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1. Introduction :
Les deux segments reliant l’origine à la droite d’équation y = 4
Exercice 2742
permettent d’encadrer l’aire grisée définie par :
On considère la fonction f , 4 l’axe des abscisses et la courbe Cf ;
définie sur 0 ; 4 , dont la les droites d’équations x = 0 et x = 4.
représentation graphique est 3
Cf Ainsi, on a l’encadrement :
donnée ci-dessous : Z 4
Déterminer un encadrement 2 A1 6 f (x) dx 6 A2
0
de l”intégrale
Z :
4 5 Z 4 7
f (x) dx J 4× 4×
2 6 f (x) dx 6 2
0
2 0 2
Z 4
O I 2 3 4 56 f (x) dx 6 7
0
Correction 2742
2 2
Exercice 6012
7. Calcul d’integrales :
4·en·x 4 n·en·x 4 u0 (x)
Exercice 4040 fn (x) = = · n·x = ·
en·x+7 n e +7 n u(x)
Soit n un entier naturel non-nul, on définie la fonction fn par :
4·en·x Ainsi, la fonction fn admet pour primitive la fonction Fn
fn (x) = n·x définie par l’expression :
e +7 4 4
Fn (x) = · ln u(x) = · ln en·x + 7
1. Pour n un entier naturel non-nul, déterminer une primi- n n
tive de la fonction fn . 2. Pour tout entier naturel n non-nul, on a :
Z ln 7
2. Soit la suite un définie pour tout entier naturel n non n n n h i ln 7
n
nul par : un = · fn (x)dx = · Fn (x)
ln 7 0 ln 7 0
Z ln 7
n
n h4 i n
n ln 7
un = · fn (x) dx.
ln 7 0 = · · ln en·x + 7
Montrer que la suite un est constante. ln 7 n 0
n h4 ln 7 4 i
= · · ln en· n + 7 − · ln en·0 + 7
Correction 4040 ln 7 n n
n h4 4 i
1. Soit u la fonction définie par : = · · ln eln 7 + 7 − · ln 8
u(x) = en·x + 7 ln 7 n n
qui admettent pour dérivée : n h4 4 i n 4 14
= · · ln 14 − · ln 8 = · · ln
u0 (x) = n·en·x ln 7 n n ln 7 n 8
7
Ainsi, pour tout n ∈ N∗ , on a : 4 7 4· ln
= · ln = 4
ln 7 4 ln 7
On en déduit : √ h √ 2 i √
f 1 + 2 = 1 − 1 + 2 e−(1+ 2)
lim f (x) = lim 1 − x2 e−x
x7→+∞ x7→+∞ h √ i √
= lim e −x
− x2 ·e−x = 0 − 0 = 0 = 1 − 3 + 2 2 e− 2−1
x7→+∞
√ √
On en déduit que la courbe (F ) admet une asymptote = −2 − 2 2 e− 2−1
horizontale d’équation y = 0.
Calculons
le nombre dérivée Calculons
Z x maintenant l’intégrale I définie par :
de la fonction f en 0 :
f (0) = 0 − 2×0 − 1 ·e−0 = −1
0 2 I= t·e−t dt
1
Ainsi, la tangente (T ) à la courbe (F ) au point A a pour Utilisons les deux fonctions u et v définies par :
équation réduite : u(x) = x ; v(x) = −e−x
y = f 0 (0)·(x − 0) + f (0) qui admettent les dérivées suivantes :
u0 (x) = 1 ; v 0 (x) = e−x
y = −1·(x − 0) + 1 Ainsi, Z
on a l’intégration
Z par parties suivantes :
y = −x + 1 x x
I= t·e−t dt = u(t)·v 0 (t) dt
4. a. Déterminons les coefficients directeurs demandés : 1 1
h ix Z x
En 1, le nombre dérivée de la fonction f a pour
= u(t)·v(t) − u0 (t)·v(t) dt
valeur : 1 1
f 0 (1) = 12 − 2×1 − 1 ·e−1 = −2e−1 ' −0,7 h ix Z x
= t· −e−t − 1· −e−t dt
En −1, le nombre dérivée de la fonction f a pour 1 1
valeur : h ix Z x
f 0 (−1) = (−1)2 − 2·(−1) − 1 ·e−(−1) = t· −e−t
− 1· −e−t dt
1 1
= 2e ' 5,4 h ix Z x
-1 O I 2 3 4 5 6 = 2e−1 − (x + 1)·e−x
Ainsi,
Z x on obtient la valeur de l’intégrale recherchée :
-1
f (t) dt = x2 − 1 ·e−x − 2·I
1
h i
-2 = x2 − 1 ·e−x − 2· 2e−1 − (x + 1)·e−x
Partie B = x2 − 1 ·e−x − 4e−1 + (2x + 2)·e−x
h h
1. La fonction f est dérivable est sur l’intervalle 1 ; +∞ , = x2 − 1 + 2x + 2 ·e−x − 4e−1
on en déduit qu’elle est également continue sur cet inter- = x2 + 2x + 1 ·e−x − 4e−1
valle.
Ceci
Z entraînant l’existence de l’intégrale suivante : 2. Ainsi, on a :
x Z 0
f (t) dt où x est un réel positif. f (t) dt = 02 + 2×0 + 1 ·e−0 − 4e−1
1 1
Effectuons une double intégration par parties pour cal- = 1×1 − 4e−1 = 1 − 4e−1
culer l’intégrale suivante :
J
B
J
-2 -1 O I 2
O Correction 3297
I 2 3 4
1. L’équation (E) peut s’écrire :
On
− a représenté ci-dessus, dans un repère orthonormal
→ −→ (E) : y 0 = −y
O ; i ; j , la courbe représentative de la fonction f dériv- Le théorème de résolution de ces équations différentielles
able sur R, solution de l’équation différentielle assure qu’il existe une seule fonction f solution à cette
(E) : y 0 + y = 0 et telle que f (0) = e équation qui est dérirable sur R et qui admet pour ex-
pression :
1. Déterminer f (x) pour tout x réel. f (x) = k·e−x où k est un nombre réel
La condition f (0) = e permet d’obtenir la valeur de la
2. Soit t un réel donné de l’intervalle 1 ; e .
Résoudre dans R l’équation e1−x = t d’inconnue x. constante k :
f (0) = e
3. Soit A le point d’abscisse 0 et B le point d’abscisse 1 de
k·e−0 = e
la courbe.
On considère le solide obtenu par rotation autour de l’axe k·1 = e
des ordonnées de l’arc de courbe AB˜ comme représenté k=e
ci-dessous. On note V son volume. Ainsi, la fonction f admet pour expression :
Z e f (x) = e·e−x = e1−x
On admet que : V = π· (1−lnt)2 dt
1 2. Pour t ∈ 1 ; e , résolvons l’équation suivante :
Calculer V à l’aide de deux intégrations par parties suc-
cessives.
Exercice 3304 4
O 2 3 4 a
I
Correction 3317 2
1. Pour déterminer les équations des tangentes aux deux
courber, nous devons commencer par calculer l’expres-
sion des fonctions dérivées :
1
f 0 (x) = ; g 0 (x) = ex
x+1 J
Ainsi, pour x = 0, ces deux fonctions admettent les nom-
bres dérivés suivants :
1
f 0 (0) = = 1 ; g 0 (0) = e−0 = 1
0+1
Montrons que le point O appartient aux deux courbes : a
1)
c. Que peut-on 1 1
en déduire quant à la convergence de la xn 6 ·1n+1 − ·0n+1
suite xn ? n+1 n+1
1
2. a. Démontrer que, pour tout entier naturel n non-nul : xn 6
1 n+1
xn 6
n+1 b. Sachant que la suite xn a ses termes positifs, on en
déduit l’encadrement suivant :
b. En déduire la limite de la suite xn . 1
0 6 xn 6
n+1
3. a. A l’aide d’une intégration par parties, démontrer
1
que, pour tout entier naturel n non-nul : On a la limite suivante : lim =0
n7→+∞ n + 1
xn+1 = −(n + 1)·yn + sin(1). D’après le théorème des gendarmes, on en déduit la
b. En déduire que lim yn = 0 convergence de la suite xn :
n7→+∞
lim xn = 0
n7→+∞
4. On admet que, pour tout entier naturel n non nul :
yn+1 = (n + 1)·xn − cos(1) 3. a. Considérons les deux fonctions u et v définies par :
Déterminer lim n·xn et lim n·yn u(t) = tn+1 ; v(t) = sin t
n7→+∞ n7→+∞
qui admettent pour dérivée :
u0 (t) = (n + 1)·tn ; v 0 (t) = cos t
Correction 4059
h πi Ainsi, on aZ l’égalité :
1
1. a. La fonction cos est positive sur 0 ; , ainsi elle est
h i 2 xn+1 = tn+1 · cos t dt
aussi positive sur 0 ; 1 , on a : 0
Z 1
tn · cos t > 0 où t ∈ 0 ; 1 = u(t)·v 0 (t) dt
Comme 0 < 1, on a la relation : 0
Z 1 La formule d’intégration par parties donne :
tn · cos t dt > 0 h i1 Z 1
0
= u(t)·v(t) − u0 (t)·v(t) dt
Ainsi, la suite xn est une suite à termes positifs. 0 0
3. a. Montrer que, pour tout entier naturel non nul n : xn ·ex dx > 0
0
In > 0.
In > 0
b. Montrer que (In ) est décroissante.
b. Etudions la différence suivante :
c. En déduire que la suite In est convergente. On note
I sa limite.
4. Dans cette question, toute trace de recherche même in-
complète, ou d’initiative même non fructueuse, sera prise
De ces deux encadrements, on en déduit les compara- Lorsque x tend vers +∞, alors X tend vers −∞ et
isons suivantes : d’après le cours, on a :
lim X·eX = 0
un+1 6 f (n+1) 6 un X7→−∞
On vient de montrer que pour tout entier naturel n On en déduit la limite suivante :
supérieur ou égal à 2, on a : lim f (x) = lim X·eX = 0
x7→+∞ X7→−∞
un+1 6 un On en déduit les deux limites suivantes :
On en déduit que la suite un est décroissante pour tout lim f (n) = 0 ; lim f (n+1) = 0
entier naturel n supérieur ou égal à 2. n7→+∞ n7→+∞
3. Déterminons la limite de la fonction f en +∞. Pour cela, A l’aide de l’encadrement obtenu à la question 1. et au
utilisons la transformation algébrique suivante : théorème des gendarmes, on en déduit la limite suivante :
lim un = 0
n7→+∞
Exercice 4037
1 1
Soient f et g deux fonctions définies et continues sur l’inter-
valle 0 ; 1 . Cf Cg
1 1 1 1
= · ln(e)2 − · ln(1)2 = − 0 =
2 2 2 2
-4 -3 -2 -1 O I 2 3 4
-1
-2
-3
-4
-3
-4
fonction f dont les tangentes aux points d’abscisses −4,
Exercice 3612
−2, 0, 2, 4 sont, dans chaque cas, une des tangentes pro-
On considère une fonction f dérivable sur −4 ; 4 . Dans le posées sur le graphique.
repère orthonormé O ; I ; J ci-dessous est donnée la courbe
Correction 3612
représentative Cf 0 de la fonction f 0 dérivée de la fonction f .
1. a. Graphiquement, on lit :
4 f 0 (−2) = −1
b. Sur la droite d’équation x=−2, toutes les tangentes
3 représentées ont pour coefficient directeur −1.
2. Voici une représentation possible de la fonction f :
2 Cf ′
4
J
3
-4 -3 -2 -1 O I 2 3 4
2 Cf ′
-1
J
-2
-3 -4 -3 -2 -1 O I 2 3 4
-1
-4
-2
1. a. Quelle est le nombre dérivée de la fonction f en −2.
b. Tout au long de la droite d’équation x=−2 sont -3
représentés des tangentes ; quel est le coefficient de ces
tangentes.
-4
2. Tracer une courbe représentative Cf acceptable de la
Exercice 3617
On considère
quatre
fonctions ϕ, f , g, h définies sur l’in- Cϕ
tervalle −4 ; 4 . Leurs courbes représentatives sont données,
ci-dessous, dans un même repère orthonormé :
Cf
Cg Ch
Terminale SE - Intégration - - http://malimath.net/
Quelle fonction, parmi f , g et h, peut admetttre la fonction La fonction ϕ est négative sur −4 ; −2 ; ainsi, lafonc-
ϕ comme fonction dérivée ? tion recherchée doit être décroissante sur −4 ; −2 : on
élimine ainsi, la fonction f .
Correction 3617
L’image de 0 par la fonction ϕ est 1 ; ainsi, la courbe de
La fonction admettant la fonction ϕ comme fonction dérivée la fonction recherchée doit admettre en 0 une tangente
est la fonction h. On élimine les fonctions f et g pour les dont le coefficient directeur est 1 : on élimine la courbe
raisons suivantes : de la fonction g.
On désigne par f la fonction définie sur l’ensemble R des 3. Déterminer la limite de V (λ) lorsque λ vers +∞.
nombres réels par :
Correction 3261
1
f (x) =
1 + e−x Partie A
On note C la courbe représentative de f dans un repère or- 1. On a la transformation algébrique suivante :
−
→ − →
thonormal O ; i ; j , (unité graphique : 5 cm) 1 1 ex
f (x) = = =
1 + e−x e−x · ex + 1 ex + 1
Partie A. Etude de la fonction f
ex 2. a. On a les limites suivantes :
1. Vérifier que pour tout nombre réel x : f (x) = . On a : lim e−x = +∞
1 + ex x7→−∞
On a : lim e−x = 0
b. Calculer f 0 (x) pour tout nombre réel x. En déduire les x7→+∞
variations de f sur R. On en déduit la limite suivante :
1 1
lim f (x) = lim = =1
c. Dresser le tableau des variations de f . x7→+∞ x7→+∞ 1 + e−x 1
On en déduit graphiquement que la courbe C admet :
la courbe C et ses asymptotes éventuelles dans le
3. Tracer
→ −
− →
repère O ; i ; j la droite d’équation y = 0 comme asymptote en −∞ ;
Partie B. Quelques propriétés graphiques. la droite d’équation y = 1 comme asymptote en +∞ ;
b. La définition de la fonction f est un quotient de la
1. On considère les points M et M 0 de la courbe C d’ab-
1
scisses respectives x et −x. Déterminer les coordonnées forme où la fonction u est définie par :
u
du milieu A du segment [M M 0 ]. u(x) = 1 + e−x
Que représente le point A pour la courbe C ? et qui admet pour fonction dérivée :
2. Soit n un entier naturel. On désigne par Dn le domaine u0 (x) = e−x
du plan limité par la droite d’équation y = 1, la courbe C La formule de dérivation de l’inverse d’une fonction
et les droites d’équations x = 0 et x = n, An désigne l’aire permet d’obtenir l’expression de la fonction f 0 :
du domaine Dn exprimée en unitée d’aire. u0 (x) −e−x e−x
f 0 (x) = − 2 = − =
u(x) 1 + e−x 1 + e−x
a. Calculer An .
La fonction exponentielle étant strictement positive,
b. Etudier la limite éventuelle de An lorsque n tend vers on en déduit facilement que la fonction f 0 est stricte-
+∞. ment positive sur R.
On en déduit que la fonction f est strictement crois-
Partie C. Calcul d’un volume. sante sur R.
Soit λ un réel positif. On note V (λ) l’intégrale : c. La fonction f admet le tableau de variation :
Z 0
2
V (λ) = π f (x) dx x −∞ +∞
−λ
2. a. Démontrer, que pour tout entier naturel n : b. L’expression de la fonction f est donnée sous la forme
f (n+1) 6 In 6 f (n) 1
du quotient où la fonction u est définie par :
u
b. En déduire que la suite (In ) est décroissante. u(x) = ex + e−x ; u0 (x) = ex − e−x
c. Démontrer que la suite (In ) est convergente et déter- Ainsi, la fonction f admet pour dérivée la fonction f 0
miner sa limite. dont l’expression est donnée par :
0 u0 (x) ex − e−x e−x − ex
Partie C f (x) = − 2 = − 2 = 2
u(x) ex + e−x ex + e−x
Soit (Jn ) la
Z suite définie sur N par : Le dénominateur est toujours positif ; le signe du quo-
n
Jn = f (x) dx tient ne dépend que de celui du numérateur.
0 Or, la question 2. a permis d’établir l’inégalité suiv-
ante pour tout réel x positif ou nul :
1. En utilisant l’encadrement obtenu dans la question
e−x 6 ex =⇒ e−x −ex 6 0
A 4. a. , démontrer que, pour tout entier naturel n :
Ainsi, la fonction f 0 est négative sur R+ : la fonction
1
· 1 − e−n 6 Jn 6 1 − e−n 6 1 f est décroissante sur R+ .
2
4. a. La fonction exponentielle est strictement positive
2. Démontrer que la suite (Jn ) est croissante. sur R et d’après la question 2. , on a l’encadrement
En déduire qu’elle converge. suivant pour x ∈ R+ :
3. On note L la limite de la suite (Jn ) et on admet le
théorème suivant :
“Si un , vn et wn sont trois suites convergentes de limites
respectives a, b et c et si, à partir d’un certain rang on a
pour tout n, un 6 vn 6 wn alors a 6 b 6 c”.
Donner un encadrement de L.
0.7 Partie C
23. Annales :
3. Montrer que (C ) admet une asymptote oblique dont 2. On a les deux limites suivantes :
on précisera une équation. (Question hors programme lim x = +∞ ; lim e−x = 0
x7→+∞ x7→+∞
2012). On en déduit la limite : lim f (x) = +∞.
x7→+∞
Partie B
3. Considérons la droite (d) d’équation réduite y = x.
On considère la suite un n>1 à termes positifs définie par : On a la limite suivante :
u1 = 0 ; un+1 = f (un ) = un + e−n pour tout n ∈ N lim f (x) − x = lim e−x = 0
x7→+∞ x7→+∞
x 0
1
+∞ −2 − ln(n) −2 − ln(e−1 )
e− 2 = −
1 n e−1
−2 − ln(n)
·e
2 −2 − ln(n)
Variation = − −2 − (−1) ·e1 = +e
n n
de f
c. On en déduit la limite :
-∞ 0 −2 − ln(n)
lim In = lim +e=e
n7→+∞ n7→+∞ n
3. a. D’après le tableau de variation de la fonction f : Ainsi, l’aire du domaine compris entre la courbe C ,
l’axe des abscisse et se situant à droite de la droite
La 1
h fonction
1 hf est strictement positive sur l’intervalle x = a pour valeur e.
−2 e
e ; +∞ : la courbe C n’admet pas de point d’in-
Partie B
On définie la fonction gm sur R par : J
gm (x) = x + 1 − m·e−x
Courbe 2
et on note Cm la courbe de la fonction gm dans un repère
−
→ − → x′ x
O ; i ; j du plan.
-2 -1 O I 2 3 4 5
1. a. Démontrer que gm (x) = 0 si, et seulement si, f (x) =
m. -1
Courbe 3
b. Déduire de la partie A, sans justification, le nombre
de points d’intersection de la courbe Cm avec l’axe des y′
-2
f 0 (x) − 0 −
J
de −2 par la fonction f :
Déterminons l’image
f (−2) = −2 + 1 ·e−2 = −e−2 Courbe 2
x′ x
On obtient le tableau de variation de la fonction f :
-2 -1 O I 2 3 4 5
x -∞ −2 +∞
-1
0 +∞ Courbe 3
Variation y′
-2
de f
b. On a les transformations algébriques suivantes :
−e−2
g−e (x) − ge (x) = x + 1 − (−e)·e−x − x + 1 − e×e−x
Partie B = e−x+1 + e−x+1 = 2·e−x+1
c. La droite (M N ) et la droite (d) sont sécantes. La droite (d) admet pour vecteur directeur
−
→
u 1 ; −1 ; −1 .
d. La droite (M N ) et la droite (d) sont confondues.
On a le produit scalaire :
4. a. Les plans (P) et (S) sont parallèles. −
→ −−→
u · M N = 1×2 + (−1)×(−4) + (−1)×6
b. Ladroite (∆) de représentation paramétrique : = 2+4−6=0
x= t −
→ −−→
On en déduit que les deux vecteurs u et M N sont or-
y = −2 − t t ∈ R
thogonaux : les droites (M N ) et (d) sont orthogonales.
z = −3 − t
est la droite d’intersection des plans (P) et (S). La bonne proposition est la réponse a. .
c. Le point M appartient à l’intersection des plans (P) 4. D’après sa représentation paramétrique, le plan (S) ad-
et (S). met
→les deux vecteurs
− directeurs :
−
→
d. Les plans (P) et (S) sont perpendiculaires. u 1 ; −1 ; −1 ; v 2 ; −2 ; 3
4. Etudier les variations de la fonction f sur R. Ainsi, la courbe C1 admet pour tangente au point A qui
a pour abscisse 0 :
5. Déterminer la limite de la fonction f en +∞. y = f 0 (0)· x − 0 + f (0)
Partie B y = 1· x − 0 + 2
Soit g la fonction définie sur R par : g(x) = f (x)−(x+2). y =x+2
1. a. Montrer que la fonction g admet 0 comme minimum 3. a. On a vue que l’image de 0 par la fonction f vaut
sur R. 2. Ainsi, les nombres a et b doivent vérifier l’équation
b. En déduire la position de la courbe C1 par rapport à suivante :
la droite ∆ f (0) = e−0 + a×0 + b
2=1+b
La figure 2 ci-dessous représente le logo d’un entreprise. Pour
b=2−1
dessiner ce logo, son créateur s’est servi de la courbe C1 et
de la droite ∆, comme l’indique la figure 3 ci-dessous. Afin b=1
d’estimer les coûts de peinture, il souhaite déterminer l’aire b. Ainsi, l’expression de la fonction f est :
de la partie colorée en gris. f (x) = e−x + a·x + 1 où a ∈ R Ainsi, la fonction
f admet pour dérivée la fonction f 0 dont l’expression
F est :
G f 0 (x) = −e−x + a
Or, on a vu que f 0 (0) = 1. Ainsi, le nombre a doit véri-
C1 fier l’équation :
∆ f 0 (0) = −e−0 + a
1 = −1 + a
a=1+1
a=2
~j 4. D’après les question précédente, on a :
f (x) = e−x + 2x + 1
D ~i E
On en déduit :
La fonction f est décroissante sur −∞ ; −ln2 ; Variation
La fonction f est croissante sur −ln2 ; +∞ ; de f