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3 ASC

yassine mrazek
septembre 2013
2

QUI PEUT FAIRE ; PEUT FAIRE MIEUX


Table des matières

1 Quelques outils mathématiques 5


1.1 J’APPRENDS LE VOCABULAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
1.2 LA RÉCIPROQUE D’UNE PROPRIÉTÉ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
1.3 JE PROUVE À L’AIDE D’UN CONTRE-EXEMPLE . . . . . . . . . . . . . . . . 8

2 Les identités remarquables - Développement - Factorisation 11


2.1 Développement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.1.1 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.1.2 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.1.3 exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.2 Identités remarquables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.2.1 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.2.2 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3 Factorisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.3.1 a- Avec un facteur commun . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.3.2 b- Avec un identité remarquable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.3.3 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.4 Je me prépare au contrôle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.5 Démontrer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

3 Les puissances 17
3.1 Notation puissance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3.2 Les puissances de 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3.2.1 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17
3.3 Règle de calcul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
3.3.1 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18

4 Racines carrés 21
4.1 Racine carrée d’un nombre positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
4.1.1 a. Définition et exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
4.1.2 Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
4.2 Nombres x tel que x2 = a, avec a un nombre positif . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.2.1 Propriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.3 Racines carrées et opérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.3.1 a. multiplication et division . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
4.3.2 Addition et soustraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23

3
4 TABLE DES MATIÈRES

5 Configurations de Thalès 27
5.1 Le théorème de Thalès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
5.1.1 Propriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27
5.2 La réciproque du théorème de Thalès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28
5.2.1 a. énoncé de la réciproque du théorème de Thalès . . . . . . . . . . . . . . 28
5.2.2 b. Un cas particulier : la droite des milieux . . . . . . . . . . . . . . 28

6 Ordre et opérations 33
6.1 Notation et définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
6.1.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
6.2 Signe d’une différence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
6.2.1 Propriété . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33
6.3 Ordre et Opérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
6.3.1 Ordre et addition - Ordre et soustraction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
6.3.2 Ordre et multiplication . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

7 Le théorème de Pythagore 35
7.1 a. Le théorème de Pythagore . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
7.1.1 Théorème . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35
7.2 La réciproque du théorème de Pythagore . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
7.2.1 Théorème . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36

8 Triangles rectangles - Trigonométrie 39


8.1 Cosinus, sinus, tangente d’un angle aigu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
8.2 Deux formules de trigonométrie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39
Chapitre 1

Quelques outils mathématiques

1.1 J’APPRENDS LE VOCABULAIRE


Calculer : déterminer un résultat par une suite de calculs.

Cas particulier : aspect d’une définition, d’une propriété ou d’une règle qui présente un carac-
tère remarquable.

Comparer deux nombres : déterminer lequel est le plus grand, lequel est le plus petit ou s’ils
sont égaux.

Conséquence : proposition vraie obtenue à partir d’une autre proposition vraie.

Considérer prendre en compte .

Construire : dessiner précisément en utilisant des instruments et des méthodes du cours.

Déduire (en) : répondre à une question en utilisant certains résultats des questions précédentes.

Définition : énoncé qui permet de concevoir un objet.

Démonstration : raisonnement logique et structuré qui permet d’établir qu’une proposition


est vraie.

Désigner : représenter par un symbole ou par une lettre.

Déterminer : trouver de manière précise (pas forcément par un calcul).

Exemple : illustration d’une régle. d’une définition, d’une propriété .

Expliquer : faire comprendre à l’aide d’arguments pourquoi une affirmation est vraie ou fausse.

Mesurer : utiliser un instrument de mesure pour évaluer une grandeur.

5
6 CHAPITRE 1. QUELQUES OUTILS MATHÉMATIQUES

Proposition : affirmation qui peut être vraie ou fausse.

Propriété : proposition vraie qui précise la qualité d’un objet et qui peut être démontrée.

prouver : démontrer

Reproduire : refaire une figure donnée par l’énoncé

Théorème : proposition vraie qui peut être démontrée.

1.2 LA RÉCIPROQUE D’UNE PROPRIÉTÉ


Les propriétés au collège sont souvent de la forme :
si la partie 1 est vérifiée, alors la partie 2 est vérifiée
Exemple :
On considère la proposition :
si j’habite à Zemamra , alors j’habite au Maroc
Zemamra étant une région du Maroc, une personne habitant à Zemamra, habite donc au Maroc
On dit que la proposition :
si j’habite à Zemamra , alors j’habite au Maroc. est vraie
cette proposition est alors appelée propriété

En inversant le sens de la proposition :


si la partie2 est vérifiée, alors la partie 1 est vérifiée .
on en change complètement la signification.
Cette nouvelle proposition est appelée proposition réciproque. Elle peut être vraie ou fausse.

Exemple : La proposition réciproque de : si j’habite à Zemamra , alors j’habite au Maroc.


est : si j’habite au Maroc, alors j’habite à Zemamra .
Cette nouvelle proposition est fausse. Cette proposition réciproque est fausse, ce n’est pas une
propriété.

Exercice d’application
1 - Préciser si la proposition énoncée est vraie ou fausse . expliquer la réponse.
2-
a - Énoncer la proposition réciproque.
b - Préciser si cette proposition réciproque est vraie ou fausse. Expliquer la réponse.
• si j’habite à Londres, alors j’habite en Angleterre.
? si j’ai moins de 18 ans , alors je suis mineur.
I si un nombre entier est pair, alors ce nombre est multiple de 2.
• • si AI = IB , alors le point I est le milieu du segment [AB].

correction de l’exercice
1.2. LA RÉCIPROQUE D’UNE PROPRIÉTÉ 7

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.............................................................................................
8 CHAPITRE 1. QUELQUES OUTILS MATHÉMATIQUES

1.3 JE PROUVE À L’AIDE D’UN CONTRE-EXEMPLE


On considère une proposition du type :
Si partie 1 , alors partie 2
I Pour prouver qu’une proposition est vraie, il faut faire une démonstration
I Pour prouver qu’une proposition est fausse,
il suffit de trouver un exemple pour lequel elle est fausse.
Un tel exemple est appelée contre-exemple
Exemple On considère la proposition : si un nombre est multiple de 3, alors il se termine par 3.
Par exemple, 12 est un multiple de 3 et 12 ne se termine pas par 3.
Donc, cette proposition est fausse.
12 est un contre-exemple pour cette proposition.

Exercice d’application
Prouver que chaque proposition est fausse en donnant un contre-exemple.
?a ? Si un nombre est multiple de 3, alors ce nombre est multiple de 6.
?b ? Si un triangle possède un angle de 60o , alors ce triangle est équilatéral.
?c ? si un parallélogramme possède deux côtés consécutifs de la même longueur, alors ce parallé-
logramme est un carré
?d ? Si AI=BI, alors le point I est le milieu du segment [AB]

correction de l’exercice

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1.3. JE PROUVE À L’AIDE D’UN CONTRE-EXEMPLE 9

.............................................................................................

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10 CHAPITRE 1. QUELQUES OUTILS MATHÉMATIQUES
Chapitre 2

Les identités remarquables -


Développement - Factorisation

2.1 Développement
2.1.1 Propriétés
k, a, b, c, d désignent des nombres relatifs
Règles de distributivité : k(a + b) = k × a + k × b
Règle de double distributivité : (a + b)(c + d) = ac + ad + bc + bd

2.1.2 Exemples
Exemple1 Exemple2 : développer et réduire
A = −5x(2x − 3) B = (4x − 3)(2x + 5)
A = −5x × 2x − (−5x) × 3 B = 4x × 2x + 4x × 5 − 3 × 2x − 3 × 5
A = −5 × 2 × x × x + 5 × 3 × x B = 8x2 + 20x − 6x − 15
A = −10x2 + 15x B = 8x2 + 14x − 15

2.1.3 exercices
Exercice 1. Développer et réduire

A = −3(2x − 1) = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

B = 4(4 − 3x) = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

C = (2x + 5)(x + 1) = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

C = ......................................................................................

D = (2y − 1)(3y + 2) = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

11
12CHAPITRE 2. LES IDENTITÉS REMARQUABLES - DÉVELOPPEMENT - FACTORISATION

= .........................................................................................

E = (4x + 1)(x − 4) − 4x(1 − 5x) =

E = ......................................................................................

E = ......................................................................................

F = 2x(8x − 1) − (4x − 5)(4x − 1)

F = ......................................................................................

F = ......................................................................................

2.2 Identités remarquables


2.2.1 Propriétés
a, b désignent des nombres relatifs
I (a + b)2 = a2 + 2ab + b2 ;I (a − b)2 = a2 − 2ab + b2
On dit que 2ab est le double produit, c’ est le double du produit ab
Exemple 1
(x + 5)2 = x2 + 2 × x × 5 + 52 Exemple 3
(x + 5)2 = x2 + 10x + 25 (x + 5)(x − 5) = x2 − 52 = x2 − 25
Exemple 2 Exemple 4
(2x − 7)2 = (2x)2 − 2 × 2x × 7 + 72 (2x − 3)(2x + 3) = (2x)2 − 32 = 4x2 − 9
(2x − 7)2 = 4x2 − 28x + 49

2.2.2 Exercices
Exercice 2. Développer puis réduire
A = (5x − 3)2

A = ......................................................................................

A = ......................................................................................
1 1
B = ( x − 1)( x + 1) − (x − 1)(x − 3)
2 2
B = ......................................................................................

B = ......................................................................................
2.3. FACTORISATION 13

1
C = (x + )2
4
C =. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

C = ......................................................................................
3 3 1
D=( − 2x)( + 2x) − (2x + )2
2 2 2
D = ......................................................................................

D = ......................................................................................

D = ......................................................................................

D = ......................................................................................

2.3 Factorisation
2.3.1 a- Avec un facteur commun
Pour factoriser, on peut utiliser les règles de distributivité ka + kb = k(a + b)
on dit que k est un facteur commun aux termes ka et kb
Exemple 1 : factoriser A = 3x2 − x
A = x × 3x − x × 1
A = x(3x − 1)
Exemple 2 : factoriser B = (2x + 1)2 + (2x + 1)(x + 4)
B = (2x + 1)(2x + 1) + (2x + 1)(x + 4)
B = (2x + 1)(2x + 1 + x + 4)
B = (2x + 1)(3x + 5)

2.3.2 b- Avec un identité remarquable


Pour factoriser, on peut utiliser les identités remarquables sous la forme :
I a2 + 2ab + b2 = (a + b)2 I a2 − 2ab + b2 = (a − b)2 I a2 − b2 = (a + b)(a − b)

Exemple 1
x2 + 10x + 25 = x2 + 2 × 5 × x + 52
x2 + 10x + 25 = (x + 5)2
Exemple 2 :
y 2 − 6y + 9 = y 2 − 2 × 3 × y + 32
y 2 − 6y + 9 = (y − 3)2
Exemple 3 :
m2 − 64 = m2 − 82
14CHAPITRE 2. LES IDENTITÉS REMARQUABLES - DÉVELOPPEMENT - FACTORISATION

m2 − 64 = (m + 8)(m − 8)

2.3.3 Exercices
Exercice 3. Factoriser

A = 5x2 − 3x

A = ......................................................................................

B = 2(5x − 1)2 − (2 + 3x)(5x − 1)

B = ......................................................................................

B =. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

B =. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

C = (t + 1)2 − 100

C =. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

D = 7(x − 2) − (4x + 1)(x − 2)

D = .........................................................................................

D = .........................................................................................

E = (t − 3)(2t − 1) + t − 3

E =. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

E =. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Exercice 4. Recopier et compléter pour que chaque égalité


soit vraie pour toutes les valeurs de x

a.(x + ...)2 = ... + 6x + ...


b.(... − ...)2 = 4x2 − ... + 25
c.(7x + ...)(... − ...) = ... − 64
2.4. JE ME PRÉPARE AU CONTRÔLE 15

2.4 Je me prépare au contrôle


Exercice 5. Reconnaître une identité remarquable et factoriser

– A = x2 − 2x + 1 – D = (2x − 1)2 − (3x + 2)2


– B = 36 − 49x2 – E = (9x − 5)2 − 16x2
– C = 25x2 − 30x + 9 – F = 25 + 36x2 + 60x

Exercice 6. On considère l’expression

E = (3x + 2)2 − (3x + 2)(x + 7)

1. Développer et réduire E
2. Factoriser E
1
3. Calculer E pour x =
2

2.5 Démontrer
Démontrer que la somme des carrés de deux nombres impairs consécutifs
quelconques est un nombre pair
in di cati on

: un nombre pair c-à-d divisible par 2, s’écrit 2k avec k nombre entier, Donc nombre impair
s’écrit 2k+1

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...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................
16CHAPITRE 2. LES IDENTITÉS REMARQUABLES - DÉVELOPPEMENT - FACTORISATION

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................
Chapitre 3

Les puissances

3.1 Notation puissance


Définition a désigne un nombre réel et n désigne un nombre entier relatif
La notation an désigne une puissance de a et se lit « a exposant n »
I pour n > 2 : an = |a × a × 1 0
{z.... × a} I a = a I a = 1
nf acteurs
−n 1
I Lorsque a 6= 0, a = n
. Ainsi, a−n est l’inverse de an
a
1
Exemples :52 = 5 × 5 = 25 ; (−7)3 = (−7)(−7)(−7) = −343 ; 5−2 =
52

3.2 Les puissances de 10


3.2.1 Propriétés
Quel que soit le nombre entier positif n
−n
I 10n = 1 0......0
| {z } I 10 = |0, 0......0 1
{z }
n zeros nzros
Exemples : 106 = 1000000 ; 10−3 = 0, 001

Exercice 7. 1. Donner l’écriture décimale de chaque nombre

– 23 = .............. – (−3)2 = ..............


– 2−1 = ............ – 5−3 = .............
– 107 = ................ – 10−4 = .............

2. écrire chaque nombre à l’aide d’une puissance de 10


100000 = .............; 0, 01 = ................; 0, 0001

17
18 CHAPITRE 3. LES PUISSANCES

3.3 Règle de calcul


3.3.1 Propriétés
a et b désignent des nombres réels non nuls, m et n désignent des nombres entiers relatifs.

 n
1. am × an = am+n a an
4. =
2. (ab)n = an .bn b bn
am
3. n = am−n 5. (am )n = am×n
a
Exemples
 2
1. 22 × 23 = 22+3 = 25 3 32 9
√ √ 2 4. = =
2. (2 5)2 = 22 . 5 = 4 × 5 = 20 4 42 16
47
3. −2 = 47−(−2) = 49 5. (43 )2 = 43×2 = 46
4
28 × 32 × 57
Exercice 8. Sans utiliser la calculatrice et sans poser d’opération, calculer A =
23 × 152
A = ..........................................................................................

A = ..........................................................................................

A = ..........................................................................................

A = ..........................................................................................

Exercice 9. écrire sous la forme d’une puissance d’un seul nombre

34 × 37 × 3−2 = . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

7 × (7−2 )−4
= ..............................................................................
711

Exercice 10. Recopier et compléter


a. 0, 003 = 3 × 10.... ; ; b. 0, 05 = 5 × 10...
b. 1, 25 = 12, 5 × 10.... ; ; d. 0, 0012 = ....... × 10−3

Exercice 11. Pour chaque nombre, donner son écriture décimale puis son écriture scientifique

2, 5 × 10−3 × 9 × 105
A= = ...................................................................
15 × 10−4
3.3. RÈGLE DE CALCUL 19

A = ..........................................................................................

A = ..........................................................................................

210 × 10−6 × 5 × 105


B= =................................................................
35 × 104
B =.......................................................................................

B =.......................................................................................
20 CHAPITRE 3. LES PUISSANCES
Chapitre 4

Racines carrés

4.1 Racine carrée d’un nombre positif


4.1.1 a. Définition et exemples
Définition : a désigne un nombre positif
La racine carrée √ de a est le nombre positif dont le carré est a.
Ce nombre est noté √a
Exemple 1 : Cas où a est un nombre entier

√ √
1. 0 = 0 car 02 = 0 4. 9 = 3 car 32 = 9
√ √
2. 1 = 1 car 12 = 1 5. 16 = 4 car 42 = 16
√ √
3. 4 = 2 car 22 = 4 6. 36 = 6 car 62 = 36

√ Exemple 2 : Cas où a est un nombre rationnel non entier
2
r0, 25 = 0, 5 car « 0, 5 = 0, 25 »
 2
4 2 2 4
= car « = »
9 3 3 √ 9
Exemple
√ √ √ 3 : Cas où a est un nombre irrationnel
2; 3; 4, 5; ..........sont des nombres irrationnels

4.1.2 Propriétés

I Quel que soit le nombre positif a : ( a)2 = a
r !2
√ 2 √ 3 3
Exemples :( 3) = 3 ; ( 11, 5)2 = 11, 5 ; =
7 7

I Quel que soit le nombre positif a : sa2 = a
 2
√ p 2 2
2 2
Exemples : 6 = 6 ; 13, 4 = 13, 4 ; =
3 3

21
22 CHAPITRE 4. RACINES CARRÉS

Exercice 12. Calculer mentalement :


√ √
1. 49 = ........ 5. 8100 = ........

2. 81 = ........ √
√ 6. 0, 04 = ......
3. 4 = .........
√ √
4. 64 = ........ 7. 0, 64 = ......

Exercice 13. Calculer sans utiliser la calculatrice

√ 2 p
1. ( 2 = ........ 4. 1, 52 = ........
√ √
2. 102 = ........ 5. ( 2, 85)2 = ........
√ √
3. 72 = ......... 6. ( 31)2 = ......

4.2 Nombres x tel que x2 = a, avec a un nombre positif


4.2.1 Propriété
: a un nombre positif √ √
Les nombres x tels que x2 = a sont les nombres a et √ − a √
Exemples : - Les nombres x tels que x2√= 1, 44 sont
√ 1, 44 et − 1, 44 c-à -d 1,2 et -1,2
- Les nombres x tels que x2 = 10 sont 10 et − 10

4.3 Racines carrées et opérations


4.3.1 a. multiplication et division
Propriété Le produit des racines carrées de deux nombres positifs est égal à la racine
carrée de leur produit
Ainsi, quels que soient les nombres positifs a et b

√ √ √
a× b= a×b
√ √ √ √ √ √ √ √
Exemples : 3 × 8 = 3 × 8 = 24 ; ; 6= 2×3= 2× 3
Propriété Le quotient des racines carrées de deux nombres positifs est égal à la racine carrée
de leur quotient
Ainsi, quels que soient les nombres positifs a et b, avec b 6= 0

√ r
a a
√ =
b b
√ √ √
10 √
r r
10 5 5 5
Exemples : √ = = 2 ;; =√ =
5 5 9 9 3
4.3. RACINES CARRÉES ET OPÉRATIONS 23

4.3.2 Addition et soustraction

attenti on !

Les propriétés précédentes ne s’étendent pas à l’addition et la soustraction


Exemples
√ : √ √ √
I 16 √ + 9 = 25
√ = 5 et
√ 16 + 9=4+3=7
√ 16 + 9 6= √16 + 9 √
donc √ √ √ √
I 225 − 144 = 81 = 9 et 225 − 144 = 25 − 12 = 13 donc 225 − 144 6= 225 − 144

√ √ √ √
√ 48 50 2× 6 √
Exercice 14. 1) écrire le nombre 5 3 ; ; ; sous la forme c avec c
4 5 2
nombre entier positif

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...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................
√ √ √
2) écrire 72 et 48 sous la forme a b avec a et b nombre entiers positifs et b le plus petit
possible.

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................
2 1 1
3) écrire √ ; √ ; √ avec un dénominateur entier.
3 5 2 7
...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................

...........................................................................................


Exercice 15. écrire sous la forme a b avec a nombre entier relatif et b nombre entiers positifs le
plus petit possible.
24 CHAPITRE 4. RACINES CARRÉS
√ √ √
A = 9 7 − 2 28 − 5 63

A =.......................................................................................

A =.......................................................................................

A =.......................................................................................
√ √ √
B= 24 + 54 − 150

B =.......................................................................................

B =.......................................................................................

B =.......................................................................................
√ √ √
C = 2 50 − 98 − 18

C =.......................................................................................

C =.......................................................................................

C =.......................................................................................
√ √ √
D = 3 20 + 4 45 − 80

D =.......................................................................................

D =.......................................................................................

D =.......................................................................................

√ √ √
Exercice 16. a) Réduire la somme S = − 27 + 2 75 sous la forme a b
b) Développer
√ et réduire

A = (5 − 3 2)(3 + 2)

A =.......................................................................................

A =.......................................................................................
√ √ √
B = (5 + 15)( 5 − 3)

B =.......................................................................................

B =.......................................................................................
4.3. RACINES CARRÉES ET OPÉRATIONS 25

B =.......................................................................................

Exercice 17. ABCD est un rectangle tel que

√ √ √
AB = ( 27 + 3)cm et BC = 48cm

1) Démontrer que ABCD est un carré

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2) Calculer son périmètre et son aire

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...........................................................................................
26 CHAPITRE 4. RACINES CARRÉS
Chapitre 5

Configurations de Thalès

5.1 Le théorème de Thalès

5.1.1 Propriété
(d) et (d0 ) sont deux droites sécantes en A.
B et M sont deux points de (d), distincts de A.
C et N sont deux points de (d’), distincts de A.
AM AN MN
Si les droites (BC) et (M N ) sont parallèles , alors = =
AB AC BC
a) Les trois configurations possibles
Les données du théoème de Thalès sont vérifiées pour les trois figures ci-dessous ( pour lesquelles
(BC) et (MN) sont parallèles). Lorsqu’on reconnaît l’une de ces figures, appelées configurations
de Thalès, on peut donc écrire l’égalité des trois rapports précédents.

b. Une conséquence importante


Lorsque les droites (BM) et (CN) sont sécantes en A :
AM AN
Si 6= alors les droites (BC) et (MN) ne sont pas parallèlles
AB AC

27
28 CHAPITRE 5. CONFIGURATIONS DE THALÈS

5.2 La réciproque du théorème de Thalès


5.2.1 a. énoncé de la réciproque du théorème de Thalès
Vocabulaire
Sur chacune des figures ci-dessous, on dit que « les points A,B, M de la droite (d) et les points
A,C,N de la droite (d’) sont dans le même ordre »

Propriété

(d) et (d0 ) sont deux droites sécantes en A.


B et M sont deux points de (d), distincts de A.
C et N sont deux points de (d’), distincts de A.
AM AN
Si = et si les points A, B, M et les points A, C, N sont dans le même ordre.
AB AC
alors les droites (BC) et (M N ) sont parallèles.

5.2.2 b. Un cas particulier : la droite des milieux


Dans le triangle ABC, M est le milieu du côté [AB] et N le milieu du côté [AC]  
AM AN 1
Ainsi , les points A, M, B et les points A, N, C sont sont dans le même ordre et = = .
AB AC 2
Donc , d’ après la réciproque du théorème de Thalès, (M N ) et (BC) sont parallèles. On retrouve
ainsi le théorème de la droite des milieux

Propriété : Dans un triangle, la droite qui joint les milieux de deux côtés est parallèle au troisième
côté.
5.2. LA RÉCIPROQUE DU THÉORÈME DE THALÈS 29

Exercice 18. Utiliser le théorème de Thalès


Sur la figure ci-dessous , les points A, O, C sont alignés, ainsi que les points B, O, D et les droites
(AB) et (CD) sont parallèles
Calculer la longueur OD.

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30 CHAPITRE 5. CONFIGURATIONS DE THALÈS

Exercice 19. Reconnaître des droites non parallèles


Sur la figure ci-dessous, les points A , M, B sont alignés, ainsi que les points A, N, C.
Démontrer que les droites (M N ) et (BC) ne sont pas parallèles.

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5.2. LA RÉCIPROQUE DU THÉORÈME DE THALÈS 31

Exercice 20. Utiliser la réciproque du théorème de Thalès


Sur la figure ci-dessous, les points A , E, U sont alignés, ainsi que les points A, F, V.
Démontrer que les droites (EF ) et (U V ) sont parallèles.

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32 CHAPITRE 5. CONFIGURATIONS DE THALÈS
Chapitre 6

Ordre et opérations

6.1 Notation et définition


Symboles Signification
a<b a est strictement inférieur à b
a>b a est strictement supérieur à b
a> b a est supérieur ou égal à b
a6 b a est inférieur ou égal à b

6.1.1 Définition
Une inégalité compare deux nombres à l’aide d’un des symboles :<,> ; > ;6
Exemple 0, 5 < 1 et x − 1 > 3 sont des inégalités

x − 1}
| {z 6 3
|{z}
premier membre second membre

* 5 6= 7 n’est pas une inégalité . Cela signifie que la proposition « 5=7 » est fausse

6.2 Signe d’une différence


6.2.1 Propriété
a et b désignent des nombres réels
I Si a > b , alors a − b > 0
I Si a − b > 0 , alors a > b
Remarque : Cette propriété reste vraie avec les trois autres symboles <, 6, >

33
34 CHAPITRE 6. ORDRE ET OPÉRATIONS

6.3 Ordre et Opérations


6.3.1 Ordre et addition - Ordre et soustraction
propriété : a, b et c désignent trois nombres réels
I Les nombres a+c et b+c sont rangés dans le même ordre que les nombres a et b
Par exemple : si a>b , alors a+c >b+c

I Les nombres a-c et b-c sont rangés dans le même ordre que les nombres a et b
Par exemple : si a>b , alors a-c >b-c
Exemples :
On considère le nombre y tel que y − 13 6 −2
on a alors : y − 13 + 13 6 −2 + 13 c’est-à- dire y 6 11

6.3.2 Ordre et multiplication


propriété : a, b et c désignent trois nombres réels
Isi c>0, alors ac et bc sont rangés dans le même ordre que les nombres a et b
Par exemple : si a6 b et c>0, alors ac 6 bc

I si c<0, alors ac et bc sont rangés dans l’ordre contraire de a et b


Par exemple : si a6 b et c<0, alors ac > bc

Exemples - On considère le nombre xtel que 5x > −10


1 1 1
on a alors : 5x × > −10 × >0
5 5 5
c’est à dire x > −2 l’ordre est conservé
m
- On considère le nombre m tel que <3
−6
m
on a alors : × (−6) > 3 × (−6) (−6 < 0)
−6
c’est à dire m > −18 l’ordre est inversé
Chapitre 7

Le théorème de Pythagore

7.1 a. Le théorème de Pythagore


7.1.1 Théorème
si un triangle est rectangle, alors le carré de la longueur de
l’hypoténuse est égal à la somme des carrés des longueurs des côtés de
l’angle droit
Donnée Conclusion

Dans le triangle ABC


Le triangle ABC est rectangle en A BC 2 = AB 2 + AC 2
Conséquence : Le plus grand côté d’un triangle est son hypoténuse

Exercice 21. 1- Soit JKL un triangle rectangle en J tel que : KL=13 cm et JK= 12cm. Calculer
JL
2- Soit FGR un triangle rectangle en G tel que : GR=3cm et GF=5cm. Calculer FR

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35
36 CHAPITRE 7. LE THÉORÈME DE PYTHAGORE

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7.2 La réciproque du théorème de Pythagore


7.2.1 Théorème
Si le carré de la longueur d’un côté d’un triangle est égal à la somme des carrés des longueurs
des deux autres côtés, alors ce triangle est rectangle.
Donnée Conclusion

Le triangle
Dans le triangle ABC ABC est rectangle en A
BC 2 = AB 2 + AC 2
La réciproque du théorème de Phythagore permet de démontrer quún triangle est rectangle
lorsque les longueurs des trois côtés du triangle sont connues

Exercice 22. Soit un triangle IJK tel que : IJ=6cm ; IK= 4,5cm et JK= 7,5 cm. Le triangle IJK
est-il rectangle ?

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7.2. LA RÉCIPROQUE DU THÉORÈME DE PYTHAGORE 37

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Exercice 23. RST est un triangle rectangle en R tel que : RS= 2,1 cm et RT=7,2cm
On appelle I le milieu du segment [ST ]
Calculer la longueur RI

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Exercice 24. MNPO est un losange tel que : MP=2,2 cm et NO=12cm


Calculer le périmètre de ce losange.

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38 CHAPITRE 7. LE THÉORÈME DE PYTHAGORE

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Chapitre 8

Triangles rectangles - Trigonométrie

8.1 Cosinus, sinus, tangente d’un angle aigu


Définition
Dans un triangle rectangle :
longueur du côté adjacent cet angle
I le cosinus d’un angle aigu est égal au rapport ;
longueur de l0 hypoténuse
longueur du côté opposé cet angle
I le sinus d’un angle aigu est égal au rapport ;
longueur de l0 hypoténuse
longueur du côté opposé cet angle
I la tangente d’un angle aigu est égal au rapport ;
longueur du côté adjacent cet angle
Le cosinus d’un angle aigu Bb se note cos B,
b
son sinus se note sin B
b et sa tangente se note tan B.
b

Dans un triangle ABC rectangle en A :


b = BA
cos B b = AC
sin B b = AC
tan B
BC BC AB

8.2 Deux formules de trigonométrie

39
40 CHAPITRE 8. TRIANGLES RECTANGLES - TRIGONOMÉTRIE

Propriété
Quel que soit le triangle ABC rectangle en A :
b = sin B
b
b + sin2 B
(1) cos2 B b=1 (2) tan B
cos B
b
Exercice 25. démontrer (1) et (2)
Démonstration de (1)

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Démonstration de (2)

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Utilité de ces formules
I la formule (1) permet de calculer cos B
b connaissant sin B(ou
b sin B
b connaissant cos B)
b
I la formule (2) permet de calculer cos B,
b sin B
b ou tan B
b connaissant deux de ces nombres

Exercice 26. DEF est un triangle rectangle en E .


Donner les expressions de cos D,
b sin D
b et tan D
b

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8.2. DEUX FORMULES DE TRIGONOMÉTRIE 41

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Exercice 27. ABC est un triangle rectangle en A. On sait que cos B


b = 0, 8
Calculer sin B
b

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Exercice 28. ABC est un triangle rectangle en A


1- a. Donner les expressions de cos Bb et de sin C
b
0
b = sin(90 − B).
b. Expliquer alors pourquoi : cos B b
0
2- Démontrer de même que : sin B = cos(90 − B)
b b

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42 CHAPITRE 8. TRIANGLES RECTANGLES - TRIGONOMÉTRIE

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Exercice 29. x mesure d’un angle aigu Montrer que :


cos x × sin(900 − x) + sin x × cos(900 − x) = 1

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