Formation Module 2009 ETD 15 - Dessin Technique

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Dessin technique Page: 1 / 23
Dessin technique
A B. REBEYRAT D.MOUTON B. POUSSIN

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SOMMAIRE
1 Géométrie descriptive succinte

Principes
Le point
La droite
Le plan
Exemples
2 Dessin d’architecture, de bâtiment et de génie civil

Représentation en plan : règles générales sur les formats, pliages, éléments
graphiques et cartouches
Règles générales sur la cotation
Dessins de coffrage : règles générales de représentations
3 Applications sur plans et rappels technologiques

Géométrie descriptive
1.1 Principes
La géométrie descriptive se propose de donner, dans les deux dimensions de la feuille de papier, une
représentation opératoire des objets tridimensionnels : cette représentation bi-dimensionnelle doit décrire
suffisamment complètement l objet afin de pouvoir servir de support à des opérations sur celui-ci.
1.1.1 La projection orthogonale :
On appelle projection orthogonale d un point (P) sur un plan le pied (p) de la perpendiculaire (Pp)
abaissée de ce point sur le plan.
Remarque : Tous les points appartenant à une même droite perpendiculaire au plan de projection se
projettent en un même point. La projection orthogonale sur un seul plan n est donc pas suffisante pour
déterminer la position du point dans l espace.
Plus généralement, la projection orthogonale d un solide se construit en recherchant la projection de ses points
caractéristiques.
La projection orthogonale sur un plan des objets tridimensionnels en donne une représentation
bidimensionnelle. Cependant, une seule projection orthogonale n est pas suffisante pour caractériser
entièrement un objet dans l espace, car dans ce passage des 3 aux 2 dimensions, de l information est
nécessairement perdue :
Afin d éviter cette perte d information, la géométrie descriptive a recours à deux projections orthogonales
distinctes mais coïncidentes.
1.1.2 Les deux plans de projections :
Afin de représenter les objets tridimensionnels dans les deux dimensions de la feuille de papier, on
commence donc par se donner dans l espace deux plans de projections perpendiculaires. Ces deux plans se
coupent suivant une droite (y’y) appelée ligne de terre.
Le premier plan (H) est appelé plan horizontal de projection.
Le second plan (F) est appelé plan frontal de projection.
Ces deux plans découpent l'espace en quatre régions, ou dièdres, numérotés comme ci dessous:
1.1.3 Les quatre dièdres :

1.1.4 Rabattement du plan frontal :
Quelle que soit sa position dans l espace, un objet tridimensionnel (V) à représenter se projette
orthogonalement sur le plan horizontal en une figure bidimensionnelle (v) et sur le plan frontal en une autre
figure bidimensionnelle (v1).
(v) est appelée projection horizontale de (V)
(v 1 ) est appelée projection frontale de (V)
Pour obtenir les deux projections bidimensionnelles sur un même plan (la feuille de papier), et les faire ainsi
coïncider, on fait tourner le plan frontal (F) en choisissant comme axe de rotation la ligne de terre (y’y) de façon
a le rabattre sur le plan horizontal (H). Le projection frontale (v1 ) se trouve alors en (v ).
1.1.5 L’épure :
Les projections horizontale et frontale se trouvant donc sur un même plan (toujours la feuille de papier),
nous avons ainsi réalisé une épure de l objet tridimensionnel à représenter. Pour faciliter la lecture d une épure
et reconstituer mentalement la forme de l objet et sa position dans l espace, on utilise des conventions de
représentation :
Les lignes vues sont dessinées en trait plein.
Les lignes cachées en points ronds ou ponctués.
Les lignes de rappel et les lignes de constructions en trait rouge (ou noir) fin.
1.2 Le point :
1.2.1 Représentation du point :
Soit un point (P) de l espace. Ce point (P) se projette horizontalement sur le plan (H) en (p) et
frontalement sur le plan (F) en (p1). Le plan (pPp1) ainsi défini est perpendiculaire aux deux plans de projection
(H) et (F), et donc à la ligne de terre en (α).
Les points (Ppαp1) définissent un rectangle.
Les droites (pα) et (p1α) sont perpendiculaires à la ligne de terre (y’y).
Ainsi, lorsque le plan frontal est amené en coïncidence avec le plan horizontal par
rotation autour de (y’y), le point (p1) décrit un quart de cercle de centre (α).
Ce point (p1) vient donc se placer en (p ) dans le prolongement de (pα). La droite
(pp ) est appelée ligne de rappel du point (P). Cette droite est donc nécessairement
perpendiculaire à la ligne de terre (y’y).
(p) est la projection horizontale de (P).

(p ) est la projection frontale de (P).
1.2.2 Epure du point. Cote et éloignement :
Un point de l espace est donc figuré sur une épure par ses deux projections orthogonales sur les deux
plans de projections. Ces deux projections sont situées sur une même perpendiculaire à la ligne de terre
appelée ligne de rappel.
On appelle éloignement un point la distance de ce point au plan frontal de projection.

Eloignement de (P) = (Pp1) = (pa).
éloignement d un point est considéré comme positif si ce point est situé en avant du plan frontal (1er et 4ème
dièdre), il est négatif si ce point est situé en arrière du plan frontal (2ème et 3ème dièdre).
On appelle cote un point la distance de ce point au plan horizontal de projection.

Cote (P) = (Pp) = (p a).
La cote d un point est considérée comme positive si ce point est situé au-dessus du plan horizontal (1er et
2ème dièdre), elle est négative si le point est situé au-dessous du plan horizontal (3ème et 4ème dièdre).
épure ci-dessous montre que le point (Q), se projetant en frontalement en (q ) et horizontalement en (q), appartient
au 3éme dièdre. Son éloignement et sa cote sont négatifs; le point (Q) est donc situé en arrière du plan frontal et au-
dessous du plan horizontal.
épure ci-dessous montre que le point (P), se projetant frontalement en (p ) et horizontalement en (p), appartient au
1er dièdre. Son éloignement et sa cote sont positifs; le point (P) est donc situé en avant du plan frontal et au-dessus
du plan horizontal.
1.2.3 Les plans bissecteurs :

Par convention, on subdivise les 4 dièdres par deux plans médians appelés bissecteurs.
Ces plans bissecteurs sont perpendiculaires et forment un angle de 45° avec les plans de projections. Les
points appartenant aux plans bissecteurs ont donc pour caractéristique d être à égale distance du plan de
projection horizontal et du plan de projection vertical. Les cotes et éloignements de tels points sont donc égaux
en valeur absolue.
Soit (P) un point du premier bissecteur (B1). (P) est a égale distance du plan frontal et du plan horizontal. Il
appartient au 1er ou au 3ème dièdre. Cote et éloignement sont donc de même signe.
éloignement (P) = Cote (P)
Soit (Q) un point du second bissecteur (B2).

(Q) est a égale distance du plan frontal et du plan horizontal. Il appartient au 2ème
ou au 4ème dièdre.
Cote et éloignement sont par conséquent de signe opposé.
éloignement (Q) = - Cote (Q)
8.3.1 Construction de la projection d’un cercle situé sur un plan de bout
La projection d'un cercle situé dans un plan de bout peut se faire en représentant d'abord le cercle
horizontal de même centre et de même diamètre. Il suffit d'appliquer ensuite à ce cercle une rotation autour de
son diamètre de bout (AB).
La projection horizontale du cercle est une ellipse ayant pour grand axe le diamètre de
bout (ab) inchangé lors de la rotation, et pour petit axe le diamètre de front (c1d1).
Tout point M1 de l'ellipse peut être trouvé par rotation d'un point M du cercle.
8.3.2 Construction d’une intersection cylindre / cylindre

Dessin d’architecture, de bâtiment et de génie civil
2 .1 Formats
Les dimensions des formats de base sont des multiples de 210mm dans un sens et 297 mm dans
autre. Les 5 formats de base sont donnés (fig1) avec leurs dimensions.
Les formats allongés sont à utiliser lorsque les formats de base ne conviennent pas. Ceux conseillés
par la NF P 02-006 figurent ci-dessous (tableau 1).Ainsi, à partir du format A2 (420 x 594), il existe un format
allongé A2x3 (594x1261).
2.2 Pliage
On plie en accordéon d abord suivant des plis distant de 210mm, ensuite suivant des plis distants de
297mm. Le cartouche est apparent sur le dessus plié qui est de format A4
2. 3 Eléments graphique
En traits continu fort, le cadre du dessin délimite la zone d exécution du dessin en ménageant une
marge minimale de 10mm par rapport au format choisi.
Des repères de coupe, tracés aux quatre coins du dessin dans la marge, facilitent la coupe des reproductions.
Pour faciliter la disposition du dessin en reproduction, des repères de centrage peuvent être placés à
une des extrémités de chaque axe de symétrie du format. Ils sont tracés du bord du format jusqu à 5mm à
intérieur du cadre.
Le cadre du cartouche (fig 4) est placé en vue du pliage, en bas à droite, dans sa position de lecture (fig
1) : longueur du cartouche suivant la largeur du format s il est pair(A0 A2 A4), ou suivant la longueur du format
il est impair (A1 A3).
2.4 Composition du cartouche (fig 4)
Il comporte deux types de rubriques

Les rubriques d identification
-La désignation et les coordonnées du Maître d ouvrage et des autres intervenants
-L objet du dessin, le type, la désignation du dessin, du corps d état et du lot.
Les rubriques d exploitation

-on indique en première ligne la date d établissement du dessin original et les modifications éventuelle :
indice, date, nature (rubrique obligatoire), origine et visa, localisation(par NUAGE)
-Elles font aussi état des informations nécessaires et suffisantes pour l exploitation aisée d un dossier.
2.5 Traits
On choisira trois dimensions : fin(Lf), fort (LF) et renforcé(LR) dans la gamme (exprimée en mm) :
0,18 0,25 0,35 0,5 0,7 1 1,4 2
En respectant le rapport : LF / Lf > 2.

La nature des traits est expliquée tableau 2 et figure 5.
2.6 Vues NF E04-520
La désignation de la vue est placée en position normale de lecture du dessin, à la proximité de la flèche
en trait fort, en indiquant la direction et le sens d observation sur la vue principale.
Une vue partielle correspond à une incomplète remplaçant la vue entière lorsque la représentation de
celle-ci n est pas indispensable à la compréhension du dessin. Elle est limitée par un trait continu fin à main
levée ou droit avec ZIG-ZAG .
2.7 Coupes et sections
Elles sont mises en évidence en limitant les contours des sections par des traits renforcés, en utilisant
des hachures, des trames, des ombrages, des pochages.
Les sections de faible épaisseur sont entièrement noircies. On prévoira une séparation (espace blanc
ou trait de lumière) entre des sections contigues.
Repérages des coupes et des sections
La position du plan de coupe est indiquée par un trait mixte fin, fort aux extrémités et est repéré. Dans
les coupes brisée à plans parallèles le changement de plan de coupe est matérialisé par un trait mixte fin et, le
cas échéant par un décalage d alignement des hachures.
2 .8 Trous et trémies
Un trou dans une partie vue se représente, se représente au moyen d un pochage sur le bord intérieur du
trou. la représentation de trémies se trouvant en avant ou au dessus du plan de coupe est nécessaire, on les
dessine en trait mixte fin.
2.10 Règles générales de cotation
épaisseur des traits à employer est définies page 15.

Dans la mesure du possible, les lignes d attache et lignes de cote ne doivent pas se couper, ni couper d autres
lignes du dessin.
Les lignes d attache (fig1) limitent la cote et sont tracées perpendiculairement à l élément à coter, sauf
nécessité(fig2).
Les lignes de cote sont tracées même s il s agit d une vue interrompue.
Pour un jeu de dessin donné on choisi un type d extrémité 4 sont normalisées : Flèche, barre oblique,
point et cercle d origine commune.
2.11 Inscription, disposition
La disposition des cotes est choisie pour faire ressortir clairement l objectif du dessin et pour
interpréter facilement. Les valeurs sont inscrites en caractères de dimensions suffisantes ( DTU 06-003) pour
assurer une bonne lisibilité du dessin et une bonne reproduction.
Différentes cotations sont possibles
en série
en parallèle
à côtes cumulées
2.12 Cotation des niveaux
Un niveau est une cotation verticale cumulée comportant le plus souvent le repère géodésique
altitude du nivellement général de la France (NGF) accompagné d un niveau de référence du projet.
2.13 Lecture d’un plan de coffrage
Le repérage conventionnel est le suivant (à se faire confirmer sur chaque opération)

poutres : 3 0,30 x 0,40 ß hauteur totale de la poutre comprise dalle
Linteaux : L1 0,15 x 0,45
Poteaux : P1
Semelles : S1, S2
Longrines : L1, L2
Massifs : M1, M2
3 Applications sur plans et rappels technologique
3.1 L élément le plus important sur votre plan est
votre auto vérification sur un tirage papier

Si vous-même ne comprenez pas ce qui est dessiné personne ne le pourra.
3 .2 Lisibilité du plan et informations
- Indiquer les documents de références
-Implanter tableau d épaisseur de calorifuge
- Rappeler les nomenclatures associées au plan
- Indiquer les plans connexes
- Implanter le cartouche des symboles de représentation
- Position des textes

Utiliser des lignes de rappel
Aligner les textes
Garder la même police sur toute l affaire
- Informations présentes dans le texte

Débit
Dimension
Nature du fluide
Réseau
Dans la mesure du possible reporter l information de réseau en bordure de plan
- Faire des coupures pour les textes
- Faire des coupures ou utiliser les traits cachés pour les éléments superposés
- Indiquer le sens des fluides
- Faire des rappels de vues ou section partielle (ex : trémies ) ou créer un carnet de détail
- Soigner le contraste vis-à-vis du fond de plan
- Nettoyer les fonds de plan
auto vérification
3.3 Réservations
- Faire attention à l échelle demandée par le GO
- Eviter les fourreaux au niveau des appuis dans les poutres
- Tracer des chaînes de cote alignées

3.4 Gaines de ventilation
- Attention aux piquages

o Diamètres trop proche piqués l un sur l autre ( plus de génératrice )
o Eviter 2 piquages circulaires sur une gaine circulaire l un en face de l autre
o Circulaire piqué sur du rectangulaire de même hauteur
- Toutes les pièces de forme hors standard doivent être cotées
- Les gaines sont cotées par rapport à un élément GO ou une file
- Indiquer les montés et descentes par une double flèche
- Calepiner les bouches avant de tracer les réseaux
- Représenter les trappes de nettoyage
- Penser à l accessibilté des trappes de nettoyage
- Penser à l accessibilté des registres d équilibrage
- Attention à l aéraulique
- Raisonner en barre de 3 ou 6 ml
- Représenter le calorifuge / flocage
- Représenter le supportage
3.5 Tuyauteries
- Attention aux piquages

o Diamètres trop proche piqués l un sur l autre ( plus de génératrice )
o Eviter 2 piquages circulaires sur une tuyauterie l un en face de l autre
o Circulaire piqué sur du rectangulaire de même hauteur
- Les nappes sont cotées par rapport à un élément GO ou une file
- Indiquer les montés et descentes en trait fort
- Indiquer les piquages au dessus et en dessous en trait fort ( accentuer dp2d)
- Calepiner les terminaux avant de tracer les réseaux
- Penser à l accessibilté des vannes d équilibrage
- Attention à l hydraulique
- Limiter le nombre de coudes au maximun
- Utiliser les coupures pour les tubes superposés
- Attention aux allèges pour les radiateurs

3.6 Coupes
- Indiquer le repère de coupe
- Indiquer le numéro de page, échelle, affaire, zone, étage
- Mettre les textes en périphérie de la coupe
- Aligner les texte
- De préférences dessiner au 20 ème en A3
- Dessiner les éléments en arrière plan de la section qui peuvent être important à la compréhension (
définir une profondeur de champ)
- Dessiner le supportage !!
- Représenter le calorifuge
- Coter par rapport au sol fini
- Coter par rapport aux files
Cloison légère
- Traversée de cloison rigide
- Eviter les Montants de cloison (portes, angle)
Clapets coupe-feu
- Position au mécanisme
- Trappe d accès
Structure
- Corbeau
- Joint de dilatation
ANNEXE :
VOCABULAIRE TECHNIQUE
VERIFICATION DES PLANS
NOTA : Cette fiche constitue un aide-mémoire listant de façon exhaustive les points devant être examinés lors de la
vérification d'un plan. Elle est distribuée à chaque dessinateur et à chaque vérificateur.
1 - VERIFICATION GENERALE
1.1 - Si nouveau plan : insérer le gabarit au départ,

1.2. - Si modification d un plan existant ( NE PAS OUBLIER DE CHANGER D INDICE ) et de mettre l ancien dans les
plans périmés. Rayer l ancien plan papier.
1.3 - Conformité du cartouche : titre, numérotation, dates, indices.
1.4 - Présence des noms et visas (visas sur version papier MASTER du BE uniquement) des
émetteur/vérificateur/approbateur. Le vérificateur est différent l émetteur.
1.5 - Mise en valeur des modifications ("nuage" associé au dernier indice, libellés, nuages des précédents indices
effacés) pour que les destinataires voient facilement les parties mises à jour.
1.6. - Présence des numéro et indice des documents de références (fond de plan, schémas de principe, descriptif
client (CCTP), plan guide ...) pour retrouver les documents qui doivent être mis à jour lorsqu une de ces
données de base évolue.
1.7. - Prise en compte des modifications demandées (internes, Client) et cartouche explicite : « mise à jour suite à
» pour assurer la traçabilité de la prise en compte des modifications demandées.
1.8. - Présence de légendes, symboles et nomenclatures pour éviter de répéter du texte, de surcharger le plan et d en
faciliter la mise à jour.
1.9. - Respect de la charte graphique (bonne couleur, bon calque )
2 - REPRESENTATION / IDENTIFICATION
2.1 - Clarté de représentation / compréhension (vues, indications coupes ...) / identification des zones, files, Nord.
2.2 - Conformité des repérages / désignation des matériels (tous les équipements, sondes, ) pour bien faire le lien
avec les approvisionnements et l étiquetage.
2.3 - Indication de la nature des matériaux pour distinguer les circuits.
2.4 - Indication des sens de fluides, des réseaux aller et retour (eau), ou soufflage et reprise (air).
2.5 - Aérodynamisme des réseaux : prévoir des aubes dans les coudes rectangulaires quand a/b >2
2.6 - Raccordement hydraulique des batteries de CTA : A contre-courant.
2.7 - Présence de mesure de pression en amont et aval des pompes et circulateurs (avec robinet d isolement)
3 - DIMENSIONNEMENT / COTATION
3.1 - Conformité aux schémas de principe.

3.2 - Présence d organes de réglages et d équilibrages.
Modules aérauliques autorégulants : MR (Æ 315 maxi) et RN ensuite, avec 1 RN pour 4 à 5 piquages.
Position des registres à iris le plus loin possible des bouches de soufflage (bruit régénéré).
3.3 - Présence des valeurs et unités (débit, ...).
3.4 - Dimensions et position des percements et réservations par rapport aux files. (Plan de réservation.)
3.5 - Indication des dimensions et sections des réseaux (gaines et tuyauteries), conformité :
- par rapport aux procédures de dimensionnement et notes de calcul associées.
- par rapport aux spécifications client (CCTP).
3.6 - Prise en compte synthèse : Indication des cotes à respecter impérativement
Cotation des installations par rapport aux éléments de structure réellement existants lors de la mise en oeuvre.
Cotation par rapport aux murs, cloisons
3.7 - Cotation en élévation (AI, CL par rapport au sol du local existant lors du montage, cote NGF).
3.8- Indication des pentes (évacuations, condensats) et de leur sens.
3.9 - Sélection et écartement des supports (cf ETD.02.36 et ETD.02.37)
3.10 - Entre plans voisins :
- Continuité/limites de représentation.
- Similitude de représentation.
- Indication des n° de plans adjacents.
3.11 Présence des notes de calcul (si nécessaire) de :
- Supportages spéciaux.
- Lyres de dilatation sur tuyauteries.
3.12 - Longueur des gaines souples maxi 1,5 à 2 m
4 M ONTAGE / M AINTENANCE
4.1 - Accessibilité des organes de réglages et des sondes.

4.2 - Présence de zones d accès et dégagement pour maintenance (sortir 1 batterie de CTA, 1 thermostat antigel).
4.3 - Distance minimale entre gaines et positionnement par rapport aux murs ou structure porteuse permettant :
- Un supportage simple.
- L assemblage des cadres (gaines) et le soudage en position (tuyauteries).
- La pose du calorifuge. ETD.06.01/D

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A B. REBEYRAT D.MOUTON B. POUSSIN

1 Géométrie descriptive succinte

2 Dessin d’architecture, de bâtiment et de génie civil

3 Applications sur plans et rappels technologiques

1.1.1 La projection orthogonale :

1.1.2 Les deux plans de projections :

1.1.3 Les quatre dièdres :

1.1.4 Rabattement du plan frontal :

1.2.1 Représentation du point :

(p) est la projection horizontale de (P).

1.2.2 Epure du point. Cote et éloignement :

On appelle éloignement un point la distance de ce point au plan frontal de projection.

On appelle cote un point la distance de ce point au plan horizontal de projection.

1.2.3 Les plans bissecteurs :

Soit (Q) un point du second bissecteur (B2).

8.3.1 Construction de la projection d’un cercle situé sur un plan de bout

8.3.2 Construction d’une intersection cylindre / cylindre

Dessin d’architecture, de bâtiment et de génie civil

2.4 Composition du cartouche (fig 4)

Il comporte deux types de rubriques

Les rubriques d exploitation

0,18 0,25 0,35 0,5 0,7 1 1,4 2

En respectant le rapport : LF / Lf > 2.

2.6 Vues NF E04-520

2.7 Coupes et sections

Repérages des coupes et des sections

2.10 Règles générales de cotation

épaisseur des traits à employer est définies page 15.

2.11 Inscription, disposition

2.12 Cotation des niveaux

2.13 Lecture d’un plan de coffrage

Le repérage conventionnel est le suivant (à se faire confirmer sur chaque opération)

3 Applications sur plans et rappels technologique

3.1 L élément le plus important sur votre plan est

votre auto vérification sur un tirage papier

3 .2 Lisibilité du plan et informations

- Indiquer les documents de références

-Implanter tableau d épaisseur de calorifuge

- Rappeler les nomenclatures associées au plan

- Indiquer les plans connexes

- Implanter le cartouche des symboles de représentation

- Position des textes

- Informations présentes dans le texte

- Faire des coupures pour les textes

- Indiquer le sens des fluides

- Soigner le contraste vis-à-vis du fond de plan

- Nettoyer les fonds de plan

- Faire attention à l échelle demandée par le GO

- Eviter les fourreaux au niveau des appuis dans les poutres

- Tracer des chaînes de cote alignées

3.4 Gaines de ventilation

- Attention aux piquages

- Toutes les pièces de forme hors standard doivent être cotées

- Les gaines sont cotées par rapport à un élément GO ou une file

- Indiquer les montés et descentes par une double flèche

- Calepiner les bouches avant de tracer les réseaux

- Représenter les trappes de nettoyage

- Penser à l accessibilté des trappes de nettoyage

- Penser à l accessibilté des registres d équilibrage

- Représenter le calorifuge / flocage

- Attention aux piquages

- Les nappes sont cotées par rapport à un élément GO ou une file