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Gestion des chats qui ont peur

Pourquoi un chat est-il peureux ?

Souvent, un chat est peureux car il a été mal socialisé (aux autres chats, aux autres animaux de
compagnie ou à l’homme) étant petit. Une fois adulte, il ne sait pas interagir avec les autres sans
se sentir agressé : il attaque ou file se cacher. Dans certains cas, un chat normalement socialisé
peut aussi devenir peureux à l’âge adulte pour donner suite à un traumatisme : par exemple, les
chats battus peuvent garder une certaine méfiance face aux humains.

Comment calmer un chat peureux ?

Ces techniques rassureront votre chat s’il a peur de tout, mais attention : les progrès peuvent
prendre du temps à arriver. Patience et persévérance devront être vos maîtres mots !

1. Le socialiser dès l’enfance : un chat bien socialisé dès son plus jeune âge sera moins peureux,
alors autant commencer très tôt ! (Lisez aussi notre article : comment avoir un chaton sociable à
vie ?)

2. Ne pas insister ni le forcer : il ne sert à rien de forcer son chat à rester aux bras ou sur les
genoux des invités pour l’habituer ou l’ « endurcir ». Ceci est à proscrire absolument, car un chat
ne peut pas apprendre de cette manière : au plus il sera forcé, au plus il aura peur et au plus les
comportements de fuite et d’agression seront fréquents. Allez toujours à son rythme !

3. Lui offrir plus de cachettes : un chat peureux a besoin de savoir qu’il a une solution de repli
s’il se sent menacé. Mettre à sa disposition de nombreuses cachettes et espaces d’isolement
(arbre à chat, placard accessible, dessous du lit non obstrué, maisons pour chats) le rassure pour
se protéger et ne pas se sentir exposé s’il en ressent le besoin.

4. Le faire jouer souvent : les jeux interactifs sont un excellent moyen pour gagner la confiance
d’un chat craintif et renforcer votre complicité. Ne forcez pas votre matou, mais proposez-lui
d’utiliser sa canne à pêche ou un plumeau et voyez s’il est tenté !

5. Lui offrir des récompenses : un chat ne réagit jamais bien à une punition qui risque de lui faire
encore plus peur. En revanche, une récompense est toujours appréciée et encourage un
comportement positif. Après une interaction réussie, offrez-lui une friandise naturelle pour
chat, de la cataire ou de la valériane euphorisantes, ou félicitez-le verbalement.

6. Acceptez sa personnalité : faites la part des choses entre un chat peureux, et un chat solitaire.
Votre matou n’est pas un petit chien, et il est normal qu’il soit indépendant !

7. Diffuser des phéromones : les produits type Feliway à vaporiser ou à diffuser sur une prise
électrique aident à calmer votre matou. Demandez conseil à votre vétérinaire.

Benoit SERY, comportementaliste Félin


Pour apprivoiser un chat craintif, c'est-à-dire : « lui apprendre à ne plus craindre », il faut aller à son
rythme également. Prenez le temps d'introduire petit à petit de nouveaux éléments, de nouveaux
bruits et laissez-lui le temps de comprendre et d'apprendre que ce n'est pas un danger

Mon chien a peur de tout : que faire ?


La peur est un sentiment naturel chez le chien qui vise à le protéger des dangers qui l’entourent.
Elle lui permet de se tenir en alerte face aux menaces extérieures et d’être prêt à se défendre. En
revanche, la peur ne doit pas devenir maladive. Si votre animal a peur en permanence de tout ce
qui l’environne, il est important de l’aider à s’apaiser, sans quoi il peut se montrer distant,
dépressif ou agressif. Découvrez nos solutions pour bien agir.

Comment se comporter face à un chien apeuré ?

Lorsque votre chien a peur, il est essentiel de bien agir pour que ce sentiment ne devienne pas
une habitude. Avant tout, évitez de donner de la valeur à cette peur, car votre chien y verra alors
une réaction normale et réagira de la même manière dès lors que la situation se reproduira. En
conséquence, n’y prêtez pas trop attention, ne cherchez pas à le rassurer en le caressant ou en le
prenant dans vos bras. Si vous agissez ainsi, votre chien pensera qu’il a raison d’avoir peur et
que vous-même êtes effrayé au point d’avoir besoin de lui pour être rassuré. Vous ne feriez que
renforcer son sentiment de peur.

À l’inverse, ne grondez pas votre animal. La violence verbale ou physique n’arrange rien. Votre
chien peut être perdu de vous voir être ainsi déstabilisé et se sentir encore plus inquiet.
Au contraire, lorsque votre chien a peur, il faut vous montrer calme, confiant, serein et faire
comme si tout allait bien. Votre animal constatera ainsi que vous n’avez pas peur et donc qu’il
n’a pas besoin d’avoir peur de lui-même.

Essayez de détourner son attention par le jeu ou en lui donnant une friandise. Votre chien pourra
ainsi se concentrer sur quelque chose de plus agréable et se détourner de sa peur.

Le syndrome de privation sensorielle

Le syndrome de privation sensorielle, ou syndrome du chenil, est un trouble qui peut toucher les
chiens qui ont manqué de stimulation lors de leur développement, c’est-à-dire au cours des trois
premiers mois de leur existence. Ce trouble touche bien souvent les chiots qui ont grandi en
chenil avant d’être adoptés ; ayant manqué de stimulations et de contacts autres que celui de
leurs congénères, ces animaux ne sont pas préparés à affronter le monde qu’ils s’apprêtent à
découvrir. En conséquence, toute nouveauté est une source de stress qui peut déclencher un
réflexe de peur.

Pour éviter ce trouble, il est important qu’un chien découvre et expérimente de nombreuses
choses entre ses 3 semaines et ses 3 mois, et ce dans différents environnements, pour être moins
sensible à la nouveauté.

Que faire contre le syndrome de privation sensorielle ?

Pour éviter le syndrome de privation sensorielle, il est conseillé d’adopter à son chien dans un
élevage qui pratique la socialisation dès l’âge de 4 semaines. Adoptez votre animal à l’âge de 2
mois et faites-lui vivre tout un tas d’expériences agréables avant ses 3 mois pour qu’il les
considère comme acquises, connues et non inquiétantes.

Sortez votre animal pour qu’il découvre d’autres environnements, mais veillez à ne pas
l’emmener dans des endroits à l’hygiène douteuse ou à proximité d’autres animaux le temps que
ses premiers vaccins soient effectués.

Variez les expériences, les environnements et les rencontres avec différents humains et animaux
pour le stimuler et l’habituer. En revanche, si vous ne parvenez pas à aider votre animal ou si
vous vous sentez démuni, n’hésitez pas à consulter un comportementaliste canin pour obtenir de
bons conseils ou à en parler à votre vétérinaire. Dans tous les cas, agissez rapidement, car au-
delà d’un an, il est bien plus difficile de soulager un chien peureux.

Comment traiter les différentes formes de peur chez le chien ?

Chez le chien, on distingue deux formes de peur : la peur ontogénique, liée à un élément précis,
et la peur permanente, liée à un environnement.

La peur ontogénique
La peur ontogénique est liée à un élément précis et identifiable, comme les voitures, les
aspirateurs, l’orage, les cris d’enfants, etc. Pour aider un chien concerné par cette forme de peur,
il importe de l’y habituer en faisant en sorte que l’objet de sa peur fasse naturellement partie de
son quotidien et qu’il le voit comme un objet sans danger.

Plusieurs étapes sont nécessaires pour habituer votre chien. Votre devrez réaliser plusieurs
séances courtes, mais efficaces, et vous assurer de bien respecter chaque étape. N’allez pas trop
vite et assurez-vous que chaque étape soit acquise avant de passer à la suivante, sans quoi vous
serez contraint de tout reprendre depuis le début.

Si votre chien a peur de votre voiture, commencez par le laisser s’en approcher sans la mettre en
route. Récompensez-le s’il parvient à se tenir à ses côtés. Vous pouvez ensuite le laisser monter
en voiture, toujours sans l’allumer, pour l’habituer à s’y tenir sans crainte. Par la suite, mettez le
moteur en marche, mais restez sur place, simplement pour l’habituer au bruit. Enfin, emmenez-le
se promener, tout d’abord pour un petit tour du quartier, puis pour des promenades plus longues.
Récompensez toujours votre animal dès qu’il réussit une nouvelle étape et comportez-vous
normalement. Affairez-vous autour et dans votre véhicule comme si de rien n’était, pour ne pas
que votre chien pense que vous aussi vous avez peur. Enfin, laissez toujours à votre animal la
possibilité de fuir afin d’éviter qu’il ne panique et qu’il devienne agressif.

La peur permanente

Le chien atteint d’une peur permanente a tendance à se cacher dès qu’il le peut. Il n’est jamais à
l’aise nulle part et se montre constamment tendu, angoissé, alerte. Il peut également développer
un comportement compulsif, comme un léchage répété de ses pattes ou se montrer agressif sans
raison.

Lorsqu’un chien est atteint de cette forme de peur, il n’est alors plus possible de l’habituer
comme on peut le faire pour une peur ontogénique. En revanche, un travail d’immersion devra
être mis en place pour progresser pas à pas vers un mieux-être de l’animal. Il est alors conseillé
de faire appel à un comportementaliste canin, voire au vétérinaire pour mettre en place un
traitement adapté.

Les petites astuces du quotidien

Montrez-vous toujours serein face à la peur de votre chien. Si vous y donnez de l’importance en
le rassurant, cela ne fera que le conforter dans le fait qu’il a raison d’avoir peur. Il est préférable
d’ignorer l’expression de la peur chez votre animal.

En revanche, efforcez-vous de multiplier les expériences et les découvertes, de préférence


positives, dès son plus jeune âge. Faites en sorte de lui laisser toujours à disposition un endroit
sécurisé où il peut se réfugier.

Si votre chien a peur d’un objet, incluez-le dans son quotidien en l’y habituant progressivement.
Vous pouvez utiliser les Fleurs de Bach pour aider à réduire son anxiété. Ces élixirs floraux se
donnent en cure et sont sans danger pour l’animal. Demandez conseil à votre vétérinaire ou à
votre pharmacien pour un dosage efficace. Il existe également des diffuseurs comme Adaptil
pour l’apaiser au moyen de phéromones.

Vous pouvez consulter votre vétérinaire et/ou un comportementaliste canin pour aider votre
chien pour des séances de thérapie et par la mise en place d’un traitement adapté.

Par Coralie Diedrichs - Publié le 21/08/2019

Gérer la peur de l'humain chez le chien


Pourquoi un chien peut-il avoir peur des humains ? Comment l'aider à gérer, voire
surmonter cette crainte ?

Sommaire

 Pourquoi un chien a peur des humains ?


 Comment éviter qu’un chien ait peur des humains ?
o Le choix de l’élevage
o La socialisation
 Une attitude cohérente
 Comment gérer la peur des humains chez le chien ?

La peur est un instinct naturel de survie chez le chien et pour certains chiens, se protéger de
l’Homme est un gage de survie à leurs yeux.
Dans quels cas un chien peut-il avoir peur des humains, que faire pour éviter cela et surtout
comment réagir si c’est déjà le cas ? Tant de questions que nous allons soulever dans cet article
pour aider les propriétaires de chiens peureux envers les humains à, si ce n'est résoudre, mieux
gérer la situation.

Pourquoi un chien a peur des humains ?

Un chien peut devenir peureux envers des humains pour de multiples raisons. Cela dépend de la
situation, des éventuelles répétitions de cette même situation, de la sensibilité du chien en
question, de l'attitude du maître, etc.

On peut toutefois distinguer deux raisons principales pouvant engendrer une peur des humains
chez le chien :

 Le chien a vécu une ou plusieurs situations traumatisantes en lien avec l’Homme. L’exemple le
plus courant est malheureusement le cas des chiens maltraités et battus.
 Le chien n’a jamais été socialisé et n’a pas rencontré d’humains régulièrement pendant sa
période de développement. C’est le plus souvent le cas des chiens ayant vécu en chenil plusieurs
mois après leur naissance.

Le chien aura naturellement peur de ce qu’il ne connaît pas et évitera naturellement également
ce qui ne lui apporte pas satisfaction.

Comment éviter qu’un chien ait peur des humains ?

Pour éviter qu’un chien ne déclenche une peur panique des humains, il est important de veiller à
trois éléments essentiels :

Le choix de l’élevage

Si vous souhaitez adopter un chiot en élevage, il est très important de bien le choisir. En effet,
la socialisation du chiot commence bien avant son adoption, il est essentiel que l’éleveur ait
commencé à socialiser votre futur chiot dès ses 3 semaines.

Puis, le choix du chiot dans la portée sera également déterminant. Même si ce n'est pas une
science exacte car chaque chien se forgera sa propre "personnalité" au fil des mois/années de sa
vie, il est toutefois possible de passer à côté d'un tempérament craintif.

En effet, lorsque vous choisissez un chiot dans la portée, si vous ne voulez pas d'un sujet
potentiellement craintif, de préférence, ne choisissez pas le chiot qui vient en dernier vous voir
ou, pire, qui ne vient pas vous voir du tout et qui se cache sous les meubles.

La socialisation

Puis, dès lors que vous adoptez votre chiot, vous avez quelques semaines vous aussi pour
continuer la socialisation en proposant à votre chien des rencontres intra et inter spécifiques de
qualité (avec d’autres chiens mais aussi avec d’autres espèces : chats, humains, etc.) afin que
votre chiot soit habitué à vivre de nouvelles expériences à vos côtés mais aussi à rencontrer
d'autres individus sans que cela n'ait de conséquences négatives.

Le saviez-vous ? De ses 3 à 12 semaines, le chiot se constitue une sorte de disque dur qui lui
servira de base de données pour toute sa vie. En clair, durant cette période, il est très important
de faire vivre un maximum d’expériences diverses mais surtout positives au chiot afin qu’il
soit tout à fait apte à gérer les situations nouvelles dans sa vie.

Une attitude cohérente

Il arrive que certains chiens soient craintifs et méfiants de nature. Dans ce cas, il faut respecter
plusieurs points concernant votre attitude en tant que maître référent :

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1. Ne jamais forcer un contact


2. Toujours laisser au chien la possibilité de fuir
3. Ne jamais renforcer positivement un comportement craintif (en caressant son chien lorsqu’il a
peur par exemple)
4. Ne pas avoir peur afin que le chien ne ressente pas l’inquiétude à travers son maître

Comment gérer la peur des humains chez le chien ?

Gérer la peur des humains chez le chien peut s’avérer délicat, long et fastidieux. Il est
recommandé de faire appel à un professionnel de l’éducation et du comportement canin afin de
ne pas commettre d’erreurs, au risque de renforcer et aggraver le problème.

Toutefois, voici quelques conseils pour mieux gérer les situations potentiellement
problématiques au quotidien :

 Conseil n°1 : Ne mettez pas votre chien en situation délicate. C’est à dire, ne l’emmenez pas
dans des endroits très fréquentés pour ne pas déclencher chez lui une hyper vigilance qui ne
ferait qu’aggraver le problème.

Emmener son chien craintif dans un endroit fréquenté peut s’avérer utile dans le cadre d’une
thérapie par immersion, mais cela ne doit absolument pas être considéré à la légère. Il faut se
préparer et surtout préparer son chien en amont, et travailler progressivement. Pour cela, il faut
faire appel à un professionnel.

 Conseil n°2 : Proposez le plus souvent possible à votre chien des balades où vous ne
rencontrerez que très peu voire pas de personnes afin que votre chien puisse se détendre et
profiter pleinement de sa vie de chien. Il ne s'agit pas de travailler sa désensibilisation à chaque
sortie.
 Conseil n°3 : Votre attitude sera décisive ! Si vous avez autant peur que votre chien, votre chien
ne se sentira pas en sécurité et considérera ses craintes comme légitimes. Montrez à votre chien
que vous n’avez pas peur et que vous êtes là pour le guider.

Pour réussir à obtenir une telle confiance, il est important de renforcer la relation maître/chien au
quotidien, en répondant à ses besoins, en instaurant des règles de vie à la maison, en mettant en
place régulièrement de courtes et positives leçons d’obéissance, en jouant avec lui, etc.

 Conseil n°4 : N'hésitez pas à renforcer l'obéissance de votre chien au quotidien afin qu'il puisse
se fier à vous dans n'importe quelle situation. S'il a confiance en vous et s'il coopère avec vous,
alors vous parviendrez à mieux le gérer lorsqu'il sera en situation de stress.
 Conseil n°5 : Pour travailler la désensibilisation, (je ne le répèterai jamais assez) vous devez faire
appel à un professionnel de l’éducation et du comportement canin pour qu’il vous accompagne
progressivement vers une - si ce n’est résolution - amélioration de la situation.

Toutefois, pour rendre le travail efficace et productif, il est important de ne jamais brûler
d’étapes par simple envie/besoin de régler le problème rapidement. Les séances d’habituation
doivent être progressives, courtes, toujours positives et régulières.

L’un des exercices les plus « simple » à mettre en place est celui que l’on pourrait appeler le «
chaud/froid » :

A lire aussi : Pourquoi mon chien pleure ?

1. Placez-vous dans un endroit où il y a potentiellement du monde (un parc par exemple) mais il ne
faut pas que cet endroit soit trop fréquenté.
2. Prenez avec vous des récompenses que votre chien apprécie particulièrement ainsi que son
jouet préféré.
3. Placez-vous à distance de quelques personnes, distance que votre chien tolère, une distance à
laquelle il ne prête pas attention aux autres.
4. Commencez à jouer avec lui, à le récompenser, etc. En clair : associez le fait d’être en présence
d’autres personnes (même à distance) à quelque chose de positif pour votre chien.
5. Puis, petit à petit, vous pourrez vous rapprocher, mais cela se fera peut-être sur plusieurs
séances, cela dépendra de la gravité de la blessure psychologique de votre chien, de sa
sensibilité, de votre attitude, de l’environnement choisi, etc.

Et surtout, n’allez pas trop vite. Parfois on doit se contenter uniquement d’une petite
amélioration voire simplement du fait que le chien n’ait pas réagi.

Le tout sera de faire comprendre progressivement à votre chien que l’Homme n’est pas
dangereux et qu’être en sa présence peut même s’avérer parfois très chouette.
Par Clémentine Turgot
Éducatrice canin comportementaliste / Rédactrice Web

Passionnée d’animaux et particulièrement de chiens depuis son plus jeune âge, Clémentine
Turgot a arboré de nombreuses casquettes professionnelles mais ne pouvait passer à côté de celle
d’éducatrice canin. Diplômée d’un certificat d’éducateur canin comportementaliste, elle décide
de fusionner sa passion et ses compétences canines avec son attrait pour l’écriture et le partage
d’astuces et conseils pour devenir rédactrice web indépendante, spécialisée dans l’éducation et le
comportement canin.

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