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Les chevaliers d'antares tome 1 pdf livre numérique

81 notes | 45 commentaires | 13 extraits Tome suivant Voir tous les commentaires Voir tous les commentaires DROITS © Wellan Inc., 2017. Tous droits réservés. Ce roman, incluant les personnages et l’histoire exprimés, est protégé par le droit d’auteur en vertu de la Loi canadienne et des conventions internationales sur le droit d’auteur. Wellan Inc.
est le titulaire exclusif du droit d’auteur sur le roman. Aucune partie de cette œuvre ne peut être utilisée ou reproduite sous quelque forme ou en quelque plateforme que ce soit en l’absence de l’autorisation écrite et préalable de Wellan Inc. ANNE ROBILLARD Tome 1 Descente aux enfers Février 2017 ISBN : 978-2-923925-89-9 CITATION « Les
gagnants trouvent des moyens, les perdants, des excuses. » — Franklin Delano Roosevelt CARTE D’ALNILAM BLASON DE L’ORDRE DES CHEVALIERS D’ANTARÈS Chapitre 1 ALNILAM D e mémoire d’homme, rien n’avait jamais perturbé la paix dont jouissaient les habitants du grand continent d’Alnilam. Les treize royaumes faisaient du commerce
entre eux et partageaient volontiers leurs coutumes, car les routes n’étaient pas dangereuses en ces temps-là. Personne ne s’aperçut donc que sur les hauts plateaux enneigés se préparait une terrible menace. Les premières villes anéanties par les flammes furent celles de la partie septentrionale de Hadar... et ce n’était que le commencement.
En quelques années à peine, les trois royaumes qui s’étendaient au pied des hautes falaises connurent le même sort. Afin de comprendre pourquoi cette région du continent était constamment la proie des flammes, le Haut-Roi Aciari d’Antarès quitta son château en compagnie de ses meilleurs guerriers. C’est au nord de son propre royaume qu’il
aperçut d’abord l’ennemi : au milieu des flammes se tenaient des créatures aux longs cheveux tricolores, hautes comme deux hommes. Elles ne portaient qu’un pagne et un plastron composé de longs os attachés ensemble.

» — Franklin Delano Roosevelt CARTE D’ALNILAM BLASON DE L’ORDRE DES CHEVALIERS D’ANTARÈS Chapitre 1 ALNILAM D e mémoire d’homme, rien n’avait jamais perturbé la paix dont jouissaient les habitants du grand continent d’Alnilam. Les treize royaumes faisaient du commerce entre eux et partageaient volontiers leurs coutumes, car
les routes n’étaient pas dangereuses en ces temps-là. Personne ne s’aperçut donc que sur les hauts plateaux enneigés se préparait une terrible menace. Les premières villes anéanties par les flammes furent celles de la partie septentrionale de Hadar... et ce n’était que le commencement. En quelques années à peine, les trois royaumes qui s’étendaient
au pied des hautes falaises connurent le même sort. Afin de comprendre pourquoi cette région du continent était constamment la proie des flammes, le Haut-Roi Aciari d’Antarès quitta son château en compagnie de ses meilleurs guerriers. C’est au nord de son propre royaume qu’il aperçut d’abord l’ennemi : au milieu des flammes se tenaient des
créatures aux longs cheveux tricolores, hautes comme deux hommes. Elles ne portaient qu’un pagne et un plastron composé de longs os attachés ensemble. Ce qui les rendait effrayantes, c’étaient leurs quatre bras, dont deux se terminaient par des mains et les autres, par des pinces. Aciari ne remarqua pas tout de suite le dard de scorpion suspendu
au-dessus de leur tête, prêt à frapper leurs proies. Ces insectes humanoïdes n’avaient sans doute jamais rencontré de résistance sur le territoire des humains, car ils foncèrent sur les soldats d’Aciari sans la moindre hésitation. Les archers en tuèrent un grand nombre, puis les lanciers en abattirent d’autres au javelot.
Voyant tomber leurs congénères, les hommes-scorpions prirent la fuite. Les cavaliers les poursuivirent jusqu’à la falaise et les virent l’escalader avec la même agilité que des araignées. Après avoir mis l’envahisseur en déroute, Aciari revint avec son armée dans la ville qui avait été dévastée. Il se pencha sur les cadavres qui n’avaient pas encore été
calcinés dans l’incendie et vit qu’ils étaient affreusement mutilés.
Il leur manquait même des lambeaux de peau sur les bras et sur les cuisses. « D’où viennent ces hommes-scorpions sans pitié et pourquoi agissent-ils ainsi ? » se demanda le souverain. Les soldats aidèrent les survivants à enterrer leurs morts et Aciari promit de leur envoyer des ouvriers et des matériaux pour reconstruire les immeubles rasés par le
feu. Afin d’empêcher les hommes-scorpions d’exterminer la population entière d’Alnilam, dès son retour au palais, le haut-roi leva une grande armée. Il somma tous les royaumes de lui fournir des guerriers prêts à se battre pour sauver leur race.
Peu importe leur provenance ou la fortune de leur famille, il les adouberait sous sa bannière. Des hommes et des femmes déjà capables de se battre arrivèrent bientôt à Antarès.

est le titulaire exclusif du droit d’auteur sur le roman. Aucune partie de cette œuvre ne peut être utilisée ou reproduite sous quelque forme ou en quelque plateforme que ce soit en l’absence de l’autorisation écrite et préalable de Wellan Inc. ANNE ROBILLARD Tome 1 Descente aux enfers Février 2017 ISBN : 978-2-923925-89-9 CITATION « Les
gagnants trouvent des moyens, les perdants, des excuses.
Les treize royaumes faisaient du commerce entre eux et partageaient volontiers leurs coutumes, car les routes n’étaient pas dangereuses en ces temps-là. Personne ne s’aperçut donc que sur les hauts plateaux enneigés se préparait une terrible menace. Les premières villes anéanties par les flammes furent celles de la partie septentrionale de Hadar...
et ce n’était que le commencement.
En quelques années à peine, les trois royaumes qui s’étendaient au pied des hautes falaises connurent le même sort. Afin de comprendre pourquoi cette région du continent était constamment la proie des flammes, le Haut-Roi Aciari d’Antarès quitta son château en compagnie de ses meilleurs guerriers. C’est au nord de son propre royaume qu’il
aperçut d’abord l’ennemi : au milieu des flammes se tenaient des créatures aux longs cheveux tricolores, hautes comme deux hommes. Elles ne portaient qu’un pagne et un plastron composé de longs os attachés ensemble. Ce qui les rendait effrayantes, c’étaient leurs quatre bras, dont deux se terminaient par des mains et les autres, par des pinces.
Aciari ne remarqua pas tout de suite le dard de scorpion suspendu au-dessus de leur tête, prêt à frapper leurs proies. Ces insectes humanoïdes n’avaient sans doute jamais rencontré de résistance sur le territoire des humains, car ils foncèrent sur les soldats d’Aciari sans la moindre hésitation. Les archers en tuèrent un grand nombre, puis les lanciers
en abattirent d’autres au javelot. Voyant tomber leurs congénères, les hommes-scorpions prirent la fuite. Les cavaliers les poursuivirent jusqu’à la falaise et les virent l’escalader avec la même agilité que des araignées. Après avoir mis l’envahisseur en déroute, Aciari revint avec son armée dans la ville qui avait été dévastée. Il se pencha sur les
cadavres qui n’avaient pas encore été calcinés dans l’incendie et vit qu’ils étaient affreusement mutilés. Il leur manquait même des lambeaux de peau sur les bras et sur les cuisses. « D’où viennent ces hommes-scorpions sans pitié et pourquoi agissent-ils ainsi ? » se demanda le souverain. Les soldats aidèrent les survivants à enterrer leurs morts et
Aciari promit de leur envoyer des ouvriers et des matériaux pour reconstruire les immeubles rasés par le feu. Afin d’empêcher les hommes-scorpions d’exterminer la population entière d’Alnilam, dès son retour au palais, le haut-roi leva une grande armée. Il somma tous les royaumes de lui fournir des guerriers prêts à se battre pour sauver leur race.
Peu importe leur provenance ou la fortune de leur famille, il les adouberait sous sa bannière. Des hommes et des femmes déjà capables de se battre arrivèrent bientôt à Antarès. Heureusement, Aciari possédait le plus vaste de tous les palais d’Alnilam. Il comptait une centaine de bâtiments construits autour d’une immense cour, où se trouvait une
gigantesque écurie.

et ce n’était que le commencement. En quelques années à peine, les trois royaumes qui s’étendaient au pied des hautes falaises connurent le même sort. Afin de comprendre pourquoi cette région du continent était constamment la proie des flammes, le Haut-Roi Aciari d’Antarès quitta son château en compagnie de ses meilleurs guerriers. C’est au
nord de son propre royaume qu’il aperçut d’abord l’ennemi : au milieu des flammes se tenaient des créatures aux longs cheveux tricolores, hautes comme deux hommes. Elles ne portaient qu’un pagne et un plastron composé de longs os attachés ensemble. Ce qui les rendait effrayantes, c’étaient leurs quatre bras, dont deux se terminaient par des
mains et les autres, par des pinces. Aciari ne remarqua pas tout de suite le dard de scorpion suspendu au-dessus de leur tête, prêt à frapper leurs proies. Ces insectes humanoïdes n’avaient sans doute jamais rencontré de résistance sur le territoire des humains, car ils foncèrent sur les soldats d’Aciari sans la moindre hésitation. Les archers en tuèrent
un grand nombre, puis les lanciers en abattirent d’autres au javelot. Voyant tomber leurs congénères, les hommes-scorpions prirent la fuite.

Les treize royaumes faisaient du commerce entre eux et partageaient volontiers leurs coutumes, car les routes n’étaient pas dangereuses en ces temps-là.
Personne ne s’aperçut donc que sur les hauts plateaux enneigés se préparait une terrible menace. Les premières villes anéanties par les flammes furent celles de la partie septentrionale de Hadar...
et ce n’était que le commencement.
En quelques années à peine, les trois royaumes qui s’étendaient au pied des hautes falaises connurent le même sort. Afin de comprendre pourquoi cette région du continent était constamment la proie des flammes, le Haut-Roi Aciari d’Antarès quitta son château en compagnie de ses meilleurs guerriers. C’est au nord de son propre royaume qu’il
aperçut d’abord l’ennemi : au milieu des flammes se tenaient des créatures aux longs cheveux tricolores, hautes comme deux hommes. Elles ne portaient qu’un pagne et un plastron composé de longs os attachés ensemble. Ce qui les rendait effrayantes, c’étaient leurs quatre bras, dont deux se terminaient par des mains et les autres, par des pinces.
Aciari ne remarqua pas tout de suite le dard de scorpion suspendu au-dessus de leur tête, prêt à frapper leurs proies. Ces insectes humanoïdes n’avaient sans doute jamais rencontré de résistance sur le territoire des humains, car ils foncèrent sur les soldats d’Aciari sans la moindre hésitation. Les archers en tuèrent un grand nombre, puis les lanciers
en abattirent d’autres au javelot. Voyant tomber leurs congénères, les hommes-scorpions prirent la fuite. Les cavaliers les poursuivirent jusqu’à la falaise et les virent l’escalader avec la même agilité que des araignées. Après avoir mis l’envahisseur en déroute, Aciari revint avec son armée dans la ville qui avait été dévastée. Il se pencha sur les
cadavres qui n’avaient pas encore été calcinés dans l’incendie et vit qu’ils étaient affreusement mutilés.
Il leur manquait même des lambeaux de peau sur les bras et sur les cuisses. « D’où viennent ces hommes-scorpions sans pitié et pourquoi agissent-ils ainsi ? » se demanda le souverain. Les soldats aidèrent les survivants à enterrer leurs morts et Aciari promit de leur envoyer des ouvriers et des matériaux pour reconstruire les immeubles rasés par le
feu. Afin d’empêcher les hommes-scorpions d’exterminer la population entière d’Alnilam, dès son retour au palais, le haut-roi leva une grande armée. Il somma tous les royaumes de lui fournir des guerriers prêts à se battre pour sauver leur race. Peu importe leur provenance ou la fortune de leur famille, il les adouberait sous sa bannière.
Des hommes et des femmes déjà capables de se battre arrivèrent bientôt à Antarès.
Heureusement, Aciari possédait le plus vaste de tous les palais d’Alnilam. Il comptait une centaine de bâtiments construits autour d’une immense cour, où se trouvait une gigantesque écurie. Ses halls pouvaient accueillir des milliers de personnes et son palais disposait d’assez de chambres pour les loger.
Désireux de voir sa grande armée devenir rapidement opérationnelle, Aciari exigea que ses soldats sélectionnent les candidats sans délai.
Jour et nuit, ils les mirent à l’épreuve et, au bout de quelques semaines, le roi convia les nouveaux combattants à la cérémonie de l’adoubement dans la plus vaste salle du château, puis leur offrit un banquet dont ils se souviendraient longtemps. Pour diriger les Chevaliers d’Antarès, Aciari choisit Cairnech, le capitaine de sa garde, un homme d’âge
mûr qui avait maintes fois prouvé sa valeur. Celui-ci ne resta pas au château à attendre le retour des hommes-scorpions. Il mena ses troupes vers le Nord, où il se mit à patrouiller inlassablement d’un océan à l’autre, même au-delà du grand fleuve d’Altaïr, ses troupes étant ravitaillées par des caravanes en provenance de tous les pays. La présence
des soldats ne mit pas un terme aux invasions des affreuses créatures armées de pédipalpes.
Beaucoup de guerriers perdirent la vie durant les affrontements, ainsi que de nombreux commandants. Mais parmi les chefs survivants, aucun ne montra plus de courage et d’ingéniosité que le Chevalier Audax, originaire de Girtab.
Admiré de tous, il devint le principal lieutenant de Cairnech et finit par lui succéder. Afin de réduire les pertes de vies humaines, Audax entraîna ses hommes à une forme de combat différente de celle qui s’enseignait à Alnilam. Les Chevaliers cessèrent d’utiliser leurs chevaux pour foncer sur l’ennemi.
De toute façon, la plupart se faisaient trancher les pattes par les pinces des scorpions. Les guerriers se mirent donc à se battre à pied. Une fois que les archers avaient décoché leurs flèches, les fantassins, en équipe de trois ou quatre par adversaire, cherchaient à neutraliser le dard et les pinces des créatures tout en s’efforçant de planter leur épée
entre les os de leur plastron. Audax ne s’arrêta pas là. Il divisa sa gigantesque armée en quatre troupes : les Chimères, les Basilics, les Salamandres et les Manticores. Chaque groupe composé de milliers de guerriers ne patrouillerait qu’un seul pays, qu’il apprendrait à bien connaître et à défendre adéquatement.
Les Chimères furent postées au nord d’Antarès, tandis que les Basilics se chargeaient du nord de Hadar. Les Manticores furent placées à Arcturus et les Salamandres, quant à elles, à l’autre bout du pays, à Altaïr, car l’ennemi avait commencé à franchir le grand fleuve Caléana. Les actions du grand chef permirent ainsi aux Chevaliers de repousser
plus souvent les hommes-scorpions sur leurs terres enneigées et de sauver beaucoup de vies, mais surtout, elles dorèrent le blason de l’Ordre.
Ayant choisi des lieutenants pour mener chaque division, Audax était libre de se déplacer entre les différents champs de bataille. C’est ainsi qu’un jour, alors qu’il rejoignait le groupe des Manticores à Arcturus, un important événement changea sa vie. Tandis que les soldats pourchassaient l’ennemi à travers une ville enflammée, Audax crut entendre
des cris aigus dans le crépitement du feu.
Il se tourna vers une maison à deux étages sur le point de s’écrouler et aperçut par la porte ouverte une petite fille blonde agenouillée devant le corps inanimé d’un adulte. N’écoutant que son courage, le Chevalier fonça dans le brasier. Il souleva l’enfant, jeta un œil au cadavre de la femme gisant sur le plancher et extirpa la petite de la maison en
flammes. – Maman ! hurla la fillette. – Nous ne pouvons plus rien pour elle. Je vais te trouver une autre famille dès que nous aurons écarté le danger. Audax la garda avec lui jusqu’à la fin des combats.
On lui apprit alors qu’il n’y avait aucun survivant parmi les humains. – Les scorpions ont tué tout le monde ? se désola-t-il. – Ceux qui étaient restés. Plus de la moitié des habitants de la ville l’avait déjà désertée, précisa Maedoc, le commandant des Manticores. Puisqu’il n’avait personne à qui confier l’enfant, Audax la ramena au campement et lui fit
servir à boire et à manger. Traumatisée par ce qu’elle avait vécu, la petite ne toucha à rien. Elle se contentait de frotter entre ses doigts la pierre précieuse qu’elle portait au cou. – Comment t’appelles-tu ? Elle leva ses yeux bleus sur son sauveteur.
– Sierra... répondit-elle dans un murmure. – C’est un très beau nom. Tu peux m’appeler Audax. Je t’en prie, fais un effort et avale au moins un peu d’eau. – Je veux retourner chez moi... – Je ne te mentirai pas, Sierra. Cela ne serait pas digne d’un Chevalier d’Antarès. Tous ceux qui étaient encore en ville ont péri sauf toi. Je ne peux pas te ramener dans
les décombres, car tu y serais seule et sans défense. Comprends-tu ce que je te dis ? Elle hocha la tête en retenant ses larmes de son mieux. – As-tu de la parenté ailleurs qu’ici ? – Je ne crois pas Ajouter à mes livresLire un extraitAnne RobillardLes chevaliers d'Antarès tome 1 sur 12 EAN : 9782749929262 307 pages Michel Lafon (12/01/2017) 4.05/5
65 notesLes chevaliers d'Antarès, tome 1 : Descente aux enfers Résumé : Acheter ce livre sur Toutes les offres à partir de 2.98€ étiquettes Ajouter des étiquettes Que lire après Les chevaliers d'Antarès, tome 1 : Descente aux enfersVoir plus Critiques, Analyses et Avis (0) Ajouter une critique5★4 avis4★5 avis3★1 avis2★0 avis1★0 avisSignaler ce
contenuPage de la critique Nouvelle série de livres d'Anne Robillard qui est la suite des héritiers d'enkidiev, est intéressante. Tout commence avec l'arrivée de Wellan dans un nouveau monde suite au vortex de kimaati (lire le dernier tome des héritiers d'enkidiev. On découvre un univers parallèle avec des points communs mais celui- ci utilise plutôt
des technologies que la magie. Wellan est pris prisonnier par les chevaliers d'antarès qui sont dirigés par Sierra. Il y a 4 divisions. Depuis très longtemps cette armée lutte contre des scarabées qui essayent d'envahir leur pays. Nemeroff aussi happe par ce vortex atterri sur l'ile des dieux ailés et découvre une étrange prophétie. J'ai bien aimé cette
nouvelle série et j'ai hâte de découvrir le prochain tome.Signaler ce contenuPage de la critique Cette série de livres se passent sur le continent d‘Alnilam, dans le monde parallèle d‘Archeron, avec Sierra et Wellan dans la ville d'antares. Sierra est la commandante des Chevaliers d‘Antares, divisé en quatre garnisons : les Chimères, les Basilics, les
Salamandres et les Manticores, comme Wellan avant avec les chevaliers d'émeraude. (Wellan a été happé par le vortex de Kimaati) Alnilam est très différent d‘enkidiev : il y a là-bas une technologie très avancée et aucun pouvoirs magiques, que les sorciers en ont. Le principe est le même car à la place des Tanieths qui envahissent Enkidiev, c'est des
Acuelos, des etres mi-hommes, mi-scorpions avec 4 bras et deux pinces, un dard qui tue instantanément la personne piquée. Wellan va alors les aider à repousser les Acuelos. Nemeroff est sur une île avec des dieux ailés, de la même espèce que Sappheiros... J'ai bien aimé ce premier volet de cette 3eme série ! Il mérite bien ses 5 étoiles car il est bien
expliqué, et j'ai bien compris malgré le nombre importants de nouveaux personnages. J'ai hâte de lire le 2 ! (Mais j'ai d'autres projets de lectures avant le tome 2) Bonne lecture et bonne année 2019 ! Signaler ce contenuPage de la critique Ok, lecture intéressante qui relance mon intérêt pour la série depuis ma déception à la fin des Héritiers. Ce que
j'ai trouvé intéressant et ce pour quoi j'ai hâte de lire la suite : - Cela fait plaisir de voir Wellan de retour entre chevalier et explorateur. Sa position de prisonnier qui est dépassé par la technologie est intéressante, et c'est logique qu'ils doivent continuer de faire ses preuves. À suivre ! - L'histoire des Deussalas est une suite de ce qui était raconté dans
les tomes précédents. Cette histoire est intrigante, je suis vraiment très curieux de voir comment cette intrigue va évoluer.
Les personnages qui sont dans cette histoire-là ont de la consistance et une identité marquée (un peu stéréotypée peut-être) : Kiev, Océani, Sappheiros, Nemeroff. Il n'y a pas une surabondance de personnage et on peut avoir de l'intérêt et du confort dans le suivi de cette histoire-là. - Chésemteh est un personnage qui m'intrigue. Je sens qu'un
développement intéressant pourra être fait autour de ce personnage, autour de ses origines, et même de son caractère introverti. Et sa division des Basilics (si je ne me trompe pas) ainsi que leur style de combat m'intéresse également et me donne envie d'en savoir un peu plus. MAIS L'univers est différent, beaucoup plus moderne mais je trouve que
l'auteure va dans la facilité et nous pond les inventions qui l'arrangent, genre ils ont des micros et des projecteurs ? J'ai été gêné par ces choix faciles. Que ce monde soit en avance ok mais là il y avait un manque de crédibilité. Les personnages chevaliers en dehors de Sierra et Chésemteh peut-être n'ont pas d'intérêt. Au lieu de donner de la
consistance à quelques-uns, Anne Robillard aime bien faire dire juste une phrase à pleins de persos (Cf discussion pour trouver les solutions pour se débarrasser des Aculéos) juste pour dire "Coucou je suis machine et j'existe" mais ils n'ont pas d'identité, on ne s'attache pas à eux et on ne retient pas les noms. Je me fiche donc totalement de ces
chevaliers bidons mais il y a plusieurs intrigues intéressantes qui valent à a suite de l'histoire d'être lue !Signaler ce contenuPage de la critique Début d'une nouvelle sage, suite en partie des Héritiers D'endikiev, l'histoire se déploit sur le grand continent d'Alnilam, la menace descendit des hauts plateaux du Nord. Les quatre royaumes qui
s'étendaient au pied des falaises furent les premiers à être dévastés. Afin de stopper cette invasion, les Chevaliers d'Antarès furent créés et divisés en quatre garnisons : les Chimères, les Basilics, les Salamandres et les Manticores… Hum des heures de plaisirs Signaler ce contenuPage de la critique Me voilà partie dans ce troisième cycle : après Les
Chevaliers d'Émeraude et les Héritiers d'Enkidiev, je me plonge maintenant dans Les Chevaliers d'Antarès où j'ai eu plaisir à retrouver Wellan. Je n'expliquerai pas comment ce dernier a atterri dans un monde parallèle (pour cela, je vous invite à lire le tome 12 des Héritiers d'Enkidiev), monde fort différent du sien, où la magie n'existe pas, mais
compensée par une haute technologie. Mélange de fantasy médiévale et de steampunk, c'est le renouveau dont la série avait grandement besoin. On y trouve pourtant pas mal de ressemblances, comme l'invasion des hommes-insectes (des scorpions ici), un ordre de chevalerie formé sur les mêmes principes, et la révélation d'une prophétie se mêlant à
un conflit entre les divinités. Mais les décors et les lieux sont tout à explorer, et les personnages totalement inconnus du lecteur (à part Wellan, Nemeroff, Sappheiros et Tayaress). Ce premier tome est alléchant et une sacrée mise en bouche.
J'ai adoré la fin, qui met Nemeroff à l'honneur. Ça promet du grandiose pour la suite (enfin j'espère !). Citations et extraits (5) Ajouter une citation17 juin 2021Signaler ce contenuPage de la citation – C'est moi qui insistais pour qu'elle demeure secrète. Je ne voulais pas nuire à sa carrière. Je n'étais qu'une domestique et lui, un homme si important. –
Ce qui compte, en amour, c'est ce que nous ressentons, pas ce que les autres en pensent. – Je l'ai compris trop tard. 22 mars 2016Signaler ce contenuPage de la citation Elle leva les yeux vers les étoiles, regrettant de n'avoir jamais étudié leur interprétation. Elle ne s'en servait que pour se guider lorsqu'elle chevauchait d'une pays à l'autre.
22 mars 2016Signaler ce contenuPage de la citation Tout comme son prédécesseur, Sierra ne faisait que son devoir. 28 décembre 2018Signaler ce contenuPage de la citation Sous le ciel ! Sur la terre ! Ferveur au cœur ! Videos de Anne Robillard (21) Voir plusAjouter une vidéo Les Capsules éclair du SLM 2020: regardez, écoutez Anne Robillard nous
parler de la malédiction des Dragensblöt tome 7 et son livre compagnon.Paru chez WELLAN autres livres classés : fantasyVoir plus Notre sélection Jeune Adulte Voir plus

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