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CHAPITRE 15 CORRIGES DES SUJETS BAC D & T.I

CORRIGE BACCALAUREAT D 2007

Exercice 1
1. (a) Plaçons dans le plan complexe les points 𝐴𝐴, 𝐵𝐵, 𝐶𝐶 et 𝐷𝐷.

(b) Montrons que les affixes respectives de ces points sont solutions de l’équation
𝑃𝑃(𝑧𝑧) = 0.
C’est-à-dire : 𝑃𝑃(−1 + 𝑖𝑖 ) = 𝑃𝑃(1 − 𝑖𝑖 ) = 𝑃𝑃(3 + 𝑖𝑖 ) = 𝑃𝑃(1 + 3𝑖𝑖 ) = 0.
On a :
𝑃𝑃(−1 + 𝑖𝑖 ) = (−1 + 𝑖𝑖)4 − 4(1 + 𝑖𝑖 )(−1 + 𝑖𝑖)3 + 12𝑖𝑖(−1 + 𝑖𝑖 )2 + 8(1 − 𝑖𝑖 )(−1 + 𝑖𝑖 ) − 20
= −4 − 4(1 + 𝑖𝑖 )(2 + 2𝑖𝑖 ) + 12𝑖𝑖(−2𝑖𝑖 ) + 8(−1 + 𝑖𝑖 + 𝑖𝑖 + 1) − 20
= −4 − 8(1 + 𝑖𝑖 )2 + 24 + 8(2𝑖𝑖) − 20 = −4 − 16𝑖𝑖 + 24 + 16𝑖𝑖 − 20
= 0.
Donc 𝑃𝑃(−1 + 𝑖𝑖 ) = 0.
De manière analogue on vérifiera que 𝑃𝑃(1 − 𝑖𝑖 ) = 𝑃𝑃(3 + 𝑖𝑖 ) = 𝑃𝑃(1 + 3𝑖𝑖 ) = 0.
N.B : On pourra aussi procéder par d’autres méthodes.
(c) Montrons que le quadrilatère 𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴 est un carré.
Nous allons prouver que 𝐴𝐴𝐴𝐴 = 𝐵𝐵𝐵𝐵 = 𝐶𝐶𝐶𝐶 = 𝐶𝐶𝐶𝐶 et �����⃗
𝐴𝐴𝐴𝐴. �����⃗
𝐴𝐴𝐴𝐴 = 0.
D’une part, nous avons : 𝐴𝐴𝐴𝐴 = |𝑧𝑧𝐵𝐵 − 𝑧𝑧𝐴𝐴 | = |2 − 2𝑖𝑖 | = √4 + 4 = 2√2 ;

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𝐴𝐴𝐴𝐴 = |𝑧𝑧𝐷𝐷 − 𝑧𝑧𝐴𝐴 | = |2 + 2𝑖𝑖 | = 2√2 ; 𝐵𝐵𝐵𝐵 = |𝑧𝑧𝐶𝐶 − 𝑧𝑧𝐵𝐵 | = |2 + 2𝑖𝑖 | = 2√2 et
𝐶𝐶𝐶𝐶 = |𝑧𝑧𝐷𝐷 − 𝑧𝑧𝐶𝐶 | = |−2 + 2𝑖𝑖 | = 2√2 .
�����⃗ � 2 � et �����⃗
Ainsi, 𝐴𝐴𝐴𝐴 = 𝐶𝐶𝐶𝐶 = 𝐵𝐵𝐵𝐵 = 𝐴𝐴𝐴𝐴. On a aussi 𝐴𝐴𝐴𝐴 𝐴𝐴𝐴𝐴�22� .
−2

�����⃗ . 𝐴𝐴𝐴𝐴
D’autre part 𝐴𝐴𝐴𝐴 �����⃗ = 2 × 2 + (−2) × 2 = 0. Donc (𝐴𝐴𝐴𝐴) ⊥ (𝐴𝐴𝐴𝐴).
On en déduit que 𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴𝐴 est un losange possédant un angle droit. Par conséquent
c’est un carré.
2. (a) Déterminons l’affixe du point Ω tel que ℎ(Ω) = Ω.
√2 + 2i
√2 √2 √2 √2 2
ℎ ( Ω) = Ω ⟺ z Ω = z + + 𝑖𝑖 ⟺ �1 − � zΩ = + 𝑖𝑖 ⟺ zΩ =
2 Ω 2 2 2 2 − √2
2
√2 + 2𝑖𝑖 �√2 + 2𝑖𝑖�(2 + √2) 2√2 + 2 + 2𝑖𝑖(2 + √2)
= = =
2 − √2 �2 − √2�(2 + √2) 2

Donc zΩ = 1 + √2 + (2 + √2)𝑖𝑖.
(b) Déduisons-en la nature exacte et les éléments caractéristiques de ℎ.
√2 √2
L’écriture complexe de ℎ est de la forme 𝑧𝑧 ′ = 𝑎𝑎𝑎𝑎 + 𝑏𝑏 avec 𝑎𝑎 = et ∈ ℝ∗ et
2 2

𝑎𝑎 ≠ 1. De plus, ℎ(Ω) = Ω. Donc ℎ est l’homothétie de centre Ω et de rapport 𝑘𝑘 =

√2
.
2

(c) Donnons la nature et les éléments caractéristiques de 𝑆𝑆 = ℎ ∘ 𝑟𝑟.

√2 π
Nous avons 𝑆𝑆 = ℎ ∘ 𝑟𝑟 = ℎ �Ω; � ∘ 𝑟𝑟 �Ω; �. Donc 𝑆𝑆 est la similitude de
2 12

√2 𝜋𝜋
centre Ω, de rapport et d’angle de mesure ou 15°.
2 12

Exercice 2
1. Résolvons l’équation différentielle : 𝑦𝑦 ′′ + 𝑦𝑦 ′ ln 2 = 0.
Son équation caractéristique correspondante est 𝑟𝑟² + 𝑟𝑟 ln 2 = 0, soit 𝑟𝑟(𝑟𝑟 + ln 2) = 0.
𝑟𝑟 = 0 ou 𝑟𝑟 = − ln 2. Il vient alors que les solutions 𝑦𝑦 sont telles que
𝑦𝑦(𝑥𝑥 ) = 𝐴𝐴𝑒𝑒 0𝑥𝑥 + 𝐵𝐵𝑒𝑒 𝑥𝑥(− ln 2) = 𝐴𝐴 + 𝐵𝐵𝑒𝑒 (− ln 2)𝑥𝑥 , 𝐴𝐴 ∈ ℝ et 𝐵𝐵 ∈ ℝ.
2. Déterminons la primitive de 𝑢𝑢 qui prend la valeur 1 en 0.
1
Les primitives de 𝑢𝑢 sont les fonctions 𝐹𝐹 définies par : 𝐹𝐹 (𝑡𝑡) = − 𝑒𝑒 −𝑡𝑡 ln 2 + 𝐶𝐶, 𝐶𝐶 ∈ ℝ.
ln 2
1 1
Or 𝐹𝐹 (0) = 1 ⟺ − 𝑒𝑒 0 + 𝐶𝐶 = 1 ⟺ 𝐶𝐶 = 1 + .
ln 2 ln 2
1 1
La primitive de 𝑢𝑢 cherchée est définie par: 𝐹𝐹(𝑡𝑡) = − 𝑒𝑒 −𝑡𝑡 ln 2 + 1 + .
ln 2 ln 2

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1
3. (a) Montrons que (𝑣𝑣𝑛𝑛 ) est une suite géométrique de raison .
2
𝑛𝑛 1 𝑛𝑛 1
On a 𝑉𝑉𝑛𝑛 = ∫𝑛𝑛−1 𝑢𝑢(𝑡𝑡)𝑑𝑑𝑑𝑑 = �− 𝑒𝑒 −𝑡𝑡 ln 2 � =− �𝑒𝑒 −𝑛𝑛 ln 2 − 𝑒𝑒 −(𝑛𝑛−1) ln 2 � =
ln 2 𝑛𝑛−1 ln 2
1 1
− 𝑒𝑒 −𝑛𝑛 ln 2 �1 − 𝑒𝑒 ln 2 � = 𝑒𝑒 −𝑛𝑛 ln 2 .
ln 2 ln 2
1 1 1 𝑛𝑛 1 1 𝑛𝑛
Donc 𝑣𝑣𝑛𝑛 = (𝑒𝑒 − ln 2 )𝑛𝑛 = ∙� ln 2 � = � � .
ln 2 ln 2 𝑒𝑒 ln 2 2
𝑛𝑛 1
1 1 1
En outre 𝑣𝑣𝑛𝑛+1 = (𝑒𝑒 − ln 2 )𝑛𝑛+1 = �𝑒𝑒 − ln 2 � ∙ (𝑒𝑒 − ln 2 )1 = 𝑒𝑒 ln2 [ �𝑒𝑒 − ln 2 )𝑛𝑛 � =
ln 2 ln 2 ln 2
1
𝑣𝑣 .
2 𝑛𝑛
1
Donc (𝑣𝑣𝑛𝑛 ) est une suite géométrique de raison 𝑞𝑞 = .
2

(b) Calculons 𝑆𝑆𝑛𝑛 et déterminons la limite de 𝑆𝑆𝑛𝑛 quand 𝑛𝑛 tend vers +∞.
Nous avons 𝑆𝑆𝑛𝑛 = 𝑣𝑣1 + 𝑣𝑣2 + ⋯ + 𝑣𝑣𝑛𝑛 . C’estla somme de 𝑛𝑛 termes consécutifs d’une
1 1
suite géométrique de raison 𝑞𝑞 = et de 1er terme 𝑣𝑣1 = .
2 2 ln 2
1 𝑛𝑛
1−𝑞𝑞 𝑛𝑛 1 1−� � 1 1 𝑛𝑛
Ainsi, 𝑆𝑆𝑛𝑛 = 𝑉𝑉1 = × 2
1 . 𝑆𝑆𝑛𝑛 = �1 − � � �.
1−𝑞𝑞 2 ln 2 1− ln 2 2
2

• Calcul de la limite de 𝑆𝑆𝑛𝑛 .

1 1 𝑛𝑛 1
Comme 𝑞𝑞 = , on a 0 < 𝑞𝑞 < 1. Alors lim � � = 0. Donc lim 𝑆𝑆𝑛𝑛 =
2 𝑛𝑛→+∞ 2 𝑛𝑛→+∞ ln 2

Problème
Partie A : Étude de la fonction auxiliaire 𝒈𝒈.
1. Étudions les variations de la fonction 𝑔𝑔 et dressons son tableau de variation.
• 𝐷𝐷𝑔𝑔 =]0; +∞[
• Limites : lim 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = −∞ car lim 2 ln 𝑥𝑥 = −∞ . Donc la droite d’équation
+ 𝑥𝑥→0 𝑥𝑥→0+
𝑥𝑥 = 0 est asymptote verticale à (𝐶𝐶𝑔𝑔 ) courbe de 𝑔𝑔.
1 1 2 ln 𝑥𝑥
lim 𝑔𝑔(𝑥𝑥) = lim 𝑥𝑥²( − + × ) = +∞.
𝑥𝑥→+∞ 𝑥𝑥→+∞ 2 2𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥
𝑔𝑔 est une somme de fonctions continues et dérivables sur ]0; +∞[. 𝑔𝑔 est donc
continue et dérivable sur ]0; +∞[.
1 2 2𝑥𝑥²−𝑥𝑥+4
• Dérivée :𝑔𝑔′ (𝑥𝑥 ) = 𝑥𝑥 − + = .
2 𝑥𝑥 2𝑥𝑥

• Sens de variation :le signe de 𝑔𝑔′ (𝑥𝑥 ) est le signe de (2𝑥𝑥 2 − 𝑥𝑥 + 4) (car 2𝑥𝑥 > 0
∀𝑥𝑥 ∈ 𝐷𝐷𝑔𝑔 ).

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Son discriminant Δ = (−1)2 − 4(2)(4) = −31 et −31 < 0. Or 𝑎𝑎 = 2 et 2 > 0.

Ceci entraîne 2𝑥𝑥² − 𝑥𝑥 + 4 > 0, soit 𝑔𝑔′ (𝑥𝑥 ) > 0 ∀𝑥𝑥 ∈]0; +∞[. Donc 𝑔𝑔 est
strictement croissante sur 𝐷𝐷𝑔𝑔 .
• Tableau de variation

2. Montrons que l’équation 𝑔𝑔(𝑥𝑥 ) = 0 admet une unique solution 𝑥𝑥0 = 1.

1 1
On a : 𝑔𝑔(1) = − + 2 ln 1 = 0. Donc 1 est solution de l’équation 𝑔𝑔(𝑥𝑥 ) = 0. De
2 2

plus 𝑔𝑔 est continue et strictement croissante de ]0; +∞[ vers ℝ. Par conséquent
l’équation 𝑔𝑔(𝑥𝑥 ) = 0 admet une solution unique dans l’intervalle ]0; +∞[. Cette
solution ne peut être que 𝑥𝑥0 = 1.

Partie B : Étude de la fonction 𝒇𝒇

1. (a) Étudions les variations de 𝑓𝑓.
• 𝐷𝐷𝑓𝑓 =]0; +∞[ .
1 2 ln 𝑥𝑥
lim+ 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = −∞ et
• Limites : 𝑥𝑥→0 lim 𝑓𝑓(𝑥𝑥) = lim 𝑥𝑥 2 � + × � = + ∞.
𝑥𝑥→+∞ 𝑥𝑥→+∞ 2 𝑥𝑥 𝑥𝑥
Donc la droite d’équation 𝑥𝑥 = 0 est asymptote verticale à (𝐶𝐶𝑓𝑓 ).
• Dérivée et sens de variation :𝑓𝑓 est la somme de deux fonctions continues et
2 𝑥𝑥²+2 𝑥𝑥²+2
dérivables sur ]0; +∞[. 𝑓𝑓 ′ (𝑥𝑥 ) = 𝑥𝑥 + = et > 0 car 𝑥𝑥 ∈]0; +∞[ .
𝑥𝑥 𝑥𝑥 𝑥𝑥

Donc 𝑓𝑓 est strictement croissante sur ]0; +∞[ .

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• Tableau de variation de 𝒇𝒇

(b) Montrons que la courbe (𝐶𝐶𝑓𝑓 ) admet une branche parabolique.

𝑓𝑓(𝑥𝑥 ) 1 2 ln 𝑥𝑥
Nous avons lim = lim � 𝑥𝑥 + � = +∞. Alors la courbe (𝐶𝐶𝑓𝑓 )
𝑥𝑥→+∞ 𝑥𝑥 𝑥𝑥→+∞ 2 𝑥𝑥
admet une branche parabolique de direction (𝑜𝑜𝑜𝑜) lorsque 𝑥𝑥 tend vers +∞.
1
(c) Montrons que la courbe (𝐶𝐶𝑓𝑓 ) coupe la droite (Δ) d’équation cartésienne : 𝑦𝑦 = 𝑥𝑥
2

en un point unique 𝐴𝐴 dont on déterminera les coordonnées.

1 1 1
𝑓𝑓(𝑥𝑥 ) = 𝑥𝑥 ⟺ 𝑥𝑥² − 𝑥𝑥 + 2 ln 𝑥𝑥 = 0 ⟺ 𝑔𝑔(𝑥𝑥 ) = 0. D’après 2) de la partie A,
2 2 2
1
l’équation 𝑔𝑔(𝑥𝑥 ) = 0 admet une solution unique 𝑥𝑥0 = 1. De plus 𝑓𝑓(1) = .
2

1
Donc 𝐴𝐴 �1 � est l’unique point d’intersection de (𝐶𝐶𝑓𝑓 ) et (Δ).
2

(d) Montrons que l’équation 𝑓𝑓 (𝑥𝑥 ) = 0 admet une unique solution 𝛼𝛼.
Puisque 𝑓𝑓 est continue et strictement croissante sur ]0; +∞[, alors 𝑓𝑓 est une
bijection de ]0; +∞[ dans ℝ. Et puisque 0 ∈ ℝ, l’équation 𝑓𝑓 (𝑥𝑥 ) = 0 admet une
unique solution 𝛼𝛼 dans ]0; +∞[ .
(e) Montrons que 0,83 < 𝛼𝛼 < 0,84.
On a : 𝑓𝑓(0,83) ≈ −0,028 ; 𝑓𝑓(0,84) ≈ 0,004 et 𝑓𝑓(0,83) × 𝑓𝑓(0,84) < 0.
Alors 𝛼𝛼 ∈]0,83; 0,84[ .
2. (a) Écrivons une équation cartésienne de la tangente (𝑇𝑇) à la courbe (𝐶𝐶𝑓𝑓 ) au point
d’abscisse 1.
1
Nous avons (𝑇𝑇) ∶ 𝑦𝑦 = 𝑓𝑓 ′ (1)(𝑥𝑥 − 1) + 𝑓𝑓(1), avec 𝑓𝑓 ′ (1) = 3 et 𝑓𝑓 (1) = .
2
5
D’où (𝑇𝑇): 𝑦𝑦 = 3𝑥𝑥 − .
2

(b) Traçons les droites (Δ), (𝑇𝑇) et la courbe (𝐶𝐶𝑓𝑓 ) dans le même repère.

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(𝑇𝑇) 𝐸𝐸 𝐹𝐹
(Δ) 𝐵𝐵 𝐷𝐷

𝑥𝑥 0 1
𝑥𝑥 2 −2
5 1
𝑦𝑦 1 −1 𝑦𝑦 −
2 2

Tableau de quelques valeurs

𝑥𝑥 1 2 2,5 3 4

𝑓𝑓(𝑥𝑥) 0,5 3,39 4,96 6,7 10,77

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3. (a) Calculons l’aire 𝒜𝒜(𝜆𝜆) de Γ.

On a :

𝜆𝜆
1
𝒜𝒜 𝜆𝜆 = � �𝑓𝑓(𝑥𝑥 ) − 𝑥𝑥� 𝑑𝑑𝑑𝑑
( )
1 2
𝜆𝜆
1 1
= � � 𝑥𝑥 2 + 2 ln 𝑥𝑥 − 𝑥𝑥� 𝑑𝑑𝑑𝑑
1 2 2
1 3 1 2 𝜆𝜆
= � 𝑥𝑥 + 2(𝑥𝑥 ln 𝑥𝑥 − 𝑥𝑥 ) − 𝑥𝑥 �
6 4 1

1 1 1 1
= 𝜆𝜆3 − 𝜆𝜆2 + 2𝜆𝜆 ln 𝜆𝜆 − 2𝜆𝜆 − ( − − 2)
6 4 6 4
1 1 25
𝒜𝒜 (𝜆𝜆) = � 𝜆𝜆3 − 𝜆𝜆2 + 2𝜆𝜆 ln 𝜆𝜆 − 2𝜆𝜆 + � 𝑢𝑢. 𝑎𝑎
6 4 12
(b) Déterminons la limite de 𝒜𝒜(𝜆𝜆) quand 𝜆𝜆 tend vers +∞.
1 1 ln 𝜆𝜆 2 25
On a : lim 𝒜𝒜(𝜆𝜆) = lim 𝜆𝜆² � 𝜆𝜆 − + 2 − + � = +∞
𝜆𝜆→+∞ 𝜆𝜆→+∞ 6 4 𝜆𝜆 𝜆𝜆 12𝜆𝜆2
lim 𝒜𝒜(𝜆𝜆) = +∞
𝜆𝜆→+∞

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