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Une Visite Inattendue

- Eugène Dabit
Page No.: 20
Answers:

1. Louis se levait et s'habillait lorsque quelqu'un frappait à la porte.


2. La mère du narrateur s'appelle Jeanne.
3. Le père est décrit comme revenant à la maison de manière inattendue. Il porte une pèlerine et
a des musettes et un casque.
4. (a) Il frotte le coin d'une serviette humide sur son visage plissé de sommeil.
(b) Sa mère pose sur la table la cafetière fumante.
(c) Il a fait bon voyage malgré le froid.
(d) Tout à coup, on frappe à la porte.
(e) Mon père se débarrasse de ses musettes et de son casque.
5. Les temps utilisés dans le texte sont principalement le passé simple et le passé composé, avec
quelques indications temporelles au présent pour créer de l'immédiateté.
6. Ma famille est composée de mes parents, de mes deux frères et sœurs et de moi. Mon père est
un homme travailleur qui aime jardiner et ma mère est une femme gentille et aimante qui est
une excellente cuisinière. Ma sœur aînée est une étudiante studieuse et mon jeune frère est
plein d'énergie et adore faire du sport. Nous aimons passer du temps ensemble et entretenons
des liens familiaux forts.
7. Une phrase au futur dans le texte est : "Vous ne vous attendiez pas à celle-là!" C'est une
expression de surprise de la part du père, indiquant que personne ne s'attendait à sa visite
inattendue.
8. Louis était en train de s'habiller quand quelqu'un frappa à la porte. Sa mère, Jeanne, est allée
l'ouvrir, et à leur grande surprise, c'est son père, Henri, qui rentrait chez lui à l'improviste. Ils
l'ont chaleureusement accueilli et il a mentionné qu'il avait faim mais qu'il avait fait un bon
voyage malgré le froid. La famille a ensuite partagé un repas et discuté ensemble.

Translation of the text :

On the table, the lamp is lit. The sound of the garbage truck rolling by can be heard. I get up,
shivering, and get dressed.
A shawl draped over her shoulders, Mom returns from the kitchen.
- Go ahead, she says. I'm done making the coffee.
With my sleep-creased face, I rub a damp towel's corner.
Suddenly, there's a knock at the door. A moment of silence. Then another knock.
- What's that? Mom asks.
- Open up, Jeanne! cries a hoarse and impatient voice. It's me!
Mom hurries, slides the bolt, and opens the door vigorously.
- Oh, Henri!
She falls into his arms. As for me, surprise freezes me on the threshold.
- Don't you recognize me anymore, Petit-Louis?
- Dad!
He hugs us, he kisses us.
- Let's go inside, my children, he whispers.
He takes off his overcoat, and removes his bags and helmet.
- You didn't expect this, did you? he exclaims.
His heavy shoes make the floor creak. I will always recognize him by his slow and measured gait,
by the scent of his clothes, the smell of straw and stables. His blinking eyelids, he gazes at the
furniture. He goes to the window, presses his forehead against the panes that the dawn is
whitening; everything is calm, a few lights still shine.
- You scared us, Mom says. Did you have a good journey?
- Yes, a bit chilly. I'm just a bit hungry.
Mom places the steaming coffee pot, bowls, and the remains of dinner on the table. My father
takes a knife from his pocket, cuts a thick slice of bread. He eats noisily, displaying his chipped
and yellowed teeth. He chats aimlessly.

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