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7.1.9 UTILISATION DES EQUATIONS DE LAGRANGE POUR DETERMINER LES INCONNUES 545
DYNAMIQUES (ACTIONS DE LIAISON)
A. Exemple de détermination de liaisons 545
B. Détermination des actions intérieures à un solide 548
7.2.4 EQUATIONS D'APPEL LAGRANGE POUR LES SYSTEMES A LIAISON SANS REDUCTION 565
AU NOMBRE MINIMUM DE PARAMETRES
A. Cas général 565
B. Cas particulier : les liaisons sont parfaites et les solides sont 565
parfaits
7.2.5 EQUATIONS D'APPEL AVEC UN NOMBRE MINIMUM DE PARAMETRES. FORME SPECI- 565
FIQUE
A. Rappel 565
B. Calcul des coefficients A£ par la méthode d'Appel 566
LES E Q U A T I O N S D E L A G R A N G E
II est évident que l'on peut multiplier les deux membres de l'équa-
tion fondamentale par un vecteur V. . à priori arbitraire. On obtient ainsi
l'équation de d'ALEMBERT pour un point matériel
C. Puissance virtuelle
Soit une action mécanique représentée par le vecteur F. On appelle
puissance virtuelle développée par la force F associée au champ V*(P) le
produit scalaire /fîfi
y* = $ . fa(p)
^Là encore le vacable est choisi par analogie avec le cas où V*(P) = V^(P),
(f)/U* = puissance réelle développée par F.
Comme conséquence de cette définition on peut donc logiquement
poser
dFe . V*(P) =ç_X* puissance virtuelle développée par
P€Z les actions mécaniques extérieures
appliquées au système (S)
r . tâÔ*
dFi . V*(P) =LX: puissance virtuelle développée par
pp., les actions mécaniques intérieures
au système (£)
t
*-S ex "^^ in ~^
Théorème
La puissance virtuelle développée par toutes les actions mécani-
ques dans une transformation virtuelle quelconque est égale à la puissance
virtuelle développée par les quantités dfaccélération.
Nous allons nous préoccuper maintenant du calcul d&s*ex ±y.
in$*'*•
7.1.3 VITESSES VIRTUELLES COMPATIBLES AVEC LES LIAISONS TELLES QU'ELLES EXISTENT
A L'INSTANT t
Nous allons étudier dans ce chapitre une classe particulière de
transformations virtuelles : celles que l'on peut réaliser tout en respec-
tant les liaisons imposées au systèmes. Nous verrons qu'elles ont des pro-
priétés remarquables.
a) Liaisons holonomes
Supposons leur nombre égal à h,elles sont de la forme
Mais comme nous avons totale liberté de choix pour le déplacement virtuel,
nous simplifierons considérablement le problème du point de vue mathématique
en choisissant pour ^P le plus général la partie linéaire de l'accroissement
c'est à dire la différentielle de OP
i. jyp 3p pvp
6? . |_ 6qi + ... ^ « q i * ...+ ^ ^ n
Le sjrmbole ftôf! est substitué au S3nnbole "d" pour éviter toute ambiguité avec
les déplacements réels.
*<» - g
.«•«••. **<» • &«i'*-**r«!•*••• *!!;«;•
en posant q[* « -jspî- ôqi >• 0 quand ÔT —^ 0
Les q|* sont appelés vitesses généralisées
|aq!*...+faq,,...+|a,.*ffi - o i - , ...h
elles ont la même forme que les liaisons non holonomes
1ÊJ. = 0 b; = 0 soit
ot •*•
F. Exemples
1. Exemple 1
Posons O^P = x . X0 + y . Y0
-> ->
Une sphère de rayon "a" roule sans glisser sur un plan (0,Xp,Yp)
d'un repère Rp. Le plan (P) est mobile de manière qu?il J:ou£ne autour d'un
axe fixe en restant en coïncidence avec un plan fixe (0,X0,Y0).
Zp = Z0 (Xo> Xp) = a
En outre la vitesse de rotation a) = ~ est une fonction du temps.
Déterminer les vitesses virtuelles compatibles avec les liaisons
telles qu'elles existent à l'instant t
^(1) = V^(G) + ÎJ A GÎ
Fx'~
V°(G) = y'
L°
r erf i _^ f o^
fi° * !p sin0 GI - 0
S
é f cosô + i^ f -a Rl
RI
D'où finalement
y = 3 , ^g(P)
Vg(P) = [x', y ' , 0]
= [x 1 , yt + tge x 1 , O^L
R
8
^5 [~ -Q sine "I fx'
J/ = Q cose . yt + tge.x'
o J L°
&J
*^/
= Q cose . t
<$>*
*s
= q.« Jf L[dx^^Y^.^!^-]
qi a
3qi 3qi J 9
pes
I
'!" P€S fëdxt^dï*!fH
.qi« J( LD|2L.
n
9q
dx + |y-dY
ln
n
+ £-dzT
ln J3{ 3(
pes
Qi - Jf !f-dx
9q£ + |2-dY
9qi + !^dz
9qi
pes
[F] :
ji(os)
€P f +„ -+
J7 m* = V*(P).dF
pes
Une transformation virtuelle compatible
avec les liaisons est une transformation
qui respecte les liaisons ; en l'occurence
qui respecte ici le caractère solide par-
fait, c'est à dire l'invariabilité des distances de deux points matériels
quelconques
i j - Li2
V'p-2
F r
Exernp le
On applique à la manivelle (1) un système
d'actions mécaniques dont le torseur i
est défini par
^T Ui - o
L/1J 1 -V ->
^ ( Mi(0) = C z0
on applique à la coulisse (2) un système
d'actions mécaniques dont le torseur 2
est défini par
\6T( j F2 = F X0
«^ ÎM2(A) = 0
J 2 - o
i«f / ffL = F„ x ltr,*•
\—y%
|V*(A) = x'*X0f
012
J^)M12(I)
|*21
J?21 |M21(I)
FI 2 + F2i - 0
S12(D + S21(i) = o
ôfi
~/12 s
^12 ^f* + M 1 2 (I).nf* (l'emploi de Rg n f e s t nullement
/ZA ^ nécessaire)
y\L = *2lVf + M21(D%"
jf* - î12 . ^* CD
Si on respecte la liaison telle qu'elle existe à l'instant t, la
vitesse de glissement est située dans le plan tangent et la puissance vir**
tuelle est nulle dans deux cas :
- Fi2 normal aux surfaces en contact (ce qui correspond à l'absence
de frottement
- V^*(I) = 0 la transformation est un roulement sans glissement
est
Le torseur des actions de RQ/RÔ défini
par
| ?RO/S
< ^o/s<1)
&* - Vs * %*(I) +S
°/s (I) -^*
.&* - V s L v r r v r ] * *>/.<» •&"**«
Si l'on fait subir à (S) une transformation virtuelle compatible
avec les liaisons telles quelles existent à l'instant t, le solide <SO)
doit, rester fixe dans cette transformation.
$8* = 0 $$*(.!> - 0
$* - î0/. • *? + WD-as"
en général Mo/ s (D " 0
^* = Ir o /,s ' v^°*
^ s
0.
4l
- au
3qi
on dit qu'il y a fonction de force généralisée. On a alors :
&• . |JL ql« + 000 + |
f ql- + 000 f qA*
9 +|
9qi 3qi *- qn
6f>* =
ou
^ 67
C'est le cas en particulier où il y a fonction de force au sens ordinaire.
YX - M v = i£ 7 - M
~ 3x 3y ~ 9z
q.
Xl = |2L_ X + IZ-T + |£-z
9qi 9qi 3qi
3U 3x + 3U 3y + 3U 3z
^i ~ 3x 3q£ 3y 3q£ 9z 3q£
Q.
Ql
. ^L
3q£
ZQ = 11 cosÔ + 12 coscf)
U = m gli cos0 + m gl2 cos<f> + cte
Q =
9U = m gl1 sin e
e 3? "
3U
= =
% 3? ~m gl2 Sln *
Nous ne nous étendrons pas davantage sur ces fonctions de force car elles
ont été longuement étudiées à l'occasion des théorèmes généraux,
Qi - *%-%-%
Supposons que la force î soit telle que F = [jkjx1, ~k2y', ~k3z'J
on peut alors écrire
X Y 2
• -Mr - -fr - 'If-
t = i [kj X'2 * k2 y'2 + k3 i-Z]
Qy ^p
^toû ^JL. = -— ce qui donne le résultat indiqué
^1 "i en projection
Q.i = •-Ji
y
3l|
X'
X = — q I
3q£ q i
y' = -z%— q| en utilisant la convention de l'indice
^qi muet
' OZ i
z qi
" 3qï
* - T i".|^%*j+ ** %%^J * k= Hr%^
§ est donc de la forme .
« = îbijqiqj
^ - î12 V2«
y* = - b *i.IP
%* = ^°* - %*
<^C
J* - - b (xi - xi)(xi* - x^)
J
0m - + b (x£ - xf)xj* - b(x^ - xj)x£*
+
^* - QX1 *i* QX2 xà*
QX
= + b(x^ - x{)
l
C2 ne dépend que de x2
* balance de Curie
+ amortisseur d'automobile
exemple de réalisation
dT
dt =^«-/
étant la puissance développée par toutes les forces extérieures et inté-
rieures. Supposons que les forces soient de deux sortes
- la première sorte donnant lieu à une fonction de force
U » U(q1 ... q£ ... qn) (fonction de force au sens strict)
- la deuxième sorte donnant lieu à une fonction de dissipation
dt = JE!-
EL dt z2*
Ij- (T - U) -- .- 2*
-2$ est donc la dérivée par rapport au temps de l'énergie totale. Autrement
dit, c'est le taux suivant lequel l'énergie se dissipe, (j> est positive ;
l'énergie totale est donc toujours décroissante : il y a dissipation de
l'énergie.
Qi
1 ,X|2L. + y |L. + z|2-
3qi ^qi 3qi
soit encore, en tenant compte des transformations déjà utilisées
* •'$ *'$ . Z$ .
3X m 3Y 3 Y _ 3Z 3Z = 3X
3y' "" 3x' 3z' " -3y1 3xf 3z'
a
) £2ISê«SÉ2^Iâle ÉllPê f°rce F répondant à_la Question
F = - V(P) d'où X - x1 -
V . • V
Y - y iV
J
z = *<ZV
d, fo u. 3X 3Y
"3F-=3F"
Par suite on obtiendra également par permutation circulaire
3Y = 3Z 3Z = 3X
3z' 3y' 3x' " 3zf
$ - - £ dv + C
b) Ë5ë5ElÊË-EÊSâE3UâklÊË
+ frottement sec f = cte = - ag SLQ > 0
ty » + a0 dv + C
* résistance quadratique
f = - a2 v2 a2 > 0
i}; = a2 v2 dv + C
* - -2^+C
y m |a- (x12 + y 12 + z'2)3/2 + C
f = - ^ vn avec ^ > 0
ijj = + an vn dv
in+1
= + an
* ï?T+ C
En fait f peut prendre la forme la plus générale d'un polynôme de
degré n en vitesse
on aura immédiatement
v2 v3 vn+J
* - a0 v + ai y- + a2 y- + 000 + an --—-
* " ** —
v = |Vp|
*<*» • ^irij^^]^
- 3t [%-&*$$• *"'
La puissance développée par les forces de dissipation est
^- » (n+1) «
&-§-<•">*
~ (T - U) -- - (n+1) *
A* - q'*
1 Jf Jg(P) .
|L dm f . . . + j q'*
dq jpL dm + . . .«+ Jq^f J8
J f Jg(P)dqi (P>|~dm
oqn
P€S P6S P6S
on a donc finalement à calculer les coefficients Ai :
2°/ d 3? . "3^
dt 3qi " 3qi
If HT- ife^-o-^M-oo.^^^
mais d'après les propriétés des fonctions de plusieurs variables
ilr = 4(ir«<*°°°*!!r^°°*|[<>
d_ 1)P s 3V
dt 3qi 3qi
B. Exemple
Le point P est repéré en coordonnées polaires
OP = r Xi" + z zt
(Xg, Xi ) =^
On a Ô? = of (ip, r, z) ou encore
OP = ÔP (qlf q2, q3)
qi = *•
q2 = r
= z
q.s
4^= ^ Z i A Î j - ^Y!
3? _ v *T 9P _ t ^ - t
^ - r YI ^ - Xi ^- Zl
9^' _ r Y* 3^ ._.*'. 3t _ * Zl
âp- ~ I 9P- ' xi 3?- ~
oo, „ d ^P "3V
3 / Montrons que — ^ = ^
a) q£ = *
i_H
dt 3^
. rr » YI?, _ rr **• Xl?.
3^ . r .i -i
5- ^XL + r „,•, i _L
Ht „ r ' i- ?!
* • , i X*X
- r *•
1_ lE = il
dt 3^ 3i()
b) qi = r
1-2 = V#• ?l !
dt 3r
?
3r - r*• Y!
x
JîL IE - II
dt Br ^ 9r
c) q£ = z
'±.'2 = U0 H = Un
dt 3z 3z
Nous ne nous étendrons pas au delà sur ces formules car elles nous ser-
virons seulement d'intermédiaire pour l'établissement des formules de
LAGRANGE.
c
- Calcul des coefficients A-;
A
i - { Î8<"> - |xr <*•
pes
Posons J8(P) = J
18/P> - dgVS(P) - <*V
J (P) - —££ - 4^
+g,
J (Pp
, 3P dV "3P
'-3T~
oqi " dît
au • 9q~
d qi . -^-^
dV 3P d ^-^
9P ^ d -^
3P
maiS = V
dt'3q£ dt 3qT 'dt 3q7
a l
AA = d 3 1 A
f v±2 dm f tr2
z j
-îi dt "HTT
"^T 3q.[ T2 J " 3q{ 2 J V dm
^TT T
P6S P6S
d_ 3T 3T
=
i dt ' 3^ 3 qi
Les coefficients A£ jouent le même rôle cjue les coefficients Q^. Ils se cal-
culent autornâtiquement à partir de l'énergie cinétique.
(82) est une barre OB de longueur 2a. Le mouvement (82)^81) est un mouvement
de rotation autour de (B, YI). A (82) on lie (R2) : [B, X2, ^2, 1£| .
-»• ->
Y2 = 14.
!2 " F ,
X2 = Y2 A Z2 ^ ^
On repère la rotation de (R2)/(Ri) par 0 = (Zi, Z2)
(83) est une barre homogène BA de longueur 2a. Le mouvement de (S3>/(S2) est
une rotation autour de l'axe (B, t2). D'autre part l'extrémité A de BA est
assujettie à se déplacer autour de (0, "Z"Q) étant reliée en ce point à la
barre (85) qui a un mouvement de translation par rapport à (Ri). A (85) on
peut donc lier le repère (R{) : [A, IL ti, 5J_; Le mouvement de (83) par
rapport à (85) est une rotation autour de (A, YI). A (S«) on lie le repère
[A, x3, Y3, z3"].
Y3 - !
** - I
Z = X3AY3
On repère la rotation de (R3)/(Ri!) par 81 = (Zi, Z3)
^ milieu de AB
= lT
fZ4
4
^.
arbitraire
- XAt ^
4
On repère la rotation de (Rit)/(R3) par <(> = (Y3, Y4)
= A^ 0 0~
Ir = 0 B4 0
L 0 0 Bj^
AG - a X3
-ij/f cose a 0
Q 3 A AG » -4f A 0 = a ^ f sine
L *' sineJ R3 LoJ R 3 L*e' JR3
[~4a sin6 cos0 6 1
V°(G) = a ij;1 sine
aef - 4a sin2e e f n
R3
* &£ = ^ + ^3
til = (f>f $3
Fcj)'f - i/;1 cose
Q^ -. -e
$' sine K„
*- 3
tlyr' " + -M» 1 - *' sine)cos6 6' + A^ sin6(<f)" -if; "sin6 - i^'e'cose)
dt d
* + B^ ip" sin6 + 64 *' 9' cos 6
il - 0
•3*
A = A^' - *' sin6)cose 6' + Aif(4>" - T|»" sine - ^'6' cose)sin6
* + B^ t|)" sin6 + B^i^'e1 cose
v d 3T 3T
a;
dt 9^)' ~ 9<(, ~ ^
H
3<j)
. o
Î^T
Ijr - A4 (<J> f - * f sine)
d_ 3T 3T =
dt BqJ" 3qi ^
d 3T 3T
Qi
dt 3qT ~ B?T "
d_ 3T 3T
dt SqA " 8qn ^n
T° = 2 Tf
T| = I$| .. To . ^2
iï% » --82 + Œ! - <f> ! Y2 + '*f Zi
F-^1 sin f
^ = +••
_^ f cos 4> J R
T° - j 2[A ^ t2 sin2 <f> + A ^ l2 + C ^ î2 cos2 cf) ]
^ = 2 .I2 .^G2)
V°*(G 2 ) =
r-i<o'*
1 sin<f> ^*
i
L
° JR2
P = + m g ZQ
^ F- sin <|>
P = + m g 0
LCOS cD J R 2
^ = - 2 m g 1 sin ((> V*
Q^ = - 2 m g 1 sin <(>,
Q. = M
^
Remarque : La puissance virtuelle développée par les actions de liaison
est nulle car les liaisons sont parfaites et nécessairement compatibles.
3. Equations de LAGRANGE
a)«JZ?U)
d 3T _^ _ 0
dt 3<î>' ~ 3<j> ~ ^<f>
If • 2 A * '
'*&• ***•
r\ m
b) j^W
d_ 3L _ 3L _ 0 •
dt Iq]" ' 3qj
1_ IL. -' ii_ - 0
dt 3q[ 3qi
d 9L 3L _ 0
dt 9q; 9qn
d 3L _ 3L _ Q
dt aq'j aqj
d_ j|L 3L = 0
dt 3q{ 3q£
d_ 3L 3L _ Q
dt 3q^ 3qn
ÔGq = X XQ
(x0, Xi) = e
Lorsque Gj est en 0 le ressort est
sans contrainte.
<L 3T _ il. i£ -
dt aF" " 3x ~ 3x
d 3T ^T _ ^= 0
1
dt 3-6' '" 36 "30
1. Calcul de T° '
T° = TI + T|
T? = iMx'2
T
2 • ' - • y » (^ > 2
ï° = ^°(G!) +%° A ; G^
2
^°(G 2 ) = x1 x0 + e f yx A 1 \
= x f x 0 + i e f K!
T° - U (M + m) x î 2 + ml 2 0 f 2 + 2 ml x' 0 f cos 01
2
- £§i£Hl-ËÊ«5
U = \Ji + U2 ( Ui fonction de force de pesanteur
* ÏÏ2 fonction de force due au ressort
k x2
U = m g 1 cos 0 - —~— + C
3. Equation de LAGRANGE en x
3T =
•rrr
ox
(M + m) x 1 + m 1 0 1 cos e
J r\rp
f - -"- f - »
(M + m) x f f + m 1 0ff - . m l 0 î 2 sin 0 + k x - 0
4. Eguation^de^LAGRANGE^en^iB
3T o
^T = m 1 0 1 -+ m 1 x! cos 0
J rvrp
= m l2 eff + m
dit 3p ! x" cos 9 - m 1 x f 0 f sin 0
9T
— = - m 1 x f 0 f sin 0
au
•^ =
, .
- m g 1 sin A0
m l2 0" + m 1 x" cos 0 + m g 1 sin 0 = 0
FA 0 0~
[I0]R 0 A 0
S
0 0 cL
K
s
•* le centre d'inertie est sur l'axe de
révolution
ÔG « 1 Zs
= +
^s ^î ^ •* ^ï
=
^s *'- f .^2 + e
' ^2 +
* f Zl
Toi fil [o
^° = <)> f 0 +e f
0 +i^f sin6
L^R, LQJR2 LcoseJ R2
12° -
f 0i|;-1 sin6
f
S
ij;' cosB •*•()) ..
K2
Mais comme le corps est de révo-
lution autour de Zs = Z2
= FA 0 O""
I0 = 0 A 0
L° o C J R2
[A o ol Te '
T° = 1
2 T e » , y sine, i|;f cose + $\\ 0 A 0 i^
f
f
sine
[o o c] L^ cose + <j>^
T° = ^ | A ( e f 2 •*- ij;' 2 sin 2 e) -H CCif; 1 cose + < j > ' ) 2
U = - m g 1 cose + C
EaïïSÊioa-âê-ï^SSéïïêE^^Liîlji
^L.. = A \(;f sin 2 e + C(i(; f cose + <(>') cose
olp
nH -- «o U
9ij; ~
i-^r
dt 34)' = 0
3T
= Cte
W
A \(;f sin 2 e + C(i^ ! cose •»• < j ) f ) cose = cte (1)
lanâ£i2s_âs_tè§5èS§E L_§1
HT- A-
A8
fefr ' "
U - A ij>'2 sin0 cosG - C 0|;f cose + <f> f ) ij;1 sin6
du
— = m g 1 sin6
do • _________>_-______»____^^
2 f f
A e" - A ip' sine cose - C 0|; cose + c)) ) i|>' sine - mgl sine - 0
laHâ£î2S«îlê«Lè§5M§S-.ÊS..è
|Ir - COM cose + <|> f )
=
Itlr ^ C ( V cose + * f )
s -°
d<j)
9U n
•sy • °
ip 1 cose + 4 > f - = cte (3)
t°(0) = ÔG A P
OG = 1 Z2
P = - m g Z0
ZQ = r°.sin e
LCOS ej
>~ -1 R 2
-> H. r°i r °
OG A P = 0
1
A - mg sin 6
- mg cos 0 _
-> -> ->
= mgl. sin 0 X2 avec X2 = Xi
S°(0) - ^ ΰ(Q)
F A o ol .fê1
=
y°(0) - I0 a* 0 A 0 f sin 0
LU 0 C J [jp1 cos 0 + (j)1 _
"A 0'f
A ^ sin 0
i_
C(iJ; f cos 0 + < f > f ) -±K
L
2
/^
t°(o) - §£ P°(O) + n§ A p°(o)
d2
^° (Q) -
r AA ty"
0" sin 0 + A if;1 0' cos 0
~
C(ifj" cos0 - i|;f 0 f sin 0 + <(>") K
2
^2 A y§ *
F01 n
^' s^-nô
1
A
TA 0i
A ijj f sin 0
1
i}; cos0 J
., C(i^ f cos0 + <j> ! ) _,
— — K£ K-2
V°(P) = r 1 X x + r e' \
T° - ^.m £1.2 + r2 e.2]
u = -f+c
Les équations de LAGRANGE s'écrivent :
8T
fL 3(T-t-U)
dt ae f 3e
d 9T 3 (T-fU) _
dt Br f " 3r
G?
É3ïïâ£i2S-^ë-tè§Mîî5fe?d§i
H - o
36 ~ °
M
ae = °o
i-iï-
dt 96'
= o
H = été ' (,)
O?
§SHâ£i2ïï_âÊ_iè§l^§Ii^ïïl
3T ,
âp- = m r'
î t & - . r -
|I= r e . 2
H
3r
= «r7
m r" - r 6 ' 2 - -^ = 0 (2)
L = Im (r'2 + r2 0'2) -f + C
Remarque 3 : on peut remplacer l'équation (2) par l'intégrale des forces
vives et l'on a ainsi deux intégrales premières
1. Calcul^de^T^
T° - T ° ( l ) + T°(2)
T° = 1
2 m (V!
G )2
1 l
Tf = 1m if 0 ' 2
Tl - ~ m 2 [V°(G 2 )] 2
OG =
2 (11 s ^ ne * 1-2 sin<|>)Xo +
(li cos0 + 12 cos4>)Z 0
f
V°(G 2 ) = (li 6 cos0 -H 12 (()' cos(f))X 0 - 0 f ( l i sin0 + 12 sin(j))Z 0
2 • Z2S££Î2S-.ÉÊ-£2££ê
U = mi g li cos0 + m2 g . (Il cosB + 12 coscj>) + C
U = (mi + m 2 ) g li cos0 + m2 g 12 cos.<j> + C
3- 5aHê£Î2SS-.âÊ-tè§5M§?
*>_%)
||r - (mi + m 2 ) if 6 f + m2 li 12 * f cos (0-<j>)
J JNITI Q
+
TT^T
U L OC7
" (mi m 2 ) l i e f l + milil 2 <f> f l cos(6-c()) - m 2 li! 2 c() f (0 '-cf) 1 )sin(0-<f);
3T
-^ = - m2 li 12 (6 V) sin (6-<j>)
3îî
• au- * - (mi + m 2 ) g li sine
3
H
(m 1 +m 2 )lie" + Iil 2 <f>" cos(9-<))) - m 2 l!l 2 (j)' 2 sin(6-(f.) + gll(mi+ m 2 )sin6 = 0
b)j2?*)
9T ?
TT-T « m2 12 <()f + m2 li 12 0 1 cos(0-<|>)
H Î^T ?
^r |fr =
U.L OC})
m2l2())fl > m2lil20fl cos(0-*) - m2l!l20f (0f-c|)T)sin(0-(())
Arp
|
i = + m2li!2 0' cf)1 -sin(8-*)
BU . ..
•-gj = - m2 g 12 smc>
m2 12 <()f! + m2 Iil2 0" cos(0-<|>) - m2li!2 0 î2 sin(0-<)>) + m2 g 12 sin^J) = 0
Qic - °
+ dd>
QiLe QiLi " -âfr
Les équations de LAGRANGE s'écrivent donc
d 3T T 3'4> - .
55 ¥ 1
dt^T"^ ^^"^
8U
S'il y a fonction de force Q£D = —r et les équations de LAGRANGE prennent
x
la forme
d 3T
«•'. r\ f
+'8*
r\
^(T+U)
r.
.
"~ U
n V
„ J.
•
dt 3-q{ 3q£ Bqi
Exemple
Les raideurs des ressorts sont kj, k2, k3 et les constantes des
amortisseurs bi, b2, b3
1. Calcul_de_T
T = ^ mi x{2 + Y m2 x^2
2. Calcul^de^U
Désignons par li, 12, 13 les longueurs des ressorts (Ri>, (R2)> (R3)
et par IIQ> ^20» ^30» ces m^mes longueurs lorsque les ressorts sont sans
contrainte
U = - |kl! - 110)2- |
^ (12 - 120>2 - J^ <13 - l30>2
* 11 - |ÔA|
lj = Xj car Xi est toujours > 0
11 - Xie •*• xi
* 12 - |BC|
BC = ÔC - ÔB . « [X2 - (Xi + Ijj] X0
12 = X2 - Xj - Ij car BC a une valeur algébrique positive sur XQ
12 = X2e •+ x2 - Xle - Xl - li = (x2 - xi) •+ (X2e - Xle) - 1
* 13 = IDE]
DE = ÔE - ÔD = '[I, - (X2 + 12)] X0
13 = L - X2 - 12 car DE a une mesure algébrique positive sur XQ
L
* "X2e " X2 - 12
La fonction de force est donc
- |i (L - X2e - X2 - e 2 - 130) 2 +
C
FR /g +F . = 0
1 1
2/1 pour la position d'équilibre
F
R2/S2 + FR3/S3 °
(nous verrons ultérieurement des méthodes analytiques pour trouver les posi-
tions d'équilibre).
F
R2/S2 = "k2 (X2
"Xl *X2e "Xle ~ GI "l2o) X°
(le ressort a une masse supposée négligeable)
=
\/S2 - k 3 d3 - 130) -fHp
Développons la fonction U
U = -|l-x2 - kixi(Xle - 110) - fr1- (Xie - lio)2
- |2. (x2 - xi)2 - k2 (x2 - Xl)(X2e-Xie-ei-li0)
TT kl ? k2 / \2 ka o
U - ~ -^ Xf - -zf- (X2 - Xj)Z - -^- X|
U = -|
Ixf - |2 (X2 _Xi)2 _ |
1 (X2>2 + Cl
3• ÇâlSHl-^ë^i
On a immédiatement comme X] = xj
X2 = x2
4. Eguations_de LAGRANGE
^ C/?x )^ :
d 3T = m X
„
*=^ i dT^F l i
8U
^—- » - ki xi .-+ k2 (x2 - xi )
|^r - b x xi - b 2 W2 - xi)
HT - b2 (x^ - x{) + b 3 xi
1
Posons V = vecteur déplacement
LX2 J
mi
j^M^- matrice d'inertie
m
L° 2J
F (bi + b 2 ) - b2 matrice de
=
C*3 L-*2 (b2 + b 3 ) J ^sipation
r K H- fkl'+ k2
~k2 1 matrice de
L J~" _- k2 k2 + k 3 _ raideur
+
[M] . ^" + [ 4 > ] • ^' DKH • ^ =
°
1_ 8T 9T^ = xH V i
dt âq{ aq£ i
d 3L 3L, _ .
dt'^r" a^; " °
avec L = T + U
Mais il est bien clair que U n'a pas ici la signification habituelle
En portant T + U à la place de L
d_ 3-T ^ 3T + d_ 3U _ 3U = Q
dt 3q! " 3q. dt 3q! 3q.
(V opérateur Nabla)
i|/ étant le potentiel scalaire et
î le potentiel vecteur
»o = |a |a |2s.
3x + 3y + 3z
V,F - div F
r Ai
âx
"i r A. i r aAz
3y
-3A
3z
yi
a 9Ax 9A
-, £
* V -AA t
A = -
r— AA A
Ay
J = T z—
3y 3z 3x
iji A 3Ay 3Ax
. az-J L J L-sâT " âjr.
->• -> —— =sr>-
V A A = rot A
f = q [1 ^ - M + ^ A ^Fl]
FX
Posons -»• r i
F = Fy
FzJR
et calculons les composantes de F
R
g
F v* 1 f lé* - Ml"
3y 3z
3 , =F* T, A 3Ax 3Az
VAÏSnT- Vy A â^---^
Vz 1AZ..3AX
L VZ J
1_ 3x 3y
/£ A
(V A —r~=if\—
T5^)xg = TT?y /3Ay
e^L - 3Ax
- _x. ) -T7Vz ,3Ax
(^- - 3Azx
5J-)
Vx
37-+ yy ^r + Vz 3T-
„ 3Ax „ 3Ay „ 3Az
•
- VX |^L - Vy |£ - VZ |^
dx ^ 3y 3z
9Ax
en ajoutant et retranchant le terme Vx -—
„ .
M^Q 1 Q
dAx
• • . i. *""
3Ax ^ 8Ax dx
«1. „^^„,,m^ m*mmm I
BAx dy
_ mmj!*m t
3Ax dz
•••••m
dt 3t 3x dt ^ By dt 3z dt
^
If - M* * If* tr* 3Ax
/^ A —T^N-^
*f*^ *3Ay* {£ *
_,_ „ 3Az _,_ 3Ax d Ax
TT
Donc (V A rot A)Xa8 = Vx -5—
3x + VyJ -5-*- + Vz •=-— + .
3x 3x ~
3t -rr
dt —
= 3 /* t\ ^ -3Ax d A
^(V*A)+ —-dT^
Mais a .-. a
ÏÏFmA'V = âF ^ (AxVx . AyVy + AzVz)
d 3J.^ d .
dt "3Vx~ ~ dt ' ^ ^
/tr . Tt -»• 3 ^ t 3Ax d 3A.V
(V A rotlj.Xg = -^ V.A V — - ^ -^
soit Fx = q[-|-(/-^î).|..L.(î^)]
Fx = q[-|_(^-^i)+|_ _|_(^-^.i)]
de même n ^ j ^ n
Fy - q^âyCt-^D^-lyrt-^J)]
Fz , , [- fj (* - ti.î) * |j ^ (* - *.î)]
d__ai__il = x, = Vx
dt 9x' 9x ^
fefr i-- *
"*"
r
La puissance virtuelle développée par F est
&g - * • <»
«_/ = Fx.x1* + Fy.y'* + Fz.z'*
d'où immédiatement Fx = Qx
Fy » Qy
Fz = Qz
Posons U = - q ty + q . V .A
Ox
Qx = +M-^L9JL
+
ax dt 9Vx
Qy = +H-1.9JL
^y ay dt 9Vy
3U d 9U
Qz =
"âl-dFâW
•^ -*
Le Lagrangien L est donc L » 'T - q ^. ••*• q V . A
E. Intégrales premières
Nous avons déjà vu le grand intérêt de rechercher à priori les
intégrales premières (à l'occasion des théorèmes généraux^ Les équations de
LAGRANGE permettent leur recherche quasi systématique.
Nous avons rencontré ce cas dans un certain nombre d'exercices, par exemple
le mouvement à force centrale ou le mouvement de LAGRANGE et POISSON d'un
solide ayant un point fixe.
U = - | (x2 + y2) + C
u - -•*£+ c
jgf.) . - g r . - -.'
f - -'V2
au = - k
^7 . r
d'où l'équation m r f l - m r <j>! + k r = 0
j£^>
<=i^ S9<p • »
I!09 - °
!F • cte
o <p
C'est la loi des aires, ce que l'on sait car la force est centrale. Le
repérage en coordonnées polaires la fait apparaître immédiatement.
Tg = i I [vg(P>]2 dm
P6S
SP 9P
y figure une seule fois ; un terme tel que (—- -—) q{ q2 (i=l j=2)
y figure deux fois (le produit scalaire est ^1 ^2
commutâtif)
l8 2
-^[j,j,^
' ' Lilrii-^I^lir-i-^M?'
pes J
' pes pes J^ J l
T8 - J
L
Z ï «n *i<U +
I 2bi q[ + C
[_i-l j = l J J
i-1
n n
Posons T2 - ••=• I I a., q! q!
i-1 j-1 J J
. T! - | I 2 bi q{
* i=l
T0 = C
T - T2 + TI + T0
9P
Si le paramétrage ne fait pas intervenir le temps — = 0. Alors T = T2
Exemple de calcul de T
- la liaison (S1)/(S2) est une ^
liaison prismatique, d'où Y0 = Yj
- la liaison (S2)/(^i^ est une
liaison rotoïde parfaite d'axe
Z2 = Zx
-• la liaison (S3)/(S2) est une
liaison prismatique d'axe X2
T° - Im [V0^)]2
Repérons la particule P pour r et 6 car le mouvement de C^ est connu à priori,
0 et r sont deux paramètres indépendants.
T0 = Im y2 t2
en effet
S - H• - ° Ôf = r $2
9? ^ 9? 3X2 ^
= X2
"5F "Se" = r
W * r Y2
b
) ïS£âS£âlÊ£_âË_2èiSÏ;SYl
Les équations de LÂ6RÂNGE s'écrivent
d 3T__ 3T_ _ -.
V X
dt3q> 3qi - ^
d y , 3T r „ 3T r t d 3T
qi = qi qi
^ i=i ^î i=i âqT ii, ^â5T
Donc le premier terme de la relation s'écrit
r . d 9T r „ 3T A d r , 3T
J/iltâqT - - j^iâqT*^ J^IâqT
111218 11
*W
q. = n
C*T
q
n
*T
4 r1U
'iT'
2-^r^i î
1=1
V oT
J,
1=1 i 1=1 i 1=1 i i
r
^t^^^ aïïi:^
oTo _•
H -. , i4 r dïi
n
* oTn
H
t
j,Hr«i • 2T2tTl
D'autre part, T étant une fonction des q^, q{, t on a
3T 3T
dT r i -L
9l V .. j. ST
^ " j, W il ^T «i * ÏF
donc les deux derniers membres de la relation s'écrivent
d
- ? IT qii* - ? 9T 3T
3< - - dt T + 3t
iii **L iii ii "
Finalement on peut écrire
f\ f\ î^T
ft (2 T2 + T!) - §£ (T2 + Ti + To) + |i - I Qiq{
i=l
n
, ST
^(Ta-To) = l Qiqi-f
1=1
T2 ~ T0 = V + Cte
' • £ - j.^i-H
montre que le second membre ne peut contenir de termes quadratiques en q|
car
£ •Hr^ooo'lïr'i'l^g
d) Cas_garticuliers
En pratique nous rencontrerons l'intégrale de PAINLEVE sous les
formes suivantes
IF^-*») - f -IrB + ro
9(T
Si on a V tel que |~r - ^U) on aura l'intégrale de PAINLEVE
sous la forme
Ta ~ T0 « U - V + Cte
U = - | (r - r0)2 - mg (
| yt2 + r sin6) + C
U - U(6, r, t)
+ lm Y 2 t 2
0 . n 9U 3T
Calculons — et _ .
9U
_ = -m g y t
£\m
•r- = Y(r! sin6 + r 6 f cos6) m + m y2 t
ot
Ta - TQ = U .- V + Cte
iffiffi. - o 1^» - o
La relation ^ (T2 - T0) - ff - |
^ (T+U) peut s'écrire fL (T2 - T0) - ~
ce qui donne 1'intégrale de PAINLEVE sous la forme
T2 - T0 - U + h
^0/T|N . , 2x x f
V (P) = u)x mais z f = —s
Lz' J
Ri
V°(P) = r**
eux
|.x'
LP JRl
T° = T2 + T 0
T2 = 1 M (i + ||.) x' 2
TO = lM<o2x2
0 - - ff K> * C
l-gr - M(1+^)x"+^x,2
|I - ^.x x 1 2 + M a)2 x
3x p^
M Mgx
3x " p
+ Intégrale de PAINLEVE
Calculons T + U
dt /^3f^33:
_ SB F
' ..£
/ ^
T = T£ TI = 0 TQ = 0
T
L'intégrale de PAINLEVE s'écrit 4r
dt = Ir
dt
Remarque 2 : l'intégrale des forces vives avait été obtenue dans l'étude par
les théorèmes généraux à partir du théorème de l'énergie ciné-
tique. On peut facilement obtenir ce dernier théorème à partir
des équations de LAGRANGE dans certaines conditions.
7.1.8 LES PARAMETRES NE SONT PAS INDEPENDANTS MAIS LIES PAR DES RELATIONS DE LIAISON
HOLONOMES OU NON HOLONOMES
Les relations de liaison peuvent se mettre sous la forme générale
Remarquons tout d'abord que si nous avions des liaisons de type holonome nous
pourrions nous ramener immédiatement à l'étude que nous venons de faire.
Supposons en effet que les seules liaisons existantes soient du
type :
£j(qi ... qi ... qn,t) - 0 . j = 1 ... h
on peut toujours tirer h paramètres en fonction des n-h autres, et alors se
ramener à n-h paramètres indépendants. Donc du point de vue de la théorie il
n'y a pas de difficulté nouvelle. Si l'on garde ces liaisons dans certains
cas, c'est uniquement pour une raison de commodité.
Par contre, il en va tout autrement pour les liaisons du type non
holonome^
aj,qf + ... + ajiq{ + ... + ajnq^ - bj
car par hypothèse elles ne sont pas intégrables et par suite nous ne pouvons
pas exprimer certains paramètres en fonction des autres grâce à ces relations.
Si nous conservons les liaisons non holonomes, c'est pour une question
de principe et si nous concervons les liaisons holonomes c'est pour une ques-
tion de commodité.
+
i-'-" |£«r -*!ïX US* ' °
j = 1 ... 1 | ajiqi* + ••• + ajiqi* + ••• + ajn<ln* - 0
CQÎ - A{] q{» + ... + [Q* - Ai] qj*,+ ... + [Q* - A^ qn* = 0
Les coefficients Q* sont plus simples à calculer que les Qi mais il faudra
exprimer alors que les q{* sont astreints à vérifier le système (II). C'est
ce qu'a fait LAGRANGE avec la théorie des multiplicateurs.
A - 0 - XiL a, • " . . . — X. a . - . . . - X a =0
n TI 1-n j jn m mn
Autrement dit, tous les crochets doivent être nuls. On obtient donc les
n équations de LAGRANGE
d 3T 3T n* -
= Ql iai1
dt^qT""^qT •" J^ 1 "•• tnaml
1 = Q + x a
IF HT" HT i i ii+ ••• +x a
j j i + •- +
Vmi
1
A Ci T Si T ^>
= Q + X ai + + X
dF "9^ " 9^ n l * ''' JaJn +
''' + X
m°^n
d 3T 3T .* . r .
= +
dT^T-^T «i .1, XJ °Ji
Remarque 1 : comme précédemment nous avons
* * * * ¥
Q = Q + Q + Q
i iD iLe iLi + QiC
Si le système est formé de solides parfaits à liaisons parfaites :
<c = o
^Le= °
^Li- °
d 3T 3T = Q
* r
dt-^T-^T iD+.^jaji
Remarque 2 : faisons le bilan des équations et des inconnues
T° = TI + T2 + T3 + Tm
T! = ymiLv°(Oi)] 2 + }aïî 0 l « ï -
fo o o
o ~i.ro
, T! = - I m i C x ' 2 + y ' 2 ) +1 (0,0,iJ,') 0 ^- 0 0
_0 o 5i|iJL + f .
T! = Y m i ( x ' 2 + y 2) +
' ï ( m iy^' 2 >
T2 . | m2 ^°(o 2 )j 2 + Y « 2 . T02 . 3s
(le corps est de
-»•" 2- - F 0
$1 7
I0 -- F0
o R
B n
0 révolution)
U'J^ Lu 0 BjR2)Ri
avec A = m2-r—
m? a2
B » -f-
T a
2 T (x'2 +
y ' 2 - •2ax''l''f s ni
i P +
2ay'i);' cosijj + a 2 ^' 2 ) m2
p
^ m 2 (f^<t>5 2 + ^ - * ' 2 )
T°
m = 4-m
2. (x l 2 + y' 2 )
T° = j Qm1+2m2+m)xl2+(m1+2m2+m)yf2+(m1|^a^m + m2y- ^J
&- °
- puissance virtuelle développée par les liaisons intérieures.
Elle est nulle car les liaisons sont parfaites
^P'u - -
d) Equations de LAGRANGE
•^•feSr-i-».
(m! + 2m2 + m)x fl « Xj
•^'^^-H- ^
(mx +. 2m2 +-m)y 1 1 « X2
:
*5f<*2> f E ||T-f^- - - Xj a sin* + X 2 a cos^
m
_2
2 ~ô" ^2 = ~ ^i a simj) + X 2 a cosij)
9^.\ . d 3T 3T _
*oC<*3) .V dt -§£5 ~ 8^7- °
*§ « 0
e) Résolution
On a donc les équations
(mx + 2m2 + m)xfl = Xx (D
lf
(m! + 2m2 + m)y = X2 (2)
m a. 5 a o
l "T" + y m2 )^ n = ~ X j a sinijj + X 2 a cosip (3)
a
mi y- cf>2 = - X.i a sin^ + X 2 a cosifj (4)
*5 '-' 0 (5)
auxquelles il faut ajouter les équations de liaison
a
) IIi3iSâ]i:î2S_$lê£.J&Hl£^^
paramètres
II faut éliminer les multiplicateurs qui sont des inconnues dyna-
miques afin de se ramener à un système différentiel.
:
3 ) E2££2S§_ce s ^valeur s_d§ns_l e s _e§uat i ons_ j[ 3l_e t_Xâl
o
(Hi5_ + |. m 2 a 2 )^" - - M a 2 (i|j lf + <()^ f )sin 2 ^ - M a 2 ij;'^ 1 + t()^)cos^ sini);
- M a 2 (^" +-c|)g)co8 2 i(; + M a 2 ^ f ( ^ ? + <f>2)sini|> cosip
- - M a 2 (i); lf + <fr2)-
soit encore
(E
2^ + I m 2 a 2 ) ^ n "*" M a 2 ^ n * *S> =
°
2
de même '2ly- cj)^1 - - M a 2 (^ f l + (|)^f)
.-Va - ° (5>
x ! - a \Jj f sini); - a (j)^ sinip = 0 (6)
1 1
y + a ip cosijj + a 4>2 cos^ = 0 (7)
Les équations (3) et (4) sont des équations linéaires en ty" et cj) 2 . Le
déterminant est
3 3 5
A = (y mj + 2m2 + m) (m •*- -r- m1 + 2m2 + ^ m 2^ " (ml + 2m
2 + m 2
)
3 5 3
A = (y m^ •+ 2m2 + m) 2 + -r- m2("ô" ml + 2m
2 + m
) "" (mi + ^^ "*" m
^2
i ib"
In
<j>2
=
=
(J>3 «
^
On a donc
, " \1) = il^n + ^ô t
A <()2 - - I 920
4>3-pt * ^30
++A »920t-t
x = a ^ ^0 C08WÔ t + ^Q)+ ci
y .. a *Ô^- *io. 8in(<,ô t + +Q) + €2
^) âê£ËESÎ2§£Î2S-âÊ-^l-ê£-^2
Xi = M x ff
\l » - M a(^5 + <f>2o)^Ô 2 sin(^Jt; + t(;0)
F02 + F 0 3 + P - M jj
en projection
X2 = (mx + 2m2 + m)xff
Y2 = (m! ••+ 2m2 + m)y"
Z
2 + Z3 " (ml+ ^m2 + m)g * 0
en comparant avec (1) et (2) on constate que AI = X2
X2 = Y2
Les coefficients de la puissance virtuelle ne sont pas nuls bien que la liai-
son soit parfaite. Les équations de LAGRANGE s'écrivent alors
d 3 T 9T n . . - u t u
— ynr - -g—7 - Q£ soit comme le premier membre n'a pas change
{ Î2 = F2 XO
- on applique à la coulisse (2) un torseur LT2 J :
\ ->
( M2(02) = 0
a) Equation de liaison
Pour repérer le mouvement on emploie les paramètres x et 9 • Mais
ils ne sont pas indépendants. Nous avons vu qu'ils étaient liés par la rela-
tion : / A N
. ces (9 - a) =
cos a
Elle est de type holonome.
D'après
r (1) x' =-r sin(9 "a) 6'
cos a
$)• EHÎSËêS£ê«YÎl£Hêllë
Les liaisons étant parfaites et la transformation compatible, la
puissance virtuelle est la puissance virtuelle des seules actions données
6p* - % e> *
1uS
Y) l§u§£î23i-£ê_M§Mîï£l
Il y a un paramètre indépendant : 6
d_ 3T .21 - n*
dt 90' " 96 = ^0
M
HT - . [ l + d£lT s i n 2 ( e - a > ] 6'
II « M—£_ sin(e-a)
to
I +M
cos(6-a).ef2
r
cos a
o
z
2
J
~~i
cos^a
9
sin2(9-a) 6" + 2 M ry sin(6-a) cos(6-a)ej
v
30 cos^a
d'où l'équation
d.o»de<2) * - -,rli|^!L,..Hr£atoL,.2
En portant en (1)
!
1 e.. =i MI - M - 4- 8in*<e-a)B» - M r^ sin(6-a) .cosa 2
cos/a cos^a
sin Q a
- F,
zr (-)
cosa
soit
6) -calcul^deÎL.
Uf 12 :
^r^ç <#
puissance virtuelle développées par les actions de contact (S1)/(S2)
f l
2
: puissance virtuelle développée par le torseur [TJ]
: puissance virtuelle développée par le torseur Qr£]
gr - «' " e
^ï - F2*"«
C^ 12 cette fois n'est pas nul
^Î2= F12.^»(M)
y) é^uations^du^mouyement
d__ 3T 9T 4
dt ïiF 30 " e
d_ 3T • _ il - Q
dt 3x' " 3x ~" ^x
I 6fl = MI + X r sin(e-ot) (1)
M xfl = F2 + X cos a (2)
1
on a en outre l équation de liaison
= cos(6-a)
i ï.
x r
cosa
x" = - r si-n(e-a) Qll _ ^ cos(e-a) ef2
cosot cosa
en portant en (2)
F2 M
X = - + x»
cosot cosa
Sin(
J .. -JËL. - M r r a) 6 " - M r C
° s( ^za) e*
cosa cos^a cos a
en portant en (1)
sin(0 a)
I 0" - Mi1 - Foz r " ^ M r2 sin2(g^I -M r2 sin(e~a)c°zs(e~a) 9 «2
cosa cosza cos a
c'est l'équation déjà trouvée
1. Exemple
Nous allons montrer d'abord sur un exemple que l'on peut être
amené, si l'on ne respecte pas les conditions, à commettre de graves erreurs.
Reprenons l'exemple de l'essieu muni de deux roues identiques
dont l'une roule sans glisser sur le sol
+ 2m +
T° = T . [tel 2 m)V2 + (mj + 2m2 + m ) y l 2 + tejj- + j m 2 a 2 ) ^ ' 2
m
a 9 + m
a P I
+ 2 ~ $2 2 ~ 4>3 I
^ =
Dans la transformation compatible on a Q^ 0
Mais ce serait une très grave erreur que de se servir de cette forme pour
écrire les équations de LAGRANGE^ c'est à dire pour calculer
A d 3T 3T
i " dt Bq{ " 3qi
Cela provient du fait que pour exprimer les coordonnées d'un point de sys-
tème il faut au moins 5 paramètres x, y, \f/, <K , <|> . Il n f est pas possible
2
de les exprimer avec 3 seulement.
2. Théorie de lfinëductibilité
Ces relations n'étant pas intêgrables. Ce sont des relations linéaires entre
les vitesses q|. On peut facilement exprimer certaines vitesses (en nombre 1)
en fonction des autres. Mais nous allons montrer que si l'on fait cette réduc-
tion on ne peut plus calculer les A^ par la formule
d_3T_ 3T
A =
i dt 3qi " 8qi
a) ex£ression_djB_l_vitesses_2i._e^^
Décidons par exemple d'exprimer les 1 dernières q£ en fonction des
n-1 premières (ordre conventionnel). Posons pour abréger n-1 = k. On peut donc
classer les vitesses de la façon suivante :
q q
11 n-l • Cl+1 n
°u q
i q
k ' qk+l <
a q + k "
j,k+i k+ i • • • + ajSq;+ •••• v ; + q = b
j • j, ajiqî
k
°l,k+lqk+l + '•• + alSqs + ••' + alnqn = b
l ~ J,aliql
* * k
a b
_«l,k + l '" *ls • ' • "înJL^ J L 'l " J, a li q i_
k
6 B 6
< J L 11 • • ' • lj "• liJL m " J, amiqi
b
q = g
s sjbj • B
ljaji qî ou encore
q = ô + ô
s s si qî s=k+1
••• n
en posant
6s = fpsj
l . b j. 6si. « - psj
B • a-•
ji
^ ) Ê5EïêËËÎ2S-âÊ«lâ-YiJËÊËËÊ-Yl?l-SS-l2S££Î2S-ÉË-3l-jL^^-Sv
tw fc+
\V;";^s*;r
â^\+l -- â^^ ••• S
+
^^.^
+
^t + + +
«: = 6s + 6si qi
v<p) .- Ç ^ — ît^*-*^*!!
+
3ÊT ( a k+i + ô k + i,i q P + •- + ïr ( 6 s + 6s^î > + -
K. " 1 S
â$
+ 1^-
3q v n
.q!)
(6 + 6ni n
i
n
î(p) i
• iràî^,, *-*i : «. I *- + ^ : « M )s
^Hr^^M---!;^*--!!;^^
^^^v,.^-^'.**-^^'^ . Tv
+.
âr â^7 k + i * . • • • ^;^ •- ^v ô n
+. ô +
J . 3 P , , ;+, +j . 8
. 3P 3P s . ^ .
soit encore
c
) £êl£Hl«ïî!LlâJ2HΧËâS£êJZΣ£HêI^
ration
Q^r* . qj* { 5g(P).a1 dm + ... + ql* I 3g(P) a£ dm + q^* [ 58(P) .aR dm ''•
*^J P6S pes pes
J& * - Aiqi* + ... -H Aiqj* + ... -f Akq^ avec A£ - J J^p^dm
pes
d) ——*-——"-——————.————————~~—-.———-.«.——._-.
impossibilité d'utiliser les formules de_MM
«.MMMM LAGRANGE pour calculer les A.
«. _. —.—«.—*.——.-.«.-»».^»^»—^^•—«.^
- avec la réduction les A. s'écrivent jusqu'ici
A£ -- j J8^),^ dm (0
P6S
Sr<*-V -**•$
l«^)-|tiHî
la transformation est donc possible comme précédemment
r, -, -, 3*V da,-
Calculons T et -rr1"
3q i dt
mais
ê- IH
(seuls k paramètres interviennent)
IÎH *-*&«*£•
r s deux expressions sont différentes, sauf s'il existe une
= F(qi ... qj_ ... qfc,t) telle que
*i
a = UL
3qi ; a ^ =3t H.
s'il en est ainsi, on a
3 aj _ 3 3F _ 32F
3qi " 3q£ 3qj " 3qi 3qj
F. Intégrales premières
On recherchera les intégrales premières linéaires et quadratiques
dans les mêmes conditions qu'au paragraphe correspondant des systèmes à pa-
ramètre s indépendant s.
7.1.9 UTILISATION DES EQUATIONS DE LAGRANGE POUR DETERMINER LES INCONNUES DYNAMIQUES
(ACTIONS DE LIAISON)
Jusqu'ici nous avons essentiellement montré que les équations de
LAGRANGE pouvaient conduire très rapidement aux équations différentielles
du mouvement.
figure 1
e = (z0, Zj)
ces trois paramètres étant liés par
les relations
x = 0 (1) ,1
y = 0 (2) holonomes
Avec ces trois paramètres nous pou-
vons facilement prendre des transfor-
mations virtuelles incompatibles
(elles sont simplement assujetties à
respecter en mouvement plan)
. fxf*1 _^ : f of
v°*
01 - o nî* '- e *
L 2 "J K o LoJ
/*fj*H -+ ->ft* •> -*-*itc
*£) 1 - FOI • V°(0i) + MOI (Oi) . "î*
^P* = X x'* + Z z'*
d'où finalement la puissance virtuelle totale
T =
° îm(^>2 Tx'.ie'cosen
^ = of
z - 1 e' sine K_
o
l2 f2 2 f2 f 1 1
T° = Y m (x + z + l e + 21 x e cose - 21 z e f sine)
3« Equation du mouvement
d_ 3T _ _9T
dt 3xr Bx ^x
d_ 3T _ il ,, Qz d_ 9T _ 3^
dt 3zf Bz dt "3?1" 3e "" 4
e
*<à?x) : fi1" =
m x' + m 1 6' cps6
j Si*P
4r~~-r
dt Bx = m x" + m 1 8ff cosQ - m l 8 l 2 sin0
H-
Bx
= o
m x" + m 1 0" cos0 - m 1 0'2 sin6 = X
f £} 3T
*o£(z) : T-T = m z' - m 1 0' sin6
£. IL- = m z" - m 1 0" sin0 - m 1 0 f 2 cos0
dt 9z
m z" - m 19" sin0 - m 1 0 f 2 cos0 = m g + Z
=
+ v&L(Q)
^s»
: TTT
do
m 1 x f cos0 - m l z f sin0 + m l2 0 f
J r\ m
= m
TT
dt TST
du l x" cos0 - ml 0 f x f sin0 - ml z" sin0
- ml z f 0 f cos0 -f ml2 0"
3T
^i. = - ml x f 0' sin0 - ml z f 9 f cos0
5* Remarque :
On aurait pu également utiliser la théorie des multiplicateurs.
Prenons toujours 3 paramètres x, z, 0.
T - Y m [x'2 + y'2 + l2 0'2 + 21 x' 0' cos0 - 21 z' 0' sine].
Les équations de liaison sont x = 0
z - 0
La puissance virtuelle développée par le poids est comme précédemment
^)* = m g (z'* - 1 sine 6'*)
Mais la puissance virtuelle développée par les actions de liaison est nulle
dans une transformation virtuelle compatible, c'est à dire pour des vitesses
virtuelles vérifiant .* ^ .
xf* = 0 AI
z'* = 0 X2
^°*(P!) - R e'* Xi
^Ï2 - P'*F12
P = m g Z0
FP sine"
ôS » o
^P cose J R o
Fp f * sine + p e'* cose "
V°*(G) = 0
p1* cose - p e f * sine n
KO
Gp*ç = m - g ( p f * cose r P e'* sine)
2. Energie cinétique
T" = 1 m (V°) 2
3. Equation du mouvement
d 9T _ 3T ,
dt 30f .36 ^0
d_ 3T 21
dt 30f " 3p ~ %
m p2 e ff = - m g p sin6
m p" - m p e'2 = m g cosô + F12
5. Remarque
La théorie des multiplicateurs nous conduit au même résultat. Conservons
deux paramètres e et p avec la liaison p = 1
- L'énergie cinétique est la même
T - im (p'2 + p2 e'2)
- La puissance virtuelle développée par le poids est toujours :
(y/3*v = m g (pf* cose - p e f * sine)
c-/
- Par contre la puissance virtuelle développée par les actions
de cohésion est nulle dans une transformation virtuelle compatible, c'est à
dire pour des vitesses virtuelles vérifiant
pf* « 0 A
X est la tension F 2
EQUATIONS D 'APPEL
S8 = 1 J pg(P)]2 dm
P6S
Nous obtiendrons alors les équations d'Appel qui donnent les
mêmes relations que les équations de LAGRANGE, mais qui permettent en
outre de traiter tous les problèmes de façon uniforme.
dS - j p8(P>P dm
Se - I J p8(P)]2 dm
pes
B. Théorème de Koenig pour l'énergie d'accélération
g
mais JJL(P) " î (G) donc finalement
Théorème de KOENIG :
L'énergie d'accélération est égale à l'énergie d'accélération
dans le mouvement autour du centre d'inertie augmentée de l'énergie d'accé-
lération du centre d'inertie affecté de la masse totale.
j vg(os) = o
°s fixe dans (Rg> —+ j Jg(0s) = 0
J g (P) = J g (0 s ) + |
| Û g A ÔTp + ftg A (3g A Ô^P) d'où
s A 2dm
^ - ? |<f f ^> pes
1. Calcul de EI
On sait que : (a A b) . (c A d) = (a c) (b d) - (a d) (b c)
pes
Cette dernière intégrale a été calculée lors du calcul de l'énergie ciné-
tique d'un solide ayant un point fixe
El = I (5J)2 p| Ï0 3p
S
2. Calcul de E9
E
* • i pes[(jf3!"^2"»'
L'intégrale est en tou£ point comparable à celle qui a été calculée, ^ Œs
remplaçant simplement iï&
s
«* - H^i-V ^
3. Calcul de E3
E
3 - f <It^AÔ^) . [S* A (^AÔ^)] dm
?es
Dans un premier temps montrons qu'on ne change pas la valeur de cette ex-
• d *^o ""^2 '*^
pression en permuttant -jr iï& et Q A 0SP. Pour cela calculons les deux
. dt s s
expressions
x
i • &"! A ô?> • PÏ A < S ; A v>:
X2 = Qnf A Ô?) A 0^1 . (fij A |^ flf )
x
* - - [iF^f • <? A ô?>] • (5? '^
X2 = K! d'où
on peut donc écrire une nouvelle expression pour E3
f £
E3 = [(^g A CLP) A <Tp] «[^g A 1- ^ê] dm
J s ^ s dt s
pes
3
*3 - -«SÏA^-V ?
+ JJ
s As f
.«• -1 «a»-)^ "o T' 4 £ v ~e % «£ r r> <=c
La formule de composition des vecteurs rotation entraine
«î - «r * «î.
îf - îf
lia formule fondamentale de la dérivation vectorielle donne
£ ^ » 4^2» +'«8A-tJ8»
dt s dt s s s
d g £g d g -^g Finalement
=
dt "s dt~ s
8
S (Që;)2(Q
b = 21 W
ë
O g<;> ++21dt^ï"sOigGï dt^ï
W g IIG S
8
"s O +Mt(—
g
"s OA "A ^
; X î
g
G "s O T+1-Ui 8
C CJ ^
V
s g S
ÔG « a Xs + c Zs (X0, Xs) ». 0
masse : m r * „ „~
= F B D
tenseur d'inertie IQ tel que flolnv v •? " ~"
OXSYSZS ^_ E _D j^
fi* = 0 f Zs
ll£°
dt s
= 0" zss
Le solide S a un point fixe (au moins ...) 0, donc
0
s°
b = I2 cn
ro°v2ro T Q°Ï + 1 — "0° ? . f L f t 0 - * r— ^° A Qg} T Î70
g ; (n s .i 0 -n s ; + - 2 dt n g -1 0 -^ 88 *. l dt "B A W S M O -.W S
s° . I i e f l f + -j i 0 f f 2
A
V2(D = V£(G) + ^2 GI
%(G) = (R - r) <f>' Xi
^2 A GI = 0 ' YI A r Zi = r 0 ' Xi
V^(I) - jj 0' + (R - r) j*] Xx
0 - r 0' + (R - r) 4>f
R — r T A
on peut par exemple éliminer 0' 0' = j— <j>
S =
° J ÏÏF'"2 *G ^ff + 7<"S>2 °2 ~G -flj +(~ fi| A n|) TG ft| + { ,m(J^) 2
n| = e f Y0
s
— ^2 '9" ^2 ^e dernier terme est nul
^-(3 r2 + h 2 ) 02 0 0
s° -1 [p,e",ol o m~ o e"
0 0 jj(3 r 2 + h 2 ) 0
2^(3 r 2 + h 2 ) 0 2 0 l[~o]
2 2
+ 10' [0,0',qj o 2^i o e« +lm(j°)
0 0 y_ (3 r 2 + h 2) 0
s° . iHlie» 2 +12210"» + l i a . ( J j ) 2
e« = - ILUL
r
<j)»
ÔG = x XQ + y YO + - a Z
+ i A |(e" + jj;1 <t>' sin6)2 + (*" sin6 + 4.' 6' cos6 - 6' <))')2
Ai - ( 3»(P> . |L d»
pes
"^ • Hr'»*-*^'**-*!;^
3»(P, .a.,,*...^,!»...^,.*!!,^-,^
. ? a7? , ^Fl
* .1, âqïât '1 * âzt
1=1 nl
on a
, . .,. ^ ^
donc immédiatement
"aj • • ap
T-TT = -r-—
9q£ Bq£
'A.1 u f^l^d,
J 31Ï
pes
A =
i f ^j* .
i 2 j 3^dm
pes
A (3g)2dm
i.-.4Mpes
3S
A-1 - \
3qY
Exemple 1 : mouvement d'un point matériel soumis à une force centrale attrac-
tive Newtonienne
ÔP = r K!
$°(P) = r 1 $! + r 6' ^
PT" - r S' 2 ~
J°(P) = 2r 8 1 + r 0"
L° J%
S° - . 1-m [>" - r 0 ' 2 ) 2 + (2r f 0' + r 011)2]
1S
39
= o
2 r' 6' + r 6" « 0
fe(r2 e') = o
r2 6' = cte C'est la loi des aires
3U a Jf ..._
-r—
o r = —7
r d'où l'équation
r" . r 6'2 = ^
S° = j I (0"+ + 0"2)
U = m g 1 cos0
3? = ^U
30" 30
I 0ff = - m g 1 sin0 Soit l'équation
bien connue
e» + 2|L sine = o
|~~A 0 0~|
[ij = 0 A 0 OG = 1 Z s
LO o cJRs
s° - i tô; ?0 3p<3:>2
+
7^'VZt^
+ <fL ^° A 5°)
dt s
i a°
s o s
o){ = 0" coscj) - 0 ! c() f sincf) + ij/f sin0 sin<() + ^ ! 0 f cos0 sincj) + ij; 1 ^ 1 sin0 cos<t>
o)^ = - 0 f f sincf) - 6 ! < t > f cos(j) + ip11 sin0 cos<j> -H ij; 1 ©' cos0 cos<}) - ip 1 ^ 1 sin0 sincf)
o)^ = i|/! cos0 - ^ ! 0 f sin0 + (j) ff
S° « 1 [^)f2 -f Bo)^2 + Co)$2 - 2(A-B)o)i o)2 a)§ - 2(B-C)o) 2 o)3 0)| - 2(OA)o) 3 caj o)£J
a^ ft „ 32
!L_ 8ip . o
3S i JHJ
86" " ae
âj^ = 12
i^r 3<f> . n
Eguation d'ag£el A(^)
3U A 3S° n
-r-r
d<|)
» 0 donc -r-rrr
d(|)
= 0
C
HT - Ï Ï F ( ^ ' ^e +
*')
d'où l'intégrale première -i|;f cos0 •*• <f> f = cte = rg
lSHâ£Î22-S[Iâ£EÊl-éii[!l
u-« $• - »
o. f
M = sin6 cos$
M - cos e
9s r~*
T—n" = sinG sin(|> A(6 f t cos(() - e'c)) 1 sincj) + i(;ff sinGsincj) + ^ ! 0 T cos0sinc)) +
°y I— —I
•»• ^ T ( ) ) f sin6 cos<j>) ~ (A-C) r 0 (-e 1 sincj) + ip 1 sine cos<j>)J
•H sinecostj) |A(^e l f sin<() - e ' c j ) 1 coscf) + i^11 sine cos<(> H- ^ f O f cose cos(f>
- i(; f (j> f sine sirnfr) + (A-C) r 0 ( e f coscj) + ^ f sine sin<(>)J
|
| = ^ (A ^ f sin^e + C r 0 cose) = 0
lSiiâ£Î2S«^l§EEÊl«âl§}.
p\ c
££_. = A e f f + A $' <f> ! sine - (A-C) r 0 * f sine
ou
= A e f l + A $' <|> f sine - A if;' sine^ 1 cose + c ^ f ) + C r 0 *'f sine
= A e f f - A ty'2 sine cose + C r 0 * f sine
= A e f f - ^ f sine (A \l)' cose - C r 0 )
3TI
—- = m g 1 sine d'où l'équation d'appel en e
o9
A. Cas général
L'équation de dVALEMBERT s'écrit pour une transformation virtuelle
quelconque
(Al - Ql)ql* + ... + (Ai - Qi)q{* + ... + (An - Qn)q^ - 0
9S
A
Ai =
M
3S
Les équations d'f.appel s'écrivent -T-TT =
Qi
SS * 5 ,
= Q
3^ï iD * .\l XJ aJi
Nous voyons donc que sous cette forme les équations ne présentent
rien de spécifique. Nous allons voir que ce qui caractérise vraiment la
méthode d'appel c'est la possibilité de réduire à un nombre minimum de para-
mètres, que les liaisons soient holonomes ou non, du fait que Ai se calcule
à partir de S et non de T.
A. Rappel
Rappelons les éléments de la théorie de l'irréductibilité que
nous avions faite pour les équations de LAGRANGE.
1°/ Nous avions un système à n paramètres liés par les relations de liai-
son non holonomes
{ a ^ q j + ... + ajiqi + ... + a jn<ln = b
j }
J = l
'" 1
2°/ Nous pouvions exprimer 1 vitesses q{ en fonction des n-1 autres grâce
aux relations ci-dessous
= ô +
1s s ^si^l s - k+1 ... n
avec k = n - 1
<u* - *.i.ii*
4°/ La vitesse réelle de tout point P pouvait s'écrire
V(P) = aj qi + ... a^ q| + ... + a^ q^ + a
avec A£ = îg(P) a^ dm
P6S
, -»• 9J8(P)
on a donc a,-1 = . .,
sq"
Ai - { îg(P) |
^ dm
A^ = 1
-s- 3^2 ^
f -—•rr dm
1 2 9q
pis i
AA 9S
I • âqy
On a le même résultat que précédemment. La réduction ne change Tien au calcul
de A^.