Vous êtes sur la page 1sur 11

Terminale SE / Similitudes

1. Transformation et complexe :
Dans le complexe rapporté à un repère orthonormal direct
Exercice 4087 −
→ − →
O ; u ; v , on considère la similitude directe f d’écriture
Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormal complexe :

→ − → 3
O ; u ; v . On désigne par m un nombre réel. On considère z 7−→ ·(1 − i)·z + 4 − 2·i
la transfromation Tm du plan dans lui-même qui, à tout point 2
M d’affixe z associe le point M 0 d’affixe z 0 définie par : Indiquer si la proposition suivante est vraie ou fausse et don-
z 0 = (m + i)·z + m − 1 − i ner un démonstration de la réponse choisie :

1. Peut-on choisir m de telle sorte que Tm soit une transla- 2
f = r ◦ h où h est l’homothétie de rapport 3· et de centre
tion ? 2
le point Ω d’affixe −2−2·i et où r est la rotation de centre Ω
2. Déterminer le réel m de telle sorte que Tm soit une rota- π
et d’angle − .
tion. Préciser alors le centre et l’angle de cette rotation. 4

Exercice 3995 Exercice 3997


→ − → −
→ −→
On considère le plan muni d’un repère O ; i ; j . On considère le plan O ; u ; v ; soit A et A0 les deux points
1
On considère le point M du plan d’affixe z. Pour chaque ques- du plan d’affixes respectives −i et −3+2·i.
2
tion, on associe au point M un point M 0 dont l’affixe z 0 est
définie en fonction de z. 3
Déterminer la nature et les caractéristiques de chacune de ces
applications : 2

a. z 0 = z − 1 + 2·i b. z 0 = 2·z + 3 − 2·i 1


1 √
3  ~v
c. z 0 = − ·i ·z + 1 + i
2 2 -3 -2 -1 0 ~u 1 2 3 4 5 6 7
Exercice 3996 -1

→ − →
Dans le plan muni du repère O ; u ; v . On considère les -2
trois similitudes du plan :
-3
h est l’homothétie de centre A d’affixe 1+i et de rapport
2;
-4
t est la translation dont le vecteur a pour affixe −1+2·i ;

r est la rotation d’angle −



et de centre B d’affixe 1. Placer les points A et A0 dans le repère ci-dessus.
 √3   1 √3 
3
2. a. Déterminer le centre de l’homothétie h de rapport
1− +i· − − . 1
6 2 3 transformant le point A en A0 .
2
1. Donner l’expression des applications complexes associés
aux similitudes h, t et r. b. Soit M un point du plan et z son affixe. On note M 0
l’image de M par h et z 0 son affixe. Montrer qu’on a
2. Déterminer les expressions complexes des transforma- la relation :
tions : z 0 = 2·z − 4 + 4·i
1
a. r ◦ h b. h ◦ r c. Soit B et C les deux points d’affixes respectives −2·i
2
c. t ◦ r d. r ◦ t 9
et −i. Déterminer les affixes des points B 0 et C 0 im-
2
3. On considère la rotation r0 de centre C d’affixe 2 et d’an- ages des points B et C par l’homothétie h.
π Placer tous ces points sur le graphique.
gle .
3
a. Déterminer l’expression complexe de la transformation 3. On considère le point D d’affixe 3. Soit h0 l’homothétie
3
r ◦ r0 . de centre D d’affixe i et de rapport − .
2
b. Donner les caractéristiques de la transformation r ◦ r0 . a. Donner l’expression complexe de la similitude h0 .
Exercice 4003 b. Déterminer les affixes des images de A, B, C.
c. Tracer l’image du triangle ABC par l’homothétie h0 .

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


2. Similitude directe :
π
Exercice 4034 On note i le nombre complexe de module 1 et d’argument .
2

→ − → On considère les points B, C et H d’affixes respectives :
Le plan est muni d’un repère orthonormal direct O ; u ; v
d’unité 1 cm. b = 5·i ; c = 10 ; h = 2 + 4·i

1. Soient les points C et D d’affixes respectives c = 3 et Construire une figure que l’on complétera au fur et à mesure
d = 1−3·i, et S1 la similitude qui à tout point M du plan des questions.
associe le point M1 symétrique de M par rapport à l’axe 1. Etude de la position du point H :
→

O ; u des réels.
a. Démontrer que le point H appartient à la droite (BC).
a. Placer les points C et D puis leurs images respectives h
C1 et D1 par S1 . On complétera la figure au fur et à b. Calculer , et en déduire que :
Å h−cã
mesure de l’exercice. −−→ −−→ π
HC ; HA = − [2·π]
b. Donner l’expression complexe de S1 . 2

2. Soit S2 la similitude directe définie par : 2. Etude d’une première similitude :


le point C1 et son image C 0 d’affixe c0 = 1+4·i ; BH BA AH
a. Calculer les rapports : ; ;
le point D1 et son image D0 d’affixe d0 = −2+2·i. AH AC CH
a. Montrer que l’expression complexe de S2 est : b. Démontrer qu’il existe une similitude directe S1 qui
z 0 = i·z + 1 + i transforme le triangle CHA en le triangle AHB.
b. En déduire les éléments caractéristiques de cette simil- c. Déterminer l’écriture complexe de cette similitude S1
itude. ainsi que ses éléments caractéristiques.
3. Soit S la similitude définie par : S = S2 ◦ S1 . Exercice 3998
Déterminer l’expression complexe de S.
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct

→ − →
Exercice 4032 O; u ; v .
On considère la transformation f du plan, qui à tout point
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct

→ − → M d’affixe z, associe le point M 0 d’affixe z 0 définie par :
O ; u ; v d’unité graphique 1 cm, on considère les points √ 3·i·π
A, B, C, M , N et P d’affixes respectives : z 0 = 2·e 8 ·z

a=1+i ; b = −1 + 2·i ; c = 2 + 3·i On définit une suite de points (Mn ) de la manière suivante :
le point M0 a pour affixe z0 = i et pour tout entier naturel n,
m = 7 − 5·i ; n=5−i ; p=9+i Mn+1 = f Mn .
1. a. Placer les points A, B, C, M , N et P dans le repère. On note zn l’affixe du point Mn . Les points M0 , M1 , M2 et
M3 sont placés sur la figure donnée ci-dessous :
b. Calculer les longueurs des côtés des triangles ABC et
NMP. 6
c. En déduire que ces deux triangles sont semblables. M6
M5
Dans la suite de l’exercice, on se propose de mettre en évi- 4
dence la similitude directe qui transforme le triangle ABC en
le triangle M N P .
2
2. Soit s la similitude directe qui transforme le point A en M0
M1
N et le point B en P . ~v
a. Montrer qu’une écriture complexe de la similitude s -8 -6 -4 -2 0 ~u 2 M
44 6 8
est : 
6 8  23 9 M2 -2
z 0 = − − ·i ·z + + ·i
5 5 5 5 M3
b. Déterminer le rapport, la valeur de l’angle arrondie au -4
degré, ainsi que le centre de la similitude s.
c. Vérifier que la similitude s transforme le point C en
-6
M.
1. Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de
Exercice 4033
la transformation f .
Le
 plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct

→ − → 2. On note g la transformation f ◦f ◦f ◦f .
A ; u ; v . L’unité graphique est 1 cm.
a. Déterminer la nature et les éléments caractéristiques

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


de la transformation g. c. En déduire la nature du polygone B0 B2 B4 B6 B8 .
b. En déduire que pourÅtout entier naturel
ã n:
−−−→ −−−−−→ π 4. Exprimer an et bn en fonction de n.
OMn+4 = 4·OMn ; OMn ; OMn+4 = − [2·π]
2 Exercice 4172
c. Compléter la figure en construisant les points M4 , M5
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal
et M6 . −
→ − →
O; u ; v
3. Démontrer que pour tout entier naturel :
√ n i· π + 3·n·π Soit A et C les points d’affixes respectives :
zn = 2 ·e 2 8
a = 3 + 5·i ; c = 1 + 4·i
4. Soient deux entiers naturels n et p tels que p 6 n. Soit f la transformation du plan dans lui-même qui, à tout
a. Exprimer enã fonction de n et p une mesure de point M d’affixe z, associe le point M 0 d’affixe z 0 définie par
Å z 0 = (2 − 2·i)·z + 1
−−−→ −−−→
OMp ; OMn .
1. Soit M le point d’affixe z = x + i·y, où on suppose que x
b. Démontrer que les points O, Mp et Mn sont alignés si, et y sont des entiers relatifs. Soit M 0 l’image de M par f .
−−−→ −→
et seulement si, n−p est un multiple de 8. Montrer que les vecteurs CM 0 et CA sont orthogonaux
si, et seulement si, x + 3·y = 2
Exercice 4063
2. On considère l’équation (E) : x+3·y = 2, où x et y sont
Le plan complexe
 est rapporté à un repère orthonormal direct

→ − → des entiers relatifs.
O; u ; v . 
a. Vérifier que le couple −4 ; 2 est une solution de (E).
On considère l’application f du plan qui à tout point M d’af- b. Résoudre l’équation (E).
fixe z associe le point d’affixe z 0 et g celle qui à tout point M
00 c. En déduire l’ensemble des points M dont les coordon-
d’affixe z associe
√ le point d’affixe z définies par :  
1 + i· 3 π nées sont des entiers appartenant à l’intervalle −5 ; 5
z0 = ·z ; z 00 = ei· 5 ·z −−−→ −→
2 et tels que les vecteurs CM 0 et CA sont orthogonaux.
1. Préciser la nature et les éléments caractéristiques des ap- Placer ces points sur la figure.
plications f et g.
Exercice 4756
2. On considère les points A0 et B0 d’affixes respectives :
π π
a0 = 2·e−2·i·

3 ;  b0 = 4·e−i· 5 Dans le plan complexe, on considère la fonction complexe f
Soient An et Bn les suites de points définies par les définie pour tout nombre z complexe par :
1 1 1
relations de récurrences
 :  f (z) = ·(1 + i)·z + + ·i
2 2 2
An+1 = f An ; Bn+1 = g Bn 
On définit la suite an par les relations
 :
On note an et bn les affixes respectives de An et Bn . a0 = 4 + 2·i ; an+1 = f an pour tout n∈N
a. Quelle est la nature de chacun des triangles Pour tout entier n naturel, on définit le point An d’affixe an .
OAn An+1 ?
On considère la similitude S définit par la relation :
b. En déduire la nature du polygone A0 A1 A2 A3 A4 A5 . z = f (z)
3. a. Montrer que les points Bn sont situés sur un cercle 1. Préciser la nature de S et déterminer ses éléments car-
dont on précisera le centre et le rayon. actéristiques.
Å ã
−−→ −−−−→ 
b. Indiquer une mesure de l’angle OBn ; OBn+2 . 2. En déduire la convergence de la suite an .

3. Similitude indirecte :
Exercice 4092 1. On considère la similitude s admettant l’écriture com-
plexe : 
→
→ −
− 6 8  23 9
Dans le plan muni du repère orthonormal direct O ; u ; v , z 0 = − − ·i ·z + + ·i
on considère les points A d’affixe 3·i et B d’affixe 6. 5 5 5 5
Déterminer l’ensemble des points invariants de la simili-
1. Montrer qu’il existe une similitude directe et une seule tude s.
qui transforme A en O et O en B. Préciser ses éléments
caractéristiques. 2. On considère la similitude σ admettant l’écriture com-
plexe :
2. Montrer qu’il existe une similitude indirecte et une seule z 0 = i·z + 1 + i
qui transforme A en O et O en B.
Déterminer l’ensemble des points invariants de la simili-
Exercice 4169 tude σ.

Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct Exercice 4171

→ − →
O; u ; v .

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


Le plan complexe est rapporté au repère orthonormal direct M d’affixe z, associe le point d’affixe −z + 2.

→ − →
O; u ; v .
1. Déterminer les images respectives par la transformation

On considère les points A et B d’affixes respectives 2 et 1 − i. T du point A et du point Ω d’affixe 1 + i· 3.
Déterminer l’écriture complexe de la symétrie axiale d’axe 2. En déduire la nature et les éléments caractéristiques de
(AB). la transformation T .
Exercice 4062 3. Déterminer l’image par la transformation T du cercle C
de centre O et de rayon 1.
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct

→ − → Exercice 4088
O; u ; v .
Dansle plan complexe muni d’un repère orthonormal di-
→
Soient A, B et C les points d’affixes respectives :

→ −
zA = 2 + i ; zB = 5 + 2·i ; zC = i rect O ; u ; v , on considère les deux rectangles OABC
s1 désigne la symétrie d’axe (AB). et DEF G où les points A, B, C, D, E, F , G ont pour affixes
respectives.
1. Démontrer que s1 transforme tout point M d’affixe z en
un point M 0 telle que : zA = −2 ; zB = −2 + i ; zC = i ; zD = 1
4 3   1 3  5 5
z0 = + ·i ·z + − + ·i zE = 1 + 3·i ; zF =
2
+ 3·i ; zG =
2
5 5 5 5
On considère la similitude indirecte s0 d’écriture complexe :
2. En déduire l’affixe de C 0 , symétrique de C par rapport à 2 5
(AB). z 0 = − ·i·z + ·i
3 3
3. Démontrer que l’ensemble des points M 0 tels que z 0 est 1. Déterminer l’image du rectangle DEF G par la similitude
imaginaire pur est la droite (D) d’équation 4x+3y = 1 s0 .
4. Vérifier que le point C 0 appartient à (D). 2. On considère la similitude g = s0 ◦ s. Déterminer l’image
du rectangle OABC par la similitude g.
Exercice 4031
3. Dans cette question, toute trace de recherche, même in-

→ − →
O ; u ; v est un repère orthonormal direct du plan com- complète, ou d’initiative même non-frutueuse, sera prise
plexe (unité graphique : 4 cm) en compte dans l’évaluation.

On désigne par A le point d’affixe zA = 1. La similitude g a-t-elle des points fixes ? Que peut-on en
conclure pour g ?
On considère la transformation T du plan qui, à tout point

4. Similitudes directes :
On note s1 la similitude directe de centre A qui transforme
Exercice 4011
M en B.
Le
 plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct
−→ −→ On note s2 la similitude directe de centre O qui transforme
O ; OI ; OJ . On considère les points A et B d’affixes re- B en N . On considère la transformation :
spectives : r = s2 ◦ s1
3
zA = 2 ; zB = + i Le but de l’exercice est de démontrer de deux façons
2
différentes que les droites (OM ) et (P N ) sont perpen-
On considère les points M , N et P tels que les triqngles diculaires.
AM B, BN O et OP A soient des triangles rectangles isocèles
de sens direct comme le montre la figure ci-dessous : 1. A l’aide des transformations :
2 a. Donner l’angle et le rapport de s1 et de s2 .

N b. Déterminer l’image du point M puis celle du point I


B par la transformation r.
J π
M c. Justifier que r est une rotation d’angle dont on pré-
2
cisera le centre.
A d. Quelle est l’image du point O par r ?
-2 -1 O I 2 3 4 e. En déduire que les droites (OM ) et (P N ) sont per-
pendiculaires.
-1 2. En utilisant les nombres complexes :
P
a. Donner les écritures complexes de s1 et s2 . On utilisera
les résultats de la question 1. a. .
-2
b. En déduire les affixes zM et zN des points M et N .

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


c. Donner, sans justification, l’affixe zp du point P puis et D (on prendra pour unité graphique 2 cm).
démontrer que les droites (OM ) et (P N ) sont perpen- c. Déterminer le milieu du segment [AC], celui du seg-
diculaires. zB
ment [BD]. Calculer le quotient . En déduire la
zA
Exercice 3217 nature du quadrilatère ABCD.
 −
→ − →
Le plan est muni d’un repère orthonormal direct O ; u ; v 2. On considère la similitude directe g dont l’écriture com-
plexe est :
(unité 1 cm). On construira une figure que l’on complétera au π
fur et à mesure. z 0 = e−i· 2 ·z + 2.
a. Déterminer les éléments caractéristiques de g.
1. Soit A le point d’affixe 3, et r la rotation de centre O
π b. Construire à la règle et au compas les images respec-
et d’angle . On note B, C, D, E et F les images re-
3 tives E, F et J par g des points A, C et O.
spectives des points A, B, C, D et√E par la rotation r.
3 3 3 c. Que constate-t-on concercnant ces points E, F et J ?
Montrer que B a pour affixe + i Le démontrer.
2 2
2. Associer à chacun des points C, D, E et F l’une des af- Exercice 3251
fixes √suivant : √
ß de l’ensemble √ ™ Sur la figure donnée ci-dessous, on considère les carrés OABC
3 3 3 3 3 3 3 3 3
− 3; − + i; − i; − − i et OCDE tels que :
2 2 2 2 2 2 Å ã Å ã
−→ −−→ −−→ −−→ π
3. a. Déterminer r(F ). OA ; OC = OC ; OE =
2
b. Quelle est la nature du polygone ABCDEF ? On désigne par I le milieu du segment [CD], par J le milieu
1 du segment [OC] et par H le point d’intersection des segments
4. Soit s la similitude directe de centre A, de rapport [AD] et [IE]
2
π
et d’angle . Soit s0 la similitude directe de centre E D I C B
3
transformant F en C.
a. Déterminer l’angle et le rapport de s0 ? En déduire l’an-
H
gle et le rapport de s0 ◦ s.
b. Quelle est l’image du point D par s0 ◦ s ? J
0
c. Déterminer l’écriture complexe de s .

5. Soit A0 le symétrique de A par rapport à C.

a. Sans utiliser les nombres complexes, déterminer s(A0 )


puis l’image de A0 par s0 ◦ s. E O A
0
b. Calculer l’affixe du point A . Retrouver alors le résul-
1. Justifier l’existence d’une similitude directe s transfor-
tat du a. en utilisant l’écriture complexe s0 ◦ s.
mant A en I et D en E.
Exercice 4002 2. Déterminer le rapport de cette similitude s.
Partie A π
On admet que l’angle de la similitude s est égal à .
2
On suppose connu le résultat suivant :
Une application f du plan muni d’un repère orthonormal di- 3. Donner, sans justifier, l’image de B par s.
rect dans lui-même est une similitude directe si, et seulement
4. Déterminer et placer l’image de C par s.
si, f admet une écriture complexe de la forme :
z 0 = a·z + b où a ∈ C∗ et b ∈ C. 5. Soit Ω le centre de la similitude s :
Démonstration de cours : on se place dans le plan complexe. a. Montrer que Ω appartient au cercle de diamètre [AI]
Démontrer que si A, B, A0 et B 0 sont quatre points tels que et à celui de diamètre [DE].
A est distinct de B et A0 est distinct de B 0 , alors il existe une
unique similitude directe transformant A en A0 et B en B 0 . b. Montrer que Ω ne peut être le point H.
Partie B c. Construire Ω.
Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormal direct 6. On considère le repère orthonormal direct

→ − →  −→ −−→
O ; u ; v , on considère les points A, B, C, D d’affixes O ; OA ; OC
respectives :
√ √
zA = − 3 − i ; zB = 1 − i· 3 a. Déterminer l’écriture complexe de la similitude s.
√ √
zC = 3 + i ; zD = −1 + i· 3 b. En déduire l’affixe du centre Ω de s.

1. a. Donner le module et un argument de chacun des Exercice 4030


quatres nombres complexes zA , zB , zC et zD .
Partie 1 : Restitution organisée de connaissances
b. Construire à la règle et au compas les points A, B, C

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


Le plan complexe
 est rapporté à un repère orthonormal direct Démontrer que les points A, Ω et E sont alignés.

→ − → (On pourra considérer la transformation t = s ◦ s)
O; u ; v .
Partie B
Prérequis : On rappelle que l’écriture complexe d’une simil-
itude directe du plan est de la forme z 0 = α·z + β, où α est Désormais, on considère que le côté du carré mesure 10
un nombre complexe non-nul et β est un nombre complexe. unités et on se place dans le repère orthonormé direct
 1 −−→ 1 −−→
Soient A, B, C, D quatre points du plan ; on suppose d’une A; ·AB ; ·AD .
10 10
part que les points A et C sont distincts et d’autre part que
les points B et D sont distincts. 1. Donner les affixes des points A, B, C et D.
Démontrer qu’il existe une unique similitude directe telle que : 2. Démontrer que la similitude directe s a pour écriture
s(A) = B ; s(C) = D complexe :
i
Partie 2 : z 0 = ·z + 5 + 5·i
2
Le
 plan complexe est rapporté au repère orthonormal direct
−−→ −−→ 3. Calculer l’affixe ω du centre Ω de s.
A ; AB ; AD tel que :
−−→ −−→ π 4. Calculer l’affixe zE du point E et retrouver l’alignement
AB ; AD = [2·π]
2 des points A, Ω et E.
On considère le point C tel que ABCD est un carré. 5. Démontrer que les droites (AE), (CL) et (DJ) sont con-
Soit E le milieu du segment [AD], on considère le carré courantes au point Ω.
−−→ −−→ π
EDGF tel que ED ; EF = [2·π]. Exercice 3239
2
1. a. Faire une figure en plaçant les points A, B, C, D, E,
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct
F , G. On complètera la figure au cours de l’exercice. −
→ − →
O ; u ; v . On prendra 5 cm pour unité graphique.
b. Préciser les nombres complexes a, b, c, d, e, f , g, affixes Soit f la transformation qui, à tout point M d’affixe z, associe
respectives des points A, B, C, D, E, F et G. le point M 0 d’affixe z 0 définie par :
c. Montrer qu’il existe une unique similitude directe s du 1 1 
z0 = + i z+1
plan telle que : 2 2
s(D) = F ; s(B) = D
1. Justifier que f est une similitude directe dont on précis-
2. On se propose de préciser les éléments caractéristiques era le centre Ω (d’affixe ω), le rapport k et l’angle θ.
de la similitude directe s.
2. On note A0 le point O et, pour tout entier naturel n, on
a. Déterminer le rapport k et l’angle θ de la similitude pose An+1 = f (An ).
directe s.
a. Déterminer les affixes des points A1 , A2 , A3 puis placer
b. Donner l’écriture complexe de cette similitude. les points A0 , A1 , A2 et A3 .
c. Déterminer le centre Ω de la similitude directe s. b. Pour tout entier naturel n, on pose un = ΩAn . Jus-
tifier que la suite (un ) est une suite géométrique puis
Exercice 4090
établir que, pour tout entier naturel n :
√  1 n
On considère un
Å carré direct
ã ABCD (c’est à dire un carré un = 2 √
−−→ −−→ π 2
ABCD tel que AB ; AD = [2π]) de centre I.
2 c. A partir de quel rang n0 tous les points An
Soit J, K et L les milieux respectifs des segments [AB], [CD] appartiennent-ils au disque de centre Ω et de rayon
et [DA]. Γ1 désigne le cercle de diamètre [AI] et Γ2 désigne 0,1 ?
le cercle de diamètre [BK]. 3. a. Quelle est la nature du triangle ΩA0 A1 ?
Partie A En déduire, pour tout entier naturel n, la nature du
triangle ΩAn An+1 .
1. Déterminer le rapport et l’angle de la similitude directe
s telle que : b. Pour tout entier naturel n, on note `n la longueur
s(A) = I ; s(B) = K de la ligne brisée A0 A1 A2 . . . An−1 An . On a ainsi :
`n = A0 A1 + A1 A2 + · · · + An+1 An . Exprimer `n en
2. Montrer que les cercles Γ1 et Γ2 se coupent en deux fonction de n. Quelle est la limite de la suite (`n ) ?
points distincts : le point J et le centre Ω de la simil-
itude directe s. Exercice 3271
3. a. Déterminer les images par s des droites (AC) et On complétera la figure donnée en annexe 2 au fur et à mesure
(BC). En déduire l’image du point C par s. des questions, et on la rendra avec la copie
Å ã
b. Soit E l’image par s du point I. Démontrer que E est −−→ −−→ π
le milieu du segment [ID]. ABCD est un carré tel que AB ; AD = + . Soit I le centre
2
du carré ABCD. Soit J le milieu du segment [CD].
4. Dans cette question, toute trace de recherche, même in-
On désigne par s la similitude directe qui transforme A en I
complète, ou d’initiative, sera prise en compte dans l’é-
et B en J.
valuation.
Le but de l’exercice est d’étudier certaines propriétés de la

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


similitude s. Dans la partie A, on utilisera des raisonnement Soient les √
points A
√ et B d’affixes √
respectives
√ :
géométriques ; dans la partie B, on utilisera les nombres com- zA = 6 + i· 2 ; zB = − 2 + i· 6
plexes.
On note A0 et B 0 les images respectives des points A et B par
Partie A f.
1. Déterminer le rapport et l’angle de la similitude s. Une figure fournie en ANNEXE du sujet, sera com-
plétée et rendue avec la copie. Les différentes con-
2. On désigne par Ω le centre de cette similitude. Γ1 est structions seront faites à la règle et au compas, et les
le cercle de diamètre [AI], Γ2 est le cercle de diamètre traits de construction devront apparaître clairement.
[BJ]. Démontrer que Ω est l’un des points d’intersection
de Γ1 et Γ2 . Placer Ω sur la figure. 1. a. Ecrire les affixes des points A et B sous forme ex-
ponentielle.
3. Donner l’image par s de la droite (BC). En déduire le
point image par s du point C, puis le point K image du b. Montrer que le triangle OAB est rectangle isocèle di-
s du point I. rect.
c. En déduire la nature du triangle OA0 B 0 .
4. On pose h = s◦s (composée de s avec elle-même).
0
d. Montrer que l’affixe zA de A0 vérifie l’égalité :
a. Donner la nature de la transformation h (préciser ses zA0 = 2·zA
éléments caractéristiques). En déduire la construction de A0 et B 0 .
b. Trouver l’image du point A par h. En déduire que les 2. On note r la rotation de centre O et d’angle de mesure
points A, Ω et K sont alignés. π →

et s la symétrie orthogonale d’axe O ; u . On pose
3
Partie B
 − g = r ◦ s.
→ − →
Le plan complexe est rapporté à un repère A ; u ; v or- a. Déterminer l’écriture complexe de la transformation g.
thonormal direct, choisi de manière à ce que les points A, B,
C et D aient comme affixes respectives 0, 2, 2 + 2i et 2i. b. Montrer que les points O et A sont invariants par g.
c. En déduire la nature de la transformation g.
1. Démontrer que l’écriture complexe de la similitude est
1 a. Montrer que l’on peut écrire f = h ◦ g, où h est une
z 0 = iz + 1 + i. 3.
2 homothétie de centre et de rapport à déterminer.
2. Calculer l’affixe du point Ω. b. Sur la figure placée en ANNEXE, un point C est
placé. Faire la construction de l’image C 0 de C par la
3. Calculer l’affixe du point E tel que s(E) = 1. Placer le
transformation f .
point E sur la figure.
D C 4
C
3
B
2
A
J

-2 -1 O I 2 3 4 5 6 7 8
-1

A B -2

Exercice 4183 -3
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormé direct

→ − → -4
O; u ; v .
On considère la √similitude
 indirecte f d’écriture complexe :
z 0 = 1 + i· 3 ·z -5
où z désigne le conjugé de z.
-6

5. Similitudes indirectes :
Partie I
Exercice 3227
 −
→ − → 1. Placer les points I, J, H, A, B, C, D d’affixes respec-
Le plan est rapporté au repère orthonormal O; u ; v tives :
(unité graphique 4 cm)

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


zI = 1 ; zJ = i ; zH = 1 + i ; zA = 2 aux droites (OB) et (AD). En déduire la position du
3 point Ω.
zB = + i ; zC = 2i ; zD = −1
2 4. Etude d’une similitude indirecte transformant
2. Soit E le symétrique de B par rapport à H. La perpen- OABC en BAED
diculaire à la droite (AE) passant par C et la parallèle à a. Montrer que l’écriture complexe de la similitude indi-
la droite (OC) passant par D se coupent en F . recte s0 qui transforme O en B et qui lqisse A invariant
Placer E et F et vérifier que le point F a pour affixe est :
3
1
zF = −1+ ·i. z 0 = ·i·z + 2 + 3·i
2 2
où z désigne le conjugué du nombre complexe z.
3. Montrer que les triangles OAB et OCF sont b. Montre que s0 transforme s0 transforme OABC en
isométriques. BAED.
Partie II c. Dans cette question, toute trace de recherche, même
incomplète, ou d’iniative non fructueuse, sera prise en
On considère la transformation f du plan, d’écriture com- compte dans l’évaluation.
plexe : Démontrer que s0 est la composée de la réflexion d’axe
z 0 = −i·z + 2i (OA) suivie d’une similitude directe dont on précisera
les éléments caractéristiques.
1. Déterminer les images des points O, A, B par f .
Exercice 4000
2. a. Montrer que f est une similitude. Est-ce une
isométrie ? Le plan P est rapporté à un repère orthonormal direct

→ − →
b. Déterminer l’ensemble des points invariants par f . O; u ; v .
On fera une figure que l’on complétera avec les différents éłé-
c. La transformation f est-elle une symétrie axiale ?
ments intervenant dans l’exercice.


3. Soit t la translation de vecteur IJ. Donner l’écriture com- 1. On considére les points A d’affixe 1 et B d’affixe 1. On
plexe de t et celle de sa réciproque t−1 . appelle S la réflexion (symétrie axiale) d’axe (AB).
4. On pose : s = f ◦ t−1 : Montrer que l’image M 0 par S d’un point M d’affixe z a
pour affixe :
a. Montrer que l’écriture complexe de s est : z 0 = −i·z + 1 + i
z = −i·z + 1 + i 2. On note H l’homothétie de centre A et de rapport −2.
b. Montrer que I et J sont invariants par s. En déduire Donner l’écriture complexe de H.
la nature de s.
3. On note f la composée H ◦ S.
c. En déduire que f est la composée d’une translation et
d’une symétrie axiale à préciser. a. Montrer que f est une similitude.

Exercice 4004 b. Déterminer l’écriture complexe de f .

Le plan complexe est rapporté au repère orthonormal direct 4. On appelle M 0 l’image d’un point M par f .
→ 

O ; u ; ~v l’unité graphique est 2 cm. On considère les points a. Démontrer que l’ensemble des points M du plan tels
A, B, C, D et E d’affixes respectives : −−→ −−→
que AM 0 = −·AM est la droite (AB).
a=2 ; b = 2 + 3·i ; c = 3·i
b. Démontrer que l’ensemble des points M du plan tels
5 5 −−→ −−→
d=− ; e=− que AM 0 = ·AM est la perpendiculaire en A à la droite
2 2
(AB).
1. Placer ces cinq points sur un graphique qui sera complété
au fil de l’exercice. Exercice 4007
2. On admet que deux rectangles sont semblables si, et → −
− →
seulement si, le rapport de la longueur sur la largeur est Le plan est rapporté au repère orthonormal O ; u ; v . Unité
le même pour les deux rectangles. graphique : 4 cm.
Démontrer que OABC et ABDE sont deux recttangles Partie I
et qu’ils sont semblables.
1. Placer les points I, J, H, A, B, C, D d’affixes respec-
3. Etude d’une similitude directe transformant tives :
OABC en ABDE zI = 1 ; zJ = i ; zH = 1 + i
a. Déterminer l’écriture complexe de la similitude directe 3
zA = 2 ; zB = + i ; zC = 2·i
s qui transforme O en A et A en B. 2
b. Démontrer que la similitude s transforme OABC en zD = −1
ABDE. 2. Soit E le symétrique de B par rapport à H. La perpen-
c. Quel est l’angle de la similitude s ? diculaire à la droite (AE) passant par C et la parallèle à
la droite (OC) passant par D se coupent en F .
d. Soit Ω le centre de cette similitude. En utilisant la
composée s ◦ s, démontrer que le point Ω appartient Placer E et F et vérifier que le point F a pour affixe :

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


1 Le plan P est rapporté à un repère orthonormal direct
zF = −1 + ·i. −
→ − →
2 O; u ; v .
3. Montrer que les triangles OAB et OCF sont On fera une figure que l’on complétera avec les différents élé-
isométriques. ments intervenant dans l’exercice.
Partie II 1. On considère les points A d’affixe 1 et B d’affixe i. On
On considère la transformation f du plan, d’écriture com- appelle S la réflexion (symétrie axiale) d’axe (AB).
plexe : Montrer que l’image M 0 par S d’un point m d’affixe z a
z 0 = −i·z + 2·i pour affixe :
1. Déterminer les images des points O, A, B par f . z 0 = −i·z + 1 + i
2. On note H l’homothétie de centre A et de rapport −2.
2. a. Montrer que f est une similitude. Est-ce une
Donner l’écriture complexe de H.
isométrie ?
b. Déterminer l’ensemble des points invariants par f . 3. On note f la composée H ◦ S.

c. La transformation f est-elle une symétrie axiale ? a. Montrer que f est une similitude.

→ b. Déterminer l’écriture complexe de f .
3. Soit t la translation de vecteur IJ. Donner l’écriture com-
plexe de t et celle de sa réciproque t−1 . 4. On appelle M 00 l’image d’un point M par f .
4. On pose s = f ◦ t−1 : a. Démontrer que l’ensemble des points M du plan tels
a. Montrer que l’écriture complexe de s est : que :
−−−→ −−→
z 0 = −i·z + 1 + i AM 00 = −2·AM
est la droite (AB).
b. Montrer que I et J sont invariants par s. En déduire
la nature de s. b. Démontrer que l’ensemble des points M du plan tels
c. En déduire que f est la composée d’une translation et que :
−−−→ −−→
d’une symétrie axiale à préciser. AM 00 = 2·AM
est la perpendiculaire en A à la droite (AB).
Exercice 4091

6. Suites de points :
Exercice 4009 gle ΩM M 0 , pour M distinct de Ω.


→ − → 3. Soit A0 le point d’affixe 2 + i. On considère la suite (An )
Le plan est muni d’un repère orthonormal direct O ; u ; v de points du plan définis par :
(unité graphique : 4 cm). Soit Ω le point d’affixe2. On appelle pour tout entier naturel n, An+1 = σ(An ).
π
r la rotation de centre Ω et d’angle et h l’homothétie de
√ 4 a. Montrer que, pour tout entier naturel n, l’affixe an de
2 An est donnée par :
centre Ω et de rapport
2
.  √2 2 (n+2)π
1. On pose σ = h ◦ r. an = ·ei· 2 +2
2
a. Quelle est la nature de la transformation σ ? Préciser b. Déterminer l’affixe de A5 .
ses éléments caractéristiques.
4. Déterminer le plus petit entier n0 tel que l’on ait :
b. Montrer que l’écriture complexe de 4σ est : pour n > n0 , le point An est dans le disque de centre Ω
1+i et de rayon 0,01.
z 7−→ ·z + 1 − i.
2
Exercice 3244
c. Soit M un point quelconque du plan d’affixe z. On
désigne par M 0 son image par σ et on note z 0 l’affixe  − → − →
Le plan est muni d’un repère orthonormal direct O ; u ; v
de M 0 . Montre que z − z 0 = i·(2 − z 0 )
(unité graphique 4 cm).
2. a. Question de cours :
Prérequis : définitions géométriques du module d’un Soit Ω le point d’affixe 2. On appelle r la rotation de centre
π
complexe et d’un argument d’un nombre complexe non Ω et d’angle et h l’homothétie de centre Ω et de rapport
√ 4
nul. Propriétés algébriques des modules et des argu- 2
ments. .
2
Démontrer que : si A est un point donné d’affixe a,
alors l’image du point P d’affixe p par la rotation de 1. On pose σ = h ◦ r.
π
centre A et d’angle est le point Q d’aqffixe q telle a. Quelle est la nature de la transformation σ ? Préciser
2
que q − a = i·(p − a). ses éléments caractéristiques.
b. Déduire des questions précédentes la nature du trian- b. Montrer que l’écriture complexe de σ est :

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


1+i Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct
z 7−→ z+1−i −
→ − →
2 O ; u ; v . On prendra 5 cm pour unité graphique.
c. Soit M un point quelconque du plan d’affixe z. On Soit f la transformation qui, à tout point M d’affixe z, asso-
désigne par M 0 son image par σ et on note z 0 l’affixe cie le point 0
z 0 définie par :
de M 0 . Montrer que :  1M 1d’affixe

z0 = + ·i ·z + 1
z − z 0 = i(2 − z 0 ) 2 2
2. a. Question de cours 1. Justifier que f est une similitude directe dont on précis-
Prérequis : définitions géométriques du module d’un era le centre Ω (d’affixe ω), le rapport k et l’angle θ.
nombre complexe et d’un argument d’un nombre
2. On note A0 le point O et, pour tout entier naturel n, on
complexe non nul. Propriétés algébriques modules et
pose : 
des arguments.
An+1 = f An
Démontrer que : si A est un point donné d’affixe a,
alors l’image du point P d’affixe p par la roation de a. Déterminer les affixes des points A1 , A2 , A3 puis placer
π les points A0 , A1 , A2 et A3 .
centre A et d’angle est le point Q d’affixe q telle
2
que q−a = i(p−a). b. Pour tout entier naturel n, on pose un = ΩAn . Justifier
que la suite (un ) est une suite géométrique puis établir
b. Déduire des questions précédentes la nature du trian-
que, pour tout entier naturel n :
gle ΩM M 0 , pour M distinct de Ω. √ 1 n
 un = 2· √
3. Soit A0 le point d’affixe 2 + i. On considère la suite An 2
de points du plan définis par : c. A partir de quel rang n0 , tous les points An

pour tout entier naturel n : An+1 = σ An . appartiennent-ils au disque de centre Ω et de rayon
a. Montrer que, pour tout entier naturel n, l’affixe an de 0,1 ?
An est donnée par : 3. a. Quelle est la nature du triangle ΩA0 A1 ?
 √2  (n+2)π En déduire, pour tout entier naturel n, la nature du
an = ei 4 +2
2 triangle ΩAn An+1 .
b. Déterminer l’affixe de A5 . b. Pour tout entier naturel n, on note `n la longueur de
la ligne brisée A0 A1 A2 . . . An−1 An . On a ainsi :
4. Déterminer le plus petit entier n0 tel que l’on ait : `n = A0 A1 + A1 A2 + · · · + An−1 An .
pour n > n0 , le point An est dans le disque de centre Ω Exprimer `n en fonction de n. Quelle est la limite de
et de rayon 0,01. la suite (`n ) ?

Exercice 4008

7. Arithmétiques :
Exercice 4005 a. Déterminer la longueur ABn+1 en fonction de ABn .

Le plan est rapporté à un repère orthonormal direct b. A partir de quel entier n le point Bn , appartient t-il

→ − → au disque de centre A et de rayon 10−2 ?
O;,u ; v .
c. Déterminer l’ensemble des entiers n pour lesquels A,
Soient A et B les points d’affixes respectives :
7 B1 et Bn sont alignés.
zA = 1 − i ; zB = 7 + ·i
2 Exercice 4006
1. On considère la droite (d) d’équation 4·x + 3·y = 1. 1. Le plan complexe est rapporté à un repère à un repère or-
Démontrer que l’ensemble des points de (d) dont les − →
→ −
coordonnées sont entières est l’ensemble des points thonormal direct O ; u ; v . Soient A, B et C les points
 d’affixes respectives :
Mk 3·k + 1 ; − 4·k − 1 lorsque k décrit l’ensemble des
entiers relatifs. zA = 2 + i ; zB = 5 + 2·i , zC = i
s1 désigne la symétrie d’axe (AB).
2. Déterminer l’angle et le rapport de la similitude
 directe
de centre A qui trqnsforme B en M−1 −2 ; 3 . a. Démontrer que s1 transforme tout point M d’affixe z
0 0
en un point
4 M d’affixe
  z 1telle3 que
 :
3. Soit s la transformation du plan qui à tout point M d’af- 0 3
z = + ·i ·z + − + ·i
fixe z associe le point M 0 d’affixe : 5 5 5 5
2 1 5
z 0 = ·i·z + − ·i b. En déduire l’affixe de C 0 , symétrique de C par rapport
3 3 3
à (AB).
Déterminer l’image de A par s, puis donner la nature et
les éléments caractéristiques de s. c. Démontrer que l’ensemble des points M tels que z 0 est
imaginaire pur est la droite (D) d’équation :
4. On note B1 l’image de B par s et pour tout entier naturel 4·x + 3·y = 1
n non nul, Bn+1 l’image de Bn par s :
d. Vérifier que le point C appartient à D.

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/


2. a. Démontrer que les droites (D) et (AB) sont sécantes centre.
en un point Ω dont on précisera l’affixe ω. 3. Dans cette question le candidat est invité à porter sur sa
b. On désigne par s2 la symétrie d’axe (D) et par f la copie les étapes de sa démarche même si elle n’aboutit
transformation définie par f = s2 ◦s1 . Justifier que f pas.
est une similitude directe et préciser sont rapport. a. Déterminer les couples d’entiers relatifs (x ; y) solu-
c. Déterminer les images des points C et Ω par la trans- tions de l’équation :
formation f . 4·x + 3·y = 1.
d. Justifier que f est une rotation dont on donnera le b. Déterminer les points de (D) à coordonnées entières
dont la distance au point O est inférieure à 9.

255. Non-publiés :
√ π 1 π
3, d’angleet S2 , de centre B, de rapport √ , d’angle
Exercice 1440 6 3 6
et leur composée f = S2 ◦ S1
On considère l’équation (E) : 3·x − 2·y = 1
 1. Déterminer les images de J et H par f .
1. a. Montrer que le couple −1 ; − 2 est une solution de
(E). 2. Déterminer la nature et des éléments caractéristiques de
f.
b. Déterminer tous les couples (x ; y) d’entiers relatifs
vérifiant l’équation (E). 3. En déduire la nature du triangle HIJ.

2. Soient d et d0 les droites d’équations respectives :


y = 2·x + 4 ; 3·x − 2·y = 1 Exercice 4128

a. Vérifier que pour tout entier ABCÅest un triangle


ã équilatéral tel que :
 relatif k, le point Ak de −−→ −→ π
coordonnées k − 3 ; 2·k − 2 appartient à la droite d. AB ; AC = + 2·k·π où k ∈ Z
On admettra que ce sont les seuls points de d à coor- 3
données entières. Soit t un nombre réel fixe et soient les points M , N et P ,
0 deux à deux distincts, définis par :
b. Montrer que les seuls points de d à coordon- −−→ −−→ −−→ −−→ −−→ −→
nées entières sont AM = t·AB ; BN = t·BC ; CP = t·CA
Ä ä les points Bk0 de coordonnées
2·k 0 − 1 ; 3·k 0 − 2 où k 0 ∈ Z. Le but de l’exercice est de démontrer l’existence d’une unique
similitude directe σ qui transforme les points A, B et C en
3. a. Existe-t-il deux entiers relatifs k et k 0 tels que : respectivement M , N et P , et d’en préciser les éléments car-
Ak = Bk0 ? actéristiques.
b. Déterminer
 les 0
 entiers relatifs k et k tels que le seg- −
→ − →
ment Ak Bk soit parallèle à l’axe des abscisses.
0
On munit le plan d’un repère orthonormal O ; u ; v direct.
−−−−→ −
→ On note a, b, c, m, n et p, les affixes respectives des points
c. Trouver l’entier q tel que A3q B2q = 4· u
A, B, C, M , N et P :
4. Soit Ω un point quelconque du plan dont
 l’affixe
 est notée 1. On rappelle que toute similitude conserve le barycentre.
ω. On note H le milieu du segment A6 B4 .
a. Exprimer m, n et p en fonction de a, b, c et t.
On désigne par f la similitude directe de centre Ω, de
1 π b. En déduire que les deux triangles ABC et M N P ont
rapport et d’angle − .
2 2 même centre de gravité.
a. Donner l’écriture complexe de la similitude f . On notera G ce centre de gravité.

b. Déterminer l’affixe du point Ω pour que l’image du c. On suppose que σ existe. Déterminer l’image de G par
point H soit l’origine O du repère. σ.
2·π
2. On considère la rotation r de centre G et d’angle .
3
Exercice 4698
a. Vérifier
n que M est le barycentre du système de points :
Soit un triangle équilatéral direct ABC et soit D un point  o
du segment [BC]. La parallèle à la droite (AC) menée par D A;1 − t ; B;t
coupe la droite (AB) en E et la parallèle à la droite (AB) et, en déduire que r(M ) = N .
menée par D coupe la droite (AC) en F . On admet de même que r(N ) = P et r(P ) = M .
Soit le point G, centre de gravité du triangle ABC et les b. Soit σ1 , la similitude directe
points H et A0 , symétriques de G et A par rapport à la droite Å ã de centre G de rapport
GM −→ −−→
(BC). et d’angle GA ; GM .
GA
On définit les points I et J centres de gravité respectifs des Montrer qu’elle transforme les points A, B et C en
triangles BDE et CDF . respectivement M , N et P .
On dédinit les similitudes directes S1 , de centre C, de rapport c. Conclure sur l’existence et l’unicité de σ.

Terminale SE - Similitudes - - http://malimath.net/

Vous aimerez peut-être aussi