Vous êtes sur la page 1sur 5

I/Définition :

Elle consiste à élaborer l’architecture des programmes et les modèle de données, cette

étape aboutie à la réalisation d’un dossier des spécifications techniques. Elle traite les

points suivants :

 Choix du langage et matériels

 Etude de la sécurité de la base de données

 Codification

 Elaboration du modèle physique de données

 Présentation de l’application

II/Le modèle physique de données MPD

II-1/Objectif :

L’organisme des données a pour objectif de définir à partir du MLD le MPD qui permet

d’aboutir à la description des fichiers de la base de données.

II-2/ Définition :

Le modèle physique de données est la traduction du modèle logique de données dons

un langage de description de données spécifique au système de gestion de base de données

(SGBD).

II-3/Règle de passage du MLD au MPD :

 Chaque table relationnelle devient un fichier

 La clé primaire de chaque table relationnelle devient l’index d’accès de fichier

Correspondant
III/Notions de SGBD :

III-1/Introduction :

Une base de données est un ensemble structuré de données enregistrées sur un support

adressable est peuvent être utilisées simultanément par différents utilisateurs.

III-2/Système de gestion de base de données SGBD :

Un SGBD est un logiciel qui permet à l’utilisateur de communiquer avec une base de

données.

Les bases de données relationnelles :

Pour avoir une base de données cohérente, il faut que ses informations soient

accessibles facilement, pour cela les tables d’une même base de données sont liées par

des relations, celles-ci permettent de décrire de manière pratique les liens entre les tables.

Table :

Les données ici sont représentées sous la forme d’un ensemble de tables.

Une table est un regroupement logique de données relatives à un même domaine, les

tables sont faites de lignes qu’on appelle enregistrement et de colonnes qu’on appelle

champ.

Champ et enregistrement :

Une table est formée de colonnes et de lignes, chaque ligne représente un

enregistrement, chaque colonne représente un champ.

Une table possède une structure formée par un ensemble de champs à chaque champ

est associé un nom, un type, et une taille en octets


Clé primaire :

Chaque table doit avoir une clé primaire qui permet d’identifier de manière unique

chaque enregistrement.

La clé primaire est un champ ou une combinaison de champs dont la valeur identifier

un enregistrement est un seul de la table.

III-3/ Les fonctions d’un système de gestion de base de données

(SGBD) :

La description :

Un (SGBD)doit permettre à l’utilisateur de décrire l’ensemble de ses données qui

seront stockées dans la base grâce à un langage de description de données (LDD).

La manipulation :

Cette fonction offre à l’utilisateur la possibilité de rechercher, sélectionner, de modifier

les données grâce à un langage de manipulation de données (LMD).

La confidentialité :

Puisqu’une base de données est partagée entre plusieurs utilisateurs certaines

informations ne doivent pas être accessibles que par des personnes autorisées dans ce cas

le SGBD doit offrir des moyens permettant de vérifier les droits d’accès.

L’intégrité :

Un (SGBD) doit définir des contraintes d’intégrité qui permettent de maintenir

l’intégrité de la base de données.

Un (SGBD)doit garantir la qualité (fiabilité) de l’information enregistrée.

La sécurité de fonctionnement :

En cas d’incidents matériels ou logiciels le (SGBD) doit être capable de remettre la

base de données en état opérationnel


II-4/L’architecture d’un SGBD :

Un (SGBD) est composé de 3 niveaux :

Niveau interne (schéma physique) :

Au niveau interne on s’intéresse

Au stockage physique des données sur les supports.

Il correspond à un schéma physique.

Niveau conceptuel :

C’est le niveau intermédiaire entre les deux

Niveaux internes et externes appelé aussi niveau logique.

Ce niveau a pour but de décrire en terme abstrait les données et de les

Classées en catégorie.

Niveau externe :

Il correspond au niveau où l’utilisateur voit les

Données, il est appelé aussi niveau utilisateur.

Pour cela, il faut choisir un (SGBD) qui nous convient ou en utilisant un gestionnaire

de données intégré à notre environnement de développement.

IV.Le modèle opérationnel de traitement MOPT :

IV-1/ Présentation :

Le MOPT est le dernier modèle des traitements à construire en arrive à ce stade à

l’étape de réalisation de la logique.

Le but de ce modèle et de traduire les phases automatisées du MOT en un ou

plusieurs programmes. Le MOPT renferme les programmes de calculs, de saisie et

d’édition.

Vous aimerez peut-être aussi