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78 1. a) lim e - x 0
x Æ
lim 2 - e - x 2
x Æ b) La quantité de substance est réduite de moitié pour
Donc lim f ( x ) t ≈ 1,9 h.
x Æ
1
80 1. lim P( x ) 0 4. a) L’algorithme nous donne une valeur approchée de
x Æ
l’inéquation P(x) k.
Une épaisseur de plaque plastique acrylique infinie ne b)
laisse plus passer la lumière.
2. a) x = 45 cm
b) x = 80 cm
3. P(x) dérivable sur et pour tout réel x 0,
P¢(x) = – 1,5e–0,015x 0
P est strictement décroissante sur [0 ; + ∞[. Pour k = 50 et n = 1, on obtient a = 46,3.
Le pourcentage de lumière traversant une plaque dimi- Pour k = 25 et n = 2, on obtient a = 92,42.
nue avec des valeurs de x qui augmentent.
2
Chapitre 2 1
1
n 1
0
e Ê 1ˆ
96 1. b) 2. b) 3. b) 4. c) ÁË1 n ˜¯
97 1. Vrai 2. Vrai 3. Faux. La fonction inverse est strictement décroissante sur
]0 ; + ∞[
98 1. Faux : n 1
Ê 1ˆ
Pour tout n de ℕ, un = n2 et vn = – n et lim (un vn ) Donc e Á1 ˜
n Æ Ë n¯
2. Faux : Pour tout n de ℕ, un = – 1 et vn = n et 5. Pour tout n de ℕ* :
lim un vn - Ê 1ˆ
n 1
Ê 1ˆ
n
n 1
n Æ
ÁË1 e 1 ¥ e
1
3. Faux : Pour tout n de ℕ, un = > 0 et lim un 0 n ˜¯ ÁË n ˜¯ n
n n Æ
Ê 1ˆ
n
n
4. Faux : Pour tout n de ℕ, un = n et vn = n, wn = n et ÁË1 n ˜¯ e n 1
lim w n n
n Æ n Ê 1ˆ
Donc e 1 ˜ e
n 1 ÁË n¯
99 Partie A : 1. f est dérivable sur ℝ. n 1
f ¢(x) = ex – 1 De plus, 1 et
n 1 n
: y = (ea – 1)(x – a) + (ea – a – 1) 1
lim 1 1
: y = (ea – 1)x + ea(1 – a) – 1 n Æ n
2. N ∈ () donc ses coordonnées vérifient l’équation Ê 1ˆ
lim e Á1 ˜ e
de (). n Æ Ë n¯
D’où – b – 1 = (ea – 1)b + ea(1 – a) – 1 D’après le théorème des gendarmes,
n
0 = bea + ea – aea Ê 1ˆ
lim Á1 ˜ e
0=b+1–a n Æ Ë n¯
Soit b – a = –1
3. a = 1,5 donc b = 0,5 100 1. U0 = 0
On place le point M d’abscisse 1,5 de () et le point N U1 = U0 + 2(0 + 1) = 2
de () d’abscisse 0,5. U2 = U1 + 2(1 + 1) = 6
On trace la droite (MN). U3 = U2 + 2(2 + 1) = 6 + 6 = 12
Partie B : 1. D’après le graphique, f est positif sur ℝ. 2. La proposition 1 est fausse car U1 – U0 ≠ U2– U1
2. On en déduit que pour tout nombre x réel, La proposition 2 est vraie car pour n = 1, U1 = 12 + 1 = 2
ex – x – 1 0 La proposition 3 est fausse car pour n = 2, U2 ≠ 22 + 1
1
On remplace x par . Donc pour tout n de ℕ*, 3. a)
n
1
1
1
1 Entrée
e n - - 1 0 soit (1) e n 1 + N=3
n n
1 P=0
On remplace x par – . Pour tout n de ℕ, Traitement
n +1
-
1
1 -
1
1 K=0
e n 1 - 1 0 soit e n 1 1 - P prend la valeur 0 + 0
n 1 n 1
3. Pour tout n de ℕ*, Afficher 0
1 K=1
1
e n 1 + 0 et x xn est croissante sur [0 ; + ∞[. P prend la valeur 0 + 1
n Afficher 1
n
Ê 1ˆ Ê 1ˆ
n
K=2
Donc Á e ˜ Á1 ˜
n
Ë ¯ Ë n¯ P prend la valeur 1 + 2
n Afficher 3
Ê 1ˆ K=3
soit e Á1 ˜
Ë n¯ P prend la valeur 3 + 3
© Nathan. Hyperbole Term S
3
b) Donc 0 et ≠ –1
Entrée b) Vraie : u est croissante donc par définition, pour
N est un entier naturel non nul tout n de ℕ,
Initialisation un+1 – un 0.
P=0 un 1 un
Traitement vn 1 - vn -
1 un 1 1 un
Pour K de 0 jusqu’à N un 1 - un
P prend la valeur P + 2K 0
(1 un 1 )(1 un )
Afficher P
Fin de l’algorithme car un+1 – un 0 et (1+ un+1)(1+ un) 0 (u est une suite à
termes positifs)
4. a) Pour tout entier naturel n non nul, Un = Un–1 + 2n n
c) Faux : Pour tout n de ℕ, un = n et vn . La suite
donc Un 2n car Un–1 0 1 n
Pour n = 0, U0 = 0 0 v converge, ce qui n’est pas le cas de la suite u.
b) On en déduit que lim Un
n Æ 103 1. lim vn donc tout intervalle ]A ; + ∞[
n Æ
101 (A) Faux, par exemple, un = n – 1 contient tous les termes de la suite (vn) à partir d’un
(B) Vrai d’après un théorème de comparaison. certain rang N. Or vn ∈ , un vn, donc, à partir de ce
(C) Faux, par exemple, la suite (un ) définie par u0 = 7, u1 = rang N, tous les un sont aussi dans ]A ; + ∞[ donc :
lim un .
5 et un = n + 1 pour tout entier n 2 n Æ
(D) Faux, par exemple, la suite (un ) définie par u1 = 0,1, 1 1
1 2. a) u1 u0 0 - 1 - - 0, 5
u2 = 0,4 et un = pour tout entier n 3 2 2
n 1 1
u2 u1 1 - 1 - - 0, 25
(E) Vrai d’après un théorème des gendarmes. 2 4
1 1 7
102 a) Vraie : u est une suite à termes positifs conver- u3 u2 2 - 1 - 1
2 8 8
gente vers un réel . 1
b) Pour tout nombre entier n 4, un 1 un n - 1
Montrons que 0 à l’aide d’un 1 2
raisonnement par l’absurde. donc un un -1 n - 2 .
2
On suppose que < 0, il existe un Or, pour tout nombre entier n 4, un 0 donc, pour tout
réel m tel que < m < 0, nombre entier naturel n 4, un–1 0 et donc un n – 2.
Il existe aussi un réel m¢ tel que m¢ < . c) lim n - 2 , donc, par comparaison,
u converge vers signifie qu’à partir d’un certain rang n Æ
4
Chapitre 3 2. a)
Ë 5¯
x 1
1 ÈÍ Ê 1ˆ ˘ 4
k
– (x2 – 5x –1) sur [0 ; +∞[ 1 4
uk 1 uk 1 12 ¥ Á ˜ ˙
a est la racine positive de ce trinôme donc : 5 5 5Í Ë 5¯ ˙ 5
si x ∈ [0 ; a] f(x) – x 0 et f(x) x Î ˚
k 1
si x ∈ [a ; +∞[ f(x) – x 0 et f(x) x Ê 1ˆ
1 12 ¥ Á ˜
Ë 5¯
5
Conclusion : Pour tout nombre entier n, Ê 1ˆ
n
1
Ê 1ˆ
n
• –1 < < 1 donc lim Á ˜ 0
un 1 12 Á ˜ 5 n Æ Ë 5¯
Ë 5¯
lim n 16
1 Ê Ê 1ˆ n ˆ n Æ
0 < < 1 donc la suite Á Á ˜ ˜ est décroissante et (un ) Donc lim Sn
5 ÁË Ë 5¯ ˜¯ n Æ
l’est aussi car 12 > 0 2. Proposition 1 : Faux. La suite u de la question 1 a pour
n
1 Ê 1ˆ limite 1 donc elle est convergente mais la suite S est
– 1 < < 1 donc lim Á ˜ 0 et par opérations divergente (limite infinie).
5 n Æ Ë 5 ¯
lim un 1 Proposition 2 : Faux. La suite u de la question 1 est
n Æ 1
décroissante (0 1 et 12 0) alors que la suite S
b) 5
est croissante.
U = 13 S = 13
17 82 73 1. a) vn+1 = un+1 – 0,75
N=1 U= S= = 0,2un + 0,6 – 0,75
5 5
37 447 = 0,2un – 0,15
N=2 U= S= = 0,2(un – 0,75)
25 25
= 0,2vn
137
N=3 U= S = 18,976 La suite (vn) est géométrique de raison 0,2.
125
b) 0 0,2 1 donc lim 0,2n = 0.
N=4 U = 1,0192 S = 19,9952 nÆ
2. a) Pour tout n de ℕ, vn = v0 × 0,2n et
La variable U reçoit les différents termes de la suite : v0 = u0 – 0,75 = – 1,75
depuis u0 à l’initialisation, jusqu’à un à la fin de la boucle un = vn + 0,75 d’où un = 0,75 – 1,75 × 0,2n
(k = N) b) Sn = (v0 + 0,75) + … + (vn + 0,75)
La variable S reçoit la somme des termes de la suite déjà (n + 1 termes)
calculés pour k = 1, S = u0 + u1 etc. pour k = n, = (v0 + … + v1) + 0,75 (n + 1)
S = u0 +… un = – 1,75 (1 + 0,2 + … + 0,2n) + 0,75 (n + 1)
Pour un nombre entier N, l’algorithme affiche la somme 1 - 0, 2n 1
= – 1,75 × + 0,75n + 0,75
Sn = u0 + u1 +…+ un 1 - 0, 2
c) Sn = u0 +…+ un (il y a (n+1) termes) Sn = – 2,1875 (1 – 0,2n + 1) + 0,75n + 0,75
È c) 0 0,2 1 donc
Ê 1ˆ ˘ È Ê 1ˆ ˘
0 n
= Í1 12 ¥ Á ˜ ˙ º Í1 12 ¥ Á ˜ ˙ lim 0,2n + 1 = 0
Í Ë 5¯ ˙ Í Ë 5¯ ˙ nÆ
Î ˚ Î ˚
lim (0,75n + 0,75) = + ∞ d’où
È Ê 1ˆ 1 Ê 1ˆ
n˘ nÆ
=
1 º 1 12 Í1 Á ˜ º Á ˜ ˙ lim Sn = + ∞
Í Ë 5¯ Ë 5¯ ˙
Î ˚ nÆ
n 1
Ê 1ˆ
1- Á ˜ 74 1. Cette démontration est disponible à la page 72
Ë 5¯
= n 1 12 ¥ du manuel élève.
1
1- 2. a) Dans l’expression de la dérivée donnée par le logi-
5
ciel Xcas, numérateur et dénominateur sont toujours
È n 1˘
= n 1 15 Í1 - Ê 1ˆ ˙ strictement positifs, donc, pout tout x ∈ [0 ; ∞[; f ¢(x) 0.
Í ÁË 5˜¯ ˙ Ainsi, f(0) = 0 et f(2) =
4
2, donc si 0 x 2, alors
Î ˚
0 f(x) 2. 5
Pour tout nombre entier n,
n
Ê 1ˆ b)
Sn n 16 - 3 ¥ Á ˜
Ë 5¯
d) • (n + 16) est une suite croissante.
Ê Ê 1ˆ n ˆ
© Nathan. Hyperbole Term S
1 1
0 1 donc la suite Á Á ˜ ˜ est décroissante et la
5 ÁË Ë 5¯ ˜¯
Ê Ê 1ˆ n ˆ
suite Á -3 Á ˜ ˜ est croissante, donc par somme (Sn) est
ÁË Ë 5¯ ˜¯
O
croissante. u0 u1 1 u2 u3 2 3
6
2 ¥ 0, 5 Or, 0 un 2, donc un+1 – un 0, ainsi un+1 un, la suite
c) • u1 = f(u0) = ≈ 0,89.
0, 52 1 u est donc croissante.
d) La suite u est croissante et majorée, donc elle converge
• On démontre, sans difficulté, par récurrence, que u est
vers un réel .
bornée entre 0 et 2 (en utilisant le 2. a)).
De plus, d’après le 1., 0 2.
• Pour tout n de ,
e) Si la suite u convergeait vers 2, alors on aurait f(2) = 2,
2 ¥ un 2 - un2 1
un+1 – un = f(un ) – un = – un = un ¥ ce qui n’est pas le cas. Donc la suite u ne converge pas
un2 1 un2 1 vers 2.
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7
Chapitre 4 donc lim e(n – 1)x = 0 avec e(n – 1)x 0.
xÆ-
ordonnées. xe x
et lim x 1
xÆ0 e - 1
4. a) n est un nombre entier naturel supérieur ou égal à 2,
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e - nx e n x ¥ e - nx 1
fn(x) = x
nx x x
nx 102 1. b) 2. b) 3. c)
1 e - e e ¥e n - e e( n -1) x
b) n 2 donc n – 1 0. 103 1. b) Les courbes de f et de g se rapprochent pour
lim (n – 1)x = – ∞ des abscisses de grandes valeurs.
xÆ-
lim ex = 0 2. a) x est un nombre réel strictement plus grand que
xÆ- – 2,
8
1 x3 - 3x - 6 b) L’algorithme affiche la valeur 398 lorsqu’on saisit
( x - 1)2 -
2 2( x 2) a = 0,01.
( x - 1)2 ( x 2) - ( x 3 - 3 x - 6)
1
2( x 2) 104 1. a) lim et lim e X
xÆ0 x
( x 2 - 2 x 1)( x 2) - ( x 3 - 3 x - 6) x 0
X Æ
2( x 2) Ê 1ˆ
x3 2 x2 - 2 x2 - 4 x x 2 - x3 3x 6 donc lim exp Á ˜ .
xÆ0 Ë x¯
2( x 2) x 0
8 4 1
D’autre part, lim donc lim f ( x ) .
2( x 2) x 2 x Æ 0 x2 xÆ0
4 1 Ê 1ˆ
b) lim 0 b) lim 0 et lim e 1 donc lim exp Á ˜ 1.
X
x Æ x 2 x Æ x XÆ0 x Æ Ë x¯
donc lim [g(x) – f(x)] = 0 1
xÆ
D’autre part, lim 2 0 donc lim f ( x ) 0.
x Æ x x Æ
c) Pour x – 2, g(x) – f(x) 0 2. La courbe admet pour asymptotes, les droites
La courbe de g est au-dessus de la courbe de f sur son d’équations x = 0 et y = 0.
ensemble de définition.
3. a) Cet algorithme détermine le plus petit nombre
entier x tel que g(x) – f(x) a.
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9
Chapitre 5 c) Ì
Ôe a - 2b
ÔÓ- ae e b - 1
a a 2
75 1. b) 2. a) 3. b) 4. a) 5. b) 6. c)
ea
d) On substitue - à b dans la deuxième équation,
76 1. Faux 2. Faux 2
3. a) Vrai b) Vrai après multiplication par 4, il vient :
– 4aea + 4ea = e2a – 4
77 1. Vrai d’où le système équivalent :
g est dérivable sur ℝ. Ôe a - 2b
g(x) = – xex Ì 2a
ÔÓe 4 ae - 4 e - 4 0
a a
a 0 0,5 0,5
78 1. L’abscisse de A est environ 0,9 et l’abscisse de B b 1 1 0,75
environ – 1,3 m 0,5 0,75
2. a) y = eax – aea + ea
f(m) – 0,375 0,67
b) y = – 2bx + b2 – 1
b-a 1 0,1 0,5 0,1
10
Étape 3 4 5 On peut donc dire que si x - 3, alors g ¢( x ) 0 et si
a 0,5 0,562 5 x - 3, alors g ¢( x ) 0.
b 0,625 0,625 c) La fonction g est donc décroissante sur ]– ∞ ; – 3] et
m 0,625 0,5625 croissante sur [– 3 ; + ∞[. Son tableau de variation est :
f(m) 0,12 – 0,13 x –∞ –3 +∞
b-a 0,25 0,1 0,125 0,1 0,062 5 0,1 g¢ – 0 +
g –1 +∞
c) 0,59 < α < 0,60 – e–1 – 1
x Æ x Æ x 2 Á e x -1 - ˜ = 0 € x = 0 ou x = 1 ln = 1 - ln 2
que la fonction exponentielle « l’emporte » sur les puis- Ë 2¯ 2
sances de x. Les abscisses des deux points d’intersection de la courbe
b) On trouve g ¢( x ) = e x -1(2 x ) e x -1 = e x -1(3 x ) . avec l’axe (x x¢) sont donc 0 et 1 – ln 2.
Comme e x-1 0, le signe de g ¢( x ) est celui de ( x + 3).
11
b) Il suffit d’étudier le signe de f ( x ), qui est celui de donc est située au-dessous de l’axe des abscisses pour
Ê x-1 1ˆ x appartenant à ]– ∞ ; 1 – ln 2[. De même, on prouve que
ÁË e - ˜¯ . Or x > 1 - ln 2, soit f ( x ) 0, et donc que est située au-
2
1 dessus de l’axe des abscisses pour x appartenant à
x 1 - ln 2 € e x e ¥ e - ln 2 € e x -1
2 ]1 – ln 2 ; + ∞[.
1 c) La deuxième conjecture est fausse, ce qui s’explique
€ e x -1 - 0 € f ( x ) < 0
2 par le fait que le graphique n’est pas assez précis pour
émettre une conjecture valable.
12
Chapitre 6 Partie C
1. Dans le repère orthonormé,
125 1. a) 2. b) 3. c) 4. b) 5. b)
AM = x - 02 ln x - 22
x 2 2 - ln x f ( x )
2
126 1. a) Vrai b) Faux c) Faux d) Vrai AM =
2. a) Faux b) Vrai c) Vrai 2. a) f admet un minimum en α qui vaut α2 + α4 0
g est donc bien définie sur ]0 ; + ∞[
127 1. Vrai : f(0) = e
f est strictement décroissante sur ]0 ; α[
2. Faux : f(1) = 0
1 0 La fonction racine est strictement croissante sur ]0 ; + ∞[,
3. Faux : g¢(0) = f ¢(0) × = =0 donc par composée de fonctions, g et f possèdent les
f ( 0) e
4. Vrai : Les solutions sont les abscisses des points ayant mêmes variations.
pour image e. b) On en déduit que g admet un minimum qui vaut
5. Faux : lim f(x) = 0 a 2 a 4 en α.
x Æ- 2
x - 2 P (α ; a 2 a 4 )
Donc lim g(x) = – ∞ c) AP = a 2 a 4 = |α| 1 a 2
xÆ-2
= α 1 a 2 car α 0
ln a - 2
128 Partie A : 3. Le coefficient directeur de la droite (AP) est
a
1. u est dérivable sur ]0 ; + ∞[ 1
1 Le coefficient directeur de la tangente est ln(α) =
u¢(x) = 2x + a
x ln a - 2 1 - a 2
Pour tout x de ]0 ; + ∞[, u¢(x) 0 donc u est strictement ¥ = – 1 (On utilise la question 4 de la
a a a2
croissante sur ]0 ; + ∞[. partie A, ln α – 2 = – α2)
lim u(x) = – ∞ et lim u(x) = + ∞ La droite (AP) est perpendiculaire à la tangente Γ.
xÆ0 xÆ
2. a) u est continue (car dérivable) et strictement crois-
129 a)
sante sur ]0 ; + ∞[
x t s s–t n
0 ∈ ]lim u(x) ; lim u(x)[
x Æ0 xÆ 0 1,5 3
x 0
Donc d’après le corollaire du théorème des valeurs inter- 1 0,5 0,375 0,5 0,125 3
médiaires, il existe une unique solution α à l’équation 2 0,5 0,4010 0,4166 0,0156 5
u(x) = 0. 3 0,5 0,4046 0,4072 0,0026 7
b) Avec la calculatrice, 4 0,5 0,4053 0,4058 0,0004 9
1,31 a 1,32
3. u est strictement croissante sur ]0 ; + ∞[, donc sur b) On continue l’algorithme,
]0 ; α[, x α, u(x) < u(α), soit u(x) 0 x t s s–t n
u(a) = 0 et sur ]α ; +∞[, u(x) u(α) = 0 5 0,5 0,40543 0,40553 0,00009 11
soit u(x) 0 6 0,5 0,40545 0,40547 0,00002 13
4. u(α) = 0 7 0,5 0,40546 0,40546 0,000004 14
α2 – 2 + ln α = 0
ln α = 2 – α2 On obtiendra n = 15
Partie B c)
1. f est dérivable sur ]0 ; + ∞[ x t s s–t n
-1 0 x–1 3
f ¢(x) = 2x + 2 × × (2 – ln x)
x x2
2 x - 4 2 ln x 2
2 1 x–1 x– x
f ¢( x ) u( x ) 2
x x
2. x2
x– ln x x
2
x 0 a +∞
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13
2. f est dérivable sur ℝ 1
131 1. a) T : y = ( x - a ) ln a
2x ( x - 1)2 a
f ¢( x ) 1 - 2 2 1
x 1 x 1 y = x - 1 ln a
f est donc croissante sur [0 ; 1] a
Si 0 x 1 alors f(0) f(x) f(1) b) P a pour ordonnée – 1 + ln a.
Soit 0 f(x) 1 – ln(2) 1 PQ = ln a + 1 – ln a = 1. ur
Partie B : P est l’image de Q par la translation de vecteur j .
1. Initialisation : 0 u0 1 2. Pour tout nombre réel m strictement positif :
Hérédité : Soit k un entier naturel fixé. On suppose que ln m = ln( m ¥ m ) ln m ln m
1
uk ∈ [0 ; 1] alors uk + 1 = f(uk) ∈ [0 ; 1] d’après la question donc 2ln m = ln m c’est-à-dire ln m = ln m.
2
précédente. 1 1
Conclusion : Pour tout entier naturel n, un ∈ [0 ; 1] 3. ln ab ln( ab ) (ln a ln b )
2 2
2. n est un entier de , (T)
un+1 – un = – ln(u2n + 1) 0
x
La suite (un ) est donc strictement décroissante. y = ln
R
3. La suite (un ) est décroissante, et minorée par 0, elle B
1
est donc convergente vers un réel . M N
A
lim un+1 = Q
nÆ
soit lim [un – ln(u2n + 1)] = G
nÆ 0 1 a 2 ab 3 b 4
est donc la solution de l’équation f() = P
D’après la question 1 de la partie A, = 0
On trace le milieur M du segment [RQ] puis le point N
de G dont l’ordonnée est celle de M.
G est le point de même abscisse que N.
14
Chapitre 7 p
θ+
p
p È p˘
soit θ ∈ Í0 ; ˙
4 4 2 Î 4˚
64 1. c) 2. c) 3. a) 4. b) Ê pˆ Èp p˘
Et cos Á q ˜¯ 0 pour θ ∈ Í ; ˙
p Ë 4 Î4 3˚
65 1. Affirmation fausse : f(0) = 0 et f(π) = -
2 p p
2. Affirmation fausse : f est dérivable sur [– π ; π], q 0
4 3
1 1
f ¢(x) = cosx – et f ¢(0) = –m – –
2 2
3. Affirmation fausse : cos q – sin q + 0 –
Ê pˆ Ê pˆ Ê pˆ F – 0 +
y f ¢Á ˜ Áx - ˜ f Á ˜
Ë 2¯ Ë 2¯ Ë 2¯ 2m
1Ê pˆ p 1 m
y - Áx - ˜ 1- - x 1 F m 1+ 3
2 Ë 2 ¯ 4 2
2
4. Affirmation vraie :
p 2 p
x 0 p e) F admet un minimum F(θ) = m atteint pour θ =
3 2 4
f ¢(x) + 0 – 3. b) On peut tirer 72 N, avec deux angles différents
approximativement 0,6 rad et 1 rad.
3 p
f(x) - p 2
0 2 6 - 4. m = 150
2 2
300
m= soit m ≈ 212 kg
È p 3 p˘ 2
0 ∈ Í- ; - ˙, donc d’après le tableau de variation,
Î 2 2 6˚
68 1. a) et b) Voir § 1 p. 176.
l’équation f(x) = 0 a une seule solution α sur ÈÍ p ; p˙˘.
Î3 ˚
Sur ˘˙ 0 ; p ˘˙ , f(x) 0
˚ 3˚
Conclusion : Sur ]0 ; p], l’équation f(x) = 0 admet une
unique solution α.
2. a) Avec la calculatrice, on conjecture que lim f(x) = – 1
5. Affirmation vraie. xÆ p
b) x est un nombre réel de ]π ; 2π], h est le nombre réel
66 1. Vrai 2. Vrai 3. Vrai 4. Faux 5. Faux défini par h = x – p
sin( h p)
67 1. a) Avec la calculatrice, on conjecture que f(x) = f(h + π) =
h
p sin h cos p sin p cos h sin h
θmin = -
4 h h
b) Après plusieurs essais pour différentes valeurs de m, sin h
p lim f ( x ) lim - -1
θmin = xÆp hÆ 0 h
4
On conjecture que θmin est indépendant de m. 69 1. a) t est un nombre réel,
2. a) F est dérivable sur ÍÈ0 ; p ˘˙ d(t) = 0,1 sin (4πt + 2π)
Î 3˚ Ê Ê 1ˆ ˆ Ê 1ˆ
m( - sin q cos q) 0,1sin Á 4 p Át ˜ ˜ d Át ˜
F(θ) = – Ë Ë 2 ¯ ¯ Ë 2 ¯
(cos q sin q)2 1
Donc d est périodique de période .
b) θ est un nombre réel de ÈÍ0 ; p ˘˙ b) d(t) = 0
2
Î 3˚
Ê 0,1 sin(4πt) = 0
pˆ È p p˘
2 cos Á q ˜ 2 Ícos q cos - sin q sin ˙ 4πt = kπ, k est un nombre entier de ℤ
Ë 4 ¯ Î 4 4˚ kp k
2 2 t
2 cos q - 2 sin q cos q - sin q 4p 4
© Nathan. Hyperbole Term S
2 2 1
p p p 7p Pour k = 0, t = 0 et pour k = 1, t =
c) d) 0 θ donc θ + 4
3 4 4 12 Durée de la systole : 0,25 seconde
Ê pˆ Durée de la diastole : 0,25 seconde
Donc, cos Á q ˜ 0 pour
Ë 4¯ c) d(t) = 0,1
0,1 sin(4πt) = 0,1
15
sin(4πt) = 1 L’accélération est maximale pour t = 0, elle est de
p 4π × 0,1 L/s2 (≈ 1,25 L/s2)
4πt = + k2π, k un nombre entier de ℤ
2
t= +
1 k 70 1. a) Pour tout nombre réel x,
8 2 – 1 cos(2x) 1 ⇔ – 1 – x f(x) 1 – x
1 lim - 1 - x
Pour k = 0, t = Ôx Æ-
8 Ì lim 1 - x lim f ( x )
Le débit est maximal à 0,125 s x Æ-
Ôx Æ-
È 1˘ Ó
d) d est dérivable sur Í0 ; ˙ lim - 1 - x -
Î 4˚ Ôx Æ
Ì lim 1 - x - lim f ( x ) -
d¢(t) = 4π × 0,1 cos(4πt) Ôx Æ x Æ
p Ó
cos(4πt) 0 pour 0 4πt È p˘
2 b) Pour tout nombre réel t ∈ Í0 ; ˙ ,
1 Î 2˚
c’est-à-dire 0 t
8 • f ¢(t) = – 2sin(2t) – 1.
1 1 • 0 2t p ⇔ sin(2t) 0 ⇔ – 2sin(2t) 0 ⇔ f ¢(t) 0
t 0
8 4 f est donc une fonction strictement décroissante sur
d¢(t) + 0 – È p˘
Í0 ; 2 ˙ .
d(t) 0,1 Î ˚
0 0 c) cos(2x) = x ⇔ f(x) = 0
• f(0) = 1 0
e) Ê pˆ p
• f Á ˜ - 1- 0
Ë 2¯ 2
È p˘
• f est strictement décroissante sur Í0 ; ˙ .
Î 2˚
È p˘
• f est continue sur Í0 ; ˙ .
Î 2˚
D’après la conséquence du théorème des valeurs inter-
médiaires l’équation f(x) = 0 admet une unique solution a
2. t est un nombre de [0 ; 0,5] È p˘
a(t) = 4π × 0,1 cos(4πt) sur Í0 ; ˙ .
Î 2˚
cos(4πt) = 1
2. a) Cet algorithme détermine un encadrement de a
4πt = 0 + k2π, k un nombre entier de ℤ
k par dichotomie.
t= b) Pour P = 0,1 : a ∈ [0,49 ; 0,589]
2
Pour P = 0,01 : a ∈ [0,509 ; 0,515]
16
Chapitre 8 (D’après la relation de Chasles)
1 1 1
Soit S 4 Ú f ( x ) d x [ S5 - f ( 0)]
100 1. c) 2. b) 3. c) 4. c) 5 0 5
1 1 1
S 4 Ú f ( x ) d x [ S5 - 1]
101 1. Vrai : G(0) = G(1) = 0 5 0 5
2. Vrai : G est dérivable sur [0 ; +∞[ car f est continue. c) S4 ≈ 5,4587 et S5 ≈ 6,8178
Sur [0 ; + ∞[, G(x) = F(x) + xf(x)
1
D’où 1,091 Ú f ( x ) d x 1,164
0
3. Vrai car sur [0 ; 1], xf(x) > 0 mais F(x) est négative
3. a) x est un nombre réel de [0 ; 1] :
4. Faux.
x2 1 x - x - x2 x2 1
2 1 2 1- x
Ú0 f (t ) dt Ú0 f (t ) dt Ú1 f (t ) dt 1 x 1 x 1 x
1 ex 1 Ê x 2 ˆ 1
˜ d x Ú0 e (1 - x ) d x + I
0 2
- Ú1 f (t ) dt Ú1 f (t ) dt F(2) - F( 0) b) Ú d x Ú e x Á1 - x x
0 1 x 0 Ë 1 x¯
(Par linéarité de l’intégrale)
102 1. Vrai 2. Faux 3. Faux 4. Vrai 5. Faux
c) g (x) = (2 – x) ex .
103 1. f est dérivable sur [0 ; 1] g est dérivable sur [0 ; 1] et
e x (1 x ) - e x xe x g¢(x) = – ex + (2 – x) ex = (1 – x) ex.
f ¢( x ) 0
(1 x ) (1 x )2
1
Ú0 (1 - x ) e x dx [(2 - x )e x ]10
2
e-2
f est strictement croissante sur [0 ; 1]
2. a) k un nombre entier compris entre 0 et 4 et x est un d) D’après la question 2,
réel de [0 ; 5] tel que : 1,091 (e1 – 2) + I 1,164
k k +1 3,091 – e I 3,164 – e
x
5 5 soit 0,3 I 0,4.
Ê kˆ Ê k 1ˆ
f Á ˜ f ( x) f Á car f est strictement croissante
Ë 5¯ Ë 5 ˜¯ 104 Partie A
sur [0 ; 1]. Donc : Sur [a ; b] ; g(x) – f(x) 0
k 1 k 1 k 1 b
Ê kˆ Ê k 1ˆ Donc Ú ( g( x ) - f ( x )) d x 0
Ú ÁË ˜¯ d x Úk f ( x ) d x Úk f ÁË ˜ dx
5 5 5
k f a
5 5 ¯ b b
5 5
k 1
5
Et par linéarité, Ú g( x ) d x Ú f ( x ) d x
Ê kˆ Ê k 1 kˆ Ê k 1ˆ Ê k 1 k ˆ a a
k f ( x ) dx
f Á ˜Á - ˜Ú 5 fÁ - ˜ Partie B
Ë 5¯ Ë 5 5¯ Ë 5 ˜¯ ÁË 5 5¯ 2
1. a) Sur [0 ; 1], f ¢(x) = – 2x e–x 0.
5
k 1
1 Ê kˆ 1 Ê k 1ˆ f est donc décroissante sur [0 ; 1].
f Á ˜ Úk 5 f ( x ) dx f Á ˜ Donc pour tout x de [0 ; 1],
5 Ë 5¯ 5 Ë 5 ¯
5 1
f(0) f(x) f(1) soit f(x) 1.
e
11 1 1
b) Ú d x Ú e d x Ú d x
- x 2
0e 0 0
1
Soit u0 1
e
1 1 1
2. u1 Ú xe - x d x Ú - 2 xe - x ¥ dx
2 2
0 0 -2
1 1
- ÈÎe - x ˘˚0
2
2
1 1 - e -1
- [ e -1 - 1]
L’aire de la surface limitée par les droites d’équations 2 2
x = k, x = k + 1 , y = 0 et est comprise entre les aires des 3. a) n est un nombre entier de ℕ*
2
rectangles ABDC et AFEC. xne–x 0 sur [0 ; 1] donc un 0 (D’après la Partie A)
1
1 1 Ê 1ˆ Pour n = 0, u0 0 (D’après 1. b))
b) Pour k = 0, f ( 0) Ú 5 f ( x ) d x f Á ˜
5 0 5 Ë 5¯ Donc pour tout nombre entier n, un 0
1 Ê 4ˆ 1
5
b) x est un nombre réel de [0 ; 1]
Pour k = 4, f Á ˜ Ú 45 f ( x ) d x f (1) 2 2 2
xn+1 e–x – xn e–x = xn e–x (x – 1) 0
5 Ë 5¯
© Nathan. Hyperbole Term S
5
5
car x ∈[0 ; 1]
On obtient : 2 2
5 Donc xn+1 e–x xn e–x et d’après la partie A, un+1 un
1È Ê 4ˆ˘ 1
Ê 1ˆ
Í
5 ÍÎ
f ( 0 ) f ÁË ˜¯
5
º f ÁË ˜¯ ˙ Ú0
5 ˙˚
5 f ( x ) d x +… +Ú45 f ( x ) dx La suite est décroissante.
5 La suite (un ) est donc minorée par 0 et décroissante donc
1 È Ê 1ˆ Ê 2ˆ ˘ convergente.
Íf Á ˜ f Á ˜ º f (1)˙
5 ÎÍ Ë 5¯ Ë 5¯ ˙˚
17
2
4. a) Sur [0 ; 1], e–x 1 donc : c) On détermine une primitive de t (t + 1)e– t. a et b
2
xn e–x xn car xn 0 sont deux nombres réels, t (at + b)e– t est dérivable
Donc d’après la partie A, sur ℝ et sa dérivée est t ae– t – (at + b)e– t soit
1
un Ú x n d x t e– t(–at + a – b)
0
– a = 1 et a – b = 1
1
Soit un Í x ˙ et un
È n 1 ˘ 1 Soit a = – 1 et b = – 2
Î n 1˚0 n +1 Une primitive de t (t + 1)e– t est t (– t – 2)e– t
3 3
b) 0 un
1
et lim
1
0 In = [– (t + 2)e– t]1n = – (n + 2)e– n +
n +1 Æ n 1 3 e e
Donc pour tout n de ℕ*, Jn
n
D’après le théorème des gendarmes, lim un 0 e
n Æ
d) La suite (Jn) est croissante et majorée, elle est donc
convergente.
105 1. n est un nombre entier de ℕ*
n 1 n
Jn+1 – Jn = Ú e -t 1 t dt – Ú e -t 1 t dt 106 a) Pour k variant de 0 à N – 1
1 1
18
Chapitre 9 iz i ( x iy ) - y ix
z¢
z 1 x 1 iy ( x 1) iy
160 1. c) 2. b) 3. c) 4. c) 5. a) ( - y ix )( x 1 - iy )
( x 1)2 y2
161 1. Vrai : D = 12 – 16 = – 4 0 2
Ê 1ˆ 1
L’équation admet deux solutions complexes conjuguées. Á x ˜ y2 -
2 3 - 2i y x x
2 2 Ë 2 ¯ 4
z1 3 - 1 et z2 3 1 Im( z ¢ )
2 ( x 1)2 y2 ( x 1)2 y2
2. Faux : |z1| = 2 M¢ appartient à l’axe des abscisses équivaut à Im(z¢) = 0
uuur uuur Êz ˆ Ê1 3ˆ et z ≠ – 1
3. Faux : ( OB ; OA) arg Á 1 ˜ arg Á i ˜ 2 2
Ë z2 ¯ Ë2 2 ¯ Ê 1ˆ Ê 1ˆ
uuur uuur Soit Á x ˜ y2 Á ˜
p Ë 2¯ Ë 2¯
Donc ( OB ; OA) .
3 Ê 1 ˆ 1
(Γ) est le cercle de centre Ω Á - ; 0˜ et de rayon
Ë 2 ¯ 2
privé du point A.
162 1. Vrai 2. Vrai 3. Faux
b) M¢uuuu
appartient
r à l’axe des abscisses équivaut à M¢ = O ou
ur
163 z est un nombre complexe différent de – 1. (u ; OM¢ ) = 0 + kπ, k est un nombre entier de ℤ
uuur uuur p
iz C’est-à-dire M¢ = O ou (MA ; MO ) kp
z= 2
z +1 uuur uuur
z2 + z – iz = 0 p
soit M¢ = O ou (MA ; MO ) kp.
z(z + 1 – i) = 0 2
z = 0 ou z = – 1 + i M appartient au cercle de diamètre [AO] privé de A.
La fonction possède deux points fixes O et M1 d’affixe
–1+i 164 1. Vrai
2. M est un point différent de O et de A, zO - zA - 2 5i
i
|i||z| |z | OM zB - zA 5 2i
OM¢ = |z¢ – 0| = uur uuur p
|z 1| |z - ( - 1)| AM Donc OA = AB et ( AB ; OA) modulo 2 p
ur uuuur 2
Ê z ˆ
(u ; OM¢ ) arg( z ¢ ) arg Á i ¥ ˜ 2. Faux : A et B sont respectivement les points d’affixe 1
Ë z 1¯
et – 2i. (∆) est la médiatrice du segment [AB].
Ê 0-z ˆ 3. Faux : |z| = 9 3 12 2 3
arg Á arg(i )
Ë - 1 - z ˜¯
uuur uuur p z 3 3 3 1
i i
(MA ; MO ) modulo 2 p 2 3 2 3 2 3 2 2
2 ip
1 3 z 2 3e 3
– 1- i i
2 i4 4 3 inp
3. b) b ¢ – i
1 1 5 5 z 3n (2 3 )3n e donc z3n est nombre réel si n est pair.
2
i 1
2 4 p
2 2
4. Faux : arg(i) = modulo 2π
Ê 3ˆ Ê 4ˆ 2
OB ¢ |b ¢| ÁË 5˜¯ ÁË - 5 ˜¯ 1 Et |1 + i| = 2 et 1 + |i| = 2
5. Vrai : Il existe un nombre réel θ tel que z = eiθ
Donc B¢ ∈ (C) 1 1
c) M appartient à la médiatrice (∆) équivaut à OM = AM, z 2 2 e2iq 2iq e2iq e -2iq
z e
OM = cos(2θ) + isin(2θ) + cos(– 2θ) + isin(– 2θ)
soit =1
AM = cos(2θ) + isin(2θ) + cos(2θ) – isin(2θ)
Donc OM¢ = 1 = 2cos(2θ)
Si M appartient à ∆, alors M¢ appartient à (C)
d) C appartient à la médiatrice du segment [OA] donc 165 Partie A : 1. a, b, a¢, b¢ sont des nombres réels.
son image C¢ appartient à (C). z = a + ib et z¢ = a¢ + ib¢
ur uuuur uuur uuur p p p
© Nathan. Hyperbole Term S
(u ; OC ¢ ) ( CA ; CO ) modulo 2 p modulo 2 p zz ¢ ( a ib )( a ¢ ib ¢ ) aa ¢ – bb ¢ ( a ¢b ab ¢ )i
2 3 2 = aa¢ – bb¢ – (a¢b + ab¢)i
2
Ê 1ˆ 1 Ê 1 1ˆ Ê 1 1ˆ z ¥ z ¢ = (a – ib)(a¢ – ib¢) = aa¢ – bb¢ – (a¢b + ab¢)i
4. a) Á x ˜ - Á x - ˜ Á x ˜ x( x 1)
Ë 2¯ 4 Ë 2 2¯ Ë 2 2¯ zz ¢ z ¥ z ¢
2. Initialisation : n = 1, immédiat
19
Hérédité : Soit k un nombre entier naturel non nul fixé 166 a) zO¢ = 0
tel que z k = z k zB¢ = i3 – 3i2 + 3i = – i + 3 + 3i = 3 + 2i
z k 1 z k ¥ z z k z z k z z k 1 zC¢ = (i 3 )3 - 3(i 3 )2 3i 3 - 3 3i 9 3i 3 9
uuuur uuuur
Conclusion : Pour tout nombre entier naturel n, non b) O ¢B ¢ a pour affixe 3 + 2iuetuuur ¢C ¢uauuu
O pour
r affixe 9.
nul, z n = z n Il est clair que les vecteurs O ¢B ¢ et O ¢C ¢ ne sont pas coli-
Partie B : 1. z est solution de (E) néaires, donc les points O¢, B¢ et C¢ ne sont pas alignés
z 4 = z 4 = – 4 = – 4 , z est solution de (E) d’où l’affichage de Xcas.
(– z)4 = z4 = – 4, – z est solution de (E) L’application F ne conserve pas l’alignement car les
ip
2. a) z0 2e 4 points O, B et C sont alignés mais pas leurs images par F.
4 c) M invariant par F si, et seulement si, F(M) = M
Ê ip ˆ
b) z04 ÁË 2 e 4 ˜¯ 4 eip - 4 ⇔ z3 – 3z2 + 3z = z ⇔ z3 – 3z2 + 2z = 0
3. Les trois autres solutions de (E) sont donc – z0, z0 ⇔ z(z2 – 3z + 2) = 0 ⇔ z = 0 ou z2 – 3z + 2 = 0
et – z0 ⇔ z = 0 ou z = 1 ou z = 2.
– 1 – i , 1 – i et – 1 + i
20
Chapitre 10 Ê x ˆ
3
ÁË ˜ ¥ V1
56 1. a) (AD) // (EH), (EH) // (FG) donc (AD) // (FG) 1 x¯
2. b) (AH) et (HC) sont sécantes en H dans le plan (ACH) V(x) = V1 – V(MGPN)
3
3. b) (HF) ^ (EG), (EG) // (AC) donc (HF) ^ (AC) Ê x ˆ
= V1 – Á ˜ V
4. c) (II’) ^ (DAE) donc (II’) est orthogonale à toutes les Ë1 x¯ 1
droites du plan (ADE) Ê Ê x ˆ 3ˆ 1
5. a) (AB) et (II’) sont orthogonales au plan (DAE) donc = Á1 - Á ˜ ¥ ( x 1)
ÁË Ë 1 x ˜¯ ˜¯ 6
(AB) // (II’)
1 3x2 3x 1
57 1. Faux, (FG) et (DE) ne sont pas coplanaires car D = ¥
6 (1 x )2
n’appartient pas au plan (FEG). d) Pour tout x de [0 ; +∞[ :
2. Vrai, (BC) est orthogonale au plan (DCG) donc (BC) et 1
V(x) = équivaut à
(CH) sont perpendiculaires puisqu’elles sont sécantes et 3
orthogonales. 3x2 + 3x + 1 = 2(1 + x)2
3. Vrai, (AD) est orthogonale au plan (CDG) donc à la x2 – x – 1 = 0
droite (CG). 1+ 5
x=
4. Vrai. Les droites (PQ) et (RS) sont parallèles d’après 2
la propriété P5 utilisée avec les plans parallèles (EFG) et Partie 2
(ABC) et le plan sécant (PQR). 3. (CI) ^ (MBD) donc (CI) ^ (BD). En outre, (CM) ^ (BD)
De même (QR) // (PS). donc (MI) ^ (BD).
5. Faux en général De même, (CI) ^ (BM) et (DC) ^ (BM) donc (ID) ^ (BM).
6. Vrai, (EG) ^ (FH), (EG) ^ (FB) donc (EG) ^ (BH) : On en déduit que I est l’orthocentre du triangle BDM.
on utilise la propriété : « si une droite est orthogonale
à deux côtés d’un triangle alors elle est orthogonale au 60 1. Faux : ABCDEFGH est un cube.
troisième côté ». (ADH) ∩ (DHG) = (DH) ;
(DHG) ∩ (GCB) = (GC)
58 1. Faux : (PQ) et (CG) ne sont pas coplanaires. et (ADH) ∩ (GCB) = ∅.
2. Vrai : (PT) et (RS) sont parallèles. On applique la pro- 2. Faux : (ADH) ∩ (DHG) ∩ (FGC) = ∅
priété P5 avec les plans parallèles (AEH), (BFG) et le plan (ADH) ∩ (DHG) = (DH)
sécant (PQR). 3. Vrai : 1 ∩ 2 ≠ ∅ donc 1 et 2 sont sécants ;
3. Vrai : Dans le plan (PQR), (PQ) et (RS) sont sécantes 1 ∩ 33 = ∅ donc 1 et 3 sont parallèles. On en déduit
en V qui appartient donc aux deux plans (FPQ) et (FRS) que 2 et 3 sont sécants.
sécants suivant la droite (FB). 4. Vrai : 1 ∩ 2 = ∅ donc 1 // 2 ; 1 ∩ ≠ ∅ donc
4. Vrai : U appartient à (PT) donc au plan (ADH). coupe 1. On en déduit que coupe 2, soit 2 ∩ ≠ ∅.
U appartient à (QR) donc au plan (EHG).
Ces deux plans (ADH) et (EHG) sont sécants suivant la 61 a)
droite (HE) donc U appartient à (HE).
2. a) V(x) =
3 1
1 b) I1RBE est un parallélogramme donc I1E = RB =
b) V1 = ( x + 1) 4
6 I1, P, U sont alignés, P est le milieu de [EH], (I1E) et (HU)
MG x 1
c) donc le volume du tétraèdre MGPN est : sont parallèles donc I1E = HU = .
MC 1 x 4
21
1 1 En outre, (AC) ^ (DF) donc (MN) ^ (AC) ;
HU = , RB = donc HU = RB, O est le milieu de [HB],
4 4 (EB) ^ (DF) donc (MN) ^ (EB)
(HU) et (BR) sont parallèles donc HUBR est un parallélo- (MN) est donc perpendiculaire commune aux droites
gramme de centre O. (EB) et (AC).
18 9
QU2 = QH2 + HU2 = QE2 + EH2 + HU2 = =
18 9 16 8 63 1. a) Vrai puisque la droite (BF) est perpendiculaire
QR = QA + AR =
2 2 2 = au plan (ABC).
16 8
1 b) Faux puisque le point G n’appartient pas au plan (ABE).
HABG est un rectangle de côtés 2 et 1, HU = RB =
2 4 c) Vrai puisque la droite (BF) est perpendiculaire au plan
Ê 1ˆ 9
2
donc UR2 = 2 Á ˜ (ABC) et que la droite (AC) est une droite de ce plan.
Ë 2¯ 4 2. a) Faux car AB = a tandis que AC = a 2.
HU = QU + QR donc QUR est un triangle rectangle
2 2 2
b) Vrai, elles le sont en F puisque ces hauteurs sont les
isocèle en Q. T est le symétrique de Q par rapport à O droites (EF), (GF), (BF) et la hauteur issue de f.
9
donc QRTU est un carré. Son aire est égale à 1. c) Faux puisque la droite (AF) est parallèle à la droite (DG)
8 p
qui forme un angle de avec la droite (GC).
62 1. M ∈ (BJ) ∩ (AC) médianes du triangle BAD. 4
N est le centre de gravité du triangle ABC. 3. a) Vrai, en le point A.
2. a) (AC) ^ (BD), (AC) ^ (BF) donc (AC) ^ (BDF) b) Faux, FD = a 3 .
b) (EB) ^ (AF), (EB) ^ (AD) donc (EB) ^ (AFD) c) Vrai car (AF) est parallèle à (DG) et que (AH) est paral-
KM 1 KN 1 lèle à (BG).
c) Dans le triangle KDF, on a = et = donc
KD 3 KF 3
(MN) // (DF)
22
Chapitre 11 x 6 k
Ô
Ìy – 7 k avec k ∈ ℝ.
77 1. c) 2. b) 3. a) 4. a) 5. c) 6. a) Ôz – 4 – k
uur Ó
78 1. Faux 1 2t 6 k
uur : AB (3 ; 1 ; – 4)uuur Ô t 2
2. Vrai car Le système Ì– 2 – 3t – 7 k équivaut à Ì .
uur AB u(3 uur; 1 ; – 4) et CD (3 ; 1 ; 2) Ók - 1
donc – AB + 2CD (3 ; 1 ; 8) Ô– 1 – t – 4 – k
Ó
Ê - 2 1 5 6 1 3ˆ Les droites d et ∆ sont sécantes en E (5 ; – 8 ; – 3)
3. Vrai : Á ; ; ˜
Ë 2 2 2 ¯
uuur uur 81 1.
4. Faux : AC (– 1 ; 5 ; – 2) et DB (1 ; – 5 ; – 4) ne sont pas A
1 4
colinéaires car -
uur - 1 - 2uuur E J D
5. Faux : AB (3 ; 1 ; – 4) et DC (– 3 ; – 1 ; – 2) ne sont pas K L
I M
égaux. B C
6. uuur pas de nombres réels x et y tels que
uuurFauxuu:rIl n’existe 2. On considère le plan (AKM), I est un point de la droite
AD = xAB + yAC.
(KM) et L un point de la droite (AI), donc J, I et L appar-
79 1. Faux : A n’est pas un point de la droite. tiennent au plan (AKM).
ur uur ur u ur u uru 1 ur u
2. Vrai : Un vecteur directeur ur uru (5 ; 1 ; 0)de la droite d 3. a) KL KI IL KI IA
est un vecteur du plan ( O ; i , j ). 5
ur
u 1 uur 1 uuur
3. Faux : d et d¢ ne sont ni parallèles, ni sécantes. KI IM MA
uur 5 5
80 1. AB (2 ; – 3 ; – 1) , donc une représentation para- ur
u 1 uur 3 uur
KI IM MJ
x 1 2t 5 5
Ô 3 ur
u 2 uru 1 uur 3 uur
métrique de la droite d est Ìy - 2 - 3t , t ∈ ℝ KI KI IM MJ
Ôz - 1 - t 5 5 5 5
ur Ó 3 ur
u 3 uur 3 uur 3 ur u
2. u (2 ; – 3 ; – 1) est un vecteur directeur de d. KI IM MJ KJ
ur 5 5 5 5
u ¢ (– 1 ; 2 ; 1) est un vecteur directeur de d¢. uur ur u
ur ur b) KL et KJ sont colinéaires donc K, L et J sont alignés.
u et u ¢ ne sont pas colinéaires donc d et d¢ ne sont pas
parallèles. ur
u 1 uuur 1 uur Ê 1 1ˆ
2 - k 1 2t 82 1. AI AD AE donc I Á 0 ; ; ˜ .
Ô 2 2 Ë 2 2¯
Le système Ì1 2k - 2 - 3t n’a pas de solution, donc
Ôk - 1 - t uur 1 uur 1 uuur Ê1 1 ˆ
Ó AJ AB AD donc J Á ; ; 0˜ .
d et d¢ ne sont pas sécantes. Alors d et d ne sont pas 2 2 Ë2 2 ¯
coplanaires. Ê 1 1 1ˆ
K est le milieu de [IJ] donc K Á ; ; ˜ .
3. a) M appartient au plan si, et seulement
uuur si, il existe Ë 4 2 4¯
ur ur uuur Ê 1 1 1 ˆ uuur
des nombres réels t et t¢ tels que AM = tu t ¢v , c’est-
2. a) AK Á ; ; ˜ et AG (1 ; 1 ; 1) ne sont pas colinéaires
à-dire : Ë 4 2 4¯
x – 1 t x 1 t donc A, K et G ne sont pas alignés.
Ô Ô
Ìy 2 t 5t ¢ € Ìy – 2 t 5t ¢ b) Une représentation paramétrique du plan (AKG) est :
Ôz 1 – t – t ¢ Ôz – 1 – t – t ¢ 1
Ó Ó
b) A est un point de ainsi que B (t = 2 ; t¢ = – 1) donc Ôx 4 t t ¢
Ô
contient la droite d. Ô 1
Ìy t t ¢ où t ∈ ℝ, t ∈ ℝ.
c) Le système : Ô 2
2 – k 1 t Ôz 1 t t ¢
Ô ÓÔ 4
Ì1 2k – 2 t 5t ¢
Ôk – 1 – t – t ¢ 3. D(0 ; 1 ; 0) appartient à (AKG) : t = 4, t¢ = – 1
Ó
équivaut à : F(1 ; 0 ; 1) appartient à (AKG) : t = – 4, t¢ = 2
Donc les plans (ADF) et (AKG) coïncident.
© Nathan. Hyperbole Term S
k 1 – t k – 4
Ô Ô
Ì3t 5t ¢ 5 € Ìt 5 uur uuur
Ôt ¢ – 2 Ôt ¢ – 2 83 1. AB ( - 3 ; 1 ; 5) et AC ( - 2 ; - 3 ; 4 ) ne sont pas
Ó Ó
et d¢ se coupent en C (6 ; – 7 ; – 4). colinéaires
uuur donc A, B, C définissent un plan.
4. Une représentation paramétrique de ∆ est : 2. AD ( - 1 ;uuu uuur pas de nombres réels x,
0r; - 1)u,uilr n’existe
y tels que AD x AB yAC car le système
23
- 3 x - 2 y - 1 c) lim f ( x ) 0 et lim f ( x ) 0.
Ô x Æ x Æ-
Ìx - 3 y 0 n’a pas de solution. x2 - 1
Ô5 x 4 y - 1 Pour tout nombre réel x, f ¢( x ) .
Ó ( x 2 1)2
A, B, C et D ne sont pas coplanaires.
ur uuur x –∞ –1 1 +∞
3. C (0 ; – 2 ; 3) est un point et u CA (2 ; 3 ; - 4 ) est un
f¢ + 0 – 0 +
vecteur directeur de cette droite, donc l’affirmation est 1 0
vraie. f 1
0 2 -
4. Le point D n’appartient pas au plan . En effet, le 2
- 3 t t ¢ 1 t ¢ 4 - t k È 1 1˘
Ô Ô d) f ( k ) - décrit l’intervalle Í- ; ˙, Gk décrit
système Ì1 2t - t ¢ 1 équivaut à Ì3t 4 , il n’a k2 1 Î 2 2˚
Ô- 1 t 4t ¢ - 2 Ô3t 17
Ó Ó le segment [G1G–1] lorsque k décrit .
pas de solution.
uuuur
Donc la droite (BD) n’est pas incluse dans le plan . G1 A G–1 BC
uuuur uur uuur uur uuur
84 1. a) ( k 2 1) AGk k AB - k AC donc Gk appartient 2. a) AB ( - 1 ; - 1 ; - 1) et AC ( - 2 ; 1 ; - 2) ne sont pas
au plan (ABC). colinéaires, donc A, B et C ne sont pas alignés.
uuuur uur uuuur k uur
b) ( k 2 1) AGk - k BC donc AGk - 2 BC . b) La distance AGk est minimale pour k = 0.
k 1
24
Chapitre 12 5. a) Si Ω(1 ; – 3 ; 1), R = 3 et M(x ; y ; z)
alors (x – 1)2 + (y + 3)2 + (z – 1)2 = 9 équivaut à ΩM = 3.
80 1. a) L ∈ (AB), (AB) ⊂ (AGH) donc L ∈ (AGH) est donc la sphère de centre Ω et de rayon 3.
Ê3 ˆ Ê1 ˆ Ê 1 ˆ b) On résout le système :
2. b) L Á ; 0 ; 0˜ , I Á ; 0 ; 1˜ , J Á1 ; ; 1˜ appartiennent
Ë4 ¯ Ë2 ¯ Ë 2 ¯ ( x – 1)2 ( y 3)2 ( z – 1)2 9
à . uur ÔÔx – 2
ur Ì
3. a) EG(1 ; 1 ; 0) et n (4 ; – 4 ; 1) ur usont
ur respectivement Ôz t
normaux aux plans (FHD) et . n ·EG = 0 donc (FHD) et ÔÓy – 1 3t
P sont des plans perpendiculaires.
On obtient (3t + 2)2 + (t – 1)2 = 0 qui n’a pas de solution
4. c) C ∉ (GLE)
réelle.
ur ur c) Le point Ω¢(– 1 ; – 2 ; – 1) est le projeté orthogonal du
81 1. Vraie puisque u (1 ; – 2 ; 3) dirige d, n (1 ; 2 ; 1) est point Ω sur le plan (ABC).
ur ur
normal à et n ·u = 0 Ce point Ω¢ appartient à la sphère donc (ABC) est
2. Fausse : I(3 ; 0 ; 0) appartient aux trois plans. tangent à en Ω¢.
3. Vraie : Les coordonnées des points A, B et C vérifient
l’équation x + z – 1 = 0 ur 84 Partie A
ur
4. Fausse car les vecteurs n (– 1 ; 3 ; – 1) et u (2 ; – 5 ; 5) ne fi Si (EC) et sont orthogonaux, alors :
uur uur uur uuur
sont pas colinéaires. EC AB EC AC 0
puisque A, B et C appartiennent à .
82 1. Fausse 2. Fausse 3. Vraie
‹ Si Muuuet
r N sont
uur deuxuuupoints
r uurquelconques
uur uudu
r plan
uuur (ABC),
4. Vraie 5. Vraie
alors MN a AB bAC. Si FC AB 0 et EC AC 0
uur uuur uur uuur uur uur uuur
83 1. a) AB (3 ; 2 ; – 2), AC(0 ; 2 ; 1) alors EC MN EC (a AB bAC)
uur uuur uur uur uur uuur
AB · AC = 4 – 2 = 2 aEC AB bEC AC 0
uur Partie B
b) AB 9 4 4 17
uuur A K est le projeté orthogonal du point
AC = 5 B sur le plan (ACD).
uur uuur
µ AB.AC 2 2 85 Supposons que (BK) et (AH) sé-
c) cos(BAC) uur uuur W K
AB ¥ AC 5 17 85 cantes en W, alors (AW) ^ (CD) et
B D
donc BACµ ≈ 77° H (BW) ^ (CD) donc (CD) ^ (ABW) donc
(BH) ^ (CD).
µ ) = 2 85 donc B, A, C ne sont pas alignés.
d) cos(BAC C
85
2. Les coordonnées de A(– 2 ; 0 ; 1), B(1 ; 2 ; – 1) et Partie C
C(– 2 ; 2 ; 2) vérifient : 1. a) Les coordonnées (– 6 ; 1 ; 1), (4 ; – 3 ; 3) et
2x – y + 2z + 2 = 0 (– 1 ; – 5 ; – 1) des points B, C, D vérifient :
ur ur – 2x – 3y + 4z – 13 = 0.
3. n 1 (1 ; 1 ; – 3) et n 2 (1 ; – 2 ; 6) sont respectivement
b) Si H(x ; y ; z) alors – 2x – 3y + 4z – 13 = 0 et
normaux aux plans 1 et 2. Ces vecteurs ne sont pas x - 2t 3
colinéaires donc 1 et 2 sont sécants. Ô
Ìy – 3 t 2 d’où t = 1 et H(1 ; – 1 ; 3).
Pour tout nombre réel t, les coordonnées du point M Ôz 4t - 1
(– 2 ; – 1 + 3t ; t) vérifient les deux équations : Ó
uur uuur uur uuur
x + y – 3z + 3 = 0 et x – 2y + 6z = 0 donc : c) BH(7 ; – 2 ; 2), CD (– 5 ; – 2 ; – 4), BH CD - 39.
uur uuur
x – 2 d) BH CD 0 donc ABCD n’est pas orthocentrique.
Ô
Ìy – 1 3t , t Œ ° 2. Les quatre hauteurs du tétraèdre OIJK passent par O,
Ôz t donc OIJK est orthocentrique.
Ó
est bien une représentation paramétrique de .
85 1. a) Les coordonnées (1 ; 3 ; 2) ne vérifient pas
4. On résout le système :
l’équation 3x + y – z – 1 = 0, donc C n’appartient pas au
© Nathan. Hyperbole Term S
x – 2 plan .
ÔÔy – 1 3t
Ìz t b) Pour tout nombre réel t, 3(– t +1) + 2t – (– t + 2) – 1 = 0
Ô donc la droite est incluse dans le plan .
ur ur
ÔÓ2 x - y 2 z 2 0 2. a) u (– 1 ; 2 ; – 1) dirige donc u est un vecteur normal
et on obtient les coordonnées (– 2 ; – 4 ; – 1) du point à .
d’intersection de et (ABC).
25
uuur ur
M(x ; y ; z) appartient à si, et seulement si, CM u 0 doncu t – 1 + 4t + t – 2 – 3 = 0, t = 1 et I(0 ; 2 ; 1).
ur
⇔ (x – 1)(– 1) + (y – 3)2 + (z – 2)(– 1) = 0 uuu1r ; – 1 ; – 1) donc CI = 3.
c) CI(–
⇔ – x + 2y – z – 3 = 0 3. a) CMt (– t ; 2t – 3 ; – t) donc :
uuur2
b) Les coordonnées du point I vérifient le système : CMt = (– t)2 + (2t – 3)2 + (– t)2 = 6t2 – 12t + 9
x - t 1 admet S(1 ; 3) pour sommet, elle est tournée vers le haut
ÔÔy 2t donc, elle admet 3 pour minimum.
Ìz – t 2
Ô On en déduit que CI = 3 est la valeur minimale de CMt
ÔÓ- x 2 y - z - 3 0 lorsque t décrit l’ensemble des nombres réels.
26
Chapitre 13 6. On pose un = pn –
3
4
43 1. d) 2. a) 3. c) 4. a) 3 1 3 3
un 1 pn 1 - p -
4 5 n 5 4
44 1. Vrai 2. Faux 3. Vrai
1 3 1Ê 3ˆ 1
4. Faux 5. Vrai 6. Faux pn - Á pn - ˜ un
5 20 5 Ë 4¯ 5
45 1. Le nombre de boules noires tirées suit la loi (5 1
La suite (un ) est géométrique de raison et de premier
; 0,3). 3 5
3 2 terme u1 = p1 – = – 0,65.
Ê 5ˆ Ê 3 ˆ Ê 7 ˆ 4
P(X = 3) = Á ˜ Á ˜ Á ˜ . n -1 n
Ë 3¯ Ë 10 ¯ Ë 10 ¯ Ê 1ˆ Ê 1ˆ
Donc un - 0, 65 ¥ Á ˜ - 5 ¥ 0, 65 ¥ Á ˜
Ê 5ˆ Ê 5ˆ Ë 5¯ Ë 5¯
Or Á ˜ Á ˜ donc l’affirmation est vraie. n
Ë 3¯ Ë 2¯ 13 Ê 1ˆ
- ¥Á ˜
2. 4 Ë 5¯
n
3 3 13 Ê 1ˆ
Donc pn = un + - Á ˜ pour tout n 1
4 4 4 Ë 5¯
n
3 Ê 1ˆ
Alors lim pn car lim Á ˜ 0
n Æ 4 n Æ Ë 5¯
0, 7 0, 3 2, 3
P( G) Remarque : on peut aussi utiliser un raisonnement par
6 4 12
1 récurrence.
0, 7 ¥ 13 Ê 1ˆ
n
P(B « G) 6 14 3
PG(B) = 7. – pn 10–7 équivaut à Á ˜ 10–7
P( G) 1 23 4 4 Ë 5¯
2, 3 ¥
12 13 ¥ 107
ce qui équivaut à 5n
L’affirmation est vraie. 4
Ê 13 ¥ 107 ˆ
ln Á
46 Ë 4 ˜¯
c’est-à-dire n .
ln 5
Cette condition est réalisée pour tous les entiers n 11.
1 3 2
47 a) PU1 ( G) = , P ( G) = donc PU1 ( G) = PU3 ( G)
4 U3 8 3
1. p2 = P(G1 ∩ G2) + P(G1 ∩ G2) b) P( G) P(U1 ) ¥ PU1 ( G) P(U2 ) ¥ PU2 ( G)
= P(G1) × PG (G2) + P(G1 ) × PG (G2)
1 1 P(U3 ) ¥ PU3 ( G) P(U4 ) ¥ PU4 ( G)
= 0,1 × 0,8 + 0,9 × 0,6 = 0,62
1Ê1 2 3 ˆ 1689
P( G2 « G1 ) 0, 9 ¥ 0, 6 54 27 0˜
2. PG2 ( G1 ) ª 0 , 87 1 4 ÁË 4 6 8 ¯ 4 24
P( G2 ) 0, 62 62 31 1 23
3. L’événement contraire est « Perdre les 3 parties » donc ¥ ª 0, 24
4 24
la probabilité cherchée est 1– 0,9 × 0,4 × 0,4 = 0,856 2 1
c) PU2 ( G) = =
4. 6 3
1 1
P( G « U2 ) ¥
PG (U2 ) 4 3 96 8
P( G) 23 12 ¥ 23 23
96
donc PU2 ( G) PG (U2 )
pn+1 = 0,8pn + 0,6(1 – pn)
pn+1 = 0,2pn + 0,6 48 1. a) A et A forment une partition de l’univers donc
1 3 P(B) P( A « B) P( A « B).
© Nathan. Hyperbole Term S
pn+1 = pn =
5 5 b) P( A « B) P(B) - P( A « B) P(B) - P( A) ¥ P(B)
5. En programmant la suite récurrente on trouve, à car A et B sont indépendants,
partir du rang 16, toujours 0,75. On peut donc conjec- P( A « B) P(B) (1 - P( A)) P(B) P( A),
3
turer que (pn) converge vers . ce qui montre que A et B sont indépendants.
4
2. a) H : « Il est à l’heure »
27
P(H) = 1 – P(R ∪ S) = 1 – [P(R) + P(S) – P(R ∩ S)] 3. ur N ur ur ur
ur i j j j
= 1 – P(R) – P(S) + P(R) ¥ P(S) i ur ur ur
= 1 – 0,1 – 0,05 + 0,1 ¥ 0,05 = 0,855 ur i urj urj
j ur M
2. b) On cherche P(X 4) lorsque X suit la loi binomiale j uri ur
j
ur j
(5 ; 0,9). ur ur uri
i i j
Ê 5ˆ ur urj ur
P(X = 4) = Á ˜ 0,94 ¥ 0,1 ≈ 0,328 i ur M
Ë 4¯ j uri urj
j
ur ur urj
P(X = 5) = 0,95 ≈ 0,590 j ur M
uri ur
j
donc P(X 4) ≈ 0,919. ur i
j
j ur ur uri
j i
ur ur uri
49 1. L’algorithme affiche les positions (C, L) succes- i j
ur urj ur
sives en ajoutant aléatoirement 1 à C ou L jusqu’à ce que i ur M
j uri urj
les deux soient égaux à 3. On peut considérer que C est ur j
ur uri
l’abscisse et L l’ordonnée. i ur M
i uri ur
j
2. B ur j
j ur ur uri
ur j iur i
ur
j ur M
uri urj
ur i
ur j i
i ur ur
j i i
A ur ur ur ur ur
j j i i i
Il y a 20 chemins allant de A à B.
6 passent par M, donc la probabilité de choisir un chemin
6
passant par M est = 0, 3.
20
1
De même, la probabilité qu’il passe par N est = 0, 05.
20
28
Chapitre 14 P(F 2 >D) 0, 4 × 0,95 0,38
b) P –D (F2) = = = ≈ 0,434 3
P(D) 0,875 0,875
55 1. b) 2. Le nombre de pneus présentant un défaut suit la loi
2. a) (10 ; 0,125).
3. b) ⎛ 10 ⎞
P(X = 0) + P(X = 1) = ⎜ × 0,87510
4. a) ⎝ 0 ⎟⎠
5. b) ⎛ 10 ⎞
+⎜ × 0,875 9 × 0,125 ≈ 0,638 9
⎝ 1 ⎟⎠
56 1. a) Vrai b) Vrai 1 000
2. a) Faux b) Faux 3. a) P(500 X 1 000) = ∫
500
[ ]1 000
λe –λx dx = –e –λx 500
29
Chapitre 15 2. P(A C) = P(A) × PA(C) = 0,6 × 0,914 = 0,548
P(B C) = P(B) × PB(C) = 0,4 × 0,879 = 0,352
56 2. b) Ceci est dû à la symétrie de la courbe repré- 3. P(C) = P(A C) + P(B C) = 0,90
sentative de la fonction densité. La probabilité qu’une pièce, choisie au hasard dans la
1 production totale de l’entreprise, soit conforme est 0,9.
3. c) P(0 X 1,96) = P(– 1,96 X 1,96)
2
4. a) On sait que pour une loi continue, la probabilité 60 1. P(392,5 L 407,5) ≈ 0,85
de prendre une valeur précise est nulle. Il y a donc 15 % de pièces défectueuses.
57 1. a) Vrai, a doit être l’écart-type de X, soit 2. D’après le cours, u ≈ 1,96.
Or 392,5 L 407,5 signifie
1 000 × 0, 4 × 0,6 = 240 = 4 5
−7,5 7,5 7,5
b) Faux, c’est seulement une approximation. M donc = 1,96 d’où σ ≈ 3,83
σ σ σ
2. a) Faux, P(– 2σ Y 2σ) ≈ 0,95 3. a) [396,17 ; 403,83]
b) Faux, P(– 3σ Y 3σ) ≈ 0,997 P(396,17 L 403,83) ≈ 0,68 d’après le cours.
1– 0,997
donc P(Y 3σ) ≈ = 0,001 5
2 61 a) 1 – P(99 X 101) ≈ 0,096
c) Faux, P(– σ Y σ) ≈ 0,65 donc :
1– 0,65 b) Y suit la loi (0 ; 1).
P(Y – σ) ≈ ≈ 0,175 c) D’après le cours, u ≈ 1,96.
2
d) 1,96 Y 1,96 donne 98,8 σY + µ 101,2
58 1. a) Faux. La densité prend son maximum en µ
donc a = 1,2.
donc µ1 = µ2 e) u = 2,58
b) Faux. La courbe de f est d’autant plus « ouverte »
f) – 2,58 Y 2,58 donc 98,5 σY + µ 101,5
que σ est grand.
c) Faux. La probabilité correspond à l’aire sous la courbe 62 a) P(X 50)
donc P(– 1,2 X 1,2) P(– 1,2 Y 1,2)
2. a) Faux (voir 1.) µ2 µ1 (
b) X suit la loi 100 ;
3
55 )
b) Faux σ 1 = σ 2, les courbes sont superposables. 100 × 3 3 52
p= ≈ 5,45 et σ = 100 × × ≈ 2,27
c) Vrai car µ1 = 0 et µ2 0 donc : 55 55 55
P(X1 0) = 0,5 et 0,5 P(X2 0) X–µ
c) Pour n assez grand, la loi de Z = où X suit la loi
σ
59 A. 1. X suit (10 ; 0,9) binomiale peut être approchée par (0 ; 1) (théorème
50 – 5, 45
2. P(X 8) de Moivre-Laplace). X 50 signifie Z c’est-
2,27
= P(X = 8) + P(X = 9) + P(X = 10) à-dire Z 19,6.
⎛ 10 ⎞ ⎛ 10 ⎞ e) P(Z 19,6) ≈ 8 × 10– 86 donc la probabilité de cocher
=⎜ 0,9 8 × 0,12 + ⎜ × 0,99 × 0,1
⎝ 8 ⎟⎠ ⎝ 9 ⎟⎠ au moins une bonne étoile (plus d’une fois sur deux)
⎛ 10 ⎞ est 8 × 10– 86.
( )
+⎜ 0,910 × 0,10 ≈ 0,93
⎝ 10 ⎟⎠ f) On cherche b tel que P Z >
b – 5, 45
= 0,5.
2,27
B. 1. P(246 M 254) ≈ 0,960
Comme Z suit (0 ; 1) cela donne b = 5,45.
2. P(147 N 153) ≈ 0,952
Le plus grand nombre entier est donc n = 5.
3. P((M [246 ; 254]) (N [147 ; 153]))
≈ 0,960 × 0,952 ≈ 0,914
C. 1. P(A) = 0,6 ; P(B) = 0,4 ; PA(C) = 0,914 ; PB(C) = 0,879
d’après l’énoncé.
© Nathan. Hyperbole Term S
30
Chapitre 16 Règle de décision : si f I, on ne rejette pas l’hypothèse
selon laquelle la production est dans la norme nationale,
24 1. b) 2. a) 3. c) sinon on la rejette.
c) La fréquence 0,87 n’appartient pas à l’intervalle de
25 1. Faux 2. Faux 3. Vrai
fluctuation donc on rejette l’hypothèse : on peut penser
4. Faux 5. Faux
que cet échantillon est de très bonne qualité.
26 A. a) On a 50 répétitions d’une expérience de d) I3 ≈ [0,832 ; 0,838]
Bernoulli de façon indépendante n = 50 et p = 0,02 La fréquence 0,82 est en dessous des fréquences de
b) P(X = 0) ≈ 0,36 et P(X = 1) ≈ 0,37 l’intervalle de fluctuation donc on rejette l’hypothèse :
c) P(X = 2) ≈ 0,19 P(X 2) ≈ 0,92 on peut penser que cet échantillon n’est pas d’assez
B. a) P(548 L1 552) ≈ 0,95 bonne qualité.
b) P(108 L2 112) = 0,95 28 a) Groupe A : IA ≈ [0,494 ; 0,674]
P[(548 L1 552) (108 L2 112)] ≈ 0,95² ≈ 0,90
Groupe B : IB ≈ [0,42 ; 0,602]
C. a) 0,94
b) Non car l’intersection de ces deux intervalles n’est
1 1 ⎤
b) I = ⎡0,94 – ; 0,94 + = [0,84 ; 1,04] pas vide.
⎢⎣ 100 100 ⎥⎦ 64 1 73 1 2 9
On veut que + , − donc , et
En pratique, I = [0,84 ; 1] car une fréquence ne peut pas 125 n 125 n n 125
dépasser 1. 250
n. ⇔ n > 772 .
2 9
c) Il faut 0,1 donc n 20 et n 400
n ⎧ n > 30 110
⎪ 29 a)
= 0,55
27 a) On doit avoir ⎨ np > 5 200
donc n 31
b) I ≈ [0,479 ; 0,621]
⎪⎩ n(1– p) > 5
c) Il est possible que 60 % des habitants soient inté-
⎡
b) I1 = 0,835 – 1,96 0,835 × 0,165 0,835 × 0,165donc
ressés ⎤ le commerçant peut tenter de s’implanter.
⎢⎣ ; 0,835 + 1,96 ⎥⎦
50 50Cependant, le taux de 60 % est au bord de l’intervalle
⎡0,835 – 1,96 0,835 × 0,165 ; 0,835 + 1,96 0,835 × 0,165 ⎤ de confiance ce qui peut le faire hésiter.
⎢⎣ 50 50 ⎥⎦ 2
d) On doit avoir 0,025 d’où n 6 400.
I1 ≈ [0,732 ; 0,938] ; I2 ≈ [0,811 ; 0,859] n
La taille de l’échantillon rend le sondage coûteux et long.
© Nathan. Hyperbole Term S
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