Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
TRAITE à la SAUTERELLE.
Face aplomb. dévers. tous dévers.
3
2
1
1 - Co u p e d'a lig n e me n t.
2 - Co u p e a p lo m b.
3 - Co u p e de ba rbe .
Ce principe nous a été légué par nos aînés charpentiers qui exécutaient des épures au
1/10; il permet rapidement en quelques lignes d’obtenir la valeur des coupes.
A. Pondard
2
La sauterelle
Le trait de charpente n'est autre qu'un moyen graphique basé sur la géométrie descriptive
qui permet de résoudre les problèmes posés pour le tracé d'une épure à partir de laquelle sera
taillée une charpente.
On distingue 3 procédés de trait: Le rembarrement, la sauterelle et le croche.
Il est le fruit d’une expérience enrichie et transmise par des quantités de générations de
charpentiers.
Le trait permet de trouver les longueurs, les retombées, les coupes des pièces de bois.
La sauterelle, cette méthode très rapide et prisée des charpentiers est issue de la géométrie
descriptive * par conséquent la construction et le développement de plans dans l’espace.
Il n'est pas nécessaire de connaître la section des bois pour obtenir l'angle recherché.
Le tracé à la sauterelle consiste à utiliser les intersections que forment les plans dans
l’espace. Ces plans sont formés par la prolongation des faces des bois, ils sont délimités par le
sol, par le lattis et des plans frontaux enfin par leur rencontre avec d’autres plans.
Le tracé à la sauterelle permet d’obtenir les vraies grandeur d’arêtes en herse, cependant il
existe plusieurs niveaux pour résoudre les difficultés, on peut également travailler par
emprunt lorsque le manque de place se fait sentir.
La technique du tracé à la sauterelle trouve véritablement sa place dans le dévers mais rien
n’empêche son utilisation pour d’autres domaines notamment pour ce qui est du face aplomb.
Autant qu’une façon de faire c’est surtout une vision dans l’espace et une gymnastique de
l’esprit.
Établir un pavillon carré entièrement à la sauterelle est une joie et un défi chez tous les
charpentiers car elle permet évidement de trouver les coupes, mais encore cette technique
offre la possibilité d’obtenir les angles de réglage des outils de coupe.
* Monge Gaspard: mathématicien français né à Beaune en 1746 à jeté les bases de la géométrie descriptive.
3
S' S S C
D'' F'
D F
D'
A
B B
S' S S C
D' D F
D'' F'
B B A
A rêt i er en pl an
El
év
at
io
n
de
B A
l'a
rê
tie
r
T ra i t c a rré e n b o u t d e l ' a rê ti e r
Vue en plan
S' S S C 1
H
D D F
D'
D" D" 1
F'
B B A
Tracé de la barbe de panne, ce tracé peut être obtenu quelque soit la position de l’arêtier en
plan. Cette épure est vraiment simplifiée.
alig
ne
dé
me
ve
nt
rs
de
de
la
dir co
p
up
an
ec ed
tric
ne
e e la
ba
rbe
Tr
ac
ed
Tr
ud
ait
es
ca
so
rré
us
en
d'a
bo
rê
t
tie
ut
un
r
pr
de
'em
l'a
nd
rê
tie
vro
r
he
uc
Trace du dessous de panne nd
atio
év
El
2
VUE EN PLAN
Rappel des tracés de coupe de panne. Tracé de la barbe avec épaisseur de panne permettant
une vérification avec une méthode plus élémentaire.
Le dessous de l’arêtier forme un plan incliné ayant pour limite le sol et le croisement du dévers
de la panne, de cette intersection naît l’alignement de la barbe de panne.
6
Recherche de la coupe aplomb de panne, coupe de barbe, par simple ligne et par emprunt.
S' S C
9"
3 '0
°5
61
F
D'
panne r abat t ue
F'
t r ace de dessous de panne
B B A
Tracé d’une barbe de panne face aplomb à la sauterelle et par rembarrement pour effectuer la
comparaison.
t
prun
r.
ur de l'arêtie
d'em
ron
Chev
Vraie grande
unt
mpr
d'e
evron
Ch
Rabattement
de la panne
A
2
1
7
Divertissement.
Tracé d’un trépied par la sauterelle. Les trois pièces de bois face aplomb sont identiques en
tous points : Section, position, entaille, coupes.
hauteur
rayon =
hauteur/2.5
V UE EN PLAN
C’est le triangle équilatéral en plan qui dimensionne les pièces de bois par la trace de pied au
sol. La retombée également est conditionnée par l’épaisseur du pied.
8
élévation
de l'arêtier
élévation du
chevron d'emprunt
Vue en plan
Les épaisseurs de bois ont été laissées dans un but de présentation, cependant elles ne sont
pas spécialement utiles, la méthode de la sauterelle par définition se fait par simple ligne on
doit donc choisir la face ou l’arête de référence.
Les plans déterminant les coupes sont insérés entre deux niveaux haut et bas, c’est une
méthode que nous reprendrons plus loin.
9
k
o
Perspective.
Les empannons s’assemblent avec une barbe sur la noue non rencreusée.
On remarque dans l’espace le plan i.j.k. qui matérialise le dessus de la noue plate, le plan b.h.o.
nous renseigne sur l’importance de la barbe; il ne reste plus qu’à en construire l’épure.
Le triangle i.j.k. nous permet également de déterminer les coupes d’alignement de tête de
noue.
Il existe d’autres moyens (herses, vue par bout de la noue ou de l’arêtier, rembarrement sur
l’élévation,......) pour obtenir les coupes et les barbes d’empanons de noue ou d’arêtier,
cependant c’est bien encore par la méthode du tracé à la sauterelle que le charpentier
éprouvera le plus de satisfaction.
Le travail n’est pas pour autant terminé, il faut penser au taillage: scie circulaire, scie à ruban,
cale à dévers ....... . Les possibilités ne manquent pas.
Malgré tout, cela ne reste que des cas isolés, dans l’industrie il n’est plus beaucoup réalisé de
coupe de barbe d’empanon; mis à part peut-être en restauration et en construction M.H.
Sur l’autre page nous découvrons l’épure assez simplifiée, les épaisseurs de bois ont été une
nouvelle fois encore conservées dans le but d’une meilleure démonstration.
10
a
Elévation de la noue
non rencreusée
Vue en plan
Elévation du
Chevron d'emprunt
Voila une courte présentation des cas d’utilisation de tracé par la sauterelle, il en existe
certainement d’autres moins courants.
Au début de ce recueil je dis que le tracé par la sauterelle est lié à la pratique du dévers,
peut-être que le dévers mène tout naturellement à la sauterelle, pour la bonne raison que l’on
peut effectuer les épures à échelle réduites, par emprunt.
Si nous voulons évoluer dans le tracé à la sauterelle il nous faut aborder le dévers; mais avant
il me semble bon d’effectuer un rappel de connaissance.
M H
B
A N
2° Le rectiligne du dièdre est l’angle que l’on obtient en traçant un troisième plan MHN
perpendiculaire à chaque plan, par un point quelconque de l’arête du dièdre.
Chez les métalliers cela s’appelle l’angle de pliage, chez les menuisiers, l’angle de corroyage.
Peu importe comment on le nomme, nous avons besoin de connaître la valeur de cet angle.
M H
r
H' B
A N
Pourquoi ce rappel me direz-vous ? tout simplement parce-que en matière de dévers c’est par
la vue par bout qu’une pièce de bois est positionnée correctement dans l’espace.
Plus important encore c’est bien souvent par la vue par bout que l’on détermine les dévers de
pas. Le dévers de pas est une véritable sablière d’emprunt.
12
as
ep
sd
ver
dé
Le dévers de pas à déjà été employé lors de l'étude sur le tréteau de chantier.
Dans le cas présenté ci-dessus, une pyramide tronquée; les pièces de bois sont de section
carrée et font lattis par une face sur un des versants.
Vue en plan
Le dévers de pas peut s'obtenir de deux
B manières :
dév
ers
de
1- par un trait carré par bout sur une
pas
un
t 2- par la vue par bout.
pr
n d'e
m Tr
ait La vue par bout présente un autre intérêt,
ro ca
ch
ev rré
pa celui du choix de la section et de ses
rb
ou
t dimensions alors que dans l'autre solution la
du
on
ait
év
El
c
em arré
pr
un par
t
d'emprunt.
t
un
pr
m
e
d'
n
ro
ev
ch
t r a it
ca rr
te
é
ê
n ar
a t io
é lé v
A s
pa
de
v e rs
dé
B
Vue en plan
Construction du dévers de pas par la vue par bout. Positionnement de l’arêtier de section
carrée. L’arêtier fait lattis sur le versant A.
u nt
pr
em
d'
n
ro
ev
ch
trait c
arré
e.
c.
rête
n
io
at
tion a
év
él
éléva
d'em
che prunt
vron
A
de pas
ers
dév
B
Vu e e n p l a n
Même épure complétée par les faces de l’arêtier. L'épure montre depuis le dévers de pas, la
position du chevron d'emprunt en plan, qui permettra de mettre ce versant en herse d’où l’on
déterminera les coupes d’alignement et de niveau pour la face concernée.
Deux herses suffiront à trouver toutes les coupes.
14
nt
as
pru
ep
m
d'e
sd
n
vro
ver
ré che
ar
Dé
F a i ta g e e n h e rs e u
ait c nd
Tr atio
v
Elé
1
F a îta g e e n p l a n
rse
lévatio
5 Trait
he
carré n
pla
en
El
en
t en é
év
t
let
ule
ati
u se
No
on
No her
Noule
2
du
t en
ule
ch
No
ev
ro
Vu e p a r b o u t
nd
'em
pr
un
t
7
4
3
2
1
3
1
Noulet en herse suivant le versant lucarne. Noulet en herse suivant le dévers de pas.
élé
vat
ion
de
Arêtier à dévers:
l'ar
¦
ête
suivant un versant.
dé
ve
rs
de
pa
s
arêtes.
Aucune face ne fait lattis avec un
versant.
dévers
de pas
16
ête
l'ar
de
ion
vat
élé
¦Arêtier à tous dévers.
Aucune face ne fait lattis.
pas
de
ers
dév
pas
rs de
déve
ête
l'ar
de
Arêtier chanlatté.
ion
¦
va t
ep
bissectrice de l’angle. vers d
dé
17
1
2 4
3
2
L’arêtier est positionné de telle sorte que ses faces supérieures font lattis sur les versants
sans être délardées.
Les empanons s’assemblent par des coupes tournisses sur les faces des arêtiers.
Les chevrons d’emprunt ont toujours la même pente, l’angle de pied de l’arêtier est également
toujours le même.
En un mot ce cas particulier à lui seul regroupe une quantité de cas particulier et de rapports
similaires.
Sur l’exemple ci-contre la vue en plan est un triangle équilatéral, les trois arêtiers sont
identiques et font lattis par leurs faces supérieures.
Les élévations de l’arêtier et du chevron d’emprunt sur le versant opposé sont inscrit dans un
cercle et forment un angle droit entre eux.
La vue par bout démontre que la section est carrée, que l’arête supérieure et l’arête inférieure
sont à l’aplomb l’une de l’autre.
Les dévers de pas donnant la trace au sol de l’arêtier se confondent avec les sablières.
Enfin le rapport de la longueur de l’arêtier en plan sur la hauteur au sommet est de 1,414. Ce
rapport est inverse pour le chevron; longueur du c.e. en plan multiplié par 1.414 est égal à h.
18
.
c.e
'un
tiond
va
élé
er
rêti
na
d'u
ion
vat
élé
.
c.e
. c.e
c .e.
Vue en plan
Pour obtenir les coupes de tête et de pied des arêtiers à la sauterelle, il suffit d’effectuer la
herse d’un versant; les deux autres versants sont identiques.
: 35° 37’
19
élévat
ion de
her l'arêt
se ier
de
dév
ers
de
pas
dé
ver
des
pa
s
C
élé
va
tio
n du
CE
de
DP
En prolongeant les faces de bois au sol, nous créons de nouveaux versants qui ont les mêmes
propriétés que les versants normaux. Les dévers de pas deviennent sablières d’emprunt ou
sablières de dégauchissement. Nous pouvons les utiliser de la même manière.
2
A
1
éléva
t ion de
her l'arêt
se ier
d ed
éve o
rs
de
B pas
él
A
év
at
io
n
ch
ev
ro
n
3 o
he
d'
em
rs
dé
ev
pr
ve
un
er
rs
t
sa
de
nt
pa
A
s
o'
c o d D
C
b
élé 5
va
tio
nd
uC
E
de
DP
B o"
1 - coupe de pied versant B suivant le D.P. 4 - coupe de tête, versant B, Alignement A.B.
2 - coupe de pied versant A. 5 - coupe de tête, versant A, alignement C.D.
3 - coupe de tête versant B, alignement C.D. 6 - coupe de tête, versant A, alignement A.B.
21
COURS DE SAUTERELLE.
Exercice N°1.
- Vous devez trouver à la sauterelle les coupes de pied et de tête d’arêtier.
- Faites figurer sur chaque herse les épaisseurs d’arêtier, afin d’être plus explicite.
- Vous trouverez également le couronnement complet du poinçon.
8.0
10.0
15°
pas
rs de
B
déve
+ 8.0
EPURE.
23
Exercice N°2.
50
123
50
120
105
193
Nota:
Le lien de pente se dégauchira, d'une part suivant la rive biaise, d'autre part suivant une ligne
de dégauchissement parallèle au lattis et passant par le dessous du lien de sablière. Ce dernier
sera délardé de façon à respecter ces deux critères.
24
Exercice N°3.
On demande à l'échelle 0.1 sur format A2:
- L'épure complète du lien de pente avec ses coupes traitées à la sauterelle.
- Le taillage du lien de pente.
Mois e 75/200
Arbalètrier 75/200
Panne 75/200 0
12
C hev ron 52/75
Sablière 75/200
Lien de pente 75/150
Lien de sablière 75/150
110
50 245
120
20
52
200
Nota :
Le lien de pente viendra en engueulement sur la moise de la ferme et fera lattis parallèlement
à la ferme; le dessus du lien viendra tenter à l’arête intérieure du dessus de la moise; sa
retombée sera déterminée de telle sorte que l’engueulement en tête prenne au maximum la
panne sans que les barbes soient désaboutées.
26
élévation du
chevron d'emprunt
s
j i
3 b
b
3
6 a
i
rse
he
en
te
arê 7
5
g
rse
4
he
as
s
ep
en
g
te
sd
arê
ver
dé
s
détail d'engueulement
1 de pied du lien
te
l'arê
s
de
d
2
n
as
atio
ep
rs d
élév
deve
du
ce
s
vue en plan
27
Exercice N° 4.
Soit à réaliser l'épure complète de cet arêtier positionné à dévers, des empanons placés face
aplomb.
Trouver les coupes par le principe de la sauterelle.
Taillage de l’ensemble à l’échelle.
S
B
A
90
55
C
A
80
L’arêtier fait lattis sur le versant A. La pente est de 100 % sur le versant A.
Les empanons sont perpendiculaires aux sablières
Section des bois :
Arêtier : 10 x 10
Empanons : 5 x ..
la retombée des empanons sera déterminée sur le versant A par le pas de l’arêtier.
28
EPURE
tr
ai
t
ca
rr
é
pa
r
bo
ut
.
S
11 S
10
t
un
pr 2
'em
d
n
vro
e
ch
DP
n
io
at
de
év
nt
él
ru
1 S mp S
e
B
'e
3
rs
nd
he
ro
en
ev
e
ier
ers
ch
5
êt
A
nh
ar
te e
arê
pas
s de
ver
dé 6
8
B 9
4
C
A A
29
Exercice N° 5.
Soit à réaliser l'épure complète de cet arêtier à dévers, de l’empanon face aplomb et du lien
de pente à dévers qui les relie.
Trouver les coupes par le principe de la sauterelle.
Taillage de l’ensemble à l’échelle.
A
90
68
40
80
88
100
Epure (incomplète)
tra
it
ca
rré
élévation
°
45
te
en
tp
Arêtier en
un
pr
'em
d
n
ro
ev
Ch
rse
he
en
er
êti
Ar
pas
se de
er ers
nh dév
re
êtie
Ar
nt du lien
élévation du chevron d'empru
ion
élévat
en
A
arba
lien
en
hers
e
t
un
pr
'em
nd
ro
ev
Ch
dé
s ve
pa rs
de de
ers pa
dév s
lien en
herse
B
31
Exercice N° 6.
Soit à réaliser l'épure complète de cet ensemble:
arêtier à dévers aplomb par arête et empanons face aplomb.
Trouver les coupes par le principe de la sauterelle.
Taillage de l’ensemble à l’échelle. 10 mm/10 cm.
c s
A
25
55
B
a b
80 13
Tracé des coupes de l’empanon versant A placé face aplomb et perpendiculaire à la sablière.
Tracé des coupes de l’empanon versant B placé face aplomb et format un angle quelconque
avec la sablière. La pente est de 48° sur le versant A.
s d
3
e
4
t
n
er
u
r
p
l'a r ê t i
m
'e
d
n
o
io n d e
r
v
e
h
g
c
u
é lé v a t
d
n
io
t
a
v
lé
é
1
c s s
se
r
e
h
n
e
A t
ie
r
d
ê
r
e d
a
t
g
ru n
2 d 'e
m p
p as
d e
ers
d év
Vu e e n p la n
p as
d e
ers
d év
B
a b
s e
t
n
er
u
r
l'a r ê t i
p
m
x e
'e
d
n
o
io n d e
r
v
e
h
c
k
é lé v a t
u
d
n
4
io
t
a
v
lé
x
é
c s
e
3
k
A 5
e
f
k
1
i
y
f
p as
d e
e rs
d é v
B
a b y
Vu e e n p la n
e
2
k
s 4 p
é l é v a t i o n p o t e a u 5
s o
s ri
c
e
t
c
e
2
ir
d
coupe de tête
de potel et
s
t t is
k 1
d e la e re
t
n
l ' a r êl itgi n
u
r
p
p
m
'e
2
d
n
io n d e
o
r
v
e
h
c
é lé v a t
u
d
n
io
t
o
a
v
lé
é
c s
A p s p
é l é v a t i o n p o t e a u 2
p as
o
e
rs
h
e
o
d e
n
e
r
k ie
e rs
êt
ar e
d é v
ic
1
tr
c
k
e
ir
d
p as
d e
ers
d é v
B 1
a b a coupe de pi ed
Vu e e n p la n
B
15 0 %
B C
80.0
A
105.0
15.0°
A
Pas de la Noue
Sablière B
12.0
60.8
76.0
b élévati
on
a du lien
d
1
e pente
e
d c 2 f
b
f e
g 4 a
3 d
c
g
Pas du lien
a
10
f
d e
élévation des b g
chevrons d'emprunt 2 Vue par bout B
c du lien
1
0%
10 3
e
nt
44
4
Pe
Vue par bout
de la noue
Pe
nt
e1
50
%
80
Tr
ai e
t A
ca
rr
é d a
f g
b
c
Sablière B
Pas de la Noue
VUE EN PLAN
54 76
120 120
36
37
Cette dernière étude, en apparence est probablement la plus compliquée qu’il ait été donné de
réaliser.
Lorsque plusieurs pièces sont enchevêtrées les unes dans les autres, il est parfois difficile de
cerner leurs croisements en plan afin d’en trouver les coupes et pour en faire les herses des
faces.
Cependant c’est faisable si l’on croit “ Champagne l’ami du trait ” malgré ce qu’il déclare être
une botte secrète.
Pour commencer nous considérons l’ouvrage comme s’il était tronqué à une hauteur quelconque.
(hauteur à définir sur les élévations). ce qui donne en plan tout simplement des pas
supplémentaires.
Le principe étant de faire croiser entre eux les pas bas et les pas hauts des faces que l’on
traite afin d’avoir la ligne de raccord des deux plans dans lesquels sont inscrites les faces des
pièces de bois.
L’opération est à recommencer autant de fois qu’il y a de faces qui se croisent.
VUE EN PLAN
b
a
r
s
106
95
60
45°
°
A B
110
Ha u t e u r: 1 0 6
D.P
. ha
a haut
ut D.P.
bas
D.P.
D.P
. ba
s
A
B
D.P
. ha a haut
D.P.
D.P. haut
ut
D.P. bas
bas
D.P.
D.P
. ba
s
A
B
o
n'
r'
r'
s'
4'
s' 2''
3'
4''
2ous
4ous
r'
q
b 3
n o
4
r
m
a
L
g' s
e' c'
t d'
f'
g
B
3 3
c
A d
4 e
2 2 4
1 1
A k B
j
1
i 2
h
VUE EN PLAN
b
a
r
s 1'
2'
k'
j'
A B
40
T' T'
R' R'
S'
8' 8'
T
7' 7'
b 7'
R 5' 5'
4' 4'
a
S
E 3' 3'
R'
1' 1'
G 2' 2'
F
D
D
F
G C
C
B
A
B
B
Si vous aviez quelques difficultés; voici les épures qui vous aiderons dans le tracé.
s"
2' '
1 1°4 7 ' 2 1 "
2 ou s
1
4 ou s
12
16
4
2
31
8
27 6 24°0' 22"
1' 9 4'
24 5
2
19 3'
6
16
0
15
30
44°41' 32"
b f g q
27
7
6 2 °2 2 ' 31 "
24
8
3
4 19
2
16
6
4 1 °3 1 ' 36 "
15
1
30
4 4 °3 5 ' 42 " 8
d b
c e
Herse de la face 1 de la pièce B
42
43