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1-Relativité générale et trous noirs

1-1 Principe d’équivalence


Dans la mécanique newtonienne en distingue entre la masse
inerte et la masse gravitationnel ,ces deux grandeur son
presque égaux ou cas de chute libre, est donc tous les corps
tombent de la même manière et le mouvement d'un corps ne
dépend pas sa masse, mais seulement du champ de
pesanteur dans lequel il est plongé. Dans ce référentiel là (de
chute libre ) que l’effet de gravitation s’annule sous une
forme de compensation entre la force de gravitation et la
force d'inertie d'entrainement .

en effet les forces appliquées dans ce référentiel sont


-force d’inertie d’entrainement
Fie=-mi*a
-le poids P=mg*g
En fait a=g
Le corps dans ce référentiel du chute libre ne subit à aucunes
forces ,les lois de physique sont identiques à l’absence de
champ de gravitation ce qui rendre la physique plus simple
dans ce référentiel inertiel .
Le référentiel du laboratoire que on le considéré comme fixe,
dans lequel en naturel on applique les lois de la physique, que
l'on élève au rang de référentiel galiléen. D'aprés le principe
d'équivalence, il est plus naturel et plus simple de faire de la
physique dans le référentiel en chute libre !
Le référentiel du laboratoire, dans lequel on ressent la force
de gravitation, doit donc être considéré comme
un référentiel accéléré, vers le haut, avec l'accélération -~g.
1-2 les équations des géodésiques
On veut décrire le mouvement d’un corps dans une région
soumise à un champs gravitationnel, la démarche suivie par
Einstein est d’étudier ce mouvement dans un référentiel
accéléré, puis à l’aide d’un changement de de référentiel .
En fait le retour vers le référentiel qui nous intéresse.

En l'absence de champ de gravitation, le mouvement d'une


particule est décrit par :

L’intervalle temps-espace

_ds¨2=cdt

À partir de cette définition et de l'expression des composantes de la connexion de


Levi-Civita, on obtient l'équation des géodésiques :
Les géodésiques sont donc, dans la variété, des courbes
paramétriques répondant à cette équation différentielle. Les sont
les symboles de Christoffel, qui dépendent directement du tenseur
métrique .

g : ils représentent la déformation infinitésimale de l'espace par


rapport à un espace plat.

l'équation du mouvement est prend une forme identique à


l'équation des géodésiques sur une surface courbe. Nous allons voir
que la gravitation peut s'interpréter comme une courbure

de l'espace-temps.

1-3 tenseur métrique

les tenseurs sont l’outil mathématique fondamentale dans la


relativité générale
le tenseur métrique fait la relation entre les coordonées et la
distance qui il les séparent autrement dit guv est un objet
mathématique contenant l'information sur la métrique de

l'espace-temps.le but donc de la relativté génerale est de


déterminer les guv .

en monter que la connexion affine L&& et la métrique guv et la


dérivée de guv par rapport à une coordonnée xv. Cette quantité sera
not ée guv;v, avec une virgule. par la relation :

On remarque que la connexion affine se manifeste comme une


force, est reliée aux dériées de guv, qui joue donc le rôle d'un
potentiel. En relativité générale, les forces gravitationnelles sont
dues à une propriété de l'espace-temps.

2_ LES EQUATION D’EINSTEIN

Il s’agit d’une équations qui décrit la courbure espace-temps,ils


font le lien entre matière-énergie et la courbure . l’équation
d‘Einstein est une équation tensorielle qui suppose que la courbure
espace-temps est proportionnelle au contenu énergétique :

Guv=KTuv

ou G est un tenseur courbure lié à la courbure, applelé tenseur


d’Eientein ,et T le tenseur énerie-impulsion .

en se basant sur plusieurs critères pour se ramener à décrire des


situation purement physique Einstein à montrer que le seule
tenseur qui possédait l’ensebles des propriétés convenables est :
Il reste maintenant de déterminer la constante de proportionnalité
qui lie G à T .ca se fait en examinons la relativité générale au limite
newtonnienne en trouve finalement :

K = -8piG/c4 ou G désigne la constante de Newton.

Ce qui ramène au famaux equation d’Eeinstein .

 Rμν est le tenseur de Ricci, gμν la métrique, et R un coefficient


de courbure. L’ensemble des termes de gauche représente
donc bien la géométrie.

 Tμν est le tenseur impulsion-énergie. Les termes de droite


concernent donc le contenu de l’espace-temps.

Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
La solution de Schwarzschild

Malgré la complexité des équations d’Einstein ,une solution en a


été trouvé dés 1916 par Schwarzschild.cette métrique concerne
uniquement les systèmes statiques et à symétrie sphérique .

En cherche à décrire l’espace-temps autour d’un objet à symétrie


sphérique, pour être invariante par rotation, la partie spatiale de
la métrique ne doit dépendre que de

on arrive à la métrique isotrope sous sa forme standard :

Avec

Ou a désigne une constante d'intégration qu’en calcule au limite newtonien est en trouve

c’est le rayon de Schwarzschild.


On arrive donc _a la m_etrique de Schwarzschild :
Cette expression décrit surtout que se passe à l’extérieur de
la masse dans les cas :
-r>>a :on a une métrique avec une bonne signature (signe
positive pour la métrique temporelle est signe négative pour
la métrique spatiale) .
-r<<a : mauvaise signature (la variable temporelle devient
spatial et ves-versa)(ce sont les Trous Noirs).
-r=a :c’est une singularité r=a ou se pose un problème
d’interprétaion de solution de Schwarzschild mais en peut
le résoudre en chiosissant le sytème de coordonnées
adéquat ,cette singularité n’est pas une propriété
intrinsèque de l’espace-temps .
-r=0 :c’est une singularité,mais que ne pause pas un grand
problème physique tel que la singularité en r=a .
La déviation de la lumière :

Le calcul de déviation des rayons lumineux prés d’un champs de


gravitation est un défi,c’est l’un des testes de la théorie
relativiste .

Dans notre cas en se limite dans la métrique de Schwarzschild .


On considère un rayon lumineux qui se propage dans une
mètrique de Schwarzschild , son mouvement obéit

à l'équation :
Ou :

_u=1/r,r=distance radial entre la masse et le lumière

-phi=l’angle de déviation .

La résolution de cette équation différentielle se fait en suivant la


méthode de perturbation (solution sans présence de masse puis
le calcule de la solution particulier) en trouve donc :

La demi-déviation est obtenue en calculant la valeur pour laquelle u = 0, ce qui


donne dans la limite des petites déviations (sin phi=phi _ et cos(2phi_) = 1),

Numériquement, à la surface du Soleil (r0=R°), , on

trouve radian, ou (puisque radians valent 180 degrés, qu'un


degré vaut 60 minutes d'angle et une minute 60 secondes d'angle)
Les Trous noirs

On va s'intéresser dans cette partie à quelques aspects extrêmes


de la métrique de Schwarzschild, surtout lorsque l'on s'approche
du rayon de Schwarzschild a, ce qui n'est possible que pour des
objets compacts, des étoiles à neutrons ou mieux encore, des
objets dont la masse est située en dessous de a, c'est à-dire des
trous noirs.

1-Trous noirs classiques


A l’aide des équations de mouvement dans la métrique de
Schwarzschild et au voisinage de rayon critique a on veut décrire
la facon dont laquelle se déplace les objet autour de trous noirs .

L’équation de mouvement est donner par :

Et la trajectoir par :

2-1Potentiel effectif
Suite à l’approche énergétique standard dans l’étude des
mouvement dans les systèmes conservatifs le bilan énergétique
s’écrit :
Le potentiel vecteur contient un premier terme qui est
newtonienne (terme centrifuge),avec deux termes de correction

Relativistes.

Potentiel effectif Veff en fonction de ~r = r/a, pour plusieurs valeurs de ~h = h=ca. La zone
grisée , pour
r < 3a/2, correspond aux rayons pour lesquels il n'existe pas de trajectoire circulaire. La
courbe pointillée
indique la position des extrema de Veff, correspondant aux positions des orbites circulaires.

Au cas ou dv/dr=0 qui correspond à un mouvement circulaire en se ramène à des trajectoires circulaires liées
(cas de précession de périhélie) ou des trajectoires circulaires diffusifs (cas de lumière autour de trou noir) .
2-2 trajectoire radiale
Soit une particule loin de trou noir ,qui suit une trajectoire
radial vers le trou noir on veut calculer le temps propre pour que
cette particule arrive sur le trou noir .

Pour une trajectoire radiale

ce qui donne

En dérivant par rapport à tau , on arrive à :

R n’est pas forcément le rayon physique mais c’est la


coordonnée radial de l’objet et r°(point).. n’est pas une dérivée de
temps propre de l’observateur.

-Calcule de temps propre tau(r)

En se pose dans la situation de repos à l’infini( r°=0 qd


r+infin) en trouve que

Tau(r0)=2a/3*(r0/a)^(3/2)
Cela montre que on peut mesurer le temps que mesure
l’observateur pour y aller de r0 à r=0 sans intervenir au problème
de singularité .

-Calcul de temps coordonnée t(r)

Le temps de coordonnée se calcule via l’expression /

Pour r=a ça tend vers l’infini ,il faut un temps infini pour
atteindre le rayon de Schwarzschild ,d’où l’intérêt de choix
adéquat des coordonnées puisque ici il s’agit pas de temps ,’’t’’
est une coordonnée .

2-3 l’horizon

Il se passe quelque chose de particulier en r=a. en effet la


coordonnée type temps devient de type espace en deça de cette
distance radial et inversement pour la coordonnée radial r.
l’interprétation est que l’espace devient dynamique et s’effondre
sur lui même .autrement le temps s’écoule dans cette région .

2-3-1 traverse de l’horizon


on fait l’étude des rayons lumineuse qui travers l’horizon soit des
rayons entrant ou sortant ,les résultat de figure sont obtenue via
un changement de coordonnées vers les coordonnées
d'Eddington-Finkelstein .
Figure 6.4: Coordonnées d'Eddington-Finkelstein
entrantes et sortantes.

-les rayons lumineux entrantes :

Plus en s’approche de rayon de Schwarzschild les cône de


lumière s’incline vers la gauche (vers le trou noir ), il est difficile
d’aller vers la droite et si on passe par l’horizon c’est impossible
de revenir arrière (la particule ne peut plus sortir) .

-les rayons lumineux sortantes :


Ces rayons sorts une fois qu’ils sont sur l’horizon ,ce sont des
objet qui ne peuvent que sortir (cône de lumière à l’extérieure) (
région trou blanc ) .

Un trou noir de Schwarzschild comprend ainsi deux types d'horizon : un


horizon « futur » englobant une singularité gravitationnelle et décrivant par
là un trou noir (c'est-à-dire une région que l'on ne peut quitter une fois que
l'on y a pénétré), et un horizon « passé », délimitant une région dans
laquelle il est impossible de rester et dont on ne peut que sortir. Cette
région est appelée trou blanc.
INTRODUCTION

Depuis la nuit des temps, l’étude de l’univers et ses évolutions à été


considéré comme un sujet centrale pour les scientifiques et surtout les
physiciens ,l’un des objets de l’univers les plus fascinants sont les trous
noirs ,dont même le nom revêt une connotation magique :des astres que l’on ne
pourrait voir ,capables d’absorber toute sorte de rayonnement ou de matière
environnante ;ces propriétés de trou noir qui sont si étrange ,poussent es
physiciens pour les étudier plus profondément et relever l’obscurité qui les
entourent ,ce qui va donner la possibilité de mieux comprendre l’univers.

Dans ce travail, nous nous proposons d’étudier certains aspects


physique de ces astres passionnants. En se débutant dans la
première partie ,par évoquer les principes de base de la relativité
générale d’Einstein ,et le contexte dont il vient la première
prédiction de l’existence des trous noirs ,la deuxième partie sera
consacré à l’étude thermodynamique des trous noirs ,leurs
rayonnements et évaporisation .

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