Collection SONON, les Mathématiques en Terminales C, D et E
SA n°1 : Configurations de l’espace
Séquence n°1 : Calcul vectoriel
Activité 1
1.Plaçons les points I et D
A M
C C
I D
B
b)Démontrons que les points B, D et M sont
alignés.
On a :
 ⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
donc I=bar{(A,1) ;(B,2)}
 ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗ , donc D=bar{(C,1) ;(I,3)}
Or I=bar{(A,1) ;(B,2)}, d’après le théorème
des barycentres partiels, on a :
D=bar{(A,1) ;(B,2) ; (C,1)}. Comme
M= bar{(A,1) ;(C,1)}, alors
D= bar{(M,2) ;(B,2)}.
On conclut que les points B, D et M sont
alignés.
2)Démontrons que les droites (AJ), (BK) et
(CL) sont concourantes en un point
On a :
 ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc L= bar{(A,2) ;(B,1)},(1)
 ⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc J= bar{(C,3) ;(B,1)}, (2)
 ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc K= bar{(C,3) ;(A,2)}, (3)
Soit G = bar{(A,2) ;(B,1), (C,3)}. (4)
(1) et (4) donnent : G=bar{(L,3), (C,3)}, on
en déduit que G∈ (CL). (a)
(2) et (4) donnent : G=bar{(J,4), (A,2)}, on en
déduit que G∈ (AJ). (b)
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(3) et (4) donnent : G=bar{(B,1), (K,5)}, on
en déduit que G∈ (BK). (c)
De (a), (b) et (c), on conclut que les droites
(AJ), (BK) et (CL) sont concourantes au point
G où G= bar{(A,2) ;(B,1), (C,3)}.
3)Déterminons les coordonnées de ce point
dans la base (⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗ ).
Dans cette base, on a : A(0 ;0), B(1 ;0) ; C(0 ;
1). Soit G( .
On a :, .
𝟏 𝟏
Soit G(𝟔 𝟐
Activité 2
1.a)Traduisons les données en termes de
barycentre
Avec les données de l’activité, on déduit que :
G= bar{(A,1) ;(B,1) ; (C,1)}.
I= bar{(A,1) ;(B,1)} ; J=bar{(B,1) ; (C,1)}.
K=bar{(C,1) ;(D,3)}.
H= bar{(A,1) ;(B,1) ; (C,1) ;(D,3)}.
P= bar{(D,3) ;(A,1)} .
b) Montrons que le point H appartient à la
droite (IK).
De la question précédente, on déduit que :
H=bar{(I,2) ;(K,4)}, d’où H∈ (IK).
c)Montrons que les droites (IK), (JP) et
(DG) sont concourantes en un point à
préciser.
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De 1.a), on déduit que : 1)Déterminons et construisons l’ensemble

des points M du plan tels que :
 H=bar{(G,3) ;(D,3)}, donc H∈ (DG), (1)
 H=bar{(J,2) ;(P,4)}, donc H∈ (JP), (2) a)||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=9
On sait de plus que H∈ (IK), (3).
De (1), (2) et (3), on conclut que les droites G étant le centre de gravité du triangle ABC,
(IK), (JP) et (DG) sont concourantes en H. alors on a : G= bar{(A,1) ;(B,1) ; (C,1)}.
Ainsi, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; soit || ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||
2.a)Coordonnées des points G, I, J,K et P
=≫MG=3, l’ensemble cherché est le cercle
On a : de centre G et de rayon MG. (construire)

 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗ donc ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ b)||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || 9
𝟏 𝟏
soit G(𝟑 𝟎
𝟑 On trouve MG ≤ 3 puis on déduit que
l’ensemble recherché est le disque de centre G
 ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ =⃗ , donc ⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ . Il en résulte
et de rayon MG.(construire)
que 𝟏
I(𝟐 𝟎 𝟎 2)Déterminons l’ensemble des points M de
l’espace tels que :
⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗ =⃗ , donc ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ On en déduit que
a)||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=12
⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , d’où J(
On trouve MG=4 ; l’ensemble cherché donc
⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗ , donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ est la sphère de centre G et de rayon r=MG=4.

(construire)
donc 𝟏 𝟑
K(0 ;𝟒 𝟒
b)||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || 12.
 ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗ donc ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , soit
On trouve MG≤4. L’ensemble cherché est la
𝟑
P(0 ;0 ;𝟒) boule de centre G et de rayon r=MG.

b)Déterminons les coordonnées du point H. 3)Déterminons la ligne de niveau 38 de

l’application f
On a :
f(M)= -2AM2+BM2+CM2

La somme des coefficients est nulle, donc

f(M)=f(A) 2⃗⃗⃗⃗⃗⃗ φ(A) avec
θ(M)= ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ Nous trouvons ainsi :
{
f(M)=AB²+AC² ⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ )
Soit f(M)=98 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ ).
𝟏 𝟏 𝟏
Soit H(𝟔 Ainsi, f(M)=38 ⇔⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ )=30.
𝟔 𝟐

Activité 4

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AG= AP. On trouve d’après la propriété de

M
Pythagore que AP=3√ ce qui permet de dire
M que AG=2√ .

M On a BG=√ . On trouve BG=3.

A H (D) ⃗⃗⃗⃗⃗
AB+AC ⃗⃗⃗⃗⃗
b) Déterminons le lieu géométrique de M
(∆) quand g(M)=65

Soit H projeté orthogonal de M sur la droite
(D) passant par A et dirigée par le vecteur
⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ On a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . Donc
⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ Or (HM) (D)⟹
⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ =0. Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗
⟹AH=
||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ||
g(M)= AM2+BM2+CM2
La somme des coefficients étant non nulle,
alors g(M)= 3MG²+AG²+BG²+CG²
=3MG²+38.
Ainsi, g(M)=65⇔MG²=9⇔MG=3.
L’ensemble cherché est le cercle de centre G
et de rayon r=3 (dans le plan) et la sphère de
centre G et de rayon r=3,(dans l’espace).

On a : 5)Déterminons l’ensemble des points M de

||⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ ||
AB²+AC²+2⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ =AB²+AC²+ l’espace tels que :
2AB×AC×cos(⃗⃗⃗⃗⃗ ;⃗⃗⃗⃗⃗ )
a) ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||
=49+49+2×49×( = 49.
Soit P=bar{(A,3) ;(B,1)} et
Ainsi, on a : AH= Q=bar{(C,2) ;(B, )}. On a : ||4⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||
Nous pouvons conclure que l’ensemble ⟹ .
cherché est la droite (∆) passant par H et
L’ensemble cherché est le cercle de
orthogonale à la droite (D) passant par A et
diamètre [IJ] où I=bar{(Q,1) ;(P,4)} et
dirigée par ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ avec AH= J=bar{(Q,1) ;(P, 4)}.
Dans l’espace, cet ensemble est le plan
passant par H et orthogonal à la droite (D) b) ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||.
passant par A et dirigée par ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ avec
On trouve .
AH=
En conclusion, l’ensemble cherché est le
NB : Dans le cas où un quelconque angle disque de diamètre [IJ] (dans le plan) et la
n’est donné, on ne peut pas calculer AH. Dans sphère de diamètre [IJ] (dans l’espace) où
ces conditions, il faut préciser la distance I=bar{(Q,1) ;(P,4)} et J=bar{(Q,1) ;(P, 4)}.
algébrique en fonction d’une autre
distance algébrique. Activité 5
Notez que vous pourrez dans les exercices
typiques, utiliser le théorème d’Alkashi 1)Démontrons que
énoncé en Seconde, pour pouvoir s’en M∈(Γ)⟺MI²+MJ²+MK²+ML²=2k².
sortir !!!
M∈(Γ)⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗E⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗E k² .
4.a)Calculons AG et BG.

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On a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗E⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ME²+MF² EF²). Comme 1.a) Déterminons l’ensemble R des réels a

pour lesquels Ga existe.
I est milieu de [EF], alors ⃗⃗⃗⃗⃗⃗E⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2MI²+IE²+IF² EF²). existe si ie si on a :
Soit ⃗⃗⃗⃗⃗⃗E⃗⃗⃗⃗⃗⃗ MI² On trouve de meme Soit R=IR\{ .

que :⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =MJ²
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗E ML²
Ainsi, M∈(Γ)⟺MI²+MJ²+MK²+ML²
D’où MI²+MJ²+MK²+ML²= .
; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ MK² ; b)Déterminons l’ensemble des points Ga
. lorsque a décrit R.
=
Si décrit R, on a :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗

2.Justification ⟹⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗

O est le centre de EFGH, donc O est ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ est ainsi écrit comme une combinaison
l’isobarycentre des points E, F, G et H. Cela
linéaire des vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗ . Ceci
nous amène à écrire que :
indique que les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗E+⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗
sont coplanaires. Donc les points
⟹⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗E +⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗ =⃗
appartiennent au plan (ABC) défini par les
⟹⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗ (Car ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗E=⃗ et points A, B, C et D.
⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗ =⃗ .
Conclusion : l’ensemble des points
D’où O est l’isobarycentre des points I, J, K lorsque décrit R est le plan (ABC).
et L.
2.) la nature et les éléments caractéristiques
3)Démontrons que M ∈ (Γ)⟺ MO² . de fa.

On a : M∈(Γ)⟺MI²+MJ²+MK²+ML²=2k² . fa(M)=M’⇔⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =a⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +a⃗⃗⃗⃗⃗

Posons :f(M)= MI²+MJ²+MK²+ML² ⟹⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +a⃗⃗⃗⃗⃗⃗

 Si a= , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗
On a : O=bar{(I,1) ;(J,1) ;(K,1) ;(L,1)}, donc
Posons : ⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗
f(M)=4MO²+OI²+OJ²+OK²+OL²
⃗ est fixe, on conclut que est la
f(M)=4MO²+ translation de vecteur de translation
𝒌 ⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ .
Ainsi, f(M)=2 ⇔ MO² = 𝟒
 Si a=0, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . Soit I milieu de
d’où le résultat. [BC]. On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
4)Caractérisons (Γ). I est fixe, nous pouvons conclure que est la
symétrie de centre I.
M ∈ (Γ)⟺ MO² , d’où (Γ) est le cercle de  Si a≠{0 ; , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +a⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Soit P=bar{(B,1) ;(C,1) ;(D,a)}.
centre O et de rayon r= .
On a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ a) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
Activité 6 f est une transformation du plan.

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3°)Détermine l’ensemble des points M de 1)Déterminons l’ensemble (E)

l’espace tels que
Soit G=bar{(A, ;(B,8).(C,2)}
G existe ⇔ ie . Soit
a)(E1) : ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=4c²
(E)=IR\{
Cette équation implique :
||4⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=4c²⟹ c², d’où (E est la
2)Déterminons l’ensemble des barycentres
sphère de centre .
obtenus lorsque x décrit (E).
b)(E2) :||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||
Si x décrit (E), alors on a : x⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =
=||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ⃗⃗⃗ ⟹ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
On trouve , (E2) est la sphère de
On en déduit que G appartient au plan (ABC).
centre et de rayon r = . L’ensemble des barycentres obtenus lorsque x
c) (Γ) des points M de l’espace tels que : ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ - décrit (E) est le plan (ABC).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ || =||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ ||
3.a)Déterminons puis construisons G
⟹||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||
Soit K=bar{(B,1) ;(C,1) ;(D, } et
Pour x= 2, ⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
P=bar{(B,1) ;(C,1) ;(D, }. On a :
; l’ensemble cherché est la sphère de Dans le repère (A, ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , on a G(1 ; .
diamètre [NJ] où N= bar{(K,1) ;(P,3) } et J= (construire G)
bar{(K,1) ;(P, 3) }.
b)Déterminons la surface de niveau k2 de
d) (E3) des points M de l’espace tels que : l’application f
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗
f(M)= 3MA2 2MB2 MC2.
La somme des coefficients étant nulle, alors :
On trouve ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =
f(M)=f(A)+θ(A) avec θ(M)= ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Soit H le projeté orthogonal de M sur la droite
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
(AB).On a : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ Comme
On trouve f(M)= k² 2⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ( ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ).
(MH) (AB), alors ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =
Ainsi, f(M)=k² ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ( ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ )= 2k²
⇒ Soit H le projeté orthogonal de M sur la droite
Soit (D) passant par A et dirigée par ⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
L’ensemble (E3) recherché est le plan passant ⃗⃗⃗⃗⃗ ). On a (MH) (D), donc – ⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗ =
par H et orthogonal à la droite (AB) tel que 2k²⟹ HA=
|| ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ||
.
On calcule et on trouve || ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ||=k√
e)Donnons la nature de (E1)∩(E3)
Ainsi, HA=
(E1) est la sphère de centre et de rayon √
La surface de niveau k² de f du plan est la
r=c²> , donc (E1)∩(E3) est un cercle.
droite (∆) passant par H et orthogonale à
Activité 7

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(D) passant par A et dirigée par ⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ On a : (m²+1) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +m⃗⃗⃗⃗⃗ m⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ) avec HA= ⟹(m²+1) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +m⃗⃗⃗⃗⃗ +m⃗⃗⃗⃗⃗ m⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗
√
c) )Déterminons l’ensemble des points M de ⟹(m²+1) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +m⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗
l’espace tels que : 𝐦
D’où ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ =
𝐀𝐆𝐦 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐂
2MA2+8MB2+2MC2=k2. 𝐦𝟐 𝟏

Soit g(M)= 2MA2+8MB2+2MC2. b) Dressons le tableau de variation de la

La somme des coefficients étant non nulle, fonction f
alors g(M)=8MG²+g(G). f est définie, continue et dérivable sur J et on
a:
g(M)=k²⇔ GM²=
f ,∀ ∈ J.
Calculons : GA, GB, GC
On a : ⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⟹ AG²= AB²+ Pour tout ∈ J, , donc f
car >0 ∀ .
+ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , soit AG²= Il en résulte que f est strictement décroissante
⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⟹ ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc BG²= sur J.

⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⟹⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc On a : f( = et f( )= . On en déduit le

tableau de variation ci-contre :
CG²=AB²+ AC² ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ soit CG²=
√ 1 1
Ainsi, on a : GM²= ⟹GM=
L’ensemble (E) est la sphère de centre G et
√
de rayon r = .

Activité 8

1)Représentons les points A, B, C, le milieu c)Déduction

I de [BC] et construire G1 et G-1. De ce qui précède, on a : ∀ ∈ J,
∈* +, donc si m décrit J, ∈
= bar{(A ;m2+1) ;(B ;m) ;(C ;-m)}. On en
déduit que = bar{(A ;2) ;(B ;1) ;(C ;-1)} et * +. Ainsi, pour tout m, ⃗⃗⃗⃗⃗ est
= bar{(A ;2) ;(B ; 1) ;(C ;1)} colinéaire à ⃗⃗⃗⃗⃗ . On en déduit que quand m
Ainsi, on a : décrit J, l’ensemble des points est la
 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗ droite passant par A et dirigée par le
⟹⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗ .
 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗
3.a)Déterminons l’ensemble E
⟹⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
A partir de ces relations, on construit et (E) : ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||.
. On trouve M = , (E) est la sphère de
diamètre .
2.a)Démonstration

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b)Déterminons l’ensemble F ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ , donc les points A, B et C ne

sont pas alignés. On conclut qu’ils définissent
(F) : ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||=||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ -⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||. un plan (P)=(ABC).

⟹||2 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ||⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ || b)Déterminons une équation cartésienne du

Soit I le milieu de [BC]. On a : ||2 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || plan (P).
||⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ⟹ AI.
A( ∈ (P). Un vecteur normal au plan
(F) est par conséquent la sphère de centre
(P) est ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
et de rayon r=AI.
Soit M( un point de l’espace.
4.a)Calcul des coordonnées de G-1 et de G1 M∈(P) ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 0
⟺ 0(
On calcule et on trouve et Soit (P) : .
.
a)Justifions l’existence de Gm
b)Démontrons que les ensembles E et F sont
Gm =bar{(A ;1-3m) ;(B ;2m) ;(C ;m)]}.
sécants suivant un cercle
La somme des coefficients affectant les points
est le centre de la sphère (F). En meme A, B et C est non nulle. D’où Gm existe ∀ m.
temps, appartient à la sphère (E). Une
partie de la sphère (E) est alors plongée dans b)Exprimons en fonction de m les
la sphère (F) ; d’où elles sont sécantes. coordonnées (x ;y ;z) de Gm
On trouve :
Montrons que (E) ∩(F) est un cercle
𝒙 𝟐 𝒎
||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || Gm{𝒚 𝟏 𝒎
2
||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || 𝒛 𝟏 𝒎

⟹||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ || ||⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗

c)Déduction
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ||
Pour tous points Gm ( de l’espace,
⟹ AI d’où (E) ∩(F) est le cercle de l’ensemble des points Gm vérifie :
centre et de rayon r=AI .
{ ; on en déduit que l’ensemble
c)Déterminons le rayon du cercle
d’intersection de E et F. des points Gm est la droite (∆) de repère
(A ;⃗ ) avec A(2 ; et ⃗ .
r=AI. On calcule la distance AI et on trouve
r=√ . a)Démontrons que les plans (P) et (Q) sont
perpendiculaires
Activité 9
(Q) :
1.a)Justifions que les points A, B et C Soit ⃗ un vecteur normal à (Q). On a :
déterminent un plan (P) ⃗ .
On a : ⃗⃗⃗⃗⃗ (1 ; et ⃗⃗⃗⃗⃗ (-3 ; ⃗ ⃗ =0, donc
(P) (Q).
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 2 2⃗ .

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b) Représentation paramétrique de (D). ⟹5⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗ ; soit ⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ =⃗⃗⃗
On en déduit que (D) est la droite de repère
Soit (P)∩(Q)=(D)
(I ; ⃗⃗⃗⃗⃗ ) avec I( et ⃗⃗⃗⃗⃗
On a (D) :{
a)Démontrons que (∆) et (D) sont
Posons : ∈ IR
strictement parallèles
On a : { ⟹,

(△) : { (α ∈ IR). Un vecteur

𝒙 𝟐𝜶 𝟐
Soit (D) : {𝒚 𝜶 𝟐 ∈ directeur de (△) est ⃗ . On
𝒛 𝜶 remarque que ⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ , donc ⃗ et ⃗⃗⃗⃗⃗ sont
colinéaires, ce qui atteste que (△) et (D) sont
c)Etudions la position relative des droites
parallèles. (1)
(∆) et (D).
Par ailleurs, I( ∈ D). Vérifions si I
Un vecteur directeur de (D) est et ∈(△).
⃗( celui de (∆).
I ∈ (△)⇔{
T( ∈ (D) et { ∈ (∆)

On a : ⃗⃗⃗⃗⃗ ( et ⃗⃗⃗⃗⃗ (2 ;0 ;0) ⇔{ ⇔{ . Ceci est une

Calculons : ( ⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ et absurdité car α devrait être unique. On en
déduit que I∉ (△). (2)
( ⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗ 0(2)+( 2)(0)+0(2)=0
De (1) et (2), on conclut que (△) et (D) sont
(⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗ , on en déduit que (△) et
strictement parallèles.
(D) sont coplanaires.
Par ailleurs, elles ne sont pas parallèles car ⃗ c) Equation cartésienne du plan (P)
et ne sont pas colinéaires. d)
On en déduit qu’elles sont sécantes. K( ∈ (△) et ⃗⃗⃗ (
Vérifions si elles sont perpendiculaires. Un vecteur normal à (P) est ⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ . On a :
On calcule et on trouve ⃗  =0, preuve que ⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ +4
(△) et (D) sont perpendiculaires.
Soit M( un point de l’espace.
Conclusion : les droites (△) et (D) sont
M ∈ (P) ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
perpendiculaires.
⇔ =0
⇔
Activité 10
Soit (P) : .
1)Déterminons les coordonnées du point I.
Donnons une représentation paramétrique
On trouve I( du plan (P).
2)Démontrons que (D) est une droite dont-
on donnera un repère.
On a (P) : { ( t ; t’)∈ IR².
(D) : (2⃗⃗⃗⃗⃗⃗ +3⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) (⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ )=⃗

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4.a)Démontrons que (Q) est perpendiculaire On remarque que les vecteurs ⃗ (O ;O ;1) et
à (P). ⃗ (1 ;1 ; ) respectivement normaux à (P’) et
(Q) : . Soit ⃗ un vecteur à (P) ne sont pas colinéaires. On conclut que
normal à (Q). (P) et (P’) sont sécants puis non
⃗ (⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ = 1( +1(4)+0(0)=0 perpendiculaires.
D’où (Q) et (P) sont perpendiculaires.
Repère cartésien de (∆)
b)Calculons les distances d(H ;(P)) et On a : (∆)= (P)∩(P’)
d(H ;(Q))
(∆) : {
| |
d(H ;(P))= ; soit d(H ;(P))= √
√ (2) dans (1) donne : ,
| | √
d(H ;(Q))= ; soit d(H ;(Q))= Posons : ∈ IR
√
est l’unité de longueur. On a : ,

c)Déduction Soit (∆) : { ( ∈ IR)

(NB : Faire un schéma pour mieux voir).
D’après la propriété de Pythagore, on a : On en déduit qu’un repère de (∆) est (K ;⃗ )
[d(H ;(∆’))]²=[d(H ;(Q))]²+[d(H ;(P))]² avec K( ; 0 ;0) et ⃗ ( ;1 ;0).

On trouve d(H ;(∆’))=√ b)Justification

Activité 11 D(0 ;1 ; ∈ (∆) ⇔{ . On est en

présence d’une absurdité, ( devrait etre

1)Démontrons que les points A, B, C
unique).
déterminent un plan (P)
D’où D∉ (∆).
On a : ⃗⃗⃗⃗⃗ ( et ⃗⃗⃗⃗⃗ (3 ;0 ;1)
3. a)Vérifions que (D) et (P) sont
⃗⃗⃗⃗⃗ ∧⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
perpendiculaires
⃗⃗⃗⃗⃗ ∧⃗⃗⃗⃗⃗ ≠⃗ , donc les points A, B et C
déterminent un plan (P). Un vecteur directeur de (D) est .
On remarque que = ⃗ avec ⃗ (1 ;1 ; )
Equation cartésienne du plan (P) un vecteur normal à (P).
Soit M( un point de l’espace. En conséquence, (D) est orthogonale à (P).
M∈ (P)⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (⃗⃗⃗⃗⃗ ∧⃗⃗⃗⃗⃗
⇔ b) Coordonnées de H
Soit (P) :
On a :{H}=(D)∩(P) avec H( ; .
2.Position relative de (P) et (P’)
On a :
(P’) est dirigé par et et ∧ ⃗
Donc (P’) : {

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(1), (2) et (3) dans (4) nous donne t= représentation paramétrique de (D’) à partir de
laquelle on déduit un point de (D’).
( ) Soit P( ∈ (D’). Les points K, P et R
Ainsi, on a : ( ) sont trois points non alignés du plan (Q).

{ ( ) A partir de ces trois points, on déduit une

équation cartésienne du plan (Q) et on trouve :
𝟑 𝟏𝟒 𝟏𝟑
Soit H(𝟏𝟏 𝟏𝟏 𝟏𝟏
(Q) : 𝟑𝒙 𝟑𝒚 𝒛 𝟔 𝟎

c)Déduisons-en que (D) et (Q) sont b)Calculer les distances d(D ;(P)) et
strictement parallèles. d(D ;(Q)
(P) et (Q) sont perpendiculaires. Or (D) est | |
 d(D ;(P)) =
perpendiculaire à (P). On en déduit que (D) est √

parallèle à (Q).
H ∈ (D) et(P)∩(Q)= (△). (D) étant parallèle à Soit d(D ;(P))=
√
(Q), alors si (D) est contenue dans le plan (Q), | |
le point H devrait appartenir à la droite (△).  d(D ;(Q))=
√
Tel n’est pas le cas car ≠0, donc H ∉ (△). Il
en résulte que (D) n’est pas dans le plan (Q). Soit d(D ;(Q))=
√
Par conséquent, (D) et (Q) sont strictement
parallèles. Déduisons d(D ;(△))

d)Démontrons que les droites (D) et (∆) sont

D(D ;(△))= √[ ( )]
non coplanaires.

(D) : (T ; ) avec T(1 ;2 ; ) et (

On trouve : d(D ;(△))= √
(∆) : (K ; ⃗ ) avec K( ; 0 ;0) et ⃗ ( ;1 ;0)
R( ∈ (△). On a : ⃗⃗⃗⃗⃗ ( et 5.)Déterminons (E)
⃗⃗⃗⃗⃗ ( ).
(E) : d(M ;(P))= √
(D) et (△) sont coplanaires ⟺( ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ est
non nul. (E) est le plan passant par F et parallèle au
plan (P) tel que d(F ; (P))= √ .
Calculons : ( ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗
Activité 12
( ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ =
On conclut que (D)et (△) sont non 1.Coordonnées des points D, C et I
coplanaires.
4.a)Ecrivons une équation cartésienne du On a : D(0 ;1 ;0)
plan (Q).
 ⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗⃗ (car ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
(D) // (Q). Soit (D’) une droite de (Q) parallèle Donc C(1 ; 1 ;0)
à (D). Supposons que (D’) passe par K. On a :  ⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ +⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗E
(D’)∩ (△)= {K}. On en déduit une

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√
Donc I(0 ; On trouve 𝓥(ACDI)= .

2)Justifions que le plan (P) a pour équation b) Déduisons-en le volume du second

x-y+z=0. compartiment.

Les points A, C et I définissent le plan (P). Le second compartiment est ABCIE. Soit V le
volume de la pyramide.
On a : ⃗⃗⃗⃗⃗ (1 ;1 ;0) et ⃗⃗⃗ (0 ;
⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗E On a : V= 𝒱(ACDI)+ 𝒱 (ABCIE)
Soit M( un point de l’espace. ⟹ 𝒱 (ABCIE)=V 𝓥(ACDI) .
M∈ (P)⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗  ⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗ =0
Calculons V
⟺
⇔ , d’où le résultat. La pyramide ABCDE peut être découpée en
deux tétraèdres ABCE et ACDE.
3. Coordonnées de S Donc V= 𝒱 (ABCE) + 𝒱 (ACDE)
Une représentation paramétrique de (∆) est : La pyramide étant régulière, alors on a :
𝒱 (ABCE)= 𝒱 (ACDE)
D’où V= 2 𝒱 (ABCE)
{ ; (α ∈ IR)
On a : 𝒱 (ABCE)= ||(⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ )⃗⃗⃗⃗⃗E||. On

Soit S( trouve 𝒱 (ABCE)=

Soit V= .
On obtient finalement :
On a :
𝟖 √𝟔 𝟑
V(ABCIE) = 𝐦
{ 𝟐𝟒
(1), (2), (3) dans (4) donne α= 0.
Par suite, on a : S(1 ; .
4) Calculons l’aire de la surface de
Séquence 2 : Applications de l’espace
séparation.

(NB : faire un schéma pour mieux voir)

Activité 1
L’aire de la surface de séparation est l’aire du
triangle ACI. 1.a)Déterminons l’image A’ du point A
A (ACI)= ||⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗ ||
√
= . Or 1m, donc (1m)²= 1m²
On a :
√
D’où A (ACI) = .
{
5.a)Calculons le volume du compartiment
en forme du tétraèdre ACDI. On trouve A’( .

𝒱(ACDI)=

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