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Prologue

En l’an 2020, une île fut découverte dans l’océan Atlantique. Cependant cette île fut conquise
par des rebelles venant de l’Asie. Cinq années plus tard, elle fut déclarée comme étant un
nouveau pays avec comme nom, La nouvelle atlantique. De manière éloquente, quelque mois
après, leur économie ainsi que leur technologie ont pu atteindre les sommets ce qui leur permit
de déclarer une guerre au monde entier. Dans cette guerre ils utilisèrent une technologie
qu’aucun autre pays ne pouvaient contrer, des robots a formes humanoïdes appelé Disiplina.
Avec une poignée de 500 Disiplina, un an leur suffit pour accomplir ce que tout le monde
pensaient être impossible. La nouvelle Atlantique conquérît toute l’Amérique ainsi qu’une partie
de l’Europe. Il ne prit pas beaucoup de temps pour que le Moyen-Orient ainsi que toute
l’Afrique capitule. Cependant, la Russie qui possédait l’une des meilleures défenses naturelles, le
froid glacial de l’hivers, put contenir leur attaque. La Russie ne fut d’ailleurs pas le seul pays qui
leur résista. Toute l’Asie ainsi que l’Océanie réussirent à parer toute tentative d’invasion. C’est
d’ailleurs dans ce dernier que le Vatican s’était enfuit. Ils réussissaient à contenir toute les
attaques grâce à une alliance crée entre ces trois grandes puissances. Elle fut nommer Parada.
Après deux ans de tentatives vaines, le grand empire de La nouvelle Atlantique décida de faire
un traité de paix que Parada s’empressa de signer. Cependant les richesses du grand empire
attisaient la jalousie de plusieurs personnes au sein de Parada. Quoi de plus normal compte tenu
du fait que la guerre n’avait nullement appauvrit La nouvelle Atlantique. De plus, le mode de vie
de leurs habitants était des plus envieux. La hiérarchie était faite grâce aux compétences des
gens. Par exemple, plus une personne avait un bon contient intellectuel ainsi que des hautes
compétences physiques en plus d’un charisme et des nerfs solides et plus il aura un travail
important avec un salaire proportionnel. Cependant l’orientation des gens étaient décidé par un
sous-conseil qui leurs donnaient quelque options. Ils basaient leurs options sur les informations
qu’ils détenaient sur la personne. Le sous conseil possédait toutes les informations privées de
chaque individu, car tout l’Empire était constamment surveillé 24-7 grâce à des caméras placé
dans les rues, les écoles, les restaurants, etc. La surveillance était faite de sorte que si quelqu’un
agissait d’une manière non conforme aux lois, ils avertissaient le gouvernement suprême qui
était la plus grande autorité après eux. Le gouvernement envoyait alors des Disiplina à leurs
recherches. Tout le monde savait que qui conque se faisait prendre par les Disiplina ne
revoyaient plus jamais la lumière. Le taux de crime était donc très bas. Parada qui eux ne
faisaient que s’appauvrir ne pouvait que les envier. Le pétrole s’était terminée, la valeur de la
monnaie était tombé, les gens recommençaient le troc, tout allait de mal en pire. Certains
membres haut placé de Parada finirent par juré fidélité à La nouvelle Atlantique en échange
d’une place au sein du gouvernement suprême. De cette manière tous les pays de l’alliance
Parada finit par s’associer à La nouvelle Atlantique. Après seulement 3 ans, Parada n’existait
déjà pu que de nom. Le monde entier s’était incliné face à la puissance de La nouvelle Atlantique
régit par le grand conseil formé de sept personnes. Les premiers rebelles venus de l’est.
Cependant, personne ne connaissaient leurs identité. Qui étaient-ils ? Comment avait-il pu
obtenir cette technologie ? L’histoire commence avec un jeune homme de 19 ans né dans le
grand Empire de La nouvelle Atlantique….
Chapitre 1
- …..

-…..

-Mais qui êtes-vous….

-Tyran, réveille-toi, résonna une voix des plus féminines qui le fit se réveiller, nous allons être en
retard pour l’académie.

En ouvrant les yeux, encore à moitié endormie, le jeune homme réalisa que son amie d’enfance,
Baiilara, était encore venu dans sa chambre pour le réveiller.

-Salut Baiilara, merci pour ton mode alarme humaine, mais c’est bon maintenant, je suis réveillé,
dit-il d’une voix agacer.

-Le déjeuner et près, alors dépêche-toi ou sinon nous serons vraiment en retard, répondit-elle
sans porter attention à son ton railleur, puisqu’elle en avait l’habitude à force de toujours le
réveiller.

Elle sorti de la pièce en laissant Tyran encore à moitié endormi dans sa chambre.

-Qu’est-ce que je ne donnerai pas pour un autre cinq minutes de sommeil, se dit-il en regardant
sa chambre d’un regard vide.

Sa chambre n’étant pas très grande, il n’y avait pas beaucoup de décoration. Cela ne le
dérangeait pas pour autant. N’aimant pas grand-chose, Tyran n’aurait sans doute pas su quoi y
mettre. Il n’y avait dans sa chambre qu’un bureau sur lequel il faisait ses devoirs pour
l’académie, une étagère ou il possédait une bibliothèque personnelle de livre, chose rare
puisque dans cette époque les gens faisaient seulement télécharger ce qu’ils voulaient lire. Une
autre chose qu’il possédait dans sa chambre et qui sortaient de l’ordinaire étaient ses deux
cimeterres accrochés au mur au-dessus de son lit. Ce genre d’armes n’étaient plus vendu et ce
ou que ce soit dans le royaume. Cela ne l’empêchait cependant pas de s’entraîner à les manier
tous les matins, lorsqu’il réussissait à se réveiller….

-J’ai encore fait ce rêve… se dit-il en s’assoyant sur son lit.

Cela faisait maintenant des mois qu’il faisait parfois se rêve. Il n’arrivait cependant jamais à s’en
rappeler clairement. Tout ce dont il se souvenait c’est qu’une femme l’appelait. Il finit par se
lever et alla regarder par la fenêtre de sa chambre tout ce qui entourait l’orphelinat où il vivait
sans vraiment y prêter attention. N’ayant jamais connu ses parents, Tyran avait vécu toute sa vie
dans cette demeure qui habitait aussi d’autres enfants. C’est là également qu’il avait rencontré
sa meilleure amie, Baiilara qui était venu vivre là il y avait trois ans.
-Et voilà une autre journée qui commence dans ce royaume ennuyeux, murmura-t-il, si
seulement quelque chose pouvait arriver au point de faire bouger les choses.

Après quelques minutes il décida de se changer pour l’école et de manger son déjeuner avant
que la maîtresse de la maison ne vienne elle-même s’en charger. L’uniforme de l’école consistait
en un pantalon noir simple jumelé avec une chemise noire tout aussi simple excepté pour le
logo mit au niveau du cœur. Il représentait un lion debout sur ses deux pattes entrain de
dévorer un cœur. Cela était supposé signifier que même ceux qui possédaient une grosse force
ainsi que le savoir ne pouvaient pas devenir un roi s’il gardait leur cœur humain. Il était espéré
qu’ils transcendent la nature de leur cœur pour représenter avec honneur leur institution et par
la même occasion aidé leur civilisation à se tourner vers une utopie.

Rendu dans la cuisine il salua la dizaine d’enfants qu’il y avait déjà assis autour de la grande
table du hall du salon.

-Je n’ai pas envi de recommencer les cours, grommelait le jeune Adrian. Il s’agissait d’un
adolescent que l’orphelina avait recueilli dès le début de sa vie. Il considérait Tyran comme un
frère qu’il espérait secrètement surpasser un jour.

-Crois moi Adrian, après le mois de vacance que nous venons de passer, je peux t’assurer que
notre chère Tyran et le dernier à vouloir retourner à l’école, intervint mère Ayana.

Tout ceux présent à table s’esclaffèrent et acquiescèrent et Tyran ne put que réprimander un
sourire en hauchant la tête pour montrer son accord.

Tout le monde l’appelait mère Ayana puisqu’elle était non seulement la fondatrice de
l’orphelinat, mais également une vraie mère pour chacun des chenapans assis à cette table. Nul
ne connaissait son âge réel, mais elle ne donnait pas plus de 50 ans. Une femme rousse et aux
trait fin avec des yeux aussi noir que la nuit lui donnait de temps en temps l’allure d’une
sorcière, mais nul ne pouvait nier sa grande beauté. Sa personnalité aimable et très enjoué la
rendait très populaire au près des hommes comme des femmes. Cependant les membres de
l’orphelina connaissaient son penchant vers la destruction lorsqu’elle faisait face à quelqu’un qui
jouait avec sa patience…

-Mais lui il est doué pour tout, alors que nous citoyens tout à fait normal doivent se forcer
beaucoup pour absolument tout! Persista Adrian.

-Ne t’en fais pas, dit Baiilara, la paresse dont fais preuve Tyran finira par le rattraper et vous
serez tous là pour le dépasser et vous moquer de lui lorsque cela arrivera!

-Même moi? Demanda Crypta. Malgré ses quatre ans, elle participait autant que les autres à la
vie quotidienne. Toutefois, elle restait souvent dans l’ombre de mère Ayana.

-Oui même toi ma grande championne, lui répondit Baiilara.


-Bon, il est l’heure d’y aller pour que vous n’arriviez pas tous en retard! S’exclama la fondatrice.

Ils finirent tous rapidement le reste de leur déjeuner qui se résumait à des tartines et d’une
boisson à base de raisins qui était supposé accélérer la transmission d’information d’un neurone
à un autre. Une fois dehors ils se dirigèrent tous vers la même direction a l’exception de Tyran et
de Baiilara. Dû à leurs aptitudes autant physiques que cognitives, ils avaient été repêchés par
des membres de leurs institutions et avaient été conféré une bourse couvrant la totalité des
frais pour leur éducation. En réalité, ils auraient préféré aller à la même faculté que le reste du
groupe qui recueillait les jeunes enfants jusqu’à ceux d’âge adulte, mais dû à la situation
financière de l’orphelinat ils avaient accepté. Une fois rendu devant leur établissement Tyran ne
put d’empêcher de pousser un long soupir.

-Et nous revoila à cette fameuse institution, Totalité…, laissa échapper Tyran le nom de
l’établissement dans un soupir.
Chapitre 2

Totalité était une institution gigantesque vielle d’une vingtaine d’années. Couvrant un rayon de
deux kilomètres, il était aisé de s’y perdre. Toutefois, lorsqu’un étudiant rentrait dans une classe
il y restait pendant tout son parcours, ce qui veut dire quatre ans. Les jeunes considéré comme
étant des élites pouvait être admis à partir de l’âge de quinze ans et ce jusqu’à ce qu’ils
atteignent l’âge adulte qui était vingt ans au sein de La nouvelle Atlantide. Il s’agissait donc de la
dernière année pour Tyran tout comme pour Baiilara. Cependant, pour cette nouvelle année, le
duo qui avait toujours été mis dans des classes différentes étaient envoyé dans la même classe,
dans une aile de Totalité ou ils n’avaient jamais mis les pieds. Au bout d’une heure à chercher, ils
finirent par trouver leur classe qui était situé dans la plus haute tour de toute l’institution. Dès
qu’ils entrèrent dans la classe le professeur les accueillit avec un gros sourire.

-Voila finalement nos derniers retardataires! S’exclama l’Homme aux traits que Tyran assimila à
ceux des Russes. Mais asseyez-vous, Tyran, Baiilara pour que nous puissions finalement
commencer les présentations.

À la surprise des deux amis la classe ne comptait que sept élèves et ce malgré que le locale
pouvait accommoder une quarantaine d’élèves selon leurs estimations. Ce comptant lui-même,
il remarqua qu’il y avait cinq garçons d’ont l’un croisa et défia son regard. Ils étaient tous assis à
une grande distance les uns des autres et visiblement ne ce connaissait pas. Toutefois aucun
d’eux ne semblait malaisé, au contraire le mâle le plus grand et musclé de la classe que Tyran
avait déjà croisé a quelques reprises sans jamais lui avoir adressé la parole se trouvait assis à la
première rangé en ayant les deux pieds sur le pupitre en face de lui.

-Laissait moi me présenter, je suis le professeur Gorth et je suis le représentant direct du conseil
suprême!

Un lourd silence s’installa dans la pièce. Les sourires de certain disparurent. Instinctivement ils
comprirent tous que quelque chose allait arriver.

-Dooooonc, il va sans dire qu’il y a une raison précise pour laquelle vous sept êtes ici
aujourd’hui, expliqua-t-il avec un gros sourire, mais avant de vous la dire messieurs dames je me
dois de révéler votre historique… votre réel historique bien évidemment.

Tous les regards le fixaient désormais avec une telle intensité que même une panthère aurais
déguerpis en vitesse, mais Gorth semblait s’en délecter avec bonheur. Toutefois, malgré cette
atmosphère intense aucun ne put l’interrompre. En fait, ils commençaient à se rendre compte
qu’ils ne pouvaient simplement plus bouger ni parler!

-Ahhhh, je vois dans vos yeux que vous réalisez que vous ne pouvez plus bougez eh… Il va sans
dire que cela m’aurait rapidement agacé si vous commenciez à m’interrompre à tout bout de
champs, alors j’ai dû mettre une poudre inodore dans les conduits d’aération pour m’assurer de
votre entière écoute. Ne vous en faites pas, les effets ne devraient pas durer plus d’une heure
ou deux. Donc, ou est-ce que j’en étais… ah oui, vos passés respectifs! Um... nous allons
commencer par toi jeune impoli de la première rangé!

-Sachez tout le monde que son air de bête sauvage s’explique par un passé digne des pires
œuvres de la vie! Ce jeune homme dénommé Sacha aux origines de ce qui était autre fois la
Biélorussie à vécu une vie de minable. Il est né dans un village reculé qui ne s’ouvrait pas au
reste du monde. Ses parents étaient pauvres mais juste, et il avait également une petite sœur
qu’il aimait de tout son cœur. Toutefois, ce petit Sacha était trop doué pour les gens modestes
de son village. Plusieurs adolescents de son école le jalousaient depuis l’enfance et finirent par
inventer des rumeurs a son égard. Au début il ne faisait que se faire réprimander par les chefs
du village, mais très vite les rumeurs à son égard s’assombrissaient. Un jour, les adolescents
racontèrent aux adultes qu’ils les amenaient dans la forêt pour les battre alors qu’en réalité ils
s’infligeaient eux-mêmes des blessures pour le piéger. Les adultes du village décidèrent donc de
sévir contre son père en l’attachant au milieu de leur village, car ils le tenaient responsable de la
mauvaise éducation de Sacha. Ce dernier resta en face de son père pendant trois jours à pleurer
en le suppliant de le pardonner. Son père étant un homme de bonté lui répétait sans cesse que
ce n’était pas sa faute et qu’il ne croyait absolument pas à ces rumeurs. Au bout de trois jours il
fut détaché, et ils purent rentrer chez eux. Cependant… lorsqu’ils arrivèrent à leur ferme ils
constatèrent que la porte d’entré avait été forcer. En arrivant dans le salon Sacha aperçut sa
mère immoler et à moitié nue par terre gisant sans vie. Son père qui était sur ses talons constata
lui aussi la scène et lâcha apparemment un cri de désespoir qui fut entendu par tout le village.
Sacha empli d’une peur sans précédente chercha sa sœur du regard sans la voir et par
conséquent fonça vers sa chambre. Lorsqu’il y arriva, je ne peux même pas imaginer ce qu’il dut
ressentir, puisqu’il trouva sa sœur ensanglanté et pleine de larmes en train d’être violer par
deux des adolescents qui l’avait piégé ainsi qu’un des chefs du village. Je vous laisse
appréhender le carnage qui s’est produit, mais je tiens quand même à insister que ces trois
personnes, défuntes, ont été retrouvé démembré de plusieurs parties de leurs corps… Lorsque
Sacha retourna en bas, il trouva son père assis sur une chaise avec un poignard dans le cœur et
une lettre qui indiquait : je suis désolé, mais je ne peux vivre sans ta mère…prends soins de ta
sœur… Il décida à ce moment-là de faire son possible pour venir ici, puisqu’après les horribles
meurtres qu’Il venait de commettre il ne pouvait possiblement pas rester au village. Il prit sa
sœur et s’engagea dans plusieurs péripéties pour échapper aux poursuivant de son village.
Malheureusement pour lui, le choc de sa sœur était trop grand et elle perdit toute conscience
propre jusqu’à ce qu’elle finisse par rendre l’âme dû à une infection sexuelle qui lui avait été
transmise lors de son viol. C’est à ce moment-là que nous l’avons trouvé au bord de la frontière
de notre empire! Alors mes chers élèves que pensez vous de l’histoire de Sacha?
Personnellement je dirais qu’il s’agit d’une histoire assez minable, mais que voulez-vous?
Chacun ses gouts comme on dit!
Pendant que le professeur racontait tout son passé, tout les autres observaient le dos de Sacha
et comprirent par intuition que tout ces évènements étaient vrais. Tyran remarqua du coin de
l’œil que Baiilara lâchait quelques larmes.

-Maaaais bon assez parlé de toi mon grand garçon. Parlons de toi maintenant mon cher élève
assis à la troisième rangé! Si je ne me trompe pas tu t’appel Lepton c’est ça? Voici donc
quelqu’un qui vient de ce que nous appelions autrefois la Somalie! Contrairement à Sacha, il n’a
jamais connu ses parents. Il a appris à survivre dans un milieu de bêtes avec lesquelles il devait
parfois s’affronter pour obtenir des restes dans les poubelles qu’il trouvait. Comprenez-moi
bien, quand je dis des bêtes je fais références à des chiens sauvages, des rats, et de toute genre
de créatures qu’on peut retrouver dans cet environnement. Le pauvre il n’avait vraiment que la
peau su les os. Tout le contraire d’aujourd’hui n’est-ce pas? Même si tu n’es quand même pas
comparable à Sacha. Bref, il vivait comme cela jusqu’à ce qu’un jour un dénommé Kréor le
repère. Celui-ci devint son mentor et en fit un combattant hors pair qui faisait des combats
jusqu’à la mort pour de l’argent. Quelquefois à mains nues, d’autre fois avec des armes de tout
genre. Un vrai petit combattant avec expérience. Cependant son mentor perdait trop d’argent
dans les jeux, alors il finit par s’enfuir en abandonnant Lepton. N’ayant quasiment aucune
volonté propre celui-ci se laissa attraper par les autorités de leur village. C’est la journée ou il
était supposé être décapité que nous sommes apparues tel des héros! Nous avons réussi à lui
redonner une certaine volonté propre, mais il est beaucoup plus heureux en tant que simple
soldat qui ne fais que suivre les ordres! Un vrai chien de combat si vous voulez mon avis!
Ahahahahah!

Une fois son fou rire passé, le silence réintégra une fois de plus dans la classe. Gorth semblait
fixer chacun des élèves présents dans la classe avec mélancolie comme s’il devenait nostalgique.
Cela ne fit que donner un frisson d’horreur a chacun présent dans la pièce.

-Dans tous les cas, passons à quelqu’un avec un passé moins dramatique pour détendre
l’atmosphère! Voyons voir… Ah oui je sais! Cette fois-ci c’est ton tour jeune fille du milieu avec
son capuchon! Vous ne l’avez probablement pas encore remarqué, mais cette demoiselle est
d’une grande beauté. Mais je ne vous conseille pas de vous essayer avec elle messieurs, car sa
beauté peut vous être fatale… au sens propre. Laisser moi vous raconté une histoire. Il y a fort
longtemps, il y avait des gens qui pratiquait un art qu’on appelait sorcellerie et malédiction. Ces
arts-là pouvaient atteindre directement ou indirectement une personne et généralement
avaient pour but soit d’enlever la vie d’un individu soit le torturer de manière psychologique.
C’est durant cette ère que vit cette terre donné naissance à deux jumeaux identiques. Ils
vécurent de manière inséparable durant toute leur vie jusqu’à ce qu’un jour il rencontrèrent une
princesse à une beauté sans égale de leur pays qui devint plusieurs siècles plus tard le Mexique.
Ils eurent le coup de foudre instantanément, mais leur clan se préparait à commettre une
rébellion envers leur roi. Leurs familles étaient donc ennemies. Durant l’attaque de leur clan les
deux jumeaux trouvèrent en premier la princesse. Malgré l’envie du plus vieux de la laisser en
vie, il savait que son clan ne la laisserait jamais vivre et qu’au contraire ils la tortureraient pour
être relié par le sang au roi. Il décida donc de lui enlever la vie de manière indolore. Cependant,
son petit frère ne pouvait laisser une princesse aussi magnifique mourir. Il combattit donc son
grand frère pour la sauver. Le combat fut terrible, mais le grand frère triompha et tua son frère
avant de tranché également la princesse. Toutefois, le chagrin et la haine qui en résultèrent
furent si grand qu’il annéantissa à lui seul non seulement le roi et ses fidèles, mais également
son clan. À l’exception de la sorcière de son clan à qu’il laissa la vie sauve pour qu’elle puisse
mettre fin à ses jours. Cependant, dans une colère noire elle en décida autrement. Elle lui lança
une malédiction, Dans exactement 1000 ans cette princesse renaitre comme l’une de tes
descendantes et elle gardera la même beauté. En revanche, cette même beauté qui vous a
ensorceler toi et ton frère sera son malheur. Le nom de cette princesse était Esmeralda ce qui
par le plus grand des hasards se trouve être le même que celui de votre camarade de classe!
Déjà durant son enfance elle recevait beaucoup d’affection de tout son entourage, mais à partir
de ses neuf ans tout a changé. Elle ne pouvait plus sortir de chez elle, car trop de personne
risquait de l’enlever. Ses parents recevaient souvent des menaces pour qu’ils la vendent, mais
son père était trop obsessionné par elle pour accepter même sous la menace. Inutile de dire
qu’il la violait aussi souvent que possible et que sa mère la jalousait autant que possible. Jusqu’à
ce qu’un jour sa mère essaya de la réduire en silence. Heureusement ou malheureusement pour
elle, son père le remarqua et dans acte de colère nous imaginons qu’il tua sa femme. Quelque
jour après son père fut victime d’un meurtre et elle fut prise en charge par un noble de la région
qui fut à son tour assassiné. Tout ceux qui tentèrent de la possédée furent abattue par d’autre
qui étaient envieux. En six ans, nous pouvons dire qu’elle causa 24 décès. Et c’est dans ces
conditions que nous l’avons repêché! Mais je ne peux m’empêcher de me demander Esmeralda,
qu’éprouvais-tu lorsque ceux qui te possédais mourrais? Du Bonheur? De la tristesse? Ah oui
c’est vrai tu ne peux pas parler, mais qu’est-ce que je peux être étourdis bon sang! Ahahahaha!

Pendant qu’il s’esclaffait le temps en dehors de l’école commençait à ce déchainé comme s’il
répondait aux multitudes émotions que pouvais ressentir chacun des 7 élèves.

-Ainsi donc, nous passons à toi élève de la sixième rangé. Sachez tout le monde que
contrairement aux élèves précédents Kajinato viendrait d’une ancienne famille de grande
renommé de l’ancienne culture japonaise. La dernière famille des samouraïs! Des guerriers
suivants un code d’honneur appelé bushido qui les aidaient à entretenir une vie focalisée sur le
maniement de leurs sabres. Ce jeune homme au talent exceptionnel vécu une vie ou
l’entrainement était aussi quotidien que les tortures physiques et émotionnel. Cela avait pour
but de le transformer en un chef de famille assez puissant pour restituer les samouraïs. Hélas, le
résultat a été tout le contraire. Son esprit fut brisé et il tenta d’avoir recours à l’harakiri. Pour
ceux qui ne le savent pas, il s’agit d’une forme de suicide dans lequel il s’empale le ventre avec
une lame. Son instinct de survie à du prendre le dessus, car comme vous pouvez le constater il
est toujours en vie! Dut à son échec de suicide, il tomba dans le coma pendant plusieurs mois et
lorsqu’il revint finalement à lui, il se rendit compte qu’il était paralysé. Son corps ne réactionnait
plus à aucun stimulus. Il resta dans cet état et assista à la déchéance de sa famille qui arriva pour
une raison que nous ignorons. Tout ce que nous savons c’est qu’il assista à la mort de sa famille
pour laquelle nous nous doutons qu’il ne devait guère avoir beaucoup d’affection. Nous
estimons que les assaillants l’on laissé vivre pour lui faire subir une morte lente, car lorsque
nous l’avons trouvé, cela faisait déjà vingt-trois jours qu’il n’avait rien mangé ou avaler. Notre
technologie à pu lui permettre de le ramener à son état d’avant, mais son état émotionnel reste
fade. J’imagine qu’il reste fidèle a l’image que nous gardons de ces vieux et sages samouraïs!

Le tonnerre faisait maintenant rage à l’extérieur et semblait se rapprocher de Totalité. Tyran se


demandait même s’il allait finir par être transpercer par l’un d’eux, mais son attention se reporta
aussi tôt sur Gorth à la seconde qu’il recommença à parler.

-Eh bien, voilà que nous avons présenté la moitié d’entre vous! Alors quel genre de tragédies
pensez-vous que les trois autres on vécut ?! Figurez-vous, que l’étudiant à côté de l’entrer était
un enfant guérilla ! Deviner qui est-ce qu’il affrontait ? Vous ne devinerez jamais alors je vais
vous le dire. Il affrontait notre société, notre utopie, la civilisation de La nouvelle Atlantide! Son
nom? Vous allez rire. Alexandre Le Grand. C’est exact, comme celui de la civilisation romaine!
Encore plus drôle ? Il était supposé être un fervent serviteur du Vatican, mais la raison pour
laquelle il nous combattait ce résumait à son slogan : Le seul qui soit digne de diriger ce monde
n’est pas Dieu, ni vous, mais MOI! Dès l’enfance il dirigeait ses troupes constituées des jeunes
orphelins et même d’adultes et il réussissait à nous mettre en échec! Un sacré général si vous
voulez mon avis. Cependant, lorsqu’il attira réellement notre attention, il ne nous fallut pas
longtemps pour massacrer toutes ses troupes. Il fut le seul survivant. Lorsque nous lui avons
demander de choisir entre sa fierté et sa vie, il décida de continuer à vivre en tant que notre
vermine et nous l’avons bien enlevé! La preuve est que nous lui avons même laissé une chance
de faire se faire une éducation dans cette académie de prestige. Bref, tout comme le fameux
Alexandre Le Grand, il n’aura pas eu une mort au combat, du moins pas encore….

Un gros coup résonna sur tout l’institution. Un tonnerre avait frappé l’une des tours, mais cela
ne sembla nullement préoccupé le personnage machiavélique qui se trouvait devant eux.

-C’est ainsi que nous tombâmes sur les deux derniers agneaux du berger. Je voudrais garder le
meilleur pour la fin, mais je vais passer à toi maintenant ma sublime Baiilara.

Tyran qui ne conaissait en rien au passé de sa meilleure amie commença à ressentir l’envie de
lui trancher les cordes vocales.

-Vois-tu, parler de la vie de ces garçons commençait à me lasser. Pour que vous puissiez tous
comprendre son histoire je dois vous expliquer qu’elle était dans une famille très choyé par la
vie. Elle était la benjamine d’une famille de cinq enfants et ses parents passaient beaucoup de
temps avec eux. La fortune de sa famille venait d’un monopole d’armes à feux, mais il n’en
faisait la vente qu’a ceux qui travaillait notre état. Cela ne faisait pas le bonheur de plusieurs,
alors un jour elle fut kidnappée avec tous ses frères. Les cambrioleurs demandaient en échange
de la vie des enfants tous les lieux et les moyens d’accès de tous les compartiments d’armes.
Bien sûr, ils leurs ont interdis de contacter les autorités, et comme si ce n’était pas assez pour
chaque cinq minutes qui passait sans qu’ils aient eu de réponse ils prirent la vie d’un enfant. Du
plus vieux à la plus jeune. Le père ayant réussis à retracer l’appel et constatant qu’ils se
trouvaient sur son propre terrain tenta de laisser sa femme géré les négociations par téléphone
pendant qu’il allait lui-même s’occuper de sauver sa progéniture. Il réussit à éliminer une
douzaine de ces terroristes avant d’y perdre la vie. Le pire, c’est que cette tentative de secours
soldé par un échec dura 20 minutes… En d’autres mots, il ne restait plus que Baiilara. Ces
scélérats décidèrent donc d’aller confronter la mère en personne. Au prix d’une dizaine de vie,
elle fut capturée vivante. Comprenant qu’elle ne cèderait pas sous la torture, on la menaça de
torturer sa fille devant ses yeux. Ayant déjà perdu ses quatre fils, elle céda. Mais avant qu’elle
puisse dire quoi que ce soit Baiilara s’empara de l’arme à feux de sa mère qui était situé dans la
pièce où ils se trouvaient et lui tira en plein sur le coeur. Elle avait compris toutes les
conséquences qui seraient arrivé si ces démons se seraient procuré toute leurs armes. Remplie
de colère, on lui tira dessus trois fois et on la laissa pour morte et effectivement on peut dire
que la fille de quatre ans dénommé Baiilara fut tué. Ses meurtriers brulèrent la demeure et
fuirent les lieux. Étant alerté par les flemmes, des drônes furent déployé pour éteindre les
flemmes et par pure miracle trouvèrent cette jeune fille qui respirait encore. Cela pris 3 ans pour
recouvrir ses capacités physiques. Après avoir passé plusieurs examens psychiatriques, nous
nous aperçûmes de la haine intense qu’elle ressentait envers la vie elle-même. Nous avons alors
décidé de nous en servir. Nous l’avons transformé en une assassine hors pair. Peut-être même la
meilleure au monde et ce alors qu’elle venait de commencer son adolescence! Ces dernières
années nous l’avons placé aux cotés d’une personne ayant le potentiel de nous causer des
ennuis. Cette personne n’est nul autre que toi mon cher Tyran!

À ce moment-là un éclair fracassa la fenêtre et traversa directement le corps de Tyran le


projetant par terre. De la fumée commença à s’échapper de son corps à la seconde que corps
fut sur le col. Cela n’ébranla nullement Gorth qui au contraire ce remis à rire de plus belle.

-Eh bien on dirait que son histoire toucha la fin au moment ou il décida de s’asseoir là!
Contrairement à vous mes chers élèves, ce cadavre n’a pas eu d’histoire à faire pleurer. Il
s’agissait simplement d’un homme au potentiel incommensurable qu’il fallait de toute façon
éliminer un jour. Un homme qui ressentit l’ennui et le vide toute sa vie. En conclusion, il n’aura
jamais rien accomplie par manque de motivation ou peut être par peur de causer des problèmes
à la seule famille qu’il n’eu jamais connue dans son infâme petit orphelina. Dans tous les cas,
nous arrivons maintenant à l’élément déclencheur de la tournure que vont prendre les
évènements aujourd’hui.

Il commença à faire le tour de la pièce en observant le visage de ces élèves qui restaient de
marbre. Gorth tentait d’entendre leur rythme cardiaque comme il avait l’habitude de le faire
lorsqu’il partait à la chasse humaine en tant que tueur à gage, mais pour une raison qui lui
échappait, ses nouveaux élèves restait aussi calmes que possible. Cela le dérouta énormément
mais n’en laissa rien paraître. Lorsqu’il eu fait un tour complet de la salle il met le masque d’un
lion montrant un sourire laissant apparaître des crocs et s’exclama à haute voix.
-Au nom du conseil suprême, JE VOUS ORDONES DE MOURIR!

La réponse de ses étudiants le laissa sans mots. Un large sourire était apparu sur tout leur visage
incluant celui de Tyran…
Chapitre 3

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