Stoian Valentine-Maria "Nicolae Balcescu" Prof.

Poenaru Florentina

ANTHOLOGIE FÉMININE : FEMMES D'HIER ET D'AUJOURD'HUI

La femme , par sa nature même , c'est un symbole de vie et de mort. Elle a été créée par
les dieux et a une relation égale avec les hommes, mais dans le passé, son statut dans la société
était inférieur aux attributs des hommes. La vie sociale avant 1910 dévalorise le rôle des femmes.
Elles ne jouissent pas des mêmes droits que les hommes. Dans les pays industriellement
développés, les femmes travaillent dans l'industrie textile, mais leur travail n'est pas payé pour
l'efficacité. Les jeunes femmes, sans aucune opinion personnelle, sont obligées de se marier au
choix de leurs parents et, après le mariage, sont soumises à un partenaire de vie. Après un long
combat contre le sexisme, l'égalité entre les hommes et les femmes est reconnue au début du
XXe siècle. Au fil du temps, la classe féminine a acquis une place solide dans la société et est
devenue le pilier de la société d'aujourd'hui. Bien qu'il y ait encore des voix dans la société qui
discriminent les femmes, le statut et les droits des femmes ont été clairement reflétés et soutenus
par la loi. Mais la violence domestique n'a pas complètement disparu. De nombreuses jeunes
femmes, épouses et grands-mères sont actuellement maltraitées, méprisées, humiliées et victimes
de discrimination émotionnelle et physique. Les femmes se battent pour l'image d'êtres humains
nobles et dignes, capables d'entreprendre et de mener à bien des activités culturellement,
socialement ou politiquement importantes. Elles ont prouvé qu'en plus d'être mères et épouses,
elles sont capables de fonctionner dans tous les domaines d'activité, y compris militaire,
technologique, informatique, recherche, etc. Les femmes n'ont pas besoin de maintenir n'importe
quel type d'image ! Cela me semble être la définition même de la liberté et de l'autonomie
personnelles. Les femmes n'ont pas besoin d'être des mères, des épouses ou des carrières réussies
pour être féminines, respectées ou autonomes. Quels que soient les choix qu'une femme fait, il ne
devrait y avoir aucune répercussion de la part de la famille, des amis ou de la société - car en fin
de compte, cela signifie un monde qui ne discrimine pas les femmes. Lorsqu'une femme lutte
pour maintenir son image, cela signifie qu'elle n'est pas ce qu'elle veut être, cela signifie qu'elle
devient ce que la culture, la famille et la société lui disent d'être. Pour être libre, une femme doit
être elle-même, quels que soient les nouveaux modèles féminins qui prévalent dans la société.
L'image elle-même signifie faux, cela signifie masque, cela signifie projection. Si vous êtes trois
fois plus femme que vous réussissez, ces pensées sont nuisibles et je veux que les femmes
continuent à être ce qu'elles ne sont pas ce qu'on leur dit d'être, pas ce qu'on s'attend à ce qu'il
soit. Le Moyen Âge a mis en lumière de nouveaux aspects de la femme, son rôle social devenant
de plus en plus important. Les droits de tutelle ont été abolis et les femmes n'étaient plus la
propriété du mari, chef de famille. Elles avaient le droit de posséder et de vendre des biens, et en
Angleterre des droits civils (tels que le droit de rédiger des testaments, de participer à des actions
en justice et de les signer) ont été établis pour les femmes nobles. Depuis plus d'un millénaire, les
humains ont consacré leurs énergies à la développement de l'intelligence, des compétences et des
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capacités humaines. Cependant, sous l'influence de l'Orient, les gens sont devenus de plus en
plus fascinés par le monde matériel, y compris le plaisir des couleurs et le sens tactile des objets.
L'amour, une émotion que beaucoup de gens aspiraient, a commencé à s'incarner dans des
œuvres d'art vivantes, chantées par des troubadours et axées sur les femmes et leur beauté. Dans
le

poésie, il était possible de renverser l'idée traditionnelle selon laquelle les femmes étaient
subordonnées aux hommes. En effet, la sexualité féminine a encouragé de nouvelles formes
d'amour naturel pour les personnes de différentes classes sociales qui voyaient dans l'institution
du mariage un moyen de contrôle social. Une fois la polygamie condamnée par l'Église et les
femmes obtenant le droit de consentir au mariage, l'image idéalisée des femmes est née dans la
littérature de chevalerie et de troubadours.Cependant, toutes les femmes n'ont pas bénéficié de
ces privilèges au Moyen Âge. La plupart d'entre elles ont été formées dès leur plus jeune âge
pour devenir épouses et mères. La noblesse développa ses talents et ses compétences, les classes
inférieures furent contraintes d'apprendre à travailler, y compris les métiers d'hommes, et de
nombreux ateliers d'artisanat étaient en grande partie occupés par des femmes.Ceux qui ne
souhaitaient pas une vie de famille avaient la possibilité d'aller dans un monastère, où ils
pouvaient atteindre un statut élevé et exercer une autorité qui n'était pas autorisée à l'extérieur.
Cependant, au Moyen Âge, il n'y avait pas beaucoup de religieuses car devenir religieuse
nécessitait un don important et les filles des classes inférieures n'étaient pas admises. Une épouse
obéissante ou une religieuse dévouée ? Cependant, toutes les femmes n'ont pas choisi l'une de
ces deux options, et une variété de rôles féminins ont émergé, y compris des écrivains, des
artistes, des prostituées et des sorcières. Cependant, les rôles familiaux sont restés les mêmes, les
femmes assumant les rôles d'épouse, de mère et d'administratrice du ménage, tandis que les
hommes restaient impliqués dans les activités communautaires, la politique et la guerre. Les
femmes s'occupaient également des personnes âgées de la famille. En Roumanie, les femmes ont
pu exercer formellement leur droit d'élire leurs propres dirigeants en 1929, aussi, les femmes ont
le droit de voter aux élections locales : la Constitution et la loi électorale de 1938 accordent le
droit de vote aux femmes ayant atteint l'âge de 30 ans, mais pendant la dictature, ce droit n'a pas
été mis en pratique. introduit le suffrage universel pour tous les citoyens adultes, quel que soit
leur sexe. Et en 1948, toute discrimination fondée sur le sexe est interdite. "Les femmes n'ont
rien à voir avec la politique. C'est le travail d'un homme.'' Cela ne vous semble-t-il pas familier ?
Caragiale ne disait-elle pas aussi : « Zoé, sois un homme ! » ? Car si tu es une femme, « patience
et tabac »… Il existe de nombreux mythes liés à ce sujet, mais peu sont confirmés. Les hommes
aux postes de direction ne sont a priori pas meilleurs que les femmes. Il existe des exemples de
dirigeants incompétents dans une catégorie de genre et une autre. Entre la qualité des dirigeants
et les résultats de l'organisation, il existe assurément un lien intrinsèque fort. Il est
scientifiquement prouvé et visible à l'œil nu que là où il y a des leaders efficaces, les entreprises
grandissent aussi, et là où les leaders sont inefficaces, les organisations échouent. Il a également
été constaté que les femmes ne conviennent pas aux postes de direction et qu'il y a un risque à les
promouvoir car : elles n'ont pas la fermeté d'un homme et ne sont pas respectées par l'équipe,
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elles ne prennent pas les décisions assez rapidement, elles ne prendre des risques, elles sont
adaptées à certains emplois et moins adaptées à d'autres, elles sont subjectives et émotionnelles
plutôt qu'objectives et rationnelles, elles sont moins disposées à faire des heures supplémentaires
et à voyager quand elles ont des familles et des enfants, elles peuvent tomber enceintes et quitter
le organisation depuis longtemps..