survivront aux attaques médiées par les
anticorps.
C. Les cellules de Plasmodium présentent une multirésistance aux médicaments.
D. Le plasmodium envahit les globules rouges de sorte que les cellules immuno-
effectives telles que les macrophages et les cellules dendritiques ne peuvent pas
phagocyter les cellules du plasmodium.
E. Le TNF-a est produit en grandes quantités par le plasmodium, ce qui a pour effet
de submerger la réponse immunitaire et de créer une tempête de cytokines.
Réponse : D
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : le plasmodium est l'agent responsable de la malaria. Les personnes dont les
globules rouges sont malades ont moins de chances de contracter le paludisme.
14. La schistomiase est une maladie débilitante et potentiellement mortelle causée
par le parasite helminthique Schistosoma. Quel anticorps est spécifique de la réaction
aux helminthes ?
A. IgA
B. IgD
C. IgE
D. IgG
E. IgM
Réponse : C
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : La réponse immunitaire typique aux helmites libère de l'histamine, qui recrute les
inophiles.
15. La leishmaniose est une maladie qui peut être fatale à l'hôte ou être éliminée par
la réponse immunitaire de l'hôte. Quelle est la voie responsable de l'élimination de la
leishmaniose ?
A. Cellules B à mémoire
B. Complément
C. Cellules plasmatiques
D. Cellules TC
E. Cellules TH
Réponse : E
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : La production de TNF et d'interféron est la principale réponse immunitaire à
Leishmania major.
16. Certaines espèces de champignons font partie du microbiote normal ou de la flore
microbienne normale d'un organisme hôte. Comment le système immunitaire fait-il la
différence entre les bons et les mauvais champignons ?
A. Les bons champignons ne résident qu'à certains endroits et ne déclenchent donc
pas de réaction immunitaire.
B. Les bons champignons sont faiblement virulents, tandis que les mauvais
champignons sont très virulents.
C. Les champignons sont différenciés en fonction de leur production de cytokines.
D. Le système immunitaire ne tient pas compte d'une faible concentration de
champignons.
E. Les PAMP, tels que les motifs du peptidoglycane, sont utilisés pour marquer les
cellules fongiques.
Réponse : B
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Conseil : le microbiote normal est faiblement immunogène et sert à stimuler le système
immunitaire afin qu'une réponse immunitaire puisse se développer rapidement (en
quelques jours).
17. Le cryptocoque peut se propager dans un hôte infecté. Par quel mécanisme
Cryptococcus est-il contrôlé par le système immunitaire acquis ?
A. Activation des cellules TH
B. Dégranulation des éosinophiles et des IgE
C. Expression du TNF-a
D. Formation de granulomes
E. Activation des cellules plasmatiques
Réponse : D
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Indice : Les granulomes représentent une tentative du système immunitaire de s'opposer
à un pathoge n.
18. La virulence primaire chez les champignons indique :
A. une infection fongique agressive.
B. infection par une espèce fongique rare à fort pouvoir pathogène.
C. infection par une espèce fongique opportuniste à faible pathogénicité.
D. infection par une espèce fongique multirésistante.
E. infection par plusieurs espèces de champignons à la fois.
Réponse : B
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : la virulence est divisée en deux catégories : primaire et opportuniste.
19. Les gens rencontrent des champignons tous les jours, mais peu de personnes
en bonne santé développent des infections fongiques. Chacun des mécanismes suivants
du système immunitaire inné contribue à prévenir ou à limiter les infections fongiques
chez les personnes en bonne santé EXCEPTE :
A. Les neutrophiles sont particulièrement aptes à phagocyter les cellules fongiques.
B. la flore microbienne normale (commensale) limite la croissance fongique par la
production de toxines (antimicrobiennes).
C. la flore microbienne normale utilise les nutriments disponibles et l'espace de
colonisation de l'hôte, ce qui fait de l'hôte un environnement inhospitalier pour les
cellules fongiques.
D. Les PAMPs tels que les b-glucanes, les mannanes et la chitine sont reconnus
par les cellules immunitaires innées.
E. plusieurs espèces de champignons sont capables de bloquer la liaison avec le
PRR.
Réponse : E
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 2
Conseil : les espèces de la flore normale constituent la première défense contre les
infections fongiques. D'autres cellules immunitaires non spécifiques peuvent également
reconnaître des motifs non hôtes dans les parois cellulaires des champignons.
20. L'immunité fongique acquise est soutenue par :
A. les multiples antifongiques et vaccins disponibles.
B. les espèces de la flore normale qui produisent de nouveaux composés
antimicrobiens.
C. l'activation des cellules plasmatiques et des cellules B mémoires.
D. TH1 et la production d'INF- ?
E. Production de TNF-a et de TC.
Réponse : D
Section : Importance des barrières à l'infection et de la réponse innée
Difficulté : 1
Indice : La production de cytokines est nécessaire pour une immunité à long terme contre
les pathogènes fongiques.

21. Laquelle des maladies suivantes n'est pas considérée comme une nouvelle
maladie infectieuse émergente ?
A. Ebola
B. Légionnaires maladie (Legionella)
C. Multirésistants aux médicaments tuberculose
D. SRAS
E. Le virus du Nil occidental
Réponse : C
Section : Maladies infectieuses émergentes et réémergentes
Difficulté : 1
Indice : la plupart des maladies infectieuses émergentes sont des virus animaux qui ont
réussi à franchir la barrière des espèces et à infecter l'homme.
22. Les maladies infectieuses réémergentes constituent un problème majeur dans le
monde entier. Quelles mesures peuvent être prises pour prévenir la propagation des
maladies infectieuses ré-émergentes ?
uels que la coqueluche (Bordetella pertussis) ?
A. Créer de nouveaux antibiotiques, antifongiques et antiviraux pour traiter les
souches existantes d'agents pathogènes et limiter le développement de résistances
multiples.
B. Prendre les précautions qui s'imposent pendant les voyages, notamment en ce
qui concerne les agents pathogènes transmissibles par l'air.
C. Maintenir des programmes de vaccination rigoureux pour toutes les personnes
en bonne santé.
D. Fournir une immunité collective pendant les épidémies.
E. Toutes ces mesures sont de bonnes actions préventives.
Réponse : E
Section : Maladies infectieuses émergentes et réémergentes
Difficulté : 2
Conseil : la prévention de la propagation des maladies infectieuses implique un traitement
approprié pour les personnes infectées et des vaccinations, si possible, pour les
personnes en bonne santé.

23. Les vaccins sont les plus faciles à fabriquer :


A. bactéries, car leurs parois cellulaires restent relativement inchangées d'une
génération à l'autre.
B. les champignons, car plusieurs espèces de champignons sont des commensaux,
ce qui prépare la réponse immunitaire à produire facilement des anticorps contre le
nouveau vaccin.
C. Les helminthes sont des organismes de grande taille qui constituent des cibles
faciles.
D. Les prions étant des microbes nouveaux, de nombreux efforts de recherche sont
déployés pour arrêter les maladies liées aux prions.
E. Les virus, en particulier les virus à ARN, parce que leurs récepteurs cellulaires
sont immuables et se lient aux récepteurs cellulaires humains.
Réponse : A
Section : Vaccins
Difficulté : 2
Conseil : pour qu'un vaccin soit efficace, sa cible doit être un élément qui ne change pas
facilement.
24. Les vaccins modernes tentent d'induire une réponse immunitaire de la part de
l'organisme :
A. les cellules B mémoires.
B. les cellules T cytotoxiques.
C. les cellules souches hématopoïétiques.
D. les cellules immunitaires innées.
E. les cellules B naïves et les cellules TH des cellules.

Réponse : E
Section : Vaccins
Difficulté : 1
Conseil : les bons vaccins doivent activer à la fois les cellules B et les cellules T.
25. Lequel des éléments suivants est un exemple d'immunisation passive ?
A. Anticorps contre la rage administrés à une personne mordue par un chien
potentiellement enragé.
B. Antigène de la grippe tué par la chaleur et cultivé dans des œufs de poule
C. Antigène viral vivant administré sur un morceau de sucre pour protéger contre la
polio
D. A et B.
E. B et C.
Réponse : A
Section : Vaccins
Difficulté : 1
Indice : l'immunité passive utilise des anticorps tandis que l'immunité active utilise des
antigènes.
26. Quels sont les antigènes maternels qui protègent contre des maladies telles que
la diphtérie, le tétanos, les infections streptococciques et la rougeole ?
A. IgA et IgE
B. IgA et IgG
C. IgD et IgE
D. IgG et IgM
E. Toutes les classes d'immunoglobulines
Réponse : B
Section : Vaccins
Difficulté : 2
Conseil : certaines classes d'immunoglobulines sont capables de traverser le placenta et
peuvent être sécrétées dans le lait maternel.
27. Pourquoi l'immunité active produit-elle une immunité à long terme mieux que
l'immunité passive ?
A. L'immunité active entraîne toujours l'apparition de la maladie, mais à un degré
moindre que chez une personne non vaccinée.
B. Les anticorps ne produisent pas d'immunité à long terme car ils se dégradent au
bout de deux semaines.
C. Au cours de l'immunité active, les antigènes de la maladie sont présentés au
système immunitaire par les mécanismes classiques de présentation des antigènes, de
sorte qu'une réponse active des cellules B et une mémoire immunologique se
développent.
D. Le stockage à long terme des anticorps permet de préserver l'intégrité du vaccin,
mais les antigènes ne peuvent pas être stockés à long terme.
E. A et B.
Réponse : C
Section : Vaccins
Difficulté : 2
Conseil : le développement de la mémoire immunologique est le facteur le plus important
dans la conception des vaccins. Les vaccins qui ne développent pas de cellules
mémoires ne sont pas de bons vaccins et nécessitent des rappels fréquents.
28. Plusieurs vaccins sont des vaccins combinés et sont utilisés pour vacciner les
personnes contre deux ou plusieurs agents pathogènes. Un exemple de vaccin combiné
est le vaccin T DaP (tétanos, diphtérie, coqueluche). Comment un vaccin combiné
développe-t-il une mémoire immunologique contre plus d'un agent pathogène ?
A. Les réactions allergiques sont moins fréquentes avec les vaccins combinés
qu'avec les vaccins à antigène unique.
B. Les vaccins combinés développent une immunité contre des antigènes très
similaires ou identiques (à large spectre).
C. Les vaccins combinés sont plus économiques à produire que les vaccins
individuels.
D. Chaque cible antigénique incluse dans le vaccin combiné doit être suffisamment
différente pour que le système immunitaire puisse reconnaître l'antigène cible sur la
cellule pathogène.
E. Des antigènes similaires peuvent être modifiés chimiquement afin que le
système immunitaire reconnaisse chaque antigène comme unique.
Réponse : C
Section : Vaccins
Difficulté : 1
Conseil : Pour qu'un vaccin développe une immunité sûre à long terme, l'antigène cible
du vaccin doit être spécifique.
29. Que se passerait-il si une personne sous chimiothérapie recevait un vaccin à
virus vivant contre la polio ?
A. Le patient cancéreux développerait probablement une forte réponse immunitaire
au vaccin parce qu'un antigène viral vivant a été utilisé.
B. Le patient cancéreux développerait probablement la polio parce que son
système immunitaire est affaibli et qu'il ne serait pas en mesure de combattre le virus
vivant.
C. La chimiothérapie que reçoit le patient cancéreux inactiverait la va ccine en tuant
le virus vivant de la polio.
D. Il n'y aurait aucun effet, car le patient cancéreux ne produit pas un grand nombre
de cellules immunitaires avec lesquelles le virus de la polio pourrait interagir.
E. L'utilisation d'un antigène viral vivant dans un vaccin est mortelle pour les
personnes immunodéprimées, car leur système immunitaire serait submergé et un choc
toxique se produirait.

Réponse : B
Section : Vaccins
Difficulté : 2
Indice : les patients atteints de cancer sont immunodéprimés en raison de leurs
traitements, de leur maladie de longue durée et de leur réponse auto-immune.
30. Qu'est-ce que l'immunité de groupe ?
A. Journée mondiale de vaccination instaurée par l'Organisation mondiale de la
santé pour s'assurer que chaque personne sur la planète est vaccinée contre un agent
pathogène particulier. La dernière journée d'immunité collective a eu lieu au début des
années 1980 avec la variole.
B. Programme de vaccination lancé par des pays progressistes pour prévenir la
propagation de maladies à prions telles que la vache folle (ESB).
C. L'immunité collective est une méthode de vaccination particulière qui consiste à
administrer aux personnes immunodéprimées des vaccins composés uniquement
d'anticorps.
D. Recevoir tous les vaccins recommandés par le gouvernement en une seule
journée. Cela produit la réponse immunitaire la plus forte possible, mais laisse souvent la
personne atteinte de v accine dans un état de malaise (se sentant généralement mal) et
de fièvre.
E. Vaccination de la majorité d'une population pour protéger les personnes
immunodéprimées contre un agent pathogène particulier.
Réponse : E
Section : Vaccins
Difficulté : 2
Indice : L'immunité collective est utilisée lorsque le nombre de vaccins disponibles est
insuffisant pour vacciner tout le monde et pour protéger les personnes
immunodéprimées.
Chapitre 18 Troubles de l'immunodéficience

1. Immunodéficiences primaires :
A. sont hérité.
B. sont sévère.
C. modifier la voie du complément.
D. affectent une série de types de cellules.
E. sontcontagieux.
Réponse : A
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 1
Indice : dans ce contexte, "primaire" signifie "héréditaire".
2. Les immunodéficiences primaires sontPAS :
A. extrêmement rare.
B. le plus souvent monogénique.
C. presque toujours très sévère.
D. utiles à la compréhension de l'immunitéfonction.
E. En fait, ils sont tout cela à la fois.
Réponse : C
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Conseil : la gravité dépend du gène affecté.
3. Affections d'un seul isotype d'immunoglobuline :
A. sont les immunodéficiences primaires les plus courantes.
B. ne sont généralement pas particulièrement graves.
C. n'entravent pas la fixation du complément.
D. A et B.
E. Toutes les
Réponse réponses
:D ci-
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 1
Indice : les anticorps sont un des principaux moyens de fixation du complément.
4. Les immunodéficiences primaires affectant les cellules T ont tendance à être
plus sévères que celles affectant les cellules B pour les raisons suivantes :

A. Cellules contrôler la réponse immunitaire innée.


B. Cellules régulent la présentation des antigènes.
C. Cellules réguler la réponse immunitaire adaptative
D. Cellules peut déclencher l'apoptose.
E. Aucune ci-dessus.
Réponse : C
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 1
Indice : Les cellules T auxiliaires activent d'autres types de cellules.
5. Les immunodéficiences primaires qui affectent les cellules B sont souvent
caractérisées par :
A. des infections bactériennes récurrentes.
B. persistante les infections virales.
C. non résolu inflammatoire réponses.
D. Tous les ci-dessus.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : A
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Indice : les anticorps opsonisent les bactéries.
6. L'altération de la fonction des lymphocytes T peut entraîner une susceptibilité
accrue à l'infection bactérienne :
A. T cellules aider activer pleinement les cellules B.
B. T cellules aider déclencher la commutation de classe.
C. T cellules aider réguler la présentation de
l'antigène par les cellules dendritiques.
D. A et B.
E. Toutes les réponses ci-dessus.

Réponse : D
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 1
Indice : les cellules T ont des effets minimes sur la présentation de l'antigène.

7. Déficit immunitaire combiné sévère (DICS) :

A. est le résultat de l'absence de macrophages ou de cellules B.


B. n'affecte qu'une partie de la réponse immunitaire adaptative.
C. peut être causée par une défaillance des transporteurs TAP.
D. peut être causée par une défaillance de la recombinaison VDJ.
E. Toutes les réponses ci-dessus.

Réponse : D
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Indice : dans ce contexte, le terme "sévère" signifie qu'il n'y a pas de cellules T ou B.
8. Le déficit immunitaire combiné sévère (DICS) peut être causé par :
A. défaillancede Recombinaison VDJ.
B. défaillancede récepteurs de cytokines.
C. défaillancede Signalisation des récepteurs des cellules T.
D. défaillancede progéniteur lymphoïdela survie.
E. Tous les ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 1
Indice : Le déficit en adénosine désaminase entraîne une accumulation de toxines dans
les précurseurs.
9. Les enfants nés avec un SCID sont souvent infectés pour la première fois par
des champignons ou des virus :
A. leurs cellules T fonctionnent suffisamment bien pour faire face à une infection
bactérienne.
B. Les anticorps maternels assurent une protection contre les bactéries pendant
plusieurs mois.
C. leur fonction de macrophage n'est pas altérée et ils peuvent contenir des agents
pathogènes bactériens.
D. la lyse complémentaire des bactéries, en particulier par la voie alternative, est
une protection suffisante.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : B
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Indice : les anticorps traversent le placenta, ce qui n'est pas le cas des cellules.
10. La déficience de la chaîne gamma commune des récepteurs de cytokines est un
problème particulièrement grave parce que :
A. il est codé sur le chromosome X, de sorte que les hommes sont
hémizygous.
B. il est utilisé par plusieurs récepteurs de cytokines.
C. il entraîne des déficiences dans les cellules T, les cellules B et les cellules NK.
cellules
D. Les deux a et b
E. Toutes les réponses ci-dessus
Indice : elle est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.
Difficulté : 1
Réponse : E
Section : Immunodéficiences primaires
Taxonomie : Comprendre
11. Le déficit en adénosine désaminase entraîne un SCID, même si :
A. Les cellules ont d'autres voies à utiliser.
B. il affecte principalement les cellules dendritiques.
C. il n'est utilisé que chez les adultes.
D. le gène ne fait pas partie du système immunitaire.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : D
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Indice : la mutation entraîne l'accumulation de composés toxiques.
12. Le syndrome des lymphocytes nus n'est PAS :
A. produire un phénotype comme le SCID.
B. résultent d'un défaut du transporteur TAP.
C. conduisent à un manque de CMH de classe II.
D. entraînent un déficit en cellules T cytotoxiques.
E. augmentent la sensibilité aux infections virales.
Réponse : C
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 1
Indice : le TAP se charge sur le CMH de classe I.
13. Syndrome d'hyper Ig-M :
A. est autosomique.
B. est le résultat d'une aideCellule T défaut.
C. comprend une maturation normale de l'affinité.
D. a un effet cytotoxique altéré. Cellule T réponses.
E. Aucune de ces réponses.
Réponse : B
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Indice : les Ig-M s'accumulent en raison d'un échec de l'induction de la commutation de
classe.
14. Agammaglobulinémie liée à l'X (X-LA) :
A. est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes.
B. a augmenté les niveaux d'Ig-G.
C. est plus sensible aux infections fongiques.
D. peut être traitée avec des médicaments antiviraux.
E. résulte d'un défaut de signalisation des cellules B.
Réponse : E
Section : Immunodéficiences primaires
Difficulté : 2
Indice : elle est également connue sous le nom d'hypogammaglobulinémie de Bruton, en
référence à la tyrosine kinase de Brunto n^s.
15. Immunodéficiences secondaires :
A. peut être provoquée par de multiples facteurs.
B. peutêtre contagieux.
C. peutêtrehérité.
D. Les deux A et B.
E. Tousde ci-dessus.
Réponse : D
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : les immunodéficiences primaires sont héréditaires.
16. L'hypogammaglobulinémie diffère du déficit immunitaire commun variable en ce
qu'elle.. :
A. est ne sont pas héréditaires.
B. est caractérisé par faibleniveauxdeIg-G.
C. peut être traitée par IV-gammaglobuline.
D. est relativement doux.
E. Toutes les
Réponse réponses
:A ci-
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : il s'agit d'un déficit immunitaire secondaire.
17. L'immunodéficience induite par un agent n'est PAS :
A. conduisent à unel'état d'immunodépression.
B. accompagner les traitements de transplantation.
C. venir après la radiothérapie.
D. se faire transmettreon dans les gamètes.
E. En fait, il fait tout cela.
Réponse : D
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : il s'agit d'une vaste catégorie d'immunodéficiences secondaires.
18. Dans le monde entier, il s'agit de l'immunodéficience acquise la plus courante :
A. est le VIH/sida.
B. est la malnutrition.
C. affecte surtout Cellules T.
D. affecte les cellules T et, indirectement, les cellules B.
E. A et D.
Réponse : B
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : le VIH est une épidémie, mais la famine est bien plus fréquente.
19. VIH-1 :
A. est un rétrovirus.
B. appartient à la famille des lentivirus.
C. intègre comme un pro-virus.
D. Tant A que C.
E. Tous les ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : les lentivirus sont un type de rétrovirus.
20. Le VIH-1 et le VIH-2 sont très similaires SAUF que :
A. Le VIH-2 progresse beaucoup plus rapidement.
B. Le VIH-2 est présent en forte proportion dans certaines populations.
C. On pense que le VIH-1 est né du FIV, le virus de l'immunodéficience féline.
D. Le VIH-2 est plus répandu.
E. Toutes ces affirmations sont vraies et décrivent de nombreuses différences entre
les deux.
Réponse : B
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 2
Indice : le VIH-2 est persistant, présent dans certaines populations à hauteur de 8 %,
sans pour autant être associé à des maladies infectieuses.
nogenèse.
21. Le VIH-1 n'est PAS :
A. le plus souvent transmis par contact sexuel.
B. le plus souvent transmis par les produits sanguins.
C. peuvent être transmis de la mère à l'enfant lors de l'accouchement.
D. Traitable par des médicaments antiviraux.
E. de progresser pendant de nombreuses années.
Réponse : B
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : il s'agit d'une MST ; les autres formes de transmission sont moins courantes.
22. Laquelle des voies suivantes n'est PAS considérée comme un facteur majeur de
l'infection précoce par le VIH -1 ?

A. Transmission par les cellules de Langerhans Activation des cellules CD4+


B. locales Transmission par les macrophages Transmission par les cellules
C. dendritiques Tous ces facteurs sont importants.
D.
E.
Réponse : C
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 2
Indice : les cellules CD4+ et les cellules de Langerhans ont tendance à résider près de la
muqueuse.

23. La protéine pol du VIH-1 code :


A. une protéase.
B. une intégrase.
C. une transcriptase inverse.
D. A et B.
E. Toutes les réponses ci-dessus.

Réponse : E
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : Pol code pour trois polypeptides.

24. La transcriptase inverse étant une enzyme sujette aux erreurs, il s'ensuit que :
A. Le VIH-1 aura un taux de mutation élevé.
B. les médicaments ciblant le VIH n'affecteront qu'une partie de la population. le
C. traitement du VIH ne produira que des résultats temporaires.
D. A et B.
E. Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 1
Indice : un taux de mutation élevé conduit à une population diversifiée.
25. Étant donné que la protéine gp120 du VIH-1 interagit à la fois avec le CD4 et le
CCR5, il n'est PAS raisonnable de conclure que.. :

A. Les cellules CD4 ne seront pas infectées.


B. Les cellules CCR5 ne seront pas infectées.
C. La déficience en CCR5 devrait conférer une résistance au VIH-1. Le blocage du
D. CCR5 devrait apporter une certaine protection. Le blocage du CD4 est une approche
E. thérapeutique utile.
Réponse : E
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 2
Conseil : le blocage des récepteurs de la surface cellulaire peut avoir des effets multiples.
26. Le traitement polychimiothérapeutique du VIH-1 est préférable au traitement
monothérapeutique pour les raisons suivantes :
A. le taux de mutation élevé du VIH-1 signifie que de nombreux médicaments ne
sont pas susceptibles d'agir contre lui.
B. la polychimiothérapie exerce une pression sélective plus difficile sur le virus ;
pour survivre, il faut de multiples mutations.
C. en se protégeant contre un médicament, le virus est moins capable de se
protéger contre les autres.
D. les médicaments agissent en synergie les uns avec les autres.
E. un médicament rend le virus plus sensible aux autres.
Réponse : B
Section : Immunodéficiences secondaires
Difficulté : 3
Indice : plusieurs médicaments ciblent plusieurs gènes.
Chapitre 19 Cancer et système immunitaire

55. La principale différence entre les tumeurs bénignes et les tumeurs malignes est
la suivante :
a) Les tumeurs bénignes sont capables de métastases.
b) Les tumeurs malignes n'envahissent pas les tissus environnants.
c) les tumeurs bénignes ne sont pas des néoplasmes.
d) Les tumeurs malignes sont capables d'une croissance incontrôlée.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : D
Section : Terminologie et types de cancer les plus courants
Difficulté : 1
Indice : bénin signifie inoffensif ; malin signifie nuisible.
56. Les cancers les plus courants sont les carcinomes :
a) sont dérivés du tissu épithélial.
b) Les cancers les plus fréquents sont le cancer du sein et le cancer du côlon.
c) comprennent la leucémie.
d) Les deux a et b
e) Toutes les réponses ci-dessus
Réponse : C
Section : Terminologie et types de cancer les plus courants
Difficulté : 1
Indice : la leucémie n'est pas un carcinome.
57. La métastase n'est PAS l'un des éléments suivants ?
a) Une propriété des tumeurs bénignes
b) Invasion de nouveaux sites par les cellules tumorales
c) La production de tumeurs secondaires
d) Propriété des tumeurs malignes Extrêmement dangereux
e)
Réponse : A
Section : Terminologie et types de cancer les plus courants
Difficulté : 1
Conseil : le délogement et l'invasion sont très dangereux.

58. Les tumeurs hématopoïétiques comprennent toutes les tumeurs à l'exception de


celles qui suivent.

a) Cancer du poumon
b) Leucémie
c) Lymphome
d) Myélome
e) Il s'agit de tumeurs hématopoïétiques.

Réponse : A
Section : Terminologie et types de cancer les plus courants
Difficulté : 2
Indice : Le cancer du poumon est un carcinome.

59. Alors que les leucémies étaient autrefois définies en fonction de leur rapidité
d'apparition, elles sont aujourd'hui définies en fonction de leur vitesse d'apparition.
son défini comme :
t
a) aiguë et chronique, où chronique signifie plus durable.
b) aiguë et chronique, cette dernière impliquant des cellules moins
c) aiguë et chronique, la chronique impliquant des cellules plus
d) lymphocytaire ou myélogène, le terme lymphocytaire désignant les lymphocytes.
e) lymphocytaire ou myélogène, le terme lymphocytaire désignant tout globule
blanc.
ell.
Réponse : C
Section : Terminologie et types de cancer les plus courants
Difficulté : 2
Indice : Les leucémies aiguës sont dérivées de cellules immatures.
60. Transformation maligne des cellules signifie généralement qu'ils :
a) se développent de manière indépendante de la densité.
b) ont réduit leur dépendance à l'égard de la croissance des facteurs.
c) ne dépendent pas de l'ancrage.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Transformation maligne des cellules
Difficulté : 1
Indice : considérez les besoins normaux pour la croissance des cellules ; les cellules
malignes obtiennent la quasi-totalité de ces besoins.
61. Cancérogènes ne sont PAS :
a) agents que induisent des mutations de l'ADN.
b) agents que induire une transformation.
c) l'énergie tels comme les radiations ionisantes.
d) des virus tels que le virus d'Epstein-Barr.
e) des produits chimiques tels que le formaldéhyde.
Réponse : D
Section : Transformation maligne des cellules
Difficulté : 1
Indice : les substances cancérigènes sont des facteurs abiotiques.
62. Oncogènes :
a) ont été découverts à l'origine envirus.
b) se sont révélés être des éléments normaux de la fonction cellulaire.
c) régulent souvent la croissance cellulaire.
d) sont mutés ou ne sont pas pris en compteen le cancer.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Transformation maligne des cellules
Difficulté : 1
Indice : le virus du sarcome de Rous a été le premier agent cancérigène.
63. Gènes suppresseurs de tumeurssont PAS :
a) cellule normalement régulatrice croissance.
b) appelés anti-oncogènes.
c) Les cancers de l'ovaire sont des causes de cancer lorsqu'ils deviennent inactifs.
d) des causes de cancer lorsqu'elles sont activées.
e) A et C.
Réponse : D
Section : Transformation maligne des cellules
Difficulté : 2
Indice : La fonction normale des suppresseurs de tumeurs est de limiter la division
cellulaire.
64. Les caractéristiques de la transformation tumorale comprennent tous les
éléments suivants SAUF :
a) l'indépendance du facteur de croissance.
b) dépendance des suppresseurs de tumeurs.
c) l'angiogenèse.
d) l'évitement des signaux apoptotiques.
e) Tous ces éléments sont des caractéristiques de la la transformation tumorale.
Réponse : C
Section : Transformation maligne des cellules
Difficulté : 2
Indice : l'angiogenèse et l'évitement de l'apoptose sont tous deux nécessaires.
65. La plupart des antigènes tumoraux :
a) sont des produits de virus.
b) cibler la tumeur pour qu'elle soit reconnue par le système immunitaire.
c) ne sont pas reconnus comme des antigènes du soi.
d) sont des produits oncogènes.
e) B et C.
Réponse : D
Section : Antigènes tumoraux
Difficulté : 2
Indice : les tumeurs sont des tissus autonomes.
66. Les cellules T peuvent reconnaître les antigènes tumoraux de chacune des
classes suivantes, SAUF :
a) les antigènes codés par des gènes exclusivement exprimés par les tumeurs (par
exemple, les gènes viraux).
b) antigènes codés par des formes variantes de gènes normaux qui sont modifiés
par la mu tation.
c) les antigènes qui sont exprimés à des niveaux inférieurs à la normale.
d) antigènes normalement exprimés à certains stades du développement.
e) les antigènes qui sont surexprimés dans certaines tumeurs.
Réponse : C
Section : Antigènes tumoraux
Difficulté : 1
Indice : la reconnaissance des cellules T dépend de la production de protéines, et non de
leur absence ou de leur réduction.
67. Antigènes spécifiques de la tumeur :
a) déclencher l'élimination par les cellules T des tumeur.
b) peuvent être difficiles à identifier.
c) sont fortement sélectionnées contre par le système
immunitaire.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Antigènes tumoraux
Difficulté : 1
Conseil : si les cellules tumorales sont tuées, ce sont celles qui ne sont pas ciblées qui
survivent.
68. Antigènes associés aux tumeurs :
a) sontne sont pas des protéines cellulaires normales.
b) sontprotéines virales.
c) ont des profils d'expression anormaux.
d) A et B.
e) Tousde ce qui précède
Réponse : C
Section : Antigènes tumoraux
Difficulté : 2
Indice : il s'agit de gènes régulés à la hausse.
69. L'alpha-fétoprotéine (AFP) est :
a) normalement exprimées par les embryons.
b) normal pour enceinte femmes.
c) exprimé de manière aberrante par certains cancers.
d) Les deux A et C.
e) Tous lesles ci-dessus.
Réponse : E
Section : Antigènes tumoraux
Difficulté : 1
Indice : le cancer du foie peut exprimer l'AFP.
70. Le système immunitaire ne lutte PAS contre le cancer avec lequel des
mécanismes suivants ?

a) Élimination des virus transformateurs


b) Élimination de l'inflammation tumorale
c) Induction de l'apoptose dans les cellules cancéreuses
d) Induction de l'anergie dans les cellules cancéreuses
e) Il utilise tous ces mécanismes.
Réponse : D
Section : La réponse immunitaire au cancer
Difficulté : 1
Indice : l'anergie est un mécanisme d'induction de la tolérance.
71. La théorie selon laquelle le système immunitaire surveille et élimine activement
les cellules cancéreuses est étayée par l'observation suivante :
a) Les patients atteints du sida présentent des taux plus élevés de certains types
de cancer que d'autres populations.
b) Les patients transplantés sous traitement immunosuppresseur présentent des
taux plus élevés de certains types de cancer que d'autres populations.
c) Les patients déficients en adénosine désaminase et sous traitement
immunosuppresseur présentent des taux plus élevés de certains types de cancer que
d'autres populations.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : D
Section : La réponse immunitaire au cancer
Difficulté : 2
Indice : la carence en ADA n'a pas encore été associée au cancer.
72. L'immunoédition ne le fait PAS :
a) conduisent à des tumeurs plus agressives par sélection naturelle.
b) l'élimination des cellules tumorales.
c) consistent en l'élimination, l'équilibre et la fuite.
d) s'étendent sur une période de plusieurs années.
e) En fait, il fait tout cela.
Réponse : E
Section : La réponse immunitaire au cancer
Difficulté : 2
Indice : l'élimination de certaines cellules tumorales entraîne la sélection naturelle
d'autres cellules.
73. La variabilité de la réponse immunitaire au cancer permet d'observer que :
a) Les cellules NK et les cellules dendritiques peuvent contrôler directement les
cellules cancéreuses.
b) Les cellules NK et les cellules dendritiques peuvent activer une réponse des
cellules T auxiliaires à la co
ntervenir dans la lutte contre le cancer.
c) Les cellules NK et les cellules dendritiques peuvent activer une réponse
cytotoxique des lymphocytes T pour lutter contre le cancer.
d) Les cellules Th17 peuvent activer une réponse pour lutter contre le cancer.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : C
Section : La réponse immunitaire au cancer
Difficulté : 2
Indice : les cellules cancéreuses doivent échapper à l'induction de l'apoptose.
74. Le rôle clé des cellules tueuses naturelles dans la lutte contre le cancer n'est
PAS étayé par l'étude :
a) L'observation selon laquelle les souris déficientes en NK présentent des taux de
développement du sarc oma supérieurs à la normale.
b) l'observation que les cellules NK peuvent tuer les cellules cancéreuses in vitro.
c) que de nombreuses tumeurs régulent à la baisse les gènes du CMH, y compris
les récepteurs NK.
d) l'observation selon laquelle le stress cellulaire régule à la hausse de nombreux
récepteurs NK.
e) Tous ces éléments soutiennent le rôle.
Réponse : D
Section : La réponse immunitaire au cancer
Difficulté : 2
Indice : les cellules NK tuent les cibles qui ne possèdent pas les molécules de
signalisation appropriées.
75. Les réponses du système immunitaire qui peuvent favoriser le cancer
comprennent toutes les réponses suivantes SAUF :
a) l'inflammation chronique.
b) l'inhibition des réponses Th1.
c) les cellules suppressives d'origine myéloïde (MDSC).
d) Activation des CTL.
e) Tous ces éléments favorisent le cancer.
Réponse : D
Section : La réponse immunitaire au cancer
Difficulté : 2
Indice : les CTL peuvent contrôler la croissance des tumeurs.
76. L'immunothérapie conçue pour cibler le lymphome à cellules B à l'aide d'un
anticorps monoclonal est plus facile à administrer que les autres immunothérapies parce
que.. :
a) le lymphome est plus enclin à l'apoptose.
b) un anticorps monoclonal anti-idiotypique ne ciblera pas les cellules parasites.
c) le lymphome est capable de changer de classe.
d) le lymphome est localisé à des organes spécifiques.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : B
Section : Immunothérapie du cancer
Difficulté : 2
Indice : les lymphomes ont des récepteurs d'antigènes uniques.
77. Les immunotoxines agissent par :
a) induisant l'apoptose des cellules cibles.
b) recruter du complément pour tuer les cellules cibles.
c) délivrer des produits chimiques spécifiquement aux cellules cibles.
d) le recrutement de cellules NK.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : C
Section : Immunothérapie du cancer
Difficulté : 1
Indice : les toxines sont de nature chimique.
78. Le traitement du cancer par les cytokines s'est avéré problématique pour les
raisons suivantes :
a) peuvent présenter une toxicité in vivo.
b) Il est très difficile de contrôler correctement les dosages.
c) Les cytokines peuvent réguler la production d'autres cytokines.
d) Les cytokines exercent des effets sur un grand nombre de cellules cibles.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunothérapie du cancer
Difficulté : 1
Conseil : les cytokines sont excellentes lorsqu'elles sont appliquées à des cellules cibles
spécifiques ; utilisation thérapeutique

Ce n'est pas le cas.


79. L'utilisation de cellules T spécifiques de la tumeur réintroduites chez les patients
nécessite tous les éléments suivants SAUF :
a) l'isolement des cellules spécifiques à la tumeur.
b) les cellules spécifiques à la tumeur sont activées afin de surmonter la maladie
induite par la tumeur.
anergie.
c) le patient ayant subi un épuisement lymphatique afin de faciliter la réintroduction.
d) les cellules spécifiques de la tumeur sont débarrassées des clones autoréactifs.
e) Toutes ces étapes sont nécessaires.
Réponse : D
Section : Immunothérapie du cancer
Difficulté : 2
Indice : les tumeurs peuvent survivre en induisant une anergie dans les cellules
réceptives.
80. La manipulation des signaux costimulatoires pourrait permettre de traiter les
tumeurs en raison de leur utilisation :
a) Les tumeurs qui ne produisent pas de costimulation induisent au contraire de
l'anergie.
b) il est relativement facile d'isoler et d'introduire des gènes dans les cellules
tumorales.
c) Les tumeurs modifiées avec une activité costimulante accrue peuvent être
réintroduites chez les patients.
d) le blocage de CTLA-4 sur les tumeurs augmentera l'activation des lymphocytes
T.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Immunothérapie du cancer
Difficulté : 2
Conseil : pour survivre, les tumeurs doivent moduler à la baisse la costimulation positive
ou à la hausse la costimulation négative.

Chapitre 20 Systèmes et méthodes expérimentales

81. Les anticorps polyclonaux diffèrent des anticorps monoclonaux sur tous les
points EXCE PT lequel des points suivants :
a) Ils présentent généralement moins de réactivités croisées.
b) Ils sont généralementmeilleure pour l'immunoprécipitation.
c) Ils ont généralement une affinité plus faible.
d) Ils peut varier de de préparation en préparation.
e) Ils diffèrent dans tous lesde ces façons.
Réponse : A
Section : Génération d'anticorps
Difficulté : 2
Indice : Les anticorps polyclonaux sont produits par une variété de cellules B
individuelles.
82. Les anticorps monoclonaux constituent d'excellents outils de recherche car
a) en tant que produits d'une seule cellule B, ils ont tous la même spécificité.
b) leur spécificité est stable dans le temps.
c) leur réactivité croisée peut être bien caractérisée.
d) ils sont produits par des cellules transformées et peuvent donc être produits en
grandes quantités.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Génération d'anticorps
Difficulté : 1
Conseil : les monoclonaux sont produits en fusionnant des cellules B avec des lignées
cellulaires immortalisées, puis en sélectionnant des clones individuels.
83. L'immunoprécipitation ne le fait PAS :
a) permettent de caractériser les molécules liées aux cellules.
b) se déroulent dans des matrices de gel.
c) sont bien adaptées à la solution.
d) nécessitent l'utilisation d'un anticorps monoclonal.
e) En fait, il fait tout cela à la fois.
Réponse : D
Section : Techniques basées sur l'immunoprécipitation et l'agglutination
Difficulté : 2
Conseil : l'immunoprécipitation est l'utilisation d'un ou de plusieurs anticorps pour se lier à
la cible ir en vue d'une manipulation ultérieure.
84. L'immunoprécipitation peut être utilisée :
a) avec le Western blotting pour évaluer son efficacité.
b) avec le Western blotting pour déterminer l'abondance des protéines.
c) avec des anticorps secondaires pour vérifier les interactions protéine-protéine.
d) pour purifier les protéines.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Techniques basées sur l'immunoprécipitation et l'agglutination
Difficulté : 1
Conseil : l'immunoprécipitation a un très large éventail d'applications.
85. Toutes les affirmations suivantes concernant les réactions d'agglutination sont
vraies SAUF :
a) ils ne sont utilisés que pour les globules rouges.
b) ils ne détectent que les molécules présentes à la surface des cellules.
c) ils nécessitent un haut degré d'expertise pour être interprétés.
d) ils devraient être effectués avec des titrages d'anticorps.
e) Toutes les réponses ci-dessus sont vraies.
Réponse : C
Section : Réactions d'agglutination
Difficulté : 2
Conseil : il s'agit probablement de l'essai immunologique le plus couramment réalisé dans
le monde.
86. Les réactions d'inhibition de l'hémagglutination sont utilisées pour détecter :
a) aux bactéries.
b) aux virus.
c) protéines à la surface des globules rouges.
d) A et B.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : B
Section : Réactions d'agglutination
Difficulté : 2
Conseil : les virus de la grippe peuvent induire une pathogenèse en déclenchant une
hémagglutination.
87. Essais ELISPOT
a) sont
: des modifications de la technique du Western blotting.
b) sont utilisés pour détecter les cellules individuelles.
c) impliquent l'utilisation d'anticorps de ^capture^.
d) B et C.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : D
Section : Dosages d'anticorps basés sur la liaison de l'antigène à des supports en phase
solide
Difficulté : 1
Conseil : les ELISPOTs fonctionnent en recouvrant des surfaces d'anticorps primaires,
puis en laissant les cellules se déposer sur la surface.
88. La conception d'un test ELISA efficace peut s'avérer difficile pour les raisons
suivantes :
a) Les différents systèmes de détection ont une sensibilité qui varie de plus de cinq
ordres de grandeur.
de magnitude.
b) le nombre de répétitions nécessaires pour tout ELISA est assez élevé.
c) la concentration anticipée des cibles doit être estimée afin de déterminer la
sensibilité requise pour l'essai.
d) l'amplification du signal par les conditions de l'essai peut altérer les
interprétations.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : C
Section : Dosages d'anticorps basés sur la liaison de l'antigène à des supports en phase
solide
Difficulté : 3
Conseil : l'un des facteurs les plus variables est la quantité de cible à mesurer.
89. Lequel des énoncés suivants ne décrit PAS la dialyse à l'équilibre ?
a) Il est utilisé pour quantifier la liaison entre l'anticorps et l'antigène.
b) Elle dépend de la capacité du ligand à traverser une membrane semi-perméable.
c) Il mesure la quantité de ligand lié à l'anticorps par rapport au ligand non lié.
d) Elle nécessite une étape d'amplification enzymatique.
e) Toutes ces réponses décrivent la dialyse à l'équilibre.
Réponse : D
Section : Méthodes de détermination de l'affinité des interactions antigène/anticorps
Difficulté : 2
Indice : la dialyse à l'équilibre n'est pas une forme d'ELISA.
90. Plasmon de surface résonance :
a) est une valeur relativement élevée.récemment technique développée.
b) dépend des molécules proches d'une surface réfléchissante.
c) exige que la liaison et la dissociation soient évaluées.
d) A et C.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Méthodes de détermination de l'affinité des interactions antigène/anticorps
Difficulté : 1
Conseil : la dissociation ne peut être évaluée qu'après saturation de la liaison.
91. L'immunohistochimie et l'immunocytochimie ne partagent PAS les
caractéristiques suivantes ?
a) Utilisation d'anticorps pour reconnaître des cibles spécifiques
b) Utilisation d'enzymes pour amplifier le signal
c) Utilisation de protéines non pertinentes, telles que le lait, pour réduire la liaison
non spécifique.
d) Utilisation d'un détergent pour perméabiliser la membrane
e) Ils partagent toutes ces caractéristiques.
Réponse : D
Section : Visualisation microscopique des cellules et des structures subcellulaires
Difficulté : 2
Conseil : la section des tissus rompt parfois les membranes cellulaires.
92. L'immunohistochimie et l'immunocytochimie se distinguent l'une de l'autre par le
fait qu'elles se distinguent par le fait qu'elles se différencient l'une de l'autre :
a) l'immunocytochimie analyse des coupes de tissus.
b) L'immunohistochimie analyse les cellules individuelles.
c) L'immunohistochimie utilise la microscopie électronique en or.
d) L'immunocytochimie analyse les cellules individuelles.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : D
Section : Visualisation microscopique des cellules et des structures subcellulaires
Difficulté : 2
Indice : L'histologie est l'étude des tissus.
93. Imagerie basée sur l'immunofluorescence :
a) permet de visualiser finement la localisation subcellulaire.
b) a été améliorée par la disponibilité de plusieurs colorants.
c) a été simplifiée par génie génétique pour marquer la GFP sur des protéines
cibles.
ns.
d) peut tirer parti de molécules qui n'ont pas besoin d'anticorps pour se lier aux
cibles.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Techniques d'imagerie basées sur l'immunofluorescence
Difficulté : 1
Indice : la technologie récente a permis d'améliorer cette technique à bien des égards.
94. La microscopie confocale améliore l'immunofluorescence en ce sens qu'elle.. :
a) augmente la résolution de l'image.
b) permet de construire des images tridimensionnelles.
c) permet la détection de plusieurs molécules.
d) est la seule technique qui permette d'utiliser des cellules vivantes.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : B
Section : Techniques d'imagerie basées sur l'immunofluorescence
Difficulté : 1
Conseil : la technique confocale élimine l'artefact des molécules situées au-dessus ou au-
dessous du plan.
d'imagerie que l'on trouve avec la plupart des techniques microscopiques.
95. En cytométrie de flux, outre les marqueurs fluorescents, on mesure la diffusion
avant (FSC) et latérale (SSC) :
a) La dispersion latérale est une réflexion dela taille de la cellule.
b) diffusion vers l'avant est une mesure de la
quantité d'ADN dans la cellule.
c) La dispersion latérale est une mesure de la quantité d'ADN dans la
cellule.
d) diffusion vers l'avant est une réflexion
de la complexité interne de la cellule.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : E
Section : Cytométrie en flux
Difficulté : 1
Indice : l'ADN est mesuré par des colorants spécifiques à l'ADN.
96. La coloration intracellulaire est une avancée majeure dans le domaine du tri
cellulaire :
a) nécessite la perméabilisation de la membrane cellulaire.
b) permet de détecter des molécules à l'intérieur de la cellule plutôt qu'à sa surface.
c) permet la localisation subcellulaire des molécules.
d) Les deux A et B.
e) Tous leslesci-dessus.
Réponse : D
Section : Cytométrie en flux
Difficulté : 1
Conseil : l'immunocytochimie permet de visualiser l'intérieur des cellules.
97. La principale distinction entre la FACS et la MACS est la suivante :
a) Le MACS n'est pas aussi précis que le FACS.
b) MACS n'utilise pas de marqueur fluorescent.
c) MACS peut être utilisé avec des cellules vivantes.
d) Le MACS peut être utilisé pour la coloration intracellulaire.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : B
Section : Tri cellulaire activé par magnétisme
Difficulté : 1
Indice : FACS signifie "fluorescence-activated cell sorting" (tri cellulaire activé par
fluorescence).
98. Vous pouvez utiliser MACS au lieu de FACS si vous.. :
a) ont une très un petit nombre de cellules pour trier.
b) travaillent avec les cellules qui sont particulièrementfragile.
c) travaillent avec un très grand nombre de cellules.
d) ont besoin d'une élevé degré de précision.
e) utilisent plusieurs anticorps.
Réponse : C
Section : Tri cellulaire activé par magnétisme
Difficulté : 1
Indice : FACS trie les cellules une par une.
99. Lequel des énoncés suivants est VRAI en ce qui concerne l'iodure de propidium
et l'analyse du cycle cellulaire ?
a) Les cellules apoptotiques ont plus d'ADN que les cellules G1 normales.
b) Les cellules en phase S ont la même teneur en ADN que les cellules en phase
G1.
c) Les cellules G2 ont plus d'ADN que les cellules G1 normales.
d) Les cellules M auront le même contenu en ADN que les cellules G1 normales.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : C
Section : Analyse du cycle cellulaire
Difficulté : 1
Indice : S est la phase pendant laquelle la réplication de l'ADN a lieu.
100. L'ester de carboxyfluorescéine succinimidyl (CFSE) peut être utilisé pour suivre
la division cellulaire :
a) après l'avoir administré aux cellules, les cellules en division en incorporent
davantage dans leur ADN.
b) Après l'administration de cette substance aux cellules, les cellules en division en
incorporent davantage dans leurs protéines.
c) son intensité est réduite de moitié environ lors de la réplication de l'ADN.
d) son intensité est réduite de moitié environ lorsque la cellule se divise.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : D
Section : Analyse du cycle cellulaire
Difficulté : 2
Indice : la CFSE marque les protéines.
101. Dans les tests de libération de chrome, ou plus récemment dans les tests de
libération de CFSE, les cellules qui meurent libèrent le marqueur si elles le font :
a) mourirpar apoptose uniquement.
b) mourirpar nécrose uniquement.
c) mourirpar l'apoptose ou la nécrose.
d) diviser avant de mourir.
e) répliquer l'ADN avant de mourir.
Réponse : C
Section : Tests de mort cellulaire
Difficulté : 2
Indice : la mort cellulaire élimine l'intégrité de la membrane.
102. Coloration de l'annexe V des cellules identifiées :
a) une défaillance de l'intégrité de la membrane.
b) extrémités brisées des chromosomes produites lors de la fragmentation de
l'ADN.
c) les cellules nécrotiques mais pas les cellules apoptotiques.
d) les cellules apoptotiques et nécrotiques.
e) une rupture de l'asymétrie membranaire.
Réponse : E
Section : Tests de mort cellulaire
Difficulté : 2
Indice : l'annexine-V se lie au lipide membranaire phosphatidyl-sérine.
103. L'utilisation d'inhibiteurs pour analyser les voies de signalisation implique une
mise en garde :
a) l'application de la molécule de signalisation doit précéder l'application de l'in
hibiteur.
b) l'application de l'inhibiteur doit précéder l'application de la molécule de
signalisation.
c) L'inhibition de la transduction du signal s'applique aussi bien aux voies simples
qu'aux voies complexes.
d) La spécificité de l'inhibiteur doit être connue avec précision.
e) Aucune de ces réponses.
Réponse : D
Section : Approches biochimiques utilisées pour élucider les voies de transduction du
signal Difficulté : 2
Indice : les inhibiteurs initialement développés pour le facteur de transcription Erk1 sont
maintenant k
connus pour inhiber également Erk5.
104. L'identification des protéines qui interagissent avec une molécule cible peut se
faire par tous les mécanismes suivants, sauf lequel ?
a) Essai de déplacement de la mobilité électrophorétique (EMSA) Co-
b) immunoprécipitation
c) Analyse par Western blot
d) Micro-séquençage
e) Système hybride à deux levures
Réponse : A
Section : Approches biochimiques utilisées pour élucider les voies de transduction du
signal Difficulté : 2
Indice : l'EMSA est utilisée pour identifier la liaison des protéines à l'ADN.
105. L'utilisation de lignées de souris consanguines :
a) réduit l'hétérogénéité génétique.
b) réduit les variables expérimentales.
c) augmente la similarité entre les individus.
d) permet d'obtenir des animaux syngéniques.
e) Toutes les réponses ci-dessus.
Réponse : E
Section : Systèmes expérimentaux pour animaux entiers
Difficulté : 1
Indice : Syngénique signifie que l'on partage des gènes.
106. Les souches congéniques ne le sont PAS :
a) génétiquement identiques à presquetous loci.
b) distinct à un seul endroit.
c) utiles pour les expériences de transfert adoptif.
d) équivalent à des jumeaux identiques.
e) Les produits congéniques sont tout cela à la fois.
Réponse : D
Section : Systèmes expérimentaux pour animaux entiers
Difficulté : 2
Indice : les congéniques évitent le problème du rejet des tissus.

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